mon expérience homo, à 18 ans
Récit érotique écrit par Fyloche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-05-2008 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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mon expérience homo, à 18 ans
Cette histoire m'est arrivé il y a 2 ans, en vacances, alors que je venais tout juste d'avoir 18 ans. Je ne suis pas homo, et même farouchement hétéro. A l'époque, j'étais même un peu borné, ne me sentant aucune affinité avec "les PD". Du moins je croyais...
Pour nous récompenser d'avoir obtenu le Bac, mes parents et ceux de mes trois meilleurs amis (2 garçons, Eric et Pierre, et 1 fille Sandrine) nous ont offert 2 semaines de vacances dans les Landes, sud-ouest de la France, dans un camping ou Sandrine allait chaque année avec ses parents. La nouveauté est que nous y allions cette fois seuls tous les 4, dans un mobil-home, sans parents, et avec un budget pour s'amuser. Pendant le séjour, Sandrine avait retrouvé ses amis habituels du camping, dont un homme plus mûr (35 ans), homo, et qui est resté avec notre bande tout le séjour.
Je me suis vite aperçu que cet homme était au petit soin pour moi, ce qui avait le don d'amuser mes amis, et m'agaçait au plus haut point.
"- Tu sais, me dit Sandrine un soir, je crois qu'Yves en pince pour toi.
- Rien à foutre, rétorquais-je, il n'a qu'à me laisser tranquille, je ne suis pas homo".
Les 2 semaines se sont bien passé, on s'est tous amusé comme des fous, hormis le fait que j'étais secrètement amoureux de Sandrine, et que les tentatives d'Yves à mon égard m'énervaient au plus haut point. Mes amis sont rentrés chez eux la veille de mon propre départ, nous n'avions pas réussi à coordonner nos places d'avion. Je me suis donc retrouvé seul au camping une journée complète. Je l'ai passé au bord de la piscine, sur un transat, à lire pour passer le temps. C'était une piscine de plein air, avec les cabines en bois disséminés dans la pinède. Un endroit vraiment sympa. Yves est venu en début d'après-midi s'installer à coté de moi, et a voulu amener la conversation sur les rapports sexuels et amoureux entre gens du même sexe. Pour paraitre "moderne", j'ai participé mollement à cette conversation, puis lui ai dit que j'avais envie d'être seul maintenant et de bouquiner. Il n'a pas insisté et s'est endormi. Vers 16h, je sens son regard sur moi et je tourne la tête. Ses yeux étaient braqués sur mon maillot de bain, déformé par une demi-érection. La chaleur, et mon roman, m'avaient installé dans une douce torpeur, et je ne m'étais pas aperçu de ce début d'érection !
"- Tu as l'air bien fichu", me dit-il avec un demi sourire. Enervé, je me retourne sur le ventre et me replonge dans mon bouquin.
" Ecoute, me dit-il, dans une heure, tu iras te rhabiller, tu iras à l'avant-dernière cabine, tout au fond du sous-bois. Tu auras une surprise, et personne n'en saura jamais rien, je t'en donne ma parole.
- T'es pas fou ? rétorquais-je en me tournant vers lui, furieux, t'as pas encore compris ? Tu ne m'intéresses pas, j'irai m'habiller ou je veux, et à l'heure que je veux !
- OK, OK, répond-il d'un ton apaisant. Fais comme tu sens, mais dis toi que tu ne risques rien, je n'y serai pas, et tu n'auras qu'à t'enfermer de l'intérieur. Et personne ne saura que tu as écouté mon conseil, alors... qu'est-ce que ça peut te faire d'utiliser cette cabine plutôt qu'une autre ?"
Sur ces paroles énigmatiques il s'en va. J'essaye de me replonger dans mon livre, mes les pensées tournent dans ma tête. Qu'y a-t-il dans cette cabine si Yves n'y sera pas lui-même ? Un mot d'amour ? Au bout d'une heure, incapable de me concentrer sur le livre, je me lève, prend mes affaires et me dirige vers les cabines du sous-bois. Je les dépassent toutes, le coeur battant, et alors que je m'apprête à faire demi-tour, je remarque caché sous les arbustes deux cabines côte-à-côtes, très éloignées des autres et un peu masquées par la végétation. "Allez, courage" me dis-je en ouvrant la porte de la première des deux cabines. Soulagement, personne à l'intérieur, je rentre et tourne le verrou. Je reste là un instant sans bouger, en silence, à regarder autour de moi. Pas de message laissé pour moi, juste quelques vieux graffitis obscènes sur les parois en bois. Soudain j'entend des pas, la porte d'à coté s'ouvrir et quelqu'un entrer. Je n'ose plus bouger et retiens ma respiration : c'est sans doute Yves !
Au bout d'un moment, je décide que tout ça est décidément ridicule, et je pose mes affaires sur le banc. Le fond de la cabine est séparée par une cloison qui cache une douche. J'y passe juste la tête, pour regarder, et sur le mur de droite, je vois une petite tache de lumière : il y a un trou dans la cloison, à un mètre du sol, qui donne sur la cabine d'à coté. Je comprend tout : Yves m'a demandé de venir là pour me regarder me doucher, le salopard ! Et bien il ne verra rien ! Je me dirige vers le banc pour enfiler mon jean... mais la curiosité est trop forte : et si je jetais un coup d'oeil à travers le trou pour vérifier s'il essaye de me mater ?
Je retourne à pas de velours vers le coin douche, m'agenouille et glisse un oeil dans le trou, d'une dizaine de centimètre de diamètre. Le choc ! Le bas-ventre de Yves est à quelques centimètres du trou. Il tient son sexe en érection et se masturbe lentement. J'écarte ma tête illico, le feu au joues, mais l'image est déja gravée dans ma rétine : c'est le membre le plus gros que j'ai jamais vu, avec un gland circoncis très épais. Je ferme les yeux, en sentant mon propre sexe prendre un peu de volume. Que m'arrive-t-il ? Je glisse un nouveau coup d'oeil à travers le trou. Le sexe s'est rapproché, il n'est plus qu'à 2 ou 3 cm de l'orifice. C'est la première fois que je vois une bitte en érection d'aussi près, et je suis fasciné, ne pouvant détourner le regard. Je sens au même moment, avec dégoût et honte, mon propre sexe se tendre dans mon maillot. Yves a du s'apercevoir que je suis figé là, car il s'approche imperceptiblement. Son gland, avec une infini lenteur, passe l'orifice et je suis obligé de me reculer. Son sexe, violacé, tendu, énorme, est maintenant tout entier engagé de mon coté du trou.
Je suis fasciné, ... et je bande comme un fou. Je ferme un instant les yeux pour me raisonner, mais mon coeur bat la chamade, et quand j'ouvre les yeux, le sexe est toujours là, immobile. Alors je fais un truc complètement fou, sans réfléchir : je le prend doucement entre deux doigts et le masse d'avant en arrière. C'est la première fois que je tiens un sexe masculin autre que le mien, je le trouve doux, chaud. Des images de films pornos, vus en secret chez moi, défilent dans ma tête : toutes ces femmes qui tiennent une bitte dans leur main, la branlent, la... suce ! Sans réfléchir, j'avance la tête et prend le gland entre mes lèvres. Je ne bouge plus, tétanisé par ma propre audace, retire ma bouche, regarde le sexe que je tiens toujours et... le ré-enfourne dans ma bouche, plus loin cette fois, sans plus tenter de me raisonner. Je revois encore des scènes de films, ces bouches de nana qui sucent avidement, et je comprend inconsciemment que si ces gros plans m'excitaient, c'est peut-être parce que je voulais sentir cette sensation aussi...
Je suce le membre très vite, sans plus de retenu, je sens la matière un peu caoutchouteuse contre l'intérieur de mes joues, le goût une peu âcre. Mon propre sexe, enfermé dans mon maillot, est douloureux, tendu comme un arc. Le sexe de Yves bouge d'avant en arrière, pour accompagner ma succion, de plus en plus vite. Au bout d'un moment il se retire complètement et à travers le trou je vois sa main se branler rapidement et de gros jets de sperme s'échapper de son gland. Je retiens un hoquet d'horreur en imaginant qu'à quelques secondes près il aurait éjaculé dans ma bouche !
Je me redresse, honteux de ce que je viens de faire, et prêt à décamper sur le champ. Après tout, c'est vrai que je m'en vais demain et que personne n'en saura rien... Il me suffira d'évacuer à tout jamais ce souvenir honteux de mon esprit. Au moment de retourner vers mes affaires, j'entend un vague murmure de l'autre côté de la cloison de bois. Intrigué je m'agenouille à nouveau et glisse un oeil. La cabine d'à coté ne contient pas une douche, mais un WC sur lequel est tranquillement assis Yves, un téléphone à la main, en train de parler à quelqu'un. Il me fait un clin d'oeil, un sourire narquois, et continue sa conversation.
Je me relève d'un bond, en pétard. Quel toupet ! Il est sans doute en train de raconter à ses potes homo comment il a été sucé par un hétéro. Je suis debout, les yeux dans le vague, tremblant de rage et de honte de m'être ainsi fait avoir. Au bout d'un moment, mes yeux se baissent sur mon maillot, éclairé par le trou à sa hauteur. Une idée me traverse : je vais lui montrer ma bitte un court instant, puis m'habiller et partir. Il aura ainsi vu fugitivement ce qu'il n'aura jamais ! Superbe frustration pour lui ! Une vengeance méritée, me dis-je, en colère.
Je me rapproche du trou, mais pas trop, et écarte l'élastique de mon maillot pour en faire sortir mon sexe. Le changement de lumière instantané au niveau du trou m'indique qu'il a mordu à l'hameçon : il s'est avancé. Tiens, regarde, me dis-je, ce que tu n'auras jamais. Le trou est complètement assombri, je crois même entendre sa respiration. Sentir son regard sur moi fait durcir mon sexe encore plus, et mon coeur se remet à battre. Allons bon, voilà que ça recommence : mon dégoût s'envole, chassée par une grande excitation. Sans m'en rendre compte, tout en me branlant, je me suis imperceptiblement approché du trou. Je réalise d'un coup qu'il suffirait d'un léger coup de bassin pour faire passer mon gland par l'orifice ! Et là encore, comme tout-à-l'heure, je laisse mon impulsion prendre le dessus et j'engage mon sexe dans l'ouverture. Il ne se passe rien, un court instant, puis je sens une main m'attraper et me masser doucement. Et presque au même moment, quelque chose de chaud et humide entourer mon gland. Pas de doute, il me suce !
Je m'étais déjà fait sucer une seule fois, l'année dernière, par une vague petite copine, maladroitement et vite fait dans une voiture. Je n'en avais pas gardé un souvenir impérissable. Rien à voir avec ce que je ressens en ce moment : c'est chaud, doux, les lèvres serrent fortement le gland, puis relâchent l'étreinte et sont remplacées par une langue qui coure le long de ma tige, puis à nouveau la bouche enserre en entier ma bitte. C'est horriblement délicieux, et je remue mécaniquement le bassin pour accompagner les lèvres.
Je sens que je vais jouir, et le dégoût et la colère reprennent le dessus. J'ai raté ma vengeance, mais j'en ai une autre à ma portée : je vais lui éjaculer dans la bouche. Cette simple pensée me fait instantanément avoir un orgasme. Et alors que je pensais qu'Yves retirerait sa bouche de suite pour cracher, il n'en ai rien : la bouche continue sa succion un long moment, jusqu'à ce que les derniers jets de sperme se tarissent, et même au-delà, comme si elle voulait en nettoyer les dernières gouttes. Enfin, seulement, elle se retire doucement et les doigts me lâchent.
Je me recule doucement, et revient les jambes tremblantes vers le banc ou sont mes affaires. Ma honte est extrême, je reste un long moment immobile, les yeux dans le vague. Puis j'entend la porte d'à coté s'ouvrir et des pas s'éloigner. J'attend un long moment, pour être certain de ne pas croiser mon voisin, et je retourne vite fait me terrer dans mon mobile-home...
Mon épisode avec Yves ne s'arrête pas là, mais j'ai été déjà trop long. Je raconterai la suite s'il y a de la demande...
Cordialement.
Pour nous récompenser d'avoir obtenu le Bac, mes parents et ceux de mes trois meilleurs amis (2 garçons, Eric et Pierre, et 1 fille Sandrine) nous ont offert 2 semaines de vacances dans les Landes, sud-ouest de la France, dans un camping ou Sandrine allait chaque année avec ses parents. La nouveauté est que nous y allions cette fois seuls tous les 4, dans un mobil-home, sans parents, et avec un budget pour s'amuser. Pendant le séjour, Sandrine avait retrouvé ses amis habituels du camping, dont un homme plus mûr (35 ans), homo, et qui est resté avec notre bande tout le séjour.
Je me suis vite aperçu que cet homme était au petit soin pour moi, ce qui avait le don d'amuser mes amis, et m'agaçait au plus haut point.
"- Tu sais, me dit Sandrine un soir, je crois qu'Yves en pince pour toi.
- Rien à foutre, rétorquais-je, il n'a qu'à me laisser tranquille, je ne suis pas homo".
Les 2 semaines se sont bien passé, on s'est tous amusé comme des fous, hormis le fait que j'étais secrètement amoureux de Sandrine, et que les tentatives d'Yves à mon égard m'énervaient au plus haut point. Mes amis sont rentrés chez eux la veille de mon propre départ, nous n'avions pas réussi à coordonner nos places d'avion. Je me suis donc retrouvé seul au camping une journée complète. Je l'ai passé au bord de la piscine, sur un transat, à lire pour passer le temps. C'était une piscine de plein air, avec les cabines en bois disséminés dans la pinède. Un endroit vraiment sympa. Yves est venu en début d'après-midi s'installer à coté de moi, et a voulu amener la conversation sur les rapports sexuels et amoureux entre gens du même sexe. Pour paraitre "moderne", j'ai participé mollement à cette conversation, puis lui ai dit que j'avais envie d'être seul maintenant et de bouquiner. Il n'a pas insisté et s'est endormi. Vers 16h, je sens son regard sur moi et je tourne la tête. Ses yeux étaient braqués sur mon maillot de bain, déformé par une demi-érection. La chaleur, et mon roman, m'avaient installé dans une douce torpeur, et je ne m'étais pas aperçu de ce début d'érection !
"- Tu as l'air bien fichu", me dit-il avec un demi sourire. Enervé, je me retourne sur le ventre et me replonge dans mon bouquin.
" Ecoute, me dit-il, dans une heure, tu iras te rhabiller, tu iras à l'avant-dernière cabine, tout au fond du sous-bois. Tu auras une surprise, et personne n'en saura jamais rien, je t'en donne ma parole.
- T'es pas fou ? rétorquais-je en me tournant vers lui, furieux, t'as pas encore compris ? Tu ne m'intéresses pas, j'irai m'habiller ou je veux, et à l'heure que je veux !
- OK, OK, répond-il d'un ton apaisant. Fais comme tu sens, mais dis toi que tu ne risques rien, je n'y serai pas, et tu n'auras qu'à t'enfermer de l'intérieur. Et personne ne saura que tu as écouté mon conseil, alors... qu'est-ce que ça peut te faire d'utiliser cette cabine plutôt qu'une autre ?"
Sur ces paroles énigmatiques il s'en va. J'essaye de me replonger dans mon livre, mes les pensées tournent dans ma tête. Qu'y a-t-il dans cette cabine si Yves n'y sera pas lui-même ? Un mot d'amour ? Au bout d'une heure, incapable de me concentrer sur le livre, je me lève, prend mes affaires et me dirige vers les cabines du sous-bois. Je les dépassent toutes, le coeur battant, et alors que je m'apprête à faire demi-tour, je remarque caché sous les arbustes deux cabines côte-à-côtes, très éloignées des autres et un peu masquées par la végétation. "Allez, courage" me dis-je en ouvrant la porte de la première des deux cabines. Soulagement, personne à l'intérieur, je rentre et tourne le verrou. Je reste là un instant sans bouger, en silence, à regarder autour de moi. Pas de message laissé pour moi, juste quelques vieux graffitis obscènes sur les parois en bois. Soudain j'entend des pas, la porte d'à coté s'ouvrir et quelqu'un entrer. Je n'ose plus bouger et retiens ma respiration : c'est sans doute Yves !
Au bout d'un moment, je décide que tout ça est décidément ridicule, et je pose mes affaires sur le banc. Le fond de la cabine est séparée par une cloison qui cache une douche. J'y passe juste la tête, pour regarder, et sur le mur de droite, je vois une petite tache de lumière : il y a un trou dans la cloison, à un mètre du sol, qui donne sur la cabine d'à coté. Je comprend tout : Yves m'a demandé de venir là pour me regarder me doucher, le salopard ! Et bien il ne verra rien ! Je me dirige vers le banc pour enfiler mon jean... mais la curiosité est trop forte : et si je jetais un coup d'oeil à travers le trou pour vérifier s'il essaye de me mater ?
Je retourne à pas de velours vers le coin douche, m'agenouille et glisse un oeil dans le trou, d'une dizaine de centimètre de diamètre. Le choc ! Le bas-ventre de Yves est à quelques centimètres du trou. Il tient son sexe en érection et se masturbe lentement. J'écarte ma tête illico, le feu au joues, mais l'image est déja gravée dans ma rétine : c'est le membre le plus gros que j'ai jamais vu, avec un gland circoncis très épais. Je ferme les yeux, en sentant mon propre sexe prendre un peu de volume. Que m'arrive-t-il ? Je glisse un nouveau coup d'oeil à travers le trou. Le sexe s'est rapproché, il n'est plus qu'à 2 ou 3 cm de l'orifice. C'est la première fois que je vois une bitte en érection d'aussi près, et je suis fasciné, ne pouvant détourner le regard. Je sens au même moment, avec dégoût et honte, mon propre sexe se tendre dans mon maillot. Yves a du s'apercevoir que je suis figé là, car il s'approche imperceptiblement. Son gland, avec une infini lenteur, passe l'orifice et je suis obligé de me reculer. Son sexe, violacé, tendu, énorme, est maintenant tout entier engagé de mon coté du trou.
Je suis fasciné, ... et je bande comme un fou. Je ferme un instant les yeux pour me raisonner, mais mon coeur bat la chamade, et quand j'ouvre les yeux, le sexe est toujours là, immobile. Alors je fais un truc complètement fou, sans réfléchir : je le prend doucement entre deux doigts et le masse d'avant en arrière. C'est la première fois que je tiens un sexe masculin autre que le mien, je le trouve doux, chaud. Des images de films pornos, vus en secret chez moi, défilent dans ma tête : toutes ces femmes qui tiennent une bitte dans leur main, la branlent, la... suce ! Sans réfléchir, j'avance la tête et prend le gland entre mes lèvres. Je ne bouge plus, tétanisé par ma propre audace, retire ma bouche, regarde le sexe que je tiens toujours et... le ré-enfourne dans ma bouche, plus loin cette fois, sans plus tenter de me raisonner. Je revois encore des scènes de films, ces bouches de nana qui sucent avidement, et je comprend inconsciemment que si ces gros plans m'excitaient, c'est peut-être parce que je voulais sentir cette sensation aussi...
Je suce le membre très vite, sans plus de retenu, je sens la matière un peu caoutchouteuse contre l'intérieur de mes joues, le goût une peu âcre. Mon propre sexe, enfermé dans mon maillot, est douloureux, tendu comme un arc. Le sexe de Yves bouge d'avant en arrière, pour accompagner ma succion, de plus en plus vite. Au bout d'un moment il se retire complètement et à travers le trou je vois sa main se branler rapidement et de gros jets de sperme s'échapper de son gland. Je retiens un hoquet d'horreur en imaginant qu'à quelques secondes près il aurait éjaculé dans ma bouche !
Je me redresse, honteux de ce que je viens de faire, et prêt à décamper sur le champ. Après tout, c'est vrai que je m'en vais demain et que personne n'en saura rien... Il me suffira d'évacuer à tout jamais ce souvenir honteux de mon esprit. Au moment de retourner vers mes affaires, j'entend un vague murmure de l'autre côté de la cloison de bois. Intrigué je m'agenouille à nouveau et glisse un oeil. La cabine d'à coté ne contient pas une douche, mais un WC sur lequel est tranquillement assis Yves, un téléphone à la main, en train de parler à quelqu'un. Il me fait un clin d'oeil, un sourire narquois, et continue sa conversation.
Je me relève d'un bond, en pétard. Quel toupet ! Il est sans doute en train de raconter à ses potes homo comment il a été sucé par un hétéro. Je suis debout, les yeux dans le vague, tremblant de rage et de honte de m'être ainsi fait avoir. Au bout d'un moment, mes yeux se baissent sur mon maillot, éclairé par le trou à sa hauteur. Une idée me traverse : je vais lui montrer ma bitte un court instant, puis m'habiller et partir. Il aura ainsi vu fugitivement ce qu'il n'aura jamais ! Superbe frustration pour lui ! Une vengeance méritée, me dis-je, en colère.
Je me rapproche du trou, mais pas trop, et écarte l'élastique de mon maillot pour en faire sortir mon sexe. Le changement de lumière instantané au niveau du trou m'indique qu'il a mordu à l'hameçon : il s'est avancé. Tiens, regarde, me dis-je, ce que tu n'auras jamais. Le trou est complètement assombri, je crois même entendre sa respiration. Sentir son regard sur moi fait durcir mon sexe encore plus, et mon coeur se remet à battre. Allons bon, voilà que ça recommence : mon dégoût s'envole, chassée par une grande excitation. Sans m'en rendre compte, tout en me branlant, je me suis imperceptiblement approché du trou. Je réalise d'un coup qu'il suffirait d'un léger coup de bassin pour faire passer mon gland par l'orifice ! Et là encore, comme tout-à-l'heure, je laisse mon impulsion prendre le dessus et j'engage mon sexe dans l'ouverture. Il ne se passe rien, un court instant, puis je sens une main m'attraper et me masser doucement. Et presque au même moment, quelque chose de chaud et humide entourer mon gland. Pas de doute, il me suce !
Je m'étais déjà fait sucer une seule fois, l'année dernière, par une vague petite copine, maladroitement et vite fait dans une voiture. Je n'en avais pas gardé un souvenir impérissable. Rien à voir avec ce que je ressens en ce moment : c'est chaud, doux, les lèvres serrent fortement le gland, puis relâchent l'étreinte et sont remplacées par une langue qui coure le long de ma tige, puis à nouveau la bouche enserre en entier ma bitte. C'est horriblement délicieux, et je remue mécaniquement le bassin pour accompagner les lèvres.
Je sens que je vais jouir, et le dégoût et la colère reprennent le dessus. J'ai raté ma vengeance, mais j'en ai une autre à ma portée : je vais lui éjaculer dans la bouche. Cette simple pensée me fait instantanément avoir un orgasme. Et alors que je pensais qu'Yves retirerait sa bouche de suite pour cracher, il n'en ai rien : la bouche continue sa succion un long moment, jusqu'à ce que les derniers jets de sperme se tarissent, et même au-delà, comme si elle voulait en nettoyer les dernières gouttes. Enfin, seulement, elle se retire doucement et les doigts me lâchent.
Je me recule doucement, et revient les jambes tremblantes vers le banc ou sont mes affaires. Ma honte est extrême, je reste un long moment immobile, les yeux dans le vague. Puis j'entend la porte d'à coté s'ouvrir et des pas s'éloigner. J'attend un long moment, pour être certain de ne pas croiser mon voisin, et je retourne vite fait me terrer dans mon mobile-home...
Mon épisode avec Yves ne s'arrête pas là, mais j'ai été déjà trop long. Je raconterai la suite s'il y a de la demande...
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