Mon Mari m'avait voulue les yeux bandes - histoire érotique

Mon Mari m'avait voulue les yeux bandés



Je suis une jeune femme que l'on dit jolie et sexy, brune aux yeux marrons noisettes, un corps mince et élancé. Bref, je plais à beaucoup de monde. Je suis de celles pour qui le jeu de la séduction est un plaisir. Aussi n'est-ce pas par hasard que je m'habille toujours très court et sexy, avec des talons aiguilles. J'aime sentir les hommes me déshabiller et me dévorer du regard, j'aime les aguicher et les mettres en transes. Je joue remarquablement bien l'innocente que je ne suis nullement. Certains, plus hardis, m'invitent carrément au restaurant ou me proposent ouvertement une escapade à l'hôtel. Et j'ai beau leur dire alors que je suis mariée, cela ne réfrène en rien leurs ardeurs de chevaliers conquérants.

Cependant je suis fidèle à mon mari que j'adore, et je me refuse à faire quoique ce soit sans lui, relations saphiques mises à part. Certes, j'ai parfois plaisir à m'offrir à un autre homme, mais c'est toujours sous le regard complice de mon époux, lui-même participant. Mais j'en reviens à l'aventure sexuelle dont je voulais vous faire part. Je suis une fervente adepte de l'amour en voiture. J'avais fait part à mon mari du fantasme qui était le mien de faire l'amour en voiture avec un autre que lui, alors que lui-même serait au volant en voyeur passif. Je dois avoir un mari merveilleux puisqu'il a tout de suite accepté de réaliser mon fantasme. Restait à dénicher l'heureux élu, et je souhaitais autant que possible un homme jeune et bien monté. Je sais ce qui apporte le plus grand plaisir à une femme (les hommes peu membrés voudront bien m'excuser !).

C'est dans une revue publiant des petites annonces de rencontres que notre choix s'est arrêté sur un jeune homme de 27 ans qui se disait "superbement membré". Curieuse de nature, je ne demandais bien sûr qu'à vérifier ! Mon mari est déjà bien armé, mais pourquoi me priver de temps à autre d'un petit "extra" supérieur à lui ? Fort heureusement, l'intéressé donna une suite favorable à notre courrier en acceptant un rendez-vous pour un samedi soir. L'idée d'avoir une aventure en voiture ne lui déplaisait pas.

Le jour venu, j'avais revêtu une mini robe rouge très sexy avec un large décolleté laissant toute possibilité d'avoir un regard plongeant sur mes seins. Je portais un porte jaretelle en dentelle noir, et des bas à fine résilles et des talons aiguilles rouges de 13cm, le tout sans culotte sous ma robe. J'avoue que j'étais très excitée à l'idée de me laisser caresser par un homme en de telles circonstances et de lui donner du plaisir.

Pour pimenter la situation, mon mari avait décidé que, pour le début, j'aurais les yeux bandés. En sentant cet homme s'asseoir auprès de moi à l'arrière, je ne pus m'empêcher de frémir. Un long frisson me parcourut le dos. Sans même rien dire, il posa sa main sur ma cuisse et entreprit de me caresser lentement, descendant et remontantdu genou à mon sexe déjà humide d'excitation. C'est tout juste si j'entendis le glissement de fermeture à glissière de sa braguette qu'il venait d'ouvrir. Il me prit la main et la posa sur son membre qui me parut énorme.

Apparement, notre inconnus n'avait pas menti et je commençai à branler entre mes doigts la queue d'un véritable étalon ! Je me penchai alors pour prendre en bouche l'objet de mes désirs et entamai une fellation comme j'ai l'habitude de les faire. Son gland me remplissait entièrement la bouche. Je suçais cette queue avec application, faisant courir ma langue de la hampe au gland écarlate. Quelquefois, je descendais jusqu'aux couilles pour les lécher, avant de reprendre le membre en bouche. Je me complaisais à n'être plus qu'une salope. Je sentis sa main sa plaquer contre ma vulve et ses doigts écarter mes petites lèvres.

Mon mari, qui me l'avoua plus tard, observait tout cela dans le rétroviseur central et, parfois, se retournait pour jeter un regard complice à l'homme de passage.

Ses doigts me fouillaient maintenant au plus profond et j'étais trempée. Je voulais cette queue en moi. Aussi, je suppliai l'inconnu de me prendre et de me défoncer la chatte. Ce qu'il fit en m'allongeant sur la banquette et en posant mes jambes sur ses épaules. Je crus défaillir sous le plaisir, tellement était bonne cette sensation de plénitude. Il me limait maintenant avec sa grosse queue en poussant parfois de brusques accélérations. J'étais d'autant plus excitée que mon mari proférait maintenant les paroles que j'aime entendre : " Vas-y. Défonce-la bien, cette salope ! Elle adore ça ! Bourre-la bien ! C'est une grosse pute, qui aime le sexe, ne te gène pas defonce la bien fort !" J'étais aux anges. Sur le point de jouir, je sentais les saccades de son sperme m'envahir. L'orgasme m'envahit à mon tour et me laissa pantelante.

Bien qu'ayant ôté le foulard qui me bandait les yeux depuis un bon moment déjà, je n'ai jamais vraiment vu le visage de cet amant de passage, mais je me souviendrai toujours du plaisir que m'aura procuré sa queue. Il me plairait maintenant de renouveler cette expérience et, comble de bonheur, mon mari cheri est toujours d'accord.


Cathy................