moi 60 ans, lui 18. - histoire érotique

Après plus de 35 ans de fidélité à mon mari, j’ai rencontré un homme qui est devenu mon amant et qui m’a initié au libertinage. Réellement, il n’a pas eu trop de difficultés à me convertir car il avait senti en moi le « potentiel », comme il me le disait. Il me fallait simplement oser franchir le pas et un bon guide qui sache me mettre en confiance. Ensuite, tout est venu facilement, je dirais même naturellement.

Ce fut l’époque de la découverte de ce monde nouveau pour moi. L’époque des premières fois … Premières séances « d’exhib » dans la rue, première fois que je pénétrais dans un sex-shop, nue sous une robe légère, première fois que je me laissais attacher et déshabiller par des inconnus, que je laissais leurs mains me caresser, leurs bouches m’embrasser, me lécher, me mordiller, leurs doigts fouiller mon intimité… Première fois que j’offrais mon corps comme ça, sans scrupules, à des hommes que je ne connaissais pas. Première fois que je suçais la bite d’un homme qui n’était ni mon mari, ni mon amant. Première fois que je faisais l’amour avec un inconnu, première fois que je faisais l’amour avec plusieurs hommes ! Première fois que que je découvrais l’extase sexuelle, que je jouissais aussi fort et mouillais autant, première fois qu’un homme jouissait dans ma bouche, que j’avalais son sperme et que j’en appréciais la saveur .. pleins de premières fois qui chaque fois m’ ont amené à l’extrême jouissance et ont révélé mon attrait pour le sexe au point de faire de moi un vraie libertine, une salope comme les hommes aiment dire.. J’étais devenue une nymphomane qui ne vivait que pour le sexe.

Et, comme une droguée qui a besoin de sa dose, j’attendais toujours avec impatience que Paul et moi puissions faire une nouvelle sortie « coquine », comme il les appelait . Mais il fallait que lui, comme moi, trouvions un prétexte vis à vis de nos conjoints. Heureusement la femme de Paul avait beaucoup d’activités et mon mari sortait souvent, pour jouer à la pétanque ou aller à la pêche, me laissant seule des après-midi complets, parfois la journée.

Si chacune de nos sorties était dédiée au sexe et au libertinage, celle que je vous vous raconter sort de l’ordinaire car âgée de près de 60 ans, j’ai fait l’amour avec un jeune garçon de 18 ans que j’ai dépucelé.

C'était un dimanche de fin d’été. Nous avions réussi à nous libérer, mais il ne faisait pas beau .... La pluie tombait et contrecarrait notre projet d'aller dans les dunes à la recherche d'aventures. Paul m’avait fait porter une petite robe rouge à dos nu, très courte, très décolletée, qui dévoilait mes seins jusqu’aux aréoles. Dessous, je portais juste un mini string noir.

Mail le hasard et la chance s’en sont mêlés.

Nous voici donc dans la voiture à nous demander ce que nous allons pouvoir faire lorsque Paul reçoit un appel téléphonique, il répond et converse avec son interlocuteur à qui il propose de venir de retrouver. Il précise qu’il est avec une « copine » et lui demande de mettre une bouteille au frais en précisant qu’« elle « aime les bulles.

Sur la route il m’explique que c’est Théo, le fils d‘un de ses amis, qui vient d’avoir 18 ans et qui, ne s’entendant plus trop avec ses parents, a pris son indépendance et loue un petit studio à Montreuil. Il appelait pour avoir quelques conseils.

Je fais remarquer à Paul que ma tenue n’est peut-être pas adéquate. Il rit et me dit : » si,si c’est très bien, je crois qu’il est encore puceau et il a peut-être besoin d’un coup de pouce ».

Connaissant Paul, j’imagine bien ce qu’il entend par un coup de pouce. Et puis on avait bien prévu une sortie coquine, alors pourquoi pas ?

Arrivé à Montreuil, Paul se gare dans le centre de la ville et s'arrête face à un immeuble ancien. Nous y entrons, passons une cour avec un escalier au fond et montons au premier étage .

Paul frappe à une porte et un jeune blondinet en short et polo nous ouvre.. Mon dieu ! On dirait un ado ! Je lui aurait donné 16 ou 17 ans, pas plus.

Paul fait les présentations, Théo me salue gentiment. Il ne laisse rien paraître mais je vois bien que ma tenue ne lui est pas indifférente et que son regard s’attarde sur mon décolleté.

Le studio, en fait un petit appartement avec une chambre, est très propre et plutôt sympa. L'entrée donne sur une vaste pièce et Théo nous invite à nous asseoir sur le canapé du salon, mais Paul s’assoit dans le fauteuil face au canapé, moi, je me mets sur le canapé.

Théo nous rejoint avec une bouteille de « bulles » et des verres, voyant le fauteuil occupé il s’installe aussi sur le canapé, à côté de moi, à ma droite, mais en laissant un espace entre nous.

Nous trinquons, Paul et Théo discutent des relations entre Théo et ses parents. Le jeune homme ne semble pas s’intéresser à moi.

Alors j’interviens dans la discussion et tout en parlant je pose ma main sur la cuisse de Théo, qui semble un peu surpris mais laisse ma main. Paul lui dit en riant : « tu vois, les bulles ça la rend amoureuse ».

Théo rit, mais rien n’évolue. Il me faut donc agir ! Quelques minutes plus tard, je me lève pour reposer mon verre sur la table basse et je me rassied à quelques centimètres de Théo, ma jambe touche la sienne et tout en discutant, je me tourne vers lui en me penchant en avant, laissant alors mon décolleté lui offrir une vue complète sur mes seins. Il a aussi une belle vue sur mon petit string noir car en m’asseyant la robe est remontée au niveau de mes fesses.

Il rougit, mais semble un peu gêné. Alors Paul lui demande comment il me trouve.

Il répond : « très belle … et très sexy » .

Je lui dis que moi aussi je le trouve mignon et je prends sa main que je pose sur ma cuisse, laissant ma main sur la sienne, et tout en discutant, je fais glisser sa main tout en haut de ma cuisse à la limite de l’entrejambe, son petit doigt est au contact de mon string. Je maintiens sa main sous la mienne. Je le sens troublé, mais il ne dit rien et ne retire pas sa main. Je le regarde et lui fais un sourire coquin.

Nous discutons encore un peu, puis je me penche en avant pour reprendre mon verre sur la table, j’écarte un peu mes jambes et dans le mouvement, je dirige la main de Théo dans mon entrejambe en appuyant ses doigts contre ma chatte. Paul me fait un clin d’œil. Théo est tout rouge. Cette situation m’amuse, c’est très rare que je prenne l’initiative, souvent je me laisse plutôt faire. Le contact de ses doigts contre mon sexe m’excite et je sens que je commence à mouiller.

D’une traite, je bois mon verre et le pose sur le canapé à côté de moi et pose ma main libérée sur son short au niveau du sexe. Théo semble tétanisé, il regarde Paul qui lui sourit et lui dit : »Laisse la faire, c’est une experte ». Penchée vers lui, je lui caresse le sexe par dessus le short, il durcit sous ma main. D’une main hésitante, Théo se décide à me caresser le dos. L’excitation doit le gagner aussi car ses caresses deviennent plus franches et sa mains quitte mon dos pour se hasarder dans mon décolleté.. ça y est il me caresse les seins. Paul l’encourage du regard.

Je le laisse me caresser un moment puis je me lève et me met face à lui. Je lui retire son polo, je me baisse, j’ouvre son short que je fais glisser au sol, et me place à genoux entre ses jambes. Il porte un boxer bleu « uomo » mais ce qui m’intéresse, c’est la belle protubérance, sous le boxer, sous mes yeux. Sous le tissus se dessine une belle queue qui bande déjà et qui laisse supposer un sexe de belle taille.. Je sors la « bête » du boxer et … Wahou !

Je découvre alors une magnifique verge, impressionnante, fort longue , qui pointe vers le plafond, exhibant fièrement son gland tout luisant. Je prends cette belle queue dans mes mains et commence à jouer avec tandis que lui me caresse les seins qu’il a sortis du décolleté.

Me relevant je défais le nœud qui retient ma robe et la fait tomber au sol, je suis en string devant lui, il me contemple. Je lui enlève le slip et entreprend de le sucer en me remettant à genoux entre ses jambes.

Sa bite est superbe, raide comme un bâton, fort longue, 22 ou 23 cm, assez épaisse mais pas trop, imberbe, tout comme ses bourses bien roses qui paraissent bien remplies. Les tenant dans une main, je joue avec sa verge que je léche et suce. Il se laisse faire.

Puis, prenant cette fois l'initiative, il décide de m’allonger sur la méridienne du canapé, sur le dos, se place entre mes jambes et m’enlève le string. Me voici maintenant nue devant ce gamin accroupi entre mes jambes qui me contemple longuement comme un enfant à qui les parents offrent un jouet trop beau pour lui, un jouet qu'il n'ose pas toucher, qu'il n'ose pas prendre.

A le voir comme cela, je crois qu’il est réellement puceau, il présente un curieux mélange de crainte, de timidité, mais aussi de détermination ; On le sent mal à l'aise et plutôt maladroit dans ses gestes. Il parait content, mais ne sourit pas,

Sans doute, maladroit dans son approche et surtout intéressé par le seul côté sexuel de la relation, il a probablement essuyé de nombreux échecs avec les filles avec qui il a dû se montrer trop rapidement entreprenant. Mais aujourd'hui une femme mature est nue devant lui, pour lui, pour assumer ses fantasmes et ses envies, c’est trop beau pour être vrai !

Le temps semble s’arrêter, il prend tout son temps pour contempler mon visage, mes seins, mon ventre, son regard descend jusqu’à mon pubis rasé qu'il semble admirer, puis doucement, il s’ agenouille, pose ses mains sur mes cuisses , les remonte le long de mon corps, les pose sur mes seins qu'il caresse, qu’il pétrit tendrement, s'attarde sur les tétons, comme s'il découvrait pour la première fois un corps de femme.

Puis, baissant la tête, il vient la placer dans mon entrejambe, sa bouche au contact de ma chatte, m’enserrant et m’écartant les cuisses dans ses bras. D’abord quelques baisers timides sur mon sexe, puis je sens sa langue. Il me lèche. Il fait aller et venir sa langue sur mes lèvres intimes, puis elle semble trouver le passage et vient s’immiscer dans ma fente. Mon sexe est englouti par sa bouche. Je ne peux m’empêcher de gémir et tout naturellement le passage s’ouvre, lui permettant de s’y insinuer davantage.

Sa langue est en moi, il l’enfonce au plus profond ne cessant de la tourner dans tous les sens dans cette cavité, probablement inconnue de lui, et, soudain, sans doute un peu par hasard elle vient exciter mon clito. Je pousse un petit cri de plaisir, je me cambre en me contractant, il comprend qu’il est sur une zone sensible, il continue de faire aller sa langue à cet endroit et rapidement il me fait jouir une première fois.

Conscient du plaisir qu'il m’offre, il me lèche encore un moment, je ne peux m’arrêter de jouir, puis il se relève, s'allonge sur le dos sur la méridienne et me demande de venir s'empaler sur sa queue. Je m’exécute, Malgré sa taille peu commune, comme je suis déjà complètement mouillée et ouverte, elle entre facilement. Je m’assoie sur lui, et la fait pénétrer jusqu’au fond, elle m’emplit complètement et je sens son gland contre la paroi tout au fond de mon utérus.

Nous restons un moment comme çà sans trop bouger, je lui imprime juste des petits mouvements du bassin me permettant de sentir sa verge bouger en moi. Il me regarde plein d’admiration, nous ne faisons qu’un.
Chose que je ne fais jamais, je l’attrape par la nuque et l’embrasse avec fougue sous le regard étonné, mais bienveillant de Paul. Habituellement les hommes me sautent et me prennent et j’apprécie tout ce qu’ils me font ressentir, mais là …. Je fais l’amour !

Au bout de quelques minutes, il me fait me lever, il se lève aussi et va s’asseoir sur une chaise, il me demande à nouveau de venir m’empaler sur sa queue. C’est moi qui rythme les « va et viens ». Rapidement je jouis de nouveau.

Cette succession de positions me confirme qu'il est novice, Il donne l'impression de vouloir tester pleins de différentes positions, comme s'il les avait vues dans un livre et qu'il voulait les essayer. Bien qu'excité, il se maîtrise parfaitement et vit chaque moment comme une nouvelle expérience.

Pendant tout ce temps Paul prend son plaisir en nous regardant, prenant vidéos et photos de nos ébats.

Nous faisons l’amour depuis déjà presque une heure lorsque Théo décide de m’emmener dans sa chambre et m’allonge sur son lit pour tester de nouvelles positions. C’est le moment que choisit Paul pour se joindre à nous.

C’est encore une succession de positions que Théo expérimente. Tourtes les positions possibles et imaginables y passent, parfois acrobatiques, mais la fin fut époustouflante.

Bandant comme un turc Théo me pend en levrette pendant que je suce Paul. Il s’enfonce sans ménagement en moi, me tenant par la taille et, au comble de l’excitation, se met à me buriner avec violence. Je sens à chaque coup de butoir sa queue cogner le fond de mon vagin. Entre douleur et plaisir intense je gémis, halète, ponctuant ses coups de queue qui me défoncent de "Oh putain, oui, oui, putain que c'est bon, oui, c'est bon, encore, encore".

Prise en levrette, je me suis redressée, Paul en profite et glisse sa tête sous mon buste, comme mes seins ballottent dans tous les sens au dessus de lui, il essaie d’ attraper mes tétons à la volée avec sa bouche et, quand il y arrive, il les pince entre ses lèvres. Wahoo ! J’avais encore jamais connu une telle excitation.

Théo me burine, encore et encore, lâchant tantôt ma taille pour me donner des claques de plus en plus fortes sur les fesses. Je crie, je jouis en prenais mon pied avec cet amant 40 ans plus jeune que moi.

Lui déguste ce moment avec un plaisir non dissimulé.Il se laisse enfin vraiment aller. Peut être une vengeance, combien de femmes se sont refusées à lui ?

C’est peut-être ce qu’il pense quand ses mains quittent mes fesses pour m’attraper par les cheveux qu'il tire en arrière, me forçant à relever la tête. Loin de m’en plaindre, cette domination m’excite encore davantage autant que cela est possible.

Mais je n’en peux plus. Épuisée, je me suis laissée tomber sur Paul, la croupe en l'air, le sexe de Théo toujours en moi. Sans doute la vision de cette femme, complètement nue, le cul relevé, entièrement à lui, l’excitait à son tour au plus au point, il redoubla violemment ses coups de butoir et soudain il s’arrêta. Je sentit son sexe gonfler, puis tout le corps fut pris de soubresaut et ce fut de grosses giclées de foutre qui, par saccades, envahirent ma chatte. Il jouissait en elle dans un râle puissant, son corps secoué de spasmes, ses mains serrées sur mes fesses..

Nous sommes restés comme ça un temps qui m’a paru long, puis Théo s’est laissé tomber sur le côté, m’entraînant avec lui, sa bite encore en moi..

Paul nous regardait, heureux. Petit à petit nous avons repris nos esprits. Lorsque Théo se retira de moi, son sperme s’écoulait de ma chatte et coulait le long de ma cuisse. Paul le ramassa et l’étala sur le ventre. Théo se leva et revint avec la bouteilles de bulles et nos verres. Nus et heureux, nous trinquâmes de nouveau.

Une fois repartis de chez Théo, Paul n’a pas eu besoin de me demander si j’avais passé un bon moment, il le lisait sur mon visage. Je lui ai demandé en riant si mon coup de pouce lui avait semblé suffisant, il rit aussi. C’était la première fois que je dépucelais un garçon et celui là était plus de 40 ans plus jeune que moi.

Rentrée chez moi, je n’avais qu’une crainte, c’est que dans la soirée mon mari me demande pour lui faire l’amour.. Je n’en pouvais plus, j’avais mal partout et surtout j’avais peur qu’il voit mes fesses rouges. Alors j’ai prétexté de vouloir regarder un film à la TV et il m’a laissé tranquille..

J’ai quasiment pas dormi. Je me remémorais chaque moment de cet après-midi, j’imaginais Théo se masturber dans son lit en pensant à moi,, je revoyais sa belle bite qui m’avait donnée tant de plaisir. Moi même j’ai fini par m’endormir en me caressant doucement en pensant à tout çà. Dans la nuit je me suis réveillée , j’étais en tain de me caresser. Mon mari ronflait à mes côtés. J’ai continué à me caresser et je me suis faite jouir. Vivement la prochaine sortie avec Paul.