Minet pour homme mûr
Récit érotique écrit par Amoureuxdujus [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-05-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Minet pour homme mûr
Tuuut. . .
Veuillez maintenant enregistrer votre annonce :« Jeune homme de 19 ans, mignon, petit model, cherche mâle mûr, viril, actif et dominateur pour être sa femelle soumise ce soir».
Tapez 1 pour. . . Tuuut...
Voilà, je viens de me lancer et seul dans une cabine téléphonique déserte à cette heure de la soirée j’écoute maintenant les présentations des autres hommes connectés sur ce chat de rencontre.
Deux heures auparavant, en sortant du boulot, je me suis presque inconsciemment dirigé vers mon ciné porno favori. Marre du train-train, ce soir je veux à nouveau me sentir chienne et revivre ce plaisir de sucer à fond des inconnus, ce plaisir d’offrir ma bouche à qui la veut. Malheureusement, la soirée ne fait que commencer et la salle est pratiquement vide.
Je passe une petite demi-heure sans rien me mettre en bouche lorsqu’un homme s’installe à mes côtés. C’est un petit papy, pas vraiment le mâle sexy qui me fait craquer mais bon. Je tourne la tête, il me sourit timidement et là, alors qu’en général je vais directement à l’essentiel, je glisse ma main derrière sa nuque et l’attire vers moi pour l’embrasser. Il ne s’attendait surement pas à ça mais je ne lui laisse pas le choix. Ma langue force le passage pour lui rouler une pelle fougueuse et bien baveuse. Il se remet vite de sa surprise pour se laisser aller lui aussi. Je glisse ma main vers son entrecuisse, ouvre sa braguette et m’empare de son sexe mou tout en lui suçant la langue. Je gémis comme une chienne en chaleur, jamais je n’ai eu autant envie de la bouche d’un homme. J’aspire sa bave tout en le branlant puis, sentant son membre se déployer gentiment, je me laisse glisser pour happer son gland. Je le tète amoureusement tout en faisant tournoyer ma langue et alors que je m’apprête à plonger plus en avant pour le sucer goulûment, un petit jet liquide m’empli la bouche. J’avale par réflexe pensant à du sperme. Ce n’est pas la première fois que je tombe sur un rapide. Seulement, au deuxième jet, je dois me rendre à l’évidence. Mon papy se soulage doucement la vessie dans ma bouche. Je gémis de plus belle l’invitant à continuer son affaire mais il ne m’offre que deux petits jets de plus. Excité comme jamais, je me mets à le sucer voracement. Envie de son liquide, envie de le sentir encore se déverser en moi. Après sa pisse, je veux son sperme. Il cède rapidement et décharge là encore quatre petits jets que je m’empresse d’avaler. Un sperme très âcre et très odorant. J’en veux plus mais mon papy s’est bel et bien entièrement vidé de tous ses fluides. Je me redresse, l’embrasse une dernière fois et sors du cinéma le laissant complètement éberlué.
Dehors, je ne sais où aller. Cette mise en bouche m’a surexcité, je sens le sperme et le souvenir de ce papy que j’ai laissé m’uriner dans le gosier ne fait qu’amplifier cette envie de me comporter en vraie petite salope. Je mate tous les hommes que je croise, je rêve qu’il y en est un qui m’aborde, un qui m’embrasse et me dise qu’il adore les petites putes qui sentent le sperme. Je bande comme un fou rien qu’à cette idée et alors que je plonge ma main dans la poche pour me caresser discrètement, je tombe sur une capote offerte lors de l’achat d’une vidéo dans un sex-shop. Je n’avais pas fait très attention à la pub inscrite dessus. Un numéro de téléphone pour un chat pour hommes. Je viens de trouver la solution
Ding dong « Mur actif » veut entrer en contact avec vous. Tapez un pour écouter son annonce, deux pour ignorer. Bouffée de chaleur, je tremble un peu et puis…Je tape UN.
« Homme 56 ans très viril, vicieux, reçois ce soir bon passif pour baise hard ». Et bien, ça au moins c’est direct. Je ne sais pas trop que faire, pas l’habitude, un peu la trouille. La voie métallique répète : tapez un pour accepter … Oui bon bon… Je tape un. Silence et puis…-Allo ?
-Oui allo ?
-C’est toi la petite chienne en chaleur ?
Son ton direct et autoritaire me transperce. Je ne réponds rien, j’hésite à raccrocher et puis :-T’as perdu ta langue ?
-Non non, c’est juste que je n’ai pas l’habitude.
-Ha bon ! Ce n’est pas l’impression que j’ai eu en écoutant ton annonce. Tu n’es pas puceau quand même ? Note que cela ne me déplairait pas, au contraire, j’adore éduquer les petits mecs comme toi.
-Non non mais bon… -Ecoute, j’ai l’impression que tu ne sais pas trop ce que tu veux. Si tu allumes et c’est tout je n’ai pas de temps à perdre, surtout que les unités défilent vite sur ce numéro. Alors donne moi ton tel et je te rappelle sinon, ciao.
Bon je n’ai rien à craindre, je lui donne le numéro de la cabine et je raccroche. Dix secondes et le tel sonne. C’est déjà lui. Il paraît surpris de m’entendre. Il s’excuse, il y a tellement de mecs qui veulent juste discuter et ne rien faire derrière, bref, il se détend et devient beaucoup moins dur et agressif. Il me questionne et je décide de me la jouer timide et candide. Cette idée de laisser cet homme croire qu’il tient un novice me plaît beaucoup. Je lui raconte quelques pipes à la sauvette au cinéma mais aucune sodomie. A part un concombre que je m’enfonce le soir en me branlant.
-Hum mais c’est très bien ça. Bon mais si tu viens ce soir ce n’est pas juste pour une pipe, tu le sais ? Je veux plus moi. Surtout que ton annonce de femelle soumise m’a tout de suite donné la trique. Tu ne vas pas faire ta mijaurée au moins.
-Non non t’inquiète. Je n’ai pas d’expérience mais j’ai très envie tu sais. C’est pour ça que je préfère un homme mûr, pour l’expérience justement. Et puis j’apprends vite et j’ai toujours été un garçon très obéissant.
Bingo, là je sens que j’ai tapé juste. Je lui dis ou je me trouve, mais lui habite en banlieue. Il propose de venir me chercher en me faisant promettre au moins dix fois de ne pas lui poser un lapin.
Depuis que je suis monté dans sa voiture je ne cesse de me dire que j’ai fait le bon choix. Léon est un très bel homme, grand au moins 1m85, massif et un regard franc qui ne laisse aucune place au doute. Je le fais baver d’envie c’est clair. Il ne cesse de dire que je suis mignon et craquant. Il vient de poser sa main sur ma cuisse et me caresse doucement. Je suis un peu gêné, nous sommes en ville, on pourrait nous voir. D’autant qu’il me prend la main pour la poser sur son paquet. Je rougis mais ne dis rien.
-Hum j’adore les petites pédales toute timides comme toi. Tu sens comme tu me fais bander ?
- …oui…en plus elle a l’air d’être grosse.
-Tu vas voir, toi qui aimes les concombres, tu vas adorer. Je vais te rendre accroc à ma bite fais moi confiance.
Je n’ai aucun doute la dessus. D’ailleur nous roulons à peine sur la deux-voies qu’il se débraguette pour laisser jaillir une queue magnifique.
-Aller, vas y, montre moi comment tu te sers de ta bouche.
Je ne réfléchis pas une seconde. J’ai envie de sa tige et je l’embouche sans protester en gémissant de plaisir comme la bonne petite salope que je me suis promis d’être. Je l’avale d’un seul coup jusqu’en fond de gorge. Je veux lui montrer tout de suite mon entière soumission. Je veux qu’il sache qu’il pourra tout me demander ce soir, tout me faire. J’en profite pour glisser une main sous ses couilles, je les masse, les soupèse, les imagine déjà déversant leur jus dans ma bouche.
-Hum oui…tu te débrouilles très bien pour un débutant. J’étais sûr que sous tes airs de pucelle il y avait une vraie petite cochonne. Vas-y t’arrête pas surtout, bouffe moi bien petite chienne.
Je ne me fais pas prier et j’enclenche une pipe langoureuse, baveuse et surtout bien profonde. Je le suce ainsi 10 bonnes minutes jusqu’à ce qu’il me demande de me redresser. Nous arrivons.
A peine entré, il s’installe sur le canapé et m’ordonne de me foutre à poil. Une foi nu, il me fait tourner sur moi-même pour « inspecter la marchandise » comme il dit puis me demande de faire le tour du salon.
-Tu veux être ma femelle alors vas-y, tord bien du cul comme savent le faire les putes, laaaa…très bien. Il y a un petit tablier en dentelles dans la cuisine, passe-le et puis sers moi un verre de vin.
Je m’exécute, cette situation de femme soumise m’excite. Il a sorti sa queue et se branle doucement en me regardant faire. Je lui tends son verre puis attend immobile devant lui. Il m’examine des pieds à la tête avant de me dire de me retourner.
-Pose les mains sur la table basse et creuse les reins que je puisse bien admirer ton joli petit cul.
Je me penche en avant et le laisse me tripoter, il m’écarte les fesses puis glisse un premier doigt dans mon trou avant d’en introduire un second. Je laisse échapper un soupire qui l’invite à s’enfoncer plus profondément.
-Et bien ma salope, je ne connais pas la taille des concombres que tu t’enfiles mais t’es déjà sacrement ouverte pour une pucelle. Et puis t’as l’air d’aimer ça te faire fouiller le cul hein ?
Je ne réponds rien, je me contente de gémir et d’onduler du cul. Une première claque sur la fesse me fait couiner « vas y ma cochonne encules toi bien». Ce ne sont plus deux mais quatre doigts qui me transpercent maintenant. Il me fait mal et pourtant j’en redemande. Puis soudainement il retire sa main, se redresse, m’attrape par les cheveux et me présente sa queue à sucer. Il s’enfonce de lui-même dans ma bouche tout en me maintenant la tête et entame un va-et-vient que je ne peux que subir tant la pression de ses deux mains est forte. Il me baise ainsi la bouche de longues minutes, ne se retirant que quelques secondes pour me permettre de reprendre mon souffle ou pour me donner ses couilles à bouffer.
-Aller, à quatre pattes maintenant, tu vas voir ce que c’est de se faire saillir par un vrai mâle.
Je ne proteste bien sûr pas et m’empresse de lui obéir. Je me positionne le cul le plus haut possible, totalement offert. Il s’enfonce en moi d’un seul coup, sans complaisance. Je ne suis qu’un trou qu’il utilise pour son seul et unique plaisir. Il commence par m’enculer lentement mais profondément et puissamment. De temps à autre, ses mains claquent mon cul pour mon plus grand bonheur. Je laisse échapper un « oui…encore…plus fort » qui décuple ses forces. Il accélère encore la cadence puis passe une main sous mon ventre et nous redresse tous les deux sa queue toujours figée au plus profond de mon cul. Il me positionne face au mur et reprend sa besogne comme il l’avait débuté, lentement mais puissamment. Je décolle à chaque coup de rein. Il m’attrape par les cheveux et me crache des obscénités à l’oreille auxquelles je ne réponds pas me contentant de gémir de plaisir. J’aime cette façon que certains hommes ont de me prendre, cette façon qu’ils ont de me montrer que je leur appartiens. Je l’entends souffler de plus en plus fort, il accélère une dernière fois puis se retire et me fait mettre à genoux. J’ai à peine le temps de l’engloutir qu’un flot de sperme m’inonde. Je le laisse ainsi se soulager dans ma bouche sans pouvoir avaler tant sa queue prend de la place. Puis il me laisse me retirer doucement pour déglutir. Je me régale de son breuvage et il n’a pas besoin de me forcer à continuer de le sucer tendrement. J’aime avoir une queue gluante de sperme dans la bouche et je sais que les hommes aiment se faire encore sucer après avoir joui.
-Toi tu t’es bien foutu de ma gueule. Tu ne vas pas me faire croire que c’est la première fois que tu te fais baisser. Mais bon ce n’est pas grave, il faudra juste que je te punisse pour ce mensonge. On verra ça demain, là je suis mort et j’ai envi de mon lit.
Je suis sous la couette la tête sur le ventre de cet homme. J’ai sa queue dans la bouche comme il me l’a demandé. C’est comme ca qu’il aime s’endormir. Alors je le suçote tendrement en attendant le premier ronflement.
Je suis réveillé par les premiers rayons du soleil qui s’incrustent entre les volets. Je me lève silencieusement, trouve du café et file aux toilettes puis sous la douche le temps de laisser la cafetière faire son travail. Comme j’en ai l’habitude tous les matins, Je me lave bien en profondeur. Pas de poire à lavement aussi je dévisse le pommeau et m’enfonce directement le flexible de douche. Puis je retourne dans la chambre le café à la main. Léon dort encore. Je dépose sa tasse sur la table de nuit et me glisse sous la couette. Comme je l’espérais, ma main rencontre une queue bien raide, la fameuse gaule du matin. Je la prends en bouche et entame une tendre fellation. Je l’entends gémir, il commence à bouger puis soulève doucement la couette.
-Hum…ça c’est ce que j’appelle un réveil. Rien à dire tu vas faire une très bonne petite femelle.
-Je me suis lavé les fesses aussi.
-On verra ça plus tard, pour l’instant suce moi. J’ai mon café, toi tu dois boire ton lait.
Pas besoin de sortir de Saint-Cyr pour comprendre l’allusion. Je m’applique donc à bien le sucer, je prends mon temps comme il le réclame avant d’être enfin récompensé de mes efforts. Léon se vide dans ma bouche et je me retrouve à nouveau, à ma grande surprise, contraint d’avaler une très grande quantité de sperme. Pas de doute, j’ai affaire à un gros juteur et cela n’est certainement pas pour me déplaire, bien au contraire.
-Bon viens avec moi maintenant, comme promis hier je dois te punir. Je te donnerais bien la fessée mais j’ai l’impression que ça te ferait trop plaisir. Aller, mets-toi à genoux.
Il m’a entrainé sous la douche et j’ai tout de suite compris ce qui allait se passer. Je me laisse faire docilement. Il ne sait pas que ça ne sera pas la première fois pour moi. Je baisse les yeux et le laisse me pisser sur le sommet du crâne. Je suis obligé de poser discrètement mes mains sur ma queue. Je ne veux pas qu’il voie que je bande. J’hésite à ouvrir la bouche pour lui proposer de le boire mais je préfère garder ma pose de soumis. Dans ce genre de situation, l’homme aime garder la main, se dire qu’il m’humilie et me souille. Et je fais bien. Il stop un instant, s’empare du verre à brosses à dents et le rempli d’une urine jaune foncée. L’odeur est déjà forte et je sais que la couleur promet un gout de pisse très fort.
-Bois et ne gaspille rien. Ca te lavera la bouche de tout le foutre que tu as avalé.
Je lève les yeux vers lui en prenant une mine de chien battu puis je porte le gobelet à ma bouche. Je bois d’un trait sans sourciller et ne peux m’empêcher de sourire et de me passer la langue sur les lèvres une fois tout englouti. Je me comporte comme une vraie salope et j’adore ça. Je m’approche de sa queue pour lécher les dernières gouttes mais Léon me repousse.
-Non de dieu, mais tu es une vraie chienne toi, ce n’est pas possible, même la dernière des putains ne se comporte pas comme toi. Aller file t’habiller sans te laver, j’ai à faire aujourd’hui. Je te dépose au bus, comme ça tout le monde pourra sentir quelle truie tu es. Je te retrouve à 19 heures au même endroit qu’hier. Ce soir, je commence vraiment ton éducation de femelle.
Veuillez maintenant enregistrer votre annonce :« Jeune homme de 19 ans, mignon, petit model, cherche mâle mûr, viril, actif et dominateur pour être sa femelle soumise ce soir».
Tapez 1 pour. . . Tuuut...
Voilà, je viens de me lancer et seul dans une cabine téléphonique déserte à cette heure de la soirée j’écoute maintenant les présentations des autres hommes connectés sur ce chat de rencontre.
Deux heures auparavant, en sortant du boulot, je me suis presque inconsciemment dirigé vers mon ciné porno favori. Marre du train-train, ce soir je veux à nouveau me sentir chienne et revivre ce plaisir de sucer à fond des inconnus, ce plaisir d’offrir ma bouche à qui la veut. Malheureusement, la soirée ne fait que commencer et la salle est pratiquement vide.
Je passe une petite demi-heure sans rien me mettre en bouche lorsqu’un homme s’installe à mes côtés. C’est un petit papy, pas vraiment le mâle sexy qui me fait craquer mais bon. Je tourne la tête, il me sourit timidement et là, alors qu’en général je vais directement à l’essentiel, je glisse ma main derrière sa nuque et l’attire vers moi pour l’embrasser. Il ne s’attendait surement pas à ça mais je ne lui laisse pas le choix. Ma langue force le passage pour lui rouler une pelle fougueuse et bien baveuse. Il se remet vite de sa surprise pour se laisser aller lui aussi. Je glisse ma main vers son entrecuisse, ouvre sa braguette et m’empare de son sexe mou tout en lui suçant la langue. Je gémis comme une chienne en chaleur, jamais je n’ai eu autant envie de la bouche d’un homme. J’aspire sa bave tout en le branlant puis, sentant son membre se déployer gentiment, je me laisse glisser pour happer son gland. Je le tète amoureusement tout en faisant tournoyer ma langue et alors que je m’apprête à plonger plus en avant pour le sucer goulûment, un petit jet liquide m’empli la bouche. J’avale par réflexe pensant à du sperme. Ce n’est pas la première fois que je tombe sur un rapide. Seulement, au deuxième jet, je dois me rendre à l’évidence. Mon papy se soulage doucement la vessie dans ma bouche. Je gémis de plus belle l’invitant à continuer son affaire mais il ne m’offre que deux petits jets de plus. Excité comme jamais, je me mets à le sucer voracement. Envie de son liquide, envie de le sentir encore se déverser en moi. Après sa pisse, je veux son sperme. Il cède rapidement et décharge là encore quatre petits jets que je m’empresse d’avaler. Un sperme très âcre et très odorant. J’en veux plus mais mon papy s’est bel et bien entièrement vidé de tous ses fluides. Je me redresse, l’embrasse une dernière fois et sors du cinéma le laissant complètement éberlué.
Dehors, je ne sais où aller. Cette mise en bouche m’a surexcité, je sens le sperme et le souvenir de ce papy que j’ai laissé m’uriner dans le gosier ne fait qu’amplifier cette envie de me comporter en vraie petite salope. Je mate tous les hommes que je croise, je rêve qu’il y en est un qui m’aborde, un qui m’embrasse et me dise qu’il adore les petites putes qui sentent le sperme. Je bande comme un fou rien qu’à cette idée et alors que je plonge ma main dans la poche pour me caresser discrètement, je tombe sur une capote offerte lors de l’achat d’une vidéo dans un sex-shop. Je n’avais pas fait très attention à la pub inscrite dessus. Un numéro de téléphone pour un chat pour hommes. Je viens de trouver la solution
Ding dong « Mur actif » veut entrer en contact avec vous. Tapez un pour écouter son annonce, deux pour ignorer. Bouffée de chaleur, je tremble un peu et puis…Je tape UN.
« Homme 56 ans très viril, vicieux, reçois ce soir bon passif pour baise hard ». Et bien, ça au moins c’est direct. Je ne sais pas trop que faire, pas l’habitude, un peu la trouille. La voie métallique répète : tapez un pour accepter … Oui bon bon… Je tape un. Silence et puis…-Allo ?
-Oui allo ?
-C’est toi la petite chienne en chaleur ?
Son ton direct et autoritaire me transperce. Je ne réponds rien, j’hésite à raccrocher et puis :-T’as perdu ta langue ?
-Non non, c’est juste que je n’ai pas l’habitude.
-Ha bon ! Ce n’est pas l’impression que j’ai eu en écoutant ton annonce. Tu n’es pas puceau quand même ? Note que cela ne me déplairait pas, au contraire, j’adore éduquer les petits mecs comme toi.
-Non non mais bon… -Ecoute, j’ai l’impression que tu ne sais pas trop ce que tu veux. Si tu allumes et c’est tout je n’ai pas de temps à perdre, surtout que les unités défilent vite sur ce numéro. Alors donne moi ton tel et je te rappelle sinon, ciao.
Bon je n’ai rien à craindre, je lui donne le numéro de la cabine et je raccroche. Dix secondes et le tel sonne. C’est déjà lui. Il paraît surpris de m’entendre. Il s’excuse, il y a tellement de mecs qui veulent juste discuter et ne rien faire derrière, bref, il se détend et devient beaucoup moins dur et agressif. Il me questionne et je décide de me la jouer timide et candide. Cette idée de laisser cet homme croire qu’il tient un novice me plaît beaucoup. Je lui raconte quelques pipes à la sauvette au cinéma mais aucune sodomie. A part un concombre que je m’enfonce le soir en me branlant.
-Hum mais c’est très bien ça. Bon mais si tu viens ce soir ce n’est pas juste pour une pipe, tu le sais ? Je veux plus moi. Surtout que ton annonce de femelle soumise m’a tout de suite donné la trique. Tu ne vas pas faire ta mijaurée au moins.
-Non non t’inquiète. Je n’ai pas d’expérience mais j’ai très envie tu sais. C’est pour ça que je préfère un homme mûr, pour l’expérience justement. Et puis j’apprends vite et j’ai toujours été un garçon très obéissant.
Bingo, là je sens que j’ai tapé juste. Je lui dis ou je me trouve, mais lui habite en banlieue. Il propose de venir me chercher en me faisant promettre au moins dix fois de ne pas lui poser un lapin.
Depuis que je suis monté dans sa voiture je ne cesse de me dire que j’ai fait le bon choix. Léon est un très bel homme, grand au moins 1m85, massif et un regard franc qui ne laisse aucune place au doute. Je le fais baver d’envie c’est clair. Il ne cesse de dire que je suis mignon et craquant. Il vient de poser sa main sur ma cuisse et me caresse doucement. Je suis un peu gêné, nous sommes en ville, on pourrait nous voir. D’autant qu’il me prend la main pour la poser sur son paquet. Je rougis mais ne dis rien.
-Hum j’adore les petites pédales toute timides comme toi. Tu sens comme tu me fais bander ?
- …oui…en plus elle a l’air d’être grosse.
-Tu vas voir, toi qui aimes les concombres, tu vas adorer. Je vais te rendre accroc à ma bite fais moi confiance.
Je n’ai aucun doute la dessus. D’ailleur nous roulons à peine sur la deux-voies qu’il se débraguette pour laisser jaillir une queue magnifique.
-Aller, vas y, montre moi comment tu te sers de ta bouche.
Je ne réfléchis pas une seconde. J’ai envie de sa tige et je l’embouche sans protester en gémissant de plaisir comme la bonne petite salope que je me suis promis d’être. Je l’avale d’un seul coup jusqu’en fond de gorge. Je veux lui montrer tout de suite mon entière soumission. Je veux qu’il sache qu’il pourra tout me demander ce soir, tout me faire. J’en profite pour glisser une main sous ses couilles, je les masse, les soupèse, les imagine déjà déversant leur jus dans ma bouche.
-Hum oui…tu te débrouilles très bien pour un débutant. J’étais sûr que sous tes airs de pucelle il y avait une vraie petite cochonne. Vas-y t’arrête pas surtout, bouffe moi bien petite chienne.
Je ne me fais pas prier et j’enclenche une pipe langoureuse, baveuse et surtout bien profonde. Je le suce ainsi 10 bonnes minutes jusqu’à ce qu’il me demande de me redresser. Nous arrivons.
A peine entré, il s’installe sur le canapé et m’ordonne de me foutre à poil. Une foi nu, il me fait tourner sur moi-même pour « inspecter la marchandise » comme il dit puis me demande de faire le tour du salon.
-Tu veux être ma femelle alors vas-y, tord bien du cul comme savent le faire les putes, laaaa…très bien. Il y a un petit tablier en dentelles dans la cuisine, passe-le et puis sers moi un verre de vin.
Je m’exécute, cette situation de femme soumise m’excite. Il a sorti sa queue et se branle doucement en me regardant faire. Je lui tends son verre puis attend immobile devant lui. Il m’examine des pieds à la tête avant de me dire de me retourner.
-Pose les mains sur la table basse et creuse les reins que je puisse bien admirer ton joli petit cul.
Je me penche en avant et le laisse me tripoter, il m’écarte les fesses puis glisse un premier doigt dans mon trou avant d’en introduire un second. Je laisse échapper un soupire qui l’invite à s’enfoncer plus profondément.
-Et bien ma salope, je ne connais pas la taille des concombres que tu t’enfiles mais t’es déjà sacrement ouverte pour une pucelle. Et puis t’as l’air d’aimer ça te faire fouiller le cul hein ?
Je ne réponds rien, je me contente de gémir et d’onduler du cul. Une première claque sur la fesse me fait couiner « vas y ma cochonne encules toi bien». Ce ne sont plus deux mais quatre doigts qui me transpercent maintenant. Il me fait mal et pourtant j’en redemande. Puis soudainement il retire sa main, se redresse, m’attrape par les cheveux et me présente sa queue à sucer. Il s’enfonce de lui-même dans ma bouche tout en me maintenant la tête et entame un va-et-vient que je ne peux que subir tant la pression de ses deux mains est forte. Il me baise ainsi la bouche de longues minutes, ne se retirant que quelques secondes pour me permettre de reprendre mon souffle ou pour me donner ses couilles à bouffer.
-Aller, à quatre pattes maintenant, tu vas voir ce que c’est de se faire saillir par un vrai mâle.
Je ne proteste bien sûr pas et m’empresse de lui obéir. Je me positionne le cul le plus haut possible, totalement offert. Il s’enfonce en moi d’un seul coup, sans complaisance. Je ne suis qu’un trou qu’il utilise pour son seul et unique plaisir. Il commence par m’enculer lentement mais profondément et puissamment. De temps à autre, ses mains claquent mon cul pour mon plus grand bonheur. Je laisse échapper un « oui…encore…plus fort » qui décuple ses forces. Il accélère encore la cadence puis passe une main sous mon ventre et nous redresse tous les deux sa queue toujours figée au plus profond de mon cul. Il me positionne face au mur et reprend sa besogne comme il l’avait débuté, lentement mais puissamment. Je décolle à chaque coup de rein. Il m’attrape par les cheveux et me crache des obscénités à l’oreille auxquelles je ne réponds pas me contentant de gémir de plaisir. J’aime cette façon que certains hommes ont de me prendre, cette façon qu’ils ont de me montrer que je leur appartiens. Je l’entends souffler de plus en plus fort, il accélère une dernière fois puis se retire et me fait mettre à genoux. J’ai à peine le temps de l’engloutir qu’un flot de sperme m’inonde. Je le laisse ainsi se soulager dans ma bouche sans pouvoir avaler tant sa queue prend de la place. Puis il me laisse me retirer doucement pour déglutir. Je me régale de son breuvage et il n’a pas besoin de me forcer à continuer de le sucer tendrement. J’aime avoir une queue gluante de sperme dans la bouche et je sais que les hommes aiment se faire encore sucer après avoir joui.
-Toi tu t’es bien foutu de ma gueule. Tu ne vas pas me faire croire que c’est la première fois que tu te fais baisser. Mais bon ce n’est pas grave, il faudra juste que je te punisse pour ce mensonge. On verra ça demain, là je suis mort et j’ai envi de mon lit.
Je suis sous la couette la tête sur le ventre de cet homme. J’ai sa queue dans la bouche comme il me l’a demandé. C’est comme ca qu’il aime s’endormir. Alors je le suçote tendrement en attendant le premier ronflement.
Je suis réveillé par les premiers rayons du soleil qui s’incrustent entre les volets. Je me lève silencieusement, trouve du café et file aux toilettes puis sous la douche le temps de laisser la cafetière faire son travail. Comme j’en ai l’habitude tous les matins, Je me lave bien en profondeur. Pas de poire à lavement aussi je dévisse le pommeau et m’enfonce directement le flexible de douche. Puis je retourne dans la chambre le café à la main. Léon dort encore. Je dépose sa tasse sur la table de nuit et me glisse sous la couette. Comme je l’espérais, ma main rencontre une queue bien raide, la fameuse gaule du matin. Je la prends en bouche et entame une tendre fellation. Je l’entends gémir, il commence à bouger puis soulève doucement la couette.
-Hum…ça c’est ce que j’appelle un réveil. Rien à dire tu vas faire une très bonne petite femelle.
-Je me suis lavé les fesses aussi.
-On verra ça plus tard, pour l’instant suce moi. J’ai mon café, toi tu dois boire ton lait.
Pas besoin de sortir de Saint-Cyr pour comprendre l’allusion. Je m’applique donc à bien le sucer, je prends mon temps comme il le réclame avant d’être enfin récompensé de mes efforts. Léon se vide dans ma bouche et je me retrouve à nouveau, à ma grande surprise, contraint d’avaler une très grande quantité de sperme. Pas de doute, j’ai affaire à un gros juteur et cela n’est certainement pas pour me déplaire, bien au contraire.
-Bon viens avec moi maintenant, comme promis hier je dois te punir. Je te donnerais bien la fessée mais j’ai l’impression que ça te ferait trop plaisir. Aller, mets-toi à genoux.
Il m’a entrainé sous la douche et j’ai tout de suite compris ce qui allait se passer. Je me laisse faire docilement. Il ne sait pas que ça ne sera pas la première fois pour moi. Je baisse les yeux et le laisse me pisser sur le sommet du crâne. Je suis obligé de poser discrètement mes mains sur ma queue. Je ne veux pas qu’il voie que je bande. J’hésite à ouvrir la bouche pour lui proposer de le boire mais je préfère garder ma pose de soumis. Dans ce genre de situation, l’homme aime garder la main, se dire qu’il m’humilie et me souille. Et je fais bien. Il stop un instant, s’empare du verre à brosses à dents et le rempli d’une urine jaune foncée. L’odeur est déjà forte et je sais que la couleur promet un gout de pisse très fort.
-Bois et ne gaspille rien. Ca te lavera la bouche de tout le foutre que tu as avalé.
Je lève les yeux vers lui en prenant une mine de chien battu puis je porte le gobelet à ma bouche. Je bois d’un trait sans sourciller et ne peux m’empêcher de sourire et de me passer la langue sur les lèvres une fois tout englouti. Je me comporte comme une vraie salope et j’adore ça. Je m’approche de sa queue pour lécher les dernières gouttes mais Léon me repousse.
-Non de dieu, mais tu es une vraie chienne toi, ce n’est pas possible, même la dernière des putains ne se comporte pas comme toi. Aller file t’habiller sans te laver, j’ai à faire aujourd’hui. Je te dépose au bus, comme ça tout le monde pourra sentir quelle truie tu es. Je te retrouve à 19 heures au même endroit qu’hier. Ce soir, je commence vraiment ton éducation de femelle.
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