mon epouse s'offre (2)

- Par l'auteur HDS genesis -
Récit érotique écrit par genesis [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : mon epouse s'offre (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-03-2007 dans la catégorie Plus on est
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mon epouse s'offre (2)
Vous avez certainement lu ma première expérience d’ « épouse offerte » que nous avions voulu vivre mon mari et moi.

Depuis ce jour, je me suis littéralement transformée en cette image de « vraie salope » qu’en fait nous avions toujours voulu tous les deux sans avoir osé le réaliser.

Les expériences se sont multipliées avec sa participation ou même sans qu’il ne soit présent. Une des règles étant que je lui fasse un compte-rendu détaillé de mes agissements ou même que je revienne a la maison le plus vite possible pour lui donner des preuves vivantes de la semence masculine coulant hors de mes orifices.

Une de mes dernières aventures se passait au mois de Septembre dernier. J’avais décidé de rendre visite à une amie habitant la Grèce. Etant fort pris par son travail, mon mari avait décidé de ne pas m’accompagner. Nos dernières discussions sur l’oreiller avaient alimentés nos fantasmes communs et nous étions bien d’accord que je ne pouvais laisser passer aucune opportunité d’aventure exotique si l’occasion se présentait. Me connaissant, il était clair que je n’allais pas rester plus de 10 jours sans sexe et mon mari se réjouissait déjà de m’entendre lui raconter par le détail tous mes agissements durant mon séjour.

Tout commença dans l’avion m’emmenant vers Athènes. Je portais une robe d’été très légère, très courte et dont le décolleté baillait sur la naissance de mes seins. Etant très fatiguée, je m’étais endormie des le décollage. Je fus réveillée par un bruit de déclenchement d’appareil photo. J’entrouvris les paupières pour réaliser que mon voisin de siège était en train de me photographier sous toutes les coutures. Je n’avais pas réalisé que le bas de ma jupe s’était relevé et qu’il avait une vue imprenable sur mon petit abricot gonfle. Faisant semblant de dormir, je commençai à bouger mes jambes pour que ma jupe remonte le plus possible. Je laissais également bailler mon décolleté afin qu’il puisse deviner les aréoles. Il est bien évident que le type devenait de plus en plus rouge et s’évertuait à cibler de plus en plus mon entrejambe. Bien entendu, je finis par lui faciliter la tache en écartant les cuisses dans un mouvement dans mon soi-disant sommeil afin qu’il puisse fixer sur la pellicule les moindres détails de mes petites lèvres qui commençaient à gonfler sous le fait de l’excitation de la situation. Le pauvre, n’y tenant plus se leva et courut jusqu’aux toilettes pour se soulager. Lorsqu’il revint, j’étais assise dans une position de petite fille bien sage et rien ne laissait supposer de ce qui venait de se passer. Il n’osa pas me regarder durant tout le restant du voyage malgré mes deux ou trois tentatives de passage devant lui. Quel con ! Au moins, j’espère qu’il utilisera sa série de photos pour se souvenir de moi.

Vous vous imaginez bien ma frustration en débarquant dans l’aéroport. Mais, rassurez-vous la suite de mon voyage allait répondre a toutes mes attentes.

Apres une première soirée avec ma copine à visiter certains endroits plus ou moins glauques, je décide de me promener en ville. Je suis habillée en mini jupe et en chemisier blanc simplement noué qui met en valeur un décolleté impressionnant. Vous savez déjà que j’ai raye toute forme de culotte, slip ou string de mon vocabulaire.

Il fait étouffant, j’ai soif et j’ai mal aux pieds à force de marcher sur ses talons. Malin de m’être habille comme ça aussi !

Je suis à peine installée que deux mecs commencent à me regarder avec insistance et engagent la conversation. Ils sont grecs mais nous parvenons à nous comprendre en mélangeant l’anglais et le Français, ce qui nous procure des fou rires qui détendent pas mal l’atmosphère. Il faut dire qu’ils reluquent a tour de rôle sur mes jambes et mes seins et vu la bosse qui déforme leur pantalon, cela n’a pas l’air de leur déplaire.

Ils m’expliquent enfin qu’à cette heure-ci, vu la chaleur, personne ne se promène dehors et qu’il n’est d’ailleurs pas très prudent de le faire. Ils me proposent alors d’aller dans un autre endroit, muni d’air conditionné. Je finis par accepter de les accompagner. Nous arrivons rapidement dans une petite rue cachée et entrons dans une maison munie simplement d’une grande porte au dessus de laquelle est écrit « Club Aphrodite »

Une grande salle pleine de canapés en cuir, un bar gigantesque et d’énormes tabourets très bizarres en forme de T renversé. Cela ressemble plus a une table de gynécologie qu’a un siège ! Je me dis que cela doit être chouette d’essayer !
Il fait plutôt sombre et je ne parviens pas trop à distinguer les autres tables mais il y a l’air d’y avoir du monde.

Mon bellâtre Grec et son copain m’invitent donc à m’asseoir dans un des canapés du milieu de la salle. Mes yeux s’habituant à la pénombre, je commence à réaliser que je suis la seule femme du club. Même les serveurs sont des hommes. L’un d’entre eux vint nous servir des cocktails à base de je ne sais quoi qui se buvaient comme de l’eau, qui avaient la couleur de l’eau mais qui me plongeaient dans une douce euphorie et me faisait éclater de rire à chaque question de mes deux nouveaux amis. Un des deux se leva alors et m’invita sur une piste de danse centrale que je n’avais pas remarqué. La piste s’éclaira et nous nous sommes enlaces pour un slow langoureux. Il me tenait par la taille et je sentais quelque chose de dur pousser sur mon bas ventre. Il commença à me parler tout bas à l’oreille et me demanda si j’aimais ce que je sentais, et si je réalisais dans quel état je le mettais. Je lui répondis que je réalisais, mais que j’étais une femme mariée, que je ne le connaissais pas depuis assez longtemps et que je n’étais pas là pour ça.
Sa réaction fut d’éclater de rire et de me dire :
- Arrêtes tes conneries. Ne me dis pas qu’une femme qui se promène seule, à moitie à poil, s’assied à une terrasse, se laisse aborder par deux mecs et se laisse entraîner dans un club s’attend seulement à déguster du thé et des gâteaux ?
De toutes façons, n’as-tu pas remarque qu’il n’y a que des hommes, ici ? C’est un club privé ou les membres amènent une femme qui va se donner a tous les hommes présents.
Je suis certain que tu n’as pas froid aux yeux et que tu es prête à accepter.
Ses paroles et la pression de son sexe conjuguées à l’effet de l’alcool étaient en train de faire tomber mes dernières réticences. Une douce humidité s’installait entre mes cuisses et mes tétons durcissaient au fur et à mesure de ses déhanchements. Au lieu d’une douce ballade printanière, me voila nommée actrice principale de gang bang sous forme d’orgie grecque ! Voila sûrement un sujet qu’allait adorer mon petit mari ce soir au téléphone.
-Et bien, voila une curieuse manière de me faire visiter la ville ! Mais j’accepte le challenge. Il me serra dans ses bras et m’embrassa dans le cou en me disant :
-Tu vas voir, tu ne pourras plus te passer des bites grecques. Maintenant, laisses toi aller et prends ton pied.

Sans arrêter de danser, il défit le noeud de mon chemisier et commença à me titiller les seins dont les tétons avaient déjà doublé de volume. Il glissa alors une main sous ma jupe et réalisa que je ne portais pas de slip.
Salope, j’en étais sur !
Il enfonça immédiatement deux doigts entre mes lèvres et je dus me retenir pour ne pas crier. Il se retourna et dit quelque chose en Grec. Ce devait être le signal de départ car immédiatement je sentis des mains me caresser les fesses et d’autres doigts prenaient possession de mon intimité. Toujours tenue par mon bellâtre, je sentis derrière moi un sexe long et dur se frotter sur mes fesses. J’eus un moment de recul mais mon cavalier me dit :
- Ne t’inquiètes pas, c’est mon copain, il est très timide mais il sait y faire.
- Si mettre son sexe entre les fesses d’une inconnue représente pour vous une forme de timidité, je vais devoir revoir mes standards, répondis-je.

Il n’eut pas l’occasion de tester sa timidité très longtemps car vu mon excitation, il n’eut pas à chercher longtemps l’entrée de mon vagin. Il s’y enfonça d’une seule poussée et j’eus l’impression qu’il allait m’ouvrir en deux tellement il était long et dur. Il emprisonna mes seins dans ses mains et commença à me faire monter et descendre sur son sexe. Mon danseur avait également sorti son engin et avait entrepris de me branler le clitoris du bout de son gland, ce qui déclencha chez moi le premier orgasme violent de la journée accompagne de la première giclée de sperme au fond de mon vagin. Elle n’allait pas être la dernière.

Ne tenant plus sur mes jambes après cette première jouissance, je sentis plusieurs bras me transporter près du bar, me déshabiller et m’installer sur un de ces fameux sièges dont je vous ai déjà parlé. Il était impossible de s’y asseoir sans écarter les cuisses au maximum et je me retrouvai donc installée comme chez le gynéco. Il y avait devant moi au moins une douzaine de queues plus droites et dures les unes que les autres.

Un premier (sans doute moins timide) s’est immédiatement installe entre mes cuisses pour m’embrocher sur son sexe énorme. Le siège était parfaitement étudié pour que chacun trouve une place appropriée. Deux types sont venus s’installer de chaque cote de mon visage et m’ont introduit leur sexe en bouche. Mes deux mains emprisonnèrent deux autres queues alors que le restant de la troupe se branlait sur mes seins sans oublier de les pincer tant et plus. Un autre s’était couche en dessous du siège et s’évertuait à enfoncer un, voire deux doigts dans mon anus. Un dernier me triturait le clitoris avec vigueur.
Ils étaient bien organisés et effectuaient une rotation savante chaque fois que l’un déchargeait son sperme dans ou sur mon corps.

Je ne sais plus combien m’ont prise mais je pense qu’ils étaient tous bien satisfaits lorsqu’ils m’ont enfin laissé respirer. Je n’ai également plus compte le nombre d’orgasmes qu’ils m’ont procure, mais je peux vous dire que je n’avais jamais cru être capable d’en avoir autant ni de me sentir couverte ainsi de sperme. J’en avais absolument partout, du bout des orteils a la racine des cheveux. Et je ne vous parle évidemment pas de mon vagin ou de mon anus que je ne sentais absolument plus.

Le club étant pourvu de douches, j’ai pu retrouver une image plus sage et suis revenue dans le bar. Tous les hommes étaient rhabillés et rien ne laissait penser ce qui c’était passe.
Je pris congé de ce beau monde et filai immédiatement profiter d’une bonne nuit réparatrice. Pensez-vous ! Plus de six heures de baise, ça marque !

La suite de mes vacances a été plutôt tranquille, a part une soirée ou je me suis retrouvée a nouveau au centre d’une sauterie organisée sur la plage par mes deux acolytes et ou ils avaient convie deux autres copains.

C’est donc avec quelques courbatures, mais pleinement satisfaite que j’ai repris l’avion du retour.

Quelle ne fut pas ma surprise de retrouver à cote de moi, le type du voyage aller qui m’avait pris en photo sous toutes les coutures durant mon sommeil. Il avait un drôle de petit sourire en me voyant.

Il engagea la conversation des le décollage :
- Alors, comment furent ces vacances ?
- Très bonnes lui répondis-je
- Sea sex and sun ?
- Ca vous regarde ?
- Un peu oui.
- Ah bon ? Je ne pense pas qu’avoir passe une heure ensemble dans un avion vous permet de me questionner sur ma vie sexuelle.
- Mais ma chère, nous avons passé ensemble plus de temps que vous le pensez !

Il plaça alors son PC portable devant moi et y introduit un dvd. Je reconnus immédiatement un film tourne a Athènes.

Il me dit : - Voyez-vous, je vous suis depuis notre départ. Apres votre petite exhibition du voyage aller, je n’ai eu de cesse que de vous suivre et de voir jusqu’ou vous pourriez aller. J’ai donc recrute les deux grecs qui vous ont entraîné dans ce club et j’ai filme tous vos ébats.

Sur l’écran, les images étaient très claires. Une belle salope se faisait tringler par plus de 20 males en chaleur et en redemandait. Il ne fallait même pas être physionomiste pour se rendre compte que la salope était bien moi.

Une telle cassette circulant dans ma famille ou au boulot et s’en était fini de moi et de ma réputation.
- Que voulez-vous ?
- Je ne compte pas vous faire chanter, ne vous inquiétez pas. C’est simplement une assurance que vous serez bien gentille et disponible dans l’avenir. Je vous contacterai très bientôt pour vous expliquer les règles du nouveau jeu que nous allons vivre ensemble. De plus, vous ne ferez croire à personne que vous n’êtes pas demandeuse !

Cette vidéo plus les photos de ma chatte dans l’avion ! J’étais bien coincée. Rouge de honte, je dus admettre qu’il me tenait et je réalisai que ma vie de salope ne faisait que commencer.

Je vous raconterai prochainement la suite…

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