mon plus grand fantasme
Récit érotique écrit par Sandy pleinedevie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-01-2007 dans la catégorie Plus on est
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mon plus grand fantasme
Je m’appelle Sandy, j’ai 20 ans et je fais des études au Canada. Je fais 1m71 pour 67 kilos et j’ai une poitrine ferme, de taille très honorable. Niveau sexe, je suis ouverte à tout ce que désire mon copain, car j’aime être soumise à un homme, accepter de faire ce qu’il veut, être dominée où même humiliée si il en a envie. Je fantasme sur le sexe de groupe, les histoires de gang-bang que je trouve sur Internet m’excite terriblement , je ne sais pas si je passerais un jour à l’acte, mais en attendant je fais plaisir à ma petite chatte en lisant les récits des femmes soumises et humiliées et des hommes pervers qui organise des gang-bang où une femme se fait sauter par une trentaine de mecs ou doit ingurgiter tout leur sperme.
L’histoire que j’écris ici est une transcription de mon fantasme :
Un soir qu'il fait déjà nuit et que je suis sur le point de me déconnecter, je les entends dire qu'ils sont étudiants à l'université, juste dans la même ville que moi. Ils me suggèrent de venir chez eux le lendemain soir , mon cœur frémit à cette idée mais finalement, je suis d'accord. Ils me donnent leur adresse, celle d'une cité U. je leur dis au revoir et je me mets au lit avec mon copain. Il dort déjà et je reste allongée à côté de lui en regardant le plafond. Mon cœur bat lourdement.
Le lendemain soir, je prends mon temps pour m'habiller. Je mets des chaussures à talons - au moins 10cm de haut - une jupe noire en cuir, une chemise en soie noire avec les boutons du haut pas mis afin de montrer ma poitrine. En dessous, un soutif noir qui laisse mes seins pointer, un string tout fin et des bas. J'ai l'air d'une call-girl de luxe, et, avec un manteau pour cacher ma tenue de cochonne, je m'en vais. Mon ami est au travail, il ne reviendra que bien plus tard.
En arrivant là-bas, je frappe, j'ai la main qui tremble. Un grand blond musclé m'ouvre la porte en souriant. Il prend mon manteau et m'invite à entrer. Quand la porte se referme derrière moi, je me rends compte que je vais avoir des ennuis : il n'y a pas que lui et son copain de chambre : ils ont invité six amis et ils sont tous en train de ma lorgner avec insistance , leur regard va et vient sur mon corps avec une air lubrique même pas caché. On m'offre une bière que j'accepte , il est manifestement trop tard pour reculer.
.
On me présente à tout le monde , " sandy, la petite cochonne avec qui on a fait du cybercul hier soir. " On fait circuler un joint. J'en tire un peu pour me relaxer. Rapidement, je me retrouve au de la pièce en train de danser pour un groupe d'hommes au rire obscène. Je me frotte les seins à travers la soie de ma chemise pour les faire durcir et je bouge les hanches tout en commençant à me déshabiller. Plus ma peau douce et bronzée apparaît, plus les hommes sont échauffés - d'abord ma chemise, bouton après bouton, puis ma jupe tout en me penchant pour leur montrer mon cul ferme et tendre.
Bientôt je n'ai plus que mes chaussures à talons hauts et mes bas. Je suis au milieu de la pièce et, les yeux fermés, je me doigte le clitoris d'une main et la pointe des seins de l'autre. Ils commencent à me lancer des obscénités. Mon corps se met à frissonner et j'ai mon premier orgasme de la soirée, et ils poussent des cris de joie, satisfaits de cette grosse cochonne qu'il vont utiliser. Mon orgasme est à peine passé que le plus grand m'attrape. Il est à poil et sa queue est dressées comme une lance d'acier.
Il me pousse jusqu'au mur, me soulève du sol en me tenant par les cuisses et me laisse retomber sur sa bite. Je pousse un cri quand il pénètre mon petit chat humide mais encore serré et je gémis faiblement quand il ma baise en me pilonnant contre le mur. Il m'embrasse goulûment, baisse la tête et il me suce les seins. Les autres hommes commencent à se mettre nus. "P'tite salope" grogne-t-il, "Prends ma bite, grosse pute".
Je ne peux rien faire, c'est comme si j'étais épinglée sur le mur et je sens sa bite qui durcit encore. Je sais qu'il est sur le point de jouir… Ca, y est, il jette la tête an arrière en rugissant et je sens des jets chauds de semence qui jaillissent dans moi, et je jouis moi aussi. Il me tient serrée contre le mur pour bien profiter de ma chatte et puis il me repose par terre. Haletante, je m'appuie sur le mur, je sens son foutre qui recoule doucement de moi.
"Tourne-toi, salope!" Un autre homme est devant moi, sa queue raide est luisante de crème lubrifiante et je sais ce qui va m'arriver. J'ai peur, mais je n'ai pas le choix - je suis à leur merci.Tout en poussant un gémissement, je me tourne et je pose les mains sur le mur, sortant mon derrière, le lui offrant. Il s'approche tout près, me touche les seins presque gentiment et me murmure à l'oreille : "Je vais t'enfiler par le cul, ma cochonne ! "
Les autres hommes savant ce qu'ils va faire et ils crient de joie quand il pose le bout de sa bite contre mon anus vierge et étroit et qu'il se met à pousser. Au moment où il me pénètre le cul, la sensation est indescriptible - une douleur, mais je ne veux pas qu'il arrête. Bientôt il est au fond de moi, il et viole mon corps et me baise. Il frappe de toutes ses forces sur mon cul, me tire les cheveux violemment tout en me pistonnant le cul.
Je pousse des cris pendant qu'il se sert de moi : je me sens totalement humiliée de me faire prendre devant tous ces hommes. Ils s'amusent à regarder chaque coup de bite, ils rient et encouragent l'homme , " Vas-y, baise la salope ! " "bourre-lui le cul, mec ! " "Nique la ". Il m'encule bien trop fort en me tenant par les cheveux comme si c'était une laisse. " T'aimes ça, sale pute ? " il me demande. C'est à peine si je peux faire 'oui' de la tête. "Ca fait mal ? " A nouveau je hoche la tête et je parviens à dire un petit 'oui'. " C'est bien ! " il grogne. Il se met à trembler et soudain, il sort de moi. Les autres hommes l'acclament quand je sens des flots de foutre chaude sur mon cul. A nouveau, je jouis. J'ai rarement été dominée si totalement.
Je sais que c'est loin d'être fini. Presque immédiatement j'ai une autre bite dans mon chat et je me rends compte qu'elle est bien trop grosse. Elle doit faire au moins trente centimètres et elle est épaisse, bien plus grosse que tout j'ai jamais eu, et elle me fait mal car elle étire mon minou au maximum et plus encore. Il a mis les mains sur mes épaules et il m'enfile sa bite jusqu'aux couilles et je crie de douleur et de plaisir. " Vas-y, grosse salope, Voilà de la bite pour te baiser " il fait et je me rends compte qu'il est noir. Il me nique et il joue avec mes seins, il tire sur les pointes et les tord férocement. Il m'attrape la gorge et d'une main, il me serre contre lui.
"Quand je vais avoir fini de te baiser, tu vas te mettre à genoux devant moi et je vais jouir te jouir sur ta belle petite gueule. Tu comprends, ma jolie petite pute blanche ? "
"Oui, Maître " je réponds, " S'il vous plait, prenez-moi, faites ce que vous voulez de moi, jutez sur moi ".
Les autres hommes adorent de voir ça. Ils me crient des obscénités, ils encouragent l'homme à me baiser, et ses gémissements me disent qu'il n'en a plus pour longtemps. Sa grosse bite entre et sort, me pistonne , et chaque fois s'enfonce plus loin qu'aucun autre homme avant. " Ca y est, ma belle !" "
Il sort de moi, je me retourne et je tombe à genoux devant lui. Sa bite est luisante de mon jus. Je prends la manche à pleine main, je le branle tout en léchant l'énorme gland. Quand il jouit, c'est comme un volcan. Des jets et encore des jets de foutre blanc, épais, collant jaillissent en rubans de sa queue palpitante et ils m'éclaboussent la figure, coulent sur mes seins. Je suis toute trempée. J'essaie d'avaler tout ce que je peux, mais il n'arrête pas de juter et il crache partout sur moi. Je suis toute couverte de foutre. A la fin, il a terminé et je prends sa bite dans ma bouche, je lève humblement les yeux vers lui. Il y a un flash et je me rends compte que quelqu'un a apporté un appareil photo. Je sais qu'ils vont montrer des photos de moi à tous leurs amis, les envoyer sur Internet, et cette pensée me fait orgasmer.
Après ça, personne ne contrôle plus rien. On m'attrape par les cheveux, on me force à me mettre sur un lit. On me maintient allongée pendant qu'une bite est enfoncée dans ma chatte, une autre dans ma bouche et qu'on en mette une troisième dans ma main. Aussitôt, ils se mettent tous à me niquer en me traitant de tous les noms et en se moquant de mon humiliation. J'ai vaguement conscience que la porte s'ouvre que d'autres mecs entrent pour me baiser et je me demande si je vais devoir me taper tous les hommes du bâtiment.
Le mec que je branle se met à juter, en plein sur mes nichons. Ca déclenche les autres… L'un gicle sur ma figure, l'autre foutre sur tout mon corps, puis il le ramasse avec un doigt et me la fait manger. D'autres hommes approchent, j'ai des queues tout autour de moi, elles me prennent et me violent. Rapidement je ne parviens plus à compter et je m'occupe de chacun à son tour. Chaque minute est un plaisir renouvelé et je jouis sans cesse, rien que pour eux.
Je ne sais pas combien de temps ils m'utilisent comme leur objet sexuel, mais ma chatte et mon cul me font mal et je suis couverte de foutre. Soudain, on m'attrape par les cheveux et on m'oblige à m'asseoir. On me présente une grande chope à bière à moitié pleine de sperme blanc et épais. Quel choc ! Tous les hommes dans la pièce ont dû se branler au moins une fois. Je tressaille, sachant ce qu'on attend de moi. "Fais-le, grosse salope ! Bois notre foutre. Montre-nous que tu es une grosse cochonne bien excitée !"
Je n'ai pas le choix, je dois obéir : je mets la chope à mes lèvres et je la lève. C'est épais, ça met du temps à couler jusque sur mes lèvres. Je suis entourée d'hommes nus qui me fixent avec obscénité. Mépris et fureur sexuelle. Le foutre arrive enfin dans ma bouche et dégouline lentement dans ma gorge. Je savoure chaque goutte du liquide visqueux, et des larmes de honte se mêlent au foutre sur ma figure. Je finis la dernière goutte et je jouis à nouveau.
Voilà, j’espère que mon récit vous aura excité comme c’est le cas pour moi.
L’histoire que j’écris ici est une transcription de mon fantasme :
Un soir qu'il fait déjà nuit et que je suis sur le point de me déconnecter, je les entends dire qu'ils sont étudiants à l'université, juste dans la même ville que moi. Ils me suggèrent de venir chez eux le lendemain soir , mon cœur frémit à cette idée mais finalement, je suis d'accord. Ils me donnent leur adresse, celle d'une cité U. je leur dis au revoir et je me mets au lit avec mon copain. Il dort déjà et je reste allongée à côté de lui en regardant le plafond. Mon cœur bat lourdement.
Le lendemain soir, je prends mon temps pour m'habiller. Je mets des chaussures à talons - au moins 10cm de haut - une jupe noire en cuir, une chemise en soie noire avec les boutons du haut pas mis afin de montrer ma poitrine. En dessous, un soutif noir qui laisse mes seins pointer, un string tout fin et des bas. J'ai l'air d'une call-girl de luxe, et, avec un manteau pour cacher ma tenue de cochonne, je m'en vais. Mon ami est au travail, il ne reviendra que bien plus tard.
En arrivant là-bas, je frappe, j'ai la main qui tremble. Un grand blond musclé m'ouvre la porte en souriant. Il prend mon manteau et m'invite à entrer. Quand la porte se referme derrière moi, je me rends compte que je vais avoir des ennuis : il n'y a pas que lui et son copain de chambre : ils ont invité six amis et ils sont tous en train de ma lorgner avec insistance , leur regard va et vient sur mon corps avec une air lubrique même pas caché. On m'offre une bière que j'accepte , il est manifestement trop tard pour reculer.
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On me présente à tout le monde , " sandy, la petite cochonne avec qui on a fait du cybercul hier soir. " On fait circuler un joint. J'en tire un peu pour me relaxer. Rapidement, je me retrouve au de la pièce en train de danser pour un groupe d'hommes au rire obscène. Je me frotte les seins à travers la soie de ma chemise pour les faire durcir et je bouge les hanches tout en commençant à me déshabiller. Plus ma peau douce et bronzée apparaît, plus les hommes sont échauffés - d'abord ma chemise, bouton après bouton, puis ma jupe tout en me penchant pour leur montrer mon cul ferme et tendre.
Bientôt je n'ai plus que mes chaussures à talons hauts et mes bas. Je suis au milieu de la pièce et, les yeux fermés, je me doigte le clitoris d'une main et la pointe des seins de l'autre. Ils commencent à me lancer des obscénités. Mon corps se met à frissonner et j'ai mon premier orgasme de la soirée, et ils poussent des cris de joie, satisfaits de cette grosse cochonne qu'il vont utiliser. Mon orgasme est à peine passé que le plus grand m'attrape. Il est à poil et sa queue est dressées comme une lance d'acier.
Il me pousse jusqu'au mur, me soulève du sol en me tenant par les cuisses et me laisse retomber sur sa bite. Je pousse un cri quand il pénètre mon petit chat humide mais encore serré et je gémis faiblement quand il ma baise en me pilonnant contre le mur. Il m'embrasse goulûment, baisse la tête et il me suce les seins. Les autres hommes commencent à se mettre nus. "P'tite salope" grogne-t-il, "Prends ma bite, grosse pute".
Je ne peux rien faire, c'est comme si j'étais épinglée sur le mur et je sens sa bite qui durcit encore. Je sais qu'il est sur le point de jouir… Ca, y est, il jette la tête an arrière en rugissant et je sens des jets chauds de semence qui jaillissent dans moi, et je jouis moi aussi. Il me tient serrée contre le mur pour bien profiter de ma chatte et puis il me repose par terre. Haletante, je m'appuie sur le mur, je sens son foutre qui recoule doucement de moi.
"Tourne-toi, salope!" Un autre homme est devant moi, sa queue raide est luisante de crème lubrifiante et je sais ce qui va m'arriver. J'ai peur, mais je n'ai pas le choix - je suis à leur merci.Tout en poussant un gémissement, je me tourne et je pose les mains sur le mur, sortant mon derrière, le lui offrant. Il s'approche tout près, me touche les seins presque gentiment et me murmure à l'oreille : "Je vais t'enfiler par le cul, ma cochonne ! "
Les autres hommes savant ce qu'ils va faire et ils crient de joie quand il pose le bout de sa bite contre mon anus vierge et étroit et qu'il se met à pousser. Au moment où il me pénètre le cul, la sensation est indescriptible - une douleur, mais je ne veux pas qu'il arrête. Bientôt il est au fond de moi, il et viole mon corps et me baise. Il frappe de toutes ses forces sur mon cul, me tire les cheveux violemment tout en me pistonnant le cul.
Je pousse des cris pendant qu'il se sert de moi : je me sens totalement humiliée de me faire prendre devant tous ces hommes. Ils s'amusent à regarder chaque coup de bite, ils rient et encouragent l'homme , " Vas-y, baise la salope ! " "bourre-lui le cul, mec ! " "Nique la ". Il m'encule bien trop fort en me tenant par les cheveux comme si c'était une laisse. " T'aimes ça, sale pute ? " il me demande. C'est à peine si je peux faire 'oui' de la tête. "Ca fait mal ? " A nouveau je hoche la tête et je parviens à dire un petit 'oui'. " C'est bien ! " il grogne. Il se met à trembler et soudain, il sort de moi. Les autres hommes l'acclament quand je sens des flots de foutre chaude sur mon cul. A nouveau, je jouis. J'ai rarement été dominée si totalement.
Je sais que c'est loin d'être fini. Presque immédiatement j'ai une autre bite dans mon chat et je me rends compte qu'elle est bien trop grosse. Elle doit faire au moins trente centimètres et elle est épaisse, bien plus grosse que tout j'ai jamais eu, et elle me fait mal car elle étire mon minou au maximum et plus encore. Il a mis les mains sur mes épaules et il m'enfile sa bite jusqu'aux couilles et je crie de douleur et de plaisir. " Vas-y, grosse salope, Voilà de la bite pour te baiser " il fait et je me rends compte qu'il est noir. Il me nique et il joue avec mes seins, il tire sur les pointes et les tord férocement. Il m'attrape la gorge et d'une main, il me serre contre lui.
"Quand je vais avoir fini de te baiser, tu vas te mettre à genoux devant moi et je vais jouir te jouir sur ta belle petite gueule. Tu comprends, ma jolie petite pute blanche ? "
"Oui, Maître " je réponds, " S'il vous plait, prenez-moi, faites ce que vous voulez de moi, jutez sur moi ".
Les autres hommes adorent de voir ça. Ils me crient des obscénités, ils encouragent l'homme à me baiser, et ses gémissements me disent qu'il n'en a plus pour longtemps. Sa grosse bite entre et sort, me pistonne , et chaque fois s'enfonce plus loin qu'aucun autre homme avant. " Ca y est, ma belle !" "
Il sort de moi, je me retourne et je tombe à genoux devant lui. Sa bite est luisante de mon jus. Je prends la manche à pleine main, je le branle tout en léchant l'énorme gland. Quand il jouit, c'est comme un volcan. Des jets et encore des jets de foutre blanc, épais, collant jaillissent en rubans de sa queue palpitante et ils m'éclaboussent la figure, coulent sur mes seins. Je suis toute trempée. J'essaie d'avaler tout ce que je peux, mais il n'arrête pas de juter et il crache partout sur moi. Je suis toute couverte de foutre. A la fin, il a terminé et je prends sa bite dans ma bouche, je lève humblement les yeux vers lui. Il y a un flash et je me rends compte que quelqu'un a apporté un appareil photo. Je sais qu'ils vont montrer des photos de moi à tous leurs amis, les envoyer sur Internet, et cette pensée me fait orgasmer.
Après ça, personne ne contrôle plus rien. On m'attrape par les cheveux, on me force à me mettre sur un lit. On me maintient allongée pendant qu'une bite est enfoncée dans ma chatte, une autre dans ma bouche et qu'on en mette une troisième dans ma main. Aussitôt, ils se mettent tous à me niquer en me traitant de tous les noms et en se moquant de mon humiliation. J'ai vaguement conscience que la porte s'ouvre que d'autres mecs entrent pour me baiser et je me demande si je vais devoir me taper tous les hommes du bâtiment.
Le mec que je branle se met à juter, en plein sur mes nichons. Ca déclenche les autres… L'un gicle sur ma figure, l'autre foutre sur tout mon corps, puis il le ramasse avec un doigt et me la fait manger. D'autres hommes approchent, j'ai des queues tout autour de moi, elles me prennent et me violent. Rapidement je ne parviens plus à compter et je m'occupe de chacun à son tour. Chaque minute est un plaisir renouvelé et je jouis sans cesse, rien que pour eux.
Je ne sais pas combien de temps ils m'utilisent comme leur objet sexuel, mais ma chatte et mon cul me font mal et je suis couverte de foutre. Soudain, on m'attrape par les cheveux et on m'oblige à m'asseoir. On me présente une grande chope à bière à moitié pleine de sperme blanc et épais. Quel choc ! Tous les hommes dans la pièce ont dû se branler au moins une fois. Je tressaille, sachant ce qu'on attend de moi. "Fais-le, grosse salope ! Bois notre foutre. Montre-nous que tu es une grosse cochonne bien excitée !"
Je n'ai pas le choix, je dois obéir : je mets la chope à mes lèvres et je la lève. C'est épais, ça met du temps à couler jusque sur mes lèvres. Je suis entourée d'hommes nus qui me fixent avec obscénité. Mépris et fureur sexuelle. Le foutre arrive enfin dans ma bouche et dégouline lentement dans ma gorge. Je savoure chaque goutte du liquide visqueux, et des larmes de honte se mêlent au foutre sur ma figure. Je finis la dernière goutte et je jouis à nouveau.
Voilà, j’espère que mon récit vous aura excité comme c’est le cas pour moi.
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