Moments de partage avec une belle-sœur.
Récit érotique écrit par Bellebite830002 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-03-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Moments de partage avec une belle-sœur.
Cette histoire, vraie, réelle, s'est passée il y a pas mal d'années de cela.
Mon épouse ayant subit une intervention chirurgicale, son chirurgien lui a préconisé un séjour dans une maison de repos pour un mois environ.
Ma belle soeur et ma belle mère se sont proposées de venir à la maison s'occuper des enfants car nous habitions dans les Bouches du Rhône et toute notre famille se trouvait dans le Nord-Est.
Elles sont arrivées au grand bonheur des enfants et ont pris de suite les choses en main car travaillant toute la journée, il m'était très difficile de m'en occuper correctement.
Un soir, après le film, mes enfants étant couchés depuis un bon moment, on alla se coucher également.
Comme presque tous les soirs, je me branlais en pensant à ma femme mais aussi, je dois l'avouer, à ma belle soeur et à ma belle mère qui étaient très belles. Je me satisfaisais comme je pouvais.
Je commençai à me branler, j'entendis du bruit dans le salon et la télé marcher, quelqu'un s'était levé. Puis au bout d'un moment, je stoppai net j'entendis des pas se diriger vers la porte de ma chambre.
Comme il faisait chaud car nous étions début Juin, la porte fenêtre était grande ouverte et laissait entrer l'air qui rafraîchissait la chambre et laissait passer la clarté de la lune et les lumières extérieures. Instinctivement, je me couvris car j'étais nu sur mon lit. Puis je me suis dis, je suis dans ma chambre, si quelqu'un entre et bien tant pis, il me verra à poil. Je me découvris et pris une position tel qu'on pouvais voir mon sexe qui était gonflé par l'excitation et l'envie car je n'avais pas encore joui.
Il faut dire que j'ai une bite d'un peu plus de 20 cm, un bon diamètre et deux grosses boules et en plus, je suis complètement épilé avec juste une petite touffe au-dessus.
C'est ma femme qui m'épile à la cire car elle aime que je sois épilé. Elle-même est épilée intégralement ainsi que le sillon et le petit trou, elle fait ça en institut.
Au bout d'un moment, je vis la poignée de la porte tourner tout doucement, je fermai les yeux pour faire semblant de dormir et la porte s'ouvrit tout doucement, c'était ma belle soeur. En me voyant dans cette position, elle resta figée un moment. Je fis semblant de dormir mais je la voyais en plissant mes yeux.
Elle me regardait et son regard fixait ma bite. Je bougeais légèrement en soupirant un peu. Au bout d'un moment, elle entra et referma tout doucement la porte derrière elle.
Elle s'approcha et posa légèrement ses doigts sur mon sexe qui sursauta au contact et commença à caresser tout doucement le long de ma hampe puis s'arrêta quelques instants sur le frein en le griffant légèrement avec ses ongles. J'étais dans un état second, je sentais un liquide sortir de mon méat et couler sur mon ventre. Elle s'en aperçue, elle se pencha et ses lèvres remplacèrent ses doigts. Elle passa sa langue sur mon gland pour récupérer ma liqueur qui coulait de plus en plus. Puis elle passa sa langue tout le long de ma hampe jusqu'à prendre mes boules dans sa bouche et revenir et prendre à nouveau mon gland dans sa bouche. Elle avala toute ma liqueur répandue sur mon ventre puis fit disparaître à nouveau ma colonne dans sa bouche et commença à me sucer divinement. N'en pouvant plus, je passai ma main sous son peignoir et remonta le long de ses cuisses jusqu'à ses fesses, elle était nue, je commençai à les caresser et dirigeai ma main entre ses cuisses brulantes jusqu'à sa chatte qui s'ouvrait à mon contact et enfonçai mes doigts. Je commençai à la branler tout doucement.
Elle fit glisser son peignoir jusqu'à ses pieds et vint se mettre sur moi en position dite 69 et là, je pouvais admirer ses jolies fesses qui s'étaient écartées et son abricot était ouvert.
Elle était également complètement rasée.
Je buvais à mon tour toute la cyprine qui coulait de sa chatte et je dois dire qu'il y en avait une grande quantité. J'écartais davantage ses fesses et je pouvais admirer son sillon et son petit oeillet brun tout en passant ma langue partout. je penchai ma tête afin de passer ma langue toute humide sur son sillon mais surtout sur son oeillet tout en enfonçant ma langue le plus loin possible.
De son côté, elle me prodiguait une de ces pipes tout en malaxant mes boules et elle passait ses doigts de temps en temps entre mes fesses et enfonçait un doigt dans mon petit trou, c'était trop bon.
Je n'en pouvais plus, j'allais jouir, elle s'en aperçue, arrêta se retira et vint me susurrer à l'oreille: comment veux tu que je te fasse jouir? je lui répondis: comme tu veux toi...
Elle me sourit, puis se mit à quatre pattes, baissa sa tête, l'enfouit dans l'oreiller pour faire ressortir sa croupe et me laissa prendre les initiatives.
Elle était complètement à moi, je pouvais faire d'elle, ce que je voulais. Je me plaçai derrière elle, pris ses fesses entre mes mains, les malaxa puis les écartant, je frottai mon gland le long de sa chatte dégoulinante. Je pris conscience que c'était la première fois que j'allais baiser ma belle soeur, que j'allais pénétrer cette chatte qui s'offrait à moi.
Alors, avec beaucoup de douceur et d'amour, j'enfonçai tout doucement ma queue jusqu'à ce qu'elle disparaisse complètement. J'étais en elle, elle m'appartenait, j'avais rêvé de ce moment quand je me masturbais et que je pensais à elle, à son corps, à son cul.
Je commençai les va et vient, tout doucement puis de plus en plus vite, de plus en plus fort, elle gémissait et se tordait dans tous les sens. Je ne voulais pas l'enculer aujourd'hui, la prochaine fois si il y en avait une, mais vu la situation, il y en aurait certainement plusieurs. En même temps que je la baisais, je caressais son anus qui s'ouvrait comme une fleur et j'enfonçai un doigt puis deux.
Je pouvais sentir ma bite aller et venir dans sa chatte à travers la fine paroi qui séparait son vagin de son cul.
N'en pouvant plus, je me tendit comme un arc et expulsa toute ma purée au fond de sa chatte. Cela m'avait tellement conditionné que je n'arrêtais plus d'éjaculer. Au bout d'un moment, Je me retirai et je pus voir le trop plein de sperme sortir de son vagin et dégouliner le long de ses cuisses.
Elle se releva et remis son peignoir puis avant de partir, m'embrassa fougueusement et sortit.
Le lendemain, on fit comme si de rien était, comme si il ne s'était rien passé et ma belle mère me regardait bizarrement comme si elle se doutait de quelque chose. Elle avait du nous entendre et peut-être écouter à la porte, elle se levait souvent la nuit. Elle regardait très souvent mais discrètement en direction de ma braguette ce qui éveilla en moi d'autres émois vis à vis d'elle car elle était très très bien conservée.
Elle était veuve depuis pas mal de temps donc certainement en manque de câlins.
Je fixais exprès sa poitrine très généreuse, ses seins emprisonnés dans leur soutien gorge et son cul qui était mis en valeur pas sa robe très fine d'été qui moulait ses fesses surtout quand elle se penchait. Je ne me gênais pas de lui montrer mon érection et la tache qui maculait quelque fois mon pantalon fin d'été. Mais tout cela étant fait très discrètement pour ne pas éveiller les soupçons.
Je voulais lui faire comprendre que si il n'y avait pas de problèmes de son côté, il n'y en avait pas non plus du mien.
En début d'après midi, elle me demanda si j'avais du linge à laver car elle faisait une machine, Je lui répondis que oui, je suis allé dans ma chambre, me suis déshabillé et me suis branlé.
J'ai joui et éjaculé une grosse quantité de sperme dans mon slip. Je l'ai posé bien en vue au-dessus dans le panier à linge car je voulais voir sa réaction.
Elle mit un bon moment avant de sortir de la buanderie, elle avait les joues rosies comme si elle avait eu des bouffées de chaleur mais je savais qu'il n'en était rien, que c'était ce qu'elle avait trouvé dans mon slip qu'il l'avait troublé à ce point. Je m'en réjouissais à l'avance.
Elle ne mit pas la machine de suite en route car sa fille était en train de rassembler du linge dans sa chambre pour le mettre dans la machine.
Très discrètement, je retournai dans la buanderie pendant que ma belle mère commençait à préparer les légumes pour le souper et à ma grande surprise, elle n'avait pas encore mit le linge dans la machine et en soulevant le couvercle du panier à linge, mon slip était là mais il n'y avait plus rien dedans, plus de sperme, il n'y avait plus qu'une petite tache???
Je me suis mis à bander très très fort en imaginant qu'elle avait du le boire, le lécher??? ou peut-être bien elle s'était enduit les doigts en les enfonçant dans sa chatte??? mille pensées est venu à mon esprit!!!
Toutes les affaires réunies, ma belle mère est retournée dans la buanderie pour mettre le linge dans la machine et la faire tourner.
Quand j'ai enlevé mon slip, je n'en ai pas remis. Je me suis mis en short pour être à l'aise, mon sexe étant libre.
Quand ma belle mère nous quittait quelques instants pour aller voir ou en était la machine, ma belle soeur qui était assise à côté de moi, sortait vite fait ma bite, décalottait le gland, se penchait pour lui donner quelques coups de langue puis la faisait disparaître complètement dans sa bouche puis elle le remettait dans mon short.
Cela faisait une énorme bosse et je faisais tout pour que ma belle mère l'a voit.
Quand ma belle soeur nous quittait un instant, je me positionnais face à ma belle mère en faisant en sorte à ce que mon sexe sorte de mon short, je décalottais discrètement mon gland qui était sur ma cuisse, je faisais semblant de ne pas m'en apercevoir et tournais la tête et je pouvais voir son regard fixer mon gland, fixer mon sexe.
Elle avait du mal à cacher son émoi, son trouble, son émotion, ses joues la trahissaient, elle se dandinait, elle ne savait plus comment se mettre, qu'elle position prendre... Ce qui la rendait encore plus jolie, plus désirable.
J'avais réveillé en elle, l'envie, le désir, l'AMOUR tout simplement qui était enfoui depuis longtemps peut-être. Elle était redevenue " FEMME " tout simplement.
Je n'avais qu'une seule envie, qu'une obsession: la prendre dans mes bras, l'embrasser partout, lui faire l'amour par tous ses orifices. Lui redonner l'envie de crier, de gémir sous mes caresses, sous mes baisers...
Je vous raconterai tout ce qui s'est passé par la suite mais je préfère m'arrêter là pour aujourd'hui afin de ne pas vous prendre la tête avec des récits trop longs.
Mon épouse ayant subit une intervention chirurgicale, son chirurgien lui a préconisé un séjour dans une maison de repos pour un mois environ.
Ma belle soeur et ma belle mère se sont proposées de venir à la maison s'occuper des enfants car nous habitions dans les Bouches du Rhône et toute notre famille se trouvait dans le Nord-Est.
Elles sont arrivées au grand bonheur des enfants et ont pris de suite les choses en main car travaillant toute la journée, il m'était très difficile de m'en occuper correctement.
Un soir, après le film, mes enfants étant couchés depuis un bon moment, on alla se coucher également.
Comme presque tous les soirs, je me branlais en pensant à ma femme mais aussi, je dois l'avouer, à ma belle soeur et à ma belle mère qui étaient très belles. Je me satisfaisais comme je pouvais.
Je commençai à me branler, j'entendis du bruit dans le salon et la télé marcher, quelqu'un s'était levé. Puis au bout d'un moment, je stoppai net j'entendis des pas se diriger vers la porte de ma chambre.
Comme il faisait chaud car nous étions début Juin, la porte fenêtre était grande ouverte et laissait entrer l'air qui rafraîchissait la chambre et laissait passer la clarté de la lune et les lumières extérieures. Instinctivement, je me couvris car j'étais nu sur mon lit. Puis je me suis dis, je suis dans ma chambre, si quelqu'un entre et bien tant pis, il me verra à poil. Je me découvris et pris une position tel qu'on pouvais voir mon sexe qui était gonflé par l'excitation et l'envie car je n'avais pas encore joui.
Il faut dire que j'ai une bite d'un peu plus de 20 cm, un bon diamètre et deux grosses boules et en plus, je suis complètement épilé avec juste une petite touffe au-dessus.
C'est ma femme qui m'épile à la cire car elle aime que je sois épilé. Elle-même est épilée intégralement ainsi que le sillon et le petit trou, elle fait ça en institut.
Au bout d'un moment, je vis la poignée de la porte tourner tout doucement, je fermai les yeux pour faire semblant de dormir et la porte s'ouvrit tout doucement, c'était ma belle soeur. En me voyant dans cette position, elle resta figée un moment. Je fis semblant de dormir mais je la voyais en plissant mes yeux.
Elle me regardait et son regard fixait ma bite. Je bougeais légèrement en soupirant un peu. Au bout d'un moment, elle entra et referma tout doucement la porte derrière elle.
Elle s'approcha et posa légèrement ses doigts sur mon sexe qui sursauta au contact et commença à caresser tout doucement le long de ma hampe puis s'arrêta quelques instants sur le frein en le griffant légèrement avec ses ongles. J'étais dans un état second, je sentais un liquide sortir de mon méat et couler sur mon ventre. Elle s'en aperçue, elle se pencha et ses lèvres remplacèrent ses doigts. Elle passa sa langue sur mon gland pour récupérer ma liqueur qui coulait de plus en plus. Puis elle passa sa langue tout le long de ma hampe jusqu'à prendre mes boules dans sa bouche et revenir et prendre à nouveau mon gland dans sa bouche. Elle avala toute ma liqueur répandue sur mon ventre puis fit disparaître à nouveau ma colonne dans sa bouche et commença à me sucer divinement. N'en pouvant plus, je passai ma main sous son peignoir et remonta le long de ses cuisses jusqu'à ses fesses, elle était nue, je commençai à les caresser et dirigeai ma main entre ses cuisses brulantes jusqu'à sa chatte qui s'ouvrait à mon contact et enfonçai mes doigts. Je commençai à la branler tout doucement.
Elle fit glisser son peignoir jusqu'à ses pieds et vint se mettre sur moi en position dite 69 et là, je pouvais admirer ses jolies fesses qui s'étaient écartées et son abricot était ouvert.
Elle était également complètement rasée.
Je buvais à mon tour toute la cyprine qui coulait de sa chatte et je dois dire qu'il y en avait une grande quantité. J'écartais davantage ses fesses et je pouvais admirer son sillon et son petit oeillet brun tout en passant ma langue partout. je penchai ma tête afin de passer ma langue toute humide sur son sillon mais surtout sur son oeillet tout en enfonçant ma langue le plus loin possible.
De son côté, elle me prodiguait une de ces pipes tout en malaxant mes boules et elle passait ses doigts de temps en temps entre mes fesses et enfonçait un doigt dans mon petit trou, c'était trop bon.
Je n'en pouvais plus, j'allais jouir, elle s'en aperçue, arrêta se retira et vint me susurrer à l'oreille: comment veux tu que je te fasse jouir? je lui répondis: comme tu veux toi...
Elle me sourit, puis se mit à quatre pattes, baissa sa tête, l'enfouit dans l'oreiller pour faire ressortir sa croupe et me laissa prendre les initiatives.
Elle était complètement à moi, je pouvais faire d'elle, ce que je voulais. Je me plaçai derrière elle, pris ses fesses entre mes mains, les malaxa puis les écartant, je frottai mon gland le long de sa chatte dégoulinante. Je pris conscience que c'était la première fois que j'allais baiser ma belle soeur, que j'allais pénétrer cette chatte qui s'offrait à moi.
Alors, avec beaucoup de douceur et d'amour, j'enfonçai tout doucement ma queue jusqu'à ce qu'elle disparaisse complètement. J'étais en elle, elle m'appartenait, j'avais rêvé de ce moment quand je me masturbais et que je pensais à elle, à son corps, à son cul.
Je commençai les va et vient, tout doucement puis de plus en plus vite, de plus en plus fort, elle gémissait et se tordait dans tous les sens. Je ne voulais pas l'enculer aujourd'hui, la prochaine fois si il y en avait une, mais vu la situation, il y en aurait certainement plusieurs. En même temps que je la baisais, je caressais son anus qui s'ouvrait comme une fleur et j'enfonçai un doigt puis deux.
Je pouvais sentir ma bite aller et venir dans sa chatte à travers la fine paroi qui séparait son vagin de son cul.
N'en pouvant plus, je me tendit comme un arc et expulsa toute ma purée au fond de sa chatte. Cela m'avait tellement conditionné que je n'arrêtais plus d'éjaculer. Au bout d'un moment, Je me retirai et je pus voir le trop plein de sperme sortir de son vagin et dégouliner le long de ses cuisses.
Elle se releva et remis son peignoir puis avant de partir, m'embrassa fougueusement et sortit.
Le lendemain, on fit comme si de rien était, comme si il ne s'était rien passé et ma belle mère me regardait bizarrement comme si elle se doutait de quelque chose. Elle avait du nous entendre et peut-être écouter à la porte, elle se levait souvent la nuit. Elle regardait très souvent mais discrètement en direction de ma braguette ce qui éveilla en moi d'autres émois vis à vis d'elle car elle était très très bien conservée.
Elle était veuve depuis pas mal de temps donc certainement en manque de câlins.
Je fixais exprès sa poitrine très généreuse, ses seins emprisonnés dans leur soutien gorge et son cul qui était mis en valeur pas sa robe très fine d'été qui moulait ses fesses surtout quand elle se penchait. Je ne me gênais pas de lui montrer mon érection et la tache qui maculait quelque fois mon pantalon fin d'été. Mais tout cela étant fait très discrètement pour ne pas éveiller les soupçons.
Je voulais lui faire comprendre que si il n'y avait pas de problèmes de son côté, il n'y en avait pas non plus du mien.
En début d'après midi, elle me demanda si j'avais du linge à laver car elle faisait une machine, Je lui répondis que oui, je suis allé dans ma chambre, me suis déshabillé et me suis branlé.
J'ai joui et éjaculé une grosse quantité de sperme dans mon slip. Je l'ai posé bien en vue au-dessus dans le panier à linge car je voulais voir sa réaction.
Elle mit un bon moment avant de sortir de la buanderie, elle avait les joues rosies comme si elle avait eu des bouffées de chaleur mais je savais qu'il n'en était rien, que c'était ce qu'elle avait trouvé dans mon slip qu'il l'avait troublé à ce point. Je m'en réjouissais à l'avance.
Elle ne mit pas la machine de suite en route car sa fille était en train de rassembler du linge dans sa chambre pour le mettre dans la machine.
Très discrètement, je retournai dans la buanderie pendant que ma belle mère commençait à préparer les légumes pour le souper et à ma grande surprise, elle n'avait pas encore mit le linge dans la machine et en soulevant le couvercle du panier à linge, mon slip était là mais il n'y avait plus rien dedans, plus de sperme, il n'y avait plus qu'une petite tache???
Je me suis mis à bander très très fort en imaginant qu'elle avait du le boire, le lécher??? ou peut-être bien elle s'était enduit les doigts en les enfonçant dans sa chatte??? mille pensées est venu à mon esprit!!!
Toutes les affaires réunies, ma belle mère est retournée dans la buanderie pour mettre le linge dans la machine et la faire tourner.
Quand j'ai enlevé mon slip, je n'en ai pas remis. Je me suis mis en short pour être à l'aise, mon sexe étant libre.
Quand ma belle mère nous quittait quelques instants pour aller voir ou en était la machine, ma belle soeur qui était assise à côté de moi, sortait vite fait ma bite, décalottait le gland, se penchait pour lui donner quelques coups de langue puis la faisait disparaître complètement dans sa bouche puis elle le remettait dans mon short.
Cela faisait une énorme bosse et je faisais tout pour que ma belle mère l'a voit.
Quand ma belle soeur nous quittait un instant, je me positionnais face à ma belle mère en faisant en sorte à ce que mon sexe sorte de mon short, je décalottais discrètement mon gland qui était sur ma cuisse, je faisais semblant de ne pas m'en apercevoir et tournais la tête et je pouvais voir son regard fixer mon gland, fixer mon sexe.
Elle avait du mal à cacher son émoi, son trouble, son émotion, ses joues la trahissaient, elle se dandinait, elle ne savait plus comment se mettre, qu'elle position prendre... Ce qui la rendait encore plus jolie, plus désirable.
J'avais réveillé en elle, l'envie, le désir, l'AMOUR tout simplement qui était enfoui depuis longtemps peut-être. Elle était redevenue " FEMME " tout simplement.
Je n'avais qu'une seule envie, qu'une obsession: la prendre dans mes bras, l'embrasser partout, lui faire l'amour par tous ses orifices. Lui redonner l'envie de crier, de gémir sous mes caresses, sous mes baisers...
Je vous raconterai tout ce qui s'est passé par la suite mais je préfère m'arrêter là pour aujourd'hui afin de ne pas vous prendre la tête avec des récits trop longs.
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