Mon beau-père Alvaro abuse de moi
Récit érotique écrit par North_pekan [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-05-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mon beau-père Alvaro abuse de moi
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Hello, moi c’est Mathis. Je viens tout juste d’avoir 18 ans (on les a fêté en famille le week-end dernier).
Je fais 1m74 pour 62 kg, les cheveux châtains courts et les yeux verts. Je suis imberbe, bien foutu (je pratique le hip-hop et la muscu depuis très jeune) et je plais beaucoup aux filles.
J’ai découvert depuis quelques années déjà que je kiffais les mecs. C’est assez dur à vivre, surtout en grandissant en proche banlieue, à l’est de Paris.
Je n’ai quasiment jamais connu mon père. Il est parti peu de temps après ma naissance et n’a jamais donné de nouvelles. Ma mère a rencontré mon beau-père quand j’avais 6 ans.
J’ai eu un peu de mal à devoir partager ma mère avec un inconnu mais je m’y suis fait avec le temps… Mon beau-père est portugais, il s’appelle Alvaro.
Il a 49 ans et on ne peut pas dire que ce soit un mannequin. Il est brun, la peau mâte, très poilu et mesure 1m86 pour 105 kg.
Alvaro a fait beaucoup de rugby quand il était jeune, au Portugal et il en a d’ailleurs conservé une sacré carrure. Il a des épaules, des mains et des cuisses très larges.
Avec l’âge, il a pris pas mal de bide mais il reste assez impressionnant. Mes copains en ont assez peur, d’autant qu’il parait assez sévère.
On ne peut pas dire qu’il soit très causant ni d’une grande écoute mais avec moi il s’est toujours montré protecteur.
J’ai très peu d’expérience avec les garçons mais je me sens très attiré par les mecs plus âgés que moi. Récemment, je me suis surpris à fantasmer sur Alvaro.
Il faut dire qu’il se promène très souvent en slip dans l’appart. Il lui arrive de rester des journées entières, le dimanche, en t-shirt et en slip.
Bien sûr, je ne loupe pas une miette du spectacle et trouve toujours une excuse pour passer un maximum de temps dans le salon alors qu’en général je préfère l’intimité de ma chambre.
Je dois bien admettre que toutes les parties de son corps sont en proportion avec sa carrure. Alvaro a l’air monté comme un âne.
Ses slips sont toujours très déformés par le paquet qu’il a entre les jambes (poilues comme j’aime). Alvaro dégage une virilité très sexuelle à laquelle je peux de moins en moins résister.
Depuis quelques temps déjà, je sens quelques tensions dans le couple de ma mère. Cela me peine un peu, je n’aimerai pas voir ma mère souffrir encore à cause d’un homme.
Alvaro s’isole régulièrement et passe pas mal de temps à boire devant la TV du salon. Ils ne rient plus comme ils avaient l’habitude de le faire et les échanges entre eux ne portent que sur l’intendance de la maison.
Un mercredi après-midi, je rentre du sport et vais prendre une douche comme j’ai l’habitude de le faire. Alors que je sors de la douche, en mettant mes affaires dans la panière de linge sale, je tombe sur un des slips d’Alvaro.
Cela m’excite instantanément et je ne peux m’empêcher de penser que ce morceau de tissu a eu la chance de caresser la grosse queue de mon beau-père pendant de longues heures.
Je me saisis du slip et le porte instinctivement à mon visage. Une odeur très forte mêlée de sueur et de pisse s’en dégage.
De plus en plus excité, je laisse tomber la serviette autour de ma taille et commence à me branler. Je me frotte maintenant frénétiquement tout le visage avec le slip d’Alvaro.
J’ai envie d’imprégner son odeur sur chaque pore de ma peau. Je m’imagine la bite d’Alvaro, elle doit être tellement bonne, j’en ai une furieuse envie.
Soudain, la porte s’ouvre et Alvaro fonce dans la salle de bain en déboutonnant son pantalon comme pour aller pisser.
Quand ses yeux tombent sur moi, il reste planté là, quelques secondes comme choqué et me regarde avec des yeux noirs d’incompréhension et de colère.
Il m’arrache son slip des mains et sort de la salle de bain sans dire un mot.
Je reste pétrifié, debout seul au milieu de salle de bain, la serviette sur les pieds… et ne sais quoi faire !!
Je débande direct et commence nerveusement à trembler... J’aimerais rester cloîtré dans cette salle de bain jusqu’à la fin de mes jours…
Je reste quelques longues minutes et finit par sortir discrètement pour me rendre directement dans ma chambre.
La fin de la journée se déroule comme si rien ne s’était passé. Je rejoins, malgré moi, ma mère et Alvaro pour diner, sans un mot.
L’ambiance est lourde.
Alvaro boit beaucoup et ne me regarde même pas. Avait-il compris quelles étaient mes intentions ? En a-t-il parlé à ma mère ? Vais-je devoir expliquer l’incompréhensible ?
Je finis rapidement de manger et retourne dans ma chambre après avoir souhaité bonne nuit à tout le monde.
Plusieurs heures passent et je n’arrive toujours pas à dormir. Il est maintenant 1h30 du matin mais je suis bien trop perturbé par ce qu’il s’est passé aujourd’hui.
Je culpabilise et j’ai honte d’avoir ainsi été découvert par Alvaro mais je ne peux m’empêcher de repenser à son slip dont j’aimerais encore tant pouvoir profiter.
Son slip et surtout ce qu’il contient m’obsède…
On frappe très doucement à ma porte. Sans que je réponde, Alvaro entre dans ma chambre et vient directement vers moi.
Il sent très fort l’alcool. Il est encore un fois habillé d’un seul t-shirt et d’un slip.
J’ai peur, je sens qu’Alvaro vient pour me corriger.
Il se déplace très rapidement jusqu’à mon lit et s’approche très près de moi. Il me parle à voix basse.
Alvaro : Est-ce que je peux savoir ce que tu faisais avec mon slip dans la salle de bain ? Je n’arrête pas d’y penser et ne comprends toujours pas ce qu’il t’a pris !
Moi : Je… je…je suis désolé Alvaro. Je ne peux pas l’expliquer, tu ne comprendrais pas…
Alvaro : Vas-y ! Dis le moi !!
Moi : Je ne pouvais pas me contrôler. Je pense être attiré par les garçons… je devais le vérifier… je suis désolé.
A ce moment là, il a un bref geste de recul. J’ai l’impression qu’il ne comprend pas. Il a l’air circonspect.
En même temps, avec tout ce qu’il a bu, cela ne m’étonne pas. Il se rapproche à nouveau près de moi.
Alvaro : Et mon slip t’a plu ?
Moi : Euh… je ne sais pas comment te dire… euh, mais… oui.
Alvaro : Tu en aimerais plus ?
Mon regard se fixe sur son slip et je vois que le tissu est tendu comme jamais.
Se pouvait-il qu’il bande, là, dans ma chambre ? Alvaro me fixe maintenant avec un regard que je n’avais jamais vu auparavant.
Moi : Euh…je dois bien avouer que…euh…oui. Mais qu’en penses-tu ?
Alvaro : J’en pense que ta mère ne veut plus de moi. On a rien fait depuis plusieurs mois et j’ai trop envie de baiser !
Je bande instantanément. Alvaro est dans ma chambre, à moitié à poil, il a bu et a une envie furieuse de baiser !!
J’ai tellement envie qu’il me baise !!!
D’un coup, Alvaro baisse son slip et laisse apparaitre une bite énorme et magnifique. Elle est plus épaisse que longue (elle doit faire 19 par 7), ses couilles sont lourdes et poilues.
Il retire maintenant son t-shirt laissant apparaitre son torse large, massif et poilu. Une forte odeur se dégage de tout son corps.
La vue de cet homme mûr et macho nu dans ma chambre m’excite au plus haut point.
Alvaro : Tu veux bien me sucer, Mathis ?
Moi : Oui, j’en ai envie depuis trop longtemps !!
Alvaro : Alors, pompe-moi bien à fonds ! Fais-toi plaisir avec la bite d’Alvaro !!
Je me mets d’abord à l’embrasser. Ses lèvres charnues m’enveloppent les lèvres. Il sort sa langue avec force pour me l’enfoncer en bouche. Je me délecte de sa salive.
Je soulève alors l’un de ses bras et vient lécher son aisselle généreusement poilue. Je suis soumis à son odeur, à sa virilité...
Je descends avec ma langue tout le long de son torse, entre ses poils et m’arrête sur les tétons que je mordille légèrement.
Il attrape alors ma tête et la fais descendre tout le long de son gros ventre poilu. J’arrive enfin devant son sexe dont je rêvais depuis des mois.
J’enfonce rapidement sa bite dans ma bouche et commence à le sucer énergiquement. Alvaro souffle fort et râle de plaisir.
Alvaro : Hhmm, c’est trop bon, p’tite pute ! Vas-y continue !! T’es une bonne chienne, toi ! Tu suces mieux que ta mère ! Hhmm, vas-y, vas-y ! Oui, comme ça !
Ses insultes m’excitent terriblement ! Je me sens vraiment comme une vraie salope, là, dans ma chambre, à pomper mon beau-père en pleine nuit.
Il agrippe ma tête et commence à me bourrer la gueule à coup de queue. Elle est vraiment énorme et remplie aisément ma bouche ainsi que toute ma gorge.
Il ralentit ses mouvements et sort de ma bouche.
Alvaro : J’ai trop envie de te niquer !!!! Enlève ton pyjama et retourne-toi !
Je m’exécute et m’allonge sur le ventre.
Alvaro : Putain, t’as un beau p’tit cul de salope !!! J’vais te le déchirer !!
Moi : Oui, prends-moi comme une pute, Alvaro !!! Je t’en supplie !!!!!!
Alvaro monte dans mon lit et s’allonge sur moi. Ses 105 kg m’empêchent de faire tout mouvement. Je suis à sa merci.
Je sens bientôt le gland de la bite de mon beau-père presser sur ma rondelle. C’est la 1ère fois que je me fais prendre. J’ai peur ! Et si j’avais mal ?
Alvaro enfonce doucement son pieu en moi ! Je sens passer les centimètres de sa queue de taureau les uns après les autres. Quelle sensation !!!
Je me sens possédé, comblé et totalement soumis à sa bite !!! Alvaro s’enfonce entièrement, au plus profond de mes entrailles.
Alvaro : C’est trop bon, putain !!! J’adore ton cul !!!!!
Mon beau-père accélère ses va-et-vient. Mon cul se dilate au gré des coups qu’il me donne. Je prends de plus en plus de plaisir.
J’aimerais qu’il aille plus vite, qu’il soit plus violent, qu’il m’insulte encore mais je le laisse faire. Je me laisse entièrement guider dans cette chevauchée.
Par moment, il retire entièrement sa queue de mon cul puis la remet par un coup sec. J’aime le sentir en moi !
Alvaro gémit, râle fort, transpire à grosses gouttes, se frotte entièrement contre mon corps. J’aime sentir que je lui provoque autant de plaisir.
Mon cul lui appartient, il ne veut de personne d’autre. Je ne sais pas combien de temps cela dure. Peut-être déjà 20 minutes qu’Alvaro me démonte comme une pute.
Je n’ai pas envie que cela cesse. J’essaie de ne pas hurler de plaisir pour ne pas réveiller ma mère.
Alvaro : J’vais gicler, putain ! Tu vas me faire jouir !!!!
D’un seul coup, Alvaro m’enfonce la tête dans mon oreiller et me laboure brutalement. Il se met à hurler et je sens déjà ses flots de sperme m’inonder le cul.
Son foutre m’explose de joie !!!
Alvaro se retire doucement et je me sens déjà vide, seul, abandonné. J’ai envie de faire comprendre à mon beau-père à quel point j’ai aimé le sentir en moi.
Je me dirige alors vers sa bite et commence à lui nettoyer les dernières gouttes de spermes avec la langue. J’aimerais rester avec sa bite dans la bouche toute la nuit.
Je lui masse docilement les couilles en même temps.
Alvaro me caresse les cheveux pendant que je continue de le sucer. Sa bite retrouve doucement une forme humaine.
Alvaro : Ca t’a plu, Mathis ?
Moi : J’ai adoré !!!
Alvaro : Tant mieux !! A partir de maintenant, je te prendrai le cul à chaque fois que j’en ai envie ! Et j’ai très très souvent envie de baiser !! Tu m’entends ?
Moi : Oui !!!
Alvaro : Parfait ! Et ça reste entre toi et moi !! Bonne nuit et à demain !
Il m’embrasse, sort de la chambre et me laisse seul dans mon lit souillé.
Inutile de vous dire que je n’ai pas réussi à fermer l’œil.
J’ai passé la nuit à penser à la prochaine fois où mon beau-père viendrait me posséder !!
Hello, moi c’est Mathis. Je viens tout juste d’avoir 18 ans (on les a fêté en famille le week-end dernier).
Je fais 1m74 pour 62 kg, les cheveux châtains courts et les yeux verts. Je suis imberbe, bien foutu (je pratique le hip-hop et la muscu depuis très jeune) et je plais beaucoup aux filles.
J’ai découvert depuis quelques années déjà que je kiffais les mecs. C’est assez dur à vivre, surtout en grandissant en proche banlieue, à l’est de Paris.
Je n’ai quasiment jamais connu mon père. Il est parti peu de temps après ma naissance et n’a jamais donné de nouvelles. Ma mère a rencontré mon beau-père quand j’avais 6 ans.
J’ai eu un peu de mal à devoir partager ma mère avec un inconnu mais je m’y suis fait avec le temps… Mon beau-père est portugais, il s’appelle Alvaro.
Il a 49 ans et on ne peut pas dire que ce soit un mannequin. Il est brun, la peau mâte, très poilu et mesure 1m86 pour 105 kg.
Alvaro a fait beaucoup de rugby quand il était jeune, au Portugal et il en a d’ailleurs conservé une sacré carrure. Il a des épaules, des mains et des cuisses très larges.
Avec l’âge, il a pris pas mal de bide mais il reste assez impressionnant. Mes copains en ont assez peur, d’autant qu’il parait assez sévère.
On ne peut pas dire qu’il soit très causant ni d’une grande écoute mais avec moi il s’est toujours montré protecteur.
J’ai très peu d’expérience avec les garçons mais je me sens très attiré par les mecs plus âgés que moi. Récemment, je me suis surpris à fantasmer sur Alvaro.
Il faut dire qu’il se promène très souvent en slip dans l’appart. Il lui arrive de rester des journées entières, le dimanche, en t-shirt et en slip.
Bien sûr, je ne loupe pas une miette du spectacle et trouve toujours une excuse pour passer un maximum de temps dans le salon alors qu’en général je préfère l’intimité de ma chambre.
Je dois bien admettre que toutes les parties de son corps sont en proportion avec sa carrure. Alvaro a l’air monté comme un âne.
Ses slips sont toujours très déformés par le paquet qu’il a entre les jambes (poilues comme j’aime). Alvaro dégage une virilité très sexuelle à laquelle je peux de moins en moins résister.
Depuis quelques temps déjà, je sens quelques tensions dans le couple de ma mère. Cela me peine un peu, je n’aimerai pas voir ma mère souffrir encore à cause d’un homme.
Alvaro s’isole régulièrement et passe pas mal de temps à boire devant la TV du salon. Ils ne rient plus comme ils avaient l’habitude de le faire et les échanges entre eux ne portent que sur l’intendance de la maison.
Un mercredi après-midi, je rentre du sport et vais prendre une douche comme j’ai l’habitude de le faire. Alors que je sors de la douche, en mettant mes affaires dans la panière de linge sale, je tombe sur un des slips d’Alvaro.
Cela m’excite instantanément et je ne peux m’empêcher de penser que ce morceau de tissu a eu la chance de caresser la grosse queue de mon beau-père pendant de longues heures.
Je me saisis du slip et le porte instinctivement à mon visage. Une odeur très forte mêlée de sueur et de pisse s’en dégage.
De plus en plus excité, je laisse tomber la serviette autour de ma taille et commence à me branler. Je me frotte maintenant frénétiquement tout le visage avec le slip d’Alvaro.
J’ai envie d’imprégner son odeur sur chaque pore de ma peau. Je m’imagine la bite d’Alvaro, elle doit être tellement bonne, j’en ai une furieuse envie.
Soudain, la porte s’ouvre et Alvaro fonce dans la salle de bain en déboutonnant son pantalon comme pour aller pisser.
Quand ses yeux tombent sur moi, il reste planté là, quelques secondes comme choqué et me regarde avec des yeux noirs d’incompréhension et de colère.
Il m’arrache son slip des mains et sort de la salle de bain sans dire un mot.
Je reste pétrifié, debout seul au milieu de salle de bain, la serviette sur les pieds… et ne sais quoi faire !!
Je débande direct et commence nerveusement à trembler... J’aimerais rester cloîtré dans cette salle de bain jusqu’à la fin de mes jours…
Je reste quelques longues minutes et finit par sortir discrètement pour me rendre directement dans ma chambre.
La fin de la journée se déroule comme si rien ne s’était passé. Je rejoins, malgré moi, ma mère et Alvaro pour diner, sans un mot.
L’ambiance est lourde.
Alvaro boit beaucoup et ne me regarde même pas. Avait-il compris quelles étaient mes intentions ? En a-t-il parlé à ma mère ? Vais-je devoir expliquer l’incompréhensible ?
Je finis rapidement de manger et retourne dans ma chambre après avoir souhaité bonne nuit à tout le monde.
Plusieurs heures passent et je n’arrive toujours pas à dormir. Il est maintenant 1h30 du matin mais je suis bien trop perturbé par ce qu’il s’est passé aujourd’hui.
Je culpabilise et j’ai honte d’avoir ainsi été découvert par Alvaro mais je ne peux m’empêcher de repenser à son slip dont j’aimerais encore tant pouvoir profiter.
Son slip et surtout ce qu’il contient m’obsède…
On frappe très doucement à ma porte. Sans que je réponde, Alvaro entre dans ma chambre et vient directement vers moi.
Il sent très fort l’alcool. Il est encore un fois habillé d’un seul t-shirt et d’un slip.
J’ai peur, je sens qu’Alvaro vient pour me corriger.
Il se déplace très rapidement jusqu’à mon lit et s’approche très près de moi. Il me parle à voix basse.
Alvaro : Est-ce que je peux savoir ce que tu faisais avec mon slip dans la salle de bain ? Je n’arrête pas d’y penser et ne comprends toujours pas ce qu’il t’a pris !
Moi : Je… je…je suis désolé Alvaro. Je ne peux pas l’expliquer, tu ne comprendrais pas…
Alvaro : Vas-y ! Dis le moi !!
Moi : Je ne pouvais pas me contrôler. Je pense être attiré par les garçons… je devais le vérifier… je suis désolé.
A ce moment là, il a un bref geste de recul. J’ai l’impression qu’il ne comprend pas. Il a l’air circonspect.
En même temps, avec tout ce qu’il a bu, cela ne m’étonne pas. Il se rapproche à nouveau près de moi.
Alvaro : Et mon slip t’a plu ?
Moi : Euh… je ne sais pas comment te dire… euh, mais… oui.
Alvaro : Tu en aimerais plus ?
Mon regard se fixe sur son slip et je vois que le tissu est tendu comme jamais.
Se pouvait-il qu’il bande, là, dans ma chambre ? Alvaro me fixe maintenant avec un regard que je n’avais jamais vu auparavant.
Moi : Euh…je dois bien avouer que…euh…oui. Mais qu’en penses-tu ?
Alvaro : J’en pense que ta mère ne veut plus de moi. On a rien fait depuis plusieurs mois et j’ai trop envie de baiser !
Je bande instantanément. Alvaro est dans ma chambre, à moitié à poil, il a bu et a une envie furieuse de baiser !!
J’ai tellement envie qu’il me baise !!!
D’un coup, Alvaro baisse son slip et laisse apparaitre une bite énorme et magnifique. Elle est plus épaisse que longue (elle doit faire 19 par 7), ses couilles sont lourdes et poilues.
Il retire maintenant son t-shirt laissant apparaitre son torse large, massif et poilu. Une forte odeur se dégage de tout son corps.
La vue de cet homme mûr et macho nu dans ma chambre m’excite au plus haut point.
Alvaro : Tu veux bien me sucer, Mathis ?
Moi : Oui, j’en ai envie depuis trop longtemps !!
Alvaro : Alors, pompe-moi bien à fonds ! Fais-toi plaisir avec la bite d’Alvaro !!
Je me mets d’abord à l’embrasser. Ses lèvres charnues m’enveloppent les lèvres. Il sort sa langue avec force pour me l’enfoncer en bouche. Je me délecte de sa salive.
Je soulève alors l’un de ses bras et vient lécher son aisselle généreusement poilue. Je suis soumis à son odeur, à sa virilité...
Je descends avec ma langue tout le long de son torse, entre ses poils et m’arrête sur les tétons que je mordille légèrement.
Il attrape alors ma tête et la fais descendre tout le long de son gros ventre poilu. J’arrive enfin devant son sexe dont je rêvais depuis des mois.
J’enfonce rapidement sa bite dans ma bouche et commence à le sucer énergiquement. Alvaro souffle fort et râle de plaisir.
Alvaro : Hhmm, c’est trop bon, p’tite pute ! Vas-y continue !! T’es une bonne chienne, toi ! Tu suces mieux que ta mère ! Hhmm, vas-y, vas-y ! Oui, comme ça !
Ses insultes m’excitent terriblement ! Je me sens vraiment comme une vraie salope, là, dans ma chambre, à pomper mon beau-père en pleine nuit.
Il agrippe ma tête et commence à me bourrer la gueule à coup de queue. Elle est vraiment énorme et remplie aisément ma bouche ainsi que toute ma gorge.
Il ralentit ses mouvements et sort de ma bouche.
Alvaro : J’ai trop envie de te niquer !!!! Enlève ton pyjama et retourne-toi !
Je m’exécute et m’allonge sur le ventre.
Alvaro : Putain, t’as un beau p’tit cul de salope !!! J’vais te le déchirer !!
Moi : Oui, prends-moi comme une pute, Alvaro !!! Je t’en supplie !!!!!!
Alvaro monte dans mon lit et s’allonge sur moi. Ses 105 kg m’empêchent de faire tout mouvement. Je suis à sa merci.
Je sens bientôt le gland de la bite de mon beau-père presser sur ma rondelle. C’est la 1ère fois que je me fais prendre. J’ai peur ! Et si j’avais mal ?
Alvaro enfonce doucement son pieu en moi ! Je sens passer les centimètres de sa queue de taureau les uns après les autres. Quelle sensation !!!
Je me sens possédé, comblé et totalement soumis à sa bite !!! Alvaro s’enfonce entièrement, au plus profond de mes entrailles.
Alvaro : C’est trop bon, putain !!! J’adore ton cul !!!!!
Mon beau-père accélère ses va-et-vient. Mon cul se dilate au gré des coups qu’il me donne. Je prends de plus en plus de plaisir.
J’aimerais qu’il aille plus vite, qu’il soit plus violent, qu’il m’insulte encore mais je le laisse faire. Je me laisse entièrement guider dans cette chevauchée.
Par moment, il retire entièrement sa queue de mon cul puis la remet par un coup sec. J’aime le sentir en moi !
Alvaro gémit, râle fort, transpire à grosses gouttes, se frotte entièrement contre mon corps. J’aime sentir que je lui provoque autant de plaisir.
Mon cul lui appartient, il ne veut de personne d’autre. Je ne sais pas combien de temps cela dure. Peut-être déjà 20 minutes qu’Alvaro me démonte comme une pute.
Je n’ai pas envie que cela cesse. J’essaie de ne pas hurler de plaisir pour ne pas réveiller ma mère.
Alvaro : J’vais gicler, putain ! Tu vas me faire jouir !!!!
D’un seul coup, Alvaro m’enfonce la tête dans mon oreiller et me laboure brutalement. Il se met à hurler et je sens déjà ses flots de sperme m’inonder le cul.
Son foutre m’explose de joie !!!
Alvaro se retire doucement et je me sens déjà vide, seul, abandonné. J’ai envie de faire comprendre à mon beau-père à quel point j’ai aimé le sentir en moi.
Je me dirige alors vers sa bite et commence à lui nettoyer les dernières gouttes de spermes avec la langue. J’aimerais rester avec sa bite dans la bouche toute la nuit.
Je lui masse docilement les couilles en même temps.
Alvaro me caresse les cheveux pendant que je continue de le sucer. Sa bite retrouve doucement une forme humaine.
Alvaro : Ca t’a plu, Mathis ?
Moi : J’ai adoré !!!
Alvaro : Tant mieux !! A partir de maintenant, je te prendrai le cul à chaque fois que j’en ai envie ! Et j’ai très très souvent envie de baiser !! Tu m’entends ?
Moi : Oui !!!
Alvaro : Parfait ! Et ça reste entre toi et moi !! Bonne nuit et à demain !
Il m’embrasse, sort de la chambre et me laisse seul dans mon lit souillé.
Inutile de vous dire que je n’ai pas réussi à fermer l’œil.
J’ai passé la nuit à penser à la prochaine fois où mon beau-père viendrait me posséder !!
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Vite une suite ! Alvaro l'animal et le sexy doit revenir !
Ton histoire n'est pas mal raconté , mais pour une première se faire se faire mettre un pénis de < 19/7 > cela me semble un peu gros ???? 7 cm c'est a peu prêt la taille d'une bouteille de flotte !!!!!!!!!!