Mini histoire d'un repas...
Récit érotique écrit par JohnJohn [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mini histoire d'un repas...
Mini-histoire d'un soir d'été 2006
Bonsoir lecteur, une mini-histoire est une histoire coquine qui se situe entre certains récits pour ponctuer l'évolution et l'avancée de John, notre jeune adolescent au chibre de 17/6,5 et aux grosses couillasses. Les mini-histoires ont donc moins de détails car elles sont plus rapides, mais elles en comportent tout de même pour maintenir la tension des péripéties ainsi que les tensions de nos sexes.
C'était la fin de l'été en août 2006, bientôt la rentrée en terminale... Mes parents invitent à leur tour Sylvain pour un dîner à la maison, mais juste le dîner.
J'ai hâte qu'il arrive, c'était trop fun l'autre soir chez lui. Depuis, je me branle tellement bien et je repense à ce « cours particulier », j'adore. De plus, j'ai testé différents endroits pour me branler et me vider les boules, j'aimerais en parler avec lui mais ça va être difficile.
C'était un simple repas au début. Il y a, dans l'ordre des aiguilles d'une montre autour de la table ; Papa, Maman, Sylvain et moi.
Le dîner se passe, on parle vraiment de tout et de rien, on rigole aussi. Ce que j'adore, c'est ce petit plaisir coupable : il y a quelques jours, avec Sylvain on s'est branlé la queue sévère, claqué les boules, baladé à poil en se branlant fièrement dans son salon et fini par tartiner 2 grosses doses de sperme sur sa table. Et mes parents, eux, étaient là et ne se sont doutaient de rien... et c'est encore le cas !
De temps en temps on se regarde avec Sylvain, on ne se dit rien mais on repense tout deux à ce cours de branlette.
Mes parents se lèvent pour débarrasser, ils ont un convive... Ils mettent du temps car ils avaient dressé une belle table et en cuisine ils ont tardé car ma mère, pâtissière dans l'âme, voulait absolument présenter un beau dessert.
Sylvain me sourit... Puis me dit : Alors ? Mes conseils ?...(il mime discrètement avec sa main droite un geste de branlette)... Alors ?
Moi, chuchotant un ton plus bas pour qu'il fasse de même, j'ai une boule au ventre de parler de ça avec les parents pas loin : Euh, de dingue, j'adore ! Je fais plus du tout de longue branlette, je prends bien le temps, c'est fou comme tu avais raison, c'est juste le top du top !
Sylvain : Ah j'adore, putin je suis... Fier ? Ahah... Et les endroits ?
Je rougis, je souris et... je désigne la table.
Sylvain : Sérieux, sur la table là ? Où on bouffe ? Ahah ça me rappelle quelque chose hein ! (il me fait un clin d’œil). Et... où sur la table ?
Je rougis encore plus fort … : Euh... (je me tourne vers la place de mon père), là où il mange...
Il se retient de rire, il est trop fan. Quel branleur ce Sylvain, et quel chaud des couilles.... il me dit : vas y raconte d'autres trucs !
Moi : En pleine nuit je me suis tapé une queue à poil au milieu du couloir et j'ai tout gicler par terre, j'ai vite essuyé pour ne pas me faire gauler, mais je ne regrette pas, c'était très stimulant...
Sylvain a voulu me répondre mais mes parents commençaient à faire des aller retour pour dresser le dessert.
On est toujours installé et on déguste chaque petits desserts. Tout d'un coup, je sens qu'il me touche le genou... je regarde et je découvre son téléphone sur Whatsapp.
Je ne comprends pas trop puis tout d'un coup je me dis : Il doit vouloir me faire comprendre que je dois noter son numéro car il n'a pas pu me répondre et là on ne peut plus parler ?
Je note son numéro et lui envoie : C'est John !
Il m'écrit : Bordel c'était bien plus intéressant tes histoires que de bouffer.
J'écris à mon tour : je sais, je sais...
Sylvain tousse un peu : Humm.. Euh je dois m'absenter, désolé... J'ai un traitement en ce moment et... c'est pas très délicat mais je dois passer aux toilettes, je reviens.
Mes parents lui disent qu'il n'y a aucun souci, qu'ils comprenaient. Quand à moi, j'ai l'impression qu'il magouille quelque chose...
Bingo ! J'ai une notification Whatsapp. Sylvain : J'ai un défis. T'es pas prêt.
Je commence à stresser, qu'est-ce qu'il me raconte ! Un défis ? Je lui écris donc pour essayer de comprendre.
Je reçois seulement de sa part un seul message quelque minutes plus tard : « .. »Il est sérieux lui ? Trois petits points ? Bon...
Puis, je reçois un second message : Comme je t'ai dit, tu n'es pas prêt.
Je décide de ne pas répondre, il va tout de même m'expliquer bon sang.
Une minute s'écoule, puis deux, trois,... Quelques instant après il arrive.
Sylvain : Vraiment désolé, je me sentais nauséeux, c'est un traitement gastrique assez fort... (il est un peu gêné et clique sur son tel, puis le met sous la table).
Mon téléphone vibre dans ma main, sous la table. Je le regarde, j'ai une notification de sa part avec un média.
J'HA-LLU-CINE, une photo s'ouvre.... C'est la porte de nos toilettes contre laquelle dégouline une grosse dose de sperme. Je suis un peu gêné tellement je ne m'y attendais pas. De temps en temps je le regarde, alors que mes parents ne se doutent de rien, il venait de vider sa grosse paire de couilles à quelques mètres de nous...
Je reçois un message de sa part : et toi ? Si t'as les couilles, vas faire pareil...
J'ose à peine répondre. Au fond, la situation est dingue, ça doit grave chauffer les boules. Je prends mon tel et je dis : c'est tentant... la vache ils se doutent de rien, tu es un ouf.
Sylvain écrit : c'est de ça que je te parlais, juter dans différents endroits, avoir des risques et des dangers, ça chauffe vraiment...
J'ai un second message de sa part : le cours de branle continue mon petit ^^, alors, t'as les couilles ?
Sans même répondre, je souris devant mon assiette, je finis ma bouchée, puis je me lève et je dis : je reviens dans pas longtemps, continuez.
J'arrive aux toilettes et je m'enferme. Je regarde la porte.
Woh... il y a quelques minutes il a tartiné notre porte de foutre. Mais ce mec est dingue. Dingue... mais en même temps c'est génial.
Je baisse mon pantalon et mon boxer, je commence à me branler sévère en me tenant par les couilles. Mon téléphone vibre ? Quoi ? Il me dit quoi encore ?
Je lis le message : Fais comme moi, la main gauche maintient la queue bien droite, et la main droite branle à fond... et encore mieux, crache toi régulièrement sur le gland et fait toi une bonne branlette de gland, ça fait bien venir ça.
J'arrive juste à lui envoyer un pouce en l'air et j'ai en retour une aubergine accompagnée d'un : Astiques petit !
Bordel je me branle le gland, ma queue est brûlante.... dure... tendue... gonflée... ma salive glisse bien, j'ai le gland qui devient bien imposant... je crache encore dessus. C'est super bon une branlette qui se concentre que sur le gland ! En plus, je sais que juste envie il a fait de même, il a bien joui... dire que mes parents sont juste là, ils ne se doutent absolument de cette complicité... sous l'assiette de mon père il y a eu quelques jours auparavant une bonne décharge de mes couilles et … et... Ouhaaa... je vais gicler !
Je m'approche de la porte et quelques jets épais et blancs sortent de mon gros gland, ça coule mais vu que c'est épais ça dégouline plus lentement.
Je reviens l'air de rien à table et il me regarde sans trop comprendre car il n'a rien reçu.
Le dessert est presque terminé et il reçoit enfin un message de moi : T'as cru quoi ? Défis relevé...
Le message était accompagné d'une photo de ma grosse dose de sperme contre la porte, juste là où il avait juté.
Sylvain écrit : toi, toi... toi t'es vraiment cool aussi !
Le repas se termine enfin, la discussion continue puis, la soirée prend fin, il rentre chez lui.
Mini-histoire presque finie...
Le lendemain au soir, dans mon lit et devant une série je reçois un message de sa part : Yo John, un petit message mais... j'espère ne pas être déplacé et pas te gêner. J'ai croisé ton père aux urinoirs. Je comprends pourquoi tu as une bite avec une largeur aussi imposante... Vraiment. Et, il avait le caleçon un peu trop descendu quand il pissait. Il a une tâche de naissance sur la base de sa queue et qui redescend sur sa couille droite...
Je lis ce message, ça me fait très étrange et à la fois je trouve cette situation hot d'avoir des détails ainsi croustillants, je lui écris juste : la vache, si grosse ?
Je reçois de sa part : Ah oui oui, crois moi...
Ma main glisse sous mes draps pour retrouver ma bite et je vous laisse deviner la suite de ma soirée.
Bonsoir lecteur, une mini-histoire est une histoire coquine qui se situe entre certains récits pour ponctuer l'évolution et l'avancée de John, notre jeune adolescent au chibre de 17/6,5 et aux grosses couillasses. Les mini-histoires ont donc moins de détails car elles sont plus rapides, mais elles en comportent tout de même pour maintenir la tension des péripéties ainsi que les tensions de nos sexes.
C'était la fin de l'été en août 2006, bientôt la rentrée en terminale... Mes parents invitent à leur tour Sylvain pour un dîner à la maison, mais juste le dîner.
J'ai hâte qu'il arrive, c'était trop fun l'autre soir chez lui. Depuis, je me branle tellement bien et je repense à ce « cours particulier », j'adore. De plus, j'ai testé différents endroits pour me branler et me vider les boules, j'aimerais en parler avec lui mais ça va être difficile.
C'était un simple repas au début. Il y a, dans l'ordre des aiguilles d'une montre autour de la table ; Papa, Maman, Sylvain et moi.
Le dîner se passe, on parle vraiment de tout et de rien, on rigole aussi. Ce que j'adore, c'est ce petit plaisir coupable : il y a quelques jours, avec Sylvain on s'est branlé la queue sévère, claqué les boules, baladé à poil en se branlant fièrement dans son salon et fini par tartiner 2 grosses doses de sperme sur sa table. Et mes parents, eux, étaient là et ne se sont doutaient de rien... et c'est encore le cas !
De temps en temps on se regarde avec Sylvain, on ne se dit rien mais on repense tout deux à ce cours de branlette.
Mes parents se lèvent pour débarrasser, ils ont un convive... Ils mettent du temps car ils avaient dressé une belle table et en cuisine ils ont tardé car ma mère, pâtissière dans l'âme, voulait absolument présenter un beau dessert.
Sylvain me sourit... Puis me dit : Alors ? Mes conseils ?...(il mime discrètement avec sa main droite un geste de branlette)... Alors ?
Moi, chuchotant un ton plus bas pour qu'il fasse de même, j'ai une boule au ventre de parler de ça avec les parents pas loin : Euh, de dingue, j'adore ! Je fais plus du tout de longue branlette, je prends bien le temps, c'est fou comme tu avais raison, c'est juste le top du top !
Sylvain : Ah j'adore, putin je suis... Fier ? Ahah... Et les endroits ?
Je rougis, je souris et... je désigne la table.
Sylvain : Sérieux, sur la table là ? Où on bouffe ? Ahah ça me rappelle quelque chose hein ! (il me fait un clin d’œil). Et... où sur la table ?
Je rougis encore plus fort … : Euh... (je me tourne vers la place de mon père), là où il mange...
Il se retient de rire, il est trop fan. Quel branleur ce Sylvain, et quel chaud des couilles.... il me dit : vas y raconte d'autres trucs !
Moi : En pleine nuit je me suis tapé une queue à poil au milieu du couloir et j'ai tout gicler par terre, j'ai vite essuyé pour ne pas me faire gauler, mais je ne regrette pas, c'était très stimulant...
Sylvain a voulu me répondre mais mes parents commençaient à faire des aller retour pour dresser le dessert.
On est toujours installé et on déguste chaque petits desserts. Tout d'un coup, je sens qu'il me touche le genou... je regarde et je découvre son téléphone sur Whatsapp.
Je ne comprends pas trop puis tout d'un coup je me dis : Il doit vouloir me faire comprendre que je dois noter son numéro car il n'a pas pu me répondre et là on ne peut plus parler ?
Je note son numéro et lui envoie : C'est John !
Il m'écrit : Bordel c'était bien plus intéressant tes histoires que de bouffer.
J'écris à mon tour : je sais, je sais...
Sylvain tousse un peu : Humm.. Euh je dois m'absenter, désolé... J'ai un traitement en ce moment et... c'est pas très délicat mais je dois passer aux toilettes, je reviens.
Mes parents lui disent qu'il n'y a aucun souci, qu'ils comprenaient. Quand à moi, j'ai l'impression qu'il magouille quelque chose...
Bingo ! J'ai une notification Whatsapp. Sylvain : J'ai un défis. T'es pas prêt.
Je commence à stresser, qu'est-ce qu'il me raconte ! Un défis ? Je lui écris donc pour essayer de comprendre.
Je reçois seulement de sa part un seul message quelque minutes plus tard : « .. »Il est sérieux lui ? Trois petits points ? Bon...
Puis, je reçois un second message : Comme je t'ai dit, tu n'es pas prêt.
Je décide de ne pas répondre, il va tout de même m'expliquer bon sang.
Une minute s'écoule, puis deux, trois,... Quelques instant après il arrive.
Sylvain : Vraiment désolé, je me sentais nauséeux, c'est un traitement gastrique assez fort... (il est un peu gêné et clique sur son tel, puis le met sous la table).
Mon téléphone vibre dans ma main, sous la table. Je le regarde, j'ai une notification de sa part avec un média.
J'HA-LLU-CINE, une photo s'ouvre.... C'est la porte de nos toilettes contre laquelle dégouline une grosse dose de sperme. Je suis un peu gêné tellement je ne m'y attendais pas. De temps en temps je le regarde, alors que mes parents ne se doutent de rien, il venait de vider sa grosse paire de couilles à quelques mètres de nous...
Je reçois un message de sa part : et toi ? Si t'as les couilles, vas faire pareil...
J'ose à peine répondre. Au fond, la situation est dingue, ça doit grave chauffer les boules. Je prends mon tel et je dis : c'est tentant... la vache ils se doutent de rien, tu es un ouf.
Sylvain écrit : c'est de ça que je te parlais, juter dans différents endroits, avoir des risques et des dangers, ça chauffe vraiment...
J'ai un second message de sa part : le cours de branle continue mon petit ^^, alors, t'as les couilles ?
Sans même répondre, je souris devant mon assiette, je finis ma bouchée, puis je me lève et je dis : je reviens dans pas longtemps, continuez.
J'arrive aux toilettes et je m'enferme. Je regarde la porte.
Woh... il y a quelques minutes il a tartiné notre porte de foutre. Mais ce mec est dingue. Dingue... mais en même temps c'est génial.
Je baisse mon pantalon et mon boxer, je commence à me branler sévère en me tenant par les couilles. Mon téléphone vibre ? Quoi ? Il me dit quoi encore ?
Je lis le message : Fais comme moi, la main gauche maintient la queue bien droite, et la main droite branle à fond... et encore mieux, crache toi régulièrement sur le gland et fait toi une bonne branlette de gland, ça fait bien venir ça.
J'arrive juste à lui envoyer un pouce en l'air et j'ai en retour une aubergine accompagnée d'un : Astiques petit !
Bordel je me branle le gland, ma queue est brûlante.... dure... tendue... gonflée... ma salive glisse bien, j'ai le gland qui devient bien imposant... je crache encore dessus. C'est super bon une branlette qui se concentre que sur le gland ! En plus, je sais que juste envie il a fait de même, il a bien joui... dire que mes parents sont juste là, ils ne se doutent absolument de cette complicité... sous l'assiette de mon père il y a eu quelques jours auparavant une bonne décharge de mes couilles et … et... Ouhaaa... je vais gicler !
Je m'approche de la porte et quelques jets épais et blancs sortent de mon gros gland, ça coule mais vu que c'est épais ça dégouline plus lentement.
Je reviens l'air de rien à table et il me regarde sans trop comprendre car il n'a rien reçu.
Le dessert est presque terminé et il reçoit enfin un message de moi : T'as cru quoi ? Défis relevé...
Le message était accompagné d'une photo de ma grosse dose de sperme contre la porte, juste là où il avait juté.
Sylvain écrit : toi, toi... toi t'es vraiment cool aussi !
Le repas se termine enfin, la discussion continue puis, la soirée prend fin, il rentre chez lui.
Mini-histoire presque finie...
Le lendemain au soir, dans mon lit et devant une série je reçois un message de sa part : Yo John, un petit message mais... j'espère ne pas être déplacé et pas te gêner. J'ai croisé ton père aux urinoirs. Je comprends pourquoi tu as une bite avec une largeur aussi imposante... Vraiment. Et, il avait le caleçon un peu trop descendu quand il pissait. Il a une tâche de naissance sur la base de sa queue et qui redescend sur sa couille droite...
Je lis ce message, ça me fait très étrange et à la fois je trouve cette situation hot d'avoir des détails ainsi croustillants, je lui écris juste : la vache, si grosse ?
Je reçois de sa part : Ah oui oui, crois moi...
Ma main glisse sous mes draps pour retrouver ma bite et je vous laisse deviner la suite de ma soirée.
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