Mon bel infirmier - Épisode 1 - histoire érotique

La vie est souvent faite de séries plus ou moins heureuses. J'avais pour ma part à cette époque traversé pas mal de mésaventures mais je ne pensais pas que me casser la jambe me ferait vivre l'une des plus incroyable histoire de ma vie.
Le pompier qui a mis ma jambe en compression pour me transporter était une caricature du beau pompier super musclé. J'avais bien essayé de le draguer sur le chemin de l'hôpital mais la douleur était vraiment trop forte. Je rangeais donc mes fantasmes de gros bras musclés à plus tard.
A l'arrivée aux urgences c'était une autre ambiance. La situation ne ressemblait pas vraiment à qu'on peut voir dans les séries hospitalières. Ce vendredi soir, c'était la cour des miracles aux urgences... Entre les SDF, les alcooliques et les drogués j'étais au spectacle, aux premières loges! J'ai attendu plus de 3 heures avant de recevoir mon plâtre à la jambe gauche. Il me prennait toute la jambe de mon pied jusqu'à mi cuisse... Je ne m'étais pas ratée! Ils m'ont gardée en observation car le malaise dont j'avais été victime les inquiétaient. Ma tête avait percuté le sol. Les médecins craignaient un trauma crânien.
Le premier soir je rencontre Djamel, 40 ans. C'est l'infirmier qui assure les nuits cette semaine. Il est minion et surtout très musclé. Il est aux petits soins. On discute de ce qui m'est arrivé...On rigole, je bois littéralement ses paroles. Je suis comme hypnotisée. La blouse d'infirmier, ces yeux ébéne, ses muscles... tout m'envoute. Je crois que je perds un peu mes moyens! Le temps passe vite, on a un bon feeling tous les deux.
Un peu plus tard dans la soirée, je discute avec Chloé, une de ses collègues aide soignante. C'est le moment de la première douche. Je ne fais pas trop la maline dans la salle de bain. Le sol est très glissant. Pour la première fois Chloé m'aide à me déshabiller et me laver sans mouiller mon plâtre. Très attentionnée, elle me demande si tout se passe bien, si le personnel du service est gentil. Assez vite je lui parle de Djamel. Elle sourit. Elle me dit qu'il a une réputation de Don Juan ici à l'hôpital. En connaissance de cause, elle me dit que c'est un bon parti mais que je dois me méfier car sa femme Marie travaille dans le même hôpital en tant qu'infirmière anesthésiste. Ils se connaissent bien. Il y a quelques mois encore ils se voyaient régulièrement en dehors de l'hôpital. Ils sont bons amis. Cette discussion et les caresses parfois intimes de Chloé m'ont données quelques idées coquine. Mes tétons pointent. Chloé n'a pas beaucoup de poitrine. Elle semble attirée par mon petit 90c. Je la laisse passer davantage de temps dessus profitant de ses douces caresses. Ce soir il fait chaud. J'enfile simplement une culotte et ma nuisette qui s'ouvre intégralement sur l'avant avec des pressions. A la fois confortable et sexy.
Chloé vient de quitter la chambre quand Djamel repasse. C'est l'heure du repas. Il me donne le cocktail de médicaments. A cet instant je suis plus détendu. Je commence aussi à être plus aguicheuse. Je fais tomber malencontreusement quelques pâtes sur ma nuisette. Je frotte rapidement avec ma serviette mais trop tard elle est tachée. Il mouille ma serviette. J'essaie en vain de frotter les tâches mais ma nuisette s'ouvre un peu trop sans le vouloir et dévoile un peu plus ma poitrine. Je retire un puis deux boutons de mon chemisier. Je n'ai plus mon soutien gorge push-up, ma poitrine est modeste mais Djamel n'en perd pas une miette. Mon 90c semble l'attirer... C'était bon signe!
Au milieu de la nuit, n'arrivant pas à dormir je passais discrètement un peu de bon temps à me caresser en repensant à ce bel infirmier. Le bruit de la porte me tira net de mes lentes caresses sur mon clitoris qui doucement m'emmenaient vers l'orgasme. Je ne bougeais plus. Je voulais faire croire à mon visiteur de nuit que je dormais à poings fermés.
C'était Djamel. Je reconnaissais son parfum. Je sentis la couverture lentement glisser vers le bas. Je compris qu'il n'était pas venu pour une raison médicale quand, après avoir écarté mon chemisier puis retiré un nouveau bouton il glissa sa main sur mon sein nu pour l'empoigner... Il massait doucement et pinçait doucement de temps en temps mes tétons qui pointaient durs. Il continuait à faire glisser la couverture vers le bas. J'étais sur le dos et il avait une vue imprenable sur mes jambes légèrement écartées et ma culotte. Je l'entendis d'un coup briser le silence nocturne par un :
- "Oh la salope, sa culotte est tachée... elle s'est caressée il n'y a pas très longtemps."
Ses doigts caressaient doucement mes cuisses, se rapprochant de l'élastique de ma culotte. Après s'être occupé du dessus de ma culotte il ne mit pas bien longtemps à trouver le chemin de ma fente en passant par l'élastique. Je ne pouvais pas m'empêcher de gemir mais jessayais de rester crédible dans mon sommeil. Heureusement son beeper le ramène à la réalité. Il est contraint de partir.