Mon nounours

- Par l'auteur HDS Manouchka -
Récit érotique écrit par Manouchka [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Mon nounours Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Mon nounours
Putain, il était quand même temps qu’il sorte de chez sa compagne, car cela fait quasi une heure que je suis en ville et bien qu’étant arrivée avec 15 heures d’avance, je ne peux m’empêcher de me le faire, mon Nounours, et je tiens à le surprendre dès qu’il sort de chez elle. En fait je la connais de loin, et en gros, elle lui fait honneur à lui, mon amant, qui me ramène à chaque instant passé avec lui à une vie plus normale, en me redécouvrant femme, ce que j’avais quasi oublié depuis quasi 20 ans de vie de mère, mariée à un connard qui n’a eu de cesse de me démolir mentalement.

On je sens qu’il va falloir que je vous explique… rien de bien sorcier, mais j’ai quand même eu le sursaut de courage de planter ce trouduc de mari et par la même occasion mes deux moufflets qui s’abîmaient leur avenir à rater leur études post-secondaires, trop occupé à singer leur paternel dans l’art de brasser du vide, mais sans avoir le même talent que leur géniteur. Sans parler de leur aptitude à mépriser les femmes de cette familles, à un tel point qu’ils sont plus que probablement toujours puceaux. Donc après avoir plaqué tout ce (très) petit monde, je me trouvais tout de même encore moralement au 36ième dessous, mais en transfert direct du 40ième ; et donc je m’en confiais à une de mes rares amies qui avait résisté à l’isolement que mon trouduc d’ex avait tenté d’opérer autour de moi. Ce n’était que ma dixième séance de geignement auprès d’elle et elle avait une patience d’ange à m’écouter. Devant un café, elle m’a parlé d’une soirée chez une amie, où il y aurait un type invité qui avait déjà fait des miracles auprès de deux amies à elle. Bien qu’elle ne soit pas sur d’elle sur que cela puisse se faire, elle m’a tout de même invitée à venir avec elle, mais habillée en jupe longue et quasi pas fardée comme les autres greluches. Sexy, mais sobre, quoi. Je suis loin d’être moche et mon état mental délabré ne se reflète pas (encore) sur mon physique, qui pourtant pourrait être celui d’une mère approchant la 50-aine qui aurait pu s’abandonner encore pire dans les circonstances qui furent les miennes ; donc pas trop mal foutue avec des rides mais pas de rondeurs exagérées. En fait, vestimentairement parlant, j’y vais au culot, pas tirée à quatre épingles ni fardées comme une Sioux sur le sentier de la guerre. Simple, sobre (enfin pour une femme), féminin, pas trop sexy, naturelle et tant pis si ça plait pas !!!

Arrivée à cette soirée semi-mondaine où l’on se flatte et méprise à la fois, l’endroit est peuplé à quasi 3 femmes pour un homme « potable » (définissez « potable » en 100 lignes maxi, un quart d’heure… top chrono…), et donc je me dis que c’est un coup dans l’eau, surtout que cela regorge de pétasso-pouffiases, qui dépensent la moitié de leur semaines à leur physique. Pourtant il y a un mec qui sort du lot, définitivement hors ton niveau vestimentaire, avec sa dégaine d’aventurier. Mais il a l’air quand même à l’aise, du moins il parvient à cacher son ennui d’être là autour d’un public XXXX, bien qu’il sait se complaire volontairement aussi dans le rôle de l’ours mal léché envers les prétentieuses, comme j’ai pu le voir. Je crois qu’il a vu que l’on était plus ou moins sur la même longueur d’onde et s’est amené avec son verre et l’on a discuté, et la connexion fut assez directe… exactement le genre de type à qui je fais confiance et que je sais qu’il ne me décevra pas… et je ne suis pas la seule dans ce cas-là, si j’en juge par les regards portés sur lui par mes compétitrices.

Bien qu’à priori, il ne soit pas vraiment mon genre, il est physiquement pas mal, loin d’être un Apollon, même s’il fait un peu homme des bois avec ses cheveux longs tombant sur ses épaules et dans son dos, mais relativement courts aux oreilles et au-dessus. La barbe de 10 jours lui va comme un gant, ainsi que son T-shirt noir et jeans délavé et baskets noires hautes, qui lui donnent un air entre étudiant et Hell’s Angel. C’est un moitié-Canadien (ce qui confirme un peu son statut d’ours grizzly), et il est scientifique, sans se prendre la tête ou même être universitaire. Même s’il ne parle pas des masses, sa conversation est fascinante et totalement anti-conformiste ; et pourtant ce type écoute comme quasi-personne, pose les bonnes questions, devinant quasi par magie où vous voulez en venir, rendant une jérémiade des trois heure en un condensé de 5 minutes. C’est clair que la plupart des femmes à cette soirée aimeraient bien se le faire, car c’est un homme, un vrai. Pas un frimeur, pas un matuvu et un vantard. Le type qui préfère être plutôt que paraître. Je crois qu’il y en a quelques unes qui se pissent de rage et sont verte de jalousie, car leurs manœuvres se plantent lamentablement, car il n’y en a que pour moi, ce soir-là. Autant vous dire que je passe du -36 au rez-de-chaussée en moins de deux heures de temps, et mon sexe est en feu malgré une présence énorme de fluide qui me troublent et m’embarrasse ; je crois qu’il le sait lui aussi, mais n’en profite pas, ce qui me rend encore plus admirative. Pourtant il a quelqu’un dans sa vie, même s’il est seul ce soir-là. Il n’a aucun geste inconvenant non plus et nous quittons la soirée à quelques minutes d’intervalle pour discuter un peu plus ailleurs. On a fini la nuit dans mon pieu, et j’ai découvert une sexualité dont je n’avais fait que lire, malgré des attouchements maladroits. En effet mon minable d’ex baisait comme un tocard, et c’était une grande partie de mon état mental lamentable avant cette soirée. Lamentable au pieu cette nuit-là, je le fus sans conteste, mais il n’en pipa mot, ni ne s’en soucia pas un instant, ne s’occupant que de moi et mon plaisir, clairement un amateur et connaisseur de femmes. Ce n’est même pas que c’est un dieu de la baise non plus, c’est un mec attentif et généreux, et il a une sorte d’intuition. C’est comme s’il se faisait une mission de faire jouir et orgasmer ses partenaires, comme si cela lui suffisait à son bonheur.

Bref, cela fait quasi un an qu’il est mon amant et qu’il soit avec une autre (surtout qu’elle est superbe et loin d’être conne) ne me dérange pas du tout : c’est même ce que je recherche, car pour l’instant je ne veux pas d’un mec dans ma vie pour essayer de la réglementer. Mais si j’en voulais un, ce serait lui, et de connaître un tant soit peu sa compagne, je sais qu’elle est heureuse comme pas possible, surtout qu’elle n’est pas jalouse non plus. Ils ont tous deux une assurance d’eux-mêmes qui les rendent assez irrésistibles s’ils enclenchent leur turbo séduction ; et abîmer leur union (même s’ils ne vivent pas ensemble) me semblerait odieux. Pourtant je n’hésite pas à m’envoyer ce Nounours dès que je peux, mais comme on habite assez loin l’un de l’autre, nos rencontres sont moyennement longues (des w-e à la campagne), mais assez espacées entre elles. Je crois entre-temps être devenue un bon coup, grâce à son extraordinaire faculté à faire l’amour et la confiance totale en moi-même qu’il a réussi à m’inculquer. Ce type est un don de la nature aux femmes, à un tel point qu’il devrait être remboursé par les mutuelles, s’il était un gigolo. Je n’en suis pas amoureuse pour autant, même s’il n’y en a que pour lui à l’intérieur de mes chairs, du moins pour encore un long moment à venir. Je suis certaine d’être sa seule maîtresse, encore que c’est plutôt lui mon maître. Donc voilà pourquoi j’ai accepté d’avoir un amant qui se partage entre da légitime et se fait une mission de me faire renaître. Je crois qu’il a raison en disant que c’est moi qui ait fait l’essentiel, en me convaincant quasi tout de suite de lui faire confiance et de décider que je prendrais mon pied avec lui, de l’accepter à l’intérieur de mes chairs, alors que je ne croyais plus jamais y permettre un autre, malgré que cela faisait trois ans que j’étais libre, et que ma seule tentative fut désastreuse (un autre genre de tocard, à peine moins con que l’ex).

On arrive à la fin de notre accord tacite et bientôt, nous ne nous verrons probablement, car il estime (enfin nous estimons) que je suis prête pour avoir d’autre relations, que je sais ne seront pas exclusivement hétéro, car il m’a convaincu d’essayer avec d’autres femmes, pour encore parfaire ma découverte de mon propre corps et sexualité. Bon, merci mesdames (et messieurs… mais prenez en de la graine) d’avoir patienté à travers mes explications scabreuses, mais essentielles pour moi. Donc, je suis passé d’un rôle passif au début, acceptant de recevoir quasi tout ce qu’il me faisait sans jamais abuser, à un rôle assez participatif et récemment parfois même un peu initiatrice. C’est d’ailleurs mon intention ce soir et les jours qui viennent, c’est d’être l’entrepreneuse j’ai bien l’intention de le violer (figurativement parlant) et de me mettre dans un rôle dominant, ce que je n’aurais jamais cru possible il y un an.

Donc, en sortant de chez elle, par ce froid de canard, en marchant paisiblement avec son long manteau en cuir sur sa veste de jeans et son chapeau à la Jimi Hendrix, tout de bleu clair et noir vêtu, mon sexe s’enflamme instantanément, car il a une allure folle avec une élégance certaine, qui colle parfaitement à ce qu’il est. Au moment de rentrer dans sa bagnole, il me voit, jette un oeil à la façade du bâtiment duquel il est sorti, puis vient à ma rencontre et m’emmène hors de vue. Nos lèvres s’écrasent et il sent « elle », mais cela m’excite encore plus: je le veux comme tel, le plus vite possible. J’ai mon sac avec moi et on file chez lui, dans son appart, sobre et élégant, masculin mais bien tenu (du moins pour un mec seul) juste à son image, quoi. Une de ses plus grande qualité, c’est sa connaissance musicale (je crois qu’il joue de la guitare) et ses choix musicaux reflètent entièrement sa personnalité, des trucs tout à fait inhabituels (pour ne pas dire franchement obscur), mais parfaitement à propos, et pas juste pour les joutes XDXDX. Avec son nectar secret de thé glacé au bord du lit, un éclairage bougie, il est tout simplement divin, procédant par des caresses et des baisers qui me font sortir de es gonds sexuels. Il me le faut tout de suite, donc je l’empêche d’aller se rincer pour ne pas m’imposer sa légitime et ses restes sur lui, mais je le pousse sur le lit et lui fait comprendre que je le veux comme il est et j’ai une telle soif de sa semence. Cela ne fait pas vingt minutes qu’il a quitté sa compagne et en dégrafant son jeans, je sens qu’elle a laissé son empreinte partout sur son entrejambe, et cela m’excite encore plus de savoir qu’il la fait jouir intensément, elle aussi.

Son sexe est en train de regagner une belle forme, cette belle tige assez épaisse, mais pas trop longue (il est sans doute dans la moyenne) surmonté d’un gland énorme violacé et circoncis et mes mains n’ont plus grand-chose à faire pour qu’il se dresse à travers son slip, duquel il déborde aisément. N’y tenant plus, je promène ma langue sur sa hampe via le tissu, humant son odeur et celle de femelle dessus, et puis je le fais bondir en dehors. Son odeur à elle est divine aussi, et je crois que je n’aurais aucun mal à lui faire minette, elle qui accueille ce superbe pieu de chair, si un jour je devais changer d’avis, mais c’est vraiment hors de question. Donc leurs odeurs respectives se mariant aussi bien, qu’ils ne font un beau couple. C’est clair que ces deux-là sont fait pour s’entendre, donc pas question de foutre le bordel là.
Je sais qu’il aime particulièrement bien que ma langue se promène sur la grosse veine sur la face inférieure de son phallus, alors que mes mains se promènent partout sur ses fesses et son torse. Je prends son gland en bouche (c’est le plus difficile) et le suce/nettoie avidement des jus de son accouplement précédent. CRAVATE ESPAGNOLE

J’ai tellement envie de lui tel qu’il est, que j’hésite à nettoyer sa tige plus loin, car il ne me dérangerait pas d’avoir sa présence à elle au plus profond de mon intimité non plus, mais là, je crois que je déraille, et donc je me contenterai de l’avoir en bouche. J’avance petit à petit son braquemart dans ma bouche et le ressort de temps en temps. Quel bonheur d’avoir la bouche remplie de sa présence bienfaitrice, et bientôt je l’ai au maximum de mes possibilité et salive un maximum, de façon à faire que ma bouche l’emprisonne comme si c’était un vagin avec un organe lingual qui s’entoure autant que possible autour de cet envahisseur bienvenu. Je le fait basculer sur le coté et lui fait écarter les jambes, posant ma tête sur une de ses cuisses encore sportive en guise de coussin. Mais mains se promènent partout sur son corps (sans lui donner la possibilité de réciproquer autre que ses mains sur ma tête), mais aussi dans ma propre intimité qui suinte de jus d’amour. Mes doigts se promènent entre ses fesses et explore un peu sa raie culière et frôle son anneau fripé, une caresse qu’il accepte sans broncher; alors que je sais que une énorme quantité d’homme moins bien mâle refuseraient, par manque ou par peur. C’est un plaisir récent que je me suis découvert, c’est l’envie d’être pénétratrice de ce corps qui me pénètre si souvent, une envie de me hisser à son égal en amour, même si c’est impossible. En amant idéal et attentif, il l’a compris accepte volontiers et écarte ses jambes pour me faciliter encore plus l‘accès. J’abandonne son sexe quelques instants pour promener ma langues sur ses bourses et plus loin sur son périnée, pendant que je malaxe ses fesses comme je peux. Puis, je change de position et me met tête-bêche et lui présente mon sexe et il installe sa tête sur ma cuisse, l’utilisant comme un coussin.

Il commence doucement à s’occuper de mon entrejambe, pendant que moi j’ai dépassé son périnée avec ma langue et j’ai rejoins mes doigts sur son anus. Je me mets à saliver rien qu’à l’idée que je serais la première à venir lui faire une feuille de rose comme il m’en a déjà fait tant, et doucement j’humecte et adoucit les alentours. Mes doigts font des allers retours entre mon sexe en feu et son anneau et petit à petit ma langue entrouvre cet endroit encore vierge de tout intrusion. Je me surprends un peu à effectuer réellement ce dont je ne faisais que fantasmer avant, alors que je n’étais pas sure d’être capable de le faire. Mais sa propreté quasi immaculée (et bientôt enculée) m’encourage à y aller fraîchement, ayant comme référence ce qu’il m’a faitXXX, j’y aventure un index bien lubrifié. Celui-ci peut déjà faire son chemin entre son sphincter, mais j’a rajoute une bonne rasade de salive dans la demi ouverture, ce qui provoque un frisson dans son corps et son orifice s’ouvre pour accepter mon doigt en entier. Je reprends son sexe en bouche, et il me semble qu’il a encore augmenté depuis mes explorations anales. De son coté, il est en train de faire la fête à mon entrejambe comme il le fait si bien, sa langue sur mon petit bouton, deux doigts dans ma fente et déjà deux dans mon fondement.

Je décide de passer à la vitesse supérieure, et j’introduis un deuxième doigts dans son conduits si étroit et cela provoque un électrochoc de plaisir dans son corps et je sens arriver son liquide pré-éjaculatoire venir parfumer mon gosier. Pour calmer le jeu, je laisse sa hampe un instant et prends ses testicules en bouche, et les suçoter une à la fois, pour encore les stimuler et les encourager à me lâcher une grosse livraison. Dès que je le reprends en bouche, j’accélère mes pénétration culières, ce qui le rend fou, et en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, je sens sa semence monter et parcourir la longueur de sa hampe et s’échapper de son gros gland, pour se retrouver dans le fond de mon gosier. Je me fais un devoir de tout garder en bouche et d’avaler ce que je ne peux pas faire la place, vu que son braquemart occupe l’immense majorité de ma bouche. Mes agaceries ont d’ailleurs bien fonctionné, vu que son éjaculation est fort importante, surtout en sachant qu’il y à, peine une heure, il était dans sa légitime.

Quand je lui ai tout pompé, je relâche son chibre et laisse sa semence tapisser entièrement ma bouche, en me délectant de ce goût que j’ai appris à aimer. Je n’ai pas beaucoup le temps de savourer, car il parviens à me faire jouir incontrôlablement et je me retrouve a le repousser pour me recroqueviller sur moi-même en subissant des séries de spasmes qui ont l’air de prendre quelques minutes. Putain, qu’est-ce qu’il est doué !!! On s’allonge l’un près de l’autre et je l’embrasse en le forçant un peu à goûter le fruit de sa propre jouissance. Je remarque qu’il est absolument trempé et je réalise qu’une fois de plus, il m’a fait éjaculer-fontaine, ce qui ne m’étonne même plus. On se repose, se débarbouille les doigts avec des lingettes, on se réhydrate et se raconte toutes sorte de délires sexuels. Il me confirme que je suis bien la première à emprunter sa petite porte, que cela l’a bien plus et surtout à joué un rôle dans son éjaculation monstrueuse dans ma bouche. Il me dit qu’il n’avait jamais pensé à se faire pénétrer et qu’il n’a jamais ressenti d’attraction homo, mais qu’il aurait bien voulu de mon pieu, si j’en avais eu un et se faire remplir le fondement de mon foutre-fontaine. Il considèrerait cela comme un juste retour des choses, mais ne l’envisage qu’avec moi. Je lui dis que je fantasme un peu sordidement de me faire faire encore un autre orifice (agrandir et approfondir mon nombril) dans lequel il pourrait aussi se soulager, que je voudrais que sa semence se mêle avec mon sang et d’autre noirceur du genre. C’est fou le genre de conneries que je sais lui raconter, et que je n’envisagerait même pas en dehors de sa présence.

Après avoir changé la musique et fait un brin de toilette, on se rallonge sur son lit et je l’enjambe et décide de le stimuler avec mes seins plutôt lourds. Je promène mes pointes sur son torse et sur ses joues et lèvres, puis j’enferme son visage entre mes deux seins, je les fais ballotter latéralement de façon à ce qu’ils s’écrasent doucement sur ses joues, puis me relevant un peu à ces que mes tétons dur comme du béton effleurent ses lèvres. Heureusement que le reste de mes seins sont moins dur et plus doux, bien qu’ils soient encore assez fermes. Petit à petit je descends sur son corps et je joue avec son nombril en lui faisant l’amour et lui introduisant mes tétons. C’est dingue ce que je suis inspirée ce soir et mon improvisations sont vraiment réussie. Continuant ma progression, je descend du lit et m’agenouille devant son sexe et je l’agace avec mes rondeurs douces sur sa bite qui se redresse comme XXX. J’emprisonne ce pal de chair dans les miennes et le fait coulisser entre mes globes que j’ai légèrement lubrifiés sur les faces internes, puis je change et l’enfouis sous mon sein gauche que j’écrase un peu pour parfaire mon emprise. Jamais son organe n’aura été aussi près de ma tocante et si je le pouvais, je m’arrangerais bien qu’il s’en rapproche encore; c’est encore un de mes fantasmes bizarres: je rêve que son pieu puisse carrément venir se frotter à ma source de vie.

N’y tenant plus, je regrimpe sur lui et je m’empale sur sa bitte et je m’auto-ramone le con en le chevauchant, d’abord de face puis en me retournant pour lui présenter mon derrière dans toute sa splendeur. Me prenant à demi-mot, il commence à me malaxer les fesses, puis entreprend de redécouvrir mon petit trou d’amour. Ses doigts remplis de salive ont vite fait de me re-lubrifier et il s’occupe de me l’élargir pour pouvoir me l’honorer. Ses efforts ne sont pas évidents, car je continue à le sauter et donc les gestes et intentions sont parfois interrompue, mais il parvient bientôt a glisser trois doigt dedans, ce qui logiquement est suffisant (vu son épaisseur) pour qu’il me sodomise sans me blesser. Rien qu’à l’idée de me faire enculer, je jouis une nouvelle fois, mais je chancelle et je sais que je n’aurais pas la force de m’empaler sur lui par l’arrière. Toujours aussi attentif, il le remarque, me soulève de sa bitte flamboyante et m’allonge sur le ventre sur le matelas. Il se place entre mes jambes et les écarte gentiment et ré-inspecte mon anneau en écartant mes fesses et y déposant de la salive ainsi que sur sa queue. Il me fait écarter moi-même mes fesses et y fourre sa langue aussi profond que possible et me fouille tout les recoins, me faisant chavirer. Quel bonheur de le sentir me faire le truc le plus intime possible entre amant.

Donc, d'un léger coup de rein, il parvient à rentrer le gland de sa verge dans mon petit trou, mais c'est très serré, et je il est un peu contraint d'y aller à la hussarde, mais sans brutalité aucune. D'un grand coup de rein, il force un peu le passage et se retrouve avec son chibre à moitié enfoncé dans mes entrailles, et n'ayant plus trop le choix, il continue jusqu'au bout, provoquant une légère paralysie de mon corps. Une fois arrivé au fond, il ne bouge plus, laissant mon corps s'habituer à cette présence intruse et permettant à mes chairs de s'écarter pour lui faire place, pendant que son sexe reprend un volume plus conséquent, car en rentrant dans un endroit aussi serré, il s'est débarrassé d'une bonne partie de son sang. Nous retrouvons notre état sexuel ensemble et une fois que je suis habituée à sa présence là, il se retire doucement par étape, sortant doucement de ma croupe et, bien que lubrifiée, je sens que ton conduit n'est pas encore fort habitué à sa présence. Il hésite à sortir complètement de moi, et se résout à rajouter un peu de beurre sur et atour de son chibre et dans mon petit trou et celui-ci fondant instantanément (je le sens fondre et couler jusque profond on moi), rendant nos chairs vraiment très glissantes. Il se renfonce en moi de manière facile et déconcertante et ceci sans provoquer la moindre douleur chez moi et commence à m'arracher des gémissements de bonheur, qui le rassurent et l'invitent à continuer.

Je suis maintenant de nouveau complètement abandonnée à lui comme avant et offerte à tous ses désirs de mâle et le fait de voir ceci renforce son érection encore. il glisse et savoure lentement chaque pénétration centimètre par centimètre dans la chaleur, la douceur et la moiteur de mes entrailles; tout en me remerciant de mon accueil si généreux et confiant dans un endroit où jamais un autre que lui n'est jamais allé. Je parviens à renter des doigts dans ma mimine et instinctivement je tâte la paroi arrière pour sentir mon envahisseur bienvenu, sentant les allées et venues de sa hampe et surtout son gland énorme. J’en profite pour lui faire des petites agaceries à travers mes chairs, ce qui le rend dingue et l’encourage encore. Une ou deux fois, il s’arrête encore pour éviter de ne juter trop vite, et lors de la reprise, j’en profite pour augmenter son plaisir, cette fois-ci en contractant tout mes muscles pelvien pour rendre plus difficile ses reculs et les relâchant pour ses pénétrations.

Ceci ne fait que renforcer ses ardeurs et il me pénètre l'anus de plus en plus vigoureusement et profondément et se retire franchement, à un tel point que j'ai un peu peur qu’il retourne mes chairs comme une chaussette, mais tout va bien (il glisse extraordinairement bien dans mon conduit) et il continue avec tendresse pendant encore un certain temps. Il ressort entièrement de ma croupe une ou deux fois, pour contempler l'orifice béant et surtout me permettre de reprendre composition, avant de replonger doucement dans ma plus-si-petite porte et puis sentant sa sève monter dans mon sexe, il s'enfonce comme jamais dans mes entrailles et bientôt lâche des giclées de semence dans mes intestins. Encore une ou deux pénétrations dans mon colon à chaque fois ponctuée d'une giclée et il se vide totalement en toi, pendant que mon corps joui dans des soubresauts qui doivent en dire long sur la force de tes orgasmes successifs. Mazette, quelle enculade!!

Exténué, il essaie de ne pas s'écrouler sur moi, qui es à moitié dans le cirage, et il nous laisse glisser sur le coté en m’entraînant par le bassin, son dard encore fiché dans mes entrailles. Nous passons quelques minutes à récupérer, lui toujours sans déculer, car son pieu est vraiment trop bien dans mon fondement, et je voudrais qu'il y reste le plus longtemps possible. Mais suite à son flétrissement partiel, mes chairs finissent par regagner le terrain qu'elles lui avaient laissé si gentiment conquérir. il finis par sortir de moi et il en profite pour mettre des baisers partout sur ma croupe et jeter un œil dans mes entrailles qui se referment et qui demain auront repris leurs formes habituelles et tout sera à recommencer. Je suis heureuse que rien ne s’échappe de mon anus, car j’espère bien garder sa semence en moi suffisamment longtemps, pour qu’elle se mélange avec celles que j’ai avalée il y une heure. J’ai donc accomplis les 2/3 de mon envie et j’ai vingt heures pour le faire jouir dans ma grotte officielle.

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Texte coquin : Mon nounours
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