Mon complice d'internet me rend visite (1)
Récit érotique écrit par Claire74 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-04-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mon complice d'internet me rend visite (1)
Depuis quelques temps déjà, j'entretenais, par l'intermédiaire d'internet, une certaine relation avec un garçon qui se situait dans le nord de la France. J'habitais moi-même dans l'est à plusieurs centaines de kilomètres de son lieu de résidence. Rencontrés sur une plate-forme de conversation, nous avions pris l'habitude de nous retrouver chaque soir en ligne pour jouer des scénarios de jeu de rôles érotiques dans lesquels nous nous permettions tout pour notre propre plaisir. Ce garçon s'appelait François, et était d’une année mon aîné. Lui-même savait que je m'appelais Claire, que j'avais 19 ans, que je venais de terminer ma première année de faculté de sciences et il connaissait mes mensurations pour lui avoir maintes fois précisées durant nos jeux. J'avais une poitrine de taille 85B, je mesurais environ 1m65, plutôt fine, j'avais les yeux verts bruns et les cheveux d'une couleur blonde tirant légèrement sur le châtain. Je portais ces derniers en une coiffure mi longue me descendant un peu plus bas que les épaules.
Pour leurs vacances d'été, mes parents décident souvent, presque chaque année, de partir en Italie, pour profiter du soleil et de la famille que nous avions encore là-bas. Mais cette été-là, peu motivée, je décidai de ne pas les accompagner et de rester seule à la maison. J'en profiterais ainsi pour voir mes amies et mon petit copain que j'avais rencontré au cours de l'année à la fac. C'est ainsi que mes parents partirent avec mon petit frère, courant août, peu après mon anniversaire, me laissant donc seule pour deux semaines avec la maison exclusivement pour moi. J'étais plutôt ravie de cette opportunité.
Le soir même, c'était un jeudi, il n'y avait rien d'intéressant à la télévision, si bien que je me connectai à mon compte de chat tout en surfant entre différentes pages d'internet. Je fus surprise d'y retrouver François qui, malgré les vacances, se retrouva, tout comme moi en ligne. Bien sûr, toujours motivée pour un scénario coquin, je lui envoyai un message de salutations. Il me répondit très vite et de fil en aiguille, je lui expliquai ma situation, moi seule à la maison, j'allais passer deux semaines de bonheur. C'est alors qu'il me proposa de me rendre visite. D'abord étonnée, je finis pas prendre cela comme un jeu et imaginai que c'était encore une proposition de situation loufoque avec lesquelles nous nous plaisions à jouer. Mais il m'assura bien vite qu'il était tout à fait capable de prendre le train pour me rejoindre dans ma ville. Je ne sus d’abord comment réagir à cette remarque inattendue, mais au bout d'une heure de conversation, je finis tout de même par accepter sa venue. Je lui précisai toutefois que j'étais déjà en relation avec un garçon et que nous nous verrions en tant que simple ami. C'est ce qu'il imaginait aussi.
Deux jours plus tard, je me retrouvai donc à la gare, plongée dans certaines craintes vis à vis de ce garçon que je n'avais finalement jamais vu. Notre relation était basée sur le chat et les jeux de rôles et à aucun moment, nous avions échangé nos photos. Le refus venant de mon côté essentiellement. J'attendais donc patiemment l'arrivée du TGV provenant de Paris qui finalement arriva quelques minutes en avance. Je laissai descendre tous les passagers qui créèrent rapidement une cohue sur le quai, puis patientai jusqu'à ce que la plate-forme se vide. Je reconnus ainsi assez aisément François, pour être le dernier voyageur qui restait. Je le voyais tourner la tête dans tous les sens, à ma recherche. Moqueuse, je décidai de jouer alors à un petit jeu. Il y avait une autre jeune fille sur le quai, à peu près également de notre âge. Je le voyais hésiter. Afin de le dérouter, je feintai de pianoter sur mon téléphone pour paraître me désintéresser de lui. Il se dirigea donc tout naturellement vers l'autre fille. Je l'entendis l'aborder.
-Salut !
La jeune fille lui répondit.
-Euh, c'est toi Claire ?
Son interlocutrice le regarda un moment incrédule puis répondit :-Ah non, je suis désolée, ce n'est pas moi !
Il s’excusa tout honteux puis se tourna vers moi qui pouffais de rire le regard toujours plongé sur l'écran de mon téléphone. Au moins, étais-je sure d'une chose, c'était bien mon visiteur. Il vint alors vers moi, me salua et me reposa la même question. Quand je lui signifiai qu'il s'adressait enfin à la bonne personne, son regard s'éclaira. Enfin, je pus le détailler un petit peu. Il était plutôt grand, les cheveux bruns coupés courts, pas trop musclé mais avec un visage mignon au regard brun assez intense. Je le grondai légèrement sur son erreur passée et sur le fait de n’avoir su me reconnaître entre les deux jeunes filles. En effet, l'autre avait des yeux bleus alors que je lui avais toujours précisé dans nos histoires, que mon regard portait plutôt sur le vert-brun. Il s’excusa en bafouillant, ce qui me fit, une nouvelle fois, éclater de rire.
Après avoir fait un peu connaissance, je ramenai mon nouvel ami à la maison. J’utilisai pour cela la petite voiture que m’avaient confiée mes parents et qui était devenue un peu la mienne. Durant tout le trajet, François me parla longuement de son enthousiasme liée à cette rencontre et il m’expliqua que toute cette situation l’enchantait grandement. Il était vrai que nous chattions déjà depuis plus de deux années sur internet. Je pouvais aisément imaginer son plaisir.
Une fois arrivés dans mon quartier, je garai la voiture sur ma place habituelle et je le fis descendre. Accompagnée de mon visiteur, je me rendis ensuite à l'entrée principale de l'endroit où j'habitais et déverrouillai la porte. Je le fis entrer chez moi. Il posa son sac dans le hall d’entrée puis ne tarda pas à se déchausser après avoir remarqué que la maison était plutôt propre et bien rangée. Je le fis ensuite entrer dans le salon puis lui demanda de s’installer tranquillement sur le canapé le temps que je m’absente pour aller chercher quelques rafraichissements. Je le rejoignis assez vite avec du jus d’orange et des biscuits secs avant de m’installer à ses côtés. Ce jour-là, je portais un chemisier de coton assez fin de couleur noir et une jupe écarlate qui descendait jusqu’à mes genoux. Je ne portais ni collants ni bas.
Il me sourit gentiment tandis que je prenais place.
-C’est tout de même assez étrange de te rencontrer enfin, Claire ! me confia-t-il. Après tous les secrets plutôt intimes que nous avons entre nous...
Je souris à cette remarque qui rappelait mes souvenirs à de bons moments de plaisir puis lui répondit :-Je pourrais en dire de même, tu sais ? Je connais beaucoup de choses assez intimes sur toi.
-Oui, c'est vrai. Mais je dois t'avouer une chose, je suis plutôt content, car je te voyais dans mon imagination un peu moins jolie que ce que tu es réellement.
Je secouai la tête, ne m’attardant pas davantage sur cette dernière réflexion. Je le laissai poursuivre :-Tu te souviens quand on a joué le scénario dans lequel tu avais pris le rôle d'une jeune conductrice en apprentissage d’auto-école et que moi, je jouais ton professeur ? Cette histoire-là m’avait beaucoup plu. C'est une de mes préférées.
-Celle dans laquelle je casse le rétroviseur de la voiture et où je te supplie de ne pas le dire à mes parents ? Et où je finis par te sucer pour te demander pardon de casser ta voiture ?
-Exactement !
Je ris à cette allusion et lui confiai finalement que moi aussi, j’avais plutôt apprécié cette excellente histoire.
-Nous en avons tellement fait ! Plus d’une centaine, facile ! s’écria-t-il.
-Un peu trop peut-être, le rabrouai-je.
-Pas assez, tu veux dire... Des fois, j’ai même vraiment rêvé de toi la nuit, tu sais ? Juste après nos scénarios coquins...
Je détournai le regard tout de même gênée mais il continua.
-Mais bon, rien de mieux que d’être enfin là à te rencontrer. C’est dommage que tu aies un copain, c’est juste ça...
À ces paroles, je me retournai de nouveau dans sa direction et le considérai.
-Écoute François, je suis désolée, mais…-Oui, je sais… Je ne m’attends à rien, rassure-toi. Tu as été suffisamment claire sur internet et je tiendrai mes promesses. Tu peux avoir confiance. Mais tu es quand même une amie pour moi... c'est ce que je considère du moins...
Je le fixai, demeurant muette un moment puis mon esprit vagabonda et je me remis à repenser à nos scénarios lubriques. Pas plus tard que l'avant-veille, nous avions encore construit une histoire. Mon rôle avait été de jouer une simple assistante de chirurgien-dentiste qui se chargeait d'occuper le patient pendant les opérations médicales, et bien entendu, François avait apprécié et bien joué son personnage qui recevait une agréable fellation pendant qu’il patientait la bouche ouverte une réparation de sa dent abimée.
Je me mis rapidement à pouffer de rire.
-Qu’est-ce qu’il y a ? s’écria-t-il, en m’observant, incrédule. J'ai dit quelque chose de rigolo ?
-Mais non, mais c'est toi qui me fais rire !
-Ah bon ? Mais je n’ai rien fait... souffla-t-il.
-Hum… Ta visite chez moi serait presque une situation de l’un nos scénarios. Tu n’en as pas l’impression ? poursuivai-je.
-Qu’est-ce que tu veux dire par là ?
-Ben je ne sais pas… tu es quand même venu de loin pour me voir… c’est une situation bizarre. Tu as fait plus de 400 kilomètres en train tout de même...
-Je ne trouve pas que la situation soit aussi bizarre que tu le dis.
Je le fixai dans les yeux un long moment. Il avait un très beau regard brun avec une lueur pétillante dans ses pupilles.
-Imagine…, lui dis-je alors, que nous serions dans nos histoires... Comment la situation évoluerait-elle, tu crois ?
À ces mots, je déposai mon verre à moitié rempli sur la table en me penchant en avant puis retournai mon attention à lui. Sans en attendre davantage, je me redressai légèrement puis l’enfourchai sans même lui demander son avis. Passant l’une de mes jambes fines par-dessus ses cuisses, je finis par m’asseoir sur ses genoux directement face à lui. Il me regarda bouche bée. Je devinai qu'il ne saisissait pas la situation.
-Et puis pourquoi ne ferions-nous pas comme si nous étions dans l'un de nos jeux ? On n'a qu'à dire que l'on fait comme d'habitude... Comme sur internet, chaque soir...
-Euh, Claire…-Mais c’est rien, on joue, c’est tout...
Je le contemplai un moment, le sourire aux lèvres. Il me fixa avec une envie qu'il n'arrivait pas à dissimuler puis je finis par lui demander :-Tu as envie de voir ma culotte ?
-Qu... Quoi ?
-Tu sais ? La jolie culotte bleu-ciel dont je te parle très souvent dans nos histoires ! Je crois me rappeler que ce matin je l’ai mise…
Et sans en attendre davantage de sa réponse, je saisis, de mes deux mains, les ourlets de ma robe rouge et la soulevai devant lui. J’étais toujours assise à califourchon sur ses genoux ce qui laissa mon intimité bien exposée à François. Son regard curieux glissa rapidement entre mes cuisses et c'est ainsi qu'il découvrit mon fin sous-vêtement de couleur azur, légèrement brodé de motifs et décoré d’un petit nœud papillon sur l’élastique. Ce dernier cachait parfaitement mon petit sexe serré, mais on pouvait tout de même y entrevoir la forme moulée dans le tissu de mes lèvres bien refermées. Je le laissai longuement détailler ma culotte tout en l'observant d'un regard complice. Il ne savait plus que dire face à la situation.
-Et toi alors ? Tu me montres aussi ton "long serpent" comme tu aimes me l'écrire lors de nos histoires ?
-Claire, euh…-Quoi ? Tu ne crois pas, après tout, que ce que l’on connait le mieux l'un de l’autre, ce sont tous ces détails particuliers ?
Je relâchai finalement l’ourlet de ma jupe, puis je me reculai un peu, faisant glisser mes fesses sur ses cuisses afin de me permettre d'entrevoir la braguette de son jean. J’avançai alors mes doigts en direction de son entrejambe, puis sans lui en demander la permission, je me chargeai de lui détacher le bouton principal de son pantalon. Puis je lui tirai lentement sa fermeture éclair.
-Mais Claire, tu fais quoi ? Tu m’as dit que tu avais un copain...
-On ne fait rien de mal, on s’amuse, c’est tout ! Et puis, après tout ce que tu m'en as décrit, j’ai bien le droit de la voir un moment. Tu m'en as dit tellement de bien. Et puis, je te signale que je l’ai un peu prise partout. Dans les fesses, dans la chatte, dans la bouche... Je veux savoir à quoi j’ai eu affaire...
Tout en parlant, j'écartai délicatement les deux pans de son jean pour découvrir à mon tour un caleçon d'un noir mat déjà bien gonflé par une énorme bosse. Je reculai mes mains puis souriante, lui demandai :-Allez, maintenant tu me la sors, s’il te plait !
Il hésita un long moment tout en me regardant, sans doute en proie à un dilemme. Je patientai gentiment. Puis enfin, il se décida. Après avoir déposé son verre de jus d'orange sur le sol, il s'exclama :-Bon d'accord, mademoiselle Claire la Curieuse, tu l'auras voulu !
D’une main, il tira vers le bas l’élastique de son slip et prit un intense plaisir à m’exposer ce qu’il appelait parfois son « engin de guerre ». Je regardai attentivement son sexe. Il était plutôt d’épaisseur moyenne, mais d’une longueur tout de même assez surprenante. Le bout de son gland rose émergeait de son prépuce et je sentis rapidement son odeur intime remonter jusqu’à mes narines. Je haussai les sourcils.
-Voilà Claire, t’es contente ?
-Oui, et tu ne m’avais pas menti, je dois dire ! Avec tout ce que tu m'en as décrit, j’ai quand même un peu douté de la vérité, mais c’est vrai, tu as raison. Il est de grande taille...
-Il te plait ?
-Oui... Après tout ce que tu m'as fait subir virtuellement grâce à lui !
Je continuai à détailler son sexe. Il tenait toujours l’élastique de son caleçon écarté vers le bas ce qui me laissait tout le loisir de contempler également ses deux gros testicules qui flottaient sous sa queue déjà bien en érection.
Il fit finalement un geste pour caler d'une façon ou d'une autre son slip afin de reprendre l'avantage de ses mains tout en laissant à ma vue son pénis tendu. Il posa ensuite ses paumes à la peau légèrement rugueuse sur mes genoux puis les fit glisser lentement le long de mes cuisses nues, ne se gênant même pas pour passer carrément sous mon vêtement.
-Toi aussi, Claire, tu me plais ! Tu sais ?
Il retourna à nouveau ma jupe, et la bloqua contre mon ventre afin de découvrir une nouvelle fois ma culotte bleu-ciel. Je ne bougeai pas et le laissai faire tandis qu’il remontait toujours davantage ses mains en direction de mon entrejambe.
-Tu me suces un peu ? me demanda-t-il alors.
-Non ! lui répondis-je rapidement et avec une certaine mesquinerie.
Je m’écartai alors de lui puis me remit debout. Ma jupe retomba. Figé de surprise, il me fixa un instant les yeux écarquillés. Je le repris aussitôt : -Enlève plutôt ton pantalon et ton caleçon…-Euh…-Allez, ne discute pas, le grondai-je. Retire-les !
Il se releva rapidement afin de m’obéir et se déshabilla bien plus vite que je ne l'aurais imaginé. La verge dressée en direction du plafond, il me fixait sans comprendre. Je notai toutefois une touche d'excitation dans son regard.
Je m’avançai ensuite vers lui, le prit par la main avec un léger sourire puis le guidai jusqu’à un fauteuil monoplace qui se situait non loin du canapé. Je le fis s’asseoir en le poussant par les épaules.
Je me tins debout devant lui, puis tournai les mains autour de ma taille pour chercher la fermeture de ma jupe. Pendant ce temps, je lui déclarai :-Tu aimes ma culotte et mes jolies fesses rebondies ? Alors, je vais te les faire baiser tous les deux…-Qu… Quoi ?
Je détachai finalement ma jupe et la laissai tomber sur le parquet du salon. Il me regarda. Je me retrouvai les jambes nues avec mon seul sous-vêtement pour cacher mon intimité. Je pivotai ensuite devant lui et étirai un moment les bras vers le plafond dans le but de soulever au plus haut mon chemisier afin de lui montrer, avec une certaine envie, mes fesses bien moulées dans mon slip bleu.
-Voilà mes fesses dont je te parle tout le temps... Sont-elles aussi comme je te les ai décrites ?
-Rebondies et serrées comme tu me l’as toujours fait comprendre. Je les adore, Claire !
Je reculai alors de quelques pas et finit par m’asseoir sur lui. Je glissai au plus près de son ventre et je m'arrêtai lorsque je sentis son sexe tendu, similaire à une barre d'acier, se glisser entre mes formes de jeune fille.
-Oh la vache… jura-t-il.
-Quoi ?
-Qu’est-ce que tu fais, bon sang ?
-Ça ne te plait pas ?
-Oh, si, Claire, bien sûr que si ! Mais tu vas me rendre fou...
Je m’appuyai des deux mains sur ses genoux et je commençai alors à remuer mes hanches d’avant en arrière afin de l’exciter davantage. Son sexe frottait contre le tissu fin de ma culotte et coulissait entre mes deux fesses serrées. Je ressentais presque tous les mouvements de mon partenaire. Il tremblait d’excitation et son pénis durcit encore plus contre moi.
-Tu sais ? repris-je alors.
-Quoi ?
-C’est le fauteuil de mon père sur lequel tu es assis, lui révélai-je tout en continuant la masturbation contre ma culotte.
-Qu… Quoi ?
-Oui, c’est là qu’il s’assoit tout le temps. Presque tous les soirs, jubilai-je. Je n'ai pas envie que tu le salisses, tu comprends ?
-Euh… Je… Je vais essayer ! Mais... alors, pourquoi tu m'as fait m'asseoir sur ce fauteuil-là si tu tenais tellement à me faire ce que tu es en train de me faire ?
-Je ne sais pas, parce que ça m'excite, je crois ! Dans tous les cas, pour éviter les catastrophes, je te laisse faire sur ma culotte. Tu as tout le tissu pour t’éponger si vraiment tu es trop pressé… Je lui tenais les genoux et jouais davantage de mon bassin pour l’attiser. Mes fesses se lovaient entièrement contre son sexe. Je le sentais entièrement pressé contre moi. Je distinguai même les sons caractéristiques que faisait une verge masculine lorsqu’on la branlait. Je poursuivis un long moment mon effort sachant que mon partenaire était sans-doute profondément plongé dans un merveilleux plaisir.
Puis je finis par lâcher mon étreinte sur ses genoux et pris un instant pour me contorsionner dans sa direction. Je recherchai ses mains.
-Viens ! lui dis-je alors en attrapant ses bras.
Il se laissa faire. Je le guidai d’abord sur mon ventre puis passai ses doigts sous mon chemisier avant de les faire remonter jusqu’à mon armature de soutien-gorge. Je le fis ensuite enrouler ces paumes autour de mes deux bonnets à la texture rugueuse, car couverts de broderies fines et détaillées. Il attrapa mes seins et les pressa délicatement d’un geste très doux.
-Amuse-toi, allez ! l'autorisai-je alors.
Je retournai, quant à moi, en appui sur lui et recommençai mes mouvements de fesses pour le branler.
-C’est le soutien-gorge qui est assorti à ma culotte si tu veux savoir ! Il est aussi de la même couleur.
Il pelota longuement les bonnets, faisant glisser ses phalanges sur les broderies tout en suivant les formes rondes de ma poitrine. Il s’imprégna longuement de mes rondeurs en jouant de ses doigts puis je le sentis enfin se saisir de l’extrémité de mes bonnets pour les tirer vers le bas. Il découvrit ma poitrine puis s'attacha à caler ses paumes contre mes seins nus. Doucement, il me palpa avec une certaine passion. Chacune des deux extrémités de mes seins se durcit entre ses doigts. De temps en temps, il soupesait mes formes rondes puis reprenait ses douces caresses contre ma peau nue. Je fermai les yeux de bonheur et le laissai m'explorer en profitant de ce doux plaisir qu’il me procurait. Je jouais toujours pendant ce temps-là de ma culotte contre lui. J’adorais notre complicité.
-Claire ? me demanda-t-il alors d’une voix fluette.
-Hum ? répondis-je vaguement, les yeux toujours clos.
-Je peux mettre une main dans ta culotte ? Je veux toucher ta petite chatte, osa-t-il me demander.
J’ouvris les paupières puis me retournai dans sa direction.
-Non !
-Mais, tu vas me faire jouir ! S’il te plait ! J’en peux plus, je vais craquer...
Je cessai aussitôt mon geste de va-et-vient puis me redressai sur mes pieds. Contraint, il me lâcha la poitrine. Je me retournai ensuite puis me plaçai de nouveau à califourchon sur ses cuisses, mais cette fois face à lui. Son sexe tendu était entièrement rouge d’avoir longuement été frotté contre le tissu de mon sous-vêtement.
Je m’avançai presque contre son ventre puis calai sa verge tout contre mon intimité féminine. En contact avec ma petite chatte, je percevais son pénis bien dur, simplement séparé par l’épaisseur du tissu de mon slip. Mon excitation se développa naturellement.
Je pris un moment pour jeter un oeil entre nous, son gland rose émergeait entre nos deux ventres. Sans le prévenir, je le saisis avec les doigts de ma main droite puis doucement commençai à le branler gentiment. Je jouais avec son sexe tout en malaxant son prépuce. J'accompagnai mon geste de la main par des mouvements de bassin afin de glisser son pénis contre mon intimité.
-Ma culotte est toute mouillée à cause de toi, lui dis-je en massant son pénis.
-Mais c’est de ta faute à ce que je sache…-Si tu te laisses aller, tu vas finalement bien réussir à tacher toute ma culotte…Et soudain, le moment arriva. Je sentis son corps vibrer. Il souleva brusquement mon chemisier pour mettre à découvert mon soutien-gorge. L’un de mes bonnets ne s'était pas replacé correctement si bien que j'avais tout le sein gauche à l'air. Il attrapa rapidement ma poitrine, se saisit de mes rondeurs entre ses paumes et gigota d'intenses mouvements de bassin. Je le devinai sur le point d’exploser. J’accélérai mon jeu de doigt en le fixant droit dans les yeux. Il ferma les paupières puis poussa un profond gémissement qu'il arracha de ses entrailles.
Quelque chose de chaud gicla sur mon nombril puis je sentis un liquide épais et brulant s’écouler entre mes doigts fins. Je baissai le regard tandis qu’une autre giclée puissante vint directement s'écraser sur ma joue. Il éjaculait de toute sa frustration dans mes mains et son sperme gluant s’enfuit sous mon étreinte pour partir à la recherche de ma culotte qu’il finit par tâcher.
Je le laissai me souiller les cuisses et l'entrejambe. Puis il se tarit.
Il rouvrit finalement les yeux et me fixa d'un regard heureux.
-C’était trop bon, Claire!
-T’es un vrai cochon, tu sais ?
-Quoi ?
-Tu m’en as mis partout…-Mais…-Tu baises avec ma culotte, et tu te laisses aller comme un gros pervers. T'es vraiment un vicieux.
-Mais Claire…Je pouffai de rire, me moquant de lui puis je relâchai sa queue. Cette dernière était encore gluante de son sperme épais et demeurait pour le moment toujours tendue. Je m’écartai finalement de lui et je constatai son travail. De longues gouttes de sperme visqueux adhéraient contre ma culotte juste à l’endroit précis où se situait l’entrée de mon vagin. Je détaillai ensuite mes doigts dégoulinants de sa semence et exprimai une moue désappointée.
-Bon ben, je n'ai plus qu’à me changer, on dirait...
Je me mis alors à rire avant de lui faire un signe de ma main souillée.
-Je monte trouver une autre culotte, je reviens ! Trouve des mouchoirs quelque part en attendant et essuies-toi bien.
Je lui tirai la langue par coquinerie avant de m’enfuir dans le couloir, le laissant complètement incrédule à la situation qui venait de se produire.
(Vous pouvez bien entendu vous douter que cela n’est qu’un début… Postez-moi plein de commentaires si vous en désirez la suite ! Vos idées d’histoires sont également toutes les bienvenues pour de futures publications. Claire ;-) )
Pour leurs vacances d'été, mes parents décident souvent, presque chaque année, de partir en Italie, pour profiter du soleil et de la famille que nous avions encore là-bas. Mais cette été-là, peu motivée, je décidai de ne pas les accompagner et de rester seule à la maison. J'en profiterais ainsi pour voir mes amies et mon petit copain que j'avais rencontré au cours de l'année à la fac. C'est ainsi que mes parents partirent avec mon petit frère, courant août, peu après mon anniversaire, me laissant donc seule pour deux semaines avec la maison exclusivement pour moi. J'étais plutôt ravie de cette opportunité.
Le soir même, c'était un jeudi, il n'y avait rien d'intéressant à la télévision, si bien que je me connectai à mon compte de chat tout en surfant entre différentes pages d'internet. Je fus surprise d'y retrouver François qui, malgré les vacances, se retrouva, tout comme moi en ligne. Bien sûr, toujours motivée pour un scénario coquin, je lui envoyai un message de salutations. Il me répondit très vite et de fil en aiguille, je lui expliquai ma situation, moi seule à la maison, j'allais passer deux semaines de bonheur. C'est alors qu'il me proposa de me rendre visite. D'abord étonnée, je finis pas prendre cela comme un jeu et imaginai que c'était encore une proposition de situation loufoque avec lesquelles nous nous plaisions à jouer. Mais il m'assura bien vite qu'il était tout à fait capable de prendre le train pour me rejoindre dans ma ville. Je ne sus d’abord comment réagir à cette remarque inattendue, mais au bout d'une heure de conversation, je finis tout de même par accepter sa venue. Je lui précisai toutefois que j'étais déjà en relation avec un garçon et que nous nous verrions en tant que simple ami. C'est ce qu'il imaginait aussi.
Deux jours plus tard, je me retrouvai donc à la gare, plongée dans certaines craintes vis à vis de ce garçon que je n'avais finalement jamais vu. Notre relation était basée sur le chat et les jeux de rôles et à aucun moment, nous avions échangé nos photos. Le refus venant de mon côté essentiellement. J'attendais donc patiemment l'arrivée du TGV provenant de Paris qui finalement arriva quelques minutes en avance. Je laissai descendre tous les passagers qui créèrent rapidement une cohue sur le quai, puis patientai jusqu'à ce que la plate-forme se vide. Je reconnus ainsi assez aisément François, pour être le dernier voyageur qui restait. Je le voyais tourner la tête dans tous les sens, à ma recherche. Moqueuse, je décidai de jouer alors à un petit jeu. Il y avait une autre jeune fille sur le quai, à peu près également de notre âge. Je le voyais hésiter. Afin de le dérouter, je feintai de pianoter sur mon téléphone pour paraître me désintéresser de lui. Il se dirigea donc tout naturellement vers l'autre fille. Je l'entendis l'aborder.
-Salut !
La jeune fille lui répondit.
-Euh, c'est toi Claire ?
Son interlocutrice le regarda un moment incrédule puis répondit :-Ah non, je suis désolée, ce n'est pas moi !
Il s’excusa tout honteux puis se tourna vers moi qui pouffais de rire le regard toujours plongé sur l'écran de mon téléphone. Au moins, étais-je sure d'une chose, c'était bien mon visiteur. Il vint alors vers moi, me salua et me reposa la même question. Quand je lui signifiai qu'il s'adressait enfin à la bonne personne, son regard s'éclaira. Enfin, je pus le détailler un petit peu. Il était plutôt grand, les cheveux bruns coupés courts, pas trop musclé mais avec un visage mignon au regard brun assez intense. Je le grondai légèrement sur son erreur passée et sur le fait de n’avoir su me reconnaître entre les deux jeunes filles. En effet, l'autre avait des yeux bleus alors que je lui avais toujours précisé dans nos histoires, que mon regard portait plutôt sur le vert-brun. Il s’excusa en bafouillant, ce qui me fit, une nouvelle fois, éclater de rire.
Après avoir fait un peu connaissance, je ramenai mon nouvel ami à la maison. J’utilisai pour cela la petite voiture que m’avaient confiée mes parents et qui était devenue un peu la mienne. Durant tout le trajet, François me parla longuement de son enthousiasme liée à cette rencontre et il m’expliqua que toute cette situation l’enchantait grandement. Il était vrai que nous chattions déjà depuis plus de deux années sur internet. Je pouvais aisément imaginer son plaisir.
Une fois arrivés dans mon quartier, je garai la voiture sur ma place habituelle et je le fis descendre. Accompagnée de mon visiteur, je me rendis ensuite à l'entrée principale de l'endroit où j'habitais et déverrouillai la porte. Je le fis entrer chez moi. Il posa son sac dans le hall d’entrée puis ne tarda pas à se déchausser après avoir remarqué que la maison était plutôt propre et bien rangée. Je le fis ensuite entrer dans le salon puis lui demanda de s’installer tranquillement sur le canapé le temps que je m’absente pour aller chercher quelques rafraichissements. Je le rejoignis assez vite avec du jus d’orange et des biscuits secs avant de m’installer à ses côtés. Ce jour-là, je portais un chemisier de coton assez fin de couleur noir et une jupe écarlate qui descendait jusqu’à mes genoux. Je ne portais ni collants ni bas.
Il me sourit gentiment tandis que je prenais place.
-C’est tout de même assez étrange de te rencontrer enfin, Claire ! me confia-t-il. Après tous les secrets plutôt intimes que nous avons entre nous...
Je souris à cette remarque qui rappelait mes souvenirs à de bons moments de plaisir puis lui répondit :-Je pourrais en dire de même, tu sais ? Je connais beaucoup de choses assez intimes sur toi.
-Oui, c'est vrai. Mais je dois t'avouer une chose, je suis plutôt content, car je te voyais dans mon imagination un peu moins jolie que ce que tu es réellement.
Je secouai la tête, ne m’attardant pas davantage sur cette dernière réflexion. Je le laissai poursuivre :-Tu te souviens quand on a joué le scénario dans lequel tu avais pris le rôle d'une jeune conductrice en apprentissage d’auto-école et que moi, je jouais ton professeur ? Cette histoire-là m’avait beaucoup plu. C'est une de mes préférées.
-Celle dans laquelle je casse le rétroviseur de la voiture et où je te supplie de ne pas le dire à mes parents ? Et où je finis par te sucer pour te demander pardon de casser ta voiture ?
-Exactement !
Je ris à cette allusion et lui confiai finalement que moi aussi, j’avais plutôt apprécié cette excellente histoire.
-Nous en avons tellement fait ! Plus d’une centaine, facile ! s’écria-t-il.
-Un peu trop peut-être, le rabrouai-je.
-Pas assez, tu veux dire... Des fois, j’ai même vraiment rêvé de toi la nuit, tu sais ? Juste après nos scénarios coquins...
Je détournai le regard tout de même gênée mais il continua.
-Mais bon, rien de mieux que d’être enfin là à te rencontrer. C’est dommage que tu aies un copain, c’est juste ça...
À ces paroles, je me retournai de nouveau dans sa direction et le considérai.
-Écoute François, je suis désolée, mais…-Oui, je sais… Je ne m’attends à rien, rassure-toi. Tu as été suffisamment claire sur internet et je tiendrai mes promesses. Tu peux avoir confiance. Mais tu es quand même une amie pour moi... c'est ce que je considère du moins...
Je le fixai, demeurant muette un moment puis mon esprit vagabonda et je me remis à repenser à nos scénarios lubriques. Pas plus tard que l'avant-veille, nous avions encore construit une histoire. Mon rôle avait été de jouer une simple assistante de chirurgien-dentiste qui se chargeait d'occuper le patient pendant les opérations médicales, et bien entendu, François avait apprécié et bien joué son personnage qui recevait une agréable fellation pendant qu’il patientait la bouche ouverte une réparation de sa dent abimée.
Je me mis rapidement à pouffer de rire.
-Qu’est-ce qu’il y a ? s’écria-t-il, en m’observant, incrédule. J'ai dit quelque chose de rigolo ?
-Mais non, mais c'est toi qui me fais rire !
-Ah bon ? Mais je n’ai rien fait... souffla-t-il.
-Hum… Ta visite chez moi serait presque une situation de l’un nos scénarios. Tu n’en as pas l’impression ? poursuivai-je.
-Qu’est-ce que tu veux dire par là ?
-Ben je ne sais pas… tu es quand même venu de loin pour me voir… c’est une situation bizarre. Tu as fait plus de 400 kilomètres en train tout de même...
-Je ne trouve pas que la situation soit aussi bizarre que tu le dis.
Je le fixai dans les yeux un long moment. Il avait un très beau regard brun avec une lueur pétillante dans ses pupilles.
-Imagine…, lui dis-je alors, que nous serions dans nos histoires... Comment la situation évoluerait-elle, tu crois ?
À ces mots, je déposai mon verre à moitié rempli sur la table en me penchant en avant puis retournai mon attention à lui. Sans en attendre davantage, je me redressai légèrement puis l’enfourchai sans même lui demander son avis. Passant l’une de mes jambes fines par-dessus ses cuisses, je finis par m’asseoir sur ses genoux directement face à lui. Il me regarda bouche bée. Je devinai qu'il ne saisissait pas la situation.
-Et puis pourquoi ne ferions-nous pas comme si nous étions dans l'un de nos jeux ? On n'a qu'à dire que l'on fait comme d'habitude... Comme sur internet, chaque soir...
-Euh, Claire…-Mais c’est rien, on joue, c’est tout...
Je le contemplai un moment, le sourire aux lèvres. Il me fixa avec une envie qu'il n'arrivait pas à dissimuler puis je finis par lui demander :-Tu as envie de voir ma culotte ?
-Qu... Quoi ?
-Tu sais ? La jolie culotte bleu-ciel dont je te parle très souvent dans nos histoires ! Je crois me rappeler que ce matin je l’ai mise…
Et sans en attendre davantage de sa réponse, je saisis, de mes deux mains, les ourlets de ma robe rouge et la soulevai devant lui. J’étais toujours assise à califourchon sur ses genoux ce qui laissa mon intimité bien exposée à François. Son regard curieux glissa rapidement entre mes cuisses et c'est ainsi qu'il découvrit mon fin sous-vêtement de couleur azur, légèrement brodé de motifs et décoré d’un petit nœud papillon sur l’élastique. Ce dernier cachait parfaitement mon petit sexe serré, mais on pouvait tout de même y entrevoir la forme moulée dans le tissu de mes lèvres bien refermées. Je le laissai longuement détailler ma culotte tout en l'observant d'un regard complice. Il ne savait plus que dire face à la situation.
-Et toi alors ? Tu me montres aussi ton "long serpent" comme tu aimes me l'écrire lors de nos histoires ?
-Claire, euh…-Quoi ? Tu ne crois pas, après tout, que ce que l’on connait le mieux l'un de l’autre, ce sont tous ces détails particuliers ?
Je relâchai finalement l’ourlet de ma jupe, puis je me reculai un peu, faisant glisser mes fesses sur ses cuisses afin de me permettre d'entrevoir la braguette de son jean. J’avançai alors mes doigts en direction de son entrejambe, puis sans lui en demander la permission, je me chargeai de lui détacher le bouton principal de son pantalon. Puis je lui tirai lentement sa fermeture éclair.
-Mais Claire, tu fais quoi ? Tu m’as dit que tu avais un copain...
-On ne fait rien de mal, on s’amuse, c’est tout ! Et puis, après tout ce que tu m'en as décrit, j’ai bien le droit de la voir un moment. Tu m'en as dit tellement de bien. Et puis, je te signale que je l’ai un peu prise partout. Dans les fesses, dans la chatte, dans la bouche... Je veux savoir à quoi j’ai eu affaire...
Tout en parlant, j'écartai délicatement les deux pans de son jean pour découvrir à mon tour un caleçon d'un noir mat déjà bien gonflé par une énorme bosse. Je reculai mes mains puis souriante, lui demandai :-Allez, maintenant tu me la sors, s’il te plait !
Il hésita un long moment tout en me regardant, sans doute en proie à un dilemme. Je patientai gentiment. Puis enfin, il se décida. Après avoir déposé son verre de jus d'orange sur le sol, il s'exclama :-Bon d'accord, mademoiselle Claire la Curieuse, tu l'auras voulu !
D’une main, il tira vers le bas l’élastique de son slip et prit un intense plaisir à m’exposer ce qu’il appelait parfois son « engin de guerre ». Je regardai attentivement son sexe. Il était plutôt d’épaisseur moyenne, mais d’une longueur tout de même assez surprenante. Le bout de son gland rose émergeait de son prépuce et je sentis rapidement son odeur intime remonter jusqu’à mes narines. Je haussai les sourcils.
-Voilà Claire, t’es contente ?
-Oui, et tu ne m’avais pas menti, je dois dire ! Avec tout ce que tu m'en as décrit, j’ai quand même un peu douté de la vérité, mais c’est vrai, tu as raison. Il est de grande taille...
-Il te plait ?
-Oui... Après tout ce que tu m'as fait subir virtuellement grâce à lui !
Je continuai à détailler son sexe. Il tenait toujours l’élastique de son caleçon écarté vers le bas ce qui me laissait tout le loisir de contempler également ses deux gros testicules qui flottaient sous sa queue déjà bien en érection.
Il fit finalement un geste pour caler d'une façon ou d'une autre son slip afin de reprendre l'avantage de ses mains tout en laissant à ma vue son pénis tendu. Il posa ensuite ses paumes à la peau légèrement rugueuse sur mes genoux puis les fit glisser lentement le long de mes cuisses nues, ne se gênant même pas pour passer carrément sous mon vêtement.
-Toi aussi, Claire, tu me plais ! Tu sais ?
Il retourna à nouveau ma jupe, et la bloqua contre mon ventre afin de découvrir une nouvelle fois ma culotte bleu-ciel. Je ne bougeai pas et le laissai faire tandis qu’il remontait toujours davantage ses mains en direction de mon entrejambe.
-Tu me suces un peu ? me demanda-t-il alors.
-Non ! lui répondis-je rapidement et avec une certaine mesquinerie.
Je m’écartai alors de lui puis me remit debout. Ma jupe retomba. Figé de surprise, il me fixa un instant les yeux écarquillés. Je le repris aussitôt : -Enlève plutôt ton pantalon et ton caleçon…-Euh…-Allez, ne discute pas, le grondai-je. Retire-les !
Il se releva rapidement afin de m’obéir et se déshabilla bien plus vite que je ne l'aurais imaginé. La verge dressée en direction du plafond, il me fixait sans comprendre. Je notai toutefois une touche d'excitation dans son regard.
Je m’avançai ensuite vers lui, le prit par la main avec un léger sourire puis le guidai jusqu’à un fauteuil monoplace qui se situait non loin du canapé. Je le fis s’asseoir en le poussant par les épaules.
Je me tins debout devant lui, puis tournai les mains autour de ma taille pour chercher la fermeture de ma jupe. Pendant ce temps, je lui déclarai :-Tu aimes ma culotte et mes jolies fesses rebondies ? Alors, je vais te les faire baiser tous les deux…-Qu… Quoi ?
Je détachai finalement ma jupe et la laissai tomber sur le parquet du salon. Il me regarda. Je me retrouvai les jambes nues avec mon seul sous-vêtement pour cacher mon intimité. Je pivotai ensuite devant lui et étirai un moment les bras vers le plafond dans le but de soulever au plus haut mon chemisier afin de lui montrer, avec une certaine envie, mes fesses bien moulées dans mon slip bleu.
-Voilà mes fesses dont je te parle tout le temps... Sont-elles aussi comme je te les ai décrites ?
-Rebondies et serrées comme tu me l’as toujours fait comprendre. Je les adore, Claire !
Je reculai alors de quelques pas et finit par m’asseoir sur lui. Je glissai au plus près de son ventre et je m'arrêtai lorsque je sentis son sexe tendu, similaire à une barre d'acier, se glisser entre mes formes de jeune fille.
-Oh la vache… jura-t-il.
-Quoi ?
-Qu’est-ce que tu fais, bon sang ?
-Ça ne te plait pas ?
-Oh, si, Claire, bien sûr que si ! Mais tu vas me rendre fou...
Je m’appuyai des deux mains sur ses genoux et je commençai alors à remuer mes hanches d’avant en arrière afin de l’exciter davantage. Son sexe frottait contre le tissu fin de ma culotte et coulissait entre mes deux fesses serrées. Je ressentais presque tous les mouvements de mon partenaire. Il tremblait d’excitation et son pénis durcit encore plus contre moi.
-Tu sais ? repris-je alors.
-Quoi ?
-C’est le fauteuil de mon père sur lequel tu es assis, lui révélai-je tout en continuant la masturbation contre ma culotte.
-Qu… Quoi ?
-Oui, c’est là qu’il s’assoit tout le temps. Presque tous les soirs, jubilai-je. Je n'ai pas envie que tu le salisses, tu comprends ?
-Euh… Je… Je vais essayer ! Mais... alors, pourquoi tu m'as fait m'asseoir sur ce fauteuil-là si tu tenais tellement à me faire ce que tu es en train de me faire ?
-Je ne sais pas, parce que ça m'excite, je crois ! Dans tous les cas, pour éviter les catastrophes, je te laisse faire sur ma culotte. Tu as tout le tissu pour t’éponger si vraiment tu es trop pressé… Je lui tenais les genoux et jouais davantage de mon bassin pour l’attiser. Mes fesses se lovaient entièrement contre son sexe. Je le sentais entièrement pressé contre moi. Je distinguai même les sons caractéristiques que faisait une verge masculine lorsqu’on la branlait. Je poursuivis un long moment mon effort sachant que mon partenaire était sans-doute profondément plongé dans un merveilleux plaisir.
Puis je finis par lâcher mon étreinte sur ses genoux et pris un instant pour me contorsionner dans sa direction. Je recherchai ses mains.
-Viens ! lui dis-je alors en attrapant ses bras.
Il se laissa faire. Je le guidai d’abord sur mon ventre puis passai ses doigts sous mon chemisier avant de les faire remonter jusqu’à mon armature de soutien-gorge. Je le fis ensuite enrouler ces paumes autour de mes deux bonnets à la texture rugueuse, car couverts de broderies fines et détaillées. Il attrapa mes seins et les pressa délicatement d’un geste très doux.
-Amuse-toi, allez ! l'autorisai-je alors.
Je retournai, quant à moi, en appui sur lui et recommençai mes mouvements de fesses pour le branler.
-C’est le soutien-gorge qui est assorti à ma culotte si tu veux savoir ! Il est aussi de la même couleur.
Il pelota longuement les bonnets, faisant glisser ses phalanges sur les broderies tout en suivant les formes rondes de ma poitrine. Il s’imprégna longuement de mes rondeurs en jouant de ses doigts puis je le sentis enfin se saisir de l’extrémité de mes bonnets pour les tirer vers le bas. Il découvrit ma poitrine puis s'attacha à caler ses paumes contre mes seins nus. Doucement, il me palpa avec une certaine passion. Chacune des deux extrémités de mes seins se durcit entre ses doigts. De temps en temps, il soupesait mes formes rondes puis reprenait ses douces caresses contre ma peau nue. Je fermai les yeux de bonheur et le laissai m'explorer en profitant de ce doux plaisir qu’il me procurait. Je jouais toujours pendant ce temps-là de ma culotte contre lui. J’adorais notre complicité.
-Claire ? me demanda-t-il alors d’une voix fluette.
-Hum ? répondis-je vaguement, les yeux toujours clos.
-Je peux mettre une main dans ta culotte ? Je veux toucher ta petite chatte, osa-t-il me demander.
J’ouvris les paupières puis me retournai dans sa direction.
-Non !
-Mais, tu vas me faire jouir ! S’il te plait ! J’en peux plus, je vais craquer...
Je cessai aussitôt mon geste de va-et-vient puis me redressai sur mes pieds. Contraint, il me lâcha la poitrine. Je me retournai ensuite puis me plaçai de nouveau à califourchon sur ses cuisses, mais cette fois face à lui. Son sexe tendu était entièrement rouge d’avoir longuement été frotté contre le tissu de mon sous-vêtement.
Je m’avançai presque contre son ventre puis calai sa verge tout contre mon intimité féminine. En contact avec ma petite chatte, je percevais son pénis bien dur, simplement séparé par l’épaisseur du tissu de mon slip. Mon excitation se développa naturellement.
Je pris un moment pour jeter un oeil entre nous, son gland rose émergeait entre nos deux ventres. Sans le prévenir, je le saisis avec les doigts de ma main droite puis doucement commençai à le branler gentiment. Je jouais avec son sexe tout en malaxant son prépuce. J'accompagnai mon geste de la main par des mouvements de bassin afin de glisser son pénis contre mon intimité.
-Ma culotte est toute mouillée à cause de toi, lui dis-je en massant son pénis.
-Mais c’est de ta faute à ce que je sache…-Si tu te laisses aller, tu vas finalement bien réussir à tacher toute ma culotte…Et soudain, le moment arriva. Je sentis son corps vibrer. Il souleva brusquement mon chemisier pour mettre à découvert mon soutien-gorge. L’un de mes bonnets ne s'était pas replacé correctement si bien que j'avais tout le sein gauche à l'air. Il attrapa rapidement ma poitrine, se saisit de mes rondeurs entre ses paumes et gigota d'intenses mouvements de bassin. Je le devinai sur le point d’exploser. J’accélérai mon jeu de doigt en le fixant droit dans les yeux. Il ferma les paupières puis poussa un profond gémissement qu'il arracha de ses entrailles.
Quelque chose de chaud gicla sur mon nombril puis je sentis un liquide épais et brulant s’écouler entre mes doigts fins. Je baissai le regard tandis qu’une autre giclée puissante vint directement s'écraser sur ma joue. Il éjaculait de toute sa frustration dans mes mains et son sperme gluant s’enfuit sous mon étreinte pour partir à la recherche de ma culotte qu’il finit par tâcher.
Je le laissai me souiller les cuisses et l'entrejambe. Puis il se tarit.
Il rouvrit finalement les yeux et me fixa d'un regard heureux.
-C’était trop bon, Claire!
-T’es un vrai cochon, tu sais ?
-Quoi ?
-Tu m’en as mis partout…-Mais…-Tu baises avec ma culotte, et tu te laisses aller comme un gros pervers. T'es vraiment un vicieux.
-Mais Claire…Je pouffai de rire, me moquant de lui puis je relâchai sa queue. Cette dernière était encore gluante de son sperme épais et demeurait pour le moment toujours tendue. Je m’écartai finalement de lui et je constatai son travail. De longues gouttes de sperme visqueux adhéraient contre ma culotte juste à l’endroit précis où se situait l’entrée de mon vagin. Je détaillai ensuite mes doigts dégoulinants de sa semence et exprimai une moue désappointée.
-Bon ben, je n'ai plus qu’à me changer, on dirait...
Je me mis alors à rire avant de lui faire un signe de ma main souillée.
-Je monte trouver une autre culotte, je reviens ! Trouve des mouchoirs quelque part en attendant et essuies-toi bien.
Je lui tirai la langue par coquinerie avant de m’enfuir dans le couloir, le laissant complètement incrédule à la situation qui venait de se produire.
(Vous pouvez bien entendu vous douter que cela n’est qu’un début… Postez-moi plein de commentaires si vous en désirez la suite ! Vos idées d’histoires sont également toutes les bienvenues pour de futures publications. Claire ;-) )
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