Mon supporter me baise à l'hotel (suite)
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-05-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mon supporter me baise à l'hotel (suite)
J’ai changé de tactique avec mon mari. Quand il me baise, si, si, ça arrive, il me fait toujours du bien. Mon esprit est ailleurs, il est avec Julien et le MHRC le club de rugby que je supporte. Depuis notre premier déplacement de la saison où nous nous sommes connus physiquement sans que les autres s’en aperçoivent nous nous retrouvions les jours d’entrainement de l’équipe dans un de ces hôtels suffisamment luxueux pour ce que nous devions y faire. Un jour j’ai eu peur de reconnaitre un voisin entrant avec une dame bien élégante du voisinage aussi. J’ai demandé à Julien de changer de quartier général. Comme il fait tout ce que je demande nous avons trouvé à trois minute un hôtel similaire.
Je ne sais si c’est le changement d’endroit ou si un de nous deux avait des envies spéciales. Nous avons baisé comme des bêtes, surtout moi qui la veille regrettais de m’être faite si mal sodomisée. Nous avons fait le tour de la chambre, finalement plus accueillante que l’autre. Comme une gamine j’ai sauté sur le lit pour juger de la souplesse du matelas. Julien m’a attrapée au vol quand je descendais pour me coucher.
Je ne sais pas comment il a fait, je me suis trouvée nue rapidement. J’ai joué à l’effarouchée en cachant mes seins et mon pubis par mes bras et ma main. Il m’a retourné sur le ventre, a mis sa main dans ma raie fessière, a glissé son doigt bien loin, là bas en bas. Je n’ai pas pu faire autrement que d’ouvrir mes fesses et mon anus:; il me faisait du bien rien qu’en me caressant cet endroit. Ce qui a été bon c’est qu’il ne m’a pas entrer son doigt, enfin pas tout de suite, il a caresser le tour de mon cul un bon moment, sans appuyer, puis de plus en plus rapidement et cette fois en appuyant d’avantage. Je me souviens encore de l’orgasme que j’ai eu, surtout quand il a entré son doigt au moment de la jouissance. J’étais presque vidée de cette première fois de l’après midi.
Quand je me suis remise sur le dos, il était presque nu. Sa queue battait la cadence ordinaire d’un bite prête à baiser avec les mouvement de bas en haut et retour.
J’adore la voir faire cette danse de l’envie de baiser. Je l’aime tellement que je ne peux m’empêcher de l’attraper au passage pour la gouter. A chaque fois que je l’ai dans le bouche il me semble redécouvrir son odeur, son gout et sa fermeté. Comme je sais qu’elle va entrer dans le ventre, qu’elle va me faire du bien, je la cajole un peu avant, je la mordille tout le long, y compris mais là plus doucement le gland violacé. Pour Julien je ne sais pas trop quel effet ça lui fait, je suppose autant que quand sa langue est dans ma chatte. Je ne le suce pas vraiment, il le sait il voudrait bien que je le fasse jouir, mais il sait qu’ensuite je devrais forcer un peu pour le faire bander.
Nous pourrions baiser maintenant. Nous ne sommes pas pressés, nos corps se touchent se caressent. Nous sommes dans un cocon ensemble. Être ensemble nus, c’est bon, nous profitons de notre nudité: j’aime son corps de plus en plus. Si nous pouvions vivre ensemble !!! Hélas nous avons des attaches qui nous retiennent. Un jour peu être que nous serons ensemble pour le reste de nos jours. Je philosophe pour rien: nous sommes là pour notre plaisir. Maintenant nous ne nous caressons plus dans le bus en déplacements, nous ne baisons que dans des hôtels.
Maintenant c’est à moi d’agir. J’ai une jambe posée sur un cuisse. Mon avant bras et appuyé sur cette cuisse. Je peux le caresser largement sans fatigue ni pour lui ni pour moi. Je tiens sa queue à pleine main. Elle durcie encore: il a envie de jouir, je ne veux que lui faire du bien. Je ne veux pas qu’il jouisse maintenant, alors je le branle à ma façon: j’entoure son prépuce avec tous mes doigts posés sur le haut de sa bite. Je fais bien les mouvements voulus, je ne les appuies pas. Je lui fait un simple touche pipi. C’est suffisant pour qu’il conserve son érection. Je peux maintenant le lâcher, l’enjamber comme j’aime, poser mon entrée secrète sur son sexe. Je fais comme j’aime en me laissant tomber sur lui lentement. Je sens les chairs de mon vagin s’écarter devant sa queue. Qu’elle est grosse et bonne cette bite. Je la laisse aller jusqu’au fond de mon ventre. Il m’aide beaucoup en bougeant comme moi. Je sens bien ses poils contre mon pubis; Je sens surtout sa pine me faire du bien. Que c’est bon quand nous baisons tous les deux. Il me demande souvent si j’aime sa queue. Comme si je la détestait. Si je la hais quand il jouit sans moi.
En tout cas je prend mon pied, mieux que notre première fois rapide dans les toilettes d’un restaurant en revenant d’un match. Rien que d’y penser ça me fait jouir. Je continu mon travail de baiseuse, quand je jouis encore.
C’est lui qui le veut: maintenant j’ai assez eu d’orgasme de ce coté. Il me fait tourner; je me mouille l’anus avec ma cyprine, il y ajoute sa salive, j’en remet de la mienne. J’ai l’anus prêt à une invasion de bites. Je ne le guide plus depuis longtemps, il sait bien où se trouve mon cul. Je sens sa main guider sa foreuse spéciale sodomie. Il entre tout doucement pour que je profite de l’introduction de sa bite dans l’anus. C’est vrai, je suis peu être à l’envers des autres, j’aime quand la bite entre dans le sphincter.
Je déguste sa queue. Pour être plus à même de jouir plus, je me branle: c’est lui qui me l’a appris. C’est bon sa pine et ma main sur le clitoris où dans le vagin, ensemble. Je pense brusquement qu’aujourd’hui j’ai porté un petit outil qui va lui servir pour que je jouisse plus. Je lui demande de fouiller dans mon sac. Il est obligé de sortir de mes boyaux. Tant pis j’en profiterais encore tout à l’heure. Il trouve le gode que j’ai porté spécialement pour la sodomie. Je lui demande de m’enculer encore. Il le fait, je profite de la profondeur de sa queue dans le ventre pour loger dans le vagin le gode assez gros finalement. J’ai ma double pénétration. Il me fait jouir comme une folle: je cris mon plaisir.
Il arrête tout, sort le gode, le mets dans le cul et force pour entrer sa bite juste dans le même trou. Il est fou, j’ai mal. Il insiste, il a raison. Cette fois je ne cris plus, j’hurle carrément tellement c’est bon.
Quand il jouit il sort enfin de moi. Quand je dis enfin ce n’est pas pour moi, c’est pour lui: il a la queue presque douloureuse. Et moi dans tout ça: j’ai le cul douloureux, mais heureux de cette pénétration inédite pour lui.
Nous nous câlinons beaucoup pour cette première: je décide que la prochaine fois il me fera pareil en deux temps ainsi que devant. Je pense qu’il me transforme en véritable obsédée du sexe et une véritable salpe. Pour le lui prouver j’écarte bien les cuisses, je pose une main sur le cul et l’autre sur le vagin Je lui demande de bien regarder: j’enfonce presque l’avant bras dans le cul. Je le fait aller et venir comme une bite.
Celle du vagin subit le même sort, j’y met plus que la main. Les deux ensemble bougent simultanément dans mon ventre. Il me regarde en se branlant. Je jouis encore cette fois pour la dernière fois de la journée sans doute. Il éjacule sur mon ventre. Avec ses doigts il me donne son sperme que j’aime manger.
Entre nous il n’a jamais été question d’inviter un tiers dans nos relation, alors que mon mari me le demande, comme si j’avais besoin d’un étranger me regarder me faire mettre. L’étranger que j’ai me suffit largement. Merci encore Julien de me dévergonder et me faire jouir comme tu sais si bien le faire.
Je ne sais si c’est le changement d’endroit ou si un de nous deux avait des envies spéciales. Nous avons baisé comme des bêtes, surtout moi qui la veille regrettais de m’être faite si mal sodomisée. Nous avons fait le tour de la chambre, finalement plus accueillante que l’autre. Comme une gamine j’ai sauté sur le lit pour juger de la souplesse du matelas. Julien m’a attrapée au vol quand je descendais pour me coucher.
Je ne sais pas comment il a fait, je me suis trouvée nue rapidement. J’ai joué à l’effarouchée en cachant mes seins et mon pubis par mes bras et ma main. Il m’a retourné sur le ventre, a mis sa main dans ma raie fessière, a glissé son doigt bien loin, là bas en bas. Je n’ai pas pu faire autrement que d’ouvrir mes fesses et mon anus:; il me faisait du bien rien qu’en me caressant cet endroit. Ce qui a été bon c’est qu’il ne m’a pas entrer son doigt, enfin pas tout de suite, il a caresser le tour de mon cul un bon moment, sans appuyer, puis de plus en plus rapidement et cette fois en appuyant d’avantage. Je me souviens encore de l’orgasme que j’ai eu, surtout quand il a entré son doigt au moment de la jouissance. J’étais presque vidée de cette première fois de l’après midi.
Quand je me suis remise sur le dos, il était presque nu. Sa queue battait la cadence ordinaire d’un bite prête à baiser avec les mouvement de bas en haut et retour.
J’adore la voir faire cette danse de l’envie de baiser. Je l’aime tellement que je ne peux m’empêcher de l’attraper au passage pour la gouter. A chaque fois que je l’ai dans le bouche il me semble redécouvrir son odeur, son gout et sa fermeté. Comme je sais qu’elle va entrer dans le ventre, qu’elle va me faire du bien, je la cajole un peu avant, je la mordille tout le long, y compris mais là plus doucement le gland violacé. Pour Julien je ne sais pas trop quel effet ça lui fait, je suppose autant que quand sa langue est dans ma chatte. Je ne le suce pas vraiment, il le sait il voudrait bien que je le fasse jouir, mais il sait qu’ensuite je devrais forcer un peu pour le faire bander.
Nous pourrions baiser maintenant. Nous ne sommes pas pressés, nos corps se touchent se caressent. Nous sommes dans un cocon ensemble. Être ensemble nus, c’est bon, nous profitons de notre nudité: j’aime son corps de plus en plus. Si nous pouvions vivre ensemble !!! Hélas nous avons des attaches qui nous retiennent. Un jour peu être que nous serons ensemble pour le reste de nos jours. Je philosophe pour rien: nous sommes là pour notre plaisir. Maintenant nous ne nous caressons plus dans le bus en déplacements, nous ne baisons que dans des hôtels.
Maintenant c’est à moi d’agir. J’ai une jambe posée sur un cuisse. Mon avant bras et appuyé sur cette cuisse. Je peux le caresser largement sans fatigue ni pour lui ni pour moi. Je tiens sa queue à pleine main. Elle durcie encore: il a envie de jouir, je ne veux que lui faire du bien. Je ne veux pas qu’il jouisse maintenant, alors je le branle à ma façon: j’entoure son prépuce avec tous mes doigts posés sur le haut de sa bite. Je fais bien les mouvements voulus, je ne les appuies pas. Je lui fait un simple touche pipi. C’est suffisant pour qu’il conserve son érection. Je peux maintenant le lâcher, l’enjamber comme j’aime, poser mon entrée secrète sur son sexe. Je fais comme j’aime en me laissant tomber sur lui lentement. Je sens les chairs de mon vagin s’écarter devant sa queue. Qu’elle est grosse et bonne cette bite. Je la laisse aller jusqu’au fond de mon ventre. Il m’aide beaucoup en bougeant comme moi. Je sens bien ses poils contre mon pubis; Je sens surtout sa pine me faire du bien. Que c’est bon quand nous baisons tous les deux. Il me demande souvent si j’aime sa queue. Comme si je la détestait. Si je la hais quand il jouit sans moi.
En tout cas je prend mon pied, mieux que notre première fois rapide dans les toilettes d’un restaurant en revenant d’un match. Rien que d’y penser ça me fait jouir. Je continu mon travail de baiseuse, quand je jouis encore.
C’est lui qui le veut: maintenant j’ai assez eu d’orgasme de ce coté. Il me fait tourner; je me mouille l’anus avec ma cyprine, il y ajoute sa salive, j’en remet de la mienne. J’ai l’anus prêt à une invasion de bites. Je ne le guide plus depuis longtemps, il sait bien où se trouve mon cul. Je sens sa main guider sa foreuse spéciale sodomie. Il entre tout doucement pour que je profite de l’introduction de sa bite dans l’anus. C’est vrai, je suis peu être à l’envers des autres, j’aime quand la bite entre dans le sphincter.
Je déguste sa queue. Pour être plus à même de jouir plus, je me branle: c’est lui qui me l’a appris. C’est bon sa pine et ma main sur le clitoris où dans le vagin, ensemble. Je pense brusquement qu’aujourd’hui j’ai porté un petit outil qui va lui servir pour que je jouisse plus. Je lui demande de fouiller dans mon sac. Il est obligé de sortir de mes boyaux. Tant pis j’en profiterais encore tout à l’heure. Il trouve le gode que j’ai porté spécialement pour la sodomie. Je lui demande de m’enculer encore. Il le fait, je profite de la profondeur de sa queue dans le ventre pour loger dans le vagin le gode assez gros finalement. J’ai ma double pénétration. Il me fait jouir comme une folle: je cris mon plaisir.
Il arrête tout, sort le gode, le mets dans le cul et force pour entrer sa bite juste dans le même trou. Il est fou, j’ai mal. Il insiste, il a raison. Cette fois je ne cris plus, j’hurle carrément tellement c’est bon.
Quand il jouit il sort enfin de moi. Quand je dis enfin ce n’est pas pour moi, c’est pour lui: il a la queue presque douloureuse. Et moi dans tout ça: j’ai le cul douloureux, mais heureux de cette pénétration inédite pour lui.
Nous nous câlinons beaucoup pour cette première: je décide que la prochaine fois il me fera pareil en deux temps ainsi que devant. Je pense qu’il me transforme en véritable obsédée du sexe et une véritable salpe. Pour le lui prouver j’écarte bien les cuisses, je pose une main sur le cul et l’autre sur le vagin Je lui demande de bien regarder: j’enfonce presque l’avant bras dans le cul. Je le fait aller et venir comme une bite.
Celle du vagin subit le même sort, j’y met plus que la main. Les deux ensemble bougent simultanément dans mon ventre. Il me regarde en se branlant. Je jouis encore cette fois pour la dernière fois de la journée sans doute. Il éjacule sur mon ventre. Avec ses doigts il me donne son sperme que j’aime manger.
Entre nous il n’a jamais été question d’inviter un tiers dans nos relation, alors que mon mari me le demande, comme si j’avais besoin d’un étranger me regarder me faire mettre. L’étranger que j’ai me suffit largement. Merci encore Julien de me dévergonder et me faire jouir comme tu sais si bien le faire.
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