Mon pote Yacine
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mon pote Yacine
Faut que je vous raconte, faut que tout le monde sache ce qui m'est arrivé avec mon pote Yacine, je suis si heureux d'être arrivé à ce que je vais vous raconter.
Moi c'est Amine, jeune rebeu de 20 ans, comme mon pote Yacine. Nous sommes du même quartier, on a grandi ensemble, la même école, les mêmes meufs. On s'est tout partagé dans la bonne humeur, mais on s'est jamais vu à poils tous les deux. On n'a jamais baisé ensemble… on est pote! pas pédés!
On sort le plus souvent possible pour draguer de la meuf et en baiser le plus possible.
Yacine est très beau, ses longs cils ensorceleurs en font craquer plus d'une. Il baise les meufs en boite, jamais il n'en ramène chez lui, alors des fois ça défile dans les chiottes.
Mais il arrive de n'avoir aucun succès. Des meufs qui veulent bien embrasser, exciter le mâle rebeu mais c'est tout! elles touchent le zob et semblent effrayées par la grosseur et se tirent.
Comme ce soir là, c'est vrai qu'on n'avait pas tiré notre coup depuis plusieurs jours. Bon la branlette ça va, mais c'est pas la même chose. Je m'étais fait peloter par deux gonzesses, embrasser, caresser mais impossible d'aller plus loin et je vois bien que du côté de mon pote Yacine c'était pareil.
Alors on s'est rabattu sur la bière, assis au comptoir, dans la pénombre les demis ont défilé. Yacine savait qu'il ne tenait pas la bière, que cela l'endormait mais comme il était déçu de ne pas tirer son coup, il s'en est enfilé plus que de raison.
Vers 3 heures du mat j'ai décidé de rentrer, il fallait que je le soutienne, il était bien bourré mon pote!
-me laisse pas Amine… j'veux pas rester tout seul!
Il se cramponne à mon corps.
-bon! viens, tu vas dormir à la maison, on verra demain matin.
-t'es le meilleur des potes dit le Yacine bourré en me faisant une bise.
Chose qu'il n'avait jamais fait.
Lorsque nous sommes arrivés, j'ai eu envie de prendre une douche. Je l'installe dans ma chambre, l'aide à enlever ses TN, chaussettes, et son jean. Il s'allonge sur le dos, les bras en croix, et, dans l'instant ronfle comme un sonneur.
Je ne peux m'empêcher de rire en voyant le tableau. Je file sous la douche et quelques instants plus tard je reviens pour me coucher près de lui.
Il a bougé, une main sous sa tête, l'autre main tient son sgeg qui bande à travers le caleçon qui semble bien rempli.
Je ne peux m'empêcher de mater. Il cramponne son zob, comme s'il avait peur qu'il se sauve. Je m'approche pour observer. Pourquoi me direz vous ? j'en sais rien… si j'avais envie de voir sa queue, son zob…
Je me suis assis près de lui, j'ai essayé d'enlever sa main de sur son zob. Il le tenait serré. J'ai caressé le dos de sa main, elle s'est ouverte libérant le sgeg que je vois grossir en s'allongeant sous le caleçon.
J'ai tendu ma main pour caresser cette belle bosse qui redressait la toile du caleçon. Je regardais Yacine, il ronflait doucement en soupirant. Je caresse le sgeg par dessus le caleçon, c'est dur, c'est long... j'ai envie d'en voir plus.
Je défais le petit bouton du caleçon qui s'ouvre d'un coup libérant le monstre qui pointe vers le plafond. Je suis émerveillé devant la bête. Je touche d'un doigt, c'est dur, c'est chaud. Je prend le sgeg entre deux doigts et parcoure la hampe pour sentir mon zob durcir dans mon caleçon, de mon autre main, je sors mon zob.
L'envie se fait plus pressante. Je prends en main le sgeg de mon pote Yacine, le serre tendrement pour apprécier la chaleur qui envahie ma main. Je le caresse doucement. Je vois ses couilles bouger. Je tire sur le caleçon qui glisse sous ses fesses. Il ronfle toujours les jambes écartées, sa hampe dressée, les couilles remontent de chaque côté de ce beau sgeg et je recommence ma caresse pour l'entendre gémir à travers ses ronflements.
La honte me prend de faire ça à mon pote mais sa queue me fait envie et dans mon délire de mec un peu bourré je me dis que ça doit être beau de le voir jouir.
J'ai peur qu'il se réveille, c'est sûr se sera la castagne et on ne sera plus pote… mais l'envie, l'envie aussi de goûter à sa queue.
J'attrape mon téléphone et je prends son sgeg en photo, sous tous les angles, dans ma main, le caressant et quand mes lèvres sont attirées par le gland, je filme. Je filme quand mes lèvres enveloppent son gland et descendent sur la hampe, je filme quand je le pipe. Je le filme quand je l'entends gémir plus fort, son visage grimaçant, tordant son beau corps imberbe. Je filme quand le bon jus de mon pote Yacine entre dans ma bouche, premier sperme dans ma bouche. Je ne peux pas cracher partout alors j'avale en le trouvant pas si mauvais que ça et je lèche avec application sa queue pour ne laisser aucune trace.
Mais je ne peux remettre le caleçon, on verra bien ce qu'il va dire au réveil.
Je file dans la salle de bains me branler dans les chiottes en visionnant la vidéo où je le suce avec plaisir et je jouis comme un malade de longues giclées.
Je vais me coucher en boxer à côté de lui, j'ai envie de le prendre dans mes bras, mon pote!
Je m'endors rapidement.
Se sont ses mouvements qui me réveillent, ses mouvements et ses gueulantes.
-putain mec! mais qu'est ce que je fous à poils dans ton lit ?
Il avait le regard mauvais et me regardait comme si c'était ma faute!
-mec, quand je suis revenu de prendre ma douche t'étais à poils sur le lit et tu ronflais, j'ai voulu te réveiller, mais tu n'as rien voulu savoir. Alors que voulais tu que je fasse je t'ai laissé comme ça.
Il essayait de cacher son gros sgeg entre ses mains, mais comme il bandait dur au réveil ça dépassait un peu partout.
-t'as maté ma queue ?
-j'm'en bas les couilles de ton sgeg mon pote!
-j'vais pisser dit Yacine.
-j'vais faire du café, t'en veux ?
-ouais dit il en partant vers la salle de bains, et j'ai vu mon pote à poils partir, ses belles petites fesses bien dures, imberbes et bronzées.
Moi aussi j'avais la queue bien dressée dans le boxer. Je commençais à faire le café, j'étais appuyé à la table de ma petite cuisine quand j'ai vu Yacine revenir, toujours à poils, la queue droite, bien dure, le regard pas tellement avenant. Il vient vers moi.
-tu pourrais mettre quelque chose dis je.
Il vient en face de moi, met ses mains sur la table, sa tête se rapproche de la mienne, il colle son front au mien, me relevant la tête, si bien que nos nez se touchent.
-tu fais quoi là ?
Il ne répond pas, s'approche encore plus de moi, son long zob touche le mien.
-toi aussi tu bandes mec.
-comme tous les matins.
J'avais chaud d'un seul coup.
Il appuie son bassin sur le mien, nos zobs se touchent, ça durcis encore plus. Sa tête tombe sur mon épaule, ses lèvres dans mon cou. Lorsqu'il me fait un bisou, je suis parcouru de frissons. J'essaie de le repousser.
-mais tu fais quoi Yacine ? arrête mec!
Ses lèvres remontent dans mon cou, sous mon menton, machinalement je relève la tête pour le laisser faire, ses lèvres s'appuient encore plus, j'ai encore chaud de plus en plus. Son bassin est maintenant collé au mien. Ses mains se sont posées sur mes fesses. Sa bouche remonte sur mon menton, je tremble.
Je le regarde, il a les yeux fermés. Ses lèvres remontent, effleurent les miennes, les frissons continuent et machinalement je serre mon corps contre le sien, ses bras me tiennent solidement contre lui, ses lèvres écrasent les miennes, sa langue force l'entrée et vient jouer avec la mienne.
On n'entend plus que des soupirs, je tiens sa tête entre mes mains et je savoure ses belles lèvres bien chaudes et sa langue agile. Je sens ses mains parcourir mon dos, ses lèvres font le tour de mon visage, sa langue me lèche partout. Je me sens fondre dans ses bras et je me sens heureux d'être dans les bras de mon pote Yacine après ce que je lui ai fait cette nuit.
-j'ai envie de toi dit Yacine en me fixant, je veux ton cul.
-mais Yacine… pourquoi ?
-parce que j'en ai envie et toi aussi j'en suis sûr. J'ai bien vu le nombre de fois que tu regardais ma queue, tes yeux en avaient envie alors je vais te l'offrir et visiter ton beau cul. Car moi je regardais toujours ton beau cul, voulant le toucher, le caresser et te baiser, dis pas non mon pote, ça restera entre nous mon pote!
Ses yeux étaient implorants comme un gamin qui veut absolument une friandise.
-j'me suis jamais fait ken Yacine et t'as vu ta queue ?
-j'vais te préparer ça comme il faut mon pote et tu verras t'en redemanderas, hein, tu veux bien?
Je ne répondais pas en le regardant. En fait je voulais le voir me supplier.
-dis oui s'il te plait… Amine, toi le beau gosse au cul d'enfer. J'en ai envie et toi aussi.
Je l'ai entrainé dans la chambre, il m'a enlevé le boxer, m'a regardé en souriant, a pris ma queue dans sa main et l'a caressée tendrement en me regardant, souriant.
-mais il a une bonne queue mon pote! ça m'étonne pas que j'entendais les meufs gueuler mais là c'est toi que je vais faire gueuler mon pote!
Ses lèvres sont revenues prendre les miennes pendant que ses mains épousaient mes fesses, les caressaient, les ouvraient, un doigt frottant mon anus qui n'avait vu que mon doigt ou mon petit gode. C'est vrai que j'aimais bien me goder quand je me branlais mais là sa queue, cela allait être autre chose.
Je le serrais contre moi, je lui donnais ma langue qu'il aspirait, il m'a donné la sienne. Je l'ai essoré, sa salive était douce, chaude. Il sentait bon mon pote!
Il m'a retourné, poussé sur le lit, je me suis retrouvé à quatre pattes, les jambes bien écartées, ses mains caressaient mes fesses, un doigt grattait l'anus. Ses mains les écartaient et sa langue est arrivée, inondant mon petit trou de salive, et avec son doigt la rentrait à l'intérieur. Il m'a doigté comme ça un très long moment puis il a mis deux doigts qui peinaient quand même à entrer mais j'avais pas mal, au contraire, ses deux doigts qui me fouillaient, me caressaient l'intérieur me donnaient une douce chaleur dans tout le corps.
Il a fait tourner ses doigts, élargissant encore mon petit trou, quand il enlevait ses doigts, le trou restait ouvert. Il a dû mettre plusieurs doigts car je me sentais écartelé, une douleur se prenait autour de l'anus mais j'appréciais les caresses internes.
Puis les doigts sont sortis, vite remplacés par son sgeg. J'ai senti le gland passer dans la raie. Il a craché sur mon anus, écartant la salive avec son gland en forçant l'entrée. Je l'ai senti s'ouvrir, une douleur est montée je ne sais d'où mais j'ai cru que j'étais déchiré complètement. Je gémissais au début, de plaisir mais là j'ai hurlé de douleur quand le gland est passé, mon sphincter se refermant sur sa grosse queue. Il n'a plus bougé pendant un moment, ses mains me caressaient les flancs mais je savais bien que c'était pas fini.
J'aurais préféré le sucer comme cette nuit.
La douleur s'atténuait, mes larmes avaient cessé. Ses mains m'ont bien serré aux hanches et d'un coup de reins son gros sgeg a continué sa progression, je gueulais, j'hurlais tellement il me faisait mal mais en même temps je le voulais son zob, je savais qu'il allait me cracher tout le bon jus que j'avais goûter cette nuit.
Son long et gros zob m'envahissait, m'élargissant encore plus le conduit. J'étais vraiment empalé, quand j'ai senti ses poils caresser mon cul j'étais heureux. Il ne pouvait pas aller plus loin, mais putain qu'est ce que j'étais bien rempli.
J'ai senti son corps se coller à mon dos, ses lèvres m'embrasser la nuque. Il faisait juste bouger sa queue en moi sans la ressortir. Ses lèvres m'ont mordu doucement la nuque. Ses lèvres se rapprochant de mon oreille, me léchant le lobe, je tournais la tête pour qu'il puisse bien l'attraper.
-maintenant mon zob va apprécier ton cul comme cette nuit où il a apprécié ta bouche. T'es vraiment une belle salope mon pote, j'aurais jamais cru ça de toi, profiter d'un ivrogne. C'est pas bien!
Putain il savait, j'étais statufié, son sgeg au fond de moi.
-passe moi ton tel, ça te fera un autre souvenir.
Il ricanait doucement à mon oreille, et ses bisous recommençaient.
-t'en fais pas mon pote! y'avait longtemps que j'avais envie de ton cul. Je ne pensais pas avoir ta bouche en premier, mais putain t'es un bon suceur en tout cas! j'espère que tu as apprécié, maintenant je vais te baiser Amine! prêt pour le sacrifice ?
Je n'ai pas eu le temps de répondre un oui! que j'ai senti son sgeg se retirer de mon cul et revenir d'un coup sec, m'arrachant encore une gueulante et, sans ménagement ses coups de reins étaient amples et pleins de force. Je sentais mon trou s'ouvrir de plus en plus, sa queue coulissait bien dans mon cul comme si elle était habituée. Ses mains avaient repris mes hanches et il me baisait en cadence, fort, très fort mais la douleur disparaissait et quand son gland râpait ma prostate, une onde de chaleur et de plaisir m'envahissait, je sentais mon sgeg collé à mon ventre qui coulait comme un malade, j'avais envie de me branler, de jouir en même temps que lui mais je ne pouvais pas bouger.
Il s'est calmé un moment, faisant bouger sa queue doucement dans mon cul. J'ai regardé par dessus mon épaule, il filmait sa queue baisant mon cul!! et je le voyais sourire.
Puis il a repris ses coups de reins ne m'épargnant pas, c'était la surchauffe assurée. La douleur revenait de temps en temps lorsqu'il tapait bien au fond. Je l'entendais grogner, gémir, râler à chaque coup de bite et, vous dire que je n'aimais pas aurait été mentir. J'aimais mon pote et sa bite!
Je ne sais pas combien de temps j'ai été limé, perforé, troué mais quand il a gueulé en gémissant, se bloquant bien au fond de moi et quand j'ai senti sa première giclée, vous savez comme un coup de lance à incendie qui éjecterait du chaud, j'ai senti ce jus, ce bon jus me réchauffer l'intérieur et les giclées se sont succédées. Il grognait tout le temps, poussait de grands 'ah" et les giclées n'arrêtaient pas.
Il s'est écroulé sur moi, m'entrainant sous lui. Il m'embrassait dans le cou, m'écrasant, sa queue toujours en moi.
-t'as un cul magnifique mon pote! quel dommage que je l'ai pas connu avant.
Sa queue n'avait pas débandée et il me donnait de petits coups de reins qui la faisait bouger, comme si j'avais quelque chose de bien vivant en moi.
-t'as aimé au moins ?
-oui dis je dans un soupir, un peu mal quand même, mais ça va maintenant.
-alors je vais te donner la deuxième tournée mec! bouge pas!
Comme si je pouvais bouger!!
Il a écarté encore plus mes jambes avec les siennes, ma queue bandante était écrasée entre mon ventre et le drap de lit et ses coups de pilon ont recommencé. D'abord lentement comme s'il visitait mon cul puis de plus en plus vite, plus fort. Je me suis surpris à soulever mes fesses pour que son sgeg aille encore plus loin. Il a apprécié et quelques instants après j'ai reçu encore plusieurs décharges chaudes. Je sentais son sgeg nager dans son sperme.
Il soupirait sur mon dos, reprenant son souffle. Il s'est retiré de moi, pour s'allonger à côté.
-viens là dit Yacine en écartant les bras, viens faire un bisou à ton mec qui n'attend que ça, goûter à tes lèvres qui ont sucé mon zob cette nuit.
-t'as aimé cette nuit, car j'ai eu une bonne dose à avaler dis je en rougissant.
Il rigole et m'embrasse en me serrant contre lui. J'ai mal à la queue tellement elle est raide. Il me repousse et ses lèvres descendent sur mon corps. Sa main s'empare de son sgeg bien dur, le redresse et aussitôt sa bouche s'empare de mon gland. Je sens ses lèvres en faire le tour, sa langue qui le lèche, ma main vient sur sa tête. Il avale ma queue me serrant mes grosses couilles poilues. Je sens le fond de sa gorge, il fait deux ou trois allers retours.
-je vais juter Yacine!
Je sens sa bouche se refermer encore plus sur ma queue, qui sans façon se libère du trop plein, les giclées chaudes et abondantes se suivent dans cette bouche si accueillante et j'ai la surprise de voir que Yacine avale tout au fur et à mesure. Je suis vidé, je suis tout mou, je sens tous mes muscles se décontracter sauf mon zob qui ne débande pas dans cette bonne bouche.
Je sens toujours sa langue s'amuser avec ma queue. Il me laisse le temps de reprendre mon souffle et il reprend sa pipe, ma queue n'a pas débandé et apprécie cette bonne bouche. Naturellement pour avoir la deuxième dose il faut être plus patient et Yacine l'est. Il s'amuse avec ma queue, ses mains caressent mes couilles, un doigt vient titiller mon anus humide et il a droit au deuxième service qu'il s'applique à bien avaler et ensuite lécher avec application ma grosse queue.
Il revient dans mes bras, m'embrasse, me donnant sa langue qui sent le sperme, mon sperme.
-pourquoi tu m'as pas sucé plus tôt mon pote ? on a tellement de choses à rattraper maintenant.
Je l'embrasse tendrement en le serrant contre moi, nos jambes s'emmêlent, je sens sa queue se raidir contre mon corps, la mienne reprend des forces également.
-eh bien on va le rattraper le temps perdu mon pote que j'adore… que j'aime!
Moi c'est Amine, jeune rebeu de 20 ans, comme mon pote Yacine. Nous sommes du même quartier, on a grandi ensemble, la même école, les mêmes meufs. On s'est tout partagé dans la bonne humeur, mais on s'est jamais vu à poils tous les deux. On n'a jamais baisé ensemble… on est pote! pas pédés!
On sort le plus souvent possible pour draguer de la meuf et en baiser le plus possible.
Yacine est très beau, ses longs cils ensorceleurs en font craquer plus d'une. Il baise les meufs en boite, jamais il n'en ramène chez lui, alors des fois ça défile dans les chiottes.
Mais il arrive de n'avoir aucun succès. Des meufs qui veulent bien embrasser, exciter le mâle rebeu mais c'est tout! elles touchent le zob et semblent effrayées par la grosseur et se tirent.
Comme ce soir là, c'est vrai qu'on n'avait pas tiré notre coup depuis plusieurs jours. Bon la branlette ça va, mais c'est pas la même chose. Je m'étais fait peloter par deux gonzesses, embrasser, caresser mais impossible d'aller plus loin et je vois bien que du côté de mon pote Yacine c'était pareil.
Alors on s'est rabattu sur la bière, assis au comptoir, dans la pénombre les demis ont défilé. Yacine savait qu'il ne tenait pas la bière, que cela l'endormait mais comme il était déçu de ne pas tirer son coup, il s'en est enfilé plus que de raison.
Vers 3 heures du mat j'ai décidé de rentrer, il fallait que je le soutienne, il était bien bourré mon pote!
-me laisse pas Amine… j'veux pas rester tout seul!
Il se cramponne à mon corps.
-bon! viens, tu vas dormir à la maison, on verra demain matin.
-t'es le meilleur des potes dit le Yacine bourré en me faisant une bise.
Chose qu'il n'avait jamais fait.
Lorsque nous sommes arrivés, j'ai eu envie de prendre une douche. Je l'installe dans ma chambre, l'aide à enlever ses TN, chaussettes, et son jean. Il s'allonge sur le dos, les bras en croix, et, dans l'instant ronfle comme un sonneur.
Je ne peux m'empêcher de rire en voyant le tableau. Je file sous la douche et quelques instants plus tard je reviens pour me coucher près de lui.
Il a bougé, une main sous sa tête, l'autre main tient son sgeg qui bande à travers le caleçon qui semble bien rempli.
Je ne peux m'empêcher de mater. Il cramponne son zob, comme s'il avait peur qu'il se sauve. Je m'approche pour observer. Pourquoi me direz vous ? j'en sais rien… si j'avais envie de voir sa queue, son zob…
Je me suis assis près de lui, j'ai essayé d'enlever sa main de sur son zob. Il le tenait serré. J'ai caressé le dos de sa main, elle s'est ouverte libérant le sgeg que je vois grossir en s'allongeant sous le caleçon.
J'ai tendu ma main pour caresser cette belle bosse qui redressait la toile du caleçon. Je regardais Yacine, il ronflait doucement en soupirant. Je caresse le sgeg par dessus le caleçon, c'est dur, c'est long... j'ai envie d'en voir plus.
Je défais le petit bouton du caleçon qui s'ouvre d'un coup libérant le monstre qui pointe vers le plafond. Je suis émerveillé devant la bête. Je touche d'un doigt, c'est dur, c'est chaud. Je prend le sgeg entre deux doigts et parcoure la hampe pour sentir mon zob durcir dans mon caleçon, de mon autre main, je sors mon zob.
L'envie se fait plus pressante. Je prends en main le sgeg de mon pote Yacine, le serre tendrement pour apprécier la chaleur qui envahie ma main. Je le caresse doucement. Je vois ses couilles bouger. Je tire sur le caleçon qui glisse sous ses fesses. Il ronfle toujours les jambes écartées, sa hampe dressée, les couilles remontent de chaque côté de ce beau sgeg et je recommence ma caresse pour l'entendre gémir à travers ses ronflements.
La honte me prend de faire ça à mon pote mais sa queue me fait envie et dans mon délire de mec un peu bourré je me dis que ça doit être beau de le voir jouir.
J'ai peur qu'il se réveille, c'est sûr se sera la castagne et on ne sera plus pote… mais l'envie, l'envie aussi de goûter à sa queue.
J'attrape mon téléphone et je prends son sgeg en photo, sous tous les angles, dans ma main, le caressant et quand mes lèvres sont attirées par le gland, je filme. Je filme quand mes lèvres enveloppent son gland et descendent sur la hampe, je filme quand je le pipe. Je le filme quand je l'entends gémir plus fort, son visage grimaçant, tordant son beau corps imberbe. Je filme quand le bon jus de mon pote Yacine entre dans ma bouche, premier sperme dans ma bouche. Je ne peux pas cracher partout alors j'avale en le trouvant pas si mauvais que ça et je lèche avec application sa queue pour ne laisser aucune trace.
Mais je ne peux remettre le caleçon, on verra bien ce qu'il va dire au réveil.
Je file dans la salle de bains me branler dans les chiottes en visionnant la vidéo où je le suce avec plaisir et je jouis comme un malade de longues giclées.
Je vais me coucher en boxer à côté de lui, j'ai envie de le prendre dans mes bras, mon pote!
Je m'endors rapidement.
Se sont ses mouvements qui me réveillent, ses mouvements et ses gueulantes.
-putain mec! mais qu'est ce que je fous à poils dans ton lit ?
Il avait le regard mauvais et me regardait comme si c'était ma faute!
-mec, quand je suis revenu de prendre ma douche t'étais à poils sur le lit et tu ronflais, j'ai voulu te réveiller, mais tu n'as rien voulu savoir. Alors que voulais tu que je fasse je t'ai laissé comme ça.
Il essayait de cacher son gros sgeg entre ses mains, mais comme il bandait dur au réveil ça dépassait un peu partout.
-t'as maté ma queue ?
-j'm'en bas les couilles de ton sgeg mon pote!
-j'vais pisser dit Yacine.
-j'vais faire du café, t'en veux ?
-ouais dit il en partant vers la salle de bains, et j'ai vu mon pote à poils partir, ses belles petites fesses bien dures, imberbes et bronzées.
Moi aussi j'avais la queue bien dressée dans le boxer. Je commençais à faire le café, j'étais appuyé à la table de ma petite cuisine quand j'ai vu Yacine revenir, toujours à poils, la queue droite, bien dure, le regard pas tellement avenant. Il vient vers moi.
-tu pourrais mettre quelque chose dis je.
Il vient en face de moi, met ses mains sur la table, sa tête se rapproche de la mienne, il colle son front au mien, me relevant la tête, si bien que nos nez se touchent.
-tu fais quoi là ?
Il ne répond pas, s'approche encore plus de moi, son long zob touche le mien.
-toi aussi tu bandes mec.
-comme tous les matins.
J'avais chaud d'un seul coup.
Il appuie son bassin sur le mien, nos zobs se touchent, ça durcis encore plus. Sa tête tombe sur mon épaule, ses lèvres dans mon cou. Lorsqu'il me fait un bisou, je suis parcouru de frissons. J'essaie de le repousser.
-mais tu fais quoi Yacine ? arrête mec!
Ses lèvres remontent dans mon cou, sous mon menton, machinalement je relève la tête pour le laisser faire, ses lèvres s'appuient encore plus, j'ai encore chaud de plus en plus. Son bassin est maintenant collé au mien. Ses mains se sont posées sur mes fesses. Sa bouche remonte sur mon menton, je tremble.
Je le regarde, il a les yeux fermés. Ses lèvres remontent, effleurent les miennes, les frissons continuent et machinalement je serre mon corps contre le sien, ses bras me tiennent solidement contre lui, ses lèvres écrasent les miennes, sa langue force l'entrée et vient jouer avec la mienne.
On n'entend plus que des soupirs, je tiens sa tête entre mes mains et je savoure ses belles lèvres bien chaudes et sa langue agile. Je sens ses mains parcourir mon dos, ses lèvres font le tour de mon visage, sa langue me lèche partout. Je me sens fondre dans ses bras et je me sens heureux d'être dans les bras de mon pote Yacine après ce que je lui ai fait cette nuit.
-j'ai envie de toi dit Yacine en me fixant, je veux ton cul.
-mais Yacine… pourquoi ?
-parce que j'en ai envie et toi aussi j'en suis sûr. J'ai bien vu le nombre de fois que tu regardais ma queue, tes yeux en avaient envie alors je vais te l'offrir et visiter ton beau cul. Car moi je regardais toujours ton beau cul, voulant le toucher, le caresser et te baiser, dis pas non mon pote, ça restera entre nous mon pote!
Ses yeux étaient implorants comme un gamin qui veut absolument une friandise.
-j'me suis jamais fait ken Yacine et t'as vu ta queue ?
-j'vais te préparer ça comme il faut mon pote et tu verras t'en redemanderas, hein, tu veux bien?
Je ne répondais pas en le regardant. En fait je voulais le voir me supplier.
-dis oui s'il te plait… Amine, toi le beau gosse au cul d'enfer. J'en ai envie et toi aussi.
Je l'ai entrainé dans la chambre, il m'a enlevé le boxer, m'a regardé en souriant, a pris ma queue dans sa main et l'a caressée tendrement en me regardant, souriant.
-mais il a une bonne queue mon pote! ça m'étonne pas que j'entendais les meufs gueuler mais là c'est toi que je vais faire gueuler mon pote!
Ses lèvres sont revenues prendre les miennes pendant que ses mains épousaient mes fesses, les caressaient, les ouvraient, un doigt frottant mon anus qui n'avait vu que mon doigt ou mon petit gode. C'est vrai que j'aimais bien me goder quand je me branlais mais là sa queue, cela allait être autre chose.
Je le serrais contre moi, je lui donnais ma langue qu'il aspirait, il m'a donné la sienne. Je l'ai essoré, sa salive était douce, chaude. Il sentait bon mon pote!
Il m'a retourné, poussé sur le lit, je me suis retrouvé à quatre pattes, les jambes bien écartées, ses mains caressaient mes fesses, un doigt grattait l'anus. Ses mains les écartaient et sa langue est arrivée, inondant mon petit trou de salive, et avec son doigt la rentrait à l'intérieur. Il m'a doigté comme ça un très long moment puis il a mis deux doigts qui peinaient quand même à entrer mais j'avais pas mal, au contraire, ses deux doigts qui me fouillaient, me caressaient l'intérieur me donnaient une douce chaleur dans tout le corps.
Il a fait tourner ses doigts, élargissant encore mon petit trou, quand il enlevait ses doigts, le trou restait ouvert. Il a dû mettre plusieurs doigts car je me sentais écartelé, une douleur se prenait autour de l'anus mais j'appréciais les caresses internes.
Puis les doigts sont sortis, vite remplacés par son sgeg. J'ai senti le gland passer dans la raie. Il a craché sur mon anus, écartant la salive avec son gland en forçant l'entrée. Je l'ai senti s'ouvrir, une douleur est montée je ne sais d'où mais j'ai cru que j'étais déchiré complètement. Je gémissais au début, de plaisir mais là j'ai hurlé de douleur quand le gland est passé, mon sphincter se refermant sur sa grosse queue. Il n'a plus bougé pendant un moment, ses mains me caressaient les flancs mais je savais bien que c'était pas fini.
J'aurais préféré le sucer comme cette nuit.
La douleur s'atténuait, mes larmes avaient cessé. Ses mains m'ont bien serré aux hanches et d'un coup de reins son gros sgeg a continué sa progression, je gueulais, j'hurlais tellement il me faisait mal mais en même temps je le voulais son zob, je savais qu'il allait me cracher tout le bon jus que j'avais goûter cette nuit.
Son long et gros zob m'envahissait, m'élargissant encore plus le conduit. J'étais vraiment empalé, quand j'ai senti ses poils caresser mon cul j'étais heureux. Il ne pouvait pas aller plus loin, mais putain qu'est ce que j'étais bien rempli.
J'ai senti son corps se coller à mon dos, ses lèvres m'embrasser la nuque. Il faisait juste bouger sa queue en moi sans la ressortir. Ses lèvres m'ont mordu doucement la nuque. Ses lèvres se rapprochant de mon oreille, me léchant le lobe, je tournais la tête pour qu'il puisse bien l'attraper.
-maintenant mon zob va apprécier ton cul comme cette nuit où il a apprécié ta bouche. T'es vraiment une belle salope mon pote, j'aurais jamais cru ça de toi, profiter d'un ivrogne. C'est pas bien!
Putain il savait, j'étais statufié, son sgeg au fond de moi.
-passe moi ton tel, ça te fera un autre souvenir.
Il ricanait doucement à mon oreille, et ses bisous recommençaient.
-t'en fais pas mon pote! y'avait longtemps que j'avais envie de ton cul. Je ne pensais pas avoir ta bouche en premier, mais putain t'es un bon suceur en tout cas! j'espère que tu as apprécié, maintenant je vais te baiser Amine! prêt pour le sacrifice ?
Je n'ai pas eu le temps de répondre un oui! que j'ai senti son sgeg se retirer de mon cul et revenir d'un coup sec, m'arrachant encore une gueulante et, sans ménagement ses coups de reins étaient amples et pleins de force. Je sentais mon trou s'ouvrir de plus en plus, sa queue coulissait bien dans mon cul comme si elle était habituée. Ses mains avaient repris mes hanches et il me baisait en cadence, fort, très fort mais la douleur disparaissait et quand son gland râpait ma prostate, une onde de chaleur et de plaisir m'envahissait, je sentais mon sgeg collé à mon ventre qui coulait comme un malade, j'avais envie de me branler, de jouir en même temps que lui mais je ne pouvais pas bouger.
Il s'est calmé un moment, faisant bouger sa queue doucement dans mon cul. J'ai regardé par dessus mon épaule, il filmait sa queue baisant mon cul!! et je le voyais sourire.
Puis il a repris ses coups de reins ne m'épargnant pas, c'était la surchauffe assurée. La douleur revenait de temps en temps lorsqu'il tapait bien au fond. Je l'entendais grogner, gémir, râler à chaque coup de bite et, vous dire que je n'aimais pas aurait été mentir. J'aimais mon pote et sa bite!
Je ne sais pas combien de temps j'ai été limé, perforé, troué mais quand il a gueulé en gémissant, se bloquant bien au fond de moi et quand j'ai senti sa première giclée, vous savez comme un coup de lance à incendie qui éjecterait du chaud, j'ai senti ce jus, ce bon jus me réchauffer l'intérieur et les giclées se sont succédées. Il grognait tout le temps, poussait de grands 'ah" et les giclées n'arrêtaient pas.
Il s'est écroulé sur moi, m'entrainant sous lui. Il m'embrassait dans le cou, m'écrasant, sa queue toujours en moi.
-t'as un cul magnifique mon pote! quel dommage que je l'ai pas connu avant.
Sa queue n'avait pas débandée et il me donnait de petits coups de reins qui la faisait bouger, comme si j'avais quelque chose de bien vivant en moi.
-t'as aimé au moins ?
-oui dis je dans un soupir, un peu mal quand même, mais ça va maintenant.
-alors je vais te donner la deuxième tournée mec! bouge pas!
Comme si je pouvais bouger!!
Il a écarté encore plus mes jambes avec les siennes, ma queue bandante était écrasée entre mon ventre et le drap de lit et ses coups de pilon ont recommencé. D'abord lentement comme s'il visitait mon cul puis de plus en plus vite, plus fort. Je me suis surpris à soulever mes fesses pour que son sgeg aille encore plus loin. Il a apprécié et quelques instants après j'ai reçu encore plusieurs décharges chaudes. Je sentais son sgeg nager dans son sperme.
Il soupirait sur mon dos, reprenant son souffle. Il s'est retiré de moi, pour s'allonger à côté.
-viens là dit Yacine en écartant les bras, viens faire un bisou à ton mec qui n'attend que ça, goûter à tes lèvres qui ont sucé mon zob cette nuit.
-t'as aimé cette nuit, car j'ai eu une bonne dose à avaler dis je en rougissant.
Il rigole et m'embrasse en me serrant contre lui. J'ai mal à la queue tellement elle est raide. Il me repousse et ses lèvres descendent sur mon corps. Sa main s'empare de son sgeg bien dur, le redresse et aussitôt sa bouche s'empare de mon gland. Je sens ses lèvres en faire le tour, sa langue qui le lèche, ma main vient sur sa tête. Il avale ma queue me serrant mes grosses couilles poilues. Je sens le fond de sa gorge, il fait deux ou trois allers retours.
-je vais juter Yacine!
Je sens sa bouche se refermer encore plus sur ma queue, qui sans façon se libère du trop plein, les giclées chaudes et abondantes se suivent dans cette bouche si accueillante et j'ai la surprise de voir que Yacine avale tout au fur et à mesure. Je suis vidé, je suis tout mou, je sens tous mes muscles se décontracter sauf mon zob qui ne débande pas dans cette bonne bouche.
Je sens toujours sa langue s'amuser avec ma queue. Il me laisse le temps de reprendre mon souffle et il reprend sa pipe, ma queue n'a pas débandé et apprécie cette bonne bouche. Naturellement pour avoir la deuxième dose il faut être plus patient et Yacine l'est. Il s'amuse avec ma queue, ses mains caressent mes couilles, un doigt vient titiller mon anus humide et il a droit au deuxième service qu'il s'applique à bien avaler et ensuite lécher avec application ma grosse queue.
Il revient dans mes bras, m'embrasse, me donnant sa langue qui sent le sperme, mon sperme.
-pourquoi tu m'as pas sucé plus tôt mon pote ? on a tellement de choses à rattraper maintenant.
Je l'embrasse tendrement en le serrant contre moi, nos jambes s'emmêlent, je sens sa queue se raidir contre mon corps, la mienne reprend des forces également.
-eh bien on va le rattraper le temps perdu mon pote que j'adore… que j'aime!
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
merci cher lecteur
C'est tendre, mignon et terriblement excitant !!!