Mon petit secret - 3 (je suis à toi)
Récit érotique écrit par OPLLDI [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-04-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Mon petit secret - 3 (je suis à toi)
Des mois ce sont passés depuis ma rencontre avec cet italien, que nous appellerons Giovanni en toute discrétion. Il a chamboulé ma vie sexuelle en satisfaisant mon appétit jusqu’alors inassouvi. Le problème, avec ces histoires de confinement et de fermeture des frontières, c’est que le temps parait très long entre deux rencontres. Heureusement, lorsque nous nous retrouvons, la baise est si intense que ça nous calme pour un bon petit moment ensuite… Aujourd’hui, j’ai tellement envie de lui que je décide de me remettre à raconter notre histoire pour me rappeler de tous les détails, de revoir précisément les images dans ma tête, pour jouir et peut être faire jouir.
Je ne suis plus aussi innocente qu’avant. Je n’écoute plus les histoires de cul de mes copines avec envie, j’ai quitté mon copain et je me sens secrètement privilégiée d’avoir été choisi comme objet du désir. J’avais déjà une faim terrible avant de le rencontrer, mais maintenant mon énergie sexuelle est décuplée. Je suis chaude et je ne peux pas m’empêcher de l’exprimer, toutefois de manière subtile. Je n’ai ni besoin de parler, ni besoin de m’exhiber, je transpire juste la sensualité. J’adore attiser le désir chez les hommes, jouer avec eux tout en me retirant au dernier moment… Je me défile toute mouillée certes mais une chose est sure aujourd’hui : je Lui appartiens.
C’est un sentiment étrange qui s’installe au fur à mesure de nos rencontres et de nos jeux. Je n’ai plus envie de me faire baiser par un homme qui ne sait pas aimer. Je ne veux que lui. Et le soir, sous ma couette, lorsque je l’imagine au lit avec une de ses amies, ça ne fait que m’exciter. Moi, jeune fille autonome et indépendante, me voici devenue la soumise, l’obéissante.
Avant de le retrouver, je m’épile intégralement pour répondre à sa demande. Jamais je n’aurais accepté de faire une chose pareil avant. Découvrir la sensation de sa bouche dévorant chaque cm carré de mon sexe imberbe a été une incroyable découverte. Puis j’enfile des bas noirs délicats avec la jarretière en dentelle parce qu’il adore, et une robe, pas de culotte… mais je porte un long manteau pour éviter qu’un coup de vent me dévoile aux yeux de tous.
Dernièrement, je suis allée lui rendre visite à Venise, les retrouvailles sont extraordinaires et pleines de tension.
Je vois dans ses yeux briller une lueur sauvage que je connais bien maintenant. J’ai rapidement la bouche sèche, les joues en feu, les tétons qui durcissent, je sens déjà que je ne suis plus sous mon propre contrôle. Je suis son animal, sa femelle en chaleur. Nous nous reconnaissons.
Il glisse discrètement une main le long de ma cuisse, dans la rue, pour vérifier mon code vestimentaire… Ce qui ne fait qu’empirer mon état. Mais nous n’allons pas tout de suite chez lui. Il souhaite m’emmener manger chez son ami. Je suis stupéfaite de son self contrôle, mais je crois qu’il a une idée en tête bien précise.
Est-ce qu’il veut faire monter la tension ? Ou est ce qu’il veut me partager ? Il m’a déjà raconté certaines de ces expériences sexuelles et je sais qu’il aime bien partager ses conquêtes avec un ou deux bons amis. Lorsque j’avais écouté son histoire, où il avait bandé les yeux de cette fille, l’avait attachée nue aux quatre coins de la table, et avait fait venir son ami pour lui faire profiter, j’avais été si excitée que nous avions fait l’amour comme des acharnés. J’avais eu un de ses intenses orgasmes que je ne connaissais pas avant.
Je suis toute troublée, je ne sais pas si je suis prête à m’offrir à un autre. Il voit que je suis préoccupée, il me prend simplement le menton, me presse ses lèvres sur ma bouche, et me demande de lui faire confiance.
Arrivés chez notre hôte, une jolie fille ouvre la porte. La femme de son ami. Je suis déjà plus soulagée… Il s’avère que c’est une excellente cuisinière. Nous buvons pas mal de vin, mon trouble s’est envolé, même si le feu me monte aux joues à plusieurs reprises lorsqu’il me fait du pied sous la table ou me caresse la cuisse d’un air faussement distrait. Je sens que ce joli couple nous crame fortement, surement car ce sont des proches de mon amant, et qu’ils ont l’air de vraiment bien le connaître… La tension monte encore et je semble à être la seule à me sentir gênée. C’est vrai que d’habitude, dans ce genre de repas correspondant à une certaine tranche d’âge, je suis davantage « la fille de » plutôt que la maîtresse. Ils sont quand même extraordinairement gentils, et je sens que la véritable motivation de Giovanni était de me présenter à eux. Il semble être vraiment heureux que je sois là, et je suis secrètement satisfaite d’être présentée comme un joli trophée.
Il est l’heure de rentrer chez lui. Je garde dans la tête cette idée qu’il puisse m’offrir à un de ses amis… Je devrais lui en parler plus tard. J’ai hâte de retrouver ce bel appartement, et de répondre à son envie de me prendre dans chaque pièce et sous tous les angles.
Oh Venise… Le cadre est incroyable, nous prenons le bateau agrippés comme des amoureux transits. Ensuite, il faut marcher dans cette petite rue, puis monter trois étages.
Qu’est ce qu’il fait chaud tout d’un coup ! Je fais glisser mon manteau et commence à monter les escaliers tandis qu’il m’emboîte le pas.
D’une main je le sens attraper ma robe et la remonter jusqu’aux reins, de l’autre main je le vois commencer à filmer mes fesses nues et offertes. Je ne m’arrête pas, je ne me laisse pas distraire bien que je sens qu’entre mes jambes coule déjà mon excitation. Il grogne des mots en italien, je reconnais certains mots qui sonnent familiers maintenant. Je comprends que je suis sa chose, sa cochonne, que je suis bien obéissante et que je lui appartiens. Nous sommes presque arrivés à son étage mais déjà il glisse deux doigts entre mes cuisses tout en continuant à filmer. Je me retiens de gémir, je prie pour qu’aucun voisin ne sorte à ce moment là. Je suis un peu tendue par ce stress, il arrête la vidéo, cherche ses clés d’une main, empoigne fermement ma fesse de l’autre. Il me dit dans l’oreille « ça c’est à moi ». Rentrés dans l’appartement, il dépose ma valise et me dit que je suis ici chez moi. Je n’en peux plus, je veux qu’il me prenne tout de suite.
Je m’avance pour lui donner un baiser et me colle contre lui. Je me recule et enlève ma robe pour me retrouver presque nue, seulement vêtue de mes bas. Il s’en mort les lèvres. Je veux qu’il perde le contrôle face à moi. Il s’assoit sur le canapé et me demande de faire un tour sur moi même. Je peux voir que son pantalon est complètement déformé, je lui dis que son sexe m’a manqué. Je lui fais face, les jambes entre-ouverte et je me caresse doucement en le regardant droit dans les yeux. Il me tire contre lui et prend mes seins dans sa bouche. Il commence par me mordre un téton, puis le lèche, puis passe à l’autre en commençant à caresser mon corps avec ses mains. Son toucher est incroyable, ma chatte est brulante, il me caresse de partout en évitant soigneusement mon sexe qu’il souhaite garder pour sa bouche. Il adore avaler ma cyprine, je suis son dessert préféré… Mais s’il ne me touche pas rapidement je vais imploser.
Je lui demande de m’aider à enlever son pantalon, je délivre son sexe gonflé de désir et je le prends directement dans ma bouche comme si je n’avais pas mangé depuis un long moment. Je suis à genoux devant lui et il recommence à me parler de comment il aime être mon patron. Je sais à quel point il est excité quand je sens qu’il commence à faire des aller-retours dans ma bouche, de plus en plus rapides, en me tenant fermement par les cheveux. Je resserre ma bouche sur sa queue, je fais passer ma langue sur son gland… Ce sentiment d’être possédée me rends carrément folle, je me retire, reprends ma respiration et glisse une main sur mon clito. Puis je me remets à le sucer, fermement décidée à lui montrer toute ma bonne volonté, jusqu’à en être fatiguée. J’adore avoir la bouche complètement investie par son sexe, cela met fin à deux longs mois d’attentes et de fantasmes…Il me relève, passe ses doigts sur ma bouche, et m’installe sur son canapé. Le contraste du cuir glacé sur ma peau brulante est intense, mais lorsqu’il ouvre grand mes jambes et glisse enfin sa langue dans ma fente en m’agrippant les fesses je suis déjà en train de gémir. Il se débrouille d’une main de maître. Il passe sa langue de partout dans mon intimité. La caresse est à se tordre de plaisir surtout lorsqu’il arrive dans des endroits peu explorés comme le creux de l’aisne ou la limite entre mon sexe et mes cuisses. Il introduit doucement son majeur tout en rejoignant mon clitoris avec sa bouche, et doucement le mordille, puis le suce puis enfin l’aspire. Il sait que je réagit fort à cette manoeuvre. Et je commence à parler pour l’encourager, pour lui dire de manière saccadée, surtout ne t’arrête pas, encore, encore, encore. Il m’ordonne de sortir ma langue et de respirer bouche ouverte, haletante, pour que je devienne encore plus excitée. Je sens que ses doigts ne suffisent plus à me remplir, je le supplie de me baiser maintenant dans un anglais que je maîtrise maintenant plus que jamais. « oh my god please, fuck me, please baby fuck me ! »
Il n’attendait que ça. Il me retourne immédiatement, me met à quatre pattes et enfonce sans attente son sexe dans le mien, en lâchant un râle de plaisir. Je me cambre et écarte mes jambes pour le recevoir entièrement, profondément. Le plaisir habite mon bassin, j’accompagne son mouvement en respirant par la bouche, toujours la langue sortie. Je dois lui montrer comme je l’écoute, la langue bien pendue… Il recommence à parler en italien, et je comprends qu’il répète que je suis « trop ». Il me baise fort, sans s’arrêter, parfois en me tirant encore plus les cheveux en arrière, ce qui me fait cambrer au maximum. Dans cette position de contrainte, je recommence à ressentir sa possession. ça me fait perdre la tête, je lui dis « je suis à toi ». Je sens qu’il perd la tête lui aussi, je sens son excitation de plus en plus forte, je sens ces mains qui agrippent ensuite mon cul, puis seulement une main, pendant que la deuxième me claque la fesse, une fois, deux fois, trois fois, de plus en plus fort parce que j’en redemande, et je te me tends et m’offre encore davantage… Puis je sens son pouce s’enfoncer dans mon cul et tout ce mélange intense de sensations vient accélérer la montée du plaisir. Il fait des va et vient avec sa main, sa queue et me demande de me masturber en même temps. Je me touche jusqu’à ne plus savoir ce que je sens et où je le sens …. Je laisse juste monter au travers de mon corps des vagues et des vagues de plaisir qui m’arrachent un long râle. Cet orgasme est si fort, que l’émotion qui en découle est vraiment incontrôlable, je suis en sanglots, tremblante, complètement HS. Et au lieu de me laisser dans cet état, un peu perdue, il me prend dans ses bras et me serre fort contre lui.
Je crois qu’on est beaucoup trop intense, mais en réalité j’adore ça.
Plus tard, une fois remise de mes émotions, il me dira qu’il ne pensait pas vivre cela avec moi. Mais si je suis encore là, que j’ai confiance en lui et que j’aime sa possession, nous allons pouvoir nous amuser et nous explorer plus amplement.
J’ai 100% confiance en lui et je ne réfléchirais pas une seconde de plus avant de m’offrir à nouveau.
Je ne suis plus aussi innocente qu’avant. Je n’écoute plus les histoires de cul de mes copines avec envie, j’ai quitté mon copain et je me sens secrètement privilégiée d’avoir été choisi comme objet du désir. J’avais déjà une faim terrible avant de le rencontrer, mais maintenant mon énergie sexuelle est décuplée. Je suis chaude et je ne peux pas m’empêcher de l’exprimer, toutefois de manière subtile. Je n’ai ni besoin de parler, ni besoin de m’exhiber, je transpire juste la sensualité. J’adore attiser le désir chez les hommes, jouer avec eux tout en me retirant au dernier moment… Je me défile toute mouillée certes mais une chose est sure aujourd’hui : je Lui appartiens.
C’est un sentiment étrange qui s’installe au fur à mesure de nos rencontres et de nos jeux. Je n’ai plus envie de me faire baiser par un homme qui ne sait pas aimer. Je ne veux que lui. Et le soir, sous ma couette, lorsque je l’imagine au lit avec une de ses amies, ça ne fait que m’exciter. Moi, jeune fille autonome et indépendante, me voici devenue la soumise, l’obéissante.
Avant de le retrouver, je m’épile intégralement pour répondre à sa demande. Jamais je n’aurais accepté de faire une chose pareil avant. Découvrir la sensation de sa bouche dévorant chaque cm carré de mon sexe imberbe a été une incroyable découverte. Puis j’enfile des bas noirs délicats avec la jarretière en dentelle parce qu’il adore, et une robe, pas de culotte… mais je porte un long manteau pour éviter qu’un coup de vent me dévoile aux yeux de tous.
Dernièrement, je suis allée lui rendre visite à Venise, les retrouvailles sont extraordinaires et pleines de tension.
Je vois dans ses yeux briller une lueur sauvage que je connais bien maintenant. J’ai rapidement la bouche sèche, les joues en feu, les tétons qui durcissent, je sens déjà que je ne suis plus sous mon propre contrôle. Je suis son animal, sa femelle en chaleur. Nous nous reconnaissons.
Il glisse discrètement une main le long de ma cuisse, dans la rue, pour vérifier mon code vestimentaire… Ce qui ne fait qu’empirer mon état. Mais nous n’allons pas tout de suite chez lui. Il souhaite m’emmener manger chez son ami. Je suis stupéfaite de son self contrôle, mais je crois qu’il a une idée en tête bien précise.
Est-ce qu’il veut faire monter la tension ? Ou est ce qu’il veut me partager ? Il m’a déjà raconté certaines de ces expériences sexuelles et je sais qu’il aime bien partager ses conquêtes avec un ou deux bons amis. Lorsque j’avais écouté son histoire, où il avait bandé les yeux de cette fille, l’avait attachée nue aux quatre coins de la table, et avait fait venir son ami pour lui faire profiter, j’avais été si excitée que nous avions fait l’amour comme des acharnés. J’avais eu un de ses intenses orgasmes que je ne connaissais pas avant.
Je suis toute troublée, je ne sais pas si je suis prête à m’offrir à un autre. Il voit que je suis préoccupée, il me prend simplement le menton, me presse ses lèvres sur ma bouche, et me demande de lui faire confiance.
Arrivés chez notre hôte, une jolie fille ouvre la porte. La femme de son ami. Je suis déjà plus soulagée… Il s’avère que c’est une excellente cuisinière. Nous buvons pas mal de vin, mon trouble s’est envolé, même si le feu me monte aux joues à plusieurs reprises lorsqu’il me fait du pied sous la table ou me caresse la cuisse d’un air faussement distrait. Je sens que ce joli couple nous crame fortement, surement car ce sont des proches de mon amant, et qu’ils ont l’air de vraiment bien le connaître… La tension monte encore et je semble à être la seule à me sentir gênée. C’est vrai que d’habitude, dans ce genre de repas correspondant à une certaine tranche d’âge, je suis davantage « la fille de » plutôt que la maîtresse. Ils sont quand même extraordinairement gentils, et je sens que la véritable motivation de Giovanni était de me présenter à eux. Il semble être vraiment heureux que je sois là, et je suis secrètement satisfaite d’être présentée comme un joli trophée.
Il est l’heure de rentrer chez lui. Je garde dans la tête cette idée qu’il puisse m’offrir à un de ses amis… Je devrais lui en parler plus tard. J’ai hâte de retrouver ce bel appartement, et de répondre à son envie de me prendre dans chaque pièce et sous tous les angles.
Oh Venise… Le cadre est incroyable, nous prenons le bateau agrippés comme des amoureux transits. Ensuite, il faut marcher dans cette petite rue, puis monter trois étages.
Qu’est ce qu’il fait chaud tout d’un coup ! Je fais glisser mon manteau et commence à monter les escaliers tandis qu’il m’emboîte le pas.
D’une main je le sens attraper ma robe et la remonter jusqu’aux reins, de l’autre main je le vois commencer à filmer mes fesses nues et offertes. Je ne m’arrête pas, je ne me laisse pas distraire bien que je sens qu’entre mes jambes coule déjà mon excitation. Il grogne des mots en italien, je reconnais certains mots qui sonnent familiers maintenant. Je comprends que je suis sa chose, sa cochonne, que je suis bien obéissante et que je lui appartiens. Nous sommes presque arrivés à son étage mais déjà il glisse deux doigts entre mes cuisses tout en continuant à filmer. Je me retiens de gémir, je prie pour qu’aucun voisin ne sorte à ce moment là. Je suis un peu tendue par ce stress, il arrête la vidéo, cherche ses clés d’une main, empoigne fermement ma fesse de l’autre. Il me dit dans l’oreille « ça c’est à moi ». Rentrés dans l’appartement, il dépose ma valise et me dit que je suis ici chez moi. Je n’en peux plus, je veux qu’il me prenne tout de suite.
Je m’avance pour lui donner un baiser et me colle contre lui. Je me recule et enlève ma robe pour me retrouver presque nue, seulement vêtue de mes bas. Il s’en mort les lèvres. Je veux qu’il perde le contrôle face à moi. Il s’assoit sur le canapé et me demande de faire un tour sur moi même. Je peux voir que son pantalon est complètement déformé, je lui dis que son sexe m’a manqué. Je lui fais face, les jambes entre-ouverte et je me caresse doucement en le regardant droit dans les yeux. Il me tire contre lui et prend mes seins dans sa bouche. Il commence par me mordre un téton, puis le lèche, puis passe à l’autre en commençant à caresser mon corps avec ses mains. Son toucher est incroyable, ma chatte est brulante, il me caresse de partout en évitant soigneusement mon sexe qu’il souhaite garder pour sa bouche. Il adore avaler ma cyprine, je suis son dessert préféré… Mais s’il ne me touche pas rapidement je vais imploser.
Je lui demande de m’aider à enlever son pantalon, je délivre son sexe gonflé de désir et je le prends directement dans ma bouche comme si je n’avais pas mangé depuis un long moment. Je suis à genoux devant lui et il recommence à me parler de comment il aime être mon patron. Je sais à quel point il est excité quand je sens qu’il commence à faire des aller-retours dans ma bouche, de plus en plus rapides, en me tenant fermement par les cheveux. Je resserre ma bouche sur sa queue, je fais passer ma langue sur son gland… Ce sentiment d’être possédée me rends carrément folle, je me retire, reprends ma respiration et glisse une main sur mon clito. Puis je me remets à le sucer, fermement décidée à lui montrer toute ma bonne volonté, jusqu’à en être fatiguée. J’adore avoir la bouche complètement investie par son sexe, cela met fin à deux longs mois d’attentes et de fantasmes…Il me relève, passe ses doigts sur ma bouche, et m’installe sur son canapé. Le contraste du cuir glacé sur ma peau brulante est intense, mais lorsqu’il ouvre grand mes jambes et glisse enfin sa langue dans ma fente en m’agrippant les fesses je suis déjà en train de gémir. Il se débrouille d’une main de maître. Il passe sa langue de partout dans mon intimité. La caresse est à se tordre de plaisir surtout lorsqu’il arrive dans des endroits peu explorés comme le creux de l’aisne ou la limite entre mon sexe et mes cuisses. Il introduit doucement son majeur tout en rejoignant mon clitoris avec sa bouche, et doucement le mordille, puis le suce puis enfin l’aspire. Il sait que je réagit fort à cette manoeuvre. Et je commence à parler pour l’encourager, pour lui dire de manière saccadée, surtout ne t’arrête pas, encore, encore, encore. Il m’ordonne de sortir ma langue et de respirer bouche ouverte, haletante, pour que je devienne encore plus excitée. Je sens que ses doigts ne suffisent plus à me remplir, je le supplie de me baiser maintenant dans un anglais que je maîtrise maintenant plus que jamais. « oh my god please, fuck me, please baby fuck me ! »
Il n’attendait que ça. Il me retourne immédiatement, me met à quatre pattes et enfonce sans attente son sexe dans le mien, en lâchant un râle de plaisir. Je me cambre et écarte mes jambes pour le recevoir entièrement, profondément. Le plaisir habite mon bassin, j’accompagne son mouvement en respirant par la bouche, toujours la langue sortie. Je dois lui montrer comme je l’écoute, la langue bien pendue… Il recommence à parler en italien, et je comprends qu’il répète que je suis « trop ». Il me baise fort, sans s’arrêter, parfois en me tirant encore plus les cheveux en arrière, ce qui me fait cambrer au maximum. Dans cette position de contrainte, je recommence à ressentir sa possession. ça me fait perdre la tête, je lui dis « je suis à toi ». Je sens qu’il perd la tête lui aussi, je sens son excitation de plus en plus forte, je sens ces mains qui agrippent ensuite mon cul, puis seulement une main, pendant que la deuxième me claque la fesse, une fois, deux fois, trois fois, de plus en plus fort parce que j’en redemande, et je te me tends et m’offre encore davantage… Puis je sens son pouce s’enfoncer dans mon cul et tout ce mélange intense de sensations vient accélérer la montée du plaisir. Il fait des va et vient avec sa main, sa queue et me demande de me masturber en même temps. Je me touche jusqu’à ne plus savoir ce que je sens et où je le sens …. Je laisse juste monter au travers de mon corps des vagues et des vagues de plaisir qui m’arrachent un long râle. Cet orgasme est si fort, que l’émotion qui en découle est vraiment incontrôlable, je suis en sanglots, tremblante, complètement HS. Et au lieu de me laisser dans cet état, un peu perdue, il me prend dans ses bras et me serre fort contre lui.
Je crois qu’on est beaucoup trop intense, mais en réalité j’adore ça.
Plus tard, une fois remise de mes émotions, il me dira qu’il ne pensait pas vivre cela avec moi. Mais si je suis encore là, que j’ai confiance en lui et que j’aime sa possession, nous allons pouvoir nous amuser et nous explorer plus amplement.
J’ai 100% confiance en lui et je ne réfléchirais pas une seconde de plus avant de m’offrir à nouveau.
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