Mon copain mécano
Récit érotique écrit par Noel [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-04-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mon copain mécano
Mon copain mécano
Suite à un changement familial, mon activité agricole est modifié, je ne fais plus que des céréales, la récolte des foins, ceci me laisse beaucoup de temps, j'ai créé une entreprise d'entretien espaces verts.
Un matin je veux partir chez un client avec mon tracteur, pas possible un soucis de blocage de freins, je téléphone à mon garagiste qui me dit que ce ne sera pas le mécano habituel il est en arrêt maladie, mais un intérimaire, il est consciencieux, je n'aurai pas de soucis.
J'attends mon dépanneur dans la cour de ma ferme, je suis en bleu de travail et bottes, il arrive descend de sa camionnette, homme assez corpulent en bleu de travail, je remarque de suite que son regard se porte sur mes bottes, mon entre jambes, il s'avance me serre la main, elle est douce et chaude et de nouveau ses yeux se dirigent vers mes pieds.
Je lui explique la panne, de suite il sait ce qu'il faut faire, démontage des freins, je l'aide au déblocage de la roue, comme je suis derrière lui je constate qu'il est assez large du bassin, une grosse paire de fesses, en manœuvrant le levier de déblocage je m'aperçois qu'il en profite pour effleurer mes bottes.
Commence le dévissage des réducteurs de roues, aucun soucis, il est à genoux, je suis juste à côté, au dernier boulon il faut tenir la pièce pour la sortir, il me demande de le faire, je viens donc derrière lui debout je dois écarte les jambes pour passer vers ses épaules de ce fait mes bottes sont contre ses cuisses, mes jambes contre ses bras, ma grappe au niveau de sa nuque, le fait d'avoir cette position lorsqu'il bouge ses bras me fait bander, cela lui laisse pas beaucoup de place. Soudain sa nuque vient contre mon zob, il sent la raideur, une de ses mains se pose sur le dessus du pied de ma botte, on reste quelques instants sans un mot dans cette posture.
Le travail reprend, la pièce est dégagée, il va remettre du neuf, juste échange de nos prénoms lui c'est Jean, moi Max.
Le remontage fait, Jean me dit qu'il faut faire la même chose de l'autre côté, je l'aide pour enlever la roue, nos mains se rencontrent sans hésiter lors des efforts de desserrage, une certaine complicité se fait. Surprise pas bonne pour moi les dégâts sont plus importants, changer les roulements et bagues, il n'a pas les pièces il faut commander. Jean va relever les références.
Il se lave les mains j'en profite pour aller faire une petite course à la maison, j'ai un doute.
Jean est à l'arrière de sa camionnette, un pied dedans afin de pouvoir écrire dans son cahier sur son genou, il est penché à l'avant, de ce fait son pantalon de bleu est bien tendu, je remarque aucune trace de bourrelet de slip je pense qu'il est sans.
Sur le véhicule il y a une attache remorque Jean est juste au milieu, je mets mon pied dessus, mon genou se trouve sous ses bijoux, je me décale vers le côté comme pour voir ce qu'il écrit.
Ses yeux se portent sur ma botte, sa main vient toucher le caoutchouc, ses fesses se bloque contre moi. Il pose son cahier dans un casier.
Je n'hésite pas une seconde, mes bras l'entourent, je cherche les deux fermetures éclairs, je les fais glisser au plus bas, mes doigts caressent les tétons, en plus ses pectoraux sont bien développés.
Commence un jeu de frottage de ses fesses sur ma jambe, Jean en profite pour finir de descendre les fermetures, mes mains parcourent son ventre, prennent son sexe qui est en semi érection, je m'en occupe pour le faire bander.
Je suis en érection, mais comme Jean me plaque, il a du mal à se développer, finalement c'est une bonne chose.
Jean se redresse, je profite de cet instant pour descendre mes fermetures éclairs au niveau de ma bite sans la dégager, Jean est debout, il fait un demi-tour sur ma jambe en la laissant entre les siennes, je dégage le bleu de ses épaules, il tombe à ses pieds, son sexe est bien dressé, il vient s’asseoir sur ma botte frottant sa tige sur le caoutchouc.
Cela l'excite, il bouge du cul sur le dessus de ma botte, quelques petits gémissements de sa part, il descend les fermetures jusqu'aux bottes, son visage vient se plaquer contre ma bite.
Ses lèvres parcourent en tous sens mon sexe, paf ma tige se retrouve dans sa bouche, avec douceur sa langue vient titiller le gland hummmm que c'est bon surtout quand il joue avec la fente.
Pendant ce temps ses mains tirent le reste du bleu des bottes pour ouvrir les fermetures, j'apprécie beaucoup quand ses doigts chauds me caressent les mollets.
Cela me donne des frissons dans le dos. Il salive beaucoup, ma bite apprécie.
Je relève Jean, il dégage mon bleu de mes épaules, nos corps se rejoignent nos poitrines se frottent, nos sexes entre en contact, bien dressés, nos pubis se mélangent, nos lèvres s'unissent pour un long baiser langoureux.
Les caressent sur nos fesses une folie des doigts, Jean écarte un peu les jambes, je ne résiste pas mon index glisse dans la raie, voilà la rosace, elle est assez pointue, charnue, je fais le tour la réaction de Jean est immédiate, nos langues unis il me tire vers le fond de sa gorge. Le désir est là.
A force de jouer avec la rondelle, mon index trouve l'entrée, lentement je franchis la porte, je laisse le temps de la dilatation se faire autour, Jean apprécie en tortillant du cul.
Deux mots suffisent de sa part pour continuer l'aventure: saillie moi.
Jean se place devant moi j'en profite pour prendre le gel dans mon bleu ( petite course que j'avais fait) il se met en levrette se tenant par les mollets.
Bon sang que son cul est beau, sa rosace hummm disons plutôt son choux fleur, car en proéminence je ne résiste pas a venir le sucer, le lécher, je dépose du gel en prenant soin de bien le répartir autour j'aime quand mes couilles entre en contact avec le produit.
Je présente mon gland qui est bien chargé sa couleur est au violacé, le contact avec la partie charnue m'apporte beaucoup, le pré sperme pointe son nez seulement l'étaler au milieu, Jean recule un peu et me voilà dedans.
La couronne du gland encore dehors, puis le petit bruit boock, c'est franchi, Jean a un tressaillement, lentement je m'enfonce dans son antre par petits allers retours.
Une fois bien dans ses entrailles le pistonnage s'accélère, chacun y apportant sa recherche de l'autre.
Pendant de longues minutes je vais pilonner son volcan en feu, Jean me tient par les cuisses, mes mains s'agrippent à ses hanches, je vais pour le branler oh surprise cela coule tout seul à chaque coup de ma bite, j'en ai plein les mains, je m'enfonce à fond, je lâche ma semence.
Grands râles de chacun de nous, satisfaction d'une belle saillie.
Mes doigts plein de son sperme j'en profite pour caresser ses tétons, étaler la liqueur, Jean glousse de plaisir à ce jeu. Je suis toujours en lui, il me bloque pour que je reste.
Finalement, je me retire, sauf pour la couronne que je laisse encore en lui, il a compris ce que je voulais, c'est lui qui va m'expulser en contractant sa rondelle, réussi que c'est bon.
Nous reprenons nos positions debout face à face, nos queues pleins de jute, frottage entre elles, nous nous enlaçons, union des langues, baisers fougueux.
Je sens qu'il écarte les cuisses, ma main passe dans la raie mes doigts découvrent que mon jus est en train de sortir de sa rondelle, s'écoule le long de ses cuisses, il épand le reste dans l'entre jambes.
Nous reprenons nos habits, Jean m'indique qu’il reviendra demain après midi pour finir la réparation, puis mettant sa main sur mon sexe:
elle est bonne, elle travaille bien, tes bottes me font craquer, je suis un botteux.
Il m'a manquaé un truc la prochaine fois, il me murmura son souhait.
Merci, ma bite aime être attaché avec une belle rondelle, j'accéderai à ton désir.
Jean part en m'adressant un beau sourire.
Vers le 13 h Jean arrive, bisous, je lui caresse ses fesses, il m'enlace, me demande hier quand on a fait heureusement que personne n'est venu!
Aucun soucis le portail se referme en automatique, après le passage.
Ah bon je me suis posé la question en rentrant hier soir.
Il fait le remontage des pièces, je le laisse, cela va être long, enfin vers les cinq heures il vient me chercher pour remettre les roues, pour le serrage des gougeons on n'hésite pas a mettre nos mains ensemble, nos corps se touchent sans soucis, je sais que chacun y prend plaisir et que les sexes ne sont pas au repos, je suis certain que ses entrailles attendent une suite.
Il fait très chaud, mes bottes sont molles, une forte odeur de caoutchouc semble l'exciter, je vois qu'il fait semblant de chercher un boulon, renifle près de celles-ci.
J'invite Jean a venir se laver les mains à la maison, faire sa facture, prendre un café.
Il est assis sur la chaise, je vais près de lui pour voir la facture, son mollet se colle contre le mien, je pose ma main sur sa nuque, glissant dans le dos, passage pas facile, il ouvre son bleu de travail, je masse ses épaules, qui sont maintenant dégagées, sa peau est douce, son regard est mielleux, Jean défait mes fermetures éclaires, plonge sa main pour venir soutenir ma grappe, je suis en trans, le bâton est raide, il se lève pour enlever son bleu, je dégage le mien de mes épaules, je sais qu'il veut le sortir des bottes.
Ses reins sont larges comme j'aime, pendant qu'il s’affaire avec mon habit, je me penche sur son dos mes lèvres parcourent sa colonne, mes mains massent les arrondies de ses fesses, sa raie.
Ses mains glissent sur mon mollet dans une botte, sa joue frotte sur l'autre botte.
Un vrai amoureux de ce genre de chaussure, il y prend du plaisir.
Nous sommes nus, debout, collés bite contre bite qui se frottent, nous sommes enlacés, un baiser langoureux vient compléter cette union, je lève ma jambe que je viens frotter sur la sienne, puis le haut de ma botte sur ses fesses, ohhhhh ouiiiiii encore me lance t-il, c'est ce qu'il voulait hier.
De plus comme elles sont chaudes cela lui donne plus de plaisir, ce jeu va durer assez longtemps, au début, pas facile de garder l'équilibre, Jean savait comment faire, on comprend vite.
Ce jeu a permis un lâchement de nos sexes, ils sont en semi érection, nos lèvres se détachent, doucement Jean suce mes tétons, parcoure mon pubis poilu, il adore les poils, sa langue happant mes bourses pour finir sur la tige qui a repris sa forme favorite de dard.
Plus je lui caresse la nuque, plus il donne de l'amour à mon sexe.
Jean se met contre ma cuisse courbé en avant, je comprends qu'il veut me présenter sa friandise, délicatement je caresse la rondeur de ses fesses, j'écarte la raie, hummmm mon choux fleur est là, mon index joue avec les stries charnues, l'autre main s'occupant de son zob, le branlant doucement.
Je vois que son petit trou s'anime, je profite de ses mouvements pour faire absorber mon index, chose faite en insistant un peu, cette bonne sensation me met en érection., Jean aussi bande dur.
Le moment est venu, mon index ressort, Jean vient se mettre devant moi, j'en profite pour saisir le gel, pas la peine dedans il est suffisamment ouvert, tout autour pour accélérer les mouvements du muscle de la rondelle, mon gland planté au milieu vient de cracher le pré sperme, le nectar, un léger appui sur le muscle et dedans, la couronne au ras du trou, je sens les mouvements de sphincter, le fameux bruit block et me voilà dans le volcan, Jean émet un haaaaaa de bonheur.
Je laisse le temps que son tube s'adapte à ma queue entrant lentement par petits mouvements, il se dilate vite et me voilà au fond de son ventre.
Je le tiens par les hanches, lui s'accroche à mes cuisses, à chaque coup de reins, sa bite se balance,
Jean devient de plus en plus chaud, ses râles de plus en plus puissant, son corps se raidit, ma main vient vers sa queue je sais qu'il éjacule, moi ma respiration plus saccadée.
Ses doigts se crispent sur mes cuisses, je comprends, je donne quelques coups de reins puissants afin de lâcher mon jus au plus profond de ses entrailles.
Il a compris, le ahhhhhhhh émis accuse sa satisfaction
Nous restons attachés et le plaisir de chacun c'est de se séparer par mon expulsion, j'adore ce moment, quand mon passif décide de repousser son joujou.
Le passage de la couronne est un délice, voir ensuite le choux fleur se remettre en place ouhhaaaa.
Ma main encore pleine de sa jute, je la mets derrière son cul sous sa rondelle, Jean va éjecter ma semence, par petits jets, ce qu'il réussit très bien, il sait que cela me fait plaisir.
Tout se sperme récupérer je le dépose sur la poitrine de Jean et nous nous frottons, l'odeur de mâle nous enivre, un baiser langoureux nous unis. L'appel de son mollet me fait comprendre qu'il veut sentir ma botte sur ses cuisses je m’exécute, en cadeau ses doigts s'amusent avec mes testicules huummm sympa.
Belle saillie avec mon mécano, complicité totale, recherche du plaisir de chacun.
Jean grand sourire lèche mon sexe avec passion, je lui rends la politesse, son sexe est plus petit que moi, mais je découvre un beau jouet, il m'a tellement satisfait avec son cul, un bon passif exigeant, j'adore.
Max tu as beaucoup de matériel à entretenir, si tu veux je peux le faire le WE, tu achètes les pièces et je fais!
Ok, mais pour ton temps ce n'est pas une mince affaire! (je vois bien ce qu'il souhaite)
Tu me loges, repas, perso il y a de l'entretien à faire, je me sens bien avec toi surtout quand nos corps échangent cette chaleur, ta bite un délice en moi, je n'ai pas de copain, mon seul plaisir avec un gode.
Jean, j'accepte ta proposition, ma queue adore ta rosace, tes entrailles, nos sexes s'aiment bien, ton cul un bijou.
Pendant de longs mois nous avons partagé nos corps, Jean venait en bottes caoutchouc, baiser super, j'aimais cette façon, il me confia que sa rondelle avait cette forme de choux fleur à force de se goder depuis jeune, par contre il n' avait pas de relation avec les gars suite à une mauvaise expérience jeune, le mec l'ayant presque déchiré, pris par force.
Si cette histoire vous plaît j'attends vos commentaires.
Suite à un changement familial, mon activité agricole est modifié, je ne fais plus que des céréales, la récolte des foins, ceci me laisse beaucoup de temps, j'ai créé une entreprise d'entretien espaces verts.
Un matin je veux partir chez un client avec mon tracteur, pas possible un soucis de blocage de freins, je téléphone à mon garagiste qui me dit que ce ne sera pas le mécano habituel il est en arrêt maladie, mais un intérimaire, il est consciencieux, je n'aurai pas de soucis.
J'attends mon dépanneur dans la cour de ma ferme, je suis en bleu de travail et bottes, il arrive descend de sa camionnette, homme assez corpulent en bleu de travail, je remarque de suite que son regard se porte sur mes bottes, mon entre jambes, il s'avance me serre la main, elle est douce et chaude et de nouveau ses yeux se dirigent vers mes pieds.
Je lui explique la panne, de suite il sait ce qu'il faut faire, démontage des freins, je l'aide au déblocage de la roue, comme je suis derrière lui je constate qu'il est assez large du bassin, une grosse paire de fesses, en manœuvrant le levier de déblocage je m'aperçois qu'il en profite pour effleurer mes bottes.
Commence le dévissage des réducteurs de roues, aucun soucis, il est à genoux, je suis juste à côté, au dernier boulon il faut tenir la pièce pour la sortir, il me demande de le faire, je viens donc derrière lui debout je dois écarte les jambes pour passer vers ses épaules de ce fait mes bottes sont contre ses cuisses, mes jambes contre ses bras, ma grappe au niveau de sa nuque, le fait d'avoir cette position lorsqu'il bouge ses bras me fait bander, cela lui laisse pas beaucoup de place. Soudain sa nuque vient contre mon zob, il sent la raideur, une de ses mains se pose sur le dessus du pied de ma botte, on reste quelques instants sans un mot dans cette posture.
Le travail reprend, la pièce est dégagée, il va remettre du neuf, juste échange de nos prénoms lui c'est Jean, moi Max.
Le remontage fait, Jean me dit qu'il faut faire la même chose de l'autre côté, je l'aide pour enlever la roue, nos mains se rencontrent sans hésiter lors des efforts de desserrage, une certaine complicité se fait. Surprise pas bonne pour moi les dégâts sont plus importants, changer les roulements et bagues, il n'a pas les pièces il faut commander. Jean va relever les références.
Il se lave les mains j'en profite pour aller faire une petite course à la maison, j'ai un doute.
Jean est à l'arrière de sa camionnette, un pied dedans afin de pouvoir écrire dans son cahier sur son genou, il est penché à l'avant, de ce fait son pantalon de bleu est bien tendu, je remarque aucune trace de bourrelet de slip je pense qu'il est sans.
Sur le véhicule il y a une attache remorque Jean est juste au milieu, je mets mon pied dessus, mon genou se trouve sous ses bijoux, je me décale vers le côté comme pour voir ce qu'il écrit.
Ses yeux se portent sur ma botte, sa main vient toucher le caoutchouc, ses fesses se bloque contre moi. Il pose son cahier dans un casier.
Je n'hésite pas une seconde, mes bras l'entourent, je cherche les deux fermetures éclairs, je les fais glisser au plus bas, mes doigts caressent les tétons, en plus ses pectoraux sont bien développés.
Commence un jeu de frottage de ses fesses sur ma jambe, Jean en profite pour finir de descendre les fermetures, mes mains parcourent son ventre, prennent son sexe qui est en semi érection, je m'en occupe pour le faire bander.
Je suis en érection, mais comme Jean me plaque, il a du mal à se développer, finalement c'est une bonne chose.
Jean se redresse, je profite de cet instant pour descendre mes fermetures éclairs au niveau de ma bite sans la dégager, Jean est debout, il fait un demi-tour sur ma jambe en la laissant entre les siennes, je dégage le bleu de ses épaules, il tombe à ses pieds, son sexe est bien dressé, il vient s’asseoir sur ma botte frottant sa tige sur le caoutchouc.
Cela l'excite, il bouge du cul sur le dessus de ma botte, quelques petits gémissements de sa part, il descend les fermetures jusqu'aux bottes, son visage vient se plaquer contre ma bite.
Ses lèvres parcourent en tous sens mon sexe, paf ma tige se retrouve dans sa bouche, avec douceur sa langue vient titiller le gland hummmm que c'est bon surtout quand il joue avec la fente.
Pendant ce temps ses mains tirent le reste du bleu des bottes pour ouvrir les fermetures, j'apprécie beaucoup quand ses doigts chauds me caressent les mollets.
Cela me donne des frissons dans le dos. Il salive beaucoup, ma bite apprécie.
Je relève Jean, il dégage mon bleu de mes épaules, nos corps se rejoignent nos poitrines se frottent, nos sexes entre en contact, bien dressés, nos pubis se mélangent, nos lèvres s'unissent pour un long baiser langoureux.
Les caressent sur nos fesses une folie des doigts, Jean écarte un peu les jambes, je ne résiste pas mon index glisse dans la raie, voilà la rosace, elle est assez pointue, charnue, je fais le tour la réaction de Jean est immédiate, nos langues unis il me tire vers le fond de sa gorge. Le désir est là.
A force de jouer avec la rondelle, mon index trouve l'entrée, lentement je franchis la porte, je laisse le temps de la dilatation se faire autour, Jean apprécie en tortillant du cul.
Deux mots suffisent de sa part pour continuer l'aventure: saillie moi.
Jean se place devant moi j'en profite pour prendre le gel dans mon bleu ( petite course que j'avais fait) il se met en levrette se tenant par les mollets.
Bon sang que son cul est beau, sa rosace hummm disons plutôt son choux fleur, car en proéminence je ne résiste pas a venir le sucer, le lécher, je dépose du gel en prenant soin de bien le répartir autour j'aime quand mes couilles entre en contact avec le produit.
Je présente mon gland qui est bien chargé sa couleur est au violacé, le contact avec la partie charnue m'apporte beaucoup, le pré sperme pointe son nez seulement l'étaler au milieu, Jean recule un peu et me voilà dedans.
La couronne du gland encore dehors, puis le petit bruit boock, c'est franchi, Jean a un tressaillement, lentement je m'enfonce dans son antre par petits allers retours.
Une fois bien dans ses entrailles le pistonnage s'accélère, chacun y apportant sa recherche de l'autre.
Pendant de longues minutes je vais pilonner son volcan en feu, Jean me tient par les cuisses, mes mains s'agrippent à ses hanches, je vais pour le branler oh surprise cela coule tout seul à chaque coup de ma bite, j'en ai plein les mains, je m'enfonce à fond, je lâche ma semence.
Grands râles de chacun de nous, satisfaction d'une belle saillie.
Mes doigts plein de son sperme j'en profite pour caresser ses tétons, étaler la liqueur, Jean glousse de plaisir à ce jeu. Je suis toujours en lui, il me bloque pour que je reste.
Finalement, je me retire, sauf pour la couronne que je laisse encore en lui, il a compris ce que je voulais, c'est lui qui va m'expulser en contractant sa rondelle, réussi que c'est bon.
Nous reprenons nos positions debout face à face, nos queues pleins de jute, frottage entre elles, nous nous enlaçons, union des langues, baisers fougueux.
Je sens qu'il écarte les cuisses, ma main passe dans la raie mes doigts découvrent que mon jus est en train de sortir de sa rondelle, s'écoule le long de ses cuisses, il épand le reste dans l'entre jambes.
Nous reprenons nos habits, Jean m'indique qu’il reviendra demain après midi pour finir la réparation, puis mettant sa main sur mon sexe:
elle est bonne, elle travaille bien, tes bottes me font craquer, je suis un botteux.
Il m'a manquaé un truc la prochaine fois, il me murmura son souhait.
Merci, ma bite aime être attaché avec une belle rondelle, j'accéderai à ton désir.
Jean part en m'adressant un beau sourire.
Vers le 13 h Jean arrive, bisous, je lui caresse ses fesses, il m'enlace, me demande hier quand on a fait heureusement que personne n'est venu!
Aucun soucis le portail se referme en automatique, après le passage.
Ah bon je me suis posé la question en rentrant hier soir.
Il fait le remontage des pièces, je le laisse, cela va être long, enfin vers les cinq heures il vient me chercher pour remettre les roues, pour le serrage des gougeons on n'hésite pas a mettre nos mains ensemble, nos corps se touchent sans soucis, je sais que chacun y prend plaisir et que les sexes ne sont pas au repos, je suis certain que ses entrailles attendent une suite.
Il fait très chaud, mes bottes sont molles, une forte odeur de caoutchouc semble l'exciter, je vois qu'il fait semblant de chercher un boulon, renifle près de celles-ci.
J'invite Jean a venir se laver les mains à la maison, faire sa facture, prendre un café.
Il est assis sur la chaise, je vais près de lui pour voir la facture, son mollet se colle contre le mien, je pose ma main sur sa nuque, glissant dans le dos, passage pas facile, il ouvre son bleu de travail, je masse ses épaules, qui sont maintenant dégagées, sa peau est douce, son regard est mielleux, Jean défait mes fermetures éclaires, plonge sa main pour venir soutenir ma grappe, je suis en trans, le bâton est raide, il se lève pour enlever son bleu, je dégage le mien de mes épaules, je sais qu'il veut le sortir des bottes.
Ses reins sont larges comme j'aime, pendant qu'il s’affaire avec mon habit, je me penche sur son dos mes lèvres parcourent sa colonne, mes mains massent les arrondies de ses fesses, sa raie.
Ses mains glissent sur mon mollet dans une botte, sa joue frotte sur l'autre botte.
Un vrai amoureux de ce genre de chaussure, il y prend du plaisir.
Nous sommes nus, debout, collés bite contre bite qui se frottent, nous sommes enlacés, un baiser langoureux vient compléter cette union, je lève ma jambe que je viens frotter sur la sienne, puis le haut de ma botte sur ses fesses, ohhhhh ouiiiiii encore me lance t-il, c'est ce qu'il voulait hier.
De plus comme elles sont chaudes cela lui donne plus de plaisir, ce jeu va durer assez longtemps, au début, pas facile de garder l'équilibre, Jean savait comment faire, on comprend vite.
Ce jeu a permis un lâchement de nos sexes, ils sont en semi érection, nos lèvres se détachent, doucement Jean suce mes tétons, parcoure mon pubis poilu, il adore les poils, sa langue happant mes bourses pour finir sur la tige qui a repris sa forme favorite de dard.
Plus je lui caresse la nuque, plus il donne de l'amour à mon sexe.
Jean se met contre ma cuisse courbé en avant, je comprends qu'il veut me présenter sa friandise, délicatement je caresse la rondeur de ses fesses, j'écarte la raie, hummmm mon choux fleur est là, mon index joue avec les stries charnues, l'autre main s'occupant de son zob, le branlant doucement.
Je vois que son petit trou s'anime, je profite de ses mouvements pour faire absorber mon index, chose faite en insistant un peu, cette bonne sensation me met en érection., Jean aussi bande dur.
Le moment est venu, mon index ressort, Jean vient se mettre devant moi, j'en profite pour saisir le gel, pas la peine dedans il est suffisamment ouvert, tout autour pour accélérer les mouvements du muscle de la rondelle, mon gland planté au milieu vient de cracher le pré sperme, le nectar, un léger appui sur le muscle et dedans, la couronne au ras du trou, je sens les mouvements de sphincter, le fameux bruit block et me voilà dans le volcan, Jean émet un haaaaaa de bonheur.
Je laisse le temps que son tube s'adapte à ma queue entrant lentement par petits mouvements, il se dilate vite et me voilà au fond de son ventre.
Je le tiens par les hanches, lui s'accroche à mes cuisses, à chaque coup de reins, sa bite se balance,
Jean devient de plus en plus chaud, ses râles de plus en plus puissant, son corps se raidit, ma main vient vers sa queue je sais qu'il éjacule, moi ma respiration plus saccadée.
Ses doigts se crispent sur mes cuisses, je comprends, je donne quelques coups de reins puissants afin de lâcher mon jus au plus profond de ses entrailles.
Il a compris, le ahhhhhhhh émis accuse sa satisfaction
Nous restons attachés et le plaisir de chacun c'est de se séparer par mon expulsion, j'adore ce moment, quand mon passif décide de repousser son joujou.
Le passage de la couronne est un délice, voir ensuite le choux fleur se remettre en place ouhhaaaa.
Ma main encore pleine de sa jute, je la mets derrière son cul sous sa rondelle, Jean va éjecter ma semence, par petits jets, ce qu'il réussit très bien, il sait que cela me fait plaisir.
Tout se sperme récupérer je le dépose sur la poitrine de Jean et nous nous frottons, l'odeur de mâle nous enivre, un baiser langoureux nous unis. L'appel de son mollet me fait comprendre qu'il veut sentir ma botte sur ses cuisses je m’exécute, en cadeau ses doigts s'amusent avec mes testicules huummm sympa.
Belle saillie avec mon mécano, complicité totale, recherche du plaisir de chacun.
Jean grand sourire lèche mon sexe avec passion, je lui rends la politesse, son sexe est plus petit que moi, mais je découvre un beau jouet, il m'a tellement satisfait avec son cul, un bon passif exigeant, j'adore.
Max tu as beaucoup de matériel à entretenir, si tu veux je peux le faire le WE, tu achètes les pièces et je fais!
Ok, mais pour ton temps ce n'est pas une mince affaire! (je vois bien ce qu'il souhaite)
Tu me loges, repas, perso il y a de l'entretien à faire, je me sens bien avec toi surtout quand nos corps échangent cette chaleur, ta bite un délice en moi, je n'ai pas de copain, mon seul plaisir avec un gode.
Jean, j'accepte ta proposition, ma queue adore ta rosace, tes entrailles, nos sexes s'aiment bien, ton cul un bijou.
Pendant de longs mois nous avons partagé nos corps, Jean venait en bottes caoutchouc, baiser super, j'aimais cette façon, il me confia que sa rondelle avait cette forme de choux fleur à force de se goder depuis jeune, par contre il n' avait pas de relation avec les gars suite à une mauvaise expérience jeune, le mec l'ayant presque déchiré, pris par force.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
merci à José et aux autres lecteurs, plaisir de vous lire aussi si vous avez des histoires
de jose bonjour merci pour cette belle aventure plein d envie demotion de partage et bon plant sexe hâte de lire la suite bisous
Ton histoire me plait très bien , dommage que je n'ai pas de tracteur à réparer , baiser avec jean doit être un régale . tu ne lui a jamais proposer de te baiser à son tour ??? Y aura t'il une suite à ton histoire ????