moi et mon pire ennemi
Récit érotique écrit par Salva [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-07-2005 dans la catégorie Plus on est
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moi et mon pire ennemi
Bonjour à tous. L’histoire que je vais vous raconter là est assez incroyable. Ma copine me trompe et moi j’aime ça. Je vous assure ! Explications !
Je me nomme Salvatore, d’origine italienne, petit, cheveux noirs,… ma femme c’est Leila. Elle a de beaux cheveux noirs lisses, plus ou moins taille, 95b de poitrine. Sans la vanter et me vanter, elle est très jolie. Voici 2 ans que nous sommes ensemble et toujours en cachette de sa famille. Nous avons 23 ans, tous les deux.
En ce samedi de mai, nous nous rendons dans un parc d’attraction célèbre en Belgique. A trois : ma femme, moi et Olivier. Olivier est en fait l’ancien meilleur ami de ma femme. Au début que nous étions ensemble, elle m’a juré qu’il ne s’était jamais rien passé entre deux, même si lui était éperdument fou amoureux d’elle. En tant qu’italien qui se respecte, directement, je ne l’ai pas aimé. La jalousie étant plus forte que tout.
Mais cette fois, Leila avait réussi à me faire entendre raison et j’avais accepté d’aller avec lui en cette journée. Je précise que sa copine était censée venir mais elle s’est désistée au dernier moment. La cause ? La grippe !
La journée se passe bien, je dois avouer, il est plutôt sympa, essaye de faire régner une bonne ambiance,… Tout commence en fait après le dîner. Olivier propose, en guise de digestion, une petite promenade sur une rivière. C’est assez calme : des petits bateaux sont guidés sur un rail et, sur le côté, rien ! Juste des arbres.
Moi ça ne m’intéresse pas. En plus, leurs souvenirs de rénovés me fatiguent un peu. Je vais aller boire quelque chose et les laisse partir. Je les vois s’installer. Elle assise devant et lui derrière à distance respectable. Elle a assez dur à s’installer vu qu’elle a mis une jupe qui lui descend sous les genoux, de hautes bottes et une blouse en satin sans manches. Pas la tenue idéale pour aller dans un parc quoi. Je les vois s’éloigner et à mon tour m’éloigner, flâner dans le parc.
Un moment, je me rends compte que derrière les buissons coule la rivière. Je m’installe et décide les prendre en photos, gentiment sans qu’ils le sachent. Je leur donnerai à leur arrivée pour témoigner de ma bonne foi.
Mais ce que je vois me fait stopper net mon entreprise. Elle est là, étendue, couchée dans ses bras. Il a soulevé sa blouse et lui caresse le bras du ventre. Je les entends rire. Sans doute toujours leurs souvenirs. Malgré tout, je garde mon calme et vais les rejoindre à la sortie. Je décide ne rien dire et les laisser faire afin de voir quelle est vraiment leur relation ! Moi qui depuis deux ans ait du m’abstenir de relation sexuelle à cause de sa religion, je serais cocu ??? Impossible. Elle s’est sans doute étendue dans ses bras ainsi. C’est déjà trop mais soit…
Je leur souris les voyant arriver et leur propose une glace comme dessert. Ils acceptent, vont s’installer à une table et je vais commander. Quand je reviens, j’ai une vision d’horreur. Ils sont, premièrement, l’un à côté de l’autre, me laissant seul en face mais, en plus, elle semble couchée la bouche sur la sienne. Je m’approche et me calme. « il vient de recevoir une mouchette dans l’œil, mais je ne vois rien » me dit- elle. Effectivement, elle est à distance respectable. Je m’assied et la regarde souffler dans son œil. Je bande ! Je n’y crois pas mais je bande ! La voir si belle aujourd’hui, couchée sur lui, ses seins pendant près de son torse.
Finalement, ça semble passé et nous mangeons notre glace.
J’essaye alors d’être un peu plus discret, restant souvent sur le côté quand on marche, les laissant faire des attractions à deux,… mais je suis toujours à côté et plus rien ne se passe.
Jusqu’au moment où Leila exprime son envie d’uriner. Je décide de l’accompagner mais Olivier me coupe. Il doit y aller aussi. Il l’accompagnera. Je fais mine de m’asseoir sur un banc mais les suis à distance. Je m’installe alors de manière à voir la sortie des toilettes, sans être vu. Olivier sort le premier et attend leila. Quand elle sort à son tour, il lui tend la main et la fait tourner, de manière à être contre son dos. Ils rigolent. Elle a penchée sa tête sur le côté et ce que je craignais arrive. Leurs lèvres se touchent pour un simple baiser. Ca doit être le premier car ils semblent embarrasser. Ils se sourient et s’écartent. Ils vont revenir. Je cours vite à mon banc et m’y installe comme si de rien n’était. Leila pose ses lèvres sur moi et m’embrasse. Je suis trop dur dans mon slip. « Je t’aime » me glisse- t- elle dans l’oreille. Puis elle nous regarde et dit « En tout cas, merci à vous deux. Je suis seule avec les deux garçons que j’aime le plus. C’est trop génial » je lui souris, sans plus.
Elle s’assied entre nous deux et nous propose la grande roue. Nous acceptons.
Nous nous retrouvons donc à trois dans la nacelle. Leila s’est assise sur une banquette avec leurs garçons sur les banquettes perpendiculaires à la sienne.
Nous discutons tout le long du tour comme si de rien n’était. Je meurs d’envie de parler, demander quoi mais je n’ose pas. Quelque chose me bloque.
Arrivés en bas, je propose de retourner. Les deux autres semblent étonnés vu l’heure peu avancée de la journée mais je leur propose un petit sauna dans une salle de sport où j’ai un abonnement. On reprend donc la voiture, moi, au volant, Leila à côté de moi et Olivier derrière.
En un petit trois quart d’heure, nous arrivons à la salle de sport et dix minutes plus tard, nous sommes dans le sauna. Comme je m’y attendais, il est vide, comme toujours. La plupart des abonnés viennent essentiellement faire du sport. Je nous suppose nus tous les trois sous no serviettes, étant donné que nous n’avions pas de maillot.
Nous parlons de tout et de rien avant que je me décide à aborder le sujet, de manière assez directe.
- Ca fait longtemps que vous faites ça ?
Ils font les grands étonnés et me regardent de manière surpris.
- De quoi ? demandent- ils.
- Je vous ai vu dans les bras l’un de l’autre et le bisou.
- C’est la première fois et la dernière fois, je te le jure et c’est arrivé par hasard. Dit Leila, paniquée.
- Ne t’énerve pas ainsi. Je n’ai rien dit, j’aurais juste préféré que tu me le dise si tu avais envie.
- Je n’avais pas envie, c’est tombé comme ça.
Je n’ajoute rien mais j’ai mon idée derrière la tête.
Nous restons encore quelque temps dans le saune. Olivier et Leila ne disent plus rien. Moi je joue au type à l’aise et leur pose plein de questions, mais plus aucune sur cette épisode.
Quand nous nous décidons à sortir, je regarde ma copine et lui demande :
- tu viens prendre ta douche dans la douche hommes ?
- Non, pourquoi ?
- Pour pas rester toute seule.
Je la vois détourner son regard vers Olivier et nous suit sans rien dire.
Olivier et moi retirons note essuie assez vite laissant pendre nos sexes à sa vue. Il lui faut un peu plus
de temps pour enlever sa serviette mais j’attends néanmoins qu’ils soient les deux premiers sous la douche.
Je me mets alors à l’entrée de la douche et leur dit :
- Allez refaites moi le coup de tantôt.
- Mais bébé, dit Leila, je t’ai dit, c’est par hasard. ET plus envie de recommencer.
- Mais moi j’ai envie que vous recommenciez.
- Tu es sur ?
- Oui, sinon je ne te le demanderais pas.
Mais Olivier ne se fait pas prier, lui. Il l’attrape dans ses bras et ils s’embrassent avec la langue cette fois. C’est un peu différent mais plus plaisant. En plus, nus l’un contre l’autre. Je vois Leila sourire et laisse pénétrer sa langue dans la bouche de son copain. Lui bande. Je me mets alors derrière ma copine et, tout en la laissant embrasser Olivier, je passe mes mains sur ses seins et lui pelote. Ils sont bien durs. Je m’arrange pour la pousser un peu. Elles se retrouvent ainsi avec mon sexe contre ses fesses et le pénis d’Olivier contre le bas de son ventre. Je commence à l’embrasser dans le cou et lui glisse à l’oreille :
- Tu as vu comme il bande ? tu l’excites hein.
- Oui, me répond- t- elle, doucement, c’est sa bitte qui m’excite.
J’étais scié. Elle qui parlait ainsi. La grande musulmane qui aurait donné son coeur à son dieu, qui refusait tout rapport sexuel avant le mariage,… avait deux bittes contre elle et ça l’excitait.
- Tu veux la goûter ?
- Je peux vraiment ?
- Fonce.
Je ne sais pas si olivier entendait notre messe basse mais il sembla surpris quand elle s’agenouilla et mit son sexe en bouche. Alors, Messieurs, à tous les hommes qui lisent cette histoire, un conseil : au moins une fois dans votre vie, regardez votre femme avaler un sexe d’un autre homme. Là, j’ai cru exploser. Un instant fantastique ! je le voyais, fermer les yeux et se laisser aller aux va et viens et elle lécher, pomper, aspirer son sexe. Quand il ouvrit ses yeux et me regarda, je lui demandai :
- Alors ça te plait ?
- Magnifique ! Elle suce bien.
Je souris et m’agenouillai derrière elle glissant un doigt entre ses jambes pour toucher son sexe. Elle mouillait énormément.
Je lui glissai dans l’oreille :
- Ca te plait bébé ? Tu aimes ?
- J’ai envie de la bouffer.
- Ne te gêne pas.
Je la vis accélérer et aspirer violemment le liquide et l’ensemble du gland.
Quand elle stoppa net et qu’Olivier commença à respirer profondément, je compris qu’il éjaculait. Putain, là, elle exagérait. Elle n’avait jamais voulu que j’éjacule sur elle. A part ses doigts, elle n’avait jamais eu une goutte de sperme sur elle
Heureusement, elle ne l’avala pas et recracha tout à terre.
Le goût du lui plaire car elle se tourna vers moi, me masturba et me laissa éjaculer dans sa bouche.
L’ambiance était vraiment détendue. On se lava, s’essuya tout en rigolant.
On reconduisit alors Olivier chez lui et discutâmes sur le chemin du retour. Elle me jura que c’était la première fois et qu’elle n’avait jamais envisagé de le faire avec un autre mec mais quand ils étaient couchés dans le bateau, il bandait et ça l’avait excité. Elle me dit aussi qu’elle m’aimait et m’avoua avoir avaler quelques gouttes de mon jus.
Je t’aime bébé
Je me nomme Salvatore, d’origine italienne, petit, cheveux noirs,… ma femme c’est Leila. Elle a de beaux cheveux noirs lisses, plus ou moins taille, 95b de poitrine. Sans la vanter et me vanter, elle est très jolie. Voici 2 ans que nous sommes ensemble et toujours en cachette de sa famille. Nous avons 23 ans, tous les deux.
En ce samedi de mai, nous nous rendons dans un parc d’attraction célèbre en Belgique. A trois : ma femme, moi et Olivier. Olivier est en fait l’ancien meilleur ami de ma femme. Au début que nous étions ensemble, elle m’a juré qu’il ne s’était jamais rien passé entre deux, même si lui était éperdument fou amoureux d’elle. En tant qu’italien qui se respecte, directement, je ne l’ai pas aimé. La jalousie étant plus forte que tout.
Mais cette fois, Leila avait réussi à me faire entendre raison et j’avais accepté d’aller avec lui en cette journée. Je précise que sa copine était censée venir mais elle s’est désistée au dernier moment. La cause ? La grippe !
La journée se passe bien, je dois avouer, il est plutôt sympa, essaye de faire régner une bonne ambiance,… Tout commence en fait après le dîner. Olivier propose, en guise de digestion, une petite promenade sur une rivière. C’est assez calme : des petits bateaux sont guidés sur un rail et, sur le côté, rien ! Juste des arbres.
Moi ça ne m’intéresse pas. En plus, leurs souvenirs de rénovés me fatiguent un peu. Je vais aller boire quelque chose et les laisse partir. Je les vois s’installer. Elle assise devant et lui derrière à distance respectable. Elle a assez dur à s’installer vu qu’elle a mis une jupe qui lui descend sous les genoux, de hautes bottes et une blouse en satin sans manches. Pas la tenue idéale pour aller dans un parc quoi. Je les vois s’éloigner et à mon tour m’éloigner, flâner dans le parc.
Un moment, je me rends compte que derrière les buissons coule la rivière. Je m’installe et décide les prendre en photos, gentiment sans qu’ils le sachent. Je leur donnerai à leur arrivée pour témoigner de ma bonne foi.
Mais ce que je vois me fait stopper net mon entreprise. Elle est là, étendue, couchée dans ses bras. Il a soulevé sa blouse et lui caresse le bras du ventre. Je les entends rire. Sans doute toujours leurs souvenirs. Malgré tout, je garde mon calme et vais les rejoindre à la sortie. Je décide ne rien dire et les laisser faire afin de voir quelle est vraiment leur relation ! Moi qui depuis deux ans ait du m’abstenir de relation sexuelle à cause de sa religion, je serais cocu ??? Impossible. Elle s’est sans doute étendue dans ses bras ainsi. C’est déjà trop mais soit…
Je leur souris les voyant arriver et leur propose une glace comme dessert. Ils acceptent, vont s’installer à une table et je vais commander. Quand je reviens, j’ai une vision d’horreur. Ils sont, premièrement, l’un à côté de l’autre, me laissant seul en face mais, en plus, elle semble couchée la bouche sur la sienne. Je m’approche et me calme. « il vient de recevoir une mouchette dans l’œil, mais je ne vois rien » me dit- elle. Effectivement, elle est à distance respectable. Je m’assied et la regarde souffler dans son œil. Je bande ! Je n’y crois pas mais je bande ! La voir si belle aujourd’hui, couchée sur lui, ses seins pendant près de son torse.
Finalement, ça semble passé et nous mangeons notre glace.
J’essaye alors d’être un peu plus discret, restant souvent sur le côté quand on marche, les laissant faire des attractions à deux,… mais je suis toujours à côté et plus rien ne se passe.
Jusqu’au moment où Leila exprime son envie d’uriner. Je décide de l’accompagner mais Olivier me coupe. Il doit y aller aussi. Il l’accompagnera. Je fais mine de m’asseoir sur un banc mais les suis à distance. Je m’installe alors de manière à voir la sortie des toilettes, sans être vu. Olivier sort le premier et attend leila. Quand elle sort à son tour, il lui tend la main et la fait tourner, de manière à être contre son dos. Ils rigolent. Elle a penchée sa tête sur le côté et ce que je craignais arrive. Leurs lèvres se touchent pour un simple baiser. Ca doit être le premier car ils semblent embarrasser. Ils se sourient et s’écartent. Ils vont revenir. Je cours vite à mon banc et m’y installe comme si de rien n’était. Leila pose ses lèvres sur moi et m’embrasse. Je suis trop dur dans mon slip. « Je t’aime » me glisse- t- elle dans l’oreille. Puis elle nous regarde et dit « En tout cas, merci à vous deux. Je suis seule avec les deux garçons que j’aime le plus. C’est trop génial » je lui souris, sans plus.
Elle s’assied entre nous deux et nous propose la grande roue. Nous acceptons.
Nous nous retrouvons donc à trois dans la nacelle. Leila s’est assise sur une banquette avec leurs garçons sur les banquettes perpendiculaires à la sienne.
Nous discutons tout le long du tour comme si de rien n’était. Je meurs d’envie de parler, demander quoi mais je n’ose pas. Quelque chose me bloque.
Arrivés en bas, je propose de retourner. Les deux autres semblent étonnés vu l’heure peu avancée de la journée mais je leur propose un petit sauna dans une salle de sport où j’ai un abonnement. On reprend donc la voiture, moi, au volant, Leila à côté de moi et Olivier derrière.
En un petit trois quart d’heure, nous arrivons à la salle de sport et dix minutes plus tard, nous sommes dans le sauna. Comme je m’y attendais, il est vide, comme toujours. La plupart des abonnés viennent essentiellement faire du sport. Je nous suppose nus tous les trois sous no serviettes, étant donné que nous n’avions pas de maillot.
Nous parlons de tout et de rien avant que je me décide à aborder le sujet, de manière assez directe.
- Ca fait longtemps que vous faites ça ?
Ils font les grands étonnés et me regardent de manière surpris.
- De quoi ? demandent- ils.
- Je vous ai vu dans les bras l’un de l’autre et le bisou.
- C’est la première fois et la dernière fois, je te le jure et c’est arrivé par hasard. Dit Leila, paniquée.
- Ne t’énerve pas ainsi. Je n’ai rien dit, j’aurais juste préféré que tu me le dise si tu avais envie.
- Je n’avais pas envie, c’est tombé comme ça.
Je n’ajoute rien mais j’ai mon idée derrière la tête.
Nous restons encore quelque temps dans le saune. Olivier et Leila ne disent plus rien. Moi je joue au type à l’aise et leur pose plein de questions, mais plus aucune sur cette épisode.
Quand nous nous décidons à sortir, je regarde ma copine et lui demande :
- tu viens prendre ta douche dans la douche hommes ?
- Non, pourquoi ?
- Pour pas rester toute seule.
Je la vois détourner son regard vers Olivier et nous suit sans rien dire.
Olivier et moi retirons note essuie assez vite laissant pendre nos sexes à sa vue. Il lui faut un peu plus
de temps pour enlever sa serviette mais j’attends néanmoins qu’ils soient les deux premiers sous la douche.
Je me mets alors à l’entrée de la douche et leur dit :
- Allez refaites moi le coup de tantôt.
- Mais bébé, dit Leila, je t’ai dit, c’est par hasard. ET plus envie de recommencer.
- Mais moi j’ai envie que vous recommenciez.
- Tu es sur ?
- Oui, sinon je ne te le demanderais pas.
Mais Olivier ne se fait pas prier, lui. Il l’attrape dans ses bras et ils s’embrassent avec la langue cette fois. C’est un peu différent mais plus plaisant. En plus, nus l’un contre l’autre. Je vois Leila sourire et laisse pénétrer sa langue dans la bouche de son copain. Lui bande. Je me mets alors derrière ma copine et, tout en la laissant embrasser Olivier, je passe mes mains sur ses seins et lui pelote. Ils sont bien durs. Je m’arrange pour la pousser un peu. Elles se retrouvent ainsi avec mon sexe contre ses fesses et le pénis d’Olivier contre le bas de son ventre. Je commence à l’embrasser dans le cou et lui glisse à l’oreille :
- Tu as vu comme il bande ? tu l’excites hein.
- Oui, me répond- t- elle, doucement, c’est sa bitte qui m’excite.
J’étais scié. Elle qui parlait ainsi. La grande musulmane qui aurait donné son coeur à son dieu, qui refusait tout rapport sexuel avant le mariage,… avait deux bittes contre elle et ça l’excitait.
- Tu veux la goûter ?
- Je peux vraiment ?
- Fonce.
Je ne sais pas si olivier entendait notre messe basse mais il sembla surpris quand elle s’agenouilla et mit son sexe en bouche. Alors, Messieurs, à tous les hommes qui lisent cette histoire, un conseil : au moins une fois dans votre vie, regardez votre femme avaler un sexe d’un autre homme. Là, j’ai cru exploser. Un instant fantastique ! je le voyais, fermer les yeux et se laisser aller aux va et viens et elle lécher, pomper, aspirer son sexe. Quand il ouvrit ses yeux et me regarda, je lui demandai :
- Alors ça te plait ?
- Magnifique ! Elle suce bien.
Je souris et m’agenouillai derrière elle glissant un doigt entre ses jambes pour toucher son sexe. Elle mouillait énormément.
Je lui glissai dans l’oreille :
- Ca te plait bébé ? Tu aimes ?
- J’ai envie de la bouffer.
- Ne te gêne pas.
Je la vis accélérer et aspirer violemment le liquide et l’ensemble du gland.
Quand elle stoppa net et qu’Olivier commença à respirer profondément, je compris qu’il éjaculait. Putain, là, elle exagérait. Elle n’avait jamais voulu que j’éjacule sur elle. A part ses doigts, elle n’avait jamais eu une goutte de sperme sur elle
Heureusement, elle ne l’avala pas et recracha tout à terre.
Le goût du lui plaire car elle se tourna vers moi, me masturba et me laissa éjaculer dans sa bouche.
L’ambiance était vraiment détendue. On se lava, s’essuya tout en rigolant.
On reconduisit alors Olivier chez lui et discutâmes sur le chemin du retour. Elle me jura que c’était la première fois et qu’elle n’avait jamais envisagé de le faire avec un autre mec mais quand ils étaient couchés dans le bateau, il bandait et ça l’avait excité. Elle me dit aussi qu’elle m’aimait et m’avoua avoir avaler quelques gouttes de mon jus.
Je t’aime bébé
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire un peu rocambolesque pas de vulgarité c est déjà ça mignon comme récit dommage qu il ni ait pas de suite.