Mon fantasme enfin réalisé - histoire érotique

Eh oui, j’ai réalisé mon fantasme, comme quoi il faut savoir être patiente …
Bon il y a longtemps que je n’ai pas partagé mes aventures, il est vrai aussi que je me suis calmé sur mes dérapages adultérins, j’ai donc du freiner mes envies qui me font si hontes.

Plusieurs échanges avec mon mari ont permis d’aplanir la situation, peut-être avait-il eu vent de mes bêtises, quoi qu’il en soit, il ne me l’a pas dit et j’avais bien trop honte de tout déballer.

Mais il m’a avoué, assez bêtement je dois le dire, qu’il voudrait me voir coucher avec un autre homme ! Je vous passe les détails de cet aveu qui s’est étalé sur plusieurs semaines avant de prendre forme.

Je reconnais avoir été surprise, je peux comprendre l’esprit « couple libre, échangiste », chacun y prend son plaisir même si je ne partage pas cette façon de vivre la sexualité. Mais de regarder sa femme se faire prendre par un autre homme me stupéfait, quel plaisir peut-il trouver ? Ses réponses n’étaient pas claires, son seul argument était pour me faire plaisir à moi !
Bref, je n’ai pas dit oui, ni non d’ailleurs, mon petit côté « salope » m’empêchant inconsciemment de rejeter cette hypothèse …
Il a même planifié ou et quand ! J’exagère un peu, mais presque pas … Nous partons pour 15 jours de vacances aux Antilles, une petite ile proche de la Guadeloupe, pour lui c’est l’occasion de réaliser sa demande, un contexte de détente propice à son accomplissement tout en restant discret selon lui.
J’ai même eu une réaction complétement idiote quand il m’a parlé des vacances là-bas du style « Avec un black, tu veux que je me fasse prendre par un black ? », pas très délicat comme remarque, n’y voyez rien de raciste, ce sont les seuls mots qui me sont venus.

Pour faire un aparté, mon fantasme 1er n’est pas de me taper un black, je ne dis pas que ça me déplaise, je me suis déjà touché et joui en l’imaginant, mais plutôt avec un bel homme bien dessiné, de style métis ou black couleur « café au lait », n’y voyez rien de péjoratif, ce sont mes pensées. La légende du beau black performant m’excite, mais celle qui dit qu’ils sont bien montés m’impressionne un peu, et une certaine peur de brutalité aussi pour être franche. Ca fait stéréotype, certainement des préjugés non fondés, en tout cas c’est ce que je pensais à ce moment là.

Le reste de notre discussion à ce sujet n’a que peu d’intérêt,
Nous arrivons donc sur cette ile un samedi soir aux alentours de 18h, heure locale (dur dur le décalage horaire).

Direction notre hôtel, un jolie bungalow avec une très grande chambre/salon se finissant par une grande baie vitrée donnant sur une petite terrasse très exotique, l’ensemble face mer … un rêve de paradis pour des vacances.

On s’installe assez rapidement, mon mari veut piquer une tête dès son arrivée, moi pas, trop fatigué. Il met un caleçon de bain et part seul barboter dans l’eau excité comme un gamin de 12 ans.
La chaleur, l’avion, … Je me sentais collante de transpiration et je déteste ça, une bonne petite douche fraiche me fera le plus grand bien.
Après cet intermède apaisant, je décide de faire une petite sieste avant le diner, je cherche une culotte dans la valise, je tombe sur un shorty en dentelle noire, je décide d’en rester là coté vêtement et m’allonge sur le lit, le ventilateur au dessus du lit délivre de légère bouffée d’air qui me caresse tout mon corps, entraine d’agréable petit frémissement de mes seins et mes cuisses, la baie entrouverte apporte une chaleur qui me parcoure, je la sens monter le long de mes cuisses, s’immobiliser sur mon entre-jambes pour rouler jusqu’à mon ventre, puis englober ma poitrine … ce contraste d’air frais et chaud sont de doux effleurements qui me poussent vers de délicieuses sensations érotiques…Naturellement, presque par reflexe, ma main droite se glisse entre mes jambes, mes doigts pressent mes lèvres déjà humides, l’excitation est à son comble, ma main gauche étreins mon autre main comme pour mieux s’assurer de la jouissance finale … Des voix se font entendre au loin, la baie ouverte se rappelle à moi, la peur d’être surprise ne fait que stimuler mon excitation. Le plaisir est intense, mes jambes se plies, je me sens fébrile, de violente secousse sur mon bas ventre agite tout mon corps, mes cuisses compriment mes mains … Ouiiiiii … la jouissance est fulgurante, presque brutale, je laisse l’excitation se calmer, la descente de la jouissance agit comme un somnifère sur moi, le sommeil s’empare de moi dans un état de bien être délicieux.

10 mn plus tard, toujours dans mes songes, j’ai l’impression d’entendre une voix ? Mes yeux s’ouvrent lentement et là, au bout de lit, un jeune black en bermuda bleu et polo blanc aux couleurs de l’hôtel se trouve face à moi à me regarder !!!
C’est quoi cette histoire ! Par reflexe, je cache maladroitement mes seins et mon sexe, malgré mon shorty, sur l’instant la pudeur reprend le dessus. Lui semble s’en amuser, ne se gênant pas pour me parcourir de bas en haut, surtout en haut d’ailleurs. Je m’appui à la tête de lit et lui dit sous le coup de la stupéfaction :- Faut pas se gênerLui :- Je sais
Quoi, il sait quoi ! Je reprends mes esprits et lui lance :- Qu’est que vous faites là ?
- La baie était ouverte, j’ai frappé, vous n’avez pas entendu, j’y peux rien … et je vous amène les horaires du restaurant, menus et des prospectus sur les escortions c’est tout, rien de grave- Rien de grave, vous pourriez évitez de rentrer comme ça, vous voyez bien que je ne suis pas habillé- Ca j’ai vu [un petit sourire approbateur au coin des lèvres]- Ok, posé ça sur la table et sortez, merci
En plus je reste poli comme une conne. Il pose les documents sur la table, se retourne de nouveau vers moi pour me demander d’un ton interrogateur :- Vous êtes là pour ça ?
- ?????????? Pour ça quoi ?
- Euh … pour vous faire …
Je ne suis pas naïve, ce n’est pas mon premier séjour sur cette ile, la configuration de l’ile moitié Française et l’autre partie Hollandaise, attire beaucoup de touriste Américain notamment par sa proximité géographique, et surtout par le nombre important de casino du côté Hollandais. Mais aussi des couples à la recherche d’aventure sexuelle avec des blacks, j’ai été témoin à de nombreuse occasion, de femmes tripotées sans équivoque par un ou des black lors de soirée, ou tout simplement dans un bar, sous les yeux bienveillants de leurs mari !
D’ailleurs à cette époque, mon mari partageait mon dégout pour ce genre d’exhibition en public, également pour cet adultère consentie par le mari … Comme quoi ça doit être dans la nature de tout homme marié d’être cocu puisque aujourd’hui il me demande la même chose, sans l’exhibition, du moins j’ose le croire.

Bref, je comprends tout de suite ce que ce gamin sous-entend, (il doit avoir 18/20 ans), je lui réponds sèchement :- Non, ça ne va pas … bonsoir
Et il repart sans même s’excuser de son intrusion ou de sa remarque ! Il est vrai que côté accueil en termes de personnel, on ne peut pas dire que les employés soient très bien formés de façon générale, sans vouloir polémiquer non plus sur ce sujet.

Et qui arrive, mon mari, tout heureux ! Il fait de grands yeux me voyant seins nu, juste vêtue d’une petite culotte :- Ouahou … Il t’a vu comme ça ? Il t’a touché ?

Mais quel malade :- Non, arrête tes conneries, ça va maintenant … En plus pourquoi t’es pas venu quand tu l’a vu rentrer - Je t’ai laissé du temps avec lui …- Tu va arrêter oui ! Tu me prends pour qui, je n’ai pas dit oui à ton fantasme de pervers, en plus c’est un gamin, qu’est qui t’arrive
Et là, je vois qu’il bande comme un âne, il me répond simplement :- J’ai envi de toi, envi de te baiser
Côté repos pour les vacances, ça ne va pas être ça, en plus côté jouissance je me suis débrouillé toute seule :- Je suis crevé, je dormais avant que cet idiot rentre, plus tard
Il s’allonge à côté de moi, ne tenant pas compte de ma remarque, commence à me caresser les seins en me disant :- Tu es belle [c’est sa phrase fétiche !] … T’aurais aimé qu’il te baise, hein- T’es con, non- Il ne te plait pas ?

Tout en me parlant, sa main caresse mon sexe, l’excitation monte, pas à cause de lui, je crois que d’avoir été nu, offerte au regard de ce jeune black commence à m’exciter (si je l’excitation me prend toutes les 10 mn, les vacances vont pas être de tout repos !) … Il sent que je mouille :- Salope, il t’a fait mouillé, hein, t’avais envie de sa grosse bite
Les insultes fusent rapidement avec lui quand il est excité et surtout quand je lui raconte comment je me fais baiser par d’autre (tout droit sortie de mon imaginaire), ça l’aide à le faire bander, c’est toujours le même cinéma. Il continu son monologue :- Allez, dit moi ce qu’il t’a fait salope
L’excitation monte et je décide de rentrer dans son jeu :- Il s’est mis sur moi et m’a baisé pendant que je dormais- Ca t’a réveillé de sentir sa grosse bite noir- Oui, s’était bon, il baisait bien
Mon mari, toujours en m’embrassant les seins, ses doigts sur mon clito, avait sorti sa bite et se branlait, moi je commençais à avoir sérieusement envi de me faire prendre, mais là je l’entends dire :- T’es une vraie salope
Et il gicle sur ma cuisse, comme un chien en chaleur ! Et moi alors !!!! Sur le coup de l’énervement je lui dis :- Et moi !!! T’es vraiment qu’un connard, toujours la même chose avec toi, soit ça dure des heures ou tu te branle comme un égoïste- Pardon, tu veux que te lèche ?
- Non, je vais me laver, oubli moi
L’excitation avait disparu, même un dégout pour lui à ce moment là, je l’aime, mais sexuellement il me fatigue de plus en plus souvent.

Après cet épisode de notre arrivée, les jours ce sont enchainés tranquillement par des journées détentes à la plage, petit coin de plage tranquille d’ailleurs, nous avions demandé à la réceptionniste de l’hôtel si elle connaissait des lieux un peu désert, ce qu’elle nous avait indiqués. En plus peu de touriste fin mars, de petites plages sauvages très agréables où je pouvais me faire bronzer seins nue sans risque de regard indiscret.

Peu de sortie en soirée, une seule dans le bar de l’hôtel ou mon mari m’a de nouveau énervé en invitant un inconnu, black évidemment, qui venait de se mettre en spectacle avec une femme pendant près d’une heure devant là aussi, son mari consentant. Le mien pensant que ça me permettrait d’être plus à l’aise en ayant vu ce black à l’œuvre certainement !
En plus, pas du tout mon genre, rasta, et ça m’attire pas du tout, mais pas du tout. Je suis rentré à la chambre en bougonnant, je pense qu’il a compris qu’il fallait stopper ce petit jeu.
Tout ça me donnait l’impression d’être un morceau de viande jeté aux fauves, rien de sensuel dans tout ça.

Il est bien sortie seul plusieurs soirs de suite pendant quelques heures, il ne revenait pas bourré, mais une fois j’ai trouvé qu’il sentait le sexe, une femme sent ça. Il a toujours dit que je me trompais, mais je le soupçonne d’avoir trouvé des prostitués lors de ses sorties nocturnes, personnellement j’en ai pas vu ou peut-être pas fait attention, mais il doit en avoir comme partout.

Bref, hormis mes plaisirs solitaires, notre séjour se déroulait sans sexe, mais très reposant dans l’ensemble.
Mais ce jour là, nous étions sur une petite plage tranquille, à 500 mètres d’une route praticable, tout les deux allongés au soleil … Et j’entends :- Salut
J’ouvre les yeux … Sam ! (c’est le nom du petit jeune du premier jour, on l’a souvent croisé et donc su son prénom, son diminutif plutôt), je réponds par un bonjour, un peu surprise de le voir ici, mon mari par un salut avec un grand sourire, et Sam avec humour me dit :- Toujours seins nus
J’avoue que là sa remarque sur le ton de la plaisanterie m’a fait sourire, je réponds simplement :- Eh oui, je vais finir par en prendre l’habitude
Lui :- J’aime bien cette habitude [toujours sur le ton de la plaisanterie] … Je suis de repos aujourd’hui, je peux m’installer à côté
Bien que ça ne me dérangeait pas, je n’ai pas eu le temps de répondre que mon mari lui dit :- Sans problème, bien sur
Puis j’ai vu au regard de mon mari ce qu’il pensait de cette chance, je crois qu’il a aussi compris à mes yeux qu’il ne fallait pas y songer.
J’ai bien vu qu’il était déçu de ce qu’il lisait sur mon visage, mais je n’avais aucune envie de lui faire ce plaisir, mes doutes sur ses sorties nocturnes n’amélioraient pas ma bonne volonté de lui faire ce cadeau.

On a échangé des banalités pendant quelques minutes tous les trois, Sam par des questions sur nous et la métropole, et nous sur l’ile …
Mon mari décide d’aller piquer une tête dans la mer, il ne me demande même pas si je veux le suivre, ni à Sam non plus, encore un de ses plans dans l’espoir que je me lâche en son absence. Mais cette fois-ci, la suite allait lui donner raison.

A peine mon mari à l’eau, Sam vient s’allonger près de moi, carrément collé à moi … Il commence à me caresser le ventre en me susurrant :- On est enfin seul- T’es observateur toi … n’en profite pas pour ça
Je repousse gentiment sa main avec un petit sourire, plutôt flatteur ce petit geste pour une femme de mon âge, mais il ne semble pas vouloir stopper si facilement, il pose cette fois-ci sa main sur mon sein droit, tout en se couchant presque sur moi,- Eh tu fais quoi là ?
- Tu es là pour ça, alors arrête d’être surprise, toi et ton mec vous êtes venu ici pour ça- Ah oui … tu crois que toutes les femmes sont là pour ça- Tout se sait à l’hôtel, l’autre soir au bar, vous le cherchiez
L’épisode de notre fameuse soirée au bar avec ce black que mon mari avait invité à notre table, je rougie de honte en imaginant toutes les personnes croisées les jours suivants, ils devaient bien rire en me voyant comme une chaudasse à la recherche de bite, la honte. Je regarde fixement Sam qui poursuivait ses caresses sur mes seins, mon ventre …- Lui peut-être, mais pas moi, j’ai le droit de décider si je veux ou pas, non- Tu es comme les autres
En sortant ses derniers mots, il glisse la main dans mon maillot, je sens ses doigts titillés mon clito, l’effet est immédiat, il est vrai que pendant notre petit échange, je ne l’avais pas repoussé, le laissant prodiguer ses caresses, appréciant ce jeune corps musclé et ferme collé à mon flanc.
Ses doigts s’enfonçaient doucement dans mon intimité, la chaleur du soleil sur ma peau, sa bouche titillant mes tétons, le bruit de la mer … tout ça me rendait inerte, libre à ses envies, j’étais en plein rêve,La plage, ce sable fin et chaud, ce corps musclé qui commençait à m’envelopper … J’en rêvais, je rêvais de faire l’amour sur la plage depuis mes premiers émois, mon fantasme prend vie, je ferme les yeux et me laisse aller …
Mais la réalité est souvent moins glamour, j’entends Sam rire et me dire :- Tu vois, je le savais que tu étais comme les autres
Merde alors, il ne pouvait pas se taire ce petit con, quoi comme les autres !
- Qu’est-ce que tu veux dire ? T’es vraiment con
Lui :- Quoi, une salope blanche qui veut se faire baiser par une bite black
Je ne réponds même pas … tellement surprise de le voir se lever !!!!
Il se met debout face à moi, son regard braqué sur moi, un sourire narquois au coin des lèvres, et me dit :- Toi je vais te faire crier salope
La délicatesse est loin d’être une de ses qualités et côté romantisme, tout s’est évaporé… Mais je me surprends par mon état, de le voir, d’admirer ce corps légèrement musclé, bien dessiné, juste ce qu’il faut, mmm … un jeune black grand, costaud et bien proportionné, mon excitation monte !!! Malgré son arrogance, je suis trempé. Je l’entends me dire :- Regarde ma belle, c’est ça que tu veuxIl joint le geste à la parole et baisse son caleçon de bain, ouahou … énorme … une bite noir bien raide, longue et épaisse … la légende du black est bien réel, pour Sam en tout cas … Je ne peux m’empêcher de lâcher :- Elle est énorme !!!
- Eh oui salope, tu va comprendre ce que c’est qu’une bite de black
Il se penche vers sa serviette, et se remet debout avec un préservatif dans les mains ! Il avait tout prévu ce petit con. Il m’interpelle :- Allez, viens la toucher, met moi la capote
Son ton est direct, voir autoritaire,
J’avoue ressentir un peu de peur vu la proportion de son sexe, et aussi de la curiosité, l’envie de toucher, comme une ado lors de son premier baiser, envie de savoir.

Je me mets à genoux, m’approche de son sexe, je lève le regard vers Sam, une impression de soumission me traverse face à ce jeune apollon noir debout devant moi, la puissance transpire de ce corps d’ébène. Son sourire avait disparu, il ne m’apparaissait plus comme un gamin, une maturité montait en lui, le changeait, son attitude donnait l’apparence d’un mâle dominant, certain de son emprise.

Un drôle de ressentiment pour moi, je n’avais jamais ressenti ça, cette appartenance, ma dévotion à l’homme noir … et oui ça peu paraitre indécent, mais à ce moment là c’est une tranche d’histoire que je n’ai pas connu qui me tourne la tête, une période qui aujourd’hui prend sa revanche. Il est l’homme noir disposant à sa guise de la femme blanche, je lui appartiens à cet instant, un plaisir de soumission qui m’excite à lui seul, j’ai la chair de poule, je tremble comme à ma première fois, c’est délicieux, je veux m’offrir à lui, m’offrir à sa force, à sa virilité …
Je mets une main, puis deux sur son sexe … il est dur … impressionnant, mes deux mains alignés ne peuvent englober entièrement son sexe, je n’arrive même pas à fermer mes mains autour de sa queue. Un seul son retentit dans ma tête, c’est la voix de Sam :- Suce
Toujours aussi percutant et autoritaire, j’obéi avec plaisir, mes lèvres embrassent son gland, j’ouvre la bouche pour sentir sa bite s’enfoncer entre mes lèvres … hummm, elle est chaude, je n’arrive pas à atteindre ma première main avec ma bouche, elle est trop grosse pour la sucer plus. Le goût de sa queue dans ma bouche me fait mouiller comme une folle, je n’avais jamais pris un tel plaisir à prendre une bite en pleine bouche.

Sam s’adresse de nouveau à moi :- Met la capote salope
Il me tend le préservatif, je n’ai pas vraiment l’habitude, j’essaye de me rappeler le mode d’emploi, les yeux levés instinctivement vers mon conquérant noir tout en déchirant l’emballage avec les dents, je sors le préservatif, j’essaye de m’appliquer, trop de maladresse, incapable d’y arriver. Sam me reprend le préservatif et me lance :- Allonge-toi, enlève ton maillot
Je réponds bêtement :- Oui
Je m’allonge sur le dos, ôte mon maillot, l’admire enfiler le préservatif sur sa grosse bite noir, j’écarte les jambes comme pour accroitre ma dévotion.

Il se met à genoux devant mon sexe, pose sa main gauche au sol à la hauteur de mon épaule, sa main droite dirige sa queue sur mon intimité … - Arrrg … mmmmm … doucement …
Je la sens me pénétrer, même humidifié comme je le suis, elle rentre difficilement, il prend son temps, la rentre doucement … je ne peux m’empêcher d’haleter à chacune de ses avancés à l’intérieur de mon ventre,
Sa main droite lâche son membre pour venir se poser à côté de mon visage, il se couche sur moi, commence de léger va et vient.

Son corps sur moi me fait un bien fou, je pose mes deux mains sur son dos, j’admire par le touché ce corps sculpté, ferme, sans un kilo en trop, il est dur et doux, je descend sur ses fesses, très ferme et rebondis … mmm, un homme, oh oui, c’est un homme, un vrai … malgré une petite douleur lié à la dilatation de mon sexe, je prend un plaisir à le sentir sur moi, le toucher, ressentir sa bite en mouvement en moi.

Puis bras tendu, il se relève légèrement me faisant face … il est beau, il est fort, je l’admire, l’idolâtre presque … Il fixe mon regard, puis donne un violent coup de reins- Aiiiiiiieeeeee …….

Il venait de rentrer entièrement son sexe en moi, sans ménagement, j’ai crié tellement fort que toute l’ile avait du m’entendre.

Il est resté un moment dans cette position regardant la douleur s’atténuer dans mes yeux, puis il a commencé à donné des coups de reins énergiques mais avec une certaine douceur, je n’en pouvais pas, la jouissance venait, les yeux grand ouvert vers Sam, nos regards ne se quittait pas, il est doué, il m’a fait jouir en quelques minutes.

Il a stoppé ses mouvements me laissant exulter mon plaisir face à lui, se couche sur moi et m’embrasse fougueusement pour ressentir ma jouissance, ses lèvres sur les miennes, nos langues s’entrecroisaient tous en haletant d’excitation … humm quel bonheur.

Ma jouissance à peine disparue, sa bouche sur la mienne, il se lance dans des mouvements nettement plus violents, il me retire mes bras qui l’enlaçaient et les collent au sol, appuyant fermement sur mes poignets. Se redresse et là j’aperçois à ma gauche mon mari à deux mètres, à genoux, le caleçon baissé, la bite pendante, du sperme qui semblait couler sur sa main, il avait giclé comme un chien en chaleur en regardant Sam me baiser !!!
Sam l’a vu aussi, il en rigolait et malgré son jeune âge s’est même permit de commenter la scène :- Il a giclé ton gros porc... ah ah ah… je comprends pourquoi t’es venu ici, hein sale garce
Puis Sam a poursuivi sa baise, amplifié même, comme si cette vision de mon mari humilié le rendait plus puissant !
Il me baisait sauvagement, sans aucune délicatesse, m’insultant de plus en plus, à tel point que je ne savais plus ou j’étais, mon excitation était presque aussi violente que sa baisse, m’entrainant vers une seconde jouissance … Je me surprenais à crier comme une vrai salope en manque.

C’était bon, mais mon regard à de nouveau croisé la vision de mon mari toujours à genoux mais qui avait repris une nouvelle branle, le voir dans cette position tranchait avec mon excitation, et malgré la violence des mouvements de Sam et mes cris, j’ai réussis à lancer à mon mari sans aucune délicatesse :- Putain, dégage, allez … dégage
Je crois l’avoir vu se lever pour se reculer, mais difficile de s’en assurer avec la baise bestiale de mon étalons noir.

Ces bras musclés qui me tenaient au sol, cette puissance, ma soumission était totale et le plus surprenant jouissive, j’ai crié de plaisir quand elle est revenu à moi … Les saccades qui m’était imposées avaient faiblies pendant ma jouissance, je continuait à admirer la beauté de mon jeune black qui m’avait donné tant de plaisir … Il me relâche les mains, m’offrant de nouveau ma liberté, redresse son torse et … ouuuuggg … retire sa virilité qui était en moi, ôte le préservatif, branle sa grosse bite noir au niveau de mon sexe,
Je le regarde, admire l’objet de tant de plaisir et je vois son excitation venir, mm mm plusieurs jets de foutre giclent sur mon ventre, sur ma chatte, mes cuisses, comme une délicieuse offrande libératrice.

Il me regarde, me souri et me dit :- J’avais déjà envie de te baiser quand je t’ai vu la 1ère fois dans la chambre, tu es bonne
Ma seule réponse a été :- Merci Sam
Merci du compliment, que sa jeunesse est envie de moi et de la baise qu’il m’avait donné, mon « merci » rassemblait tout ses critère pour moi, il a été instinctif, je ne sais pas ce que lui a compris ? Mais il m’a salué et il est reparti.

Mon mari s’est rapproché de moi à peine Sam partis, m’a dit « pardon » !!! Et m’a embrassé !!! Et me demande :- Tu vois, lui il t’a donné du plaisir avec sa grosse bite
Je n’étais plus dans l’ambiance, oui je m’étais faite baisé par ce jeune black, j’avais aimé, mais de le faire devant mon mari me déplaisait, donc sa remarque était mal venu pour moi :- Arrête, c’est mon problème ce qui s’est passé, tu t’es branlé ok, mais on en parle plus- Ok, mais tu me diras plus tard, hein- C’est bon, on verra plus tard … je vais à l’eau, il m’en a mis partout- Tu veux que je te lèche avant
Comment vouloir me lécher alors que j’ai le sperme de Sam sur moi !!! Je sais que certain homme pratique ce genre de chose, j’ai internet comme tout le monde, mais mon mari !!!
Bref, je l’ai envoyé baladé tout simplement.


L’histoire s’arrête là, une fin particulière je sais, mais la suite, parce que il y a eu une suite avec Sam jusqu’à la fin du séjour, dans notre chambre le plus souvent, je ne pense pas que ces épisodes soient très intéressant pour le lecteur.

J’y ai pris du plaisir, mais j’ai vu aussi mon mari différemment, donc des choses que je trouve humiliantes pour un homme, comme me lécher la chatte recouverte du sperme d’un autre ! Il a fini par le faire.

Donc je ne souhaite pas partager ces moments là qui restent dans notre intimité, même si depuis mon regard sur mon mari est différent.



Pour ceux qui ne l’avais pas compris, mon plus grand fantasme était de faire l’amour sur la plage, eh oui …