Métro 4
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 157 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.9 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.9
- • L'ensemble des récits érotiques de Conteur ont reçu un total de 315 142 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 814 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Métro 4
-Je ne sais pas. Si tu me jettes je referais la pute mais j’aimerais rester et trouver un truc dans le coin pour t’aider dans les dépenses courantes. Tu me plais beaucoup et je pense te plaire au moins côté sexe. Pourquoi ne pas vivre ensemble un moment sinon plus.
Tout dépend de ce fichu texte mais si je trouve des fiches de ton travail ils auront peut-être une photocopie de ta carte d’identité ce serait le top. En attendant au lit, je me lève tôt et si possible plus tôt que ce matin. Tu ne te rappelle pas ton code de sécu ?
Ma mémoire n’est pas très bonne mais ce doit ressembler à
1 04 93 271 022 93 mais je ne suis pas sur.
Je vais tenter par Emilie tu es au moins allé chez le dentiste ou une fois chez le toubib
-Au moins à la médecine du travail oui.
Bon je vais essayer. Je tape tes coordonnées. Pour le moment ça indique bien ton prénom et le nom est Duval ?
-Oui, c’est moi.
Tu as tout juste tes dix-neuf ans ?
-Oui je t’ai dit vingt ans je sais, j’ai arrondi.
Bon on a un peu avancé. Je vais demander une copie de ta carte en attendant une nouvelle définitive. Il reste ta carte d’identité. Et ça ce sont les flics et la mairie avec une photo d’identité. Aller au dodo, c’est assez pour ce soir.
-Je peux me coller contre toi ce soir ? J’ai des cauchemars et la frousse, tu me rassures quand je te sens contre moi.
Moins facile pour moi de savoir tes fesses contre mon sexe mais je vais me maitriser. Collé à moi comme une bernique sur son rocher, j’avais la queue (molle) dans la raie.
Ne bouge plus sinon tu dors sur la descente de lit !!! Il n’a plus bougé.
Le réveil a sonné et de suite il s’est collé à ma queue et comme il avait chopé la technique j’ai joui rapide. Je file à la douche.
-Je fais couler le café.
En dix minutes j’étais près et dans la cuisine un bol m’attendait. Ce soir je peux avoir du retard et ne pas être à l’heure, ne prévoit rien. Le café bu j’ai démarré la voiture après son bisou et je suis parti pour la journée. J’avais ses papiers.
Comme d’habitude je me suis signalé au bureau par téléphone et j’ai commencé en surface cette fois dans les endroits fréquentés. Un fourgon s’est arrêté presque à mes pieds et je marchais quand une dizaine de gosses se sont éparpillés sortant par la porte coulissante. J’ai mémorisé le numéro et le type du véhicule. J’ai vite repéré leur manège dans le métro et laissé faire, attendant le gros poisson. De mon portable j’ai prévenu du lieu de dépose et donné le numéro du véhicule. Un banalisé est venu stationner et je suis parti dans les couloirs.
Ils étaient tellement nombreux tout autour des Champs et de la tour Eiffel et j’en ai chopé deux, une misère, je suis revenu vers Saint Denis ou était toujours le sous-marin et le fourgon et un collègue derrière les vitres arrière fumées dirigeait un micro directionnel sur le fourgon.
-Ils ne vont pas tarder à rentrer, j’ai appelé du renfort et on va les suivre mollo pour voir où ils les lâchent. J’enregistre tout. Facile ils parlent français.
L’affaire bien en main je suis allé au bureau où j’avais été appelé. Assez vite reçu par un civil et un colonel de gendarmerie en tenue qui m’ont souri. Fait assez rare pour être souligné.
-Donnez-moi les papiers de votre protégé, en voici d’authentiques. On a noté votre excellent travail et à partir de ce soir vous êtes en repos pour un mois. Les avantages ne sont pas sans inconvénients, à la fin du mois vous formerez des équipes chargées de protéger les invités et autres venus pour les JO et bien évidemment sans horaires fixes. Pour votre information le petit Hervé s’est trouvé là par hasard et nous a servi sans le savoir.
-Une dernière chose, votre travail du matin a été couronné de succès et toute la bande est interrogée. Bonnes vacances.
J’ai remercié, étonné de leur confiance mais bon je faisais bien le job et c’était un plaisir d’aller trouver Hervé. J’ai pris le premier train possible qui passait au plus près, Compiègne et là Surpris un autre partait pour Beauvais via Clermont. Un jour à marquer d’une croix rouge. J’étais rendu à la gare à quinze heures et à la maison peu après. Hervé était sur la terrasse, Rex étendu à ses pieds. Il a couru vers moi pour le bisou un peu plus appuyé. Il avait mis son slip dehors. A peine la main dessus il bandait.
Pas le moment pour ça ! Habille-toi je t’emmène à la prise de sang. Voilà tout tes papiers donnés par mon chef. Ils sont authentiques. J’ai appris du coup que j’étais surveillé comme toi puisqu’il t’a nommé. Autre nouvelle pendant que tu t’habilles. Je suis en vacances pour un mois. Après ce sera plus dur, il faut que tu passes un permis, au moins que tu aies une bécane pour aller et venir. On ira après voir pour des fringues de tous les jours.
-Si j’ai bien compris, je reste avec toi ?
Tu as bien compris si tout va bien ce soir et les suivants. Aller dépêche ! Une main sur les fesses l’a fait bouger et glousser.
Je savais où était l’hôpital pour les prises de sang sans ordonnances et gratuites, le plus dur était de se garer mais on était dans les temps et personne n’attendait. Il est passé tout de suite. J’ai donné mon adresse électronique et on est reparti vers St Maximin faire un tour dans l’hyper pour ses fringues. Habillé de la tête aux pieds je ne voulais pas de leurs slips genre pépère et c’est dans un magasin de frivolité que je l’ai fait entrer. Il est devenu tout rouge quand j’ai demandé des strings à sa taille.
-C’est pour madame ?
Non pour lui.
-Ah pardon. Nous avons quelques modèles à sa taille. Rouge ou noir ?
Un de chaque ira très bien.
Une fois dans la voiture il était encore sous le coup.
-Tu as osé demander des strings pour moi ?
Pour qui d’autre ? Ne fais pas la gueule ça t’ira très bien. On rentre. Au fait, tu es descendu dans la cave ?
-Non mais j’ai ouvert, allumé et regardé d’en haut. Vous pratiquez le SM ?
Jetant un coup d’œil sur son entre jambe en roulant. J’ai souri, ça t’intrigue ?
-Oui, vous êtes si sympa avec moi.
Mais tu ne t’es jamais mis dans ce genre de situation où tu es impuissant ?
-Ben, quelquefois quand je devais absolument sucer pour bouffer c’est un peu ça !
Je ne te laisserais jamais sans manger et boire ni dormir. On arrive ; Ne défais pas tous les paquets je veux te voir en string.
Une petite lueur dans les yeux il s’est mis nu et a enfilé le string noir. Sa queue gonflait le devant du tissu.
Tu aimes ?
-Avec vous, tout me plaît.
Garde-le sur toi et sert moi un apéritif, un petit, ce soir on mange au restaurant. Je vais regarder les résultats s’ils sont déjà sur le net. J’ai pris le portable sur les genoux et tapé les différents codes demandés inventant un mot de passe simple pour lui comme pour moi.
Bon, une bonne nouvelle et même excellente, tu n’as rien chopé et cette nuit je vais pouvoir te baiser bien à fond sans capote. Il y a une petite auberge pas loin où je pourrais circuler sans problèmes avec un tout petit coup dans le nez. Ton petit trou va morfler.
-Je n’attends que ça et plus avec ce que j’ai entrevu au sous-sol.
Tu devines que tu pourras être dans ces cas-là une salope ?
-J’en ai pleinement conscience et je l’assume. Il s’était assis sur l’accoudoir, cuisses ouvertes les couilles sortant par le côté du string.
Tout en dégustant mon petit verre je les ai fait rouler dans ma main.
Il faudra aussi que je te trouve un boulot pas trop loin qui convienne à tes compétences, non seulement pour l’avant des JO mais pour la suite. Ils vont avoir besoin de personnel du côté de Chantilly mais il te faut un permis. Tour cela demande du temps. Mais en premier je veux prendre ton petit cul l’ouvrir et jouir dedans. File au lit. Je ne veux pas attendre.
Je me suis dessapé avant d’entrer et sans un bisou ni une léchouille lui ai écarté les cuisses. Tu m’as baisé avec ton histoire de pute et plus de fric. Tu travailles pour mes chefs depuis que tu as maladroitement mais c’était volontaire tenté de piquer dans ma poche. Fini de jouer tu vas savoir ce que veut dire se faire enculer.
Il a tenté des excuses mais le coup des papiers authentiques m’avait ouvert les yeux. J’allais lui ouvrir largement le cul. Sans aucun gel j’ai mis mon gland sur son cul et l’ai pénétré malgré ses cris.
-Non ! S’il vous plaît !
Ta gueule tu m’as baisé et moi je te baise ! Simple retour de bâton. Je l’ai labouré et après avoir joui lui ai mis ma queue dans la bouche.
Suce ta merde comme une vraie pute ! Ce soir je te descends à la cave et tu vas rire. Enfin moi je vais rire, toi, pas sur. Il m’avait tellement foutu la honte avec son baratin que je l’ai retourné pour le reprendre par-dessus lui, ma queue dans son cul. Tu peux jouir tu le feras bien souvent cette nuit. Plus il résistait et plus je donnais de coup de queues. Je me connaissais et pouvait durer à lui en faire perdre conscience Au bout d’une demi-heure d’enculage il était rendu à ‘état de chiffon Et c’est tremblant sur ses jambes que l’ai changé de place. Descendu à la cave et allongé sur une table. J’ai fixé ses poignets aux coins du haut Et passé une lanière sur son ventre. Lanière qui incluait ses mollets qui les immobilisaient. J’ai mis une barre entre ses genoux on ne voyait plus que l’anus entrouvert.
Il a commencé à comprendre quand j’ai installé la machine à baiser et fixé un gode de taille à peine plus grosse que ma queue. La machine en place, le gland touchait son trou.
Je vais lancer la machine et monter voir la télé, le Belém va arriver. Je te surveille par une caméra, gicle tant que tu peux dans ta cage. Avant de monter, l’entendant gémir assez fort j’ai vérifié qu’il pouvait respirer par le nez et enfoncé le string déjà baveux dans sa bouche. Calme toi d’ici lundi tu auras le plus gros trou du cul connu. Je suis monté devant la télé. Pour le moment ça discutait et je voyais en gros plan toute sa partie sexuelle. Ses couilles libres commençaient à se couvrir de sa bave et le gode, réglé pour accélérer et ralentir par à-coups. Je vais voir où est la Belém et commente ça se passe.
Je suis revenu dix minutes après. Il avait déjà joui et j’ai stoppé la machine, la reculant pour dégager son cul. J’ai ouvert une armoire et choisi un gode noir plus épais que j’ai vissé à la place du premier. Il a vu le gode et a craché le string.
-Non pas celui-là !
Ben voyons, tu m’as bien dit que tu étais une pute ?
-Oui mais c’était ce que je devais dire pour vous accrocher.
Et moi je t’ai cru et tu seras sous peu une vraie pute. J’ai engagé dans sa mâchoire un écarteur de dentiste et replacé la machine devant son anus entrouvert. Je n’ai aucune pitié pour les menteurs et les truqueurs. J’ai mis la machine en route et ouvert l’écarteur dans sa bouche. Dans cinq minutes tu vas à nouveau jouir et pour te faire plaisir je mettrais mon gland dans ta gueule. A toi de choisir si tu me fais jouir je laisse ce gode. Sinon j’ai un gode monstre pour les vraies lopettes.
J’ai introduit mon gland qui a buté sur sa langue et il a tourné autour, gêné par la taille. J’ai frissonné mais il m’en fallait plus Et j’ai poussé par-dessus la langue. J’avais déjà bien vidé mes couilles et il n’a pas tiré le moindre liquide.
Bien je vois que monsieur veux le monstre dans le cul. J’ai stoppé la machine et l’ai retiré en arrière. T’es crade mec une pute c’est propre, je lui ai mis le gode dévissé dans la bouche et j’ai sorti le gode noir, veiné avec un gland plus gros que mon poing et l’ai vissé à la place du précédent. Une petite cam branchée sur un écran XXL. Il a pu suivre la manœuvre et j’ai rapproché le gland de son anus glaireux juste au point ou seul le bout du gland pénétrait.
Je vais rester un moment c’est beau la destruction du cul d’une pute. J’ai mis en route par à-coups, le regardant faire son passage sur dix centimètres et ressortir suivi d’un bout de chair qui est rentré aussitôt poussé par le gode.
Tu y prends plaisir tu viens de gicler un peu de sperme sur la table !
Bien, tes oreilles peuvent comprendre ce que je vais faire de toi. Cette nuit tu dormiras ici avec le gode dans le cul. Demain réveil très tôt je prendrais mon café et viendrais te détacher. Tu mettras tes fringues du premier jour et je t’emmènerais à la gare pour le train que tu pourras j’aurais mis dix euros dans ta poche et tu te barre je ne te connais plus. Moi je rentre mettre ma démission sur le bureau de mon chef et je repars. Il y a des annonces pour moi tous les jours et mieux payées.
Au réveil je me suis fait un café et suis descendu détacher la pute. Il a eu un peu de mal à mettre son slip et son jean mais une fois mis le tee-shirt est passé.
File dans la voiture et pas un mot ! Je l’ai amené à la gare ou j’ai eu sans problème de la place pour me garer. Une fois qu’il fut descendu j’ai fermé la bagnole et suis monté dans une autre voiture du train. Arrivé à Paris je me suis servi de mon passe pour la dernière fois et direction les bureaux. Je suis passé devant la secrétaire sans un mot et suis entré sans frapper. Le mec était au téléphone mais a raccroché sur un « je vous rappelle ».
J’ai déposé mon passe et ma carte de service avec ma lettre de démission.
Quand j’ai besoin d’une pute je la choisi. A jamais Monsieur.
J’ai opéré un demi-tour le laissant médusé.
Tout dépend de ce fichu texte mais si je trouve des fiches de ton travail ils auront peut-être une photocopie de ta carte d’identité ce serait le top. En attendant au lit, je me lève tôt et si possible plus tôt que ce matin. Tu ne te rappelle pas ton code de sécu ?
Ma mémoire n’est pas très bonne mais ce doit ressembler à
1 04 93 271 022 93 mais je ne suis pas sur.
Je vais tenter par Emilie tu es au moins allé chez le dentiste ou une fois chez le toubib
-Au moins à la médecine du travail oui.
Bon je vais essayer. Je tape tes coordonnées. Pour le moment ça indique bien ton prénom et le nom est Duval ?
-Oui, c’est moi.
Tu as tout juste tes dix-neuf ans ?
-Oui je t’ai dit vingt ans je sais, j’ai arrondi.
Bon on a un peu avancé. Je vais demander une copie de ta carte en attendant une nouvelle définitive. Il reste ta carte d’identité. Et ça ce sont les flics et la mairie avec une photo d’identité. Aller au dodo, c’est assez pour ce soir.
-Je peux me coller contre toi ce soir ? J’ai des cauchemars et la frousse, tu me rassures quand je te sens contre moi.
Moins facile pour moi de savoir tes fesses contre mon sexe mais je vais me maitriser. Collé à moi comme une bernique sur son rocher, j’avais la queue (molle) dans la raie.
Ne bouge plus sinon tu dors sur la descente de lit !!! Il n’a plus bougé.
Le réveil a sonné et de suite il s’est collé à ma queue et comme il avait chopé la technique j’ai joui rapide. Je file à la douche.
-Je fais couler le café.
En dix minutes j’étais près et dans la cuisine un bol m’attendait. Ce soir je peux avoir du retard et ne pas être à l’heure, ne prévoit rien. Le café bu j’ai démarré la voiture après son bisou et je suis parti pour la journée. J’avais ses papiers.
Comme d’habitude je me suis signalé au bureau par téléphone et j’ai commencé en surface cette fois dans les endroits fréquentés. Un fourgon s’est arrêté presque à mes pieds et je marchais quand une dizaine de gosses se sont éparpillés sortant par la porte coulissante. J’ai mémorisé le numéro et le type du véhicule. J’ai vite repéré leur manège dans le métro et laissé faire, attendant le gros poisson. De mon portable j’ai prévenu du lieu de dépose et donné le numéro du véhicule. Un banalisé est venu stationner et je suis parti dans les couloirs.
Ils étaient tellement nombreux tout autour des Champs et de la tour Eiffel et j’en ai chopé deux, une misère, je suis revenu vers Saint Denis ou était toujours le sous-marin et le fourgon et un collègue derrière les vitres arrière fumées dirigeait un micro directionnel sur le fourgon.
-Ils ne vont pas tarder à rentrer, j’ai appelé du renfort et on va les suivre mollo pour voir où ils les lâchent. J’enregistre tout. Facile ils parlent français.
L’affaire bien en main je suis allé au bureau où j’avais été appelé. Assez vite reçu par un civil et un colonel de gendarmerie en tenue qui m’ont souri. Fait assez rare pour être souligné.
-Donnez-moi les papiers de votre protégé, en voici d’authentiques. On a noté votre excellent travail et à partir de ce soir vous êtes en repos pour un mois. Les avantages ne sont pas sans inconvénients, à la fin du mois vous formerez des équipes chargées de protéger les invités et autres venus pour les JO et bien évidemment sans horaires fixes. Pour votre information le petit Hervé s’est trouvé là par hasard et nous a servi sans le savoir.
-Une dernière chose, votre travail du matin a été couronné de succès et toute la bande est interrogée. Bonnes vacances.
J’ai remercié, étonné de leur confiance mais bon je faisais bien le job et c’était un plaisir d’aller trouver Hervé. J’ai pris le premier train possible qui passait au plus près, Compiègne et là Surpris un autre partait pour Beauvais via Clermont. Un jour à marquer d’une croix rouge. J’étais rendu à la gare à quinze heures et à la maison peu après. Hervé était sur la terrasse, Rex étendu à ses pieds. Il a couru vers moi pour le bisou un peu plus appuyé. Il avait mis son slip dehors. A peine la main dessus il bandait.
Pas le moment pour ça ! Habille-toi je t’emmène à la prise de sang. Voilà tout tes papiers donnés par mon chef. Ils sont authentiques. J’ai appris du coup que j’étais surveillé comme toi puisqu’il t’a nommé. Autre nouvelle pendant que tu t’habilles. Je suis en vacances pour un mois. Après ce sera plus dur, il faut que tu passes un permis, au moins que tu aies une bécane pour aller et venir. On ira après voir pour des fringues de tous les jours.
-Si j’ai bien compris, je reste avec toi ?
Tu as bien compris si tout va bien ce soir et les suivants. Aller dépêche ! Une main sur les fesses l’a fait bouger et glousser.
Je savais où était l’hôpital pour les prises de sang sans ordonnances et gratuites, le plus dur était de se garer mais on était dans les temps et personne n’attendait. Il est passé tout de suite. J’ai donné mon adresse électronique et on est reparti vers St Maximin faire un tour dans l’hyper pour ses fringues. Habillé de la tête aux pieds je ne voulais pas de leurs slips genre pépère et c’est dans un magasin de frivolité que je l’ai fait entrer. Il est devenu tout rouge quand j’ai demandé des strings à sa taille.
-C’est pour madame ?
Non pour lui.
-Ah pardon. Nous avons quelques modèles à sa taille. Rouge ou noir ?
Un de chaque ira très bien.
Une fois dans la voiture il était encore sous le coup.
-Tu as osé demander des strings pour moi ?
Pour qui d’autre ? Ne fais pas la gueule ça t’ira très bien. On rentre. Au fait, tu es descendu dans la cave ?
-Non mais j’ai ouvert, allumé et regardé d’en haut. Vous pratiquez le SM ?
Jetant un coup d’œil sur son entre jambe en roulant. J’ai souri, ça t’intrigue ?
-Oui, vous êtes si sympa avec moi.
Mais tu ne t’es jamais mis dans ce genre de situation où tu es impuissant ?
-Ben, quelquefois quand je devais absolument sucer pour bouffer c’est un peu ça !
Je ne te laisserais jamais sans manger et boire ni dormir. On arrive ; Ne défais pas tous les paquets je veux te voir en string.
Une petite lueur dans les yeux il s’est mis nu et a enfilé le string noir. Sa queue gonflait le devant du tissu.
Tu aimes ?
-Avec vous, tout me plaît.
Garde-le sur toi et sert moi un apéritif, un petit, ce soir on mange au restaurant. Je vais regarder les résultats s’ils sont déjà sur le net. J’ai pris le portable sur les genoux et tapé les différents codes demandés inventant un mot de passe simple pour lui comme pour moi.
Bon, une bonne nouvelle et même excellente, tu n’as rien chopé et cette nuit je vais pouvoir te baiser bien à fond sans capote. Il y a une petite auberge pas loin où je pourrais circuler sans problèmes avec un tout petit coup dans le nez. Ton petit trou va morfler.
-Je n’attends que ça et plus avec ce que j’ai entrevu au sous-sol.
Tu devines que tu pourras être dans ces cas-là une salope ?
-J’en ai pleinement conscience et je l’assume. Il s’était assis sur l’accoudoir, cuisses ouvertes les couilles sortant par le côté du string.
Tout en dégustant mon petit verre je les ai fait rouler dans ma main.
Il faudra aussi que je te trouve un boulot pas trop loin qui convienne à tes compétences, non seulement pour l’avant des JO mais pour la suite. Ils vont avoir besoin de personnel du côté de Chantilly mais il te faut un permis. Tour cela demande du temps. Mais en premier je veux prendre ton petit cul l’ouvrir et jouir dedans. File au lit. Je ne veux pas attendre.
Je me suis dessapé avant d’entrer et sans un bisou ni une léchouille lui ai écarté les cuisses. Tu m’as baisé avec ton histoire de pute et plus de fric. Tu travailles pour mes chefs depuis que tu as maladroitement mais c’était volontaire tenté de piquer dans ma poche. Fini de jouer tu vas savoir ce que veut dire se faire enculer.
Il a tenté des excuses mais le coup des papiers authentiques m’avait ouvert les yeux. J’allais lui ouvrir largement le cul. Sans aucun gel j’ai mis mon gland sur son cul et l’ai pénétré malgré ses cris.
-Non ! S’il vous plaît !
Ta gueule tu m’as baisé et moi je te baise ! Simple retour de bâton. Je l’ai labouré et après avoir joui lui ai mis ma queue dans la bouche.
Suce ta merde comme une vraie pute ! Ce soir je te descends à la cave et tu vas rire. Enfin moi je vais rire, toi, pas sur. Il m’avait tellement foutu la honte avec son baratin que je l’ai retourné pour le reprendre par-dessus lui, ma queue dans son cul. Tu peux jouir tu le feras bien souvent cette nuit. Plus il résistait et plus je donnais de coup de queues. Je me connaissais et pouvait durer à lui en faire perdre conscience Au bout d’une demi-heure d’enculage il était rendu à ‘état de chiffon Et c’est tremblant sur ses jambes que l’ai changé de place. Descendu à la cave et allongé sur une table. J’ai fixé ses poignets aux coins du haut Et passé une lanière sur son ventre. Lanière qui incluait ses mollets qui les immobilisaient. J’ai mis une barre entre ses genoux on ne voyait plus que l’anus entrouvert.
Il a commencé à comprendre quand j’ai installé la machine à baiser et fixé un gode de taille à peine plus grosse que ma queue. La machine en place, le gland touchait son trou.
Je vais lancer la machine et monter voir la télé, le Belém va arriver. Je te surveille par une caméra, gicle tant que tu peux dans ta cage. Avant de monter, l’entendant gémir assez fort j’ai vérifié qu’il pouvait respirer par le nez et enfoncé le string déjà baveux dans sa bouche. Calme toi d’ici lundi tu auras le plus gros trou du cul connu. Je suis monté devant la télé. Pour le moment ça discutait et je voyais en gros plan toute sa partie sexuelle. Ses couilles libres commençaient à se couvrir de sa bave et le gode, réglé pour accélérer et ralentir par à-coups. Je vais voir où est la Belém et commente ça se passe.
Je suis revenu dix minutes après. Il avait déjà joui et j’ai stoppé la machine, la reculant pour dégager son cul. J’ai ouvert une armoire et choisi un gode noir plus épais que j’ai vissé à la place du premier. Il a vu le gode et a craché le string.
-Non pas celui-là !
Ben voyons, tu m’as bien dit que tu étais une pute ?
-Oui mais c’était ce que je devais dire pour vous accrocher.
Et moi je t’ai cru et tu seras sous peu une vraie pute. J’ai engagé dans sa mâchoire un écarteur de dentiste et replacé la machine devant son anus entrouvert. Je n’ai aucune pitié pour les menteurs et les truqueurs. J’ai mis la machine en route et ouvert l’écarteur dans sa bouche. Dans cinq minutes tu vas à nouveau jouir et pour te faire plaisir je mettrais mon gland dans ta gueule. A toi de choisir si tu me fais jouir je laisse ce gode. Sinon j’ai un gode monstre pour les vraies lopettes.
J’ai introduit mon gland qui a buté sur sa langue et il a tourné autour, gêné par la taille. J’ai frissonné mais il m’en fallait plus Et j’ai poussé par-dessus la langue. J’avais déjà bien vidé mes couilles et il n’a pas tiré le moindre liquide.
Bien je vois que monsieur veux le monstre dans le cul. J’ai stoppé la machine et l’ai retiré en arrière. T’es crade mec une pute c’est propre, je lui ai mis le gode dévissé dans la bouche et j’ai sorti le gode noir, veiné avec un gland plus gros que mon poing et l’ai vissé à la place du précédent. Une petite cam branchée sur un écran XXL. Il a pu suivre la manœuvre et j’ai rapproché le gland de son anus glaireux juste au point ou seul le bout du gland pénétrait.
Je vais rester un moment c’est beau la destruction du cul d’une pute. J’ai mis en route par à-coups, le regardant faire son passage sur dix centimètres et ressortir suivi d’un bout de chair qui est rentré aussitôt poussé par le gode.
Tu y prends plaisir tu viens de gicler un peu de sperme sur la table !
Bien, tes oreilles peuvent comprendre ce que je vais faire de toi. Cette nuit tu dormiras ici avec le gode dans le cul. Demain réveil très tôt je prendrais mon café et viendrais te détacher. Tu mettras tes fringues du premier jour et je t’emmènerais à la gare pour le train que tu pourras j’aurais mis dix euros dans ta poche et tu te barre je ne te connais plus. Moi je rentre mettre ma démission sur le bureau de mon chef et je repars. Il y a des annonces pour moi tous les jours et mieux payées.
Au réveil je me suis fait un café et suis descendu détacher la pute. Il a eu un peu de mal à mettre son slip et son jean mais une fois mis le tee-shirt est passé.
File dans la voiture et pas un mot ! Je l’ai amené à la gare ou j’ai eu sans problème de la place pour me garer. Une fois qu’il fut descendu j’ai fermé la bagnole et suis monté dans une autre voiture du train. Arrivé à Paris je me suis servi de mon passe pour la dernière fois et direction les bureaux. Je suis passé devant la secrétaire sans un mot et suis entré sans frapper. Le mec était au téléphone mais a raccroché sur un « je vous rappelle ».
J’ai déposé mon passe et ma carte de service avec ma lettre de démission.
Quand j’ai besoin d’une pute je la choisi. A jamais Monsieur.
J’ai opéré un demi-tour le laissant médusé.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Conteur
6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
On reste sur sa faim ( de sexe) à la fin de chaque chapitre.
J'ai vu ... Et du coup j'ai hate de lire la suite
Ce n'est pas la fin du tout!
Merci
J'aime pas la fin ...
Excellent