Mon collègue gay (5 et fin)
Récit érotique écrit par Bi02aisne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-04-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mon collègue gay (5 et fin)
Mon amant et moi étions tombés dans une routine. Tous les soirs, nous nous rejoignions
en salle de pause pour me transformer en Sarah, puis nous allions nous promener en
ville avant de revenir coucher ensemble comme des sauvages. J’aimais cette situation
mais je commençais un peu à m’ennuyer tant les tenues et les positions pratiquées
après notre balade ne changeaient pas. J’en étais venu à presque le harceler pour
qu’il y ait du changement, le menaçant même de tout arrêter s’il ne faisait pas
d’effort. Bien sûr, c’était des menaces en l’air car je ne voulais absolument pas me
séparer de lui et il le savait. Malgré tout, un matin, il entra dans mon bureau avec
un sac. Il me dit qu’il avait une surprise pour moi et que j’allais être content car
il allait enfin accéder à ma requête. J’ouvris le sac et vis un ensemble tout à fait
exceptionnel. Il y avait un bustier de marque en soie crème transparent, un string
ficelle tellement petit qu’il ne devait rien cacher, une paire de bas blancs et des
talons aiguilles brillants. J’étais effectivement content mais une nouvelle tenue ne
faisait pas tout. Alors que j’allais protester, il me dit que nous n’irions pas nous
promener ce soir et que cette fois, ils seraient deux sur mon cul. Il m’expliqua qu’il
m’avait « vendu » et que, pour une fois, je me sentirais comme une vraie pute.
J’aurais du être choqué de savoir que j’avais été marchandé comme un vulgaire bout de
viande mais, finalement, cela m’a plus excité qu’autre chose. La journée m’a paru
extrêmement longue et je n’avais à l’esprit que ce qui devait se passer ce soir. Mais
plusieurs questions me taraudaient : à qui m’avait-il vendu ? Que pouvait-il bien y
gagner ? Et surtout, pourquoi a-t-il vendu mon corps plutôt que le sien ? Sur les
ordres de mon chéri, je passais la nouvelle lingerie à la pause de midi. Le bustier
était parfaitement à ma taille, il ne me resterait plus qu’à mettre le rembourrage qui
me paraissait plus imposant que d’habitude. Comme je le pensais, le string était
vraiment petit. La ficelle disparaissait complètement entre mes fesses et mon sexe,
qui se gonflait d’excitation, dépassait sur le devant. Je décidais de gagner du temps
en mettant les bas tout de suite car ils ne se verraient pas sous mes chaussures et
chaussettes. Il n’avait rien mis d’autre que des sous vêtements, ce qui voulait dire
que je devrais remettre les mêmes vêtements que d’habitude ce qui ne me plaisait qu’à
moitié. Une fois fini, je retournais bosser en attendant patiemment la fin de journée.
A 19 heures pile, mon homme entra dans le bureau. J’avais déjà ôté mes vêtements et
enfilais les talons. J’avais également installé le rembourrage qui donnait l’illusion
d’un bon 95D (habituellement, on est plus sur du 85-90C). Il ne manquait que la jupe,
le chemisier, la perruque et le maquillage. Il me regarda avec envie et me dit que
j’étais parfait. Pas besoin de vêtement ce soir car on ne sortirait pas du bâtiment.
Il me mit une nouvelle perruque : blonde coupée très courte, un peu à la garçonne. Il
m’expliqua que c’était ce que voulait mon « acheteur ». Il me maquilla et j’étais
enfin devenu Sarah pour la soirée. A ma surprise, il sortit un collier de chien avec
une laisse qu’il me passa autour du coup. Il me dit que j’allais être traitée et prise
comme une vraie chienne et que mon cul devrait s’en souvenir longtemps. Il me tira
donc derrière lui dans les couloirs de la boîte jusqu’à un bureau à l’opposé du
bâtiment. Je connaissais bien ce bureau, c’était celui du DRH. Dans mon souvenir,
c’était un homme grand, costaud, au charisme puissant et au charme certain. Par
contre, j’aurais pu parier tout ce que j’avais qu’il était cent pour cent hétéro. Mon
amant frappa à la porte et une voix forte nous dit d’entrer. A notre arrivée, nous
fûmes surpris de voir et le DRH et le big boss de l’entreprise. Ils souriaient tous
les deux quand ils nous ont vus.
Je vis à la tête de mon chéri que la présence d’un deuxième homme n’était pas prévue
et, avant de pouvoir protester, le DRH lui expliqua que la participation du chef
ferait avancer plus vite son dossier. Je ne comprenais rien mais lui avait l’air
d’être grandement satisfait. Et c’est là que tout commença, finit les paroles et la
discussion, il était temps de passer à l’action. Nos deux supérieurs dégrafèrent leur
pantalon et le baissèrent en même temps que leur sous vêtements. On me fit mettre à
genou et je pris les deux bites en bouche avant que l’on m’en donne l’ordre. Je suçais
ces deux monstres (et oui, elles étaient toutes les deux très impressionnantes) avec
gourmandise et j’entendais leurs gémissements satisfaits ce qui m’encourageait à y
aller de plus en plus vite et de plus en plus fort. Après quelques minutes de ce
traitement, on me fit mettre à quatre pattes sans ménagement en tirant sur la laisse.
Le DRH se positionna devant moi et m’enfonça son engin au fond de la gorge et insista
jusqu’à toucher le fond de mon palais. J’en avais les larmes aux yeux et rien ne
s’arrangea quand mon patron me colla sa queue dans le cul à sec et plutôt violemment.
J’ai maintenant l’habitude de me faire défoncer à sec mais là, je me faisais
littéralement déchiré par ce monstre beaucoup plus gros que celui de mon amant.
J’aurais voulu crier mais impossible avec la bouche pleine.
Ils m’ont défoncé comme ça quelques minutes avant d’échanger de place. Mon cul fut
tout autant meurtri que précédemment et ma bouche toujours aussi pleine. Ce traitement
dura lui aussi plusieurs minutes. J’ais cru que c’était fini quand ils se retirèrent
tous les deux mais c’était pour qu’ils puissent me présenter leur bite devant ma
bouche et éjaculer dedans à grands jets puissants. Ils m’obligèrent à avaler et à
nettoyer avec ma langue leur queue du peu de sperme qu’il restait dessus. Une fois
fini, je tombais sur le sol le souffle court, je n’avais jamais été démonté de la
sorte et, en effet, je m’en souviendrais toute ma vie. J’entendis quand même les deux
hommes dire à mon chéri qu’il leur avait trouvé une belle salope et qu’il n’y aurait
aucun problème pour l’obtention de sa promotion et qu’en plus, ils verraient s’il
était possible que la chienne, elle aussi, ait de l’avancement. Je compris au ralenti
qu’ils parlaient de moi et je compris que ces deux là n’en resteraient pas là avec
moi.
J’étais dans un tel état second que je n’ai pas pensé que je n’avais pas joui et que
je suis reparti comme un zombie à mon bureau pour me changer. J’étais secoué par le
traitement infligé à mon corps mais aussi par le fait que mon amant m’ait réellement
vendu pour avoir une promotion. Je pensais que le terme « vendre » était à prendre au
second degré et qu’on jouerait avec quelqu’un d’autre à la pute et au client. Mais
non, j’étais devenu une vraie pute au sens premier du terme. J’appris plus tard par le
DRH que ce dernier avait demandé à mon amant de lui trouver une salope dans mon genre
pour avoir cette promotion et ceci bien avant qu’on ait une relation tous les deux ce
qui était devenu pour moi insupportable. Je ne pu lui pardonner et mis fin à notre
relation. Je pensais qu’il serait dur de le voir tous les jours au bureau mais ça ne
dura car sa promotion était pour un poste à l’autre bout de la France. Ce salaud avait
tout calculé depuis le début, il m’avait initié puis dressé pour finalement me vendre
pour son propre intérêt. Le bon côté de la chose était que j’ai eu moi aussi ma
promotion : un meilleur poste, un plus grand bureau et un meilleur salaire. Le seul
fait qu’il ait fallu me faire baiser (dans tous les sens du terme) pour l’avoir me
laisse un goût amer renforcé par le fait que j’ai maintenant deux supérieurs qui
profitent de la situation et surtout de mon trou du cul qui s’élargit à vue d’œil.
en salle de pause pour me transformer en Sarah, puis nous allions nous promener en
ville avant de revenir coucher ensemble comme des sauvages. J’aimais cette situation
mais je commençais un peu à m’ennuyer tant les tenues et les positions pratiquées
après notre balade ne changeaient pas. J’en étais venu à presque le harceler pour
qu’il y ait du changement, le menaçant même de tout arrêter s’il ne faisait pas
d’effort. Bien sûr, c’était des menaces en l’air car je ne voulais absolument pas me
séparer de lui et il le savait. Malgré tout, un matin, il entra dans mon bureau avec
un sac. Il me dit qu’il avait une surprise pour moi et que j’allais être content car
il allait enfin accéder à ma requête. J’ouvris le sac et vis un ensemble tout à fait
exceptionnel. Il y avait un bustier de marque en soie crème transparent, un string
ficelle tellement petit qu’il ne devait rien cacher, une paire de bas blancs et des
talons aiguilles brillants. J’étais effectivement content mais une nouvelle tenue ne
faisait pas tout. Alors que j’allais protester, il me dit que nous n’irions pas nous
promener ce soir et que cette fois, ils seraient deux sur mon cul. Il m’expliqua qu’il
m’avait « vendu » et que, pour une fois, je me sentirais comme une vraie pute.
J’aurais du être choqué de savoir que j’avais été marchandé comme un vulgaire bout de
viande mais, finalement, cela m’a plus excité qu’autre chose. La journée m’a paru
extrêmement longue et je n’avais à l’esprit que ce qui devait se passer ce soir. Mais
plusieurs questions me taraudaient : à qui m’avait-il vendu ? Que pouvait-il bien y
gagner ? Et surtout, pourquoi a-t-il vendu mon corps plutôt que le sien ? Sur les
ordres de mon chéri, je passais la nouvelle lingerie à la pause de midi. Le bustier
était parfaitement à ma taille, il ne me resterait plus qu’à mettre le rembourrage qui
me paraissait plus imposant que d’habitude. Comme je le pensais, le string était
vraiment petit. La ficelle disparaissait complètement entre mes fesses et mon sexe,
qui se gonflait d’excitation, dépassait sur le devant. Je décidais de gagner du temps
en mettant les bas tout de suite car ils ne se verraient pas sous mes chaussures et
chaussettes. Il n’avait rien mis d’autre que des sous vêtements, ce qui voulait dire
que je devrais remettre les mêmes vêtements que d’habitude ce qui ne me plaisait qu’à
moitié. Une fois fini, je retournais bosser en attendant patiemment la fin de journée.
A 19 heures pile, mon homme entra dans le bureau. J’avais déjà ôté mes vêtements et
enfilais les talons. J’avais également installé le rembourrage qui donnait l’illusion
d’un bon 95D (habituellement, on est plus sur du 85-90C). Il ne manquait que la jupe,
le chemisier, la perruque et le maquillage. Il me regarda avec envie et me dit que
j’étais parfait. Pas besoin de vêtement ce soir car on ne sortirait pas du bâtiment.
Il me mit une nouvelle perruque : blonde coupée très courte, un peu à la garçonne. Il
m’expliqua que c’était ce que voulait mon « acheteur ». Il me maquilla et j’étais
enfin devenu Sarah pour la soirée. A ma surprise, il sortit un collier de chien avec
une laisse qu’il me passa autour du coup. Il me dit que j’allais être traitée et prise
comme une vraie chienne et que mon cul devrait s’en souvenir longtemps. Il me tira
donc derrière lui dans les couloirs de la boîte jusqu’à un bureau à l’opposé du
bâtiment. Je connaissais bien ce bureau, c’était celui du DRH. Dans mon souvenir,
c’était un homme grand, costaud, au charisme puissant et au charme certain. Par
contre, j’aurais pu parier tout ce que j’avais qu’il était cent pour cent hétéro. Mon
amant frappa à la porte et une voix forte nous dit d’entrer. A notre arrivée, nous
fûmes surpris de voir et le DRH et le big boss de l’entreprise. Ils souriaient tous
les deux quand ils nous ont vus.
Je vis à la tête de mon chéri que la présence d’un deuxième homme n’était pas prévue
et, avant de pouvoir protester, le DRH lui expliqua que la participation du chef
ferait avancer plus vite son dossier. Je ne comprenais rien mais lui avait l’air
d’être grandement satisfait. Et c’est là que tout commença, finit les paroles et la
discussion, il était temps de passer à l’action. Nos deux supérieurs dégrafèrent leur
pantalon et le baissèrent en même temps que leur sous vêtements. On me fit mettre à
genou et je pris les deux bites en bouche avant que l’on m’en donne l’ordre. Je suçais
ces deux monstres (et oui, elles étaient toutes les deux très impressionnantes) avec
gourmandise et j’entendais leurs gémissements satisfaits ce qui m’encourageait à y
aller de plus en plus vite et de plus en plus fort. Après quelques minutes de ce
traitement, on me fit mettre à quatre pattes sans ménagement en tirant sur la laisse.
Le DRH se positionna devant moi et m’enfonça son engin au fond de la gorge et insista
jusqu’à toucher le fond de mon palais. J’en avais les larmes aux yeux et rien ne
s’arrangea quand mon patron me colla sa queue dans le cul à sec et plutôt violemment.
J’ai maintenant l’habitude de me faire défoncer à sec mais là, je me faisais
littéralement déchiré par ce monstre beaucoup plus gros que celui de mon amant.
J’aurais voulu crier mais impossible avec la bouche pleine.
Ils m’ont défoncé comme ça quelques minutes avant d’échanger de place. Mon cul fut
tout autant meurtri que précédemment et ma bouche toujours aussi pleine. Ce traitement
dura lui aussi plusieurs minutes. J’ais cru que c’était fini quand ils se retirèrent
tous les deux mais c’était pour qu’ils puissent me présenter leur bite devant ma
bouche et éjaculer dedans à grands jets puissants. Ils m’obligèrent à avaler et à
nettoyer avec ma langue leur queue du peu de sperme qu’il restait dessus. Une fois
fini, je tombais sur le sol le souffle court, je n’avais jamais été démonté de la
sorte et, en effet, je m’en souviendrais toute ma vie. J’entendis quand même les deux
hommes dire à mon chéri qu’il leur avait trouvé une belle salope et qu’il n’y aurait
aucun problème pour l’obtention de sa promotion et qu’en plus, ils verraient s’il
était possible que la chienne, elle aussi, ait de l’avancement. Je compris au ralenti
qu’ils parlaient de moi et je compris que ces deux là n’en resteraient pas là avec
moi.
J’étais dans un tel état second que je n’ai pas pensé que je n’avais pas joui et que
je suis reparti comme un zombie à mon bureau pour me changer. J’étais secoué par le
traitement infligé à mon corps mais aussi par le fait que mon amant m’ait réellement
vendu pour avoir une promotion. Je pensais que le terme « vendre » était à prendre au
second degré et qu’on jouerait avec quelqu’un d’autre à la pute et au client. Mais
non, j’étais devenu une vraie pute au sens premier du terme. J’appris plus tard par le
DRH que ce dernier avait demandé à mon amant de lui trouver une salope dans mon genre
pour avoir cette promotion et ceci bien avant qu’on ait une relation tous les deux ce
qui était devenu pour moi insupportable. Je ne pu lui pardonner et mis fin à notre
relation. Je pensais qu’il serait dur de le voir tous les jours au bureau mais ça ne
dura car sa promotion était pour un poste à l’autre bout de la France. Ce salaud avait
tout calculé depuis le début, il m’avait initié puis dressé pour finalement me vendre
pour son propre intérêt. Le bon côté de la chose était que j’ai eu moi aussi ma
promotion : un meilleur poste, un plus grand bureau et un meilleur salaire. Le seul
fait qu’il ait fallu me faire baiser (dans tous les sens du terme) pour l’avoir me
laisse un goût amer renforcé par le fait que j’ai maintenant deux supérieurs qui
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
magnifique fin et quel pied tu dois avoir prit mon copain adore que je lui fasse l'amour comme dans ton récit.il elle est prete à tout merci à toi bisous
J'aime beaucoup la fin, raconte-nous les misères que te font tes boss ! :) Bisous à toi
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jolie suite et fin excitente ca m'a bien plu j espere te relire bisous a toi