Mon apprentissage-5
Récit érotique écrit par Bigou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-11-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mon apprentissage-5
Avec Jacques nous nous croisions dans l’appartement. Je savais bien que comme moi il fréquentait des femmes mures mais nous respections bien la séparation travail, sexe.
Je retrouvais Jean-Jacques dans son atelier. Il était accompagné d’une femme ravissante, perchée sur des hauts talons qui se prénommais Brigitte. Elle avait une voie plutôt grave, une belle poitrine, un décolleté impressionnant et des formes que mettait en valeur son pantalon moulant. Elle était venue voir le travail du maître. Je me déshabillais. Jean-Jacques pris sa fiole et commença à m’enduire d’huile. Brigitte proposa de l’aider ; Je sentais leurs mains me masser, insister sur mes muscles Brigitte se chargea de ma queue et de mes couilles et Jean-Jacques de mon cul et de mes fesses. Le résultat ne se fit pas attendre. Elle avait provoqué une belle érection et semblait satisfaite. Ils terminèrent par mes cuisses et mes jambes. Le résultat était satisfaisant, ma musculature étant bien mise en valeur. Brigitte me frôlait, prolongeant ainsi mon érection.
Jean-Jacques était content de son œuvre. Dès que survenait la pause, Brigitte s’asseyait auprès de moi. Nos jambes se frôlaient et c’était très excitant. Dès qu’elle me touchait ma verge se dressait ce qui la faisait sourire.
Au bout de 4 heures Jean-Jacques mis fin à la séance. Brigitte m’embrassa en émettant le souhait de se revoir. En arrivant chez moi je me suis aperçu que j’avais oublié ma sacoche avec mes papiers. Je retournais à l’atelier. La porte était ouverte mais il n’y avait personne, j’appelais, aucune réponse. De l’appartement de Jean-Jacques se dégageait une musique très forte. Personne dans le salon. Je continuais ma progression et par la porte de la chambre entrebâillée je vis un spectacle surprenant. Ils étaient nus tous les deux. Jean-Jacques était à quatre pattes un collier et une laisse en place et Brigitte le sodomisait. Elle était en fait un travesti. Ses seins étaient superbes et son corps magnifique. Je rentrais dans la pièce. La surprise fût totale. Brigitte décula et se précipita sur moi pour m’enlacer. Elle bredouillait des « excuses-moi », « je vais t’expliquer ». Elle avait un joli petit sexe fin et long. Comme elle se frottait à moi je sentais ses seins sur ma poitrine et mes mains étaient sur ses fesses. Elle sentit que je lui faisait de l’effet et accentua sa pression. Très vite elle s’agenouilla, défit la ceinture de mon pantalon, baissa mon slip et me pris en bouche. Elle avait une superbe technique gorge profonde. Elle me tenait les fesses en cherchant ma rondelle pour la pénétrer. Pendant ce temps Jean-Jacques nous regardait sans changer de position. Je lui caressais la tête accompagnant son mouvement. Elle demanda alors à Jean-Jacques de venir lui lécher le cul ce qu’il fît immédiatement. Une fois sa rondelle bien humide, elle écarta Jean-Jacques. Elle abandonna ma queue, me mis un préservatif et se mis à quatre pattes en écartant ses fesses. Je la pénétrais immédiatement en lui prenant les seins. Ils étaient doux et fermes. Elle bandait sous ma pénétration. Elle demanda à Jean-Jacques de la sucer. Elle avait repris la laisse et lui imposait les mouvements. Ses tétons étaient très sensibles. Quand je les étirais elle gémissait de plaisir. J’accélérais le mouvement, je lui pinçais le bout des seins de plus en plus fort, sentant venir ma jouissance. Je m’affalais sur elle crachant mon sperme tandis que Jean-Jacques essayait de la faire jouir. Comme il n’y arrivait pas, je pris les choses en main jusqu’à ce qu’avec un grand cri elle crache son sperme sur ma main.
Je me déshabillais complètement et m’allongeais sur le lit. Jean-Jacques avait retrouvé son coin. Elle se mit à me caresser, à embrasser toutes les parcelles de mon corps. Elle me nettoya la queue, goba mes couilles. Me mettant sur le ventre elle fît de même avec mon dos. Elle m’écarta les fesses et se mit à élargir ma rondelle avec sa langue qui fut remplacée par ses doigts. Je sentais mon cul s’ouvrir. Elle me renversa sur le dos, mis un préservatif sur sa queue. Elle me mis les jambes en l’air me tenant par les chevilles et m’encula en me regardant dans les yeux. Je sentais sa petite queue aller et venir en moi. Je voyais ses seins balloter devant mes yeux. Elle me pistonna pendant de longues minutes puis avec un cri elle se retira et joui sur mon ventre. Pour une première fois avec un trav j’étais servi.
Pour finir elle demanda à Jean-Jacques de se présenter à quatre pattes, fesses écartées. Elle m’habilla d ‘un préservatif et me présenta devant l’anus bien ouvert du sculpteur. Je m’enfonçais en lui. Passant derrière moi elle me pris les tétons et accompagna mes mouvements. Je sentais son sexe plein de sperme sur mes fesses et ses seins écrasés sur mon dos. Nous enculions Jean-Jacques en cadence. Elle savait se servir de ses doigts pour pincer mes tétons. Elle me demanda de la prévenir lorsque je sentirais que j’allais venir. Elle me força alors à me retirer du cul de Jean-Jacques, elle m’enleva le préservatif et dirigea mon sperme sur sa bouche et son visage. C’était génial.
J’avais eu mon compte. Elle était la maîtresse de Jean-Jacques depuis longtemps et l’avais soumis. Il lui avait dit qu’il avait recruté un beau garçon très bien foutu. Elle avait demandé à me voir et je lui avais beaucoup plu. Sans l’oubli de mes papiers est ce que tout cela se serait passé ? Le hasard fait bien les choses. Je promis à Jean-Jacques de revenir poser pour lui mais sans relations sexuelles. Quant à Brigitte elle est désormais dans mon carnet d’adresse au cas où.
Je retrouvais Jean-Jacques dans son atelier. Il était accompagné d’une femme ravissante, perchée sur des hauts talons qui se prénommais Brigitte. Elle avait une voie plutôt grave, une belle poitrine, un décolleté impressionnant et des formes que mettait en valeur son pantalon moulant. Elle était venue voir le travail du maître. Je me déshabillais. Jean-Jacques pris sa fiole et commença à m’enduire d’huile. Brigitte proposa de l’aider ; Je sentais leurs mains me masser, insister sur mes muscles Brigitte se chargea de ma queue et de mes couilles et Jean-Jacques de mon cul et de mes fesses. Le résultat ne se fit pas attendre. Elle avait provoqué une belle érection et semblait satisfaite. Ils terminèrent par mes cuisses et mes jambes. Le résultat était satisfaisant, ma musculature étant bien mise en valeur. Brigitte me frôlait, prolongeant ainsi mon érection.
Jean-Jacques était content de son œuvre. Dès que survenait la pause, Brigitte s’asseyait auprès de moi. Nos jambes se frôlaient et c’était très excitant. Dès qu’elle me touchait ma verge se dressait ce qui la faisait sourire.
Au bout de 4 heures Jean-Jacques mis fin à la séance. Brigitte m’embrassa en émettant le souhait de se revoir. En arrivant chez moi je me suis aperçu que j’avais oublié ma sacoche avec mes papiers. Je retournais à l’atelier. La porte était ouverte mais il n’y avait personne, j’appelais, aucune réponse. De l’appartement de Jean-Jacques se dégageait une musique très forte. Personne dans le salon. Je continuais ma progression et par la porte de la chambre entrebâillée je vis un spectacle surprenant. Ils étaient nus tous les deux. Jean-Jacques était à quatre pattes un collier et une laisse en place et Brigitte le sodomisait. Elle était en fait un travesti. Ses seins étaient superbes et son corps magnifique. Je rentrais dans la pièce. La surprise fût totale. Brigitte décula et se précipita sur moi pour m’enlacer. Elle bredouillait des « excuses-moi », « je vais t’expliquer ». Elle avait un joli petit sexe fin et long. Comme elle se frottait à moi je sentais ses seins sur ma poitrine et mes mains étaient sur ses fesses. Elle sentit que je lui faisait de l’effet et accentua sa pression. Très vite elle s’agenouilla, défit la ceinture de mon pantalon, baissa mon slip et me pris en bouche. Elle avait une superbe technique gorge profonde. Elle me tenait les fesses en cherchant ma rondelle pour la pénétrer. Pendant ce temps Jean-Jacques nous regardait sans changer de position. Je lui caressais la tête accompagnant son mouvement. Elle demanda alors à Jean-Jacques de venir lui lécher le cul ce qu’il fît immédiatement. Une fois sa rondelle bien humide, elle écarta Jean-Jacques. Elle abandonna ma queue, me mis un préservatif et se mis à quatre pattes en écartant ses fesses. Je la pénétrais immédiatement en lui prenant les seins. Ils étaient doux et fermes. Elle bandait sous ma pénétration. Elle demanda à Jean-Jacques de la sucer. Elle avait repris la laisse et lui imposait les mouvements. Ses tétons étaient très sensibles. Quand je les étirais elle gémissait de plaisir. J’accélérais le mouvement, je lui pinçais le bout des seins de plus en plus fort, sentant venir ma jouissance. Je m’affalais sur elle crachant mon sperme tandis que Jean-Jacques essayait de la faire jouir. Comme il n’y arrivait pas, je pris les choses en main jusqu’à ce qu’avec un grand cri elle crache son sperme sur ma main.
Je me déshabillais complètement et m’allongeais sur le lit. Jean-Jacques avait retrouvé son coin. Elle se mit à me caresser, à embrasser toutes les parcelles de mon corps. Elle me nettoya la queue, goba mes couilles. Me mettant sur le ventre elle fît de même avec mon dos. Elle m’écarta les fesses et se mit à élargir ma rondelle avec sa langue qui fut remplacée par ses doigts. Je sentais mon cul s’ouvrir. Elle me renversa sur le dos, mis un préservatif sur sa queue. Elle me mis les jambes en l’air me tenant par les chevilles et m’encula en me regardant dans les yeux. Je sentais sa petite queue aller et venir en moi. Je voyais ses seins balloter devant mes yeux. Elle me pistonna pendant de longues minutes puis avec un cri elle se retira et joui sur mon ventre. Pour une première fois avec un trav j’étais servi.
Pour finir elle demanda à Jean-Jacques de se présenter à quatre pattes, fesses écartées. Elle m’habilla d ‘un préservatif et me présenta devant l’anus bien ouvert du sculpteur. Je m’enfonçais en lui. Passant derrière moi elle me pris les tétons et accompagna mes mouvements. Je sentais son sexe plein de sperme sur mes fesses et ses seins écrasés sur mon dos. Nous enculions Jean-Jacques en cadence. Elle savait se servir de ses doigts pour pincer mes tétons. Elle me demanda de la prévenir lorsque je sentirais que j’allais venir. Elle me força alors à me retirer du cul de Jean-Jacques, elle m’enleva le préservatif et dirigea mon sperme sur sa bouche et son visage. C’était génial.
J’avais eu mon compte. Elle était la maîtresse de Jean-Jacques depuis longtemps et l’avais soumis. Il lui avait dit qu’il avait recruté un beau garçon très bien foutu. Elle avait demandé à me voir et je lui avais beaucoup plu. Sans l’oubli de mes papiers est ce que tout cela se serait passé ? Le hasard fait bien les choses. Je promis à Jean-Jacques de revenir poser pour lui mais sans relations sexuelles. Quant à Brigitte elle est désormais dans mon carnet d’adresse au cas où.
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