Mon tonton baiseur.
Récit érotique écrit par Chaudeminette [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-06-2008 dans la catégorie Pour la première fois
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Mon tonton baiseur.
<p>Je m'appelle fleur et je vais vous raconter ma première expérience sexuelle.
Quand cela s'est passé j'avais 16 ans, je mesurais 1,65m pour 55 kg. Brune aux yeux bleus. Avec une belle poitrine assez forte pour mon age (95B).
Ma tante (la soeur de mon père) venait de se marier avec un très bel homme (environ 35 ans), il s'appelle maxime. Quand ils venaient tous les deux à la maison, ça se passait bien. On rigolait, maxime et ma tante sont super drôle. Un jour qu'ils dormaient à la maison, je les entendis en train de faire l'amour. Ca m'a excité. Je suis retourné dans ma chambre et j'ai commencé à me caresser les seins et je me suis doigtée la chatte. Le lendemain matin, ma tante et mes parents étaient partis faire des courses et maxime était au travail. Etant toute seule dans la maison, je m’allongeai sur la balancelle et commença à me masturber. C'était bon. Cela ne faisait pas longtemps que j'avais découvert l'existence de mon clitoris et j'aimais bien jouer avec. Je le pinçais et le tournais entre mes doigts jusqu'à ce que l'orgasme arrive.
Salut fleur, tu fais quoi ? Tu veux un coup de main ?
Je me redresse d'un coup, morte de honte. Maxime venait d'arriver et m'avait découverte en plein jeu sexuel.
Qu'est ce que tu fais là ? Tu n'es pas au boulot ?
Ne sois pas en colère contre moi, j'étais juste parti mettre deux trois chose au clair avant de partir en vacances.
Il s'approcha de moi, me releva le menton et me dit :
Tu sais ma proposition tient toujours, veux tu un coup de main ?
Pour quoi faire ? Je suis assez grande, et je me débrouille toute seule.
Oui je m'en doute, mais tu ne pourrais certainement pas faire ça !
D'un coup il se jette sur moi, m'allonge, écarte mes cuisses et commence à me lécher le minou.
Non arrête tu es fou, tu es marié et je ne veux pas.
Il en avait rien à faire de se que je lui disait. Il continuait à me lécher le vagin, rentrait sa langue dans ma fente. Et il se mit à taquiner mon clito, lui le traitre était sorti de son repère et réclamait sa pitense. Je ne pouvais plus me défendre, j'étais anéantie. Je n'avais jamais ressenti un désir aussi fort.
J'avais largement écarter mes cuisses pour qu'il y aille encore plus profondément et lui m'avait pénétrer un doigt dans ma chatte et j'avoue que c'étais le pied. Je jouis comme une folle. Il se releva, se déboutonna attrapa son pénis, se branla et éjacula sur ma chatte. Il se rhabilla, m'embrassa et parti. J'étais trop choqué pour réagir, même si j'avais eu du plaisir, je me sentais honteuse et coupable par rapport à ma tante. Je me levais et alla me laver.
Le midi arriva, le repas était délicieux. J'ai attendu que maxime se place, et je me suis installé le plus loin de lui. Il me regarda avec un sourire moqueur.
Qui veux venir avec moi cet après-midi faire une ballade en vélo ? On pourrais aller jusqu'au village boire un coup.
Mes parents ont refusé, ils voulaient se reposer et ma tante devait aller en ville pour faire des soins : manucure, masque...
Mais toi tu peux y aller fleur, ça te ferais du bien une ballade en vélo et on sait que tu aimes bien aller au village.
Ma mère pensait sûrement bien faire en disant cela mais elle me mettait dans une mauvaise posture.
Je ne sais pas, je suis un peu fatigué.
Sil te plait ma chérie, comme ça tu pourrais ramener du pain pour ce soir.
Bon d'accord.
J'allais me changer, et on parti tous les deux. A l'aller tout ce passa bien, on s'arrêta au village, on a bu un coup et on a été chercher du pain. Au retour, maxime prit un chemin à travers le bois, on déboucha dans une clairière avec à coté une rivière.
Viens on va se baigner, avec cette chaleur, je meurs de chaud.
Mais je n'ai pas de maillot de bain.
Ce n’est pas grave.
Il se déshabilla, garda juste son boxer et alla dans l'eau.
Je me déshabillais aussi et je gardais juste mon soutif et mon slip.
On nagea tranquillement, maxime plongea et réapparu à coté de moi.
Il s'approcha de moi et commença à me toucher les seins, il enleva mon soutif et me suça les tétons.
Arrête s’il te plait, on a pas le droit, pense un peu à ta femme.
Laisse ma femme ou elle est. Je vais m'occuper de toi comme une reine.
Il avait pris mes deux seins dans ses mains et les malaxait. Il mordillait les pointes, je gémissais. Apparemment il aimait bien s'occuper des nibards, il continua encore pendant cinq minutes à les embrasser, les lécher
On sortit de l'eau, il m'allongea sur l'herbe et m'embrassa. Il rentrait sa langue dans ma bouche et je commençais à ressentir du plaisir. Il descendit vers mes seins, les caressa, les lécha. Sa main était partie explorer ma vulve, il enleva ma culotte et mit sa tête entre mes jambes.
Non ce n'est pas bien. OHHH oui c'est bon. Continue. AHHH
Il avait pris mon clito entre ses dents et le mordillait. Il enfonçait sa langue dans ma fente et aspirait ma mouille comme si c'était un délicieux nectar. Ses doigts me pénétraient la chatte. J'avais le corps en feu et mon cerveau bouillonnait. Je mouillais comme jamais je n’avais mouillé et il n'arrêtait pas pour autant. Il me léchait la chatte comme si il mangeait un plat exquis. Il me bouffait littéralement le minou. Je sentais ses dents, ses doigts, sa langue me fouillait entièrement le vagin.
Ensuite il se releva, me présenta sa grosse bite et me dit :
Ouvre la bouche tu vas me sucer, tu feras comme avec une glace.
Je fis comme il me disait, je pris son gland dans ma bouche, je le suçais, le léchais.
OUII c'est bon. Tu es un peu maladroite mais tu vas apprendre.
Il m'appuyait sur la tête pour que sa verge rentre plus profondément dans ma bouche. J'étouffais, je bavais. C'était la première fois pour moi que je faisais une fellation. Le goût n'était pas mauvais. De sa petite fente, je sentais de la mouille en sortir, je fis comme lui, j'aspira d'un coup et après j'englouti le tout. Ça faisait une drôle de sensation d'avoir un si gros engin dans la bouche. Il me dit d'arrêter.
Met toi à quatre pattes.
Je m'exécutais, il fouilla ma chatte avec ses doigts et après je sentis sa bite pénétrer mon con. Il y allait doucement, par petits coups. Jusqu'au moment où il arriva jusqu'à l'hymen. Il s'enfonça d'un coup et ma fleur s'envola. J'avais mal, mais il y allait doucement. Il s'enfonçait de tout son long mais en douceur. Je commençais à ressentir du plaisir.
Ohh oui c'est bon, j'aime. Plus fort, plus vite. OHHH encore.
Il accéléra la cadence, je me voyais à quatre pattes comme une chienne, en train de me faire prendre par mon oncle. Ses vas et viens étaient puissants, ses couilles cognaient contre mes fesses. Sa grosse bite me remplissait me distendait la chatte, j'avais l'impression qu'elle allait exploser sous les coups de boutoirs mais j'adorais cette sensation. Je sentis quelque chose monter en moi, l'orgasme arriva d'un coup, c'était fort. Maxime ressortit de mon vagin et éjacula sur mes fesses. Il s'appuya sur mon dos.
Alors, c'était bon ma petite chienne adorée.
Oui, mais je me sens coupable.
Tu n'as pas lieu. Je te voulais et je t'ai eu, mais ce n'est pas fini.
Pendant qu'il me parlait, il me caressait les fesses, son doigt alla de ma chatte pleine de mouille à mon anus. Il enfonça son doigt dans ma corolle.
Qu'est ce que tu fais ? Ça ne se fait pas par là.
Mais oui, laisse toi faire.
Il se releva, cracha dans mon anus, prit encore de la mouille et du sperme pour enduire mon cul.
Il rentra son gland et me pénétra doucement, comme il avait fait pour ma chatte. Je sentais ma petite corolle s'ouvrir, se dilatait sous l'effet du forcing. La douleur n'était pas la même que pour mon vagin.
AHH arrête ça fait mal, tu es fou. Elle est trop grosse pour mon petit cul. Tu vas me déchirer.
Mais non et arrête de geindre comme une gamine, tu vas adorer te faire enculer. Je suis le roi de la sodomie et toi tu vas être ma reine. Pousse comme pour chier et masturbe toi le bouton. Ça rentrera plus facilement.
Je fis ce qu'il dit et poussait, mon index et majeur taquinaient mon bourgeon, même mon clito était distendu. Lui continuait à s'enfoncer dans moi, il y allait doucement.
Une fois qu'il était rentré totalement, il en ressortit et je sentis comme un vide. Il recommença plusieurs fois. Je ne ressentais plus de douleur mais un plaisir de plus en plus intense. Mon anus s'ouvrait à chaque passage. Je trouvais cela délicieux. Mes doigts continuaient leur ouvrage sur mon clito et ça m'aidait à ressentir du plaisir. Maxime me pilonnait le cul comme un sauvage. Je sentais sa grosse bite en moi. Un nouvel orgasme arriva et mon corps eu plusieurs spasmes. Il éjacula dans mon cul et je sentais les soubresauts de son braquemart.
On se lava dans la rivière, se rhabilla sans un mot et repartit sur nos vélos. C'était dur car mon sexe et mon cul étaient brûlants. En arrivant à la maison, j'étais très fatigué. Je rangeais le vélo et alla dans ma chambre. Ma tante me rejoignit.
Alors ma chérie, c'était comment avec Maxime. OH ne fais pas l'étonné, il m'en a parlé qu'il voulait te sauter. Je lui ai donné le feu vert. A une condition, c'est que ensuite, je puisse faire de toi ce que je voulais. Tu vas voir, on va bien s'amuser tout les trois.
Tu n'es pas fâché contre nous ?
Non, j'aime cette situation.
Elle me roula un patin et s'en alla, j'étais surprise. Plus tard je vous raconterais mes prochaines soumissions sexuelles. Bisous et à bientôt.
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Quand cela s'est passé j'avais 16 ans, je mesurais 1,65m pour 55 kg. Brune aux yeux bleus. Avec une belle poitrine assez forte pour mon age (95B).
Ma tante (la soeur de mon père) venait de se marier avec un très bel homme (environ 35 ans), il s'appelle maxime. Quand ils venaient tous les deux à la maison, ça se passait bien. On rigolait, maxime et ma tante sont super drôle. Un jour qu'ils dormaient à la maison, je les entendis en train de faire l'amour. Ca m'a excité. Je suis retourné dans ma chambre et j'ai commencé à me caresser les seins et je me suis doigtée la chatte. Le lendemain matin, ma tante et mes parents étaient partis faire des courses et maxime était au travail. Etant toute seule dans la maison, je m’allongeai sur la balancelle et commença à me masturber. C'était bon. Cela ne faisait pas longtemps que j'avais découvert l'existence de mon clitoris et j'aimais bien jouer avec. Je le pinçais et le tournais entre mes doigts jusqu'à ce que l'orgasme arrive.
Salut fleur, tu fais quoi ? Tu veux un coup de main ?
Je me redresse d'un coup, morte de honte. Maxime venait d'arriver et m'avait découverte en plein jeu sexuel.
Qu'est ce que tu fais là ? Tu n'es pas au boulot ?
Ne sois pas en colère contre moi, j'étais juste parti mettre deux trois chose au clair avant de partir en vacances.
Il s'approcha de moi, me releva le menton et me dit :
Tu sais ma proposition tient toujours, veux tu un coup de main ?
Pour quoi faire ? Je suis assez grande, et je me débrouille toute seule.
Oui je m'en doute, mais tu ne pourrais certainement pas faire ça !
D'un coup il se jette sur moi, m'allonge, écarte mes cuisses et commence à me lécher le minou.
Non arrête tu es fou, tu es marié et je ne veux pas.
Il en avait rien à faire de se que je lui disait. Il continuait à me lécher le vagin, rentrait sa langue dans ma fente. Et il se mit à taquiner mon clito, lui le traitre était sorti de son repère et réclamait sa pitense. Je ne pouvais plus me défendre, j'étais anéantie. Je n'avais jamais ressenti un désir aussi fort.
J'avais largement écarter mes cuisses pour qu'il y aille encore plus profondément et lui m'avait pénétrer un doigt dans ma chatte et j'avoue que c'étais le pied. Je jouis comme une folle. Il se releva, se déboutonna attrapa son pénis, se branla et éjacula sur ma chatte. Il se rhabilla, m'embrassa et parti. J'étais trop choqué pour réagir, même si j'avais eu du plaisir, je me sentais honteuse et coupable par rapport à ma tante. Je me levais et alla me laver.
Le midi arriva, le repas était délicieux. J'ai attendu que maxime se place, et je me suis installé le plus loin de lui. Il me regarda avec un sourire moqueur.
Qui veux venir avec moi cet après-midi faire une ballade en vélo ? On pourrais aller jusqu'au village boire un coup.
Mes parents ont refusé, ils voulaient se reposer et ma tante devait aller en ville pour faire des soins : manucure, masque...
Mais toi tu peux y aller fleur, ça te ferais du bien une ballade en vélo et on sait que tu aimes bien aller au village.
Ma mère pensait sûrement bien faire en disant cela mais elle me mettait dans une mauvaise posture.
Je ne sais pas, je suis un peu fatigué.
Sil te plait ma chérie, comme ça tu pourrais ramener du pain pour ce soir.
Bon d'accord.
J'allais me changer, et on parti tous les deux. A l'aller tout ce passa bien, on s'arrêta au village, on a bu un coup et on a été chercher du pain. Au retour, maxime prit un chemin à travers le bois, on déboucha dans une clairière avec à coté une rivière.
Viens on va se baigner, avec cette chaleur, je meurs de chaud.
Mais je n'ai pas de maillot de bain.
Ce n’est pas grave.
Il se déshabilla, garda juste son boxer et alla dans l'eau.
Je me déshabillais aussi et je gardais juste mon soutif et mon slip.
On nagea tranquillement, maxime plongea et réapparu à coté de moi.
Il s'approcha de moi et commença à me toucher les seins, il enleva mon soutif et me suça les tétons.
Arrête s’il te plait, on a pas le droit, pense un peu à ta femme.
Laisse ma femme ou elle est. Je vais m'occuper de toi comme une reine.
Il avait pris mes deux seins dans ses mains et les malaxait. Il mordillait les pointes, je gémissais. Apparemment il aimait bien s'occuper des nibards, il continua encore pendant cinq minutes à les embrasser, les lécher
On sortit de l'eau, il m'allongea sur l'herbe et m'embrassa. Il rentrait sa langue dans ma bouche et je commençais à ressentir du plaisir. Il descendit vers mes seins, les caressa, les lécha. Sa main était partie explorer ma vulve, il enleva ma culotte et mit sa tête entre mes jambes.
Non ce n'est pas bien. OHHH oui c'est bon. Continue. AHHH
Il avait pris mon clito entre ses dents et le mordillait. Il enfonçait sa langue dans ma fente et aspirait ma mouille comme si c'était un délicieux nectar. Ses doigts me pénétraient la chatte. J'avais le corps en feu et mon cerveau bouillonnait. Je mouillais comme jamais je n’avais mouillé et il n'arrêtait pas pour autant. Il me léchait la chatte comme si il mangeait un plat exquis. Il me bouffait littéralement le minou. Je sentais ses dents, ses doigts, sa langue me fouillait entièrement le vagin.
Ensuite il se releva, me présenta sa grosse bite et me dit :
Ouvre la bouche tu vas me sucer, tu feras comme avec une glace.
Je fis comme il me disait, je pris son gland dans ma bouche, je le suçais, le léchais.
OUII c'est bon. Tu es un peu maladroite mais tu vas apprendre.
Il m'appuyait sur la tête pour que sa verge rentre plus profondément dans ma bouche. J'étouffais, je bavais. C'était la première fois pour moi que je faisais une fellation. Le goût n'était pas mauvais. De sa petite fente, je sentais de la mouille en sortir, je fis comme lui, j'aspira d'un coup et après j'englouti le tout. Ça faisait une drôle de sensation d'avoir un si gros engin dans la bouche. Il me dit d'arrêter.
Met toi à quatre pattes.
Je m'exécutais, il fouilla ma chatte avec ses doigts et après je sentis sa bite pénétrer mon con. Il y allait doucement, par petits coups. Jusqu'au moment où il arriva jusqu'à l'hymen. Il s'enfonça d'un coup et ma fleur s'envola. J'avais mal, mais il y allait doucement. Il s'enfonçait de tout son long mais en douceur. Je commençais à ressentir du plaisir.
Ohh oui c'est bon, j'aime. Plus fort, plus vite. OHHH encore.
Il accéléra la cadence, je me voyais à quatre pattes comme une chienne, en train de me faire prendre par mon oncle. Ses vas et viens étaient puissants, ses couilles cognaient contre mes fesses. Sa grosse bite me remplissait me distendait la chatte, j'avais l'impression qu'elle allait exploser sous les coups de boutoirs mais j'adorais cette sensation. Je sentis quelque chose monter en moi, l'orgasme arriva d'un coup, c'était fort. Maxime ressortit de mon vagin et éjacula sur mes fesses. Il s'appuya sur mon dos.
Alors, c'était bon ma petite chienne adorée.
Oui, mais je me sens coupable.
Tu n'as pas lieu. Je te voulais et je t'ai eu, mais ce n'est pas fini.
Pendant qu'il me parlait, il me caressait les fesses, son doigt alla de ma chatte pleine de mouille à mon anus. Il enfonça son doigt dans ma corolle.
Qu'est ce que tu fais ? Ça ne se fait pas par là.
Mais oui, laisse toi faire.
Il se releva, cracha dans mon anus, prit encore de la mouille et du sperme pour enduire mon cul.
Il rentra son gland et me pénétra doucement, comme il avait fait pour ma chatte. Je sentais ma petite corolle s'ouvrir, se dilatait sous l'effet du forcing. La douleur n'était pas la même que pour mon vagin.
AHH arrête ça fait mal, tu es fou. Elle est trop grosse pour mon petit cul. Tu vas me déchirer.
Mais non et arrête de geindre comme une gamine, tu vas adorer te faire enculer. Je suis le roi de la sodomie et toi tu vas être ma reine. Pousse comme pour chier et masturbe toi le bouton. Ça rentrera plus facilement.
Je fis ce qu'il dit et poussait, mon index et majeur taquinaient mon bourgeon, même mon clito était distendu. Lui continuait à s'enfoncer dans moi, il y allait doucement.
Une fois qu'il était rentré totalement, il en ressortit et je sentis comme un vide. Il recommença plusieurs fois. Je ne ressentais plus de douleur mais un plaisir de plus en plus intense. Mon anus s'ouvrait à chaque passage. Je trouvais cela délicieux. Mes doigts continuaient leur ouvrage sur mon clito et ça m'aidait à ressentir du plaisir. Maxime me pilonnait le cul comme un sauvage. Je sentais sa grosse bite en moi. Un nouvel orgasme arriva et mon corps eu plusieurs spasmes. Il éjacula dans mon cul et je sentais les soubresauts de son braquemart.
On se lava dans la rivière, se rhabilla sans un mot et repartit sur nos vélos. C'était dur car mon sexe et mon cul étaient brûlants. En arrivant à la maison, j'étais très fatigué. Je rangeais le vélo et alla dans ma chambre. Ma tante me rejoignit.
Alors ma chérie, c'était comment avec Maxime. OH ne fais pas l'étonné, il m'en a parlé qu'il voulait te sauter. Je lui ai donné le feu vert. A une condition, c'est que ensuite, je puisse faire de toi ce que je voulais. Tu vas voir, on va bien s'amuser tout les trois.
Tu n'es pas fâché contre nous ?
Non, j'aime cette situation.
Elle me roula un patin et s'en alla, j'étais surprise. Plus tard je vous raconterais mes prochaines soumissions sexuelles. Bisous et à bientôt.
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