Montmartre
Récit érotique écrit par Mtb [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-08-2008 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Montmartre
C’était en 1992, je venais de réussir mon concours d’entrée dans une école d’ingénieur à Paris et pour mon logement, mes parents ont demandé à une de mes tantes de m’héberger.
Nicole, c’est le nom de ma tante vivait avec son mari, non loin du quartier Montmartre, dans un bel appartement plutôt spacieux.
Je ne les connaissais pratiquement pas, je les avais rencontré 5 ou 6 fois peut être à la maison, le seul souvenir que j’avais de cet oncle, c’est qu’il pilotait des avions de ligne et cela m’avait toujours impressionné.
Ils furent ravis de m’accueillir et me mirent très rapidement à l’aise, veillant sur moi comme l’aurait fait mes parents.
J’ai passé le premier trimestre sans même songer à remonter une seule fois chez mes parents si ce n’est pour les fêtes de fin d’année.
Il se passa pourtant un événement dont je fus le premier surpris, un après midi, alors que je rentrais plus tôt en l’absence d’un professeur, je fus étonné de ne pas trouver ma tante et alors que je me dirigeais vers ma chambre, j’entendis des soupirs provenant de la cuisine.
Je m’approchais discrètement et le spectacle qui s’offrit à moi, me laissa sans voix, ma tante était allongée nue sur la table et un homme s’acharnait à grand coup de rein entre ses cuisses.
J’allais faire volte face, mais j’étais littéralement hypnotisé par la scène qui se déroulait devant moi, les seins de ma tante que je n’avais même jamais imaginé , ballottaient au rythme de l’homme et ses hanches ondulaient, trahissant le plaisir qu’elle devait ressentir.
Dans un geste brutal, je vis les deux corps se raidir et ma tante pousser un long râle en penchant la tête en arrière.
Je me suis alors enfuit vers ma chambre de peur de me faire surprendre.
Je les ai entendu discuter un bon moment, n’arrivant à saisir que quelques mots de leur conversation : « un jour….te baiser……salope…..à plusieurs…. ».
J’avais éjaculé dans mon slip, j’ai attendu 2 bonnes heures avant de sortir de ma chambre, pour aller embrasser ma tante qui s’était installé dans le salon avec un magasine.
Elle fut étonnée de ne pas m’avoir entendu rentrer, et moi de lui dire que j’étais là depuis une dizaine de minutes.
Depuis ce jour, elle était devenu l’objet de tous mes fantasmes, pourtant rien dans son comportement ne trahissait son plaisir évident à l’acte sexuel.
Il aura fallu une grève de la RATP 2 mois plus tard pour que je puisse de nouveau me régaler des performances de ma tante.
Il devait être 9h00 du matin quand je suis rentré, elle était dans la salle de bain et je me suis faufilé vers ma chambre sans faire de bruit.
J’ai passé ainsi 2 bonnes heures étendu sur le lit à potasser mes cours, quand le bruit de la sonnette d’entrée à retentit, plusieurs voix d’hommes se sont élevés, j’en distingué 3 différentes, mais je n’était pas sur et je n’osais pas trop entrebâiller la porte, de peur de me voir découvert.
Au bout d’une demi heure, je me décidais enfin à sortir de la chambre pour m’approcher doucement de la porte du salon et là le spectacle était au de là de toutes mes espérances, elle était à genou avec pour tout vêtement, une guêpière et des escarpins rouge, en train de sucer un des hommes assit sur le canapé et masturbant les 2 autres.
Les hommes ne faisaient apparemment pas parti du monde qu’elle devait fréquenter habituellement, leur vocabulaire et leurs manières contrastaient complètement avec la prestance coutumière de ma tante, pourtant cela n’avait vraiment pas l’air de la gêner.
« Allez viens t’asseoir là-dessus, elle n’attend plus que toi ».
Elle s’est assise sur lui d’un seul coup, de mon poste d’observation je ne voyais la scène que de profil, mais même de là, j’ai entendu ses fesses claquées sur les cuisses de l’homme.
« Remues moi un peu tous ça, si tu veux continuer à faire bander mes copains ».
Je ne sais pas si c’était l’homme qui la faisait sauter comme ça ou si c’était elle qui s’agitait sur lui, mais le résultat ressemblait à un spectacle de rodéo, tant les mouvements étaient brutaux.
« Toi ma salope t’es motivé aujourd’hui, ça te réussi de ne pas me voir pendant 3 semaines, vous avez intérêt à assurer les gars, elle a le feu au cul ».
« Oui mes cochons, je suis votre salope qui veut se faire baiser ».
Je n’en croyais pas mes oreilles, comment était-elle capable de parler de la sorte ?
Et je n’étais pas au bout de mes surprises.
« Vous n’avez que 2 heures et j’ai encore 2 trous à remplir, faut quand même pas que je vous tienne la main ».
Elle s’est laissé glisser sur la moquette avec celui sur qui elle était assise et là je compris seulement que c’était entre ses fesses qu’il s’agitait jusqu’à maintenant.
Le second arriva sur elle pour la pénétrer tandis que sur le coté, le troisième lui enfonça littéralement son sexe dans la gorge, c’était celui que je voyais le mieux et elle avait avalé la totalité de son membre.
Jamais à part dans un film X je n’avais vu ce genre de scène, mais là c’était ma tante que je côtoyais tous les jours depuis bientôt 6 mois qui en était l’actrice principale.
Pendant plus d’une heure, ils se sont relayés dans ses orifices et j’étais tellement pris dans le spectacle que je n’ai même réalisé que j’étais pratiquement rentré à l’intérieur de la pièce.
Et ce qui devait arriver, arriva, l’un des hommes annonça qu’il y avait un voyeur et ma tante toute empalée qu’elle fut, se mit une main pour cacher ses seins et une autre devant la bouche.
Alors que j’aurais du m’enfuir, je suis resté là pétrifié par la situation.
« Tu le connais le petit jeune on dirait, tu t’en tapes d’autres que nous en douce ? ».
« Non, laissez moi c’est mon neveu ».
« Approche petit, tu veux que tata te suce ».
« Vous êtes malade, c’est un gosse ».
« Regarde la bosse du pantalon et tu verras que c’est plus un gosse ».
« Allez sort ton engin petit et montre lui que tu as grandi ».
Je me suis approché timidement.
« Non je peux pas ».
« Tu le suces ou on te fout à poil sur le palier ».
Elle a pris mon sexe du bout des lèvres.
« Allez mieux que ça, ou on reviens plus ».
Elle englouti alors toute la longueur de mon sexe, je sentais littéralement aspiré et sa langue frottait sur mon gland.
Je sais ce n’est pas trop héroïque, mais j’ai éjaculé en moins d’une minute et elle avala toute ma semence en baissant les yeux.
« Allez, on reprend les choses en main, assis toi et prend de la graine ».
« Regarde, on va tous l’enculer, elle adore ça, dit le que t’aimes te faire défoncer le cul ».
Elle murmurait à peine.
« J’entend rien, plus fort ».
« J’aime me faire prendre le cul ».
Il lui introduisit 2 doigts dans l’anus et lui demanda d’être plus convaincante pour les faire bander.
« Je suis votre salope qui veux se faire enculer ».
Tu y es presque.
« Je suis une grosse truie qui veux se faire défoncer par vos grosses bites ».
Je ne sais pas qui était le plus excité des 3 hommes qui l’entouraient ou de ma tante qui débitait ces mots.
Toujours est t-il qu’elle oublia vite ma présence pour se faire prendre le cul sans la moindre tendresse, les encourageant même à plus de brutalité.
Le dernier s’amusant à lui rentrer 2 doigts en plus de son sexe dans l’anus, pendant que les 2 autres lui faisaient nettoyer leurs bites un peu moles ensemble dans sa bouche.
Les 3 hommes se sont rhabillés et sont partis, laissant ma tante étendue sur la moquette entourée d’une bonne dizaine de capotes.
En se relevant, elle me regarda et me dit :
« Excuse moi, je ne voulais pas, j’ai trop honte ».
Je ne savais plus quoi faire, je l’ai aidé à se relever et je l’ai soutenu jusqu’à la salle de bain, et l’ai embrassé sur la joue avant de la laisser seule.
Elle est restée longtemps enfermée, moi je suis retourné dans ma chambre jusqu’au dîner où un silence de plomb régnât toute la soirée.
Le lendemain mon oncle était de retour et elle reprit ses bonnes habitudes comme si de rien n’était et je m’efforçais de faire de même.
Il est reparti 4 jours plus tard, ma tante semblait avoir perdu sa joie de vivre qui la caractérisait d’ordinaire et je me sentais coupable de cet état de fait, mais je ne savais pas comment m’y prendre pour y mettre un terme.
Deux jours sont ainsi passés avant que j’ose enfin m’adresser à elle.
J’ai commencé par m’excuser pour ce qui s’était passé, elle était au bord des larmes, je l’ai prise doucement dans mes bras et là elle a pleuré toutes les larmes de son corps avant d’être enfin capable de prononcer quelques mots.
Elle aussi s’excusait de ce qui était arrivé et moi bien maladroitement j’essayé de lui faire comprendre que ce n’était pas grave et que je l’appréciais toujours autant.
« Qu’est ce que tu vas penser de moi maintenant, que je suis qu’une moins que rien qui trompe son mari ».
Trouver les mots justes dans ces moments là est très difficile, je lui expliquais que je l’avais trouvé très belle et que je n’avais aucune raison de la juger.
Oui je sais, c’est ridicule, mais rien ne me venait à l’esprit.
Et là, magie de la situation, nous nous sommes embrassés avec passion, au point de presque manqué de souffle, les mots ne servaient à rien, c’était l’expression de nos émotions qui nous débordait.
Ainsi naquit entre nous une complicité, bâtit sur le secret que nous partagions et qui nous rapprochât au point de nous faire partager le même lit pendant les absences de mon oncle.
Nous couchions ensemble, mais cela n’avait rien à voir avec la séance, de l’autre jour, c’était beaucoup plus tendre, câlin, sans vulgarité, comme un véritable couple.
Elle avait l’expérience et moi l’enthousiasme de la jeunesse, je ne pouvais espérer meilleur professeur car elle n’avait pas vraiment de tabous et nous arrivions à parler de nos désirs comme d’autres discuteraient d’un sujet banal.
Son plaisir favori était que je lui lèche longuement le clitoris en lui agitant un doigt dans les fesses, quand à moi, c’était plus banal, mais c’était la fellation où elle était capable de me faire éjaculer 4 fois dans la soirée.
Elle refusait par contre que j’assiste de nouveau aux séances avec ses amants, mais n’hésitait pas à me raconter ce qu’ils lui faisaient, me mettant ainsi dans un état d’excitation qui la ravissait, et je la soupçonnais même d’en rajouter un peu parfois.
Je lui donnais bien quelques conseils pour qu’elles les excitent encore plus, mais mon imagination était puérile à coté de la leur.
Ils l’utilisaient comme un jouet parfois jusqu’à sept à la fois, lui faisant subir les pires outrages comme des doubles pénétrations anales qu’elle redemandait, ou boire leur sperme au verre tout en l’encourageant à débiter les pires obscénités pour la rabaisser un peu plus.
Ca me choquait beaucoup, car moi je l’avais élevé au nouveau d’une icône, et pourtant ça ne m’empêchait pas d’être terriblement excité.
Les vacances d’été cette année là, m’ont paru interminable, j’ai bien eu une petite amie, mais qu’elle me semblait fade.
A la rentrée suivante, elle m’autorisa plusieurs fois à assister comme voyeur caché à plusieurs de ses séances car j’avais piqué son orgueil en affirmant qu’elle exagérait quand elle me racontait ses exploits.
Je dû admettre que c’était plutôt l’inverse, pas sur les actes, mais sur la vulgarité de ses propos.
« Bouffez moi le cul, jutez moi à la gueule, défoncez moi la moule, étirez moi les nichons, éclatez moi le fion….. ».
Et ce n’est qu’un petit aperçu des propos dont je me rappelle encore aujourd’hui.
Je ne comprends toujours pas comment elle était capable de se transformer ainsi dans ses séances de débauche.
Pour ma troisième et dernière année, il n’y eu pas beaucoup de changement, si ce n’est que je l’ai vu se faire introduire une main entière dans le cul et ce n’était pas celle d’un bureaucrate.
J’aurais donné tout l’or du monde pour y rester une année de plus, mais ça allé à l’encontre des attentes de tous le monde, y compris ma tante.
Pour faire face à ce dilemme dont je lui avais parlé, elle m’y apporta une solution.
Pendant les deux mois qui vont précéder ton diplôme, pas de sexe, et si tu l’obtiens, je t’offre un voyage de deux semaines avec moi où tu pourras faire de moi tous ce que tu veux, avec qui tu veux, sans la moindre limite.
Quand elle m’a annoncé cela, on devait être en janvier, autant dire que niveau motivation, c’était le top niveau et je ne vous dis pas les heures de réflexion passées à essayer d’imaginer tous ce que je pourrais lui trouver pour nous satisfaire mutuellement.
Comme destination, j’avais choisi le Sénégal, car j’ai toujours rêvé de la voir faire l’amour avec un noir et pour le reste, on verrait sur place.
J’ai fini dans les dix premier de ma promotion et à peine le diplôme en poche, j’avais déjà des propositions d’embauche dont la plus intéressante sur Montpellier dés la mi septembre.
Même si les billets d’avion ne lui revenaient pas trop cher, elle avait choisi un hôtel de standing avec tout le luxe attendu.
Le premier jour, nous ne sommes pas sorti de la chambre, on a fait l’amour à toutes les heures, se faisant même livrer les repas.
Pour l’anecdote, elle a dégusté une brochette d’ananas sur mon sexe et moi des kiwis aux liqueurs intimes, un vrai délice.
J’avais totalement oublié tous mes projets pour profiter d’elle au maximum pour les quelques jours qui nous restaient à passer ensemble.
Il n’y eu aucune visite pendant notre séjour, juste des lieux où nous mangions, buvions, ou faisions l’amour.
J’insiste sur le terme, car dans ces moments j’étais totalement fou d’elle.
C’est le hasard qui nous rattrapa, alors que nous étions enlacés nus à l’autre bout de la plage en milieu de nuit, nous avons senti une présence.
Un beau noir d’une trentaine d’année était en train de se masturber à moins de 2 mètres de nous.
Nicole en avait vu d’autre, et elle lui fit signe d’approcher pour le sucer.
Pas besoin de le lui répéter, il enfila aussitôt sa bite dans la chaude bouche de ma tante, lui maintenant la tête pour accompagner ses coup de reins, pendant que moi je la sodomisais en levrette.
Elle lui a fait cracher son venin en moins de 10 minutes, il aurait bien voulu poursuivre, mais en absence de préservatif, ce ne fut pas possible.
On lui a donc fixé rendez vous pour le lendemain, en lui précisant qu’il devrait avoir un capuchon, s’il en voulait davantage.
Le lendemain, on s’est économisé, passant la journée entre le buffet la piscine et les transats.
Le soir venu, elle enfila un simple paréo, dont elle se débarrassa à moins de cinq cent mètres de l’hôtel, pour marcher toute nue au bord de l’eau sur plus d’un kilomètre.
Au lieu du rendez, ce n’était pas un, mais quatre noirs en short qui étaient là, pour le plus grand plaisir de Nicole.
Je savais que c’était un de ses fantasmes puisqu’elle me l’avait dit.
Ce fut pourtant différent des séances de groupe que nous avions connu, car beaucoup moins vulgaire, mais beaucoup plus physique, ils ne devaient pas avoir souvent l’occasion de se taper une blanche et encore moins une qui voulait se faire enculer.
Ce fut très intense pendant prés d’une heure et ils ouvrirent de grands yeux quand après qu’ils eurent fini, elle se masturba sans pudeur devant eux, leur faisant ainsi comprendre qu’elle en voulait encore.
Mais malgré toute leur bonne volonté, ils avaient tout donné.
On se contenta de leur fixer rendez vous pour le soir suivant, mais je sentais bien qu’elle était déçu.
Le lendemain soir fût une toute autre histoire, quand nous sommes arrivés, ils étaient toujours 4, mais un peu plus loin, un autre groupe bien plus nombreux attendait.
Ils devaient être une dizaine et là malgré l’obscurité, je vis une étincelle s’allumer dans ses yeux.
Elle leur montra qu’ils s’étaient compris en leur faisant signe de s’approcher.
Jamais encore elle n’avait eu autant de mains sur son corps, ni autant de bite à son service dont 2 particulièrement bien dimensionnées.
Et vous me croirez ou pas, mais vers les 3 heures du matin elle en était venu à bout et pas en se laissant faire comme j’aurais pu m’y attendre au vu du nombre, mais en s’activant vraiment pour tous les faire venir.
Je n’en croyais pas mes yeux, elle avait du sperme partout, sur les cheveux, le visage, les seins, dans le dos et sur le ventre où le sable se collait.
Jamais je pense, je ne lui avais vu avoir autant d’orgasme en un soir et dieu sait si elle m’en avait déjà montré.
Elle s’est fait prendre dans tous les sens, couchée, assise, debout, en levrette et même la tête en bas en se faisant déguster le minou.
Ce soir là pas besoin de la bercer, il nous restait 9 jours et je savais qu’elle n’allait pas s’ennuyer.
Le lendemain repos complet, il fallait quand même qu’elle récupère un peu.
Deux jours plus tard donc, rendez vous nocturne de la plage et là ils n’étaient que deux et nous proposèrent de nous emmener dans un quartier chaud de la ville.
On a réfléchit un moment avant d’accepter car ça allait à l’encontre de toutes les règles de sécurité et ma tante de me dire :
« Après tout ils vont pas me violer, j’y vais pour ça ».
L’argument était simpliste mais convaincant.
La situation n’avait rien de réaliste, on était à l’arrière d’une vieille camionnette en mocassin short et chemisette pour moi et elle complètement à poil sous son paréo pratiquement transparent dans une ville dont on ne connaissait rien.
On a traversé un quartier rempli de prostitués, j’ai senti sa main serrer la mienne quand on s’est arrêté un petit kilomètre plus loin.
On était devant une espèce hangar où devait se dérouler quelque chose au vu de l’attroupement qu’il y avait, on a juste traversé sans savoir vraiment pourquoi ils étaient rassemblés, on a ensuite parcouru une bonne centaine mètres pour passer sous un porche afin de rentrer dans un bar.
Ca empestait le tabac et la sueur, on nous a fait passer la porte d’une salle au fond où une dizaine d’hommes étaient là attendant apparemment la venue de ma tante.
« Alors c’est elle la pute blanche qui veut se faire baiser par des black ».
« Oui mais seulement avec des capotes ».
On lui montra un panier rempli d’au moins deux cent préservatifs.
Elle défit simplement le nœud du paréo, me le tendit, passa la main entre ses cuisses pour porter ses doigts à la bouche et s’avança vers eux.
Il n’y eu aucun préliminaire, elle eu aussitôt les 3 trous remplis et les 2 mains prisent, je ne la voyais presque plus tant elle était entourée.
Ils s’acharnaient sur elle se relayant en permanence pour ne pas la laisser souffler et vu l’enthousiasme dont elle faisait preuve, je pense qu’elle ne s’était pas rendue compte qu’un bon nombre d’autres visiteurs étaient rentrés.
D’ailleurs après presque 3 heures de ce traitement, elle montrait visiblement des signes de fatigue, ils l’ont alors allongé en travers d’une table afin de mettre ses fesses et sa bouche à la bonne hauteur.
Elle était enfin arrivée au-delà de ses limites, car maintenant elle ne réagissait plus et pourtant il lui passa encore une bonne vingtaine de partenaires entre les cuisses.
Il a fallu l’aider à se relever, je lui renouais le paréo, tant bien que mal, un homme m’a aidé à la soutenir jusqu’à la voiture qui nous ramena à 100 mètres de l’hôtel.
« Quand elle veut, elle revient ».
J’ai eu beaucoup de mal à la ramener jusqu’à la chambre, heureusement, il faisait encore nuit et nous n’avons croisé que 2 ou 3 personnes qui ont dû croire qu’elle été simplement ivre.
S’ils avaient été plus prés, ils se seraient vite rendus compte que ce n’était pas de la crème solaire qui lui collait dans les cheveux.
Je l’ai mise dans le lit, elle était couverte de petits hématomes partout sur le corps, mais surtout aux jambes.
Elle avait les lèvres du vagin complètement tuméfiées et bien que cela fasse plus de 2 heures que soit fini, elle avait toujours l’anus ouvert où j’aurais pu rentrer 2 doigts sans en toucher les contours.
Malgré tous cela, je la trouvais très belle et épanouie dans cette semi inconscience.
Je l’ai nettoyé délicatement avec un gant de toilette et ne soyons pas hypocrite, je la caressais autant que je la lavais.
Je l’ai ensuite badigeonnais d’huile de massage délicieusement parfumée à la vanille.
Il n’y a que les cheveux que je n’ai pas pu arranger, le sperme séché dedans, ne les mettait pas vraiment en valeur et je crois qu’elle n’aimera pas le regard dans le miroir du matin.
Le lendemain, elle était debout bien avant moi où après avoir fait un saut à la salle de bain et à la pharmacie, elle est venue me réveiller comme ma mère quand j’étais enfant en me passant la main dans les cheveux.
Malgré la soirée qu’elle venait de passer, elle était radieuse.
Elle m’a embrassé sur le front en ajoutant un tendre merci, c’était un moment magique comme on en a quelquefois dans la vie.
Les quatre jours suivants, furent basés sur repos et détente, on s’est d’ailleurs bien éclaté le soir dans la boîte de l’hôtel.
Je ne suis pas fan des boîtes de nuit et elle, pas trop accro des musiques de l’époque, mais j’ai eu l’immense plaisir de la voir danser devant et avec moi.
Cela n’avait rien de sexuel, tout au plus terriblement sensuel.
Nous arrivions au milieu de notre dernière semaine et Nicole souhaitait réaliser mon plus grand fantasme quel qu’il soit, car pour elle c’était fait.
Je lui avouais que j’aimerais qu’une fois, elle me fasse l’amour dans une tenue super sexy limite SM et qu’elle m’excite avec toutes les grossièretés dont elle ne faisait que profiter les autres car me l’ayant toujours refusé.
Pour trouver la tenue, ce fut déjà toute une histoire, surtout à Dakar.
On n’est parti le matin en taxi, demandant au chauffeur de nous trouver un magasin de lingerie.
Il nous a arrêtés devant une boutique, mais on lui demandé un genre plus sexy.
Il a affiché un sourire jusqu’aux oreilles nous demandant carrément sexy ou sexe.
Et Nicole de répondre en souriant :
« Très sexe ».
Dans quoi nous étions nous encore engagés ?
Il nous a amené jusqu’à un sexe shop dans une petite rue du centre ville, et aussi surprenant que cela puisse paraître, le magasin faisait assez moderne et européen.
Effectivement, quand nous sommes rentrés, il devait y avoir une quinzaine de client dont 2 couples et presque uniquement des blancs.
Je me sentais déjà plus rassuré, surtout que la boutique ne faisait pas du tout sordide, mais plutôt moderne.
Je n’étais encore jamais rentré dans ce genre de boutique, ce qui je crois n’était pas du tout le cas de Nicole, qui semblait très à l’aise à l’intérieur.
Elle m’a tout d’abord demandé de choisir pour elle ce qui me ferait plaisir, mais devant mon embarras, elle décidât que ce serait mieux si elle choisissait elle-même.
Je reconnais aujourd’hui, que je n’aurais jamais eu le cran de lui faire prendre ce qu’elle avait choisit.
Elle a tout d’abord sélectionné un ensemble tout en cuir, slip, bustier porte jarretelle et jupe, ainsi que des escarpins noirs avec une sangle clouté qui se fermait sur la cheville.
Elle prit ensuite 3 paires de bas noir, ainsi qu’une nuisette de la même couleur aussi courte que transparente.
Elle me montra ensuite plusieurs gadgets dont plusieurs paires de menottes, une espèce de godemichet creux que l’on attache à la taille, mais dont les dimensions tant de longueur que de diamètre devait lui donner les caractéristiques d’un membre de cheval.
Elle demanda à la caisse, s’il disposait d’une cabine d’essayage et il lui en montra deux sur le coté.
Elle me fit attendre à l’extérieur et quand elle tira le rideau pour me montrer le résultat, je restais la bouche bée, et regardant autour de moi, je n’étais pas le seul à profiter du spectacle.
Je n’ai pas eu à ouvrir la bouche pour qu’elle comprenne que cela me plaisait.
Elle renonça au maxi gode, mais emmena quand même deux paires de menottes en plus de la tenue.
Quand nous sommes sortis un des clients nous rattrapa et nous remis son numéro de téléphone griffonné sur un papier.
Nous sommes rentrés déjeuner à l’hôtel, où nous avons paressé une bonne partie de l’après midi au bord de la piscine.
En début de soirée, Nicole a commandé plusieurs cocktails alcoolisés pour elle, car moi je ne supporte pas l’alcool.
Elle commençait à être bien gaie quand nous sommes remontés vers la chambre, et ce n’est pas la discrétion de ses rires qui risquait de nous faire passer inaperçu.
Elle me fit attendre à l’extérieur de la chambre le temps pour elle de se changer et alors que je m’attendais à passer la nuit à deux, elle m’ouvrit la porte en m’annonçant que l’on sortait.
Elle portait la tenue achetée dans la journée, autant dire d’une totale indécence pour sortir, j’appréhendais même de traverser le hall d’accueil, mais malgré quelques regards bien sentis, cela se passa bien.
Je ne sais pas si c’est le hasard, mais c’était le même chauffeur de taxi que le matin qui nous attendait.
Il devait être 22 heures et Nicole lui demanda de nous amener à un endroit où il y avait du monde et de l’animation.
Il lui fit remarquer que ce n’était pas très prudent de se promener dans cette tenue le soir dans Dakar.
Pour toute réponse, elle retira son string et lui remit en ajoutant : »un endroit où je n’en aurais pas besoin ».
C’était impensable, elle était habillée d’une manière ultra provocante, sans culotte, les seins prisonniers d’un bustier trop petit, dans une ville inconnue, avec un chauffeur de taxi qui avait accroché son string au rétroviseur en guise de trophée.
Elle me regarda et me dit : »je serais incapable de faire ça seul avec toi, mais aujourd’hui si tu veux, tu pourras en profiter au même titre que les autres ».
Le taxi nous à amené à un endroit en dehors de la ville où les blancs viennent s’encanailler avec des noirs et effectivement il y avait déjà 4 voitures où des couples faisait l’amour observés par des groupes d’hommes, mais portière et vitre fermées.
« Il n’y a rien de plus chaud que ça dans cette ville ? ».
Le chauffeur a ouvert de grands yeux et a remit la voiture en marche.
Il nous a emmené sur le chantier d’une autoroute parsemé de dizaine de baraquements.
« Si tu rentres la dedans madame, je ne sais pas comment tu vas en ressortir, il y a au moins 200 ouvriers qui n’ont pas du voir de femmes depuis des mois ».
Pour la première fois, je l’ai vu hésiter et renoncer à cette folie.
Je me sentais soulagé, bien qu’ensuite elle souhaitât se rendre dans le quartier des prostitués que l’on avait traversé il y a quelques jours.
Aussi surprenant que cela puisse paraître, je trouvais ça beaucoup plus raisonnable.
Imaginez, une femme blanche de 43 ans, en mini jupe en cuir ras les fesses et sans culotte, en escarpins avec des talons d’au moins 7 ou 8 centimètres et en bustier noir d’où débordait presque les auréoles de ses seins, se dandinant au milieu de petites rues bondées d’hommes principalement là pour tirer un coup.
Elle m’a soudain attiré dans une impasse au bord de la rue, m’a descendu le short pour me sucer pratiquement à la vue de tous.
Un homme s’est approché de nous pour me demander combien elle prenait pour une pipe, et moi je lui annonçais 100 francs CFA, un peu moins d’un euro aujourd’hui.
Et rapidement il commença à se former une file d’attente d’une dizaine de personne, ravie à l’idée de se faire sucer par une blanche.
Elle était à genoux, suçant goulûment en pleine rue tous ces sexes qui lui pendais devant les yeux.
Elle s’est affairée ainsi pendant 2 bonnes heures pour la modique somme de 4700 francs CFA, elle était maculée de sperme sur tous le visage, les cheveux et sur le haut de ses seins.
Un homme me proposât 300 francs pour l’enculer, je négociais par principe 350 et le port du préservatif.
Avec un grand sourire, il en sortit un de sa poche et les billets et sans la moindre fioriture, il dégageât son sexe du pantalon pour lui investir les fesses alors qu’elle était encore en train d’en sucer un autre.
Il éjacula assez vite, mais demanda d’attendre un peu car elle était trop large pour lui, mais qu’il connaissait d’autres personnes pour qui elle serait parfaite.
Il est effectivement revenu un petit quart d’heure plus tard avec deux espèces de colosse de prés de 2 mètres et d’un petit gros.
Ils avaient eux des sexes beaucoup plus conséquents, surtout le petit qui avait le gland gros comme une mandarine.
Là ce fut beaucoup plus long et surtout beaucoup plus jouissif pour Nicole qui cambrait les reins et redressait la tête pour savourer ces pénétrations brutales et profondes.
Pour 100 francs je leur ai d’ailleurs offert la possibilité d’un deuxième passage, dont ils se sont empressés d’accepter.
Et comme si cela ne suffisait pas, elle a demandé au deux plus grand de la prendre ensemble.
Elle s’est assise sur le premier et alors que le second allait lui investir le sexe, elle le guida contre l’autre pour lui montrer qu’elle le voulait dans le même passage.
Ce ne fut pas simple ni sans grimaces, mais les 2 sont totalement rentrés entre ses fesses et l’ont ainsi labouré pendant plus de 10 minutes pour son plus grand plaisir.
Nous sommes finalement partis, bien qu’il y avait toujours une file d’attente pour rejoindre le taxi qui nous attendait encore.
Et comme si cela ne lui suffisait pas encore, elle a sucé le chauffeur pendant tout le trajet du retour qui dura anormalement longtemps.
Avant de descendre, il lui a laissé une carte de visite et tendu un chiffon pour qu’elle puisse se nettoyer un peu.
Certes, elle avait une démarche chaotique en franchissant le hall de l’hôtel, mais ils étaient tous loin d’en imaginer la raison.
Arrivé à la chambre, elle se déshabilla et prit les 2 paires de menottes qu’elle avait acheté pour se fixer les poignets aux barreaux du balcon et me demanda d’abuser d’elle.
J’étais comme un con, car je ne voyais pas ce que pouvais lui faire de plus que ce qu’elle avait subit.
Elle me demanda alors de la pénétrer avec les mains.
Je commençais à joindre mes doigts pour lui pénétrer l’anus en lui caressant le clitoris de l’autre, mais elle m’arrêta afin que je lui rentre en même temps les poings dans sa chatte et ses fesses.
Hésitant, je les ai positionné à l’entrée de chaque orifice et d’un coup sec j’ai forcé le passage.
J’ai senti son vagin se contracté fortement sur mon poing, l’immobilisant complètement.
Elle a ensuite poussé un petit cri sourd avant de s’écrouler sur le coté.
Son sexe coulait comme si elle était en train d’uriner, assez rapidement je pu remuer mes mains dans ses orifices pour les sentir frotter l’une contre l’autre à travers les parois de son ventre.
Mais je n’ai pas insisté longtemps, car elle ne réagissait presque plus, par contre moi je m’étais éjaculé dessus.
Je l’ai détaché et après quelques minutes, je l’ai aidé à se coucher et je l’ai vu pleurer.
Je culpabilisais, pensant lui avoir fait mal, mais quand elle pu enfin parler, elle me remerciât au contraire de lui avoir fait vivre tous ça.
Jamais depuis ce temps, je n’ai bien sur eu l’occasion ni même l’envie d’assister à ce genre de spectacle, d’ailleurs je n’ai revu qu’une seule fois ma tante depuis, pour le baptême de mon fils, elle avait prit quelques rides bien sur, mais elle dégageait toujours la même classe naturelle qui faisait tous son éclat.
Hormis les banalités familiales que nous avons échangés, plusieurs sourires et regards en ont dit beaucoup plus sur ce que nous avions partagé ces années là.
Je ne sais pas si après mon départ, elle a continué ses folies, mais jamais depuis tous ce temps je n’ai porté le moindre jugement négatif sur ce qu’elle vivait et m’avait fait vivre pendant ces trois années.
Même si aujourd’hui, j’ai une vie bien sage avec une femme que j’aime et des enfants que j’adore, ma tante Nicole sera toujours pour moi un moment inoubliable de mon passé que j’ai couché sur le papier, car jamais je ne pourrais trahir son secret.
Saches si tu te reconnais, que tu as été une de mes plus belles histoires d’amour.
Nicole, c’est le nom de ma tante vivait avec son mari, non loin du quartier Montmartre, dans un bel appartement plutôt spacieux.
Je ne les connaissais pratiquement pas, je les avais rencontré 5 ou 6 fois peut être à la maison, le seul souvenir que j’avais de cet oncle, c’est qu’il pilotait des avions de ligne et cela m’avait toujours impressionné.
Ils furent ravis de m’accueillir et me mirent très rapidement à l’aise, veillant sur moi comme l’aurait fait mes parents.
J’ai passé le premier trimestre sans même songer à remonter une seule fois chez mes parents si ce n’est pour les fêtes de fin d’année.
Il se passa pourtant un événement dont je fus le premier surpris, un après midi, alors que je rentrais plus tôt en l’absence d’un professeur, je fus étonné de ne pas trouver ma tante et alors que je me dirigeais vers ma chambre, j’entendis des soupirs provenant de la cuisine.
Je m’approchais discrètement et le spectacle qui s’offrit à moi, me laissa sans voix, ma tante était allongée nue sur la table et un homme s’acharnait à grand coup de rein entre ses cuisses.
J’allais faire volte face, mais j’étais littéralement hypnotisé par la scène qui se déroulait devant moi, les seins de ma tante que je n’avais même jamais imaginé , ballottaient au rythme de l’homme et ses hanches ondulaient, trahissant le plaisir qu’elle devait ressentir.
Dans un geste brutal, je vis les deux corps se raidir et ma tante pousser un long râle en penchant la tête en arrière.
Je me suis alors enfuit vers ma chambre de peur de me faire surprendre.
Je les ai entendu discuter un bon moment, n’arrivant à saisir que quelques mots de leur conversation : « un jour….te baiser……salope…..à plusieurs…. ».
J’avais éjaculé dans mon slip, j’ai attendu 2 bonnes heures avant de sortir de ma chambre, pour aller embrasser ma tante qui s’était installé dans le salon avec un magasine.
Elle fut étonnée de ne pas m’avoir entendu rentrer, et moi de lui dire que j’étais là depuis une dizaine de minutes.
Depuis ce jour, elle était devenu l’objet de tous mes fantasmes, pourtant rien dans son comportement ne trahissait son plaisir évident à l’acte sexuel.
Il aura fallu une grève de la RATP 2 mois plus tard pour que je puisse de nouveau me régaler des performances de ma tante.
Il devait être 9h00 du matin quand je suis rentré, elle était dans la salle de bain et je me suis faufilé vers ma chambre sans faire de bruit.
J’ai passé ainsi 2 bonnes heures étendu sur le lit à potasser mes cours, quand le bruit de la sonnette d’entrée à retentit, plusieurs voix d’hommes se sont élevés, j’en distingué 3 différentes, mais je n’était pas sur et je n’osais pas trop entrebâiller la porte, de peur de me voir découvert.
Au bout d’une demi heure, je me décidais enfin à sortir de la chambre pour m’approcher doucement de la porte du salon et là le spectacle était au de là de toutes mes espérances, elle était à genou avec pour tout vêtement, une guêpière et des escarpins rouge, en train de sucer un des hommes assit sur le canapé et masturbant les 2 autres.
Les hommes ne faisaient apparemment pas parti du monde qu’elle devait fréquenter habituellement, leur vocabulaire et leurs manières contrastaient complètement avec la prestance coutumière de ma tante, pourtant cela n’avait vraiment pas l’air de la gêner.
« Allez viens t’asseoir là-dessus, elle n’attend plus que toi ».
Elle s’est assise sur lui d’un seul coup, de mon poste d’observation je ne voyais la scène que de profil, mais même de là, j’ai entendu ses fesses claquées sur les cuisses de l’homme.
« Remues moi un peu tous ça, si tu veux continuer à faire bander mes copains ».
Je ne sais pas si c’était l’homme qui la faisait sauter comme ça ou si c’était elle qui s’agitait sur lui, mais le résultat ressemblait à un spectacle de rodéo, tant les mouvements étaient brutaux.
« Toi ma salope t’es motivé aujourd’hui, ça te réussi de ne pas me voir pendant 3 semaines, vous avez intérêt à assurer les gars, elle a le feu au cul ».
« Oui mes cochons, je suis votre salope qui veut se faire baiser ».
Je n’en croyais pas mes oreilles, comment était-elle capable de parler de la sorte ?
Et je n’étais pas au bout de mes surprises.
« Vous n’avez que 2 heures et j’ai encore 2 trous à remplir, faut quand même pas que je vous tienne la main ».
Elle s’est laissé glisser sur la moquette avec celui sur qui elle était assise et là je compris seulement que c’était entre ses fesses qu’il s’agitait jusqu’à maintenant.
Le second arriva sur elle pour la pénétrer tandis que sur le coté, le troisième lui enfonça littéralement son sexe dans la gorge, c’était celui que je voyais le mieux et elle avait avalé la totalité de son membre.
Jamais à part dans un film X je n’avais vu ce genre de scène, mais là c’était ma tante que je côtoyais tous les jours depuis bientôt 6 mois qui en était l’actrice principale.
Pendant plus d’une heure, ils se sont relayés dans ses orifices et j’étais tellement pris dans le spectacle que je n’ai même réalisé que j’étais pratiquement rentré à l’intérieur de la pièce.
Et ce qui devait arriver, arriva, l’un des hommes annonça qu’il y avait un voyeur et ma tante toute empalée qu’elle fut, se mit une main pour cacher ses seins et une autre devant la bouche.
Alors que j’aurais du m’enfuir, je suis resté là pétrifié par la situation.
« Tu le connais le petit jeune on dirait, tu t’en tapes d’autres que nous en douce ? ».
« Non, laissez moi c’est mon neveu ».
« Approche petit, tu veux que tata te suce ».
« Vous êtes malade, c’est un gosse ».
« Regarde la bosse du pantalon et tu verras que c’est plus un gosse ».
« Allez sort ton engin petit et montre lui que tu as grandi ».
Je me suis approché timidement.
« Non je peux pas ».
« Tu le suces ou on te fout à poil sur le palier ».
Elle a pris mon sexe du bout des lèvres.
« Allez mieux que ça, ou on reviens plus ».
Elle englouti alors toute la longueur de mon sexe, je sentais littéralement aspiré et sa langue frottait sur mon gland.
Je sais ce n’est pas trop héroïque, mais j’ai éjaculé en moins d’une minute et elle avala toute ma semence en baissant les yeux.
« Allez, on reprend les choses en main, assis toi et prend de la graine ».
« Regarde, on va tous l’enculer, elle adore ça, dit le que t’aimes te faire défoncer le cul ».
Elle murmurait à peine.
« J’entend rien, plus fort ».
« J’aime me faire prendre le cul ».
Il lui introduisit 2 doigts dans l’anus et lui demanda d’être plus convaincante pour les faire bander.
« Je suis votre salope qui veux se faire enculer ».
Tu y es presque.
« Je suis une grosse truie qui veux se faire défoncer par vos grosses bites ».
Je ne sais pas qui était le plus excité des 3 hommes qui l’entouraient ou de ma tante qui débitait ces mots.
Toujours est t-il qu’elle oublia vite ma présence pour se faire prendre le cul sans la moindre tendresse, les encourageant même à plus de brutalité.
Le dernier s’amusant à lui rentrer 2 doigts en plus de son sexe dans l’anus, pendant que les 2 autres lui faisaient nettoyer leurs bites un peu moles ensemble dans sa bouche.
Les 3 hommes se sont rhabillés et sont partis, laissant ma tante étendue sur la moquette entourée d’une bonne dizaine de capotes.
En se relevant, elle me regarda et me dit :
« Excuse moi, je ne voulais pas, j’ai trop honte ».
Je ne savais plus quoi faire, je l’ai aidé à se relever et je l’ai soutenu jusqu’à la salle de bain, et l’ai embrassé sur la joue avant de la laisser seule.
Elle est restée longtemps enfermée, moi je suis retourné dans ma chambre jusqu’au dîner où un silence de plomb régnât toute la soirée.
Le lendemain mon oncle était de retour et elle reprit ses bonnes habitudes comme si de rien n’était et je m’efforçais de faire de même.
Il est reparti 4 jours plus tard, ma tante semblait avoir perdu sa joie de vivre qui la caractérisait d’ordinaire et je me sentais coupable de cet état de fait, mais je ne savais pas comment m’y prendre pour y mettre un terme.
Deux jours sont ainsi passés avant que j’ose enfin m’adresser à elle.
J’ai commencé par m’excuser pour ce qui s’était passé, elle était au bord des larmes, je l’ai prise doucement dans mes bras et là elle a pleuré toutes les larmes de son corps avant d’être enfin capable de prononcer quelques mots.
Elle aussi s’excusait de ce qui était arrivé et moi bien maladroitement j’essayé de lui faire comprendre que ce n’était pas grave et que je l’appréciais toujours autant.
« Qu’est ce que tu vas penser de moi maintenant, que je suis qu’une moins que rien qui trompe son mari ».
Trouver les mots justes dans ces moments là est très difficile, je lui expliquais que je l’avais trouvé très belle et que je n’avais aucune raison de la juger.
Oui je sais, c’est ridicule, mais rien ne me venait à l’esprit.
Et là, magie de la situation, nous nous sommes embrassés avec passion, au point de presque manqué de souffle, les mots ne servaient à rien, c’était l’expression de nos émotions qui nous débordait.
Ainsi naquit entre nous une complicité, bâtit sur le secret que nous partagions et qui nous rapprochât au point de nous faire partager le même lit pendant les absences de mon oncle.
Nous couchions ensemble, mais cela n’avait rien à voir avec la séance, de l’autre jour, c’était beaucoup plus tendre, câlin, sans vulgarité, comme un véritable couple.
Elle avait l’expérience et moi l’enthousiasme de la jeunesse, je ne pouvais espérer meilleur professeur car elle n’avait pas vraiment de tabous et nous arrivions à parler de nos désirs comme d’autres discuteraient d’un sujet banal.
Son plaisir favori était que je lui lèche longuement le clitoris en lui agitant un doigt dans les fesses, quand à moi, c’était plus banal, mais c’était la fellation où elle était capable de me faire éjaculer 4 fois dans la soirée.
Elle refusait par contre que j’assiste de nouveau aux séances avec ses amants, mais n’hésitait pas à me raconter ce qu’ils lui faisaient, me mettant ainsi dans un état d’excitation qui la ravissait, et je la soupçonnais même d’en rajouter un peu parfois.
Je lui donnais bien quelques conseils pour qu’elles les excitent encore plus, mais mon imagination était puérile à coté de la leur.
Ils l’utilisaient comme un jouet parfois jusqu’à sept à la fois, lui faisant subir les pires outrages comme des doubles pénétrations anales qu’elle redemandait, ou boire leur sperme au verre tout en l’encourageant à débiter les pires obscénités pour la rabaisser un peu plus.
Ca me choquait beaucoup, car moi je l’avais élevé au nouveau d’une icône, et pourtant ça ne m’empêchait pas d’être terriblement excité.
Les vacances d’été cette année là, m’ont paru interminable, j’ai bien eu une petite amie, mais qu’elle me semblait fade.
A la rentrée suivante, elle m’autorisa plusieurs fois à assister comme voyeur caché à plusieurs de ses séances car j’avais piqué son orgueil en affirmant qu’elle exagérait quand elle me racontait ses exploits.
Je dû admettre que c’était plutôt l’inverse, pas sur les actes, mais sur la vulgarité de ses propos.
« Bouffez moi le cul, jutez moi à la gueule, défoncez moi la moule, étirez moi les nichons, éclatez moi le fion….. ».
Et ce n’est qu’un petit aperçu des propos dont je me rappelle encore aujourd’hui.
Je ne comprends toujours pas comment elle était capable de se transformer ainsi dans ses séances de débauche.
Pour ma troisième et dernière année, il n’y eu pas beaucoup de changement, si ce n’est que je l’ai vu se faire introduire une main entière dans le cul et ce n’était pas celle d’un bureaucrate.
J’aurais donné tout l’or du monde pour y rester une année de plus, mais ça allé à l’encontre des attentes de tous le monde, y compris ma tante.
Pour faire face à ce dilemme dont je lui avais parlé, elle m’y apporta une solution.
Pendant les deux mois qui vont précéder ton diplôme, pas de sexe, et si tu l’obtiens, je t’offre un voyage de deux semaines avec moi où tu pourras faire de moi tous ce que tu veux, avec qui tu veux, sans la moindre limite.
Quand elle m’a annoncé cela, on devait être en janvier, autant dire que niveau motivation, c’était le top niveau et je ne vous dis pas les heures de réflexion passées à essayer d’imaginer tous ce que je pourrais lui trouver pour nous satisfaire mutuellement.
Comme destination, j’avais choisi le Sénégal, car j’ai toujours rêvé de la voir faire l’amour avec un noir et pour le reste, on verrait sur place.
J’ai fini dans les dix premier de ma promotion et à peine le diplôme en poche, j’avais déjà des propositions d’embauche dont la plus intéressante sur Montpellier dés la mi septembre.
Même si les billets d’avion ne lui revenaient pas trop cher, elle avait choisi un hôtel de standing avec tout le luxe attendu.
Le premier jour, nous ne sommes pas sorti de la chambre, on a fait l’amour à toutes les heures, se faisant même livrer les repas.
Pour l’anecdote, elle a dégusté une brochette d’ananas sur mon sexe et moi des kiwis aux liqueurs intimes, un vrai délice.
J’avais totalement oublié tous mes projets pour profiter d’elle au maximum pour les quelques jours qui nous restaient à passer ensemble.
Il n’y eu aucune visite pendant notre séjour, juste des lieux où nous mangions, buvions, ou faisions l’amour.
J’insiste sur le terme, car dans ces moments j’étais totalement fou d’elle.
C’est le hasard qui nous rattrapa, alors que nous étions enlacés nus à l’autre bout de la plage en milieu de nuit, nous avons senti une présence.
Un beau noir d’une trentaine d’année était en train de se masturber à moins de 2 mètres de nous.
Nicole en avait vu d’autre, et elle lui fit signe d’approcher pour le sucer.
Pas besoin de le lui répéter, il enfila aussitôt sa bite dans la chaude bouche de ma tante, lui maintenant la tête pour accompagner ses coup de reins, pendant que moi je la sodomisais en levrette.
Elle lui a fait cracher son venin en moins de 10 minutes, il aurait bien voulu poursuivre, mais en absence de préservatif, ce ne fut pas possible.
On lui a donc fixé rendez vous pour le lendemain, en lui précisant qu’il devrait avoir un capuchon, s’il en voulait davantage.
Le lendemain, on s’est économisé, passant la journée entre le buffet la piscine et les transats.
Le soir venu, elle enfila un simple paréo, dont elle se débarrassa à moins de cinq cent mètres de l’hôtel, pour marcher toute nue au bord de l’eau sur plus d’un kilomètre.
Au lieu du rendez, ce n’était pas un, mais quatre noirs en short qui étaient là, pour le plus grand plaisir de Nicole.
Je savais que c’était un de ses fantasmes puisqu’elle me l’avait dit.
Ce fut pourtant différent des séances de groupe que nous avions connu, car beaucoup moins vulgaire, mais beaucoup plus physique, ils ne devaient pas avoir souvent l’occasion de se taper une blanche et encore moins une qui voulait se faire enculer.
Ce fut très intense pendant prés d’une heure et ils ouvrirent de grands yeux quand après qu’ils eurent fini, elle se masturba sans pudeur devant eux, leur faisant ainsi comprendre qu’elle en voulait encore.
Mais malgré toute leur bonne volonté, ils avaient tout donné.
On se contenta de leur fixer rendez vous pour le soir suivant, mais je sentais bien qu’elle était déçu.
Le lendemain soir fût une toute autre histoire, quand nous sommes arrivés, ils étaient toujours 4, mais un peu plus loin, un autre groupe bien plus nombreux attendait.
Ils devaient être une dizaine et là malgré l’obscurité, je vis une étincelle s’allumer dans ses yeux.
Elle leur montra qu’ils s’étaient compris en leur faisant signe de s’approcher.
Jamais encore elle n’avait eu autant de mains sur son corps, ni autant de bite à son service dont 2 particulièrement bien dimensionnées.
Et vous me croirez ou pas, mais vers les 3 heures du matin elle en était venu à bout et pas en se laissant faire comme j’aurais pu m’y attendre au vu du nombre, mais en s’activant vraiment pour tous les faire venir.
Je n’en croyais pas mes yeux, elle avait du sperme partout, sur les cheveux, le visage, les seins, dans le dos et sur le ventre où le sable se collait.
Jamais je pense, je ne lui avais vu avoir autant d’orgasme en un soir et dieu sait si elle m’en avait déjà montré.
Elle s’est fait prendre dans tous les sens, couchée, assise, debout, en levrette et même la tête en bas en se faisant déguster le minou.
Ce soir là pas besoin de la bercer, il nous restait 9 jours et je savais qu’elle n’allait pas s’ennuyer.
Le lendemain repos complet, il fallait quand même qu’elle récupère un peu.
Deux jours plus tard donc, rendez vous nocturne de la plage et là ils n’étaient que deux et nous proposèrent de nous emmener dans un quartier chaud de la ville.
On a réfléchit un moment avant d’accepter car ça allait à l’encontre de toutes les règles de sécurité et ma tante de me dire :
« Après tout ils vont pas me violer, j’y vais pour ça ».
L’argument était simpliste mais convaincant.
La situation n’avait rien de réaliste, on était à l’arrière d’une vieille camionnette en mocassin short et chemisette pour moi et elle complètement à poil sous son paréo pratiquement transparent dans une ville dont on ne connaissait rien.
On a traversé un quartier rempli de prostitués, j’ai senti sa main serrer la mienne quand on s’est arrêté un petit kilomètre plus loin.
On était devant une espèce hangar où devait se dérouler quelque chose au vu de l’attroupement qu’il y avait, on a juste traversé sans savoir vraiment pourquoi ils étaient rassemblés, on a ensuite parcouru une bonne centaine mètres pour passer sous un porche afin de rentrer dans un bar.
Ca empestait le tabac et la sueur, on nous a fait passer la porte d’une salle au fond où une dizaine d’hommes étaient là attendant apparemment la venue de ma tante.
« Alors c’est elle la pute blanche qui veut se faire baiser par des black ».
« Oui mais seulement avec des capotes ».
On lui montra un panier rempli d’au moins deux cent préservatifs.
Elle défit simplement le nœud du paréo, me le tendit, passa la main entre ses cuisses pour porter ses doigts à la bouche et s’avança vers eux.
Il n’y eu aucun préliminaire, elle eu aussitôt les 3 trous remplis et les 2 mains prisent, je ne la voyais presque plus tant elle était entourée.
Ils s’acharnaient sur elle se relayant en permanence pour ne pas la laisser souffler et vu l’enthousiasme dont elle faisait preuve, je pense qu’elle ne s’était pas rendue compte qu’un bon nombre d’autres visiteurs étaient rentrés.
D’ailleurs après presque 3 heures de ce traitement, elle montrait visiblement des signes de fatigue, ils l’ont alors allongé en travers d’une table afin de mettre ses fesses et sa bouche à la bonne hauteur.
Elle était enfin arrivée au-delà de ses limites, car maintenant elle ne réagissait plus et pourtant il lui passa encore une bonne vingtaine de partenaires entre les cuisses.
Il a fallu l’aider à se relever, je lui renouais le paréo, tant bien que mal, un homme m’a aidé à la soutenir jusqu’à la voiture qui nous ramena à 100 mètres de l’hôtel.
« Quand elle veut, elle revient ».
J’ai eu beaucoup de mal à la ramener jusqu’à la chambre, heureusement, il faisait encore nuit et nous n’avons croisé que 2 ou 3 personnes qui ont dû croire qu’elle été simplement ivre.
S’ils avaient été plus prés, ils se seraient vite rendus compte que ce n’était pas de la crème solaire qui lui collait dans les cheveux.
Je l’ai mise dans le lit, elle était couverte de petits hématomes partout sur le corps, mais surtout aux jambes.
Elle avait les lèvres du vagin complètement tuméfiées et bien que cela fasse plus de 2 heures que soit fini, elle avait toujours l’anus ouvert où j’aurais pu rentrer 2 doigts sans en toucher les contours.
Malgré tous cela, je la trouvais très belle et épanouie dans cette semi inconscience.
Je l’ai nettoyé délicatement avec un gant de toilette et ne soyons pas hypocrite, je la caressais autant que je la lavais.
Je l’ai ensuite badigeonnais d’huile de massage délicieusement parfumée à la vanille.
Il n’y a que les cheveux que je n’ai pas pu arranger, le sperme séché dedans, ne les mettait pas vraiment en valeur et je crois qu’elle n’aimera pas le regard dans le miroir du matin.
Le lendemain, elle était debout bien avant moi où après avoir fait un saut à la salle de bain et à la pharmacie, elle est venue me réveiller comme ma mère quand j’étais enfant en me passant la main dans les cheveux.
Malgré la soirée qu’elle venait de passer, elle était radieuse.
Elle m’a embrassé sur le front en ajoutant un tendre merci, c’était un moment magique comme on en a quelquefois dans la vie.
Les quatre jours suivants, furent basés sur repos et détente, on s’est d’ailleurs bien éclaté le soir dans la boîte de l’hôtel.
Je ne suis pas fan des boîtes de nuit et elle, pas trop accro des musiques de l’époque, mais j’ai eu l’immense plaisir de la voir danser devant et avec moi.
Cela n’avait rien de sexuel, tout au plus terriblement sensuel.
Nous arrivions au milieu de notre dernière semaine et Nicole souhaitait réaliser mon plus grand fantasme quel qu’il soit, car pour elle c’était fait.
Je lui avouais que j’aimerais qu’une fois, elle me fasse l’amour dans une tenue super sexy limite SM et qu’elle m’excite avec toutes les grossièretés dont elle ne faisait que profiter les autres car me l’ayant toujours refusé.
Pour trouver la tenue, ce fut déjà toute une histoire, surtout à Dakar.
On n’est parti le matin en taxi, demandant au chauffeur de nous trouver un magasin de lingerie.
Il nous a arrêtés devant une boutique, mais on lui demandé un genre plus sexy.
Il a affiché un sourire jusqu’aux oreilles nous demandant carrément sexy ou sexe.
Et Nicole de répondre en souriant :
« Très sexe ».
Dans quoi nous étions nous encore engagés ?
Il nous a amené jusqu’à un sexe shop dans une petite rue du centre ville, et aussi surprenant que cela puisse paraître, le magasin faisait assez moderne et européen.
Effectivement, quand nous sommes rentrés, il devait y avoir une quinzaine de client dont 2 couples et presque uniquement des blancs.
Je me sentais déjà plus rassuré, surtout que la boutique ne faisait pas du tout sordide, mais plutôt moderne.
Je n’étais encore jamais rentré dans ce genre de boutique, ce qui je crois n’était pas du tout le cas de Nicole, qui semblait très à l’aise à l’intérieur.
Elle m’a tout d’abord demandé de choisir pour elle ce qui me ferait plaisir, mais devant mon embarras, elle décidât que ce serait mieux si elle choisissait elle-même.
Je reconnais aujourd’hui, que je n’aurais jamais eu le cran de lui faire prendre ce qu’elle avait choisit.
Elle a tout d’abord sélectionné un ensemble tout en cuir, slip, bustier porte jarretelle et jupe, ainsi que des escarpins noirs avec une sangle clouté qui se fermait sur la cheville.
Elle prit ensuite 3 paires de bas noir, ainsi qu’une nuisette de la même couleur aussi courte que transparente.
Elle me montra ensuite plusieurs gadgets dont plusieurs paires de menottes, une espèce de godemichet creux que l’on attache à la taille, mais dont les dimensions tant de longueur que de diamètre devait lui donner les caractéristiques d’un membre de cheval.
Elle demanda à la caisse, s’il disposait d’une cabine d’essayage et il lui en montra deux sur le coté.
Elle me fit attendre à l’extérieur et quand elle tira le rideau pour me montrer le résultat, je restais la bouche bée, et regardant autour de moi, je n’étais pas le seul à profiter du spectacle.
Je n’ai pas eu à ouvrir la bouche pour qu’elle comprenne que cela me plaisait.
Elle renonça au maxi gode, mais emmena quand même deux paires de menottes en plus de la tenue.
Quand nous sommes sortis un des clients nous rattrapa et nous remis son numéro de téléphone griffonné sur un papier.
Nous sommes rentrés déjeuner à l’hôtel, où nous avons paressé une bonne partie de l’après midi au bord de la piscine.
En début de soirée, Nicole a commandé plusieurs cocktails alcoolisés pour elle, car moi je ne supporte pas l’alcool.
Elle commençait à être bien gaie quand nous sommes remontés vers la chambre, et ce n’est pas la discrétion de ses rires qui risquait de nous faire passer inaperçu.
Elle me fit attendre à l’extérieur de la chambre le temps pour elle de se changer et alors que je m’attendais à passer la nuit à deux, elle m’ouvrit la porte en m’annonçant que l’on sortait.
Elle portait la tenue achetée dans la journée, autant dire d’une totale indécence pour sortir, j’appréhendais même de traverser le hall d’accueil, mais malgré quelques regards bien sentis, cela se passa bien.
Je ne sais pas si c’est le hasard, mais c’était le même chauffeur de taxi que le matin qui nous attendait.
Il devait être 22 heures et Nicole lui demanda de nous amener à un endroit où il y avait du monde et de l’animation.
Il lui fit remarquer que ce n’était pas très prudent de se promener dans cette tenue le soir dans Dakar.
Pour toute réponse, elle retira son string et lui remit en ajoutant : »un endroit où je n’en aurais pas besoin ».
C’était impensable, elle était habillée d’une manière ultra provocante, sans culotte, les seins prisonniers d’un bustier trop petit, dans une ville inconnue, avec un chauffeur de taxi qui avait accroché son string au rétroviseur en guise de trophée.
Elle me regarda et me dit : »je serais incapable de faire ça seul avec toi, mais aujourd’hui si tu veux, tu pourras en profiter au même titre que les autres ».
Le taxi nous à amené à un endroit en dehors de la ville où les blancs viennent s’encanailler avec des noirs et effectivement il y avait déjà 4 voitures où des couples faisait l’amour observés par des groupes d’hommes, mais portière et vitre fermées.
« Il n’y a rien de plus chaud que ça dans cette ville ? ».
Le chauffeur a ouvert de grands yeux et a remit la voiture en marche.
Il nous a emmené sur le chantier d’une autoroute parsemé de dizaine de baraquements.
« Si tu rentres la dedans madame, je ne sais pas comment tu vas en ressortir, il y a au moins 200 ouvriers qui n’ont pas du voir de femmes depuis des mois ».
Pour la première fois, je l’ai vu hésiter et renoncer à cette folie.
Je me sentais soulagé, bien qu’ensuite elle souhaitât se rendre dans le quartier des prostitués que l’on avait traversé il y a quelques jours.
Aussi surprenant que cela puisse paraître, je trouvais ça beaucoup plus raisonnable.
Imaginez, une femme blanche de 43 ans, en mini jupe en cuir ras les fesses et sans culotte, en escarpins avec des talons d’au moins 7 ou 8 centimètres et en bustier noir d’où débordait presque les auréoles de ses seins, se dandinant au milieu de petites rues bondées d’hommes principalement là pour tirer un coup.
Elle m’a soudain attiré dans une impasse au bord de la rue, m’a descendu le short pour me sucer pratiquement à la vue de tous.
Un homme s’est approché de nous pour me demander combien elle prenait pour une pipe, et moi je lui annonçais 100 francs CFA, un peu moins d’un euro aujourd’hui.
Et rapidement il commença à se former une file d’attente d’une dizaine de personne, ravie à l’idée de se faire sucer par une blanche.
Elle était à genoux, suçant goulûment en pleine rue tous ces sexes qui lui pendais devant les yeux.
Elle s’est affairée ainsi pendant 2 bonnes heures pour la modique somme de 4700 francs CFA, elle était maculée de sperme sur tous le visage, les cheveux et sur le haut de ses seins.
Un homme me proposât 300 francs pour l’enculer, je négociais par principe 350 et le port du préservatif.
Avec un grand sourire, il en sortit un de sa poche et les billets et sans la moindre fioriture, il dégageât son sexe du pantalon pour lui investir les fesses alors qu’elle était encore en train d’en sucer un autre.
Il éjacula assez vite, mais demanda d’attendre un peu car elle était trop large pour lui, mais qu’il connaissait d’autres personnes pour qui elle serait parfaite.
Il est effectivement revenu un petit quart d’heure plus tard avec deux espèces de colosse de prés de 2 mètres et d’un petit gros.
Ils avaient eux des sexes beaucoup plus conséquents, surtout le petit qui avait le gland gros comme une mandarine.
Là ce fut beaucoup plus long et surtout beaucoup plus jouissif pour Nicole qui cambrait les reins et redressait la tête pour savourer ces pénétrations brutales et profondes.
Pour 100 francs je leur ai d’ailleurs offert la possibilité d’un deuxième passage, dont ils se sont empressés d’accepter.
Et comme si cela ne suffisait pas, elle a demandé au deux plus grand de la prendre ensemble.
Elle s’est assise sur le premier et alors que le second allait lui investir le sexe, elle le guida contre l’autre pour lui montrer qu’elle le voulait dans le même passage.
Ce ne fut pas simple ni sans grimaces, mais les 2 sont totalement rentrés entre ses fesses et l’ont ainsi labouré pendant plus de 10 minutes pour son plus grand plaisir.
Nous sommes finalement partis, bien qu’il y avait toujours une file d’attente pour rejoindre le taxi qui nous attendait encore.
Et comme si cela ne lui suffisait pas encore, elle a sucé le chauffeur pendant tout le trajet du retour qui dura anormalement longtemps.
Avant de descendre, il lui a laissé une carte de visite et tendu un chiffon pour qu’elle puisse se nettoyer un peu.
Certes, elle avait une démarche chaotique en franchissant le hall de l’hôtel, mais ils étaient tous loin d’en imaginer la raison.
Arrivé à la chambre, elle se déshabilla et prit les 2 paires de menottes qu’elle avait acheté pour se fixer les poignets aux barreaux du balcon et me demanda d’abuser d’elle.
J’étais comme un con, car je ne voyais pas ce que pouvais lui faire de plus que ce qu’elle avait subit.
Elle me demanda alors de la pénétrer avec les mains.
Je commençais à joindre mes doigts pour lui pénétrer l’anus en lui caressant le clitoris de l’autre, mais elle m’arrêta afin que je lui rentre en même temps les poings dans sa chatte et ses fesses.
Hésitant, je les ai positionné à l’entrée de chaque orifice et d’un coup sec j’ai forcé le passage.
J’ai senti son vagin se contracté fortement sur mon poing, l’immobilisant complètement.
Elle a ensuite poussé un petit cri sourd avant de s’écrouler sur le coté.
Son sexe coulait comme si elle était en train d’uriner, assez rapidement je pu remuer mes mains dans ses orifices pour les sentir frotter l’une contre l’autre à travers les parois de son ventre.
Mais je n’ai pas insisté longtemps, car elle ne réagissait presque plus, par contre moi je m’étais éjaculé dessus.
Je l’ai détaché et après quelques minutes, je l’ai aidé à se coucher et je l’ai vu pleurer.
Je culpabilisais, pensant lui avoir fait mal, mais quand elle pu enfin parler, elle me remerciât au contraire de lui avoir fait vivre tous ça.
Jamais depuis ce temps, je n’ai bien sur eu l’occasion ni même l’envie d’assister à ce genre de spectacle, d’ailleurs je n’ai revu qu’une seule fois ma tante depuis, pour le baptême de mon fils, elle avait prit quelques rides bien sur, mais elle dégageait toujours la même classe naturelle qui faisait tous son éclat.
Hormis les banalités familiales que nous avons échangés, plusieurs sourires et regards en ont dit beaucoup plus sur ce que nous avions partagé ces années là.
Je ne sais pas si après mon départ, elle a continué ses folies, mais jamais depuis tous ce temps je n’ai porté le moindre jugement négatif sur ce qu’elle vivait et m’avait fait vivre pendant ces trois années.
Même si aujourd’hui, j’ai une vie bien sage avec une femme que j’aime et des enfants que j’adore, ma tante Nicole sera toujours pour moi un moment inoubliable de mon passé que j’ai couché sur le papier, car jamais je ne pourrais trahir son secret.
Saches si tu te reconnais, que tu as été une de mes plus belles histoires d’amour.
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