Mon bricoleur
Récit érotique écrit par AnnaLitha70 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 1 récit publié.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de AnnaLitha70 ont reçu un total de 1 244 visites.
Cette histoire de sexe a été affichée 1 244 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Mon bricoleur
Chers lecteurs, chères lectrices, je vous partage aujourd'hui le récit à peine retravaillé d'un moment partagé avec un jeune homme soumis, rencontré dans une soirée bdsm d'un club de ma région.
Nous n'avons pas eu vraiment de coup de cœur l'un pour l'autre, mais j'en garde un bon souvenir.
Voici le récit d'une de ces rencontres, ma préférée.
C'était la seconde fois que j'invitais Anna chez moi, j'étais donc plus confiant que la semaine dernière.
J'avais pris soin de raser mon intimité et de mettre un petit anneau entravant mes testicules et mon sexe, espérant que cela lui plairait.
J'entendis sa voiture se garer, et je la vis descendre, élégante dans sa robe noire avec de beaux escarpins à talons.
Lui servant un café tandis qu'elle était assise sur un tabouret haut, elle me demanda de retirer ma chemise, étant trop vêtu à son goût et m'annonçant que la prochaine fois, il me faudra l'attendre nu.
Tout en buvant son café, elle attrapait mes tétons et les faisaient rouler entre ses doigts, ce qui fit monter en moi une certaine excitation, qu'elle ne manqua de voir sous mon pantalon serré.
En un instant, elle le retira et je me trouvais à nouveau nu devant elle, en ressentant ce sentiment d'humiliation que j'aimais tant.
Après quelques caresses rapides sur mon corps, sans meme toucher à mon anneau, elle m'ordonna de me mettre à 4 pattes sur mon canapé et me positionna la tête enfouie dans un coussin.
Elle m'attacha les mains dans le dos en un mouvement avec de ce que je devinais être la ceinture en tissu de sa robe.
Mon petit trou serré était bien à disposition et je m'imaginais être alors pénétré.
Portait-elle un gode ceinture sur elle ?
Anna branlait ma verge dressée de laquelle s'ecoulait en permanence le fruit de mon excitation.
Ses claques répétitives sur mes testicules bien remplies me faisaient mal, mais j'endurais cette douleur pour son plaisir.
Elle fit frétiller mon anus en l'effleurant, tout en présentant un doigt à l'entrée par intermittence.
Au fur et à mesure que je recevais ses fessées, tantôt sur mon cul, tantôt sur mes couilles, j'imaginais la couleur rouge s'installer et cela m'excitait au plus haut point.
Tout à coup, elle arrêta et se leva, en m'ordonnant de ne plus bouger.
Elle revint et glissa un doigt désormais froid et humide à l'intérieur de mon cul et le fit coulisser très délicatement. Après quelques minutes où un second s'était inséré, j'étais détendu et à sa merci, prêt à être baisé.
Sentant un corps étranger appuyer sur mon anus, je devinais un plug. J'en fut certain lorsqu'après plusieurs aller retour je le sentis prendre place bien au fond.
Elle reprit ensuite le rythme de ses fessées, encore plus agréables une fois rempli de la sorte.
Anna me releva à genoux au sol et m'entraina vers son sexe nu, alors assise sur le dossier du canapé. Sans même parler, le message était clair et ma langue devait lâcher son excitation.
Son sexe était trempé et son odeur légère décupla mon excitation. Redoublant en intensité avec mes coups de langue, je sentais son plaisir en entendant ses gémissement, le visage plaqué fortement sur son sexe ouvert.
C'était pour moi une délicieuse façon de la remercier de la passion de l'instant précédent, je me sentais totalement à ma place.
Après l'avoir fait jouir, il était temps pour moi de lui préparer à manger, le plug bien niché au fond de mon cul me rappelant cette précieuse soumission, tandis qu'elle pianotait sur son téléphone.
Après un temps de pause meublé par une conversation légère, elle me demanda d'installer la Croix de Saint André que j'avais fabriqué il y a quelques mois mais encore jamais pu tester.
Fier de mon ouvrage, elle s'empara rapidement de mes bras et de mes jambes pour m'attacher nu face à elle grâce aux bracelets de cuir incorporés sur la croix.
Pétillante de malice, elle noua sa ceinture de tissu autour de mes yeux, et me laissa en plan quelques minutes, pendant que je l'entendais fouiller dans ses affaires.
Elle mordilla mes tétons pour les faire durcir et positionna deux pinces, reliées par une chaînette.
Elle s'amusa un instant avec la chaîne, tirant puis relâchant sa proie, ce qui entraîna une nouvelle érection sur mon sexe, bien serré avec toujours l'anneau qui n'avait pas bougé depuis ce matin.
Elle commença alors à me caresser les cuisses doucement avec ce que je devinais être un martinet, puis fouetta un peu plus fort.
J'étais très excité d'être nu et lié devant elle, à sa merci, prêt à subir ses assauts.
Ma peau commençait à chauffer au rythme des lanières sur mes cuisses et mes flancs.
De temps à autre, elle tirait sur la chaînette tenant mes tetons étirés tout en variant l'intensité de sa frappe.
Je commençais à gémir et à sentir la douleur, espérant qu'elle ne s'arrête pas là.
Bien lancée, elle ne s'arrêta qu'un bref instant pour me fourrer une boule de tissu dans la bouche, étouffant mes cris, absorbant ma salive et m'excitant encore davantage.
Au bout de plusieurs minutes à subir ses coups sur mes cuisses, elle décida alors de s'arrêter, pour mes cuisses en tout cas.
Elle saisit ma verge toute dressée, et la branla tendrement. J'étais aux anges.
Du bout des doigts, elle racla ma mouille sur le bout du gland et retira mon baillon improvisé pour y glisser ses doigts au fond de ma gorge.
Cela me procura un haut le cœur, mais malgré tout, c'était très excitant.
Je sentis ensuite mon sexe dur enveloppé de sa peau, je devinais qu'elle l'avait placé entre ses seins et le branlait entre.
M'amenant au bord de la jouissance, elle attrapa mon plug et joua à le tourner, à le faire ressortir puis re-rentrer, délaissant totalement mon sexe prêt à éjaculer.
Puis après quelques secondes d'attente, un coup bien placé sur ma verge tendue.
Puis un second. Puis un autre. Encore et encore.
Tantôt fort, tantôt caressant, tantôt doux, tantôt violent.
Par moment, juste ses doigts qui frottait le bout de mon gland trempé.
Elle repris la chaînette et tira vigoureusement sur mes tétons, m'arrachant un cri de douleur, puis, un nouveau coup de martinet, cinglant sur mes boules.
Retenu par les sangles, ce coup me fit forcer sur les poignets, et j'ai eu mal.
Anna se soucia de savoir si j'allais bien et branla tendrement mon sexe, me faisant oublier la douleur.
Après mon oui, elle détacha mes poignets et mon bandeau et m'ordonna de me branler et de jouir par terre.
Intimidé par son regard posé sur moi, les jambes toujours écartées chauffées par le martinet, toujours très excité, je m'executai cependant devant son regard pour plaire à ma Maîtresse.
Quelques minutes plus tard, encouragé par ses mots, mon jus coula sur le sol.
Elle cracha alors dessus et je devinais déjà son ordre, qui me déplaisait d'avance.
Libérant mes chevilles, je retrouvais ma mobilité, bien qu'un peu chancelant et sa consigne tomba : "nettoie maintenant, avec ta langue".
A quatre pattes, je me mis à ses pieds et léchais ma semence et sa salive, pendant qu'elle jouait de son pied sur mon plug toujours bien enfoncé.
Elle me félicita, puis me pris dans ses bras, le visage plaqué contre sa poitrine pour un instant tendresse où je la remerciais plusieurs fois pour ce moment.
Merci Maîtresse.
Nous n'avons pas eu vraiment de coup de cœur l'un pour l'autre, mais j'en garde un bon souvenir.
Voici le récit d'une de ces rencontres, ma préférée.
C'était la seconde fois que j'invitais Anna chez moi, j'étais donc plus confiant que la semaine dernière.
J'avais pris soin de raser mon intimité et de mettre un petit anneau entravant mes testicules et mon sexe, espérant que cela lui plairait.
J'entendis sa voiture se garer, et je la vis descendre, élégante dans sa robe noire avec de beaux escarpins à talons.
Lui servant un café tandis qu'elle était assise sur un tabouret haut, elle me demanda de retirer ma chemise, étant trop vêtu à son goût et m'annonçant que la prochaine fois, il me faudra l'attendre nu.
Tout en buvant son café, elle attrapait mes tétons et les faisaient rouler entre ses doigts, ce qui fit monter en moi une certaine excitation, qu'elle ne manqua de voir sous mon pantalon serré.
En un instant, elle le retira et je me trouvais à nouveau nu devant elle, en ressentant ce sentiment d'humiliation que j'aimais tant.
Après quelques caresses rapides sur mon corps, sans meme toucher à mon anneau, elle m'ordonna de me mettre à 4 pattes sur mon canapé et me positionna la tête enfouie dans un coussin.
Elle m'attacha les mains dans le dos en un mouvement avec de ce que je devinais être la ceinture en tissu de sa robe.
Mon petit trou serré était bien à disposition et je m'imaginais être alors pénétré.
Portait-elle un gode ceinture sur elle ?
Anna branlait ma verge dressée de laquelle s'ecoulait en permanence le fruit de mon excitation.
Ses claques répétitives sur mes testicules bien remplies me faisaient mal, mais j'endurais cette douleur pour son plaisir.
Elle fit frétiller mon anus en l'effleurant, tout en présentant un doigt à l'entrée par intermittence.
Au fur et à mesure que je recevais ses fessées, tantôt sur mon cul, tantôt sur mes couilles, j'imaginais la couleur rouge s'installer et cela m'excitait au plus haut point.
Tout à coup, elle arrêta et se leva, en m'ordonnant de ne plus bouger.
Elle revint et glissa un doigt désormais froid et humide à l'intérieur de mon cul et le fit coulisser très délicatement. Après quelques minutes où un second s'était inséré, j'étais détendu et à sa merci, prêt à être baisé.
Sentant un corps étranger appuyer sur mon anus, je devinais un plug. J'en fut certain lorsqu'après plusieurs aller retour je le sentis prendre place bien au fond.
Elle reprit ensuite le rythme de ses fessées, encore plus agréables une fois rempli de la sorte.
Anna me releva à genoux au sol et m'entraina vers son sexe nu, alors assise sur le dossier du canapé. Sans même parler, le message était clair et ma langue devait lâcher son excitation.
Son sexe était trempé et son odeur légère décupla mon excitation. Redoublant en intensité avec mes coups de langue, je sentais son plaisir en entendant ses gémissement, le visage plaqué fortement sur son sexe ouvert.
C'était pour moi une délicieuse façon de la remercier de la passion de l'instant précédent, je me sentais totalement à ma place.
Après l'avoir fait jouir, il était temps pour moi de lui préparer à manger, le plug bien niché au fond de mon cul me rappelant cette précieuse soumission, tandis qu'elle pianotait sur son téléphone.
Après un temps de pause meublé par une conversation légère, elle me demanda d'installer la Croix de Saint André que j'avais fabriqué il y a quelques mois mais encore jamais pu tester.
Fier de mon ouvrage, elle s'empara rapidement de mes bras et de mes jambes pour m'attacher nu face à elle grâce aux bracelets de cuir incorporés sur la croix.
Pétillante de malice, elle noua sa ceinture de tissu autour de mes yeux, et me laissa en plan quelques minutes, pendant que je l'entendais fouiller dans ses affaires.
Elle mordilla mes tétons pour les faire durcir et positionna deux pinces, reliées par une chaînette.
Elle s'amusa un instant avec la chaîne, tirant puis relâchant sa proie, ce qui entraîna une nouvelle érection sur mon sexe, bien serré avec toujours l'anneau qui n'avait pas bougé depuis ce matin.
Elle commença alors à me caresser les cuisses doucement avec ce que je devinais être un martinet, puis fouetta un peu plus fort.
J'étais très excité d'être nu et lié devant elle, à sa merci, prêt à subir ses assauts.
Ma peau commençait à chauffer au rythme des lanières sur mes cuisses et mes flancs.
De temps à autre, elle tirait sur la chaînette tenant mes tetons étirés tout en variant l'intensité de sa frappe.
Je commençais à gémir et à sentir la douleur, espérant qu'elle ne s'arrête pas là.
Bien lancée, elle ne s'arrêta qu'un bref instant pour me fourrer une boule de tissu dans la bouche, étouffant mes cris, absorbant ma salive et m'excitant encore davantage.
Au bout de plusieurs minutes à subir ses coups sur mes cuisses, elle décida alors de s'arrêter, pour mes cuisses en tout cas.
Elle saisit ma verge toute dressée, et la branla tendrement. J'étais aux anges.
Du bout des doigts, elle racla ma mouille sur le bout du gland et retira mon baillon improvisé pour y glisser ses doigts au fond de ma gorge.
Cela me procura un haut le cœur, mais malgré tout, c'était très excitant.
Je sentis ensuite mon sexe dur enveloppé de sa peau, je devinais qu'elle l'avait placé entre ses seins et le branlait entre.
M'amenant au bord de la jouissance, elle attrapa mon plug et joua à le tourner, à le faire ressortir puis re-rentrer, délaissant totalement mon sexe prêt à éjaculer.
Puis après quelques secondes d'attente, un coup bien placé sur ma verge tendue.
Puis un second. Puis un autre. Encore et encore.
Tantôt fort, tantôt caressant, tantôt doux, tantôt violent.
Par moment, juste ses doigts qui frottait le bout de mon gland trempé.
Elle repris la chaînette et tira vigoureusement sur mes tétons, m'arrachant un cri de douleur, puis, un nouveau coup de martinet, cinglant sur mes boules.
Retenu par les sangles, ce coup me fit forcer sur les poignets, et j'ai eu mal.
Anna se soucia de savoir si j'allais bien et branla tendrement mon sexe, me faisant oublier la douleur.
Après mon oui, elle détacha mes poignets et mon bandeau et m'ordonna de me branler et de jouir par terre.
Intimidé par son regard posé sur moi, les jambes toujours écartées chauffées par le martinet, toujours très excité, je m'executai cependant devant son regard pour plaire à ma Maîtresse.
Quelques minutes plus tard, encouragé par ses mots, mon jus coula sur le sol.
Elle cracha alors dessus et je devinais déjà son ordre, qui me déplaisait d'avance.
Libérant mes chevilles, je retrouvais ma mobilité, bien qu'un peu chancelant et sa consigne tomba : "nettoie maintenant, avec ta langue".
A quatre pattes, je me mis à ses pieds et léchais ma semence et sa salive, pendant qu'elle jouait de son pied sur mon plug toujours bien enfoncé.
Elle me félicita, puis me pris dans ses bras, le visage plaqué contre sa poitrine pour un instant tendresse où je la remerciais plusieurs fois pour ce moment.
Merci Maîtresse.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par AnnaLitha70
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Yes...Très bon, merci AnnaLitha
Trop bon !!! Ça mérite une autre rencontre avec cette maîtresse !! J'adorerais y être également
