Mon homme blessé - Chapitre 2
Récit érotique écrit par AnnaLitha [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 5 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-12-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Mon homme blessé - Chapitre 2
Chers lecteurs, chères lectrices, Je vous partage ici le second rendez vous avec un homme pour qui j éprouve une grande tendresse.
Tres vite, nos échanges par mail m'ont révélé une sensibilité exacerbée, un romantisme précieux, des blessures d enfance et d adulte, construisant un homme fragile et fort à la fois, qui a besoin d amour et de douceur pour s épanouir.
Nous entretenons une correspondance régulière, partageant davantage que des instants charnels, bien qu'il soit demandeur d une vraie relation amoureuse, ce qui n est pas mon cas actuellement.
Bonne lecture.
Quelques semaines ont passé avant que ma délicieuse Maîtresse ne m'invite à la retrouver. Peu de contacts, je la devine occupée et mettant une certaine distance pour ne pas me rendre fou d'elle. Peine perdue, je ressens le manque au plus profond de mon corps...
Un SMS : "Demain, 13h ?"Mon corps bondit, et je lui réponds oui.
Je m'organise ensuite pour être libre, pas sans mal puisqu'évidement, elle a choisi un jour où j'avais un rendez-vous important, que je m'empresse de reporter...
Le matin même, au réveil, je reçois un SMS avec ses consignes, claires et brèves.
13 heures, l adresse de notre rencontre.
Je devrais sonner, entrer et refermer derrière moi.
Sur le canapé, je trouverai la tenue qu elle souhaite me voir porter et m en revêtir.
Ensuite l attendre en position agenouillée visage contre sol sur le tapis.
Un programme alléchant, je m en sens déjà excité...! Je m interdis de me masturber au préalable, bien que cela soit tentant...
J'occupe ma matinée avec quelques bricoles puis passage à la salle de bain, j en profite pour raser mon visage, mon sexe et mon cul, et me laver en profondeur. Ongles coupés et propres, à peine de déodorant pour ne pas masquer mon odeur naturelle qu elle aime tant, et me voilà prêt à la retrouver.
Après une bonne heure de route, j arrive avec 10 minutes d'avance, ce qui me laisse le temps de fumer une cigarette puis camoufler l odeur et me plonger dans mon imaginaire...
Va t elle me déguiser en femme ? J'en serais gêné, je n'ai jamais osé, mais l'idée m excite terriblement...
12h57, je suis devant la porte et attends l'heure pile.
13h, je sonne, entre et referme aussitôt derrière moi.
Les rideaux sont tous fermés, il fait presque nuit dans l appartement, hormis une petite lumière d'appoint à côté du canapé d'angle et 2 bougies allumées sur la table basse.
Je m en approche, le cœur palpitant dans ma poitrine.
Sur le canapé, je découvre ma tenue. Un plug de jolie taille avec un flacon de lubrifiant juste à côté, une cagoule, 4 bracelets en cuir pouvant etre relié par des mousquetons.
Je m amuse intérieurement de m offrir à ma Maîtresse dans cette tenue...
Je retire l intégralité de mes vêtements, pour terminer nu, bracelets aux poignets et aux chevilles.
J insére le plug à l aide d une bonne dose de lubrifiant, en le sentant bien passer, puis j enfile la cagoule qui me prive de la vue et diminue légèrement mon audition.
Je m agenouille alors sur le tapis, et patiente, me sentant ridicule mais surtout assoiffé de sentir ses mains jouer sur moi...
J'attends quelques minutes ainsi, tendu et quelque peu nerveux, tentant de distinguer des sons trahissant sa présence et ses activités.
J'entends un premier claquement de talon, une chaise qui racle le sol et ses pas, dans la cuisine.
Le robinet qui coule, un bruit de vaisselle.
Puis quelques pas qui se rapprochent.
La porte s ouvre, la voici qui entre dans le salon.
Elle marche autour de moi, plus près, puis s éloigne et reviens.
Quelques pauses et des sons inconnus.
Elle revient juste à quelques centimètres de moi, saisis mes bracelets aux poignets et les attachent entre eux, devant moi.
Je sens alors quelques gouttes d'un liquide chaud couler entre mes épaules. Je devine la cire d'une bougie.
Elle dispose de mon dos et du bas de mes reins, parsémant la cire deci delà. Se rapprochant parfois plus près de ma peau pour augmenter la chaleur.
J entends son souffle quelque peu court, je la sens m effleurer sans toutefois m apporter le contact réconfortant de sa peau.
Je joue le jeu, ne disant mot, gesticulant légèrement au contact surprenant de ce liquide brûlant s écrasant sur ma peau, excité par la scène, et devinant son amusement.
Mon dos est brûlant, et quelque peu figé, mes frémissements me font ressentir ce cocon fragile mais rigide dans lequel elle m a emprisonné.
Elle s arrête, et s éloigne, toujours sans un mot.
Je devine au son de ses mouvements qu elle cherche quelque chose dans son sac, et repars à la cuisine.
A quoi joue t elle... J ai envie de sa voix, de ses mains, de son regard, de voir son sourire espiègle...
Elle revient près de moi, colle ses jambes et ses pieds contre mes cuisses et mon cul rempli, elle porte des bas.
Ses mains saisissent mes épaules, elle se love contre moi, je sens ses seins frais que je devine nus, une matière plastique sur son ventre et ses cheveux contre la peau chaude de mon dos, elle m attire légèrement en arrière pour m embrasser tendrement dans le cou.
Elle se retire, et toujours en silence, me plaque alors quelque chose d humide et de glacial dans le dos. Je devine un glaçon, sentant maintenant de l eau gelée couler le long de mon flanc.
Elle joue du bout des doigts avec la glace, traçant des sillons, faisant fondre ses petits glaçons sur moi pour apaiser le feu de la cire, et la faire durcir davantage.
La morsure du froid est bien différente, pas moins saisissante, et presque anesthésiante.
S ensuit alors un contact nouveau, quelque chose de plus large qui racle au plus près ma peau endolorie.
Elle gratte légèrement, appuie fermement, poursuit l alternance des sensations pour retirer la cire.
Je devine une spatule, mais elle prononce ses premiers mots "C est un couteau, très aiguisé alors ne bouge pas" et je me concentre pour ne pas trop bouger et réguler ma respiration.
Je suis anxieux, je me sens en danger et entièrement dépendant de ses gestes... J attends en serrant les dents, tendu. Elle passe sur mon dos, mes épaules, mes fesses, mes bras et autour de mon cou, là où il n y a pas eu de cire. J entends son souffle court également, je la suppose concentrée et excitée de me tenir ainsi à sa merci.
De longues minutes plus tard, elle passe un tissu dans mon dos pour m essuyer.
Et enfin, ses mains recouvertes d une huile parfumée. Elle m effleure, me caresse, me masse. Tout en douceur, tout en tendresse, dans l apaisement de ce qu elle vient de me faire endurer.
Elle se blottit alors contre moi, je sens son bassin contre mes fesses qu elle ondule, me faisant sentir mon plug appelant davantage de mouvements, ses seins contre mes reins, et ses cheveux qui cascadent dans mon dos.
Elle retire délicatement ma cagoule, ses doigts me font frissonner de désir.
Elle se redresse et m embrasse l oreille en chuchotant "Bonjour ma chienne... Tu as été très sage, bravo" et je devine un sourire dans son intonation.
Je souris également, tellement heureux de la retrouver et la salue.
Elle vient se placer debout devant moi, et j en profite pour la regarder. Une robe très courte laissant sa grosse poitrine nue, noire en latex qui épouse ses formes au plus près, me laissant voir son sexe et tenant des bas, avec de jolis escarpins noués à la cheville.
Elle lève une jambe pour approcher son pied de ma bouche, se maintenant en équilibre en tenant mon cou, et me réclame des baisers. Puis ma langue. Je m exécute, embrassant ainsi ses pieds, ses chevilles, ses cuisses et l intérieur de ses cuisses. Je vois son sexe ouvert à quelques centimètres de ma langue, il me fait envie.
Je tourne la tête pour m en délecter, mais elle s empart de mon visage pour me repousser et me garder à quelques centimètres d elle.
De son autre main libre, elle glisse ses doigts sur sa fente, se caresse vigoureusement le clitoris tout en maintenant sa prise dans mes cheveux et en gemissant.
Elle insére alors 3 doigts directement dans son sexe, tout en branlant son clitoris de son pouce.
Le spectacle est superbe, je la vois monter dans son plaisir, jouant intensément avec sa chatte devant mes yeux.
Je rêve d y coller ma bouche pour recueillir sur ma langue cette cyprine que je vois couler. Je pense aussi à glisser mes doigts dans son cul, et pourquoi pas ma langue aussi.
M imaginant cette scène, je me sens bander à nouveau et envisage de la faire basculer sur le canapé pour la baiser.
Son souffle s accélére. Elle me tire un peu plus en arrière et me regarde en s interrompant.
Elle insére ses doigts trempés dans ma bouche, au fond de ma gorge, vigoureusement, m arrachant un haut le cœur et commence quelques va et vient.
Yeux dans les yeux, elle vient cracher sur ses doigts et directement sur ma langue. Je deglutis avec peine.
Elle fait couler un filet de salive sur mes lèvres, en me souriant et en me disant quelques mots qui me font durcir davantage.
"tu aimes le goût de ma chatte, ma salope à moi ?" J acquiesce en silence, ce qui a pour effet de lui faire m asséner une gifle plus bruyante que douloureuse, tandis qu elle fourre à nouveau ma bouche de ses doigts. "réponds quand je te parle salope".
J articule péniblement un "Oui Maîtresse, j aime votre chatte, elle me fait envie" non sans bafouiller à cause de la pulpe de ses doigts au fond de ma bouche.
Je me sens bander plus fort, tout excité, j espère secrètement une nouvelle gifle plus forte pour sentir la chaleur cuisante sur ma joue...
Elle me sourit, et m attire vers le canapé, où elle fait basculer mon visage à 90 degrés sur l assise, dos plaqué contre le rebord et fesses au sol, bouche ouverte.
Mes mains toujours attachées entre elles sont désormais sur ma bite que je sens dure, et m imagine pouvoir me branler discrètement ou sur ses ordres. Mon plug est bien maintenu entre mes fesses frémissantes d envie.
Elle se recule et me regarde, m envoyant quelques mots crus supplémentaires qui font grimper encore un peu plus mon excitation.
Elle revient vers moi, prenant soin d appuyer fermement ses escarpins contre ma bite durcie, m arrachant un petit cri et s amusant à alterner la pression.
Elle se met alors à genou sur le bord du canapé, descend légèrement le bassin et m ordonne de tendre ma langue.
Je m execute, et enfin, je rentre en contact très légèrement avec son clitoris.
Elle gemit.
Très délicatement, elle se masturbe sur ma langue, ondulant le bassin à son rythme et son souffle s accélère au gré de ses mouvements.
Son ventre obstrue quelque peu mon nez, et sa chatte emplie ma bouche, je ne peux que constater l effet enivrant sur ma bite aux aguets.
Je rêve de la voir s y asseoir et de s y faire jouir de la même façon.
J effleure ma bite du bout des doigts, elle ne peut pas s en rendre compte et je parviens même à branler mon gland.
D abord doucement, puis j accélère quelque peu, craignant cependant qu elle entende le clitetis du mousqueton ou s aperçoive du léger mouvement de mes épaules.
Je me maintiens proche de l orgasme, tandis que je fais de mon mieux pour maintenir ma langue ferme et joueuse sur sa chatte.
Elle semble très satisfaite, s y frottant, s y pénétrant parfois, et sa cyprine me remplit la bouche peu à peu.
Son ordre tombe "branle toi ma chienne, et plus vite que ça, je veux que tu ejacules sur ta main gauche".
Je ne me fais pas prier, et m amène rapidement à rien de l orgasme, que je retarde encore pour le plaisir de la sentir prendre du plaisir.
Ses glissements s accélèrent, son bassin se fait plus écrasant, elle insére ma langue dans son vagin et se met à branler son clitoris, sans se soucier des coups de ses mains contre mon visage.
Je vais ejaculer, alors, je ralentis, je veux donner le meilleur de moi même pour la sentir jouir devant mes yeux.
Sa main tambourine contre mon front pour frotter vigoureusement son clitoris, je garde les yeux à peine entrouverts pour me maintenir dans ma jouissance, et soudainement, dans un râle de plaisir qui me monte aux oreilles, je sens les spasmes de son sexe qui s ouvre et se ferme sur ma langue, tandis qu elle ralentit.
Je me branle alors violemment quelques secondes, et maintien ma main gauche au dessus de mon gland.
Le sperme jaillit, m arrachant un gémissement fort me contraignant à rentrer ma langue.
Elle ne bouge plus, mais m ecrase encore le visage contre son pubis. Je la devine reprendre doucement ses esprits, et j en fais de même, sans toutefois pouvoir me retenir de lui donner quelques coups de langue, qui la font frissonner mais sans qu elle ne m en empêche.
Quelques minutes plus tard, elle se retire délicatement et viens se mettre à genoux devant moi, me permettant de mobiliser à nouveau ma nuque meurtrie.
Nous echangeons un beau sourire et des yeux pétillants de complicité.
Qu elle est jolie ainsi, son maquillage ayant quelque peu coulé, son front luisant de gouttelettes de sueur et ses cheveux emmêlés...
Je souris à mon ange, mais elle n en a pas fini, je vois la malice briller.
Elle attrape mes mains reliées avec un sourire narquois, et les portent à ma bouche.
Écœuré, j entrouve les lèvres et sens l odeur et le parfum de mon sperme désormais tiède.
Je déteste cela. Visiblement pas elle, puisque elle l etale copieusement en dirigeant mes mains, puis s approche de mon visage et leche brièvement ma semence sur ma joue, amusée.
Elle retire alors le mousqueton de mes mains, et me serre contre elle, me blottit contre sa grosse poitrine dénudée sur laquelle mon sperme se déverse.
Je tente de poser mes mains autour de ses hanches, mais elle me dit non, délicatement, en me serrant plus fort.
Câlin tendresse, je me sens apaisé dans ses bras et profite de sa douceur, bercé comme un enfant.
Merci Maîtresse pour ce moment...
Tres vite, nos échanges par mail m'ont révélé une sensibilité exacerbée, un romantisme précieux, des blessures d enfance et d adulte, construisant un homme fragile et fort à la fois, qui a besoin d amour et de douceur pour s épanouir.
Nous entretenons une correspondance régulière, partageant davantage que des instants charnels, bien qu'il soit demandeur d une vraie relation amoureuse, ce qui n est pas mon cas actuellement.
Bonne lecture.
Quelques semaines ont passé avant que ma délicieuse Maîtresse ne m'invite à la retrouver. Peu de contacts, je la devine occupée et mettant une certaine distance pour ne pas me rendre fou d'elle. Peine perdue, je ressens le manque au plus profond de mon corps...
Un SMS : "Demain, 13h ?"Mon corps bondit, et je lui réponds oui.
Je m'organise ensuite pour être libre, pas sans mal puisqu'évidement, elle a choisi un jour où j'avais un rendez-vous important, que je m'empresse de reporter...
Le matin même, au réveil, je reçois un SMS avec ses consignes, claires et brèves.
13 heures, l adresse de notre rencontre.
Je devrais sonner, entrer et refermer derrière moi.
Sur le canapé, je trouverai la tenue qu elle souhaite me voir porter et m en revêtir.
Ensuite l attendre en position agenouillée visage contre sol sur le tapis.
Un programme alléchant, je m en sens déjà excité...! Je m interdis de me masturber au préalable, bien que cela soit tentant...
J'occupe ma matinée avec quelques bricoles puis passage à la salle de bain, j en profite pour raser mon visage, mon sexe et mon cul, et me laver en profondeur. Ongles coupés et propres, à peine de déodorant pour ne pas masquer mon odeur naturelle qu elle aime tant, et me voilà prêt à la retrouver.
Après une bonne heure de route, j arrive avec 10 minutes d'avance, ce qui me laisse le temps de fumer une cigarette puis camoufler l odeur et me plonger dans mon imaginaire...
Va t elle me déguiser en femme ? J'en serais gêné, je n'ai jamais osé, mais l'idée m excite terriblement...
12h57, je suis devant la porte et attends l'heure pile.
13h, je sonne, entre et referme aussitôt derrière moi.
Les rideaux sont tous fermés, il fait presque nuit dans l appartement, hormis une petite lumière d'appoint à côté du canapé d'angle et 2 bougies allumées sur la table basse.
Je m en approche, le cœur palpitant dans ma poitrine.
Sur le canapé, je découvre ma tenue. Un plug de jolie taille avec un flacon de lubrifiant juste à côté, une cagoule, 4 bracelets en cuir pouvant etre relié par des mousquetons.
Je m amuse intérieurement de m offrir à ma Maîtresse dans cette tenue...
Je retire l intégralité de mes vêtements, pour terminer nu, bracelets aux poignets et aux chevilles.
J insére le plug à l aide d une bonne dose de lubrifiant, en le sentant bien passer, puis j enfile la cagoule qui me prive de la vue et diminue légèrement mon audition.
Je m agenouille alors sur le tapis, et patiente, me sentant ridicule mais surtout assoiffé de sentir ses mains jouer sur moi...
J'attends quelques minutes ainsi, tendu et quelque peu nerveux, tentant de distinguer des sons trahissant sa présence et ses activités.
J'entends un premier claquement de talon, une chaise qui racle le sol et ses pas, dans la cuisine.
Le robinet qui coule, un bruit de vaisselle.
Puis quelques pas qui se rapprochent.
La porte s ouvre, la voici qui entre dans le salon.
Elle marche autour de moi, plus près, puis s éloigne et reviens.
Quelques pauses et des sons inconnus.
Elle revient juste à quelques centimètres de moi, saisis mes bracelets aux poignets et les attachent entre eux, devant moi.
Je sens alors quelques gouttes d'un liquide chaud couler entre mes épaules. Je devine la cire d'une bougie.
Elle dispose de mon dos et du bas de mes reins, parsémant la cire deci delà. Se rapprochant parfois plus près de ma peau pour augmenter la chaleur.
J entends son souffle quelque peu court, je la sens m effleurer sans toutefois m apporter le contact réconfortant de sa peau.
Je joue le jeu, ne disant mot, gesticulant légèrement au contact surprenant de ce liquide brûlant s écrasant sur ma peau, excité par la scène, et devinant son amusement.
Mon dos est brûlant, et quelque peu figé, mes frémissements me font ressentir ce cocon fragile mais rigide dans lequel elle m a emprisonné.
Elle s arrête, et s éloigne, toujours sans un mot.
Je devine au son de ses mouvements qu elle cherche quelque chose dans son sac, et repars à la cuisine.
A quoi joue t elle... J ai envie de sa voix, de ses mains, de son regard, de voir son sourire espiègle...
Elle revient près de moi, colle ses jambes et ses pieds contre mes cuisses et mon cul rempli, elle porte des bas.
Ses mains saisissent mes épaules, elle se love contre moi, je sens ses seins frais que je devine nus, une matière plastique sur son ventre et ses cheveux contre la peau chaude de mon dos, elle m attire légèrement en arrière pour m embrasser tendrement dans le cou.
Elle se retire, et toujours en silence, me plaque alors quelque chose d humide et de glacial dans le dos. Je devine un glaçon, sentant maintenant de l eau gelée couler le long de mon flanc.
Elle joue du bout des doigts avec la glace, traçant des sillons, faisant fondre ses petits glaçons sur moi pour apaiser le feu de la cire, et la faire durcir davantage.
La morsure du froid est bien différente, pas moins saisissante, et presque anesthésiante.
S ensuit alors un contact nouveau, quelque chose de plus large qui racle au plus près ma peau endolorie.
Elle gratte légèrement, appuie fermement, poursuit l alternance des sensations pour retirer la cire.
Je devine une spatule, mais elle prononce ses premiers mots "C est un couteau, très aiguisé alors ne bouge pas" et je me concentre pour ne pas trop bouger et réguler ma respiration.
Je suis anxieux, je me sens en danger et entièrement dépendant de ses gestes... J attends en serrant les dents, tendu. Elle passe sur mon dos, mes épaules, mes fesses, mes bras et autour de mon cou, là où il n y a pas eu de cire. J entends son souffle court également, je la suppose concentrée et excitée de me tenir ainsi à sa merci.
De longues minutes plus tard, elle passe un tissu dans mon dos pour m essuyer.
Et enfin, ses mains recouvertes d une huile parfumée. Elle m effleure, me caresse, me masse. Tout en douceur, tout en tendresse, dans l apaisement de ce qu elle vient de me faire endurer.
Elle se blottit alors contre moi, je sens son bassin contre mes fesses qu elle ondule, me faisant sentir mon plug appelant davantage de mouvements, ses seins contre mes reins, et ses cheveux qui cascadent dans mon dos.
Elle retire délicatement ma cagoule, ses doigts me font frissonner de désir.
Elle se redresse et m embrasse l oreille en chuchotant "Bonjour ma chienne... Tu as été très sage, bravo" et je devine un sourire dans son intonation.
Je souris également, tellement heureux de la retrouver et la salue.
Elle vient se placer debout devant moi, et j en profite pour la regarder. Une robe très courte laissant sa grosse poitrine nue, noire en latex qui épouse ses formes au plus près, me laissant voir son sexe et tenant des bas, avec de jolis escarpins noués à la cheville.
Elle lève une jambe pour approcher son pied de ma bouche, se maintenant en équilibre en tenant mon cou, et me réclame des baisers. Puis ma langue. Je m exécute, embrassant ainsi ses pieds, ses chevilles, ses cuisses et l intérieur de ses cuisses. Je vois son sexe ouvert à quelques centimètres de ma langue, il me fait envie.
Je tourne la tête pour m en délecter, mais elle s empart de mon visage pour me repousser et me garder à quelques centimètres d elle.
De son autre main libre, elle glisse ses doigts sur sa fente, se caresse vigoureusement le clitoris tout en maintenant sa prise dans mes cheveux et en gemissant.
Elle insére alors 3 doigts directement dans son sexe, tout en branlant son clitoris de son pouce.
Le spectacle est superbe, je la vois monter dans son plaisir, jouant intensément avec sa chatte devant mes yeux.
Je rêve d y coller ma bouche pour recueillir sur ma langue cette cyprine que je vois couler. Je pense aussi à glisser mes doigts dans son cul, et pourquoi pas ma langue aussi.
M imaginant cette scène, je me sens bander à nouveau et envisage de la faire basculer sur le canapé pour la baiser.
Son souffle s accélére. Elle me tire un peu plus en arrière et me regarde en s interrompant.
Elle insére ses doigts trempés dans ma bouche, au fond de ma gorge, vigoureusement, m arrachant un haut le cœur et commence quelques va et vient.
Yeux dans les yeux, elle vient cracher sur ses doigts et directement sur ma langue. Je deglutis avec peine.
Elle fait couler un filet de salive sur mes lèvres, en me souriant et en me disant quelques mots qui me font durcir davantage.
"tu aimes le goût de ma chatte, ma salope à moi ?" J acquiesce en silence, ce qui a pour effet de lui faire m asséner une gifle plus bruyante que douloureuse, tandis qu elle fourre à nouveau ma bouche de ses doigts. "réponds quand je te parle salope".
J articule péniblement un "Oui Maîtresse, j aime votre chatte, elle me fait envie" non sans bafouiller à cause de la pulpe de ses doigts au fond de ma bouche.
Je me sens bander plus fort, tout excité, j espère secrètement une nouvelle gifle plus forte pour sentir la chaleur cuisante sur ma joue...
Elle me sourit, et m attire vers le canapé, où elle fait basculer mon visage à 90 degrés sur l assise, dos plaqué contre le rebord et fesses au sol, bouche ouverte.
Mes mains toujours attachées entre elles sont désormais sur ma bite que je sens dure, et m imagine pouvoir me branler discrètement ou sur ses ordres. Mon plug est bien maintenu entre mes fesses frémissantes d envie.
Elle se recule et me regarde, m envoyant quelques mots crus supplémentaires qui font grimper encore un peu plus mon excitation.
Elle revient vers moi, prenant soin d appuyer fermement ses escarpins contre ma bite durcie, m arrachant un petit cri et s amusant à alterner la pression.
Elle se met alors à genou sur le bord du canapé, descend légèrement le bassin et m ordonne de tendre ma langue.
Je m execute, et enfin, je rentre en contact très légèrement avec son clitoris.
Elle gemit.
Très délicatement, elle se masturbe sur ma langue, ondulant le bassin à son rythme et son souffle s accélère au gré de ses mouvements.
Son ventre obstrue quelque peu mon nez, et sa chatte emplie ma bouche, je ne peux que constater l effet enivrant sur ma bite aux aguets.
Je rêve de la voir s y asseoir et de s y faire jouir de la même façon.
J effleure ma bite du bout des doigts, elle ne peut pas s en rendre compte et je parviens même à branler mon gland.
D abord doucement, puis j accélère quelque peu, craignant cependant qu elle entende le clitetis du mousqueton ou s aperçoive du léger mouvement de mes épaules.
Je me maintiens proche de l orgasme, tandis que je fais de mon mieux pour maintenir ma langue ferme et joueuse sur sa chatte.
Elle semble très satisfaite, s y frottant, s y pénétrant parfois, et sa cyprine me remplit la bouche peu à peu.
Son ordre tombe "branle toi ma chienne, et plus vite que ça, je veux que tu ejacules sur ta main gauche".
Je ne me fais pas prier, et m amène rapidement à rien de l orgasme, que je retarde encore pour le plaisir de la sentir prendre du plaisir.
Ses glissements s accélèrent, son bassin se fait plus écrasant, elle insére ma langue dans son vagin et se met à branler son clitoris, sans se soucier des coups de ses mains contre mon visage.
Je vais ejaculer, alors, je ralentis, je veux donner le meilleur de moi même pour la sentir jouir devant mes yeux.
Sa main tambourine contre mon front pour frotter vigoureusement son clitoris, je garde les yeux à peine entrouverts pour me maintenir dans ma jouissance, et soudainement, dans un râle de plaisir qui me monte aux oreilles, je sens les spasmes de son sexe qui s ouvre et se ferme sur ma langue, tandis qu elle ralentit.
Je me branle alors violemment quelques secondes, et maintien ma main gauche au dessus de mon gland.
Le sperme jaillit, m arrachant un gémissement fort me contraignant à rentrer ma langue.
Elle ne bouge plus, mais m ecrase encore le visage contre son pubis. Je la devine reprendre doucement ses esprits, et j en fais de même, sans toutefois pouvoir me retenir de lui donner quelques coups de langue, qui la font frissonner mais sans qu elle ne m en empêche.
Quelques minutes plus tard, elle se retire délicatement et viens se mettre à genoux devant moi, me permettant de mobiliser à nouveau ma nuque meurtrie.
Nous echangeons un beau sourire et des yeux pétillants de complicité.
Qu elle est jolie ainsi, son maquillage ayant quelque peu coulé, son front luisant de gouttelettes de sueur et ses cheveux emmêlés...
Je souris à mon ange, mais elle n en a pas fini, je vois la malice briller.
Elle attrape mes mains reliées avec un sourire narquois, et les portent à ma bouche.
Écœuré, j entrouve les lèvres et sens l odeur et le parfum de mon sperme désormais tiède.
Je déteste cela. Visiblement pas elle, puisque elle l etale copieusement en dirigeant mes mains, puis s approche de mon visage et leche brièvement ma semence sur ma joue, amusée.
Elle retire alors le mousqueton de mes mains, et me serre contre elle, me blottit contre sa grosse poitrine dénudée sur laquelle mon sperme se déverse.
Je tente de poser mes mains autour de ses hanches, mais elle me dit non, délicatement, en me serrant plus fort.
Câlin tendresse, je me sens apaisé dans ses bras et profite de sa douceur, bercé comme un enfant.
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