Mon beau-pere, ce Don Juan du sexe
Récit érotique écrit par Love_in_pain [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-11-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mon beau-pere, ce Don Juan du sexe
Il y a dix ans de cela, il m’est arrivé une aventure incroyable, mais vraie. Je peux vous le jurer sur tout ce que j’ai de plus cher. Mon clitoris par exemple!
Voilà. J’allais me marier avec un jeune homme dont j’étais très amoureuse. Je n’avais que vingt ans et ne voulais pas écouter ma mère qui m’assurait que c’était trop tôt et que l’on pouvait tomber amoureuse plusieurs fois à cet âge en croyant à chaque coup que c’était la bonne. Qu’il fallait vivre un peu avec le garçon pour le mettre à l’épreuve… Enfin, vous savez toute ces choses qu’une mère moderne et sensée dit à sa fille. Mais comme toutes les filles, je n’en avais rien à foutre, j’aimais Vincent et je le voulais, en robe blanche, pour la vie, et plein de bébé!
Vincent m’avait souvent parler de ce père qu’il détestait car il avait plaqué sa mère lorsqu’il avait cinq ans, sorte de don juan de pacotille, d’après lui. Vincent m’assura qu’il avait un sourire étincelant, avec de belles dents comme peuvent avoir certain ritals, et qui fait toujours craquer les filles. Je me mis à le taquiner en disant que moi, je préférais le fils, et patati et patata… De fait, il était plutôt beau sur les photos, genre Sean Connery, mais je n’aimais pas son air supérieur.
La veille de la cérémonie, nous devions aller accueillir ensemble ce fameux papa, ou laisser mes parents aller à l’aéroport, mais finalement par un concours de circonstances qu’il serait trop long à raconter, c’est moi qui suis partie à Orly avec ma petite voiture neuve.
Il était plus grand que dans mon imagination et surtout beau-papa était magnifique, avec… un sourire tout à la fois lourd, sensuel et éblouissant, des yeux marrons chauds qui vous faisaient fondre, de magnifiques cheveux raides, drus, coupés très courts et un teint caramel qui me donnait envie de mordre. Il m’a regardée de la tête aux pieds, sans aucun air supérieur. J’avais une petite robe saumon à jupette plissée et mes cheveux blonds et lisses étaient lâchés. Je ne portais ni maquillage, ni bijoux. Cet homme-là avait l’air de n’avoir ni passé, ni avenir, juste un présent libre, amoral. Il me sera sur son veston de prix, son magnifique pull en cachemire dont la douceur m’enveloppa et je sentis contre moi, tout à coup, ce que c’était qu’un homme mûr, avec un beau corps musclé. Un homme qui a réussi, qui sait ce qui lui va, où il va. Son parfum chaud, musqué, me fit battre le cœur à la chamade. C’était fou. Je me sentais irrésistiblement attirée par ce mâle qui en savait tellement sur les femmes et la vie. Il me lança dans un français parfait, avec un air coquin :- Alors, petite fille, on a hâte d’avoir un petit mari? Et en disant cela, il m’embrassa sur la bouche sans que je pense à faire un geste pour l’en empêcher, puis il murmura :- Marie-toi, et tu connaîtras les joies «innommable» de l’adultère. Sa voix grave me secouait l’entrecuisse. Je ne me reconnaissait pas; j’étais envoûtée. Je n’ai réalisé que j’allais me marier le lendemain matin qu’en voyant Vincent. J’étais si pâle et perturbée qu’il ma dit :- Oh, c’est un vieux cabot, tu finiras par l’apprécier comme les autres! Et il riait.
J’ai ris avec lui. Il a embrassé froidement son père. Le soir, on avait décidé de ne pas coucher ensemble pour conserver à la cérémonie sa fraicheur. Tout le monde dormait dans la villa de ma famille, dans le Val de Marne, dont le jardin bute sur la rivière. Vincent et son père dormaient au rez-de-chaussée, dans des chambres d’amis, et mes parents et moi à l’étage. Je n’arrivais pas à dormir. Je me demandais soudain si je ne faisait pas une connerie. Il était trop tard. J’ai voulu me caresser pour m’apaiser, mais je trouvais cela moche juste avant de passer devant monsieur le curé, de se branler comme une pucelle. Je me suis glissée hors de la chambre pour aller retrouver Vincent qui dormait à l’étage en dessous, mais au moment d’aller le retrouver, je suis tombée sur mon beau-père en pyjama de flanelle noire, une cigarette à la main et un grand châle Égyptien jeté sur l’épaule. Je l’ai trouvée si beau, que j’en aurais chialé.
Le reste… Ah, j’ai honte! Je ne sais pas. On s’est retrouvés dans le jardin à prendre l’air. On était en mai. Il faisait un peu frais. Je m’étais appuyée sur la balustrade, face au fleuve. J’ai frissonné. Il est passé derrière moi et nous à entourés dans un même geste avec cet immense châle. J’ai senti dans son pantalon léger, la vigueur d’une verge importante d’une dureté pas possible, qui s’encastrait dans ma chemise de nuit. C’était affreux. J’ai senti un flot de mouille m’inonder l’entrecuisse. Je ne peux pas l’expliquer. Il a commencé à me mordiller la nuque en relevant mes cheveux. J’avais des frissons qui me traversaient. Je tremblais comme une feuille, mais plus de plaisir que de froid. Je me laissais initier, totalement. Mes seins me faisaient mal tellement les pointes étaient dures et, pour la première fois, j’avais envie d’être baisée. Je m’explique. Jusqu’à présent, j’avais des chaleurs dans le ventre quand un garçon m’embrassait, mais il fallait que je jouisse bien fort sous ses doigts ou sa bouche pour avoir envie de faire l’amour. Avec Vincent c’était comme ça. Avec son père. Non. Ce que je voulais, c’était qu’il vienne dans mon con. Qu’il arrête ce supplice. Cette lourdeur dans ma chatte qui faisait que j’avais l’impression qu’elle pendait. Je sentais mon sexe indépendant qui réclamait qu’on lui rentre dedans. Qu’on le bourre à grand coups. J’avais envie qu’il me déchire. Il prit lentement, très lentement, mes deux pointes de seins entre ses doigts et joua avec un très, très long moment. Je me cambrais en arrière butant contre son pénis. Je sentis qu’il retirait une de ses mains pour dégager son membre. J’ai glissé ma main en arrière et j’ai senti cette chair brûlante dans la nuit froide.
- Relève ta chemise et mets-la en toi, dans ta chatte.
J’ai empaumé cette longue tige et je l’ai branlé un peu. Le gland était large et finissait en pointe; il m’a semblé qu’il était circoncis car je n’arrivais pas à le branler. Comme je continuais à la caresser et que je sentais un peu de jute au bout de sa queue, c’est lui qui a relevé ma chemise et j’ai happé tout le morceau dans mon con. Je n’avais jamais rien connu de si bon. J’ai crié. Il a mis sa main sur ma bouche :- Chérie, on va le faire très lentement, retiens-toi.
Et il s’est retiré de mon con qui essayait de le retenir avec des succions désespérés. Ce n’était pas moi qui baisais, je vous le jure qui basais, mais mon con qui faisait tout ce qu’il voulait. J’en aurais pleuré tellement j’avais envie qu’il revienne. Il m’a dit :- Écarte tes lèvres, bien fort, je vais te baiser, ma petite chérie.
J’étais une vraie petite chienne. J’ai appuyé mon buste sur la balustrade et les deux mains sur mon con, je lui ai frayé un passage. J’ai senti qu’il se reculait pour regarder ma fente qui devait luire un peu dans l’éclairage de jardin. Il est entré et je me suis collé à lui pour collé à lui pour qu’il ne parte pas. Il baisait bien, comme un gros salaud, faisant attendre le prochain va-et-vient, à réinvestir ma chatte trempée. Pendant qu’il me baisait, il continuait à passer sa langue le long de ma jugulaire, à sucer mes lobes, à sucer mes lobes, à glisser dans mon oreille. Je devenais folle. Il a repris mes seins en mains et les a malaxés tout allant au bout de mon sexe. Ma chatte l’aspirait, le baisait. J’ai joui en lui mordant la main et les contractions de mon premier orgasme vaginal ont déclenché son éjaculation. Normalement, je ne sens pas le sperme dans mon con, mais là, j’appréciais les giclées qui fouettaient mon utérus. Ah! Si je n’avais pas pris la pilule, sûr, il m’aurait engrossée!
Je suis remontée en courant. Vincent dormait toujours. Je n’ai pas osé me laver. J’avais peur des bruits d’eau à deux heures du matin et j’ai passé le reste de la nuit, toujours aussi excitée, envoutée, perdant la semence de beau-papa entre mes cuisses frissonnantes. La messe était à 10 heures. A sept heures du matin, beau-papa a voulu m’emmener avec ma voiture chez une coiffeuse de mes amies pour le coup de peigne de la mariée. J’étais en guêpière rose, ma robe blanche toute simple bien fermée et mes escarpins immaculés qui me faisaient un peu mal. Je m’étais maquillée avec soin à six heures du matin, pour cacher mon insomnie. Francesco a ouvert la portière passager dans un sous-bois au retour, et s’est glissé entre mes cuisses. Il a relevé ma robe en faisant bien attention, il m’a aimée avec sa bouche torride, me faisant jouir en trois secondes de succions de mon clitoris bandé à fond. La chatte me brûlait. Il a ris.
- Alors là, ma petite chérie, je crois que tu es prête pour le mariage!
J’ai rougi… Je me suis mariée comme dans un songe, recevant les baisers de mon mari, les consentements, les amis sans y croire. A quatre heures du matin, après que mon nouvel époux se soit endormi ivre mort comme dans les mauvais romans, je suis partie à la salle de bains. Francesco m’y a retrouvée. J’étais en culotte. Il a attrapé ma tête et sortant sa verge toujours aussi dure de son pantalon de smoking, il m’a fait l’emboucher jusqu’aux couilles. Son gland avait dépassé le fond de la gorge. Je n’avais jamais fait ça. Il m’a baisé comme ça, vulgairement, méchamment et j’aimais ça. Sa queue me remplissait; ma bouche était une chatte et j’allais tout me prendre. Et tout en me maintenant, il a tout lâché. Je ne pouvais qu’avaler. Avaler encore. J’étais comblée. Je pleurais. Ma mère entendit du bruit. Elle a tapé à la porte :- Ça va ma chérie?
- Oui, maman, je prends une douche!
- Tu n’as pas besoin de moi?
- Non, ça va, retourne te coucher
Heureusement elle est repartie. Et le lendemain, beau-papa s’est envolé vers l’Italie en nous invitant Vincent et moi pour notre voyage de noces à Venise. Je l’ai revu deux fois. Mais cet homme aurait fait de moi son esclave sexuelle. J’ai préférée arrêter à tout jamais.
Je suis mariée depuis dix ans et Vincent n’a jamais rien su. Nous avons deux enfants, et le garçon s’appelle François…
Voilà. J’allais me marier avec un jeune homme dont j’étais très amoureuse. Je n’avais que vingt ans et ne voulais pas écouter ma mère qui m’assurait que c’était trop tôt et que l’on pouvait tomber amoureuse plusieurs fois à cet âge en croyant à chaque coup que c’était la bonne. Qu’il fallait vivre un peu avec le garçon pour le mettre à l’épreuve… Enfin, vous savez toute ces choses qu’une mère moderne et sensée dit à sa fille. Mais comme toutes les filles, je n’en avais rien à foutre, j’aimais Vincent et je le voulais, en robe blanche, pour la vie, et plein de bébé!
Vincent m’avait souvent parler de ce père qu’il détestait car il avait plaqué sa mère lorsqu’il avait cinq ans, sorte de don juan de pacotille, d’après lui. Vincent m’assura qu’il avait un sourire étincelant, avec de belles dents comme peuvent avoir certain ritals, et qui fait toujours craquer les filles. Je me mis à le taquiner en disant que moi, je préférais le fils, et patati et patata… De fait, il était plutôt beau sur les photos, genre Sean Connery, mais je n’aimais pas son air supérieur.
La veille de la cérémonie, nous devions aller accueillir ensemble ce fameux papa, ou laisser mes parents aller à l’aéroport, mais finalement par un concours de circonstances qu’il serait trop long à raconter, c’est moi qui suis partie à Orly avec ma petite voiture neuve.
Il était plus grand que dans mon imagination et surtout beau-papa était magnifique, avec… un sourire tout à la fois lourd, sensuel et éblouissant, des yeux marrons chauds qui vous faisaient fondre, de magnifiques cheveux raides, drus, coupés très courts et un teint caramel qui me donnait envie de mordre. Il m’a regardée de la tête aux pieds, sans aucun air supérieur. J’avais une petite robe saumon à jupette plissée et mes cheveux blonds et lisses étaient lâchés. Je ne portais ni maquillage, ni bijoux. Cet homme-là avait l’air de n’avoir ni passé, ni avenir, juste un présent libre, amoral. Il me sera sur son veston de prix, son magnifique pull en cachemire dont la douceur m’enveloppa et je sentis contre moi, tout à coup, ce que c’était qu’un homme mûr, avec un beau corps musclé. Un homme qui a réussi, qui sait ce qui lui va, où il va. Son parfum chaud, musqué, me fit battre le cœur à la chamade. C’était fou. Je me sentais irrésistiblement attirée par ce mâle qui en savait tellement sur les femmes et la vie. Il me lança dans un français parfait, avec un air coquin :- Alors, petite fille, on a hâte d’avoir un petit mari? Et en disant cela, il m’embrassa sur la bouche sans que je pense à faire un geste pour l’en empêcher, puis il murmura :- Marie-toi, et tu connaîtras les joies «innommable» de l’adultère. Sa voix grave me secouait l’entrecuisse. Je ne me reconnaissait pas; j’étais envoûtée. Je n’ai réalisé que j’allais me marier le lendemain matin qu’en voyant Vincent. J’étais si pâle et perturbée qu’il ma dit :- Oh, c’est un vieux cabot, tu finiras par l’apprécier comme les autres! Et il riait.
J’ai ris avec lui. Il a embrassé froidement son père. Le soir, on avait décidé de ne pas coucher ensemble pour conserver à la cérémonie sa fraicheur. Tout le monde dormait dans la villa de ma famille, dans le Val de Marne, dont le jardin bute sur la rivière. Vincent et son père dormaient au rez-de-chaussée, dans des chambres d’amis, et mes parents et moi à l’étage. Je n’arrivais pas à dormir. Je me demandais soudain si je ne faisait pas une connerie. Il était trop tard. J’ai voulu me caresser pour m’apaiser, mais je trouvais cela moche juste avant de passer devant monsieur le curé, de se branler comme une pucelle. Je me suis glissée hors de la chambre pour aller retrouver Vincent qui dormait à l’étage en dessous, mais au moment d’aller le retrouver, je suis tombée sur mon beau-père en pyjama de flanelle noire, une cigarette à la main et un grand châle Égyptien jeté sur l’épaule. Je l’ai trouvée si beau, que j’en aurais chialé.
Le reste… Ah, j’ai honte! Je ne sais pas. On s’est retrouvés dans le jardin à prendre l’air. On était en mai. Il faisait un peu frais. Je m’étais appuyée sur la balustrade, face au fleuve. J’ai frissonné. Il est passé derrière moi et nous à entourés dans un même geste avec cet immense châle. J’ai senti dans son pantalon léger, la vigueur d’une verge importante d’une dureté pas possible, qui s’encastrait dans ma chemise de nuit. C’était affreux. J’ai senti un flot de mouille m’inonder l’entrecuisse. Je ne peux pas l’expliquer. Il a commencé à me mordiller la nuque en relevant mes cheveux. J’avais des frissons qui me traversaient. Je tremblais comme une feuille, mais plus de plaisir que de froid. Je me laissais initier, totalement. Mes seins me faisaient mal tellement les pointes étaient dures et, pour la première fois, j’avais envie d’être baisée. Je m’explique. Jusqu’à présent, j’avais des chaleurs dans le ventre quand un garçon m’embrassait, mais il fallait que je jouisse bien fort sous ses doigts ou sa bouche pour avoir envie de faire l’amour. Avec Vincent c’était comme ça. Avec son père. Non. Ce que je voulais, c’était qu’il vienne dans mon con. Qu’il arrête ce supplice. Cette lourdeur dans ma chatte qui faisait que j’avais l’impression qu’elle pendait. Je sentais mon sexe indépendant qui réclamait qu’on lui rentre dedans. Qu’on le bourre à grand coups. J’avais envie qu’il me déchire. Il prit lentement, très lentement, mes deux pointes de seins entre ses doigts et joua avec un très, très long moment. Je me cambrais en arrière butant contre son pénis. Je sentis qu’il retirait une de ses mains pour dégager son membre. J’ai glissé ma main en arrière et j’ai senti cette chair brûlante dans la nuit froide.
- Relève ta chemise et mets-la en toi, dans ta chatte.
J’ai empaumé cette longue tige et je l’ai branlé un peu. Le gland était large et finissait en pointe; il m’a semblé qu’il était circoncis car je n’arrivais pas à le branler. Comme je continuais à la caresser et que je sentais un peu de jute au bout de sa queue, c’est lui qui a relevé ma chemise et j’ai happé tout le morceau dans mon con. Je n’avais jamais rien connu de si bon. J’ai crié. Il a mis sa main sur ma bouche :- Chérie, on va le faire très lentement, retiens-toi.
Et il s’est retiré de mon con qui essayait de le retenir avec des succions désespérés. Ce n’était pas moi qui baisais, je vous le jure qui basais, mais mon con qui faisait tout ce qu’il voulait. J’en aurais pleuré tellement j’avais envie qu’il revienne. Il m’a dit :- Écarte tes lèvres, bien fort, je vais te baiser, ma petite chérie.
J’étais une vraie petite chienne. J’ai appuyé mon buste sur la balustrade et les deux mains sur mon con, je lui ai frayé un passage. J’ai senti qu’il se reculait pour regarder ma fente qui devait luire un peu dans l’éclairage de jardin. Il est entré et je me suis collé à lui pour collé à lui pour qu’il ne parte pas. Il baisait bien, comme un gros salaud, faisant attendre le prochain va-et-vient, à réinvestir ma chatte trempée. Pendant qu’il me baisait, il continuait à passer sa langue le long de ma jugulaire, à sucer mes lobes, à sucer mes lobes, à glisser dans mon oreille. Je devenais folle. Il a repris mes seins en mains et les a malaxés tout allant au bout de mon sexe. Ma chatte l’aspirait, le baisait. J’ai joui en lui mordant la main et les contractions de mon premier orgasme vaginal ont déclenché son éjaculation. Normalement, je ne sens pas le sperme dans mon con, mais là, j’appréciais les giclées qui fouettaient mon utérus. Ah! Si je n’avais pas pris la pilule, sûr, il m’aurait engrossée!
Je suis remontée en courant. Vincent dormait toujours. Je n’ai pas osé me laver. J’avais peur des bruits d’eau à deux heures du matin et j’ai passé le reste de la nuit, toujours aussi excitée, envoutée, perdant la semence de beau-papa entre mes cuisses frissonnantes. La messe était à 10 heures. A sept heures du matin, beau-papa a voulu m’emmener avec ma voiture chez une coiffeuse de mes amies pour le coup de peigne de la mariée. J’étais en guêpière rose, ma robe blanche toute simple bien fermée et mes escarpins immaculés qui me faisaient un peu mal. Je m’étais maquillée avec soin à six heures du matin, pour cacher mon insomnie. Francesco a ouvert la portière passager dans un sous-bois au retour, et s’est glissé entre mes cuisses. Il a relevé ma robe en faisant bien attention, il m’a aimée avec sa bouche torride, me faisant jouir en trois secondes de succions de mon clitoris bandé à fond. La chatte me brûlait. Il a ris.
- Alors là, ma petite chérie, je crois que tu es prête pour le mariage!
J’ai rougi… Je me suis mariée comme dans un songe, recevant les baisers de mon mari, les consentements, les amis sans y croire. A quatre heures du matin, après que mon nouvel époux se soit endormi ivre mort comme dans les mauvais romans, je suis partie à la salle de bains. Francesco m’y a retrouvée. J’étais en culotte. Il a attrapé ma tête et sortant sa verge toujours aussi dure de son pantalon de smoking, il m’a fait l’emboucher jusqu’aux couilles. Son gland avait dépassé le fond de la gorge. Je n’avais jamais fait ça. Il m’a baisé comme ça, vulgairement, méchamment et j’aimais ça. Sa queue me remplissait; ma bouche était une chatte et j’allais tout me prendre. Et tout en me maintenant, il a tout lâché. Je ne pouvais qu’avaler. Avaler encore. J’étais comblée. Je pleurais. Ma mère entendit du bruit. Elle a tapé à la porte :- Ça va ma chérie?
- Oui, maman, je prends une douche!
- Tu n’as pas besoin de moi?
- Non, ça va, retourne te coucher
Heureusement elle est repartie. Et le lendemain, beau-papa s’est envolé vers l’Italie en nous invitant Vincent et moi pour notre voyage de noces à Venise. Je l’ai revu deux fois. Mais cet homme aurait fait de moi son esclave sexuelle. J’ai préférée arrêter à tout jamais.
Je suis mariée depuis dix ans et Vincent n’a jamais rien su. Nous avons deux enfants, et le garçon s’appelle François…
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8 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
excitant,je passai mes vacances chez mes beaux parents mon mari travaillait et un soire après un repas bien arrosé mon beau père Henri se mis a caresser ma belle mère Roseline il l'embrassait pleine bouche, et pour moi je commençais a être excitée puis Henri passa la main dans la culotte de Roseline alors je leur dis je vous laisse je vais me coucher,Henri sorti de son pantalon une belle bite ,et me prit la main
et me déposa ses superbes couilles que je pus lécher et sucer cette bite
Roseline s'occupait de ma chatte.Un vrai bonheur!10 ans après il m'arrive encore de passer des vacances Chez Henri et Roseline.
et me déposa ses superbes couilles que je pus lécher et sucer cette bite
Roseline s'occupait de ma chatte.Un vrai bonheur!10 ans après il m'arrive encore de passer des vacances Chez Henri et Roseline.
Boudu je viens de finir de lire ton récit, ma culotte est toute mouillé et je suis tellement excitée que je ne peu pas M empêcher de me caresser avec mes jouets
la description est magnifique et très soignée. j'adore ce récit plein d'image et
follement excitant. merci de partager d'aussi agréable moment. continue.
follement excitant. merci de partager d'aussi agréable moment. continue.
j'adore ton récit , merci pour ton commentaire sur le mien ça a été un très bonne
surprise ! que devient tu mystérieuse fille ? biz Georges
surprise ! que devient tu mystérieuse fille ? biz Georges
je mouille continue comme ça c'est trèe exitans
tu devrais écrire plus bravo, trés bandant , je sais de quoi je parles !
belle histoire continue
excitant. J'en mouille, je me vois avec mon beau père qui est bel homme très baisable