Mon psy

- Par l'auteur HDS Boutary -
Récit érotique écrit par Boutary [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Mon psy Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-06-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couleur du fond :
Mon psy
Plus les stations défilent, plus j'ai le coeur qui tape et plus je ressens ces picotements dans mon bas ventre.
Je me demande même si je ne suis pas en train de mouiller mon string.
Il faut dire que nos SMS sont devenus carrément torrides ces derniers temps.
AU début ça m'amusait juste mais maintenant, je crève d'envie de sentir ses mains sur moi.
En fait, j'ai juste un vague souvenir de son visage, je me souviens juste qu'il est plus grand que mon mari et que sa voix est grave et calme.
Plus qu'une station ... mon cœur accélère encore :
" Qu’est ce que je fais ? je descend ou pas ? Je ferais bien de faire demi-tour. D'un autre côté depuis le temps qu'on se chauffe et qu'on se promet des tas de trucs ... non décidément, j'ai trop envie qu'il me baise, c'est ça, je ne veux pas qu'il me fasse l'amour, je veux qu'il me baise ...et s’il se comporte comme il le dit dans ses SMS, alors je vais être son jouet sexuel ....moi qui' n'aime pas être dominée par Vic, là, je suis toute mouillé à l'idée de me donner à ce type dont je sais, je suis certaine, qu'il va me soumettre à ses désirs ... et j'ai comme l'impression qu'il en a beaucoup"
Ca y est ; les portes du wagon s'ouvrent ; décidément, je suis terriblement excitée, mais j'ai une trouille terrible.
Je n'ai jamais trompé Vic, sauf dans mes rêves.
Encore que : depuis que nos SMS sont devenus aussi chaud, je me caresse de plus en plus, plusieurs fois pas jour, et ça me donne quand même l'impression de le tromper .... je crois que ça m'excite encore plus. D'un autre côté, c'est de sa faute, il n'avait pas à acheter cet œuf vibrant télécommandé.
Je n'ai jamais voulu qu'il s'en serve ; " c'est ridicule ton truc, tu me ranges ça, il n'est pas question que tu joues avec cette télécommande pour essayer de contrôler mes sens"
En attendant, c'est vraiment génial ; Jean me chauffe avec ses SMS, je sens mon minou qui mouille, je serre les cuisses contracte mon bas ventre et je le sens, puis quand les échanges se font précis et directs, quand j'ai envie de le sentir entrer en moi, alors j'appuie sur le bouton. Je sens les vibrations commencer à diffuser des sensations incroyables dans mon ventre, je réponds à son SMS pour moi aussi le chauffer, en pensant qu'il est peut être en train de se branler, puis j'appuie de nouveau sur le bouton de la télécommande, ce qui accélère les vibrations. Sa réponse arrive : " je vais vous ouvrir et m'enfoncer en vous jusqu'à la garde"
Alors là c'en est trop, je serre les cuisses très fort et d'un coup, je sens l'orgasme qui m'envahie, l'œuf continue de vibrer et cet orgasme, même s'il est bien moins violent que lorsque je baise avec Vic est d'une efficacité redoutable.
Tandis que je jouis, je sens mon sexe couler et je profite du moment. Je reçois alors un autre SMS de Jean qui attend ma réponse à son précédent et qui s'impatiente. Je suis sûr qu'il a sa bite à la main et qu'il se branle.
C'était quoi son dernier SMS ?
HA oui : " je vais vous ouvrir et m'enfoncer en vous jusqu'à la garde"
"Même pas peur" je lui réponds
La réponse arrive très vite : "Alors où et quand ?"
Je descends du métro, j'ai les jambes qui tremblent, la bouche sèche, mais cette excitation me domine. Je ne sais pas s'il baise bien, mais je suis complètement dépendante de ce qu'il m'a laissé entendre qu'il me ferait et comment il le ferait. D'un autre côté, c'est idiot, car je ne sais pas ce qu'il veut me faire, c'est mon esprit qui s'imagine des tas de trucs tous plus confus et imprécis les uns que les autres. Ce qui est sûr, c'est qu'il va me prendre. Sinon, est-ce qu'il va vouloir que je le susse ? Là, pas question, j'aime pas, alors il ira se faire voir"
Le ciel est bleu, je monte les dernières marches de la bouche du métro, je commence à chercher ma direction : "La porte en bois vert juste devant la station m'a-t-il dit."
Ha ; je la vois. Il est encore temps de faire demi tour. Mais non, pas question j'ai trop envie de cette expérience.
Mon doigt tremble au moment d'appuyer sur le bouton de l'interphone:
"Oui ?
Mme R, j'ai rendez vous avec le docteur Jean D.
Entrez"
Ca y est, je ne peux plus faire demi tour, j'ai les jambes en coton.
A la limite, je voudrais que ce soit déjà fini.
Ben dis donc, il ne s’embête pas ! Elle est drôlement belle sa secrétaire et sexy en plus. Les cheveux noirs, une frange qui met encore plus en valeur ses yeux d’un bleu étincelant, des lèvres pulpeuses, des seins pas trop gros mais bien formés que je peux apercevoir par le décolleté profond de son chemisier et la semi transparence de celui- ci.
Est ce qu’il la baise celle là ? Elle croise les jambes avec une grande sensualité et sa jupe déjà courte remonte et laisse voir la dentelle de ses collants, à moins que ce ne soient des bas ….
" Bonjour Madame ; le docteur a pris un peu de retard ; asseyez vous."
Ho non, pas ça ; c'est insoutenable ... et si j'en profitais pour foutre le camp ... Non allé, tu es venue te faire baiser comme une salope, alors reste et fais la salope. Quand même à 45 ans ....si mes enfants savaient"
Une porte s'ouvre, je le vois tenir la porte à une dame, une sacré belle femme même, il lui serre la main, s'efface pour la laisser passer.
Je vois qu'au passage il lui mate les fesses ; "est-ce qu'il vient de la baiser elle aussi ?"
Tout juste s'il me jette un regard, va vers sa secrétaire, lit un registre, se retourne vers moi, me regarde sans aucune chaleur, et d'un geste de la main, m'indique d'entrer dans son cabinet.
Je suis déroutée. D'abord, dans mes souvenirs, il était plus fin de visage, moins grand aussi bref, je le trouvais plus beau, plus en rapport avec mon idéal masculin.
Ce n'est peut être pas lui ? Il semble tellement distant en plus.
Mais, c'est lui, je le reconnais, c'est bien lui. Mais bon, en 6 ans, les gens changent.
Avant d'entrer dans son cabinet de refermer la double porte capitonnée, je l'entends dire à sa secrétaire:
Je ne rentre pas manger à midi ma chérie, alors à ce soir. Pense à amener les enfants à mes parents à 17 h.
Alors là, j'en suis Baba. Sa secrétaire est sa femme. Elle semble beaucoup plus jeune que lui en plus.
Il ne va quand même pas me sauter dans la pièce à côté de sa femme.
Mais à peine la porte est elle refermée, que je sens ses mains se poser sur mes épaules, me retourner, m'attraper, me plaquer à lui, et sa bouche s'emparer de ma bouche, sa langue entrer en moi tandis que sa main, attrape mes fesses et me plaque à lui.
Je suis tellement surprise par la soudaineté des choses que je ne sais plus où je suis, ce que je fais ; je ne profite pas de ce baiser, tant il est violent et sauvage, mais dans des bras si grands, je ne peux pas bouger. Sa seconde main me maintient la tête et sa langue continue d'envahir ma bouche.
Les premiers instants de surprise passés, je reprends mes esprits et commence à lui rendre son baiser.
Je suis sur la pointe des pieds et lui penché en avant tant il est grand.
Sa main me plaque contre lui et me malaxe les fesses.
Je sens son sexe tout dur contre mon ventre.
Il relâche un peu son étreinte, arrête de m'embrasser, me regarde. Son regard est froid, sans compassion.
Il me repousse un peu de la main pour m'écarter de lui. Sa main qui me pelotait les fesses vient se poser sur mon sein. Il en jauge le calibre. Bon ben il devait s'en douter que j'ai des petits seins.
Sa main écarte le col de mon chemisier, glisse directement sous mon soutien gorge et ses doigts arrivent directement à mon téton déjà bien tendu. Il le pince sans prévenir : "aille" et sous la douleur, j'esquisse un mouvement de recul et de protection de mon bras.
Il ne lâche pas mon téton pour autant, me saisi le bras de son autre main pour m'immobiliser et continu à pincer.
Je tente de me débattre, mais il est bien trop fort, et comme la douleur commence à laisser place au plaisir ....
Il n'a toujours pas dit un mot, ne m'a pas fait un sourire.
Je suis tétanisée et commence à me demander si j'ai bien fait d'accepter. J'ai l'impression qu'il veut se pater une salope .... et en y réfléchissant, c'est ce qui m'a excité et c'est pour ça que je suis venue ... mais bon, je m'attendais à plus de tendresse et de convivialité.
Je suis là à m'interroger tout en profitant de sa main sur mon sein entre douleur et plaisir, et je suis complètement incapable de bouger ou de décider quoi que ce soit.

Sa main lâche mon sein, passe sur ma nuque, plaque de nouveau sa bouche contre la mienne. Je sens de nouveau sa langue m'envahir. Vic m'embrasserait comme, ça, je l'enverrais promener ; en fait je n'aime pas trop ces baisers profonds, mais là, sans vraiment aimer, ça m'excite.
Il me relâche, recule mon visage du sien, et avec un léger sourire aux lèvres me dit.
Excitant non ? Je vais vous obliger à lâcher prise. Juste des mots, des directives et vous rien, juste des gémissements, des cris ; vous pouvez hurler, le cabinet est insonorisé. Mais pas un mot, pas une question.
Il commence alors à déboutonner mon corsage.
J'en profite pour poser ma main sur sa braguette avec la ferme intention de sentir l'engin et de le faire sortir, mais avant même que j'ai pus sentir sa bite, sa main retire la mienne et il dit : c'est moi qui dirige ; vous ; vous ne faites qu'obéir.
Je suis encore plus décontenancée,
Il m'enlève mon chemisier, glisse sa main dans mon soutien gorge, mais contre toute attente, ne le dégrafe pas. Puis il défait ma ceinture, ouvre ma braguette, libère mon pantalon et le fait glisser.
Je sens mon odeur s'échapper de ma culotte tant je suis trempée.
Il laisse glisser mon pantalon qui tombe sur mes chevilles et je sens un doigt se poser sur ma chatte à travers le tissus de mon string.
Le doigt a tôt fait de passer sous le string et commence à s'aventurer sur les contours trempés de mon sexe.
Je ne vous avais pas demandé de vous raser intégralement ?
Si mais ....
Chuuut; j'ai dit pas un mot ; tant pis pour vous !!!
Mais que veut-il dire ? De toute façon, je n'avais pas l'intention de me raser alors .... mais qu'à-t-il voulu dire par tant pis pour vous ? J'espère qu'il ne va pas me planter là, comme ça. S'il me fait ça, je me caresse devant lui ; comme ça ....
Il fait glisser mon string qui rejoint mon pantalon sur mes chevilles.
Du coup, je me sens encore plus vulnérable ……. Et je crois que ça m’excite encore plus
Puis, il reprend sa caresse. Son doigt se fait plus précis, commence à entrer tout au bord et à ressortir pour entrer un peu plus loin la fois suivante tandis que sa paume de main caresse mon clito.
Je sens déjà l'orgasme arriver, je me contracte, mon souffle devient plus rapide ; il le sent car il ralentit son manège sur mon clito, mais ses doigts eux continuent. Je dis eux, car ils sont deux maintenant, puis trois. Je sens que ça force un peu à l'entrée d'autant que je ne peux pas écarter les jambes à cause de mon pantalon toujours sur mes chevilles, mais il y parvient. C'est divin ; ils ne bougent pas beaucoup vu la position, mais de sentir ces doigts forcer mon corps dans de telles circonstances me procure des sensations inconnues. J'essaye de l'aider à aller plus loin, mais d'un coup ses doigts se retirent. Dommage, j'étais vraiment sur le point de me payer un super orgasme vaginal, ce qui est extrêmement rare pour moi. Autant je pars au 1/4 de tour si on me stimule bien le clito, autant les caresses vaginales seules m'ont rarement fait exploser. Mais là ....
Il se recule un peu, me dit d'enlever mon pantalon de mes chevilles. Je me sens un peu ridicule avec mes chaussettes et mon soutien gorge mais sans culotte, la chatte trempée devant lui toujours avec sa cravate et son costume.
Alors que je me baisse pour ramasser mon pantalon, je sens sa main se poser entre mes fesses, tandis que son autre main appuie sur mon dos pour m'obliger à rester penchée comme ça, en avant.
Je panique. Je ne le vois pas derrière moi, que va-t-il faire? J'esquisse un mouvement pour me relever, mais sa main m'en empêche.
Je sens son autre main, glisser de mon petit trou à mon clito. Je dégouline littéralement.
Il me prend les mains tout en me laissant penchée en avant, me les pose sur le bord du meuble qui est devant moi. Je panique, mon cœur bas à tout rompre. Il va me prendre, là, par derrière, alors que je n'ai même pas vu sa queue. Mais je me laisse faire encore et encore.
Il m'écarte un peu les jambes. Je devine qu’il s’accroupit derrière moi. Il va sans doute me lécher. Ce n’est pas que je n’aime pas, mais Vic n’est pas le champion du cuni et là, tout de suite, ce que je veux, c’est sa queue
Il doit voir toute mon intimité, je me sens ridicule, vulnérable, et je sens de nouveau ses doigts entrer en moi, mais contre toute attente, il ne me lèche pas. Ses doigts s’activent, Il fait monter mon désir mais s'arrête quand il se rend compte que je vais craquer. Il joue avec moi. C'est à la fois très fort, très bon, très excitant, mais c'est aussi presque humiliant. Va-t-il me prendre? Va-t-il continuer à jouer comme ça ? Je ne sais pas, je suis à sa merci, je me laisse faire, je suis sur une autre planète.
Quand je sens ses 2 mains se poser sur mes hanches, s'en saisir plutôt, je devine que mon doux supplice va prendre fin, et qu'il va enfin entrer en moi, enfin, je vais sentir cette queue m’envahir, me pilonner, c’est bien pour ça que je suis là … mais non, je sens son pantalon se frotter contre mes fesses et je l'entends rire, comme s'il était content de sa blague.
Mais moi je n'en peux plus, je veux le sentir me prendre, je veux qu'il me bouscule, je veux découvrir sa queue, la voir, la prendre entre mes mains.
Il a du lire dans mes pensées, car il me retourne. Je l'affronte du regard, je le défie, je le brave, mais contre toute attente, il m'embrasse de nouveau, et me retourne ensuite de nouveau en appui sur ce meuble.
J'en ai marre, ça va durer combien de temps, je veux jouir, c'est tout.
"Alors, vous commencez à lâcher prise ? vous commencez à comprendre qui dirige le jeu ?"
Vous ne jouirez QUE lorsque je l'aurai décidé, et comme je l'aurai décidé".
Il me possède complètement, il joue avec mon corps avec mes sens et avec mon esprit, il est entré dans ma tète alors que je voudrais qu'il entre dans mon corps .... ce qu'il fait de nouveau avec ses doigts, mais là, je sens que c'est plus dur à entrer.
"Je vais vous ouvrir doucement, mais totalement!"
Il appuie sur mes reins, me fais me cambrer, je le sens qui force mon entrée, je n'ai jamais laissé entrer quelque chose d'aussi large. Je me sens écartelée, mais finalement c'est bon, il force, et d'un coup, je me sens complètement envahie, je me sens comblée au sens propre, je sens sa main toute entière en moi, pourtant sa main ... je n'aurais jamais pensé que je pouvais recevoir quelque chose d'aussi gros.
Je sens sa main bouger, tourner, tenter des caresses commencer à ressortir, puis entrer de nouveau. Il est entrain de m'écarteler et j'aime ça, j'adore ça, je ressens des choses inconnues, des sensations qui viennent de mon ventre et que je ne connaissais pas. Je sens monter un plaisir inconnu, je ne sais pas expliquer ce que je ressens, mais c'est extrêmement fort, et sa main qui va et vient maintenant presque librement dans mon ventre ; sa caresse change, 2 ou 3 de ses doigts viennent frotter l'avant de mon vagin, je halète, je gémis, je suis ailleurs, mais ses doigts me font des choses étranges, ce n'est pas comme quand je sens monter mon orgasme ; c'est fort, très bon, mais je ne connais pas cette sensation qui vient de mon ventre. C’est comme si l’orgasme montait sans jamais me faire exploser, c’est de plus en plus fort, je me contracte pour essayer de déclencher mon plaisir, mais non, aussitôt, il retire sa main, puis recommence avec 2 doigt, puis trois, puis toute la main qui maintenant entre et sort presque librement. Je tente de poser mes doigts sur mon clito pour en finir, mais aussitôt, son autre main se saisie de la mienne et vient la reposer sur le bord du meuble.
Il joue avec moi comme jamais on ne l’a fait, comme jamais je n’aurais pensée accepter que l’on me domine.
Mais cette tension intérieure continue à monter sans cesse. Mais quand cela va-t-il s’arrêter.
Je sens sa main sortir et 2 ou 3 de ses doigts viennent appuyer fortement dans un mouvement de frottement sur l’avant de mon vagin, tandis que son autre main commence une danse énergique sur mon clito.
A peine a-t-il commencé que je sens arriver un orgasme incroyable, jamais je n’ai ressenti cela.
Une tension dans mon bas ventre et d’un coup, je sens l’orgasme se déclencher, accompagner d’une sensation incroyable ; j’éjacule !!! de grands jets de liquide sortent de moi. Le plaisir est insoutenable d’autant qu’il continu à me frictionner le vagin et le clito. Tant qu’il continue ses mouvements, je sens de longs jets de ce liquide gicler et me mouiller les jambes. Je crie, je hurle, je me contracte, je voudrais que ça n’arrête jamais et en même temps mes jambes me lâchent. Je m’accroche au meuble. Je ne pense plus à sa queue, je n’ai plus envie qu’il me prenne, je jouis comme jamais.
Encore quelques jets chauds me coulent sur les jambes, je sens la tension commencer à décroître, mes bras tremblent, mes jambes tremblent, tout mon corps tremble et mon cœur bat la chamade avec une violence inouïe.
Il continue à me frotter le clito, le vagin, mais petit à petit, il ralentit, puis s’arrête.
Je sens une vive douleur au moment où il me claque les fesses.
Je me redresse, ridicule, humiliée, tremblante, mais heureuse comme jamais.
Il me retourne, je n’ose pas lui faire face ; j’ai toujours mon soutient gorge, lui est toujours habillé, mais je vois clairement la bosse de son pantalon. Mes yeux remontent jusqu’aux siens ; j’ai honte de moi. Il me regarde avec un demi-sourire :
« Alors, Madame ne savait pas qu’elle était fontaine ? »
Je n’ose rien dire. Non je ne le savais pas. Je pensais même que c’était un truc bidon qu’on ne voyait que dans les pornos grâce à un trucage.
He bien non, c’est pas bidon et c’est même incroyablement bon.
Je suis toujours aussi gênée, mais j’ose affronter son regard.
Que va-t-il se passer maintenant.
J’ai une folle envie de partir en courant, mais vu la taille de la bosse dans son pantalon, je doute qu’il me laisse partir comme ça.
En effet, en me prenant le bras, il me dirige vers la table d’ostéo.
Il me fait assoir. Mes jambes serrées pendent dans le vide.
Sans douceur, il me les écarte.
« voilà ce qui arrive quand on ne fait pas ce que je dis ; vous ne vous êtes pas rasée la chatte (j’ai horreur de ce terme que je trouve humiliant, mais quand c’est lui qui le dit, ça m’excite) je vous ai punie.
Bonne punition quand même, n’est-ce pas ?
Je ne sui pas prête de me raser ceci dit, car si à chaque fois je prends un pied pareil, je veux bien désobéir tout le temps, encore que, je commence à me méfier du personnage. Je pense que nous n’avons pas les mêmes limites et je le crains.
Il regarde mon sexe encore trempé, approche sa main, glisse deux doigts dessus en appuyant bien sur mon clito, ce qui a pour effet immédiat de ma faire tressaillir, fermer les yeux et écarter les cuisses.
Il ne va pas recommencer quand même ? pas tout de suite, pas comme ça. Cette fois, je veux le sentir s’enfoncer en moi, je veux voir sa queue, je veux la prendre dans ma main, je veux me rendre compte de sa taille ….
Il sourit, d’un sourire narquois, tout en continuant à me caresser doucement. C’est bon, j’aime ça. J’ouvre encore plus les cuises, je bascule bassin, je l’invite à me prendre, là tout de suite.
Mais rien n’y fait. Il cesse sa caresse, remonte sa main devant mon visage et me présente 2 doigts dégoulinant de ma mouille devant la bouche.
J’ai horreur de ça ! Il voit que je n’accepte pas, alors de son autre main, il se saisit de mes joues et fait pression pour m’ouvrir la bouche. Sitôt entrouverte, il glisse ses doigts dedans … et mécaniquement je commence à les lécher. Je m’abandonne encore à ses caprices. Je ne me reconnais pas.
Je ferme les yeux en lui léchant les doigts et d’un coup, je me dis qu’il est en train de « m’annoncer » par cette caresse qu’il va falloir que je le suce ! Pas question, ça je ne veux pas. Je ne le fais déjà pas à Vic ….. mais vais-je oser, vais-je réussir à résister à cette emprise qu’il a maintenant sur moi … et que j’accepte !!!
Contre toute attente, il se penche délicatement vers moi et commence du bout de sa langue à me lécher le tour des lèvres, puis sa langue glisse dans ma bouche et me lèche.
Il arrête se redresse, me regarde droit dans les yeux et me dit : « c’est bon »
Je ne suis pas de son avis, mais si ça peut accélérer le moment où il va me prendre …
« Vous voulez vous faire sauter n’est-ce pas ? vous voulez que je vous la mette bien au fond »
Ces propos que je trouve d’une extrême vulgarité et que je ne tolère pas d’ordinaire, m’excitent terriblement.
Je tente un « oui » timide du bout des lèvres tant je suis décontenancée.
Il me regarde sans répondre, s’accroupit devant moi.
Ho non, maintenant, il va me lécher …
En effet, ses mains m’écartent les cuisses sans ménagement, puis ses doigts se saisissent de mes lèvres, les écartes ; sa langue se pose dessus, glisse sur mon clito, me fouille, me lèche, me titille.
Mais en fait j’adore ça, c’est Vic qui ne sais pas s’y prendre. Je bascule ma tête en arrière, bascule mon bassin pour faciliter ses allers et venues. Petit à petit, je le sens se rapprocher de mon petit trou qu’il commence à lécher puis à titiller avec sa langue. C’est divin comme caresse. Sa langue force doucement mon œillet puis le lèche de nouveau repart dans ma chatte, y retourne… je n’aurais pas joui aussi fort il y a quelques minutes, je pense que j’aurais pu repartir pour un tour. Sa bouche laisse sa place à ses doigts qui de nouveau entrent moi et viennent frotter cette même zone qui, tout à l’heure, a déclenché cette éjaculation merveilleuse.
Mais il y va moins fort, c’est très bon, mis pas aussi intense que tout à l’heure.
Ses doigts ressortent et parcourent ma raie. Ils s’attardent sur mon petit trou, le caresse en rond, pèse un peu dessus puis repartent, reviennent pèsent plus fort jusqu’à commencer à s’introduire.
Alors là NON. Tout d’un coup je réalise ce qu’il compte me faire. Pas question. Ma chatte tant qu’il veut, mais mon petit trou NON, On a essayé une fois avec VIC. J’ai dérouillé, je n’ai pas joui et je n’en veux plus.
Du coup je me contracte, bouge pour lui en interdire l’accès tout en craignant qu’il insiste.
Mais non, sans rien dire, il arrête cette caresse et reprend ses allés et retours sur et dans ma chatte. C’est bon, mais je voudrais bien passer à autre chose maintenant.
Comme s’il lisait dans mes pensées, il me dit : « vous voudriez bien que je vous baise n’est ce pas ? » j’esquisse un « oui » timide du bout des lèvres.
Alors il se lève, me regarde froidement et me dit « vous avez déjà oublié ? c’est moi qui dirige tout, vous, vous devez vous laisser faire et lâcher prise c’est l’objet de la leçon d’aujourd’hui »
Mais qu’est-ce qu’il veut ? qu’est-ce qu’il attend de moi ?
« Allongez vous sur le dos et enlevez ce soutient gorge ; je vous veux toute nue, toute à moi»
« Écartez les jambes et posez vos pieds sur les arceaux gynéco »
Je m’exécute timidement ; mes angoisses me reprennent. De quoi est-il capable ? S’il compte me faire jouir comme tout à l’heure je veux bien, mais sera-t-il aussi habile avec sa bite, car c’est elle que je veux . Je veux la sentir se glisser en moi. Je la devine grosse, épaisse, j’ai envie de sentir un membre de belle taille ; tant qu’à faire la salope, autant en profiter complètement.
Il se tient debout à hauteur de ma tête.
Il porte la main à sa braguette ; enfin, je vais voir l’objet de mon fantasme du jour.
Il ouvre sa braguette, entre sa main et en sors difficilement son sexe tant il est tendu.
Il n’est pas si grand que ça, mais qu’est-ce qu’il est gros, épais
Il est décalotté, ce qui m’excite rien qu’à le voir ; ça me change de celui de Vic qui lui est bien plus fin bien qu’aussi long, mais son gland est toujours encapuchonner dans son prépuce.
De voir ce gland large, dénudé, cramoisi, brillant, perlant d’une goute de son jus, avec le frein tendu à se rompre, juste sorti du pantalon, me fait monter de nouveau des ondes de plaisir.
Délicatement, je tends la main pour m’en saisir, il se rapproche du bord de la table, mes doigts se referment enfin sur cet objet de mon désir. Mes doigts peinent à en faire le tour. J’enferme le gland dans ma main et entrouvre à peine mes doigts pour descendre le long de sa hampe et commencer mes allers et retours. J’aurais préféré qu’il me baise, mais je lui dois bien ça si c’est ce qu’il veut après le pied qu’il m’a fait prendre.
Mes allers et venus se font plus expert, je vois que je commence à lui procurer de bonnes sensations, sa tête part légèrement en arrière, ses yeux se ferment à moitié, il profite. Cette fois, c’est moi qui le tient à ma merci ; c’est moi qui dirige ; non mais, il ne me connaît pas.
Alors que j’en suis là, à contempler ce sexe tendu qui me fascine et que j’imagine volontiers en train de me pourfendre, sexe à qui je prodigue des allers et retours savants de plus en plus rapide, il m’attrape la tête et vient plaquer cette bite énorme contre ma bouche.
Elle est mouillée, elle sent fort. Je ferme les lèvres pour bien lui montrer que c’est non, mais il insiste, force ma bouche et d’un coup, je sens cette chose chaude, énorme au gout fort entrer dans ma bouche et aller jusqu’à ma gorge.
Il me provoque un haut le cœur, mais il continue à pousser au fond de ma gorge, puis recule et recommence. Il se sert de ma bouche pour se branler.
Sa bite est tellement grosse que ma bouche entièrement ouverte suffit à peine à la recevoir.
Il me tient toujours la tête et lui imprime un mouvement à la cadence qui lui convient. Il grogne et dit des trucs dans lesquels je crois discerner le mot de « salope », mais je subis complètement ce qu’il m’impose. Je n’apprécie pas plus que ça, même si dans ma tête, ce rôle qu’il m’impose m’excite toujours autant. D’un coup, je sens sa main se poser brutalement sur mon sexe. Enfin , je vais reprendre un peu de plaisir.
Tout en continuant à me limer la bouche, il me dit
« pompe moi salope, aspire, fait moi jouir dans ta bouche »
Je n’aime pas ça, mais alors pas du tout, mais j’ai clairement l’impression que je ne vais pas y couper, d’autant qu’il manque m’étouffer à chaque fois qu’il plonge dans ma bouche. Sa main continue à me branler le clito, puis s’insinue en moi encore, puis descend à mon anus, et là, sans prévenir et sans que je m’y attende, il m’enfonce un doigt. La surprise, la douleur me font me révolter, mais je ne peux pas bouger, il continue à limer ma bouche et à me tenir la tête tandis que son doigt entrent sans délicatesse dans mes entrailles.
Il ressort, remonte à ma chatte, plonge dedans, plongent dedans devrai-je dire, car il me met 2 doigts qui glissent de suite à mon petit trou qu’ils forcent. La douleur est vive mais je ne peux pas crier. Il m’écarte, il m’ouvre, je me contracte ; ça me fat encore plus mal, alors je comprends que rien ne sert de luter, je le laisse faire et en effet, c’est moins douloureux. Il insiste entre dedans, force, écarte. Je suis humilié, j’ai mal, il me fait limer sa bite, il va me jouir dans la bouche, mais je suis excitée comme jamais. Je suis son objet, son jouet et j’aime ça ! Ses doigts continuent à m’ouvrir.
Je l’entends dire « alors ma petite salope ; c’est bien serré ce petit cul, il faut le travailler un peu avant de bien l’ouvrir. C’est alors qu’il en profite pour tenter d’y introduire un troisième doigt. La douleur est si vive que je tente de crier mais sa queue est toujours là dans ma bouche, ce qui a pour effet de l’enfoncer encore plus dans ma gorge. Je sens alors sa main quitter ma chatte, se saisir de ma tête qu’il tient maintenant avec ses 2 mains, accélérer le mouvement de ma bouche sur sa queue et d’un coup, je sens son gland gonfler encore et lâcher son foutre dans ma bouche. Tandis qu’il jouit, il grogne et accélère les mouvements de ma tête tout en mettant de violents coups de reins.
Je sens ce liquide couler de ma bouche, j’en avale une partie, c’est chaud, c’est fort, je n’aime pas ce gout et excité comme il est, j’ai la dose. Il continue à se branler doucement de sa main tandis que je tente de faire sortir de ma bouche son sexe qui reste énorme.
« Non non, vous allez avaler jusqu’à la dernière goute petit pute. Alors comme ça on n’aime pas les pipes ? vous allez apprendre à aimer, ……… ça et le reste »
Je le regarde tandis qu’il sort sa queue de ma bouche ; il a un sourire satisfait aux lèvres. Il ne me plait pas quand même, mais il sait me faire jouir et m’exciter, et j’aime ça.
De son sperme a coulé de ma bouche. Il frotte son gland dessus et me le fourre dans la bouche
« j’ai dit jusqu’à la dernière goute »
Bon ça avait bien commencé avec cet orgasme de fou, mai là, une pipe un peu violente et 3 doigts dans le cul qu’i m’ont fait mal sans que j’en tire parti, c’est pas top.

« Rhabillez vous me dit-il sans préambule. »
Je ne comprends pas ; il s’en rend compte à mon regard étonné.
« Il est 11h25 et j’ai un rendez vous dans 5 minutes. »
Je descende la table, prend mon soutif, le remets, et tandis qu’il se lave les mains, je veux prendre un kleenex pour m’essuyer la bouche et le sexe.
Il m’en empêche :
Non, vous, vous restez comme ça » et tout en le disant, il ramasse mon string, le passe devant son nez, le hume et le mets dans sa poche de pantalon.
Je ne comprends plus rien ; il me vire maintenant
Je remet mon pantalon, mon chemisier, me réajuste un peu et tandis que je mets mes chaussures, je sens sa main venir se poser sur mes fesses.
Je me relève et à mon air il comprend que …. je ne comprends plus rien.
« Deuxième séance à 12h 30 » me dit-il. «en attendant, allez au café au coin de la rue, et ne soyez pas en retard ! »
Il ouvre la porte, me pousse délicatement dehors tandis que sa femme, la secrétaire est en train de classer des dossiers dans un placard en hauteur, ce qui me permet devoir que c’est vraiment une belle femme. Si elle pouvait se douter de ce qui vient de se passer, de ce que vient de faire son psychiatre de mari !!!
Une seconde porte s’ouvre et un autre médecin en sort accompagnant une autre femme.
Ils se regardent du coin de l’œil et je suis certaine d’avoir vue un regard de connivence entre eux. Si ça se trouve, Jean en a parlé à son associé et va tout lui raconter. Je suis très très mal à l’aise : sa femme, son associé qui semble se douter de ce qui c’est passé et moi, comme une cruche, qui vais aller attendre au café pendant que ce Monsieur va peut-être faire la même chose avec sa nouvelle patiente. Mais bon, celle là, elle est vieille et moche …
« Au revoir Madame R et ne soyez pas en retard pour votre prochaine séance »
C’est tout ! Rien de plus, je sors du cabinet complètement décontenancée. Dans mes pires fantasmes, je n’avais pas imaginée cela.
Je m’assieds dans la sale, commande un café et encore toute tremblante, je me rends aux toilettes. C’est vrai que je n’ai plus ma culotte.
Tout me revient, je suis encore perdue. Qu’est-ce que j’ai fait ? D’un autre côté, je voulais du sexe, je voulais de l’imprévu, j’ai été servie.
Je retourne à ma table en me demandant si je ne ferais pas mieux de partir, de rentrer chez moi, d’oublier cette parenthèse. J’ai l’impression que tout le monde me regarde, que tout le monde sait ce que je viens de faire, que je n’ai pas de culotte et que je vais retourner me fourrer dans la gueule du loup, façon de parler dans … 1 heure. Encore une heure.
Cette pendule n’avance pas, je voudrais partir ma raison me l’ordonne, mais je suis comme droguée, je ne parviens plus à me détacher de cette envie folle de me soumettre de nouveau à ses ordres, et puis, maintenant que j’ai vu sa bite, je la veux, je veux la sentir me ramoner, je veux qu’elle me pilonne, qu’elle me fasse hurler.
L’heure tourne lentement et mes sens se calment, mais pas mon cœur qui bat toujours aussi vte à chaque fois que je revois sa bite entrer dans ma bouche, lâcher son sperme dans ma gorge contre mon gréé.
Encore 10minutes ; je suis de nouveau excitée comme une folle à l’idée de ce second rendez-vous.
Je repense à ces jets qui sont sortis de moi, ce plaisir incroyable que j’ai éprouvé : ma chatte recommence à mouiller. Si j’avais mon œuf, je me payerais un orgasme là, tout de suite, devant tout le monde, en faisant comme si de rien.
Je suis en chaleur, je n’ai plus qu’une envie, me faire baiser.
5 minutes. J’y vais. Je paye et me rend à la porte de son cabinet. Je sonne. Rien, je re-sonne, puis une troisième fois : rien. Le salaud ; il ne va pas me faire ça, pas maintenant ; mais il va me rendre folle celui-là.
Il est moins 25 : je re-sonne, je reconnais sa voix à l’interphone.
Il m’ouvre.
Sa femme n’est plus là, la porte du cabinet de son associé est ouverte. Il ne semble pas être là non plus.
Face à mon inquiétude qu’il peut lire sur mon visage, il me dit :
Oui, on est seuls, rien que nous, tout l’après midi. La seconde séance va être beaucoup plus intense et instructive que la première »
Ben alors là, qu’est ce que ça va être !
« On reprend où nous nous sommes arrêtés »
Je me demande s’il blague, mais vu son regard, je ne crois pas.
Je tente bien de lui dire que je voudrais un peu plus de tendresse, mais à peine ai-je ouvert la bouche qu’il me pose un doigt dessus et me dit :
« j’ai dit pas un mot ; j’ordonne, je donne le directives, je pilote : vous exécutez. Vous devez apprendre à lâcher prise, je vais vous l’enseigner »
Comme je tarde à me déshabiller, il me plaque contre lui, me fourre encore sa langue épaisse dans la bouche et entreprend de me peloter les fesses.
Je n’aime pas sa façon intrusive de m’embrasser, mais l’effet est néanmoins immédiat.
Je sens de nouveau des picotements dans mon ventre.
Je me recule et commence à dégrafer mon pantalon.
« Complètement nue » me dit-il.
C’est humiliant de se déshabiller de la sorte, mais encore une fois je m’exécute.
Il me regarde, ses yeux me dissèquent, lorgnent sur mes seins qu’il n’a pas l’air de les trouver à son gout (d’un autre côté, je le comprends quand on devine ceux de sa femme)
Puis ses yeux descendent à mon sexe, à ma petite toison encore humide et toute collé.
Une fois complètement nue, il me conduit vers la table d’ostéo et me demande de reprendre la même pose qu’avant mon départ. Je ne suis plus excitée et c’est vraiment difficile cette fois ; j’ai l’impression d’une consultation chez le gynéco plus que chez mon psy. Et puis que va-t-il faire de mois cette fois. J’ai encore des douleurs à l’anus, j’espère qu’il ne va pas réessayer …
Mais qu’est-ce qu’il fait, il est assis à son bureau et semble lire quelque chose. Il se fout de moi ou quoi ? Je me relève sur les coudes et vais pour dire quelque chose, mais il me devance et m’ordonne de reprendre la pose et de me taire. Cette fois j’en ai marre, je me lève, récupère mes vêtement et commence à me rhabiller. Je le surveille du coin de l’oeil ; il ne bronche pas, ne me regarde même pas. Je me penche en avant, lui montrant ma croupe, mes lèvres qui doivent s’ouvrir et avant même que je n’ai commencée à me relever, je sens ses mains qui m’agrippent la taille. Je sursaute, mais enfin, le jeu va reprendre.
Je sens son pantalon contre mes fesses, je sens son sexe gonfler à leur contact.
Ses mains se portent sur mes seins, en pincent les tétons, les malaxent, puis descendent à mon entre cuisse, toujours sans un mot. Ses doigts sans même me caresser m’écartent les lèvres me font des choses et surtout provoquent immédiatement une folle montée de désir accompagnée de mouille.
Encore une fois il porte son doigt mouillé par moi à sa bouche et semble s’en délecter.
Puis aussitôt, il me tourne vers lui et m’embrasse. Je sens le goût de ma cyprine dans la bouche. Je n’aime pas ça, mais ça m’excite terriblement ; le jeu reprend.
Allongez-vous comme tout à l’heure.
Tandis que je le fais, il regarde bienm on sexe s’ouvrir, s’approche de la table me dit :
« ce matin je vous ai ouvert la chatte, maintenant, je vais vous ouvrir le cul »
Je tremble presque de trouillle, mais je n’ose pas me soustraire, j’ai trop envie de retrouver ce niveau d’excitation.
Il dégrafe son pantalon, le laisse tomber ainsi que son boxer, enlève sa cravate et sa chemise.
Il m’impressionne par son gabait, mais vue comme ça, sa bite est grosse oui, mais longue aussi et m’impressionne encore plus. Je ne m’en étais pas rendu compte ce matin alors qu’elle était encore en partie dans son pantalon.
Je sens ses mains se poser sur mes seins, mon ventre et descendre vers mon sexe. Il recommence à me caresser mais cette fois, j’ai son sexe devant les yeux, je m’en saisi, je commence à le branler il se laisse faire. Cet engin me subjugue. Je le veux dans moi. Je veux sentir une bite de cette taille s’emparer de moi.
Contre toute attente, il glisse doucement un doigt sur mon œillet et remonte à ma chatte qui mouille de nouveau terriblement et recommence à m’introduire 2 doigts, puis 3 puis toute la main.
C’est divin même si dans cette position la pénétration est plus difficile.
Je tiens toujours son sexe dans la main, je le caresse sans vraiment le branler.
« Je veux voir votre sexe couler »
Il ressort sa main, l’entre de nouveau. Il pose sa bouche sur on clito et commence à l’aspirer, à le titiller tandis que sa main entre de nouveau en moi. Je vais craquer s’il continue. Il s’en rend compte et retire sa main, arrête de me lécher, enjambe la table et viens se positionner au dessus de moi.
Enfin, il va me prendre. Enfin je vais sentir ce pieu labourer mon ventre, je vais le sentir jouir au fond de moi, sentir ses soubresaut tandis qu’il lâchera son jus.
Il s’allonge sur moi, prend sa bite à la main et la frotte contre mon clito qui ne demande que ça. Puis il la présente à l’entrée de ma chatte. Je cambre les reins pour qu’il me prenne, enfin, mais il reste là, j n’en peux plus, je le veux. Je lui dis :
« viens »
Il me regarde et me répond :
« Pas un mot, j’ai dit ! c’est moi qui décide et le vouvoiement reste de rigueur »
Zut, il va encore me faire attendre du coup.
Il recommence à se frotter contre ma vulve et je n’ose plus rien dire, ni rien faire ; j’attends le bon vouloir de monsieur.
Il me regarde tressaillir et joue avec moi.
C’est trop long ; c’était mieux ce matin rapide efficace jouissif, là je commence à m’ennuyer, l’excitation n’est plus la même.
Et, alors que je m’y attends le moins, il pousse d’un seul trait sa bite en moi.
Je la sens chaude, épaisse, longue, forte, entrer en moi venir buter au fond de moi. Il s’arrête dans cette position, c’est divin, je me sens comblée. C’est moins gros que sa main, mais c’est plus chaud, plus viril, c’est ce que je voulais depuis ce matin.
IL ressort et entre de nouveau plus sèchement me soutirant un gémissement.
Mes jambes se soulèvent puis viennent se poser sur son dos.
Enfin, il me baise. Ses assauts sont de plus en plus forts, vigoureux, rythmés. Il est parti dans une chevauchée fantastique qui me fait gémir à chaque poussée.
Je cambre les reins pour que son pubis vienne frotter sur mon clito.
Le rythme est maintenant bien cadencé et je sens monter en moi un orgasme, mais un orgasme, …. comme je les aime, violent, fort, je sens à sa respiration qu’il ne va pas tarder lui aussi. De penser à son foutre qui va gicler en moi, me déclenche, il se met alors à me pilonner avec force ; c’est à limite de la douleur, mais le plaisir est le plus fort ; je hurle tandis que je sens son foutre chaud se répandre en moi. Il grogne, continu à gicler et petit à petit arrête ses mouvements.
Nous sommes en nage. Je suis perdue, j’ai envie de dire des mots tendres, mais pas à lui, à Vic …. Il se retire, je sens son jus couler de moi.
Il passe sa main dessus en imprègne ses doigts et les porte à ma bouche. Je me laisse faire, ouvre la bouche et suce. Je n’aime pas ça mais il a l’air satisfait et recommence. Je n’aime pas, mais qu’est-ce que ça m’excite.
Il approche ensuite sa queue de mon visage ; il est encore plus impressionnant comme ça et m’incite à le prendre dans ma bouche. Je le lèche, le nettoie.
« Voilà ; vous voyez que vous commencez à lâcher prise …. Même si vous n’y prenez pas goût »
La tension retombe et je me dis que je vais partir quand le téléphone sonne.
C’est drôle, il est nu, encore en érection (et quelle érection) et répond au téléphone.
« Oui ………… hummm ………….. OK »
Il raccroche.
Il me regarde avec un drôle de sourire. Ha ? ce n’est pas fini ? A la limite, j’aimerais bien faire comme ce matin, une éjaculation, j’ai adoré.
Il s’approche de moi, me regarde, me caresse les seins, descend encore sa main vers mon sexe et recommence à me branler le clito.
Il est insatiable. Si seulement Vic pouvait …..
Je me saisi de nouveau de son engin qui me fascine tant et commence à le branler avec la ferme intention de la faire gicler et de le voir gicler. Oh oui, je voudrais le voir gicler et puis j’aurais comme ça l’impression de reprendre la main …. Façon de parler.
Mes deux mains courent le long de sa tige, caressent son gland tandis qu’il laisse courir ses mains sur mes seins, mon ventre, ma chatte.
Tout d’un coup, sans rien dire, il arrête mes caresses, me saisi par la taille, me fait descendre de la table, me penche en avant … Va-t-il recommencer comme ce matin.
Je sens son sexe contre ma chatte ; Oh oui, comme ça, je vais bien le sentir.
Il m’empale littéralement m’arrachant un cri. Dans cette positon, il va bien plus loin, c’est limite douloureux. Je le lui fais comprendre, alors, gentiment, il va moins loin, il ressort de moi, entre de nouveau, ressort, frotte son gland que j’imagine trempé contre ma chatte, recommence comme ça plusieurs fois. C’est divin, ça pourrait durer des heurs … tant qu’il ne me caresse pas le clito, je peux profiter à la limite del’orgasme. De temps en temps, il plonge en moi et reprend ensuite son manège.
J’en déduis qu’il recharge ses batteries pour m’inonder une seconde fois, et applique de nouveau son gland contre moi. Mais cette fois, dès qu’il commence à pousser, je sens une douleur bien réelle ; il commence à m’enculer. J’essaye de m’échapper, mais il me tient. Il pousse, je sens comme une brulure sur mon œillet et comme une chaleur dans mon ventre, mêlant douleur et plaisir.
J’essaye bien de me débattre, mais c’est peine perdue. Il pousse encore et encore. Mais rien n’y fait, ça n’entre pas. Il se retire, je sens ses doigts se poser avec force sur ma rondelle, un doigt y entre, bientôt suivi d’un second. J’ai mal, il essaye d’entrer un troisième doigt et je l’entends me dire, tout contre mon oreille :
« je vais vous ouvrir le cul comme je vous ai ouvert la chatte »
Il est fou, mais tandis qu’il me dit ça, il parvient à entrer son troisième doigt. La douleur est moins vive, ce n’est pas encore plaisant, mais encore une fois, je m’abandonne, je lâche prise.
Ses doigts me fouillent, m’écartent, m’ouvrent. J’en arrive presque à souhaiter qu’il m’ouvre délicatement un peu plus de façon à ne pas souffrir trop des assauts de sa queue qu’il ne va pas manquer de me mettre.
Mais non, ses doigts ressortent, me laissant l’impression étrange de n’être plus comme avant, d’avoir perdu un second pucelage et d’avoir une sensation de relâchement au niveau d l’anus.
Instinctivement, je le contracte alors que je sens sa queue de nouveau en position contre mon cul.
Il me tient les mains ; cette fois, c’est la bonne ; j’ai peur d’avoir mal, mais j’ai aussi très envie, de plus en plus envie qu’il s’enfonce en moi comme ça.
Il pousse, je sens le gland forcer l’entrée, ça me fait mal, mais pas autant que tout à l’heure. Je le sens aller et venir tout doucement en de tous petits mouvements très courts et très lents. Je le sens qui est entrain de me dilater. Puis il reprend sa poussée, je me sens écartelée et cette fois, il ne s’arrête pas. Il pousse, lentement mais surement.
Mon ventre me brule de plaisir autant que mon anus me brule de douleur.
« je vais vous enculer jusqu’à la garde, comme ça, vous serez complètement dépucelée et on aura de la place »
Je ne prête pas vraiment attention à ses paroles toute soumise à sa volonté et surtout à mes douleurs, qui petit à petit commencent à diminuer.
Je le sens ressortir, et c’est presque plus douloureux que l’aller, mais une fois au bord, d’une poussée franche et virile, il m’empale d’un coup, jusqu’au fond. Je sens ses couilles venir taper ma chatte.
Je hurle tant la douleur est vive, mais rien n’y fait, il commence à me chevaucher et à me niquer comme une salope et petit à petit, la douleur fait place au plaisir. C’est très différent comme plaisir, mais c’est très bon aussi. J’approche ma main de mon clito timidement, de peur qu’il m’en empêche, mais au contraire, tout en me labourant sauvagement et profondément le cul, il me dit.
Vas y petit pute, branle toi, fais toi jouir pendant que je te dépucelle comme il faut.
Ma main se pose sur mon bouton. Le plaisir est immédiatement décuplé, mais sans même y penser, je risque un doigt dans ma chatte. Je sens ce membre me ravager les entrailles et j’ai encore la place de passer un doigt ou 2 dans ma chatte tout en me caressant le clito avec la paume de la main.
L’effet est quasi immédiat, je sens une vague de plaisir m’envahir le ventre, comme ce matin, et je sens ce plaisir monter sans jamais vouloir me déclencher un orgasme.
Ses coups de boutoir ne me font plus mal, par contre, j’adore quand je sens ses couilles venir taper ma chatte.
« Alors vous aimez finalement »
Je lui dis que oui dans un souffle, mais je me consacre sur mon orgasme que je sens poindre.
Mes 2 doigts dans ma chate on retrouvé le point qu’il me frictionnait ce matin et je ressens les mêmes effets ; pourvu que j’arrive encore à éjaculer, c’était trop bon. Lui s’agite de plus en plus et je pense qu’il ne va pas tarder à me jouir dans le cul. Encore une inconnue, mais je suis trop préoccupée par ma montée de plaisir.
Tout en subissant ses coups de boutoir chaque fois plus violents, je me frotte le vagin, je sens sa bite aller et venir contre mes doigts, et ma paume me frotte le clito.
D’un coup, je le sens devenir encore plus raide, marquer un temps d’arrêt puis il s’enfonce en moi en hurlant. Cette poussée ultime me déclenche ; je sens mon orgasme partir de mon clito, aller dans mon ventre, raisonner depuis mes fesses et d’un coup, de longs jets de ce liquide, comme ce matin qui giclent de moi, me coulent sur la main qui continue à me branler le clito comme une folle
Je hurle de bonheur, il continue à me ravager, mais j’adore ça, je veux qu’il continue, je veux qu’il se vide dans mon cul, c’est un plaisir immense, intense, violent, inconnu.
J’ai l’impression que ça ne va pas s’arrêter, il continue à me ravager le cul tant que je hurle, ses mains me pelotent maintenant les seins, pincent mes tétons, ce qui prolonge encore mon plaisir, provoque une seconde vague de jets de liquide et encore et toujours ces coups de reins qui me brulent le ventre.
L’intensité commence à baisser, je le sens ralentir, mais dans un dernier soubresaut, il m’empale encore un coup bien au fond.
« Voilà un vrai dépucelage du cul » celui là, vous ne l’oublierez pas.
Ha ça non, je ne suis pas prête de l’oublier et je pense même que je vais le ressentir encore quelques jours.
Je le sens se retirer, ce qui instantanément me fait grimacer.
Une vraie flaque s’étend à mes pieds.
Il me retourne vers lui. Il bande encore beaucoup. Il sourit et me dit :
« voilà un vrai dépucelage comme je les aime avec un putain d’orgasme »
Il pose sa main sur mon sexe. Ho non, il ne va pas vouloir remettre ça quand même
« Alors, maintenant, quand, par SMS je vous dirais de vous mettre votre œuf, vous savez où vous devrez le mettre »
Alors là, il rêve, c’est vrai que j’ai trouvé ça agréable, que ça m’a déclenché un orgasme de folie, mais j’ai eu mal et toute seule, je préfère me le mettre là où c’est prévu.
Je suis toute bête, pantelante, nue, dégoulinante, devant lui, je ne sais que faire et lui ne fait rien, me regarde en souriant.
Je pense que je vais me rhabiller et partir, ça va suffire pour aujourd’hui …. Pour aujourd’hui …. J’envisage alors déjà de revenir, mais alors que j’esquisse un mouvement, il me dit :
Allongez-vous sur la table.
Ho non, mais cet homme est insatiable ; il est vrai qu’il bande encore très joliment malgré ce qu’il m’a lâché dans le cul.
Je m’allonge sur la table, obéissante, mais plus libérée, moins inquiète depuis mon … dépucelage !
Non, à plat ventre me dit-il.
Je le regarde inquiète, il se marre et encore une fois, je vais aller jusqu’au bout, soumise mais curieuse de découvrir cette nouvelle expérience qu’il va m’imposer.
Je m’allonge donc comme il le souhaite. Je sens ses mains se poser sur mon dos, parcourir mes fesses, l’intérieur de mes cuisses, écarter doucement mes jambes, puis caresser doucement mon sexe encore et mon anus. Je ferme les yeux, je sens sa langue se poser sur mon œillet, c’est divin, ça calme les douleurs, je sens son doigt entrer dans ma chatte ; il va remettre ça, mais je veux bien, allongée comme ça, ce sera bon.
J’ai néanmoins la drôle d’impression que les caresses sur mon dos sont plus « nombreuses ».
J’ouvre les yeux et je reste sans voix : devant mes yeux une paire de jambes dans un pantalon dont la bosse laisse présager une érection.
Je veux me relever, crier, mais Jean qui voyait venir le coup me maintient.
Alors Marc, tu en penses quoi ?
Pas mal du tout. Elle est bonne ?
Très bonne crois moi, ça marche du feu de dieu !

Mais c’est de moi qu’ils parlent et qu’est ce qu’il fait là lui ? Ho mais …. C’est son associé que j’ai vu tout à l’heure.
Ca y est, j’y suis, le coup de téléphone tout à l’heure ; tout était arrangé.
Là ça va trop loin.
Je leur dit que ça suffit et je fais mine de me lever.
Jean me maintient encore et me dit :
« La leçon touche à sa fin mais il reste encore un peu à apprendre. »
Vous êtes ouvertes de la chatte et du cul, vous jouissez maintenant en vrai femme fontaine, vous avez découvert de nouveaux plaisirs, il en reste encore au moins un que nous allons vous faire découvrir avant la prochaine consultation.
Je ne dis plus rien, je suis vaincue, soumise à ces 2 vicieux …. Qui vont sans doute encore me faire jouir.
Jean me pousse un peu et vient s’allonger à mes côté. Il m’embrasse tendrement, m’enlace ; c’est le premier moment de tendresse de la journée. Il glisse sa jambe entre mes cuisses et vient peser sur mon clito qui a déjà bien donné.
Pendant ce temps je vois du coin de l’œil son associé baisser son pantalon.
Il sort une bite beaucoup moins impressionnante que celle de Jean.
Jean se met sur le dos et me fait glisser sur lui.
J’en étais sûre ; ils veulent me prendre en double.
Et pourquoi pas après tout d’autant que j’ai de la chance, Jean et son monstre est en dessous, donc mon petit trou va être offert à son associé qui lui, est bien moins gros. Je sens que je vais aimer ça.
Jean me fait mettre à genoux sur lui, il prend son sexe dans sa main, le place à l’entrée de ma chatte et me dit :
« Allez-y y enfilez vous. »
Je ne fais pas prier et je sens la chaleur de ce gros membre m’envahir e nouveau. La position est propice à une pénétration profonde alors j’en profite, mais je n’arrive pas à tout engloutir, elle est trop longue.
Il me pince encore les seins, tandis que je sens les mains de l’autre ma caresser les fesses et partir à la découvert de mon cul.
Tout en restant à genoux sur lui, Jean me fait m’allonger sur lui, ce qui a pour effet de m’enfoncer encore plus sa bite géante mais aussi de présenter mon petit trou, bien offert, bien ouvert.
Je sens un doigt s’aventurer et commencer à me caresser, j’adore ça, c’est divin, mais Jean dit :
« Oh tu peux y aller direct, je viens de la dépuceler du cul, elle est prête ! »
Alors que je vais lui dire que non, il me plaque sa main sur la bouche et me rappelle que je n’ai pas mon mot à dire.
Je sens Marc monter sur la table, agripper mes hanches, poser son sexe sur mon œillet. Je me prépare à dérouiller encore d’autant que la bite de Jean ne laisse pas beaucoup de place, mais, je sens sa queue se déplacer, se coller à celle de Jean et commencer à m’élargir la chatte encore plus.
Il ne va pas y arriver ? Mais si, je le sens entrer en moi, me forcer, c’est très bon, d’autant qu’il commence à bouger. Mon clito est tendu et le moindre mouvement de l’un des deux me le fait vibrer
Tandis qu’il me besogne doucement, je sens un doigt prendre possession de mon petit trou. Alors là, non, ce n’est pas possible, c’est trop tendu ! mais si je sens ce doigt entrer en moi et me procurer encore d’autres sensations. Je n’ai pas mal, de toutes façons, mon corps n’est plus qu’un organe sexuel géant qui ne demande qu’à jouir.
En fait j’adore cette position que je découvre, j’adore être prise comme ça entre deux hommes, je ne peux pas bouger, mais je profite de tout, ils sont là pour moi, pour mon plaisir 4 mains sur moi, 2 bites que rêver de mieux. Je me détends et suis prête à tout accepter à condition de jouir encore.
J’en arrive même à souhaiter que Marc me prenne le cul. J’en ai envie, je veux sentir ce que ça fait en double.
Mais en attendant, il me lime ce qui me fait du bien d’autant que je suis envahie par la bite de Jean qui me comble déjà mais qui elle ne bouge pas.
Je sens Marc se reculer, sortir de moi, poser son gland sur mon cul et me l’enfoncer d’une seule poussé. Il m’arrache un cri, mi douleur, mi bonheur et là, les sensations sont encore différentes.
Personne ne joue avec mon clito mais je sens que je ne vais pas tarder à jouir.
Le plaisir monte de mon ventre, de mon cul, Marc accélère et j’aime ça, je n’ai pas mal, je tends ma croupe comme je peux pour en prendre et lui en donner le plus possible. Je l’entends qui commence à râler et je le sens tout lâcher dans mon cul, ce qui a pour effet de déclencher mon orgasme. Il continue à me pilonner ce qui prolonge mon plaisir. D’un coup, il se retire, descende la table la bite à la main et me décharge son foutre dans la figure. Jean a pris le relais des vas et viens et là, je sens sa bite me ravager.
Marc m’attrape par la taille, me fait glisser de dessus Jean qui sors de moi, se lève, Descend lui aussi de la table.
Je me retrouve debout sur le marche pied de la table, Marc en face de moi et Jean ….. derrière.
Il va encore m’enculer, j’en suis certaine.
Marc s’allonge en travers de la table, me fait venir sur lui. Je m’empale sur sa bite qui garde une belle rigidité. Elle entre en moi comme dans du beure, à peine si je la sens passer.
Celle que je vais sentir passer, c’est celle de Jean. Il m’écarte les fesses d’une main, j’en suis réduite à attendre son bon vouloir entre crainte et envie.
Il ne tarde pas à me coller son gland contre l’anus, il m’agrippe par les hanches tandis que Marc me tient les bras, et il pousse d’un coup, mon anus s’ouvre sans trop de difficulté cette fois, mais pas sans douleur, il s’enfonce dans mon cul, et commence un va et vient effréné.
Il veut jouir vite, fort, je le sens, il me fait mal à chaque coup de boutoir, mais dès qu’il recule pour prendre son élan, le plaisir croit en moi. Marc essaye bien de bouger, mais il ne le peut pas, par contre sa bite me comble assez la chatte pour profiter complètement du pieu brûlant qui me défonce le cul. Je sens Jean accélérer encore, il va jouir, me remplir encore une fois de son foutre, alors que je ne suis pas encore prêt à jouir malgré ses coup dans mon cul.
Je l’entend grogner, je le sens arriver et d’un coup, il sors de moi et m’inonde le dos de son sperme chaud. Je sens les jets arriver en pluie su mon dos et alors que je pense que tout va s’arrêter là, sans que j’ai pu arriver au bout de mon orgasme, il me retourne, m’assoit les jambes en l’air sur le bord de la table, Marc m’aide à me tenir, il met mes jambes sur ses épaules, me relève le cul et m’empale encore une fois d’une poussée virile.
Mon petit trou est rodé et c’est avec bonheur que j’accueil encore une fois cet engin de plaisir.
Il me ramone le cul et me branle le clito tandis que Marc me caresse les seins.
Je sens que ça va encore partir, je sens le plaisir monter et encore une fois cette sensation que je commence à connaître et qui annonce mon éjaculation.
Puis d’un coup, je vois mon jet partir, arroser Jean qui n’arrête pas pour autant de me ravager et alors que je hurle mon bonheur, Jean sors de moi, la bite à la main, m’attrape la tête et sans qu’il n’ait me le demander, je me saisi de sa bite qui sors juste de mon cul, la fourre dans ma bouche goulument et la pompe jusqu’à recevoir ses longues giclées. Je le sors de ma bouche et continue à le branler férocement pour apercevoir les derniers traits d son sperme venir m’arroser le cou et les seins.
Jamais je n’ai pris un tel pied, et j’ai fini par aimer tout ça, le cul, la pipe tout …
La tension retombe, je reste allongée sur le dos collée à Marc qui me caresse et étale sur moi le foutre que j’ai encore.
Devant moi, accroché au mur : la pendule. Il est 17 h !!! Voilà pas loin de 4 heures que je me fais baiser … et je n’ai pas vu le temps passer.
J’aurais très envie de rester là avec les 2 tendrement, en attendant q’ils récupèrent de façon à recommencer, de façon à apprendre de nouvelles choses, de découvrir de nouvelles sensations.
Mais il faut que je rentre. J’ai 2 heures de transport pour rentrer et Vic et les enfants vont se demander ce que je fais.
Je descends de la table ; je me trouve très bête nue comme ça entre ces 2 hommes qui ont l’un et l’autre l’œil suffisant du mâle qui a bien fais son devoir.
Je me sens toute petite, toute frêle à côté d’eux.
Tandis que je m’essuye avec un kleenex , que je tente de reprendre une apparence convenable, je les entends discuter :
« Je t’avais bien dit qu’elle valait le coup ! et puis un dépucelage comme ça à cet âge, ça ne peut qu’être top »
Je leur ai vraiment servi de viande à baise et je m’en sens offusquée, blessée, mais aussitôt reviennent en moi les souvenir de ces sensations de soumission qui m’ont tant excitées, de ces orgasmes, de ces découvertes nouvelles de mes sens, non, je ne regrette pas.
Je regroupe mes vêtements, commence à m’habiller, cherche mon string …. Et je vois Jean le brandir à bout de bras :
« Je le garde ; c’est mon trophée » dit il en se le passant sous le nez.
Je fini de m’habiller et les 2 mecs sont toujours à poil en train de discuter en souriant.
Je suis sur le point de partir et je ne sais pas quoi dire ni quoi faire ; je suis extrêmement gênée.
« Bon, ben au revoir … »
« A la semaine prochaine, même jour même heure pour la suite de votre thérapie »
me répond Jean sans aucune compassion.
Je balbutie un oui, esquisse un sourire et sors précipitamment sans même qu’ils me jettent un regard.
Mon retour à la vraie vie se fait dans le métro et dans le train. Mon corps me rappelle ces moments à la fois inoubliables et inavouables.
J’a du mal à reprendre pied, et lorsque j’arrive à la maison, je dois prendre une grande inspiration avant de redevenir l’épouse, la maman et de commencer à raconter le mensonge que j’ai préparé pour expliquer ma journée de « dur labeur. »
Deux jours après, en rentrant à la maison, Vic me tend un petit paquet livré par le facteur.
« Tient ; c’est pour toi »
Je commence à l’ouvrir et voit le nom de l’expéditeur.
Mes jambes me lâchent instantanément, je prends une suée, mes mains se mettent à trembler.
Je fais mine de rien, part m’isoler pour l’ouvrir.
Mon string ! il m’a renvoyé mon string !!! Un petit mot l’accompagne
« Après votre départ, Marc et moi nous sommes branlés sur votre string en pensant à votre cul, à vos cris, à vos jets de mouille. Je veux que le gardiez sans le laver et que demain, vous le mettiez tel quel. Je vous contacterai par SMS pour m’assurer que vous m’avez obéis ! »
Même loin de moi, il me domine, car demain, j’accepterai de reprendre le jeu, je mettrai ce string souillé, odorant et j’attendrai impatiemment ses directives jusqu’à mon prochain rendez-vous.

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Texte coquin : Mon psy
Histoire sexe : Une rose rouge
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