métro 6 - histoire érotique

J’ai attendu dix minutes et Rex a aboyé me disant que quelqu’un arrivait. Une fois la voiture garée j’ai remis l’alarme. Un beau mec est descendu. Dans la tenue prévue, collier clouté au cou.
Approche. Son short était troué et bon pour la poubelle Mais je lui ai d’abord mis comme à Hervé un masque de cabine et une cagoules trouée niveau des lèvres. Posant la main sur le sexe à travers le tissu il a eu un gémissement de bonheur. J’ai déchiré sans peine chaque côté, pris le ciseau prévu et, le penchant en avant et découpé l’entre cuisse. Du coup, en lambeaux, son short lui faisait une sorte de jupe que j’ai fait glisser des hanches, laissant le tissu choir à terre. Une claque sur les fesses l’a fait sursauter.
Tu as fait un plan depuis la dernière fois ?
-Oui maître mais avec capote et un test après. Négatif.
On va descendre rejoindre ton collègue soumis, mets tes mains sur mes épaules je t’emmène à la cave. Je suis descendu doucement le laissant tâtonner du pied. En bas, j’ai chopé le fléau est ai attaché ses poignets à l’autre bout obligeant Hervé à lever les mains. Pascal sur les genoux. Je l’ai fait avancer un peu. Il a senti la chaleur dégagée par le sexe d’Hervé et s’est tout de suite collée dessus cherchant par le trou de la cagoule le gland et commençant à sucer.
Hervé aux anges gémissait doucement. Par derrière je caressais ses fesses et il se cambrait, en attente d’un sexe. J’avais allumé quelques bougies chauffe plat et en ai laissé couler un peu de cire sur une fesse. Il a eu un cri et s’est enfoncé au maximum dans la gorge de Pascal qui a dû reculer un peu la tête. J’ai filé un coup de cravache à Pascal.
Ne recule pas devant une queue de mec !
Il s’est réavancé et j’ai fait couler un peu de cire sur l’autre fesse d’Hervé qui s’est crispé et avancé, se retenant pour ne pas aller trop loin. Comme il était à ma hauteur j’au mis une noisette de gel et enfoncé un plug dans le trou d’Hervé.
Il est temps que tu goutes à ton tour le sexe de ton camarade. Accroupi toi devant lui.
En se frottant il est descendu le long du corps de Pascal mais a été déçu de rencontrer du tissu.
Mais !!! Maître, il bande mais je ne peux pas sucer.
J’ai fait tourner Pascal et reculer ses fesses contre Hervé.
Ne suce pas, lèche ce cul que tu auras peut-être.
La langue rose d’Hervé est sortie, léchant la raie puis la fente et le trou du cul d’un inconnu. Pascal bandait comme un fou et bavait dans son jockstrap. Comme il n’était pas là que pour le plaisir j’ai ouvert un petit frigo et sorti deux glaçons avec lesquels j’ai massé son gland. Son gémissement s’’est modifié, sentant le froid sur sa queue raide il s’est tortillé mais ma main glissait sur le gland jusqu’à ses couilles. Hervé a bien senti le cul bouger mais suivait de la langue. Sa queue raide toute prête entre ses cuisses.
Envie de te faire lécher la rondelle Hervé ?
Un oui rapide est sorti entre les fesses et j’ai échangé les places, Hervé se relevant a fait descendre Pascal qui lui n’a pas eu d’hésitation une fois Hervé de dos. Je suis monté un un petit escabeau et placé ma queue face au trou de la cagoule d’Hervé qui a reconnu ma bite et a sucé doucement comme j’aimais. Je n’avais pas spécialement envie de jouir dans sa bouche de suite mais j’ai attendu et j’ai fait cesser Pascal. Relevés ils étaient à peu près à la même hauteur et je voulais les voir s’enculer sans se connaître. Hervé avait le cul salivé par Pascal, c’est donc lui qui a eu le plaisir de se faire emmancher. De la cravache je faisais accélérer les coups de reins de Pascal débarrassé de son jockstrap que j’ai posé sur le visage d’Hervé, les narines à hauteur du renflement qu’avait laissé le sexe. Les deux ne couinaient pas pour le même motif mais avec un bel ensemble.
Je ne voulais pas qu’il jouisse et j’ai fait dégager Pascal pour inverser les rôles. La salive ayant sécher il a crié quand la queue est entrée mais après ils ont gémis ensemble. Hervé bourrant les fesses de Pascal à grands coups de reins. J’ai encore une fois arrête avant qu’il jouisse le laissant frustré.
Bon les bâtards je vais libérer une main à chacun vous pourrez ainsi toucher sans voir ce que vous voudrez.
Les deux ont d’abord dirigé la main sous la queue, pressant les boules, les évaluant. Comme ils pouvaient parler ils s’excitaient mutuellement Hervé a remonté la main sur la poitrine de pascal, pressant chacun des tétons.
-Maître ils sont bien développés ! Mieux que les miens, et ils pointent comme des petites bites.
Normal il sait qu’il va avoir des piercings là et il met des pinces avec du poids. Toi on verra plus tard.
Pascal lui, encerclait les couilles d’Hervé des doigts et tirait dessus. Moi j’allais d’une bouche à l’autre. Leurs langues se frottant sur mon gland.
Je vais vous changer de place J’ai remonté les poignets d’Hervé au fléau et détaché Pascal. J’ai mis une laisse à son collier et l’ai entraîné sur une poutre le hissant à cheval dessus. Ses chevilles attachées j’ai passé une lanière qui le plaquait les reins contre la poutre mais laissait dépasser son sexe et dégager ses fesse. Ses poignets reliés par-dessous assez court, je suis allé chercher Hervé.
Approche tu ne verras pas sa tête mais je t’enlève la cagoule et le masque.
-Waouh ! Il a un beau cul !
Que ça ?
-Non, belles couilles et beaux tétons. Pas un poil visible. Je peux toucher ?
Fais ce que tu veux mais après ce sera ta place dans la même position avec la cagoule et le masque.
Il a caressé les couilles et la queue qui bavait un peu avant d’introduire un doigt puis deux.
-Il a pris le gode que tu m’as mis ?
Oui.
-J’ai envie de frapper ces fesses, trop belles !
Ne te gêne pas mais tu auras peut-être toi aussi ce genre de traitement.
-M’en fiche, il a de trop belles fesses. Tu peux te faire sucer pendant ce temps, j’aime mais je ne te vois pas quand je te suce.
Choisi dans ce qui est accroché au mur. Je me suis mis face à Pascal, bandant comme un fou de les voir tous deux. Hervé a pris une lanière genre ceinture et a commencé par caresser le dos avant de l’abattre d’un coup sec sur les fesses de Pascal. J’ai profité de son cri pour approcher ma queue qu’il a aspirée goulument.
-Ne mords pas notre maître ! Suce, pompe, mais laisse-moi un peu de jus.
Ne t’inquiète pas j’en ai pour deux et surement plus.
Je tenais Pascal par les cheveux pour qu’il ai la tête bien relevées. Les coups d’Hervé alternaient des fesses au dos, matant ma queue aller et venir dans la cagoule. Et Pascal sursautait à chaque fois.
-Je peux l’enculer ?
J’ai eu un sourire. Bien sur je pense qu’il n’attend que ça.
-La vache il mouille du cul ! Je rentre facile.
Fesse-le en le baisant tu le sentiras se resserrer sur ta bite.
-Ouiiii. Génial ho je ne vais pas. Ho.
Je suis passé derrière lui et le retirant du cul de Pascal il a eu une giclée sur son dos. Lèche ton jus. Je lui remettais les liens aux poignets pendant qu’il léchait. Puis une fois le dos luisant de salive je l’ai aveuglé avec le masque et la cagoule.
Ne bouge plus je détache Pascal.
Lui, je lui ai ôté la cagoule et le masque avant pour qu’on attache Hervé à deux.
-Aïe. Il tire sur mes couilles !