Mon petit Jules - histoire érotique

J’ai 40 ans, je fais souvent des extras avec des traiteurs pour arrondir les fins de mois, ce soir là je suis de service pour un mariage. En plein vin d’honneur, je traverse la foule des invités, plateau à la main quand j’entends « tiens JC, comment vas-tu depuis le temps? » je me retourne et reconnais un gars avec qui j’étais au lycée, nous parlons un peu de tout et de rien quand il me présente son épouse et son fils. Il est très fier de ce beau jeune homme de 20 ans et il y a de quoi. Le teint hâlé, des yeux noisettes qui vous transpercent et un superbe sourire. « Il a un succès fou, elles sont toutes à ses pieds, s’amuse t il. » « Tu m’étonnes, il est beau comme un dieu avec sa gueule d’amour, lui répondis je » je n’arrive pas à décrocher mes yeux des siens, il me fixe souriant. Ne voulant pas créer de gêne, je finis par m’excuser et reprend mon service. Lorsque je le croise à nouveau, nos regards se cherchent encore, mais qu’est-ce qu’il est beau!!! Machinalement je me mord le coin de la lèvre inférieure, il le remarque et me répond par un clin d’œil, je crois rêver. La soirée se poursuit avec le repas, je fais tout mon possible pour le servir et à chaque fois le frôler, nos regards complices, les sourires échauffent mon esprit. Pour me calmer, je m’écarte un peu de la fête pour aller fumer une cigarette, quelle surprise de voir le beau gosse s’approcher de moi. « Tu as besoin de quelque chose? Je fais juste une pause et je reviens » il sourit et me répond « non, besoin de rien, mais j’avais envie, même si j’ai un peu peur de ta réponse, j’avais envie de te demander quelque chose » « tu n’as pas à avoir peur, dis moi » « je me suis fait des idées ou, je te plais? Enfin en tant que mec je veux dire » « tu es très beau et tu le sais, mais je crois que la vraie question c’est de savoir si j’ai envie de toi non?  Alors pour être honnête oui, j’ai très envie de t’embrasser là de suite » joignant le geste à la parole, je m’approche de lui et pose mes lèvres contre les siennes. Il me rend mon baiser, et entrouvre la bouche, ma langue trouve immédiatement le contact de la sienne et nous nous embrassons langoureusement. « C’est la première fois que j’embrasse un mec » me dit il, « moi aussi j’ai envie de toi, mais je ne l’ai jamais fait avant entre hommes » «  ne t’inquiète pas, si tu en as envie ce sera avec plaisir que je serai ta première fois » devant repartir travailler, je lui dicte mon numéro de téléphone en lui précisant qu’il peut m’appeler quand il veut. Je repars servir et toute la soirée nos regards complices et nos sourires continuent jusqu’à ce que je finisse et rentre chez moi. Deux jours passent sans nouvelles et alors que je finis par penser que c’était une affaire sans suite, mon téléphone sonne, affichant un numéro que je ne connais pas. « Allo » « allo? Salut, c’est Jules » «  Jules? » « oui, Jules tu sais, au mariage » « ah oui excuse-moi, tu vas bien? » « oui ça va, je me demandais si on pouvait se voir un de ces quatre… ou aujourd’hui si tu es dispos? » « oui bien sûr, aujourd’hui je n’ai rien de prévu, tu peux venir chez moi si tu veux » je lui donne l’adresse et 20 minutes après il arrive enfin à la porte de mon appartement. Je lui ouvre et un peu gênés, nous ne savons pas si nous devons nous embrasser, nous serrer la main, finalement je lui fais la bise et l’invite à entrer. « je suis un peu timide, excuse moi, comme je t’ai dit c’est la première fois que je rencontre un mec » je m’approche de lui et l’embrasse à pleine bouche, nos mains commencent l’exploration du corps de l’autre, j’ôte son teeshirt ainsi que le mien, je l’embrasse dans le cou, descend sur ses tétons en ouvrant son pantalon, il fait de même avec le mien et sans rien dire s’agenouille devant moi. Je sors ma queue déjà bien dure de mon boxer et la présente devant son visage, il l’embrasse et commence à la lécher. Je passe ma main dans ses cheveux et le guide pour qu’il la prenne en bouche, timidement il se met à me sucer, passant sa langue sous mon gland, essayant tant bien que mal à la prendre plus profond. C’est super excitant de voir ce minet me manger la bite, je ne veux pas jouir trop vite, alors je le relève, l’embrasse et fais tomber son pantalon à ses chevilles. Je le guide vers le canapé où je l’allonge, je commence à le sucer à mon tour, puis je descend sous ses couilles et en écartant ses fesses passe ma langue sur son trou. Il se met à gémir bruyamment, encouragé par sa réaction ma langue force doucement les sphincters et entre en lui pendant que je caresse sa queue. Il a l’air de vraiment prendre son pied, j’insère mon index dans son cul, mais là il se redresse et me dit « la langue ça va, mais j’aime pas trop les doigts » voyant mon air surpris, il enchaîne « c’est très bon quand tu me lèches, mais pour être honnête, je n’ai pas arrêté de fantasmer sur toi en train de me sucer et ton joli petit cul pendant toute la soirée » rassuré par cet aveu, je me remet à le pomper, je lèche son gland, ses couilles, son cul, tellement qu’il est obligé de me demander d’arrêter pour ne pas jouir si vite. Je me relève et finis d’ôter mon pantalon, là il me prend par les hanches et me retourne pour faire face à mon cul, j’écarte les jambes et il se met à me lécher la rondelle en me serrant les couilles. Fou de désir, j’appuie mes fesses contre son visage pour qu’il me mange en profondeur. Au bout de quelques minutes je me tord de plaisir sous ses assauts, il se relève derrière moi et me tourne face au canapé. Comprenant qu’il veut une levrette, je m’agenouille face au dossier et cambre mon bassin au maximum. Il ne résiste pas à l’invitation et force mon orifice sans même prendre la peine de se lubrifier la bite, sa queue vient cogner au fond de mon ventre et avant d’avoir eu le temps de savourer il se met à me baiser furieusement en me maintenant par les hanches. Bloqué par le dossier du canapé, je ne peux que subir les coups de reins de ce petit effronté, je gueule comme une chienne tellement j’ai l’impression qu’il va m’ouvrir le ventre, quand tout à coup il s’arrête net et me demande d’un ton paniqué s’il peut jouir en moi. « Bien sûr que tu peux » et alors qu’il appuie au plus profond de moi, je sent les saccades de foutre qui m’inondent le cul. Je reste immobile le temps qu’il se vide, je passe la main entre ses cuisses pour caresser ses bourses, quand il se retire j’ai l’impression que mon cul n’est plus qu’un trou béant. Je m’écroule sur le canapé, Jules vient s’allonger contre moi, nous nous embrassons et nous caressons tendrement. Au bout de quelques minutes, nous allons nous doucher ensemble, je commence par savonner son corps, mes mains glissent sur son dos, ses fesses si joliment galbées, je m’accroupis pour masser ses jambes quand il se retourne, présentant devant mon visage, sa queue fièrement dressée. La fougue de la jeunesse!