Mon cousin Thomas (2)
Récit érotique écrit par Caramel1965 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-09-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mon cousin Thomas (2)
Mon cousin Thomas (2)
Le petit déjeuner dura au moins une heure. Tout le monde discutait avec entrain, et Thomas semblait particulièrement à l’aise. Pour ma part, j’étais pensif. Je me remémorais la nuit précédente et toutes les sensations que Thomas m’avait fait découvrir. Je n’aurais jamais cru qu’un mec, qu’un homme, pouvait me donner autant de plaisir. Par contre, l’attitude de Thomas, le détachement qu’il affichait me déconcertaient. J’avais l’impression de n’être qu’un orifice au service de pulsions sexuelles de mon cousin, juste un trou dans lequel il avait vidé ses couilles. Je voyais bien d’ailleurs à ses allusions matinales qu’il avait bien l’intention de recommencer.
Je m’efforçais cependant de participer à la conversation familiale, jetant furtivement un coup d’œil de temps à autre à Thomas. Il était diablement beau. Sa carrure de rugbyman dégageait une impression de puissance et sa pilosité fournie accentuait sa virilité masculine, adoucie pourtant par son beau regard bleu. Je me demandais d’ailleurs combien il avait eu de filles dans son lit. J’avais du mal à croire qu’aucun mec n’avait sollicité ou même obtenu ses faveurs. Thomas se demandait pourquoi je n’avais jamais été violé dans les douches alors que moi je me demande maintenant pourquoi aucun mec ne s’est jeté sur sa queue avant moi.
Le petit déjeuner s’achevait dans la bonne humeur quand ma mère s’adressa à moi :
- On va débarrasser cette table puis on va filer pour profiter de cette belle journée.
- Laisse nous faire Stéphane et moi répondit Thomas. On va nettoyer tout ça comme il se doit. Vous avez mieux à faire que de vous embêter avec ça.
Une petite demi-heure plus tard, nos parents quittaient la maison tandis que j’emmenai la vaisselle dans la cuisine et la rangeais dans le lave-vaisselle. Thomas finit de nettoyer la table avant de me rejoindre dans la cuisine.
- Je te trouve bien silencieux ce matin Stéphane… Détends-toi, on est en vacances dit-il il en posant négligemment sa main sur mes fesses.
- Je sais bien qu’on est en vacances, c’est juste que j’ai besoin de récupérer un peu de mes… de mes émotions…
- Ne fais pas tant de chichis… on s’est juste un peu amusé hier soir et ça nous a fait du bien à tous les deux.
- C’était juste un jeu pour toi ?
- Ben… le sexe c’est comme le sport, on s’agite un peu et on se sent mieux après.
- Tu as peut être raison…
- J’ai raison, et je te rappelle que c’est toi qui est venu sucer ma bite… c’est toi qui as abusé de moi en fait me dit-il avant d’éclater de rire.
Je me mis à rire à mon tour. Il ne se trompait pas en disant que je l’avais cherché.
- Bon, moi je vais me baigner, c’est ce qu’il y a de mieux à faire avec ce temps me dit Thomas.
- Je vais profiter aussi de ce soleil pour bronzer un peu.
Je partis alors chercher quelques affaires dans la cabane puis je revins au bord de la piscine. J’étendis alors une grande serviette sur la pelouse près du bord du bassin et m’allongeai sur le ventre. La journée s’annonçait chaude et le soleil commençait déjà à me caresser la peau. Je profitais pleinement de cette agréable sensation et me laissais aller sans trop prêter attention au monde extérieur. Je restais les yeux fermés quand j’entendis les pas de Thomas qui s’installait à côté de moi.
- Tu vas rester sur ta serviette ? me demandât-il.
- J’ai envie de bronzer un peu, c’est la meilleure façon de profiter du soleil.
- Moi, je préfère goûter à l’eau de la piscine me répondit Thomas.
Je ne pris pas la peine d’ouvrir les yeux tandis que mon cousin plongeait dans la piscine en m’éclaboussant légèrement au passage. Le bruit de l’eau m’indiquait qu’il faisait quelques longueurs dans le bassin. Il s’écoulât un long moment avant que Thomas ne ressorte de l’eau en m’interpellant.
- Tu devrais vraiment y aller, l’eau est délicieuse.
- J’ai bien l’intention de me baigner, mais la journée ne fait que commencer. J’ai juste envie de…
En relevant ma tête et en ouvrant mes yeux je découvrais avec surprise Thomas debout face à moi, complètement nu. Il était simplement magnifique. Son abondante toison ruisselait de gouttelettes d’eau. Son gros sexe pendait entre ses jambes et attirait immanquablement mon regard.
- … envie de prendre mon temps dis-je en reprenant ma phrase interrompue par cette vision intensément érotique.
- C’est vrai que la journée ne fait que commencer me répondit-il en me faisant un clin d’œil que je ne savais comment interpréter.
- Tu… tu te baignes nu toi ?
- Ben… on est seuls, je ne vois pas où est le problème… et tu as déjà vu ma bite en plus… de très très près.
- Je ne sais pas, quelqu’un pourrait venir ?
- Nos parents sont dehors pour la journée. Relax ! Comme ça je n’aurai pas la marque du maillot. Tu devrais en faire de même.
- Je suis très bien avec mon maillot moi…
- Dommage, je ne pourrai pas mater ton adorable petit cul.
- Tu ne penses qu’à ça !
- Oui, j’aime la baise… il n’y a pas de mal à ça. Mais en attendant je vais faire comme toi et faire un peu de bronzette à côté de toi.
Je m’allongeai à nouveau sur la serviette en évitant toute pensée sexuelle. Thomas étendit sa serviette à côté de moi et se mit sur le ventre. Je pouvais sentir la chaleur de son corps ce qui fit monter d’un cran mon excitation. Ma verge comprimée entre mon ventre et la serviette commençait à gonfler mais j’essayais de me contrôler et d’éviter de regarder vers mon cousin.
Tout d’un coup, je sentis une main chaude se poser sur mon épaule, et Thomas qui me murmurait à l’oreille :
- Je vais de passer un peu de crème, ne bouge pas…
- Non, ça ira lui répondît-je…
- Pas de chichis. C’est plus prudent et après tu pourras me passer de la crème à ton tour.
Thomas commençât à me tartiner le dos avec sa crème. Ses gestes se faisaient de plus en plus caressants. Il faisait à présent des mouvements circulaires des deux mains, caressant et massant mon dos, s’attardant sur mes épaules et sur ma nuque. Ses gestes doux m’aidaient à me détendre mais mon érection était de plus en plus violente. Je me laissai faire tandis que les mains vigoureuses de Thomas descendaient vers le bas de mon dos. Les caresses de Thomas durèrent un bon moment, bien au-delà de l’objectif initial qui était de me mettre de la crème de bronzage.
De temps en temps, les doigts de Thomas s’aventuraient sous l’élastique de mon maillot de bain, palpant le haut de mes fesses, explorant la naissance de ma raie, le tout dans un silence trouble.
- Je vais te retirer ton maillot, ça sera plus simple me dit Thomas.
Je ne répondis pas, me laissant faire tandis que Thomas me retirait le maillot, dénudant les globes fessiers qui étaient ainsi livrés à son regard. A ma grande surprise, Thomas commençât à caresser et à masser mes cuisses et mes jambes. Ses gestes étaient précis, presque professionnels et me prodiguaient un bien être mêlé d’excitation érotique. Thomas prenait son temps, tout son temps. Je ne réagis pas quand les grandes mains de mon cousin se mirent à masser mes fesses, ses pouces s’insinuant dans ma raie offerte. De temps en temps, Thomas écartait mes lobes fessiers, exposant mon intimité dénudée à sa vue. Je ne le voyais pas, mais j’imaginai son regard s’attardant sur ma fente duveteuse qu’il avait prise de ses assauts quelques heures auparavant.
Ma seule réaction fut de me relâcher encore plus malgré mon érection. Je ne réagis pas davantage lorsque je sentis la langue humide de Thomas s’insinuer entre mes fesses, humidifiant ma raie tiède. Thomas donnait de grands coups de langue baveuse, léchant mon repli fessier comme il lécherait une boule de glace. Cette sensation délicieuse décupla lorsque je sentis la pointe de sa langue forcer mon anus. Sous l’effet de cette caresse buccale, mon trou se desserrait progressivement, et une sensation électrique se propageait dans mon ventre. Soudain, thomas interrompit ses caresses et me murmura d’une voix douce :
- Mets-toi sur le dos, j’ai envie de te donner du plaisir.
- Tout ce que tu voudras.
- Je ne te veux que du bien dit-il en souriant… Rien de tel que de bons préliminaires avant de…
- Avant de quoi ?
- Tais-toi et mets-toi sur le dos ;
Je m’exécutai sans trop réfléchir. En me retournant je découvris Thomas à genoux, ses pectoraux étaient saillants et bandés. Sa bite était dressée à la verticale, le gland gonflé et décalotté, la hampe turgescente. Le mâle dans toute sa splendeur. Une fois allongé sur le dos, Thomas saisit mes cuisses en les écartant et recommença à me lécher l’anus. Les poils de sa barbe frottaient mon entre-fesse, exacerbant mon désir.
- Je vois que tu bandes dur… mes efforts ne sont pas vains.
- Oui Thomas tu me fais de l’effet.
- J’ai juste envie de te donner du plaisir… après ce que j’ai pu découvrir hier soir….
Thomas remonta alors vers mes couilles, les saisissant une par une dans sa bouche tout en triturant mon trou avec ses pouces. Puis, d’un coup il aspira ma verge tendue. Sa langue tournait autour de mon gland, sa bouche faisait de rapides mouvements de va et vient autour de ma tige. Je n’en pouvais plus d’excitation quand je sentis l’index mouillé de Thomas s’enfoncer dans mon trou moite. Je sentais mon orifice intime s’ouvrir petit à petit pour mieux aspirer le doigt de Thomas et je commençais à couiner sous l’effet du plaisir qu’il me donnait… Mais j’en voulais plus, je ne pouvais me satisfaire de cette pénétration digitale aussi douce soit-elle.
- Baise-moi Thomas, je n’en peux plus
- Dis-moi que tu veux ma bite dans ta chatte ! dis-le-moi !
- Oui Thomas, prends ma chatte, elle est à toi.
- C’est toi qui le veux ?
- Oui, je veux t’avoir en moi, je veux sentir ta bite au fond de moi, je veux que tu prennes possession de mes entrailles…
- T’inquiète, de la bite je vais t’en, donner et je vais te l’inonder ta petite fente !
- Tout ce que tu voudras Thomas… je suis à toi.
Thomas plaça mes jambes sur ses épaules. Je le vis enduire sa bite de sa salive puis il plaça son gland à l’entrée de mon cul. J’appréhendais ce moment mais en même temps je ne voulais qu’une chose, que sa bite turgescente prenne possession de mon antre humide et moite. Thomas enfonça son gland et le laissa ainsi un court instant, pour que mon anneau rectal se détende davantage, puis il enfonça sa verge dure et turgescente dans ma fente, progressant centimètre par centimètre. Malgré la douleur, je tendais les fesses à mon enculeur, écartais les cuisses pour mieux sentir le pieu de Thomas qui me transperçait le ventre. Mon cousin commença alors à me pilonner de son chibre monstrueux :
- Putain comme j’aime ton petit trou de mec. Serré comme il faut.
- Vas-y Thomas prends moi… Mon trou est à toi.
- Ecarte bien les fesses, montre-moi que tu es une chienne en chaleur. Tu la sens bien ma bite ? elle est rentrée complètement là !
Mon cousin entrait en moi et son gland venait buter au plus profond de mon trou de mec. Je sentais son pubis buissonneux contre mes couilles. Se couilles velues et pleines claquaient contre mes fesses. Ses mouvements étaient lents au début, comme pour laisser mon rectum s’habituer aux dimensions de sa pine. Puis, Thomas accéléra le rythme tandis que je relevais les cuisses et pliais mes jambes sur son dos. Fesses relevées et cuisses ouvertes, je me donnais complètement à ce membre turgescent qui violait mon orifice intime et me transperçait le ventre.
- Oui, c’est bon ça… écarte bien tes cuisses et ta chatte… Je suis bien en toi. Putain le pied ! Elle est moite et trempée comme j’aime ta fente….
- Oui, pine moi bien, j’ai envie de te purger de tout ton sperme…
- T’inquiète, tu vas avoir tout mon yop mais j’ai envie de bien profiter de ta foune !
Les mots de Thomas m’excitaient et ma seule réaction était d’ouvrir mon trou davantage et de me livrer sans pudeur à ses assauts copulatoires. Alors que des vagues de plaisir commençaient à m’emporter, Thomas s’étendit sur moi. Je pouvais sentir, ses pectoraux durcis contre mon torse, ainsi que la chaleur de sa pilosité. Sans trop réfléchir, je me mis à caresser sa nuque. Je pouvais sentir son souffle chaud sur mon visage, les poils de ses pectoraux frotter contre mon torse imberbe. Sans cesser de me limer vigoureusement, il rapprocha sa bouche de la mienne et m’embrassa goulument. Sa langue fouillait ma bouche sans relâchement tandis que son membre viril allait et venait dans la moiteur de mes muqueuses anales. Je sentais ses couilles butter contre mon anneau distendu. J’étais rempli de toute part, Thomas me mangeait littéralement la langue, fouillant ma bouche sans ménagement. Dans le même temps, son pénis durci par le désir allait et venait dans mon anus écartelé et offert. Thomas me remplissait la bouche et le cul, et je pouvais sentir toute sa musculature en action ; il me dominait complètement ! Je m’ouvrais autant que je le pouvais, me livrant sans retenue à ses assauts de mâle en rut.
A un moment, il se redressa alors qu’il était toujours en moi et commença à masturber mon sexe bandant. Cela ne fit que décupler mon plaisir, et alors que je sentais le plaisir s’exacerber, mon cul, ma chatte de mec, commençât à se contracter, ce qui fit réagir immédiatement Thomas.
- Putain, t’es en train de me baiser avec ta chatte… T’es une vraie salope, t’aime exciter les mecs…
- Je veux juste profiter de ta bite mon Thomas…
- Oui, je vais te la féconder ta p’tite chatte… tu vas prendre une douche de sperme…
- Oui ma chatte est à toi… je suis à toi…
- Oui, tu vas t’asseoir sur ma bite…
Je m’exécutais sans tarder. Je n’opposais aucune résistance au désir de mon cousin. J’étais assis face à lui, empalé sur sa pine géante, donnant mon cul sans retenue, perdant tout ce qui me restait de pudeur…
- Ce que tu es beau Thomas… un vrai fantasme
- Ouais, c’est surtout ma bite qui te fait fantasmer
J’accélérai mes mouvements sur sa verge, de manière à mieux sentir ce gourdin qui était en moi. Thomas lui, soulevait son bassin, de manière à me pénétrer le plus profondément possible tandis que j’écartai les jambes pour mieux me donner à lui. Je l’enlaçais vigoureusement, ressentant la chaleur de son corps en même temps que sa moiteur.
Après de longues minutes à aller et venir sur son sexe, j’éjaculais violemment sur son torse et sur celui de Thomas, secoué de spasmes de plaisir. Thomas ne tarda pas à jouir, en me prévenant :
- Putain, je vais lâcher la purée… ça monte….
- Oui, lâche toi… mon cul est à toi Thomas…
Je sentis alors des flots de foutre chaud se répandre dans mon rectum. Puis, le foutre commença à suinter de mon cul, alors que Thomas m’embrassait à nouveau avec la même ferveur que tout à l’heure… Mon anus était complètement ouvert, encore rempli par la bite de Thomas qui ne semblait pas disposer à me déculer pour autant.
Nous restâmes ainsi un long moment. L’érection de Thomas ne retombai pas le moins du monde. Mon cul et ma raie étaient barbouillés de sperme. Je me redressais alors en titubant, ivre de désir, mon cul cassé par cette baise frénétique….
- Où vas tu me demandât Thomas ?
- Je vais aller me doucher, je dégouline de sueur et de sperme…
- Stéphane, tu ne vas pas me nettoyer la queue ?
- Euhhh…
Je restais à le regarder, sa bite toujours dressée et gluante… Sans mot dire, je m’agenouillai en face de lui et entrepris de nettoyer son membre de son sperme…
Thomas ronronnait de plaisir, écartant ses cuisses sous l’effet de mes caresses buccales
- Oui, vas-y lèche bien mon bâton… il sera bientôt prêt à resservir
- Pas possible… tu as encore envie ?
- J’ai toujours envie… et je ne saurai pas résister à ta petite fente presque vierge. Et puis, tu ne m’as pas encore passé la crème à bronzer…
- Je me douche et je te tartine le dos…
- Y’a pas que le dos Stéphane… certains de mes organes ont besoin de plus d’attention que mon dos…
A suivre…
Le petit déjeuner dura au moins une heure. Tout le monde discutait avec entrain, et Thomas semblait particulièrement à l’aise. Pour ma part, j’étais pensif. Je me remémorais la nuit précédente et toutes les sensations que Thomas m’avait fait découvrir. Je n’aurais jamais cru qu’un mec, qu’un homme, pouvait me donner autant de plaisir. Par contre, l’attitude de Thomas, le détachement qu’il affichait me déconcertaient. J’avais l’impression de n’être qu’un orifice au service de pulsions sexuelles de mon cousin, juste un trou dans lequel il avait vidé ses couilles. Je voyais bien d’ailleurs à ses allusions matinales qu’il avait bien l’intention de recommencer.
Je m’efforçais cependant de participer à la conversation familiale, jetant furtivement un coup d’œil de temps à autre à Thomas. Il était diablement beau. Sa carrure de rugbyman dégageait une impression de puissance et sa pilosité fournie accentuait sa virilité masculine, adoucie pourtant par son beau regard bleu. Je me demandais d’ailleurs combien il avait eu de filles dans son lit. J’avais du mal à croire qu’aucun mec n’avait sollicité ou même obtenu ses faveurs. Thomas se demandait pourquoi je n’avais jamais été violé dans les douches alors que moi je me demande maintenant pourquoi aucun mec ne s’est jeté sur sa queue avant moi.
Le petit déjeuner s’achevait dans la bonne humeur quand ma mère s’adressa à moi :
- On va débarrasser cette table puis on va filer pour profiter de cette belle journée.
- Laisse nous faire Stéphane et moi répondit Thomas. On va nettoyer tout ça comme il se doit. Vous avez mieux à faire que de vous embêter avec ça.
Une petite demi-heure plus tard, nos parents quittaient la maison tandis que j’emmenai la vaisselle dans la cuisine et la rangeais dans le lave-vaisselle. Thomas finit de nettoyer la table avant de me rejoindre dans la cuisine.
- Je te trouve bien silencieux ce matin Stéphane… Détends-toi, on est en vacances dit-il il en posant négligemment sa main sur mes fesses.
- Je sais bien qu’on est en vacances, c’est juste que j’ai besoin de récupérer un peu de mes… de mes émotions…
- Ne fais pas tant de chichis… on s’est juste un peu amusé hier soir et ça nous a fait du bien à tous les deux.
- C’était juste un jeu pour toi ?
- Ben… le sexe c’est comme le sport, on s’agite un peu et on se sent mieux après.
- Tu as peut être raison…
- J’ai raison, et je te rappelle que c’est toi qui est venu sucer ma bite… c’est toi qui as abusé de moi en fait me dit-il avant d’éclater de rire.
Je me mis à rire à mon tour. Il ne se trompait pas en disant que je l’avais cherché.
- Bon, moi je vais me baigner, c’est ce qu’il y a de mieux à faire avec ce temps me dit Thomas.
- Je vais profiter aussi de ce soleil pour bronzer un peu.
Je partis alors chercher quelques affaires dans la cabane puis je revins au bord de la piscine. J’étendis alors une grande serviette sur la pelouse près du bord du bassin et m’allongeai sur le ventre. La journée s’annonçait chaude et le soleil commençait déjà à me caresser la peau. Je profitais pleinement de cette agréable sensation et me laissais aller sans trop prêter attention au monde extérieur. Je restais les yeux fermés quand j’entendis les pas de Thomas qui s’installait à côté de moi.
- Tu vas rester sur ta serviette ? me demandât-il.
- J’ai envie de bronzer un peu, c’est la meilleure façon de profiter du soleil.
- Moi, je préfère goûter à l’eau de la piscine me répondit Thomas.
Je ne pris pas la peine d’ouvrir les yeux tandis que mon cousin plongeait dans la piscine en m’éclaboussant légèrement au passage. Le bruit de l’eau m’indiquait qu’il faisait quelques longueurs dans le bassin. Il s’écoulât un long moment avant que Thomas ne ressorte de l’eau en m’interpellant.
- Tu devrais vraiment y aller, l’eau est délicieuse.
- J’ai bien l’intention de me baigner, mais la journée ne fait que commencer. J’ai juste envie de…
En relevant ma tête et en ouvrant mes yeux je découvrais avec surprise Thomas debout face à moi, complètement nu. Il était simplement magnifique. Son abondante toison ruisselait de gouttelettes d’eau. Son gros sexe pendait entre ses jambes et attirait immanquablement mon regard.
- … envie de prendre mon temps dis-je en reprenant ma phrase interrompue par cette vision intensément érotique.
- C’est vrai que la journée ne fait que commencer me répondit-il en me faisant un clin d’œil que je ne savais comment interpréter.
- Tu… tu te baignes nu toi ?
- Ben… on est seuls, je ne vois pas où est le problème… et tu as déjà vu ma bite en plus… de très très près.
- Je ne sais pas, quelqu’un pourrait venir ?
- Nos parents sont dehors pour la journée. Relax ! Comme ça je n’aurai pas la marque du maillot. Tu devrais en faire de même.
- Je suis très bien avec mon maillot moi…
- Dommage, je ne pourrai pas mater ton adorable petit cul.
- Tu ne penses qu’à ça !
- Oui, j’aime la baise… il n’y a pas de mal à ça. Mais en attendant je vais faire comme toi et faire un peu de bronzette à côté de toi.
Je m’allongeai à nouveau sur la serviette en évitant toute pensée sexuelle. Thomas étendit sa serviette à côté de moi et se mit sur le ventre. Je pouvais sentir la chaleur de son corps ce qui fit monter d’un cran mon excitation. Ma verge comprimée entre mon ventre et la serviette commençait à gonfler mais j’essayais de me contrôler et d’éviter de regarder vers mon cousin.
Tout d’un coup, je sentis une main chaude se poser sur mon épaule, et Thomas qui me murmurait à l’oreille :
- Je vais de passer un peu de crème, ne bouge pas…
- Non, ça ira lui répondît-je…
- Pas de chichis. C’est plus prudent et après tu pourras me passer de la crème à ton tour.
Thomas commençât à me tartiner le dos avec sa crème. Ses gestes se faisaient de plus en plus caressants. Il faisait à présent des mouvements circulaires des deux mains, caressant et massant mon dos, s’attardant sur mes épaules et sur ma nuque. Ses gestes doux m’aidaient à me détendre mais mon érection était de plus en plus violente. Je me laissai faire tandis que les mains vigoureuses de Thomas descendaient vers le bas de mon dos. Les caresses de Thomas durèrent un bon moment, bien au-delà de l’objectif initial qui était de me mettre de la crème de bronzage.
De temps en temps, les doigts de Thomas s’aventuraient sous l’élastique de mon maillot de bain, palpant le haut de mes fesses, explorant la naissance de ma raie, le tout dans un silence trouble.
- Je vais te retirer ton maillot, ça sera plus simple me dit Thomas.
Je ne répondis pas, me laissant faire tandis que Thomas me retirait le maillot, dénudant les globes fessiers qui étaient ainsi livrés à son regard. A ma grande surprise, Thomas commençât à caresser et à masser mes cuisses et mes jambes. Ses gestes étaient précis, presque professionnels et me prodiguaient un bien être mêlé d’excitation érotique. Thomas prenait son temps, tout son temps. Je ne réagis pas quand les grandes mains de mon cousin se mirent à masser mes fesses, ses pouces s’insinuant dans ma raie offerte. De temps en temps, Thomas écartait mes lobes fessiers, exposant mon intimité dénudée à sa vue. Je ne le voyais pas, mais j’imaginai son regard s’attardant sur ma fente duveteuse qu’il avait prise de ses assauts quelques heures auparavant.
Ma seule réaction fut de me relâcher encore plus malgré mon érection. Je ne réagis pas davantage lorsque je sentis la langue humide de Thomas s’insinuer entre mes fesses, humidifiant ma raie tiède. Thomas donnait de grands coups de langue baveuse, léchant mon repli fessier comme il lécherait une boule de glace. Cette sensation délicieuse décupla lorsque je sentis la pointe de sa langue forcer mon anus. Sous l’effet de cette caresse buccale, mon trou se desserrait progressivement, et une sensation électrique se propageait dans mon ventre. Soudain, thomas interrompit ses caresses et me murmura d’une voix douce :
- Mets-toi sur le dos, j’ai envie de te donner du plaisir.
- Tout ce que tu voudras.
- Je ne te veux que du bien dit-il en souriant… Rien de tel que de bons préliminaires avant de…
- Avant de quoi ?
- Tais-toi et mets-toi sur le dos ;
Je m’exécutai sans trop réfléchir. En me retournant je découvris Thomas à genoux, ses pectoraux étaient saillants et bandés. Sa bite était dressée à la verticale, le gland gonflé et décalotté, la hampe turgescente. Le mâle dans toute sa splendeur. Une fois allongé sur le dos, Thomas saisit mes cuisses en les écartant et recommença à me lécher l’anus. Les poils de sa barbe frottaient mon entre-fesse, exacerbant mon désir.
- Je vois que tu bandes dur… mes efforts ne sont pas vains.
- Oui Thomas tu me fais de l’effet.
- J’ai juste envie de te donner du plaisir… après ce que j’ai pu découvrir hier soir….
Thomas remonta alors vers mes couilles, les saisissant une par une dans sa bouche tout en triturant mon trou avec ses pouces. Puis, d’un coup il aspira ma verge tendue. Sa langue tournait autour de mon gland, sa bouche faisait de rapides mouvements de va et vient autour de ma tige. Je n’en pouvais plus d’excitation quand je sentis l’index mouillé de Thomas s’enfoncer dans mon trou moite. Je sentais mon orifice intime s’ouvrir petit à petit pour mieux aspirer le doigt de Thomas et je commençais à couiner sous l’effet du plaisir qu’il me donnait… Mais j’en voulais plus, je ne pouvais me satisfaire de cette pénétration digitale aussi douce soit-elle.
- Baise-moi Thomas, je n’en peux plus
- Dis-moi que tu veux ma bite dans ta chatte ! dis-le-moi !
- Oui Thomas, prends ma chatte, elle est à toi.
- C’est toi qui le veux ?
- Oui, je veux t’avoir en moi, je veux sentir ta bite au fond de moi, je veux que tu prennes possession de mes entrailles…
- T’inquiète, de la bite je vais t’en, donner et je vais te l’inonder ta petite fente !
- Tout ce que tu voudras Thomas… je suis à toi.
Thomas plaça mes jambes sur ses épaules. Je le vis enduire sa bite de sa salive puis il plaça son gland à l’entrée de mon cul. J’appréhendais ce moment mais en même temps je ne voulais qu’une chose, que sa bite turgescente prenne possession de mon antre humide et moite. Thomas enfonça son gland et le laissa ainsi un court instant, pour que mon anneau rectal se détende davantage, puis il enfonça sa verge dure et turgescente dans ma fente, progressant centimètre par centimètre. Malgré la douleur, je tendais les fesses à mon enculeur, écartais les cuisses pour mieux sentir le pieu de Thomas qui me transperçait le ventre. Mon cousin commença alors à me pilonner de son chibre monstrueux :
- Putain comme j’aime ton petit trou de mec. Serré comme il faut.
- Vas-y Thomas prends moi… Mon trou est à toi.
- Ecarte bien les fesses, montre-moi que tu es une chienne en chaleur. Tu la sens bien ma bite ? elle est rentrée complètement là !
Mon cousin entrait en moi et son gland venait buter au plus profond de mon trou de mec. Je sentais son pubis buissonneux contre mes couilles. Se couilles velues et pleines claquaient contre mes fesses. Ses mouvements étaient lents au début, comme pour laisser mon rectum s’habituer aux dimensions de sa pine. Puis, Thomas accéléra le rythme tandis que je relevais les cuisses et pliais mes jambes sur son dos. Fesses relevées et cuisses ouvertes, je me donnais complètement à ce membre turgescent qui violait mon orifice intime et me transperçait le ventre.
- Oui, c’est bon ça… écarte bien tes cuisses et ta chatte… Je suis bien en toi. Putain le pied ! Elle est moite et trempée comme j’aime ta fente….
- Oui, pine moi bien, j’ai envie de te purger de tout ton sperme…
- T’inquiète, tu vas avoir tout mon yop mais j’ai envie de bien profiter de ta foune !
Les mots de Thomas m’excitaient et ma seule réaction était d’ouvrir mon trou davantage et de me livrer sans pudeur à ses assauts copulatoires. Alors que des vagues de plaisir commençaient à m’emporter, Thomas s’étendit sur moi. Je pouvais sentir, ses pectoraux durcis contre mon torse, ainsi que la chaleur de sa pilosité. Sans trop réfléchir, je me mis à caresser sa nuque. Je pouvais sentir son souffle chaud sur mon visage, les poils de ses pectoraux frotter contre mon torse imberbe. Sans cesser de me limer vigoureusement, il rapprocha sa bouche de la mienne et m’embrassa goulument. Sa langue fouillait ma bouche sans relâchement tandis que son membre viril allait et venait dans la moiteur de mes muqueuses anales. Je sentais ses couilles butter contre mon anneau distendu. J’étais rempli de toute part, Thomas me mangeait littéralement la langue, fouillant ma bouche sans ménagement. Dans le même temps, son pénis durci par le désir allait et venait dans mon anus écartelé et offert. Thomas me remplissait la bouche et le cul, et je pouvais sentir toute sa musculature en action ; il me dominait complètement ! Je m’ouvrais autant que je le pouvais, me livrant sans retenue à ses assauts de mâle en rut.
A un moment, il se redressa alors qu’il était toujours en moi et commença à masturber mon sexe bandant. Cela ne fit que décupler mon plaisir, et alors que je sentais le plaisir s’exacerber, mon cul, ma chatte de mec, commençât à se contracter, ce qui fit réagir immédiatement Thomas.
- Putain, t’es en train de me baiser avec ta chatte… T’es une vraie salope, t’aime exciter les mecs…
- Je veux juste profiter de ta bite mon Thomas…
- Oui, je vais te la féconder ta p’tite chatte… tu vas prendre une douche de sperme…
- Oui ma chatte est à toi… je suis à toi…
- Oui, tu vas t’asseoir sur ma bite…
Je m’exécutais sans tarder. Je n’opposais aucune résistance au désir de mon cousin. J’étais assis face à lui, empalé sur sa pine géante, donnant mon cul sans retenue, perdant tout ce qui me restait de pudeur…
- Ce que tu es beau Thomas… un vrai fantasme
- Ouais, c’est surtout ma bite qui te fait fantasmer
J’accélérai mes mouvements sur sa verge, de manière à mieux sentir ce gourdin qui était en moi. Thomas lui, soulevait son bassin, de manière à me pénétrer le plus profondément possible tandis que j’écartai les jambes pour mieux me donner à lui. Je l’enlaçais vigoureusement, ressentant la chaleur de son corps en même temps que sa moiteur.
Après de longues minutes à aller et venir sur son sexe, j’éjaculais violemment sur son torse et sur celui de Thomas, secoué de spasmes de plaisir. Thomas ne tarda pas à jouir, en me prévenant :
- Putain, je vais lâcher la purée… ça monte….
- Oui, lâche toi… mon cul est à toi Thomas…
Je sentis alors des flots de foutre chaud se répandre dans mon rectum. Puis, le foutre commença à suinter de mon cul, alors que Thomas m’embrassait à nouveau avec la même ferveur que tout à l’heure… Mon anus était complètement ouvert, encore rempli par la bite de Thomas qui ne semblait pas disposer à me déculer pour autant.
Nous restâmes ainsi un long moment. L’érection de Thomas ne retombai pas le moins du monde. Mon cul et ma raie étaient barbouillés de sperme. Je me redressais alors en titubant, ivre de désir, mon cul cassé par cette baise frénétique….
- Où vas tu me demandât Thomas ?
- Je vais aller me doucher, je dégouline de sueur et de sperme…
- Stéphane, tu ne vas pas me nettoyer la queue ?
- Euhhh…
Je restais à le regarder, sa bite toujours dressée et gluante… Sans mot dire, je m’agenouillai en face de lui et entrepris de nettoyer son membre de son sperme…
Thomas ronronnait de plaisir, écartant ses cuisses sous l’effet de mes caresses buccales
- Oui, vas-y lèche bien mon bâton… il sera bientôt prêt à resservir
- Pas possible… tu as encore envie ?
- J’ai toujours envie… et je ne saurai pas résister à ta petite fente presque vierge. Et puis, tu ne m’as pas encore passé la crème à bronzer…
- Je me douche et je te tartine le dos…
- Y’a pas que le dos Stéphane… certains de mes organes ont besoin de plus d’attention que mon dos…
A suivre…
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
merveilleux je suis bander aux max et tout mouiller
Je bande à mort :x
Cette suite est juste Magnifique !!! tu ma fait bander comme un fou !! Vite vite on veut la suite !!!!
super excitant ,j'attends la suite !
merci et bisous
merci et bisous