MON EPOUSE MARIE - histoire érotique

MON EPOUSE MARIE
Quand j’ai vu Marie pénétré dans la classe, elle était toute nouvelle, elle arrivait du sud de la France, notre prof principale nous l’a présenté en nous demandant de lui faire bon accueil, elle semblait stressée, très intimidé, tout de suite je suis tombé sur le charme de cette belle adolescente, sa longue chevelure brune, ses yeux bleus, malgré le gros pull d’hiver quelle portait on devinait quelle devait avoir une poitrine plutôt développée pour son âge. Comme j’étais d’une timidité maladive, j’ai pris un temps fou avant d’oser l’aborder et entamer une conversation, mes potes de classe la draguait de façon assez lourde, je voyais bien que cela lui déplaisait fortement, par contre j’avais observé quelle me souriait et ses petits regards complices me comblait de plaisir, j’étais à la fois ému et terriblement troublé. Sans l’intervention de mon meilleur pote qui lui n’avait pas sa langue dans sa poche, et surtout il en avait marre de voir que je n’osais pas faire le premier pas, à carrément été plaidé ma cause auprès de Marie, voilà comment notre histoire d’amour a commencé.

Attention notre relation a été platonique pendant un certain temps, nous étions fou amoureux l’un de l’autre, malgré quelques caresses un peu osées, Marie n’était pas encore prête, malgré mon impatience j’ai respecté son choix, je fantasmais sur le corps de ma douce dans des séances de plaisir solitaire en imaginant la posséder, d’ailleurs c’est là que je me suis aperçu que j’éjaculais trop rapidement, mon gland était hyper sensible, a l’époque je ne connaissais pas le therme qui allait pourrir ma vie sexuelle l’éjaculation précoce.

Notre première nuit d’amour je n’en garde pas un souvenir impérissable, enfin j’ai pu enlacer Marie toute nue dans mes bras, j’ai pu toucher sa fente, son clitoris sucé ses seins, mais j’étais terrifié à l’idée de devoir la pénétrer et que je jouisse trop vite, hélas quand le moment fatidique est arrivé j’ai toute de même réussi a lui prendre sa virginité, mais très vite j’ai joui.

Nous nous sommes mariés, les années ont passé, nous avons eu 2 filles magnifiques, pour nos amis nous étions un couple idyllique, mais en ce qui me concerne je sentais bien que nous n’avions pas une sexualité satisfaisante, j’ai essayé d’aborder le sujet avec mon épouse, mais c’était peine perdue, à croire qu'elle se satisfaisait de peu, parler sexe était tabou, il faut dire qu'elle avait eu une éducation stricte.

Apres presque 20 ans de mariage, nos enfants avaient quitté le cocon familial, pour combler ce manque, nous avions des activités différentes, Marie s’était inscrite dans un club pédestre qui se trouvait dans une petite ville pas loin de chez nous, il y régnait une superbe ambiance, alors tous les mercredis je la voyais partir le sourire aux lèvres, sa copine Michèle la prenait en passant pour aller au point de rendez-vous. De mon côté je pratiquais le vtt avec une bande de pote.

Je ne suis pas du tout un homme jaloux, mais depuis quelques temps j’avais remarqué un changement dans le comportement de Marie, pas à mon égard, mais quand arrivait le mercredi, je la sentais impatiente, elle soignait son maquillage, elle m’avait prévenu quelques temps avant que sa copine Michel devait subir une petite opération du pied et ne pourrait plus venir la chercher et que Robert un des rares hommes du club s’était proposé de passé la prendre, je connaissais cet homme, un retraité, veuf, plutôt jovial, sympathique, sans paraitre trop critique on peut pas dire qu’il peut s’honoré d’avoir un physique avantageux. J’ai pensé que Robert s’essayait au jeu de la séduction avec elle, Marie devait probablement s’en amuser, d’où ce petit changement d’attitude, mais j’avais confiance en elle.

Pourtant les petits doutes que j’avais eu 3 semaines avant, mon carrément paru beaucoup plu plausible a cause d’une situation que je n’avais jamais connu jusqu’à la avec mon épouse, Marie un matin me demande ce qu’il me ferait plaisir pour mon anniversaire, bêtement de façon instantanée en riant je lui ai dit que j’aimerais un truc quelle ne me fait jamais une fellation, je m’attendais à me faire envoyer promener, voir me faire traiter de pervers, elle s’est mise à rire, sur ce elle est reparti à ses occupations.

Le jour de mon anniversaire, je sortais de la douche, Marie entre de la salle de bain, elle est en robe de chambre quelle laisse tomber au sol de façon théâtrale, la voilà toute nue, je me demande ce qu’il se passe, elle s'approche, ses lèvres se posent sur les miennes, nos langues se mélangent, un vrai baiser d’amoureux comme on faisait a notre adolescence, je suis stupéfait, sa bouche descend le long de mon corps, le moment est torride, ma verge se tend, Marie est a genoux, elle me lèche tout le long de ma tige, je sais plus où j’en suis, je n’en crois pas mes yeux, elle me suce, mon souffle s’accélère, j’essaye de résister, sa langue, sa bouche me procure un plaisir incroyable, je lui crie que je vais venir, elle s’écarte mais continu a me masturber pour me faire jouir, elle dirige mon sexe sur ses seins et mon jus gicle sur sa poitrine, j’ai les jambes en coton, j’en reviens pas, c’était un moment bref mais intense, elle va sous la douche, me fait signe d’approcher, m’embrasse de nouveau, d’un air très coquin me souhaite un bon anniversaire.

Au lieu d’être le plus heureux des hommes, les petits doutes que j’avais eu ressurgisse, elle qui ne pratiquait pas ce genre de plaisir buccal, ce n’est pas possible, quelqu’un a dû lui apprendre, car franchement elle m’avait sucé divinement, comme quelqu’un habitué à ce genre de pratique, certes c’était un cadeau original, mais peut être un cadeau qui allait surement empoisonner ma vie.

Les jours qui suivirent, j’étais devenu plutôt ombrageux, le doute me rongeait, j’ai commencé par fouiller dans ses vêtements, première surprise dans sa commode, j’ai découvert des dessous féminins très sexy que je ne connaissais pas, elle ne les avait jamais porté en ma présence, je me suis senti très mal, j’imaginais Marie s’exhiber devant son amant, vêtue de cette petite culotte a dentelle blanche transparente et du soutient gorge assortie, je ne pouvais pas y croire, il fallait que j’en ai le cœur net.

Le mercredi suivant j’avais élaboré une stratégie pour confondre les 2 amants, je mettais arrangé pour partir faire du VTT avant le départ de mon épouse, j’avais trouvé un poste d’observation idéal, en face chez moi il y avait un bois, perché sur une petite colline, j’avais une vue plongeante sur l’entrée de ma maison, après un bon ¼ d’heure d’attente, j’ai vu la voiture de Robert arriver, aussitôt ma femme est sortie, elle portait sa tenue de randonneuse, elle est vite montée, mais au lieu de partir vers le lieu de rendez-vous habituel, ils se sont dirigés du coté ou demeurait Robert. J'étais anéanti, j’ai pédalé comme un fou pour aller rejoindre le domicile de l’amant de ma femme qui se trouvait a 5 kms de chez moi. Pendant le trajet j’essayais de réfléchir, peut être que je me faisais un film, Marie était toujours aussi attentionnée avec moi, je lui trouvais des excuses, si elle me trompait c’était purement sexuel, elle devait être frustré avec moi, j’ai honte d'admettre que je ne suis pas une bête de sexe, elle a eu besoin que son corps exulte, j’étais perdu, piteux.

Me voilà tout prêt de la maison de Robert, elle est située juste a la sortie de son village, pour me donner de la constance et pas paraitre comme quelqu’un qui fouine, je bois ma gourde tout en observant, derrière chez lui il me semble qu’il y a un champ, je décide d’aller voir, je prends un risque en passant devant, sa voiture est bien là. Effectivement c’est le cas, il y a même un chemin qui longe ce champ, hélas une haie de tuyas assez haute protège son terrain, mais bonne surprise il a installé un portillon, j’ai un trac fou, je suis stressé, je m’approche en douce, je regarde partout si personne peut me voir faire, furtivement je jette un œil, il y a une immense baie vitrée qui donne sur un salon, mais personne, je dois faire encore une foi preuve de de patience, l’attente me parait longue, mais soudain je vois Robert, il est tout nu, j’ai le cœur qui s’emballe, je me cache derrière la haie, mais c’est plus fort que moi faut je vois, il est plu dans le salon, il réapparait avec une bouteille et 2 verres à la main, pas de Marie pour l‘instant, lui s’est assis sur le canapé, face à la baie vitrée, je suis obligé de faire un mouvement de retrait, il pourrait me voir, malgré le risque je jette un œil, Marie est là, elle est juste vêtue d’un teeshirt, il a dû lui en prêter un, elle doit être toute nue dessous, en plus le vêtement lui arrive a ras les fesses, ce salop doit bien en profiter, je suis fou de rage, j’ai envie d’aller lui casser la gueule, mais je serais pas l’expliquer, pas par manque de courage, mais en faite j’ai honte de le dire, la situation m’excite, mon épouse s’est installée dans le fauteuil richelieu en face de Robert, ils boivent un verre, je peux voir que le dos du fauteuil, mais tout a coup elle a posé ses jambes sur les accoudoirs, elle doit être complètement impudique, offerte, j’imagine ce que Robert doit voir, d’ailleurs sa réaction est instantanée, il fait vite le tour de la table basse et se met a genoux, je suis persuadé qu’il doit lui lécher la chatte, aspiré son clitoris, impossible de voir quoi que ce soit , mais je devine ce qu’il est entrain de lui faire, je bande c’est plus fort que moi, malgré les risques que des riverains pourraient me voir, je baisse mon cuissard et je me masturbe, c’est insensé, je suis cocu, mais je prends plaisir à voir ma femme prendre du plaisir avec un autre. Hélas je dois vite m interrompre car je vois arriver au loin des promeneurs. Je décide de rentrer chez moi complètement bouleversé.

J’ai pris une grande décision, déjà de garder ça pour moi, pas la peine de lui faire une scène terrible, lui jeter à la face sa trahison, lui demander le divorce, je ne veux en aucun cas mettre en péril mon ménage, je tiens trop à ma femme, je pense que cela est réciproque de son coté, il faut que je sois sexuellement à la hauteur et sa passe déjà par trouver une solution pour soigner mon éjaculation précoce.

Voilà plusieurs mois se sont écoulés, cela n’a pas été facile de rien laissé paraitre, par contre après beaucoup d’effort et surtout bien accompagné par un professionnel il me semble que je parviens a réglé mon problème d'éjaculation, d’ailleurs Marie m’en a fait la remarque, notre sexualité prend une autre tournure. Je sais quelle voit moins Robert, déjà c’est de nouveau son amie Michel qui l’accompagne a la randonnée. Mais au lieu de me réjouir j’espère que leur relation continue car j’ai un terrible fantasme qui me hante depuis que je les ai vu dans le salon, je me remémore cette vision torride de ma femme cuisses écartées sur le fauteuil, malgré la douleur que cela m’avait procuré, je rêve d’assister de nouveau en douce a leurs ébats, j’ai honte, je dois être un peu maso.

La chance enfin si on peut appeler ça de la chance, disons que j’aurai l’opportunité de peut-être réaliser mon fantasme mercredi prochain, en effet Marie m’a annoncé comme ça de façon banale que son amie Michele serait absente et c’est Robert qui passerait la prendre je n’ai même pas relevé mais au fond de moi je jubilais.

Cette fois je ne suis pas parti me poster dans le bois comme la dernière fois, je suis resté à la maison, j’ai attendu que Marie parte, j’ai pu voir discrètement par l’entrebâillement de la porte de notre chambre ma douce mettre ses dessous affriolants, il a fallu que je prenne sur moi pour ne pas aller la surprendre, elle était vraiment bandante.

Les voilà partis je n’ai pas vérifié dans quelle direction, je suis sûr de moi, j’enfourche mon VTT je suis impatient, j’espère de tout cœur pouvoir mater, je n’ai aucune certitude, s’ils décident d’aller dans la chambre, je suis marron, décidément le sort est contre moi, je crève, je ne vais pas aussi vite que les mécanos de formule 1 pour changer une roue, mais je crois que j’ai battu un record, j’ai les mains pleines de cambouis, obligé de m’arrêter à la fontaine du village situé tout prêt de la maison de Robert, pour me nettoyer les mains, je suis pas tranquille mais ça va, je me retrouve dans le chemin derrière, j’y crois pas, décidemment c’est pas une journée comme les autres, il y a un homme qui est au portillon, il est pas tout jeune, à priori il est entrain de mater, j’en reviens pas, je le sens agité, je m’approche, avec son air goguenard il me fait signe de venir voir et là j’assiste à une scène torride, Marie et Robert tout nus devant la baie vitré, carrément exposés, ma femme est pendue au coup de son amant les jambes enlacées autour de sa taille, empalée sur le sexe de Robert, il l’a soulève et la fait descendre sur sa tige, j’essaye de pas trop me montrer, mon complice cherche pas du tout a se dissimuler, il me dit de ne pas avoir peur, ils savent que je suis la, un de plus ou un de moins ils s’en moquent, il me dit ça doit les stimuler, il rajoute que cette femme est une bonne salope, s’il savait que c’était la mienne, maintenant ils ont changé de position, Marie a mis les deux mains sur la vitre, le cul cambré en arrière, Robert la prend dans cette position, il l’a défonce, elle est secouée, sa tête part en arrière, le vieux me dit qu'elle doit se faire enculée, la sodo Marie n’apprécie pas trop, avec un amant tout change, difficile de savoir si cela est le cas vu l’angle de vue que nous avons, malgré la présence de cette homme, je me caresse par-dessus mon cuissard, le vieille homme m’encourage, j’ose pas me déculotter, je vis un moment incroyable, ma femme baisant avec son amant devant un senior et son cocu de marie, d’ailleurs mon complice me voyant me cacher a un doute, il me demande si je les connais, je lui répond que se sont des amis, voilà pourquoi je me dissimule pour pas qu’ils soient gênés par ma présence, petit mensonge, il n'insiste pas.

Le papy me signale que la fête est finie qu’ils ont quitté la pièce, rajoutant de façon assez vulgaire qu’elle a dû en prendre plein son cul, je ne relève pas, mais les paroles de cet homme me choquent. Je ne sais plu comment analyser les choses, je croyais bien connaitre mon épouse, je sais qu’en chacun d’entre nous il y a une part de vice, mais là cela dépasse l’entendement.

Le temps a passé depuis, je me réjouis d’être resté discret, notre couple vat bien, notre sexualité est épanouie, par contre Marie a changé de club pédestre, j’ai été surpris, hypocritement j’ai demandé pour quelle raison, elle m’a expliqué que l’ambiance s’était dégradée à cause d’histoire de fesses entre Robert et plusieurs randonneuses, avec humour je lui ai dit que cet homme aimait bien rendre service, honorer ses dames en mal de tendresse, s’était sans doute un bon amant, j’ai rajouté vicieusement, que j’étais sûr qu’il avait dû tenté sa chance avec elle j’ai senti Marie assez mal à l’aise comme si qu’elle avait compris que j’avais des doutes, elle a répondu par la négative, mais c’était pas un non ferme, voyant quelle était blême, j’ai enlacé Marie en lui disant en riant j’espère qu’il t’a dragué, cela montre au moins qu’il a du gout cet homme, une belle femme comme toi mérite qu’on l’honore.





























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