Mes voisins marocains (partie 2) - histoire érotique

Les jours suivants, outre les occupations que j'avais déjà programmées, je dois m'occuper de mes poils ! Après avoir regardé sur Internet ce qui était le mieux pour les hommes, j'opte pour un institut spécialisé dans lequel je passe des moments douloureux… Douloureux et impudiques quand il s'agit de me faire épiler les parties génitales, les fesses et la zone anale. Mais le résultat est je l'avoue troublant. C'est au final très agréable de se savonner et de sentir une peau douce que je ne soupçonnais pas, et je suis donc très excité quand arrive le mercredi et que j'attends la coup de sonnette de ma voisine. Il arrive enfin en fin de matinée. Comme à son habitude, Siham est nue sous une chemise en soie quand elle sonne, et je lui ouvre pour ma part en peignoir. Très vite, nous nous retrouvons nus tous les deux sur mon lit, et elle peut admirer et tâter le résultat de mes séances douloureuses chez l'esthéticienne.

- J'adore ta peau Erik, et ton sexe est si doux comme ça, il faut que j'aille le goûter !

Je n'ai rien à ajouter, et Siham vient me chevaucher pour que nous commencions un 69. Au bout d'un certain temps, elle se retourne et se redresse pour s'empaler sur ma bite en commençant des mouvements de va et vient. De temps en temps, elle se penche pour m'embrasser. Alors que je suis toujours en train de coulisser en elle, elle me dit :

- Comme tu as été très obéissant, je vais pouvoir te donner ta surprise.
- Je n'osais pas te rappeler que j'avais droit à une surprise, dis-moi ce que c'est.
- Si tu veux, tu as le droit de passer par derrière.
- Tu veux dire que je peux te sodomiser, tu aimes ça ?
- Oui, j'aime ça, et j'aime faire plaisir à mes partenaires. Parce qu'en général, les hommes adorent. Si tu veux le faire, il faut par contre que tu prépares mon anus en le léchant. Tu peux aussi y glisser un ou deux doigts pour qu'il soit bien souple. Tu peux y aller sans crainte, je me suis bien préparée avant de venir.
- Mmm, c'est très tentant tout ça !

Je commence alors à lui bouffer le cul, pendant qu'elle revient s'occuper de ma bite et de mes couilles avec sa langue. Je m'applique, et je dépose beaucoup de salive à l'entrée de son petit trou, que je pousse de temps en temps avec la langue. Je sens son anus qui se dilate progressivement, et au bout d'une dizaine de minutes, je peux y risquer un doigt, que je fais coulisser et tourner doucement. Et puis un doigt en appelle finalement un deuxième, et je peux assez vite les faire aller et venir sans peine dans son joli petit cul bien lubrifié. Elle se relève enfin, et vient se positionner en levrette. Je peux admirer son dos, ses fesses et sa chute de reins si sexy. Je positionne mon gland devant son anus, et je commence à pousser tout doucement afin de ne pas lui faire mal. Mon travail de préparation porte ses fruits et je peux m'enfoncer assez facilement. Elle gémit.

- Tu as mal ?
- Non, c'est du plaisir, j'aime cette sensation.

Je commence mes mouvements de va et vient, me mains sur ses côtés. Si Siham aime, moi j'adore ! Je n'ai pas l'habitude de ce type de pratique, car c'est plutôt rare de tomber sur des femmes qui aiment, et je ne veux pas les forcer à faire des choses qu'elles ne veulent pas. Au bout de quelques minutes, elle se redresse un peu, pour que je puisse glisser des doigts dans son vagin, et je sens alors ma bite qui s'active de l'autre côté. Je commence à la pilonner plus fort, au fur et à mesure que ses petits cris de plaisir s'amplifient. Je suis bientôt proche de la jouissance et quand je lui demande si je peux me laisser aller en elle, elle me dit que oui. Je donne alors mes derniers coups de reins avant d'exploser au fond de son cul, ce qui nous fait tous les deux gémir de plaisir.

Après une bonne douche, nous sommes tous les deux affamés, et on dévore un repas que Siham avait préparé. On se recouche pour faire l'amour à nouveau, puis rester serrés l'un contre l'autre en se caressant et en discutant.

- Tu m'as bien enculée tout à l'heure, j'ai bien aimé. Et toi aussi non ?
- Oui, c'était vraiment très bien. Mais je dois te dire que je n'ai pas vraiment l'habitude de ça en fait.
- Il y a beaucoup de femmes, et mêmes des hommes que cela rebute. Pourtant, en terme de plaisir, une fois que l'on a dépassé ses appréhensions, on a des sensations qui valent la peine. Pour les hommes, il paraît que c'est une autre sensation que de faire l'amour normalement, mais que c'est aussi extraordinaire de se faire enculer. Tu as déjà essayé toi ?
- Avec un autre homme, ni dans un sens ni dans l'autre…
- Tu ne sais pas ce que tu perds, je sais Tarik aime bien ça.
- Enculer un autre mec ou se faire enculer ?
- Je sais qu'il aime enculer d'autres hommes, mais que ça peut lui arriver parfois de se laisser faire aussi…
- Et ça ne te gêne pas qu'il soit bi et qu'il te trompe avec des hommes ?
- Je ne peux rien lui offrir de plus que moi, et s'il est bi, je ne lui suffis donc pas. Il ne me trompe pas, il fait juste compléter. Jamais il n'irait avec une autre femme, je lui interdis, et quand il va avec un autre homme, il doit tout me raconter.
- Vous êtes sacrément ouverts, mais pourquoi pas finalement…
- Bon, il va falloir que je te quitte, mais on se revoit demain si tu veux ?
- Mmm, j'attends ça avec impatience ! J'ai adoré aujourd'hui et ta surprise en bonus aussi !
- Alors, j'en aurai une autre pour toi demain…

Tout le reste de la journée, je ne fais que repenser à Siham… Le soir, je la croise avec Tarik dans l’ascenseur, et j'avoue être un peu mal à l'aise en pensant à Tarik, à ses aventures avec des hommes et à sa femme avec qui je couche ! Je pensais qu'il était un peu macho, mais il sait que j'ai couché avec sa femme, et il ne me dit rien. Est-ce qu'elle a continué à lui raconter nos ébats ? J'espère que non quand même... En nous quittant sur notre palier commun Tarik me dit :

- Il faudra que tu passes chez nous un de ces jours, je tiens à te remercier pour t'être si gentiment occupé de Siham quand elle était bloquée dehors. J'ai compris que tu avais été vraiment … efficace, elle a beaucoup apprécié, n'est-ce pas ma chérie ?
- Oh oui, c'est vrai que j'ai passé une bonne matinée !
- Euh oui, mais ça n'était rien, je recommencerais si nécessaire bien entendu…

Et nous nous quittons donc bons amis, sans que je sache ce que connaît réellement Tarik. Le lendemain matin, c'est moi qui sonne chez Siham. On se déshabille très vite. Une fois que l'on a bien commencé à se caresser avec les mains et la bouche, Siham me chevauche et me dit :

- Et maintenant, c'est l'heure de ta surprise ! Je suis certaine que tu vas aimer.

Et elle sort de sa table de nuit une paire de menottes…

- C'est pour moi ou pour toi tout ça ?
- C'est pour toi mon gros coquin, j'ai bien remarqué que tu aimais que ça soit moi qui te dise quoi faire, alors on va continuer dans cette direction, et tu as intérêt à obéir !
- Eh bien pourquoi pas maîtresse, je n'ai jamais essayé ça, mais je te suivrai au bout du monde !

Je me laisse passer les menottes, qu'elle attache solidement à la tête de lit avec une corde d'une quarantaine de centimètres. Je suis terriblement excité de me retrouver attaché à sa merci. Comme elle m'en donne l'ordre, je commence à travailler avec ma langue quand elle remonte à la hauteur de mon visage. Mais très vite, les choses se compliquent quand j'entends la porte d'entrée qui s'ouvre, et que Tarik débarque dans sa chambre pour nous trouver tous les deux avec sa femme en pleine séance de jambes en l'air !

- Ah les coquins ! On a l'air de bien s'amuser dites-moi ? Ne vous gênez pas pour moi, faites comme si je n'étais pas là, on fera les comptes après…

Je ne comprends pas vraiment ce qu'il entend par là, mais je n'ose pas poser de questions, trop content de ne pas me faire passer à tabac et alors que je suis attaché. Et avec Siham qui commence à me tailler une pipe, j'avoue que je continue à être assez excité par cette situation et par ce qui commence à ressembler à un plan à trois. Je ne dis rien non plus quand Tarik se déshabille, et commence à prendre des photos. Au bout d'un moment, Siham vient s'empaler sur ma bite, et elle commence des mouvements de va et vient. Tarik vient alors se faire sucer par Siham. Je n'avais jamais participé à une telle orgie avant, mais je me surprends à être réellement super excité de baiser Siham pendant qu'elle suce un autre homme, et de voir aussi leurs deux corps magnifiques, par ce qu'il faut dire que si j'avais eu déjà l'occasion d'admirer celui de Siham, je suis également très impressionné par celui de Tarik, qui possède une très belle musculature, et a également une peau intégralement bronzée et épilée. Il a de plus une belle bite, pas plus large que la mienne, mais avec quelques centimètres de plus… Au bout d'un moment, Siham me signifie qu'il est temps de permuter entre Tarik et moi, mais ce sont eux qui bougent, dans la mesure où je suis toujours attaché. Siham se retrouve donc tête-bêche par-dessus moi afin de me sucer, tandis qu'elle se fait prendre en levrette par Tarik. J'ai donc une vue imprenable sur le sexe de Tarik qui coulisse dans celui de Siham ! Et c'est là que tout a commencé à déraper… Tout en continuant à limer Siham, Tarik me dit :

- Eric, il va être temps pour toi de me rembourser. Tu vas commencer par me sucer la bite. Et soit tu participes avec de la bonne volonté et tu y prendras du plaisir, soit tu ne veux pas et comme je ferai ce que je veux quand-même tu ne vas pas apprécier. Tu as bien baisé ma femme, tu l'as même enculée, il faut accepter l'équité de traitement que l'on te demande, n'est-ce pas Siham ?
- Oui. Tu m'as dit que tu me trouvais belle, eh bien une belle femme comme moi ça a un prix. Fais ce que Tarik te demande, je suis sure que ça va te plaire en plus !
- Je me suis bien fait avoir, et je comprends que Siham n'avait en fait pour mission que de m'attirer dans votre lit !
- Oui, et tout plaidera pour un plan à 3 consenti si jamais tu devais dire le contraire !
- Vous êtes deux pervers. Et le pire c'est que je n'ai pas vraiment envie de résister.

Et je prends la bite de Tarik dans ma bouche... C'est une grande première pour moi. Sa bite est toute poisseuse, mais elle à le goût de la chatte de Siham, et je m'applique du mieux que je peux, et Tarik a même l'air d'apprécier. Finalement, il se remet à pilonner Siham avec ardeur, et au bout de quelques minutes, il se lâche en elle.

- Maintenant, tu vas aller nettoyer Siham, elle m'a dit que tu adorais faire ça !

Je n'ai pas le temps de dire quoi que ce soit que Siham me remonte sur le visage et me colle sa chatte sur le visage, et je dois donc la lui lécher et avaler tout le foutre de Tarik. Une fois que j'ai fini, Tarik reprend la parole :

- Maintenant Siham, tu vas aller lui préparer son petit cul tout lisse que je puisse l'enculer sans lui faire trop mal !
- Je n’en ai peut-être pas envie ?
- Je t'ai déjà expliqué que tu ne pouvais pas baiser et enculer ma femme sans rien payer ! Maintenant, je peux aussi faire ça tout de suite sans te préparer si tu préfères avoir mal ? Mets-toi à quatre pattes !

Je préfère obéir, je ne suis pas en situation de faire quoi que ce soit d'autre et je me mets donc à quatre pattes, toujours attaché par les mains, et je me tiens à la tête de lit. Tarik se glisse sous moi, tête-bêche en remontant ses jambes contre la tête de lit pour que je lui suce la bite tandis que Siham commence à me lécher la raie. Sa bite gluante est un peu molle et je me dis qu'il ne pourra pas m'enculer, mais grâce à ma langue et à mes lèvres, elle reprend vite de la vigueur ! Quant à Siham et sa langue, elle me fait très vite frémir. Si j'ai commencé par contracter mon anus quand elle a commencé, je me suis vite détendu sous le plaisir qu'elle me procurait, gémissant la bouche pleine quand sa langue commençait à s'insérer dans mon petit trou. Elle y a assez rapidement glissé un doigt, le faisant tourner doucement pour m'élargir, puis léchant à nouveau, puis un deuxième et un troisième doigt… Au bout d'une demi-heure de ces assauts, je n'en pouvais plus d'excitation, ma bite était prête à exploser, et je n'en pouvais plus non plus de plaisir au niveau de mon cul ! Tarik de son côté étant bien en forme, il quitte alors sa position pour venir prendre celle de Siham et positionner son gland à l'entrée de mon petit trou. Il n'a pas grand-chose à faire pour pouvoir y entrer doucement, tant mon anus est lubrifié par la salive de sa femme, et déjà bien détendu par sa langue et ses doigts.
Il pousse doucement, et commence ses mouvements de va et vient.

- Ça va Eric, pas trop mal ?
- Non, pas du tout, c'est une drôle de sensation de se sentir rempli comme ça, et après tout ce qu'a fait Siham, c'est même très bon, tu peux y aller encore !
- Je peux te dire qu'il aime ça, il bande comme un âne mon amour, tu peux le défoncer comme tu veux !
- Alors allons-y ! Siham, profites-en pour prendre des photos que l'on voit bien comme il aime ça !

Je subis ainsi les assauts de Tarik pendant de longues minutes. Tandis que Siham prend des photos sous tous les angles, je réalise ce qui se verra sur ses clichés : un mec soumis, complètement épilé et attaché, en train de se faire enculer, et qui prend du plaisir à ça. Cela ne fait renforcer mon excitation, d'autant que je sens un plaisir jusqu'alors inconnu qui monte depuis mon cul. Il va falloir que je jouisse pour évacuer tout ça, et mes cris de plaisir ne peuvent le cacher. Tarik demande alors à Siham de me sucer, et elle vient se placer sous moi pour s'exécuter. Sa langue le long de ma bite et sur mon gland gonflé, ainsi que ses doigts qui jouent avec mes couilles en remontant vers mon cul ont vite raison de moi, et je jouis dans sa bouche avec une puissance incroyable.

- Viens lui mettre son jus dans le cul avant que je finisse !

Siham obéit à Tarik, qui se retire de mon cul. Je me mets sur le dos, remonte mes jambes, et elle en profite pour me cracher tout le sperme qu'elle a encore en bouche dans mon trou béant. Tarik s'y enfonce à nouveau, et encore plus facilement, et se remet à me pilonner en me regardant bien fixement dans les yeux. Je le sens qui va jouir bientôt, et je ne tarde pas à sentir de grandes giclées chaudes inonder mon cul qui dégouline déjà. Cela n'arrange donc pas les choses, et je sens du sperme qui sors de mon anus et qui coule le long de ma raie qui est maintenant trempée. Siham en profite pour reprendre quelques photos qui ne font que renforcer mon humiliation, mais ça m'atteint plus, je suis trop épanoui par le plaisir que j'ai eu. Tarik s'adresse alors à moi :

- On peut te détacher maintenant. Tu as pris ton pied il me semble ?
- Oui, je ne peux pas le nier, c'était effectivement très bon. Même si au début je me suis fait violer.
- Disons qu'il a fallu de forcer un peu la main pour te convaincre… Et puis un mec qui se fait violer ne bande pas comme un âne quand il se fait enculer. Ni ne demande d'y aller encore plus fort…
- J'ai fait ça moi ?
- Oui, tu me l'as demandé quand tu gémissais de plaisir, et Siham a gardé des photos. En plus de la vidéo bien entendu, tu vois la caméra là-bas entre les livres ?
- Vous n'allez pas le diffuser ?
- Non, jamais, sauf si tu veux porter plainte bien sûr…
- Je me vois mal le faire, je vois bien que rien n'est en ma faveur dans cette histoire. J'aimerais juste savoir Siham, tu as voulu me piéger dès la première minute ou c'est venu après ?
- J'avais envie d'essayer de faire l'amour avec toi Eric, mais pour ça il faut que Tarik puisse avoir un dédommagement tu comprends ? Jamais je n'ai simulé mon plaisir.
- Bon, je vais rentrer prendre une douche chez moi, je peux y aller ?

Je les quitte pour prendre une douche bien méritée. Le reste de la journée, je repense à mon aventure avec Siham, puis à mon viol. Mais Tarik a raison, en était-ce bien un avec le plaisir que j'ai pris ? C'était tellement bon. Rien que d'y penser, je me mets même à rebander… Au final, il faut me rendre à l'évidence, c'était juste un bon plan à trois, avec un côté bisexuel, nouveau pour moi, mais que j'ai aimé et que j'ai même envie de recommencer.
Le surlendemain, c'est samedi. Coup de sonnette en milieu de matinée. Je vais ouvrir, et c'est Siham qui ne porte toujours que sa chemise en soie, largement ouvert. Elle est tout sourire.

- Bonjour Eric, je viens voir si tu voulais reprendre notre discussion ? J'aimerais bien refaire l'amour avec toi. Tu veux bien ?
- Avec toi, oui bien sûr. Mais Tarik dans tout ça ?
- Tarik, il est d'accord si de ton côté tu es d'accord pour venir chez nous demain. Il a vraiment adoré ton cul bien étroit, et on pense tous les deux que de ton côté tu apprécies autant ma chatte que sa queue. Il a raison ?

Je ne réponds pas tout de suite, je prends quelques secondes pour réfléchir à la situation dans laquelle je m'engage. Au final, je ne sais pas ce qui m'excite le plus : baiser à nouveau avec Siham et toutes les possibilités que cela offre de posséder à nouveau son cul, sa chatte, sa bouche… ou la perspective de me faire enculer à nouveau par Tarik, et de devenir l'objet de mes deux voisins. Cela ne remet pas en cause l'immédiat, qui n'en sera que meilleur :

- Entre par ici ma jolie, je vais déjà te montrer aujourd'hui de quoi ma queue à moi elle est capable !