Mon journal très intime - Premier fantasme - histoire érotique

C’est de mémoire le plus vieux fantasme réel dont je me souviens.


C’était il y a quelques années, j’étais une jeune femme qui venait de découvrir le sexe de la façon très particulière et qui commençait à fantasmer sur le monde réel.


Le premier sujet de mes fantasmes était mon professeur de sport. Il faisait dans les 1m85, avait la 40aine passée et avait un corps imposant et musclé. Il nous parlait avec un ton autoritaire et nonchalant qui me faisait pas mal d’effet.


Tout a commencé à prendre de l’ampleur un jour de cours de sport où il nous coachait pour un cours de piscine. Il portait un t-shirt et un maillot de bain qui lui moulait le sexe.


Je ne pouvais pas décrocher mes yeux de ce spectacle, je pouvais deviner les contours de son penis a travers son maillot et je ne pouvais pas m’empêcher de repenser aux images de sexes masculins que je regardais souvent sur un site que je fréquentais souvent. Je me suis mise à rêver éveillée, assise sur mon banc. Je me voyais lui retirer son maillot pour dévoiler son sexe à moitié dur, le prépuce ne lui couvrant qu’une partie du gland. Je me voyais le sentir et le lécher, le mettre en bouche et y pendre un plaisir infini. Sur l’instant, j’étais tellement envoutée qu’une simple demande de sa part et j’aurais pu sans hésiter assouvir tous ses fantasmes, même les plus extrêmes.


Il m’arrivait souvent de rêver de lui la nuit. Un de ces rêves les plus marquants était celui ci, que je refais encore aujourd’hui :
Le professeur m’avait demandé de rester après le cours pour ranger les tapis d’accrosport dans la réserve, je portais pour ce cours un ensemble révélant les bienfaits physiques de l’athlétisme sur mon corps, une brassière et un legging qui laissait visible mes légers abdominaux dont j’étais très fière.


Il me regardait, assis, transporter avec difficulté les tapis, uns a uns. Je pouvais sentir son regard scruter la moindre parcelle de mon corps : mon ventre, mes cuisses et mes fesses lorsque je me baissais pour ramasser pour ramasser les tapis. J’étais rouge de sueur, ma peau brillante par l’effort.
Une fois le travail terminé, nous restions tous les deux dans la réserve. Lui assis sur sa chaise et moi, debout devant lui. Il me complimentait sur mon corps et me demandait, en spécialiste, si il pouvait observer ce dernier de plus près.


Je sentais ses grandes mains parcourir mon tronc, caresser mes côtes et passant les doigts le long de mon ventre pour descendre le long de mes fesses, je perdais pied. Il me demande ensuite de tout lui montrer, donc je retire ma brassière, révélant mes seins et mon legging, sous lequel je n’avais pas de culotte.


Je me tenait donc devant lui, nue et a sa merci. Je pouvais déceler un regard pervers dans ses yeux.


Il m’a d’abord ordonné de m’allonger sur un tapis, puis m’ordonna de mettre mes mains derrière ma tête et d’écarter mes jambes. Sa langue a commencé son parcours sur mon ventre, le longeant de bas en haut, puis de haut en bas. J’adorais mon ventre, il arrivait parfois de me toucher en me regardant prendre des positions le mettant en valeur. Il s’est ensuite mit a lécher les aisselles et descendit jusqu’à mon vagin. Je mouillais énormément pendant qu’il écartait mes lèvres avec ses deux pouces pour loger sa langue contre mon clitoris. Je le voyais me dévorer lentement et passionnément. Je sentais une chaleur monter en moi et une sensation de contraction s’emparer du bas de mon corps. Plus rapidement que je l’aurais pensé, je sens un plaisir incroyable monter en flèche, sur le point d’exploser mais juste avant d’atteindre son apogée, il arrêta et alla s’assoir sur sa chaise, me laissant haletante allongée sur ce tapis de sport.


Le rêve s’arrêtait toujours a ce moment, ou je me relevais pour le voir assis sur sa chaise, son pantalon et son caleçon baissés. Son sexe était haut et dur. Et je n’avais qu’une envie, en être soumise jusqu’à la fin de mes jours.


Ce rêve hantait mes jours et mes nuits, je ne pensais qu’à être soumise a cet homme. Mais je savais que rien de réel ne pouvait se produire, donc je compensais par mon imagination.


Il m’arrivait de m’éclipser de cours pour aller me toucher dans les toilettes, c’était une véritable torture mais j’adorais ça.


Ce fantasme à été la base de beaucoup d’autres : ma fixation sur mon propre ventre, mon envie de soumission, les hommes plus vieux que moi.


Cette habitude de rêver éveillé m’isolait peu a peu, je voulais être seule pour penser a mes fantasmes, je n’écoutait plus en cours et j’allais me coucher tôt… Je savais que c’était mal et il faillait que je me ressaisisse.