Mon voisin se masturbe - histoire érotique

Je n'avais pas de vrai vis à vis avec mon voisin puisqu'une première fenêtre donnant chez lui était celle de ma salle de bain et était brouillée, et la seconde fenêtre en vis à vis était dans un coin de mon couloir où je ne passais jamais et où j'entreposais mes bouteilles.
Et je l'ai remarqué par hasard un premier soir tard dans une chaude nuit d'été précisément parce que j'allais chercher une bouteille de jus de fruit: j'aurais pu tendre le bras et simplement l'emmener mais, sans raison, j'ai eu envie de savoir ce qu'était la lumière intense venant de l'autre côté.
Et je l'ai vu, exposé entièrement en toute impudeur. Il était à demi assis, regardant apparemment une tablette sur le coté, les jambes à demi repliées et largement écartées.
Je n'avais jamais vu une telle queue, non seulement aussi dimensionnée, mais qui restait tendue verticale seule face à son ventre. Et je me suis accroupie dans l'obscurité de mon couloir pour l'épier plus longuement, excitée de suspendre l'intimité solitaire d'un homme telle que je ne l'avais vue. Très rapidement, sa main est venue enserrer son membre et le parcourir de bas en haut. C'est cette fois un éclair brûlant et presque douloureux que j'ai senti dans mon bas-ventre. J'ai reposé la bouteille pour libérer ma main et la poser sur ma chatte au travers de ma culotte. Je me demandais ce qu'il regardait, j'aurais tellement aimé voir ce qu'il choisissait pour s'exciter. Sa main quittait sa bite et la laissait tendue raide et dure vers le haut, pour retourner sur la tablette, et j'aurais voulu la saisir à sa place et la branler lentement pendant qu'il regardait ce qui était sûrement une vidéo porno. Mais j'aurais voulu voir ce qu'il voyait exactement à cet instant quand elle revenait, et qu'est-ce qui l'excitait à un tel point qu'il la serrait si fort et la branlait si violemment. Elle semblait sans cesse plus grosse et à cette si faible distance je voyais briller son gland lisse et tendu, gonflé et devenu rose sombre. C'était plus fort que moi, je frottais mon clitoris en imaginant que ma bouche venait sucer la pointe de cet énorme dard. Mon excitation devenait folle mais je retenais ma jouissance parce que j'en voulais plus. Pourvu qu'il ne s'arrête pas, pourvu qu'il aille jusqu'au bout et que je vois son jus sortir de sa bite.
Tout à coup, sa main est devenue furieuse. Sa queue devait être de bois pour résister à une telle violence. Elle s'est accélérée de plus en plus. Et ma main est entrée dans ma culotte pour branler plus vite aussi ma fente brûlante et trempée. Il devait être divin d'être empalée à la place de cette main et d'être malmenée à ce point pour être soumise à son excitation et son plaisir. J'étais sur le point de jouir et j'aurais tant donné pour que ce que ce soit dans ma chatte, dans mon cul ou dans ma gorge qu'il cherche sa jouissance.
Et c'est arrivé, sa main s'est immobilisée à la base de sa bite et j'ai vu un long jet blanc partir vers le haut. Puis elle a fait un va et vient brutal, et un autre jet puissant est sorti de ce gland monstrueux. Et encore plusieurs fois. Et j'ai été parcourue toute entière par un spasme énorme, comme électrocutée, et il me semblait sentir que j'étais inondée partout en moi de ce sperme.
Il est resté un long moment sa main tenant sa queue de laquelle coulait encore lentement ce jus délicieux, et ma main est restée crispée sur ma chatte entre mes cuisses qui s'étaient ressérées, étourdie et appuyée contre le mur toujours accroupie.

Je suis partie à regret quand sa lumière s'est éteinte. Et dès ce jour, c'est devenu une obsession. Dès le soir venu, je maintenais mon couloir dans le noir pour me faufiler cachée à ma fenêtre et vérifier qu'il ne recommençait pas, et que je ratais pas ce spectacle affolant. Je l'ai surpris à nouveau quatre fois pendant le mois et j'étais toujours plus excitée, je jouissais dans une explosion en même temps que lui.
J'aurais voulu encore plus et je ne savais pas comment. En fait, ce qui m'excitait était de voir cet homme s'abandonner en se croyant seul, de voir ce qu'il ne montrait et n'avouerait sûrement à aucune femme. Je voulais uniquement cet homme en train de se masturber. Seule, j'imaginais que je devenais son jouet. Qu'il entrait chez moi la nuit pour me violer dans mon sommeil. Et je n'aurais pas fait un seul mouvement pour qu'il fasse exactement selon son bon plaisir. Quand la lumière était éteinte chez lui, je me caressais en l'imaginant plantant son pieu sans ménagement partout en moi. Les dernières fois où je l'ai espionné, j'étais tellement folle d'excitation qu'il s'en est fallu d'un rien pour que je ne me retrouve pas nue sur le palier, frappant à sa porte: «branle-toi dans tous mes trous sans faire attention à moi!» Je me serais couchée sur le ventre sur son lit et j'aurais tout accepté. La pensée de sentir son gland se poser sur moi pour m'empaler, m'amenait chaque fois à la jouissance.

Et ça aller finalement se passer.....