Mon amour pour les rondes.... et matures...
Récit érotique écrit par Lari [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-08-2008 dans la catégorie Pour la première fois
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Mon amour pour les rondes.... et matures...
Pour raconter, je vais vous raconter le pourquoi j'adore, jusqu'à aujourd'hui, les rondes matures.
J'avais l'âge de 16 ou 17 ans. Je commence la découverte de mon adolescence. Je suis né à l'étranger. Et à l'époque, toucher, parler ou simplement jeter un regard sur une femme était l'interdit lui-même. On tue tout simplement pour ça. Alors, nous les adolescents on était obligé de vivre avec la masturbation. Il faut baisser les yeux quand une femme passe devant toi, et impossible de faire la cour à une fille. J'habitais dans un quartier où j'avais comme grand ami mon propre coiffeur, avec qui j'ai lié pleins de secrets et notre amitié n'a fait que se renforcer. Alors, un jour il me dit qu'on allait partir dans un patelin où il y a des filles qu'on peut avoir avec de l'argent. Il était plus agé que moi. Un jour, on a acheté une bouteille de vin rouge en cachette avec mille et mille précautions. J'ai volé un peu d'argent à mon père et j'ai demandé le reste à ma mère, qui m'adorait beaucoup et ne me refusait rien, puisque j'ai été l'aîné de la famille. Alors, ce jour fatidique, on a pris un taxi, enroulé la bouteille de vin dans une valise, pour que personne ne s'en aperçoive. A l'arrivée, en milieu de journée, il faisait une chaleur torride, c'était un mois d'août. Comme mon ami connaît un peu le coin, on est parti vers une rivière où l'eau était fraîche. On a déposé la bouteille dans l'eau pour qu'elle refroidisse un peu. On s'est baigné et on a bu la bouteille. C'était la première fois de ma vie que je goûte le vin. J'avais la tête qui tournait mais j'étais trop bien. Vers 17h00, la fraîcheur commence à descendre on est parti à pied vers ce patelin. Mon ami frimait un peu devant moi, et il cherchait une femme qu'il connaissait et qui peut le diriger vers des putes. Cette femme se trouvait la plupart du temps assise devant la porte d'un cimetière. Alors, nous deux comme des idiots, on s'est mis devant cette porte et on l'attendait. Deux heures d'attente, et les gens qui passaient devant nous croyaient qu'on avait perdu un des proches. Et tout le monde nous présentait des condoléances. Enfin, là voilà qui arrive. C'est une femme qui doit avoir dans les 70 ans, à peu près. Très âgée, grosse, et se déplaçait difficilement et en plus elle n'avait pas de dents sauf deux devant qui tremblaient en parlant. Elle était vraiment moche. Dès qu'elle a vu mon copain, elle l'a salué et après maints et maints marchandages, elle me jette un regard et refuse de nous emmener parce que j'étais vraiment trop jeune, pour faire pareille chose. Alors, moi qui tremblais je dis à mon copain que je lui donne tout ce que j'avais dans la poche. A la fin, elle accepta, et nous demanda d'être très prudent, et l'a suivre de loin. Elle nous a fait pratiquement marcher des dizaines et des dizaines de kms. On tournait en rond. Pas une seule pute ne voulait de nous. Le soir commençait à tomber, et moi j'avais peur que mes parents s'inquiètent pour moi, malgré qu'ils sachent que je suis avec mon ami le coiffeur. A la fin, et malgré la fatigue, elle nous fait rentrer dans une maison où il y avait une seule fille. Cette fille, jeune, belle, refusait de nous prendre tous les deux. Elle dit que ce n’est pas bien, et que c'est interdit par sa religion. On rentre dans une chambre où il y avait un seul lit. On s'assoit avec la proxénète, qui n'arrêtait pas de faire des allers-retours pour que la fille nous accepte. Rien à faire. Elle dit qu'elle prendrait mon ami mais pas moi. J'étais trop jeune, qu'elle dit.
Vous ne pouvez pas imaginer mon état, et comment j'ai été. Alors, la vieille vient me voir et me dis si j'ai envie elle peut me soulager. Je laisse mon ami en bas du lit. Le lit était en hauteur à l'ancienne. Elle enlève sa culotte, et j'ai vu des jambes comme je n'en ai jamais vu. Une chatte épilée et bien entretenue. J'étais ébahi de la beauté que je viens de découvrir. A la missionnaire, je l'ai pénétrée tellement j'étais excité, que j'ai joui dès que je suis rentré en elle. Eh bien, mes amis, j'avais l'impression que j'ai été retenu par un fourneau. Elle en redemandait, redemandait, et ne voulait plus me lâcher. Elle voulait m'embrasser, chose que j'ai refusé. Je ne pensais que de ce vagin qui m'engloutit. Et je vous assure que j'ai joui cinq fois. Je ne lâchais pas. C'était tellement bon. Le monde n'existait plus pour moi, j'ai oublié ma famille et mon ami qui attendait (le pauvre). J’avais l'impression qu'elle avait des ventouses dans son trou qui m'aspirait. Elle ne cessait de retenir ses cris et n'avait que la bouche ouverte pour respirer. Je ne sais pas combien de fois elle avait joui, mais elle avait bien pris son pied. Elle était toute contente, des yeux pétillants de plaisirs et son visage a retrouvé une autre couleur que la couleur fade que j'avais vue en premier. Et pour ne pas blesser ni mon ami, ni la pute qui attendait, elle nous a rendu notre argent, et en plus c'est elle qui a payé la pute et a payé notre repas du soir, qui était déjà en préparation. Et elle a disparu. Depuis je n'ai plus attendu parler d'elle. Je suis revenu tout seul dans ce patelin plusieurs fois dans l'espoir de la revoir, mais personne n'avait osé me donner de ses nouvelles.
Jusqu'a nos jours, je me rappelle tous les traits de son visage, de son corps, de ses jambes, et de ce vagin qui m'avait dépucelé. Des fois, j'en rêve. C'était une période que je n'oublierais jamais de ma vie.
Et rien qu'à la vue d'une femme ronde, je bande comme un âne. Je n'arrive jamais à m'en empêcher. Voilà, mes amis, cette petite histoire écrite à la hâte, pour vous faire partager un plaisir que beaucoup de nous les hommes ont dans leur coeur. Si un jour, il arrive à un de nos participants de nous faire partager leur premier amour, ce serait bien pour notre petit coeur encore vivant.
Merci à ce site de m'avoir donné cette permission de raconter mon amour des rondes matures.
Lari
J'avais l'âge de 16 ou 17 ans. Je commence la découverte de mon adolescence. Je suis né à l'étranger. Et à l'époque, toucher, parler ou simplement jeter un regard sur une femme était l'interdit lui-même. On tue tout simplement pour ça. Alors, nous les adolescents on était obligé de vivre avec la masturbation. Il faut baisser les yeux quand une femme passe devant toi, et impossible de faire la cour à une fille. J'habitais dans un quartier où j'avais comme grand ami mon propre coiffeur, avec qui j'ai lié pleins de secrets et notre amitié n'a fait que se renforcer. Alors, un jour il me dit qu'on allait partir dans un patelin où il y a des filles qu'on peut avoir avec de l'argent. Il était plus agé que moi. Un jour, on a acheté une bouteille de vin rouge en cachette avec mille et mille précautions. J'ai volé un peu d'argent à mon père et j'ai demandé le reste à ma mère, qui m'adorait beaucoup et ne me refusait rien, puisque j'ai été l'aîné de la famille. Alors, ce jour fatidique, on a pris un taxi, enroulé la bouteille de vin dans une valise, pour que personne ne s'en aperçoive. A l'arrivée, en milieu de journée, il faisait une chaleur torride, c'était un mois d'août. Comme mon ami connaît un peu le coin, on est parti vers une rivière où l'eau était fraîche. On a déposé la bouteille dans l'eau pour qu'elle refroidisse un peu. On s'est baigné et on a bu la bouteille. C'était la première fois de ma vie que je goûte le vin. J'avais la tête qui tournait mais j'étais trop bien. Vers 17h00, la fraîcheur commence à descendre on est parti à pied vers ce patelin. Mon ami frimait un peu devant moi, et il cherchait une femme qu'il connaissait et qui peut le diriger vers des putes. Cette femme se trouvait la plupart du temps assise devant la porte d'un cimetière. Alors, nous deux comme des idiots, on s'est mis devant cette porte et on l'attendait. Deux heures d'attente, et les gens qui passaient devant nous croyaient qu'on avait perdu un des proches. Et tout le monde nous présentait des condoléances. Enfin, là voilà qui arrive. C'est une femme qui doit avoir dans les 70 ans, à peu près. Très âgée, grosse, et se déplaçait difficilement et en plus elle n'avait pas de dents sauf deux devant qui tremblaient en parlant. Elle était vraiment moche. Dès qu'elle a vu mon copain, elle l'a salué et après maints et maints marchandages, elle me jette un regard et refuse de nous emmener parce que j'étais vraiment trop jeune, pour faire pareille chose. Alors, moi qui tremblais je dis à mon copain que je lui donne tout ce que j'avais dans la poche. A la fin, elle accepta, et nous demanda d'être très prudent, et l'a suivre de loin. Elle nous a fait pratiquement marcher des dizaines et des dizaines de kms. On tournait en rond. Pas une seule pute ne voulait de nous. Le soir commençait à tomber, et moi j'avais peur que mes parents s'inquiètent pour moi, malgré qu'ils sachent que je suis avec mon ami le coiffeur. A la fin, et malgré la fatigue, elle nous fait rentrer dans une maison où il y avait une seule fille. Cette fille, jeune, belle, refusait de nous prendre tous les deux. Elle dit que ce n’est pas bien, et que c'est interdit par sa religion. On rentre dans une chambre où il y avait un seul lit. On s'assoit avec la proxénète, qui n'arrêtait pas de faire des allers-retours pour que la fille nous accepte. Rien à faire. Elle dit qu'elle prendrait mon ami mais pas moi. J'étais trop jeune, qu'elle dit.
Vous ne pouvez pas imaginer mon état, et comment j'ai été. Alors, la vieille vient me voir et me dis si j'ai envie elle peut me soulager. Je laisse mon ami en bas du lit. Le lit était en hauteur à l'ancienne. Elle enlève sa culotte, et j'ai vu des jambes comme je n'en ai jamais vu. Une chatte épilée et bien entretenue. J'étais ébahi de la beauté que je viens de découvrir. A la missionnaire, je l'ai pénétrée tellement j'étais excité, que j'ai joui dès que je suis rentré en elle. Eh bien, mes amis, j'avais l'impression que j'ai été retenu par un fourneau. Elle en redemandait, redemandait, et ne voulait plus me lâcher. Elle voulait m'embrasser, chose que j'ai refusé. Je ne pensais que de ce vagin qui m'engloutit. Et je vous assure que j'ai joui cinq fois. Je ne lâchais pas. C'était tellement bon. Le monde n'existait plus pour moi, j'ai oublié ma famille et mon ami qui attendait (le pauvre). J’avais l'impression qu'elle avait des ventouses dans son trou qui m'aspirait. Elle ne cessait de retenir ses cris et n'avait que la bouche ouverte pour respirer. Je ne sais pas combien de fois elle avait joui, mais elle avait bien pris son pied. Elle était toute contente, des yeux pétillants de plaisirs et son visage a retrouvé une autre couleur que la couleur fade que j'avais vue en premier. Et pour ne pas blesser ni mon ami, ni la pute qui attendait, elle nous a rendu notre argent, et en plus c'est elle qui a payé la pute et a payé notre repas du soir, qui était déjà en préparation. Et elle a disparu. Depuis je n'ai plus attendu parler d'elle. Je suis revenu tout seul dans ce patelin plusieurs fois dans l'espoir de la revoir, mais personne n'avait osé me donner de ses nouvelles.
Jusqu'a nos jours, je me rappelle tous les traits de son visage, de son corps, de ses jambes, et de ce vagin qui m'avait dépucelé. Des fois, j'en rêve. C'était une période que je n'oublierais jamais de ma vie.
Et rien qu'à la vue d'une femme ronde, je bande comme un âne. Je n'arrive jamais à m'en empêcher. Voilà, mes amis, cette petite histoire écrite à la hâte, pour vous faire partager un plaisir que beaucoup de nous les hommes ont dans leur coeur. Si un jour, il arrive à un de nos participants de nous faire partager leur premier amour, ce serait bien pour notre petit coeur encore vivant.
Merci à ce site de m'avoir donné cette permission de raconter mon amour des rondes matures.
Lari
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