MOTEL RESTAURANT LE SAPIN VERT (1) et 2
Récit érotique écrit par Aalain [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-03-2007 dans la catégorie Plus on est
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MOTEL RESTAURANT LE SAPIN VERT (1) et 2
Reprise du récit 3832 (que j’ai légèrement modifié) + la suite de l’histoire…
L’organisation de ce banquet était programmée par le directeur niortais en raison des bons résultats du magasin ; ce dernier avait convié, outre la direction Générale composée de quatre personnes qui venaient pour une séance annuelle de résultats, tous les membres cadres et agents de maîtrise à venir déguster un frugal repas. Il voulait témoigner de sa sympathie à toute son équipe la félicitant au passage lors d’un discours courtois mais avec des nuances très sévères à l’égard de certains cadres.
Je devais superviser tout le bon déroulement de cette réunion informelle tout en participant au repas.
Ce motel restaurant est situé à quelques encablures de l’hyper représentant environ cinq à six minutes de voiture ayant l’avantage d’être en bordure d’une voie rapide menant à Poitiers.
Tous les collègues devaient être présents à l’apéritif pour douze heures trente afin de ne pas laisser le magasin trop longtemps sans surveillance ; pour pallier à l’absence du cadre de service, j’avais demandé à mes coéquipiers de la surveillance d’être tous présents pendant notre absence avec mission d’appeler au téléphone en cas d’incidents graves.
Le repas s’est déroulé dans une chaleureuse ambiance et ce ne fut qu’en milieu de soirée qu’il se termina. Les collègues avaient demandé à la direction locale, la présence de leur femme respective pour le dessert, arguant qu’elles y étaient pour beaucoup dans le bon déroulement de leur travail. Je trouvais cela un « peu fayot » de leur part, mais bon ….
Je fus le seul à ne pas avoir demander à ma petite chérie de venir. Elle se serait sentie très mal à l’aise avec les membres de la direction qu’elle ne connaissait pas faute de les côtoyer ; par contre, elle connaissait certaines femmes de cadres ou d’agents de maîtrise et elle ne souhaitait pas dialoguer avec elles ou avec certains collègues qu’elle n’appréciait pas.
La fin de cette réception exceptionnelle (ce fut la seule pendant ma présence en dix ans) se terminait par une volonté de chacun de se détendre soit près des cours de tennis, soit près de la piscine par cette belle journée ensoleillée.
Tout le monde partie, je téléphonais à ma chérie lui demandant de venir me chercher en voiture alors qu’il était quand même près de vingt deux heures. Ce qu’elle fit sans contrainte mais avec joie qu’elle vint me prendre.
J’étais resté pour aider les serveurs qui rangeaient et comme il faisait encore beau en cette fin de soirée, nous étions sur la terrasse à émettre des avis sur l’hôtellerie et ses conséquences horaires quand on a à faire avec ce genre de réunion.
Profitant de notre solitude, nous nous sommes installés devant une bouteille de champagne que nous fournissions ; je devais ramener le reste du stock puisque cela m’était compté dans mon budget « spécial frais exceptionnels ».
Ayant entendu Françoise qui arrivait sur le parking, je fis en sorte de laisser les deux mignons serveurs qui, chauds comme de la braise, allaient sans aucun doute l’entreprendre comme je les avais vu faire avec les épouses des collègues.
J’avais auparavant demandé à Françoise de se faire très sensuelle et sexy voulant l’emmener faire une ballade nocturne. La voyant descendre dans la luminosité du clair de lune et des lampadaires, je fis en sorte de m’éclipser avant qu’elle ne rentre dans le local restaurant. D’où j’étais, je pus détailler sa tenue blanche qui se détachait dans la clarté du parking.
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Et maintenant la Suite (du récit n° 3832 ou du texte si dessus)
Ma chérie était vêtue d'une mini-robe blanche très serrée qui s'évasait à partir du fessier avec des plis dont la longueur ne dépassait pas la mi-cuisse. Je la trouvais très belle dans cette robe.
J'apercevais ses seins nus grâce à la légère ombre dégagée par les auréoles de sa poitrine et ses tétons qui cherchaient à percer le tissu. Cette mini robe blanche avait la particularité d'être en maille fine doublée dessous très légèrement; cela permettait de découvrir en transparence ce corps tant aimé, tant désiré des autres hommes qu'elle croisait.
L’un des serveurs vint au devant d'elle avec une flûte de champagne et se mit à discuter avec elle tout en la dirigeant dans un axe où il serait à même de la détailler sans qu'elle s'en rende compte... Il arriva à ses fins en la positionnant, à son insu, dans le halo de lumière d'une lampe de table; il pouvait voir ainsi la fourche pubienne de cette jeune femme très sexy qu'il accueillait la faisant attendre debout. Il devait chercher à savoir si elle était nue ou bien avec un micro string dont je la savais très friande.
Le second serveur m'appela tout en me cherchant; je ne répondis pas de suite.... Il alla rejoindre son collègue lui demandant d'aller voir dans les locaux situés derrière le bâtiment où étaient entreposés les cartons que je devais reprendre. Celui-ci ne se décida de partir qu'après avoir resservi la coupe de champagne qu'avait Françoise; ils s'arrangèrent tous les deux pour la faire rire surtout la toucher, la caresser sur le dos ou les fesses malgré la crainte de se faire surprendre par son homme.
Cela dura un bon quart d'heure; je revins dans le restaurant pour constater que ces deux serveurs étaient près de ma dulcinée qui commençait à être très chaude.
Feignant la surprise de la voir déjà arrivée si tôt, elle s'avança tout en se dodelinant des fesses pour m'embrasser outrageusement devant ces jeunes gens, se frottant à moi les bras autour de mon cou. Cette attitude relevait sa mini robe dévoilant le haut de ses cuisses bronzées...
« Mon chéri, te voilà enfin!!! Je désespérais de te voir... heureusement ces jeunes gens m'ont tenu compagnie et m'ont gâtée avec du champagne !! »
« Merci, Messieurs, de vous être occupé de ma femme pendant un court instant !!! N'est-ce pas qu'elle est belle ma chérie dans cette tenue ? Dis-je »
« Certainement, Monsieur, vous avez une charmante et élégante femme !!! Vous avez de la chance!!»
« Eh messieurs, je vous vois venir tous les trois !!! Et toi, mon chéri, hein!!! Vous voulez me faire devenir « pompette » avec votre champagne, c'est cela ?? »
« Certainement pas chérie, mais comme je n'étais pas là pour trinquer avec vous trois, nous allons y remédier de suite cela va de soi non !! »
« Jeune homme, s'il vous plaît, allez chercher la dernière bouteille qui reste, nous allons la boire ensemble et à notre charmante beauté, ici présente !!! »
Françoise toujours aussi amoureuse m'embrassait à nouveau, se faisant câline; les vapeurs d'alcool commençaient leurs effets. Malgré la présence des serveurs, elle se permit de me caresser le service « trois pièces en difficulté » dans un pantalon devenu étroit. Tout en lui faisant une « pelle baveuse », je lui caressais le dos mais également les fesses ce qui permettait de dévoiler une croupe bronzée à nos jeunes qui regardaient avec envie.
« Boum!! » le bruit dégagé par le bouchon de la dernière bouteille de champagne surprit Françoise, qui s'écarta de moi et tendit son verre. Le jeune garçon fit une fausse manoeuvre, renversa du liquide sur la robe de ma chérie à hauteur de la poitrine; cet incident mit en valeur les appâts de cette « femelle » hyper chaude qui rigolait de cette douche involontaire.
L'autre serveur prit aussitôt une serviette pour éponger le liquide afin d'assécher les dégâts; Françoise toujours rigolant de cet incident ne s'était pas aperçu que l'on voyait ses seins excités par transparence du tissu mouillé. Je le laissais faire sachant que cette zone était très érogène pour ma chérie qui allait se mettre « en mouvement » dans quelques instants.
Les tétons turgescents étaient excités; on les voyait comme le nez dans un visage. Le souffle court de Françoise m'indiquait qu'elle était « surexcitée » et que son mini string devait être trempé ; je sentais les effluves provenant de sa petite chatte en chaleur.
Ma chérie devenait de plus en plus amoureuse devant les jeunes gens; quand elle est ainsi, difficile de lui faire changer d'avis surtout quand elle a une idée en tête.
L'un des serveurs étant marié et travaillant très tôt le lendemain matin nous laissa seuls avec son collègue qui avait les clefs de l'établissement.
Françoise dans la pénombre du restaurant éclairé par deux petites lampes de table et par la clarté de la lune, se mit à genoux devant moi. Surpris, je lui demandais ce qu'elle faisait alors que nous devions partir faire un tour en ville.
« Chéri, laisse-toi faire, j'ai envie de te faire une « pipe royale » me dit-elle!! » tout en regardant le jeune garçon qui restait.
Bien qu'embarrassé de cette attitude, je ne dis rien mais regardais notre complice qui, lui aussi était « scotché » devant la perversité déclenchée par cette femme qu'il ne connaissait que depuis quelques minutes.
Françoise était peu discrète dans sa façon de pomper mon noeud turgescent. Elle faisait ses va et vient avec un bruitage incongru. Le serveur s'approcha de nous deux tout en découvrant une bite longue et fine... Je lui signe de se positionner près de la bouche de cette salope de chienne en rut.
Le champagne permettait à Françoise de se lâcher vicieusement dans cette salle de restaurant. Voyant près de sa bouche une autre « sucette », elle lâcha ma bite pour prendre cette « inconnue » longue et vigoureuse recherchant en même temps les couilles du mec pour les malaxer...
Cette situation rocambolesque me surprenait venant de Françoise qui trouva l'occasion de sucer deux bites en même temps; c'est un fantasme qu'elle avait depuis longtemps. Les effluves du champagne lui avaient enlever toutes inhibitions à ce sujet; elle était pleine de perversité tant dans son regard que dans la façon de « pomper » les deux dards mis à sa disposition.
J'en profitais pour relever sur la croupe de ma « petite pute » les plis de la mini robe que je m'empressais de bloquer découvrant entièrement sa croupe ferme et charnue.
À suivre…
L’organisation de ce banquet était programmée par le directeur niortais en raison des bons résultats du magasin ; ce dernier avait convié, outre la direction Générale composée de quatre personnes qui venaient pour une séance annuelle de résultats, tous les membres cadres et agents de maîtrise à venir déguster un frugal repas. Il voulait témoigner de sa sympathie à toute son équipe la félicitant au passage lors d’un discours courtois mais avec des nuances très sévères à l’égard de certains cadres.
Je devais superviser tout le bon déroulement de cette réunion informelle tout en participant au repas.
Ce motel restaurant est situé à quelques encablures de l’hyper représentant environ cinq à six minutes de voiture ayant l’avantage d’être en bordure d’une voie rapide menant à Poitiers.
Tous les collègues devaient être présents à l’apéritif pour douze heures trente afin de ne pas laisser le magasin trop longtemps sans surveillance ; pour pallier à l’absence du cadre de service, j’avais demandé à mes coéquipiers de la surveillance d’être tous présents pendant notre absence avec mission d’appeler au téléphone en cas d’incidents graves.
Le repas s’est déroulé dans une chaleureuse ambiance et ce ne fut qu’en milieu de soirée qu’il se termina. Les collègues avaient demandé à la direction locale, la présence de leur femme respective pour le dessert, arguant qu’elles y étaient pour beaucoup dans le bon déroulement de leur travail. Je trouvais cela un « peu fayot » de leur part, mais bon ….
Je fus le seul à ne pas avoir demander à ma petite chérie de venir. Elle se serait sentie très mal à l’aise avec les membres de la direction qu’elle ne connaissait pas faute de les côtoyer ; par contre, elle connaissait certaines femmes de cadres ou d’agents de maîtrise et elle ne souhaitait pas dialoguer avec elles ou avec certains collègues qu’elle n’appréciait pas.
La fin de cette réception exceptionnelle (ce fut la seule pendant ma présence en dix ans) se terminait par une volonté de chacun de se détendre soit près des cours de tennis, soit près de la piscine par cette belle journée ensoleillée.
Tout le monde partie, je téléphonais à ma chérie lui demandant de venir me chercher en voiture alors qu’il était quand même près de vingt deux heures. Ce qu’elle fit sans contrainte mais avec joie qu’elle vint me prendre.
J’étais resté pour aider les serveurs qui rangeaient et comme il faisait encore beau en cette fin de soirée, nous étions sur la terrasse à émettre des avis sur l’hôtellerie et ses conséquences horaires quand on a à faire avec ce genre de réunion.
Profitant de notre solitude, nous nous sommes installés devant une bouteille de champagne que nous fournissions ; je devais ramener le reste du stock puisque cela m’était compté dans mon budget « spécial frais exceptionnels ».
Ayant entendu Françoise qui arrivait sur le parking, je fis en sorte de laisser les deux mignons serveurs qui, chauds comme de la braise, allaient sans aucun doute l’entreprendre comme je les avais vu faire avec les épouses des collègues.
J’avais auparavant demandé à Françoise de se faire très sensuelle et sexy voulant l’emmener faire une ballade nocturne. La voyant descendre dans la luminosité du clair de lune et des lampadaires, je fis en sorte de m’éclipser avant qu’elle ne rentre dans le local restaurant. D’où j’étais, je pus détailler sa tenue blanche qui se détachait dans la clarté du parking.
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Et maintenant la Suite (du récit n° 3832 ou du texte si dessus)
Ma chérie était vêtue d'une mini-robe blanche très serrée qui s'évasait à partir du fessier avec des plis dont la longueur ne dépassait pas la mi-cuisse. Je la trouvais très belle dans cette robe.
J'apercevais ses seins nus grâce à la légère ombre dégagée par les auréoles de sa poitrine et ses tétons qui cherchaient à percer le tissu. Cette mini robe blanche avait la particularité d'être en maille fine doublée dessous très légèrement; cela permettait de découvrir en transparence ce corps tant aimé, tant désiré des autres hommes qu'elle croisait.
L’un des serveurs vint au devant d'elle avec une flûte de champagne et se mit à discuter avec elle tout en la dirigeant dans un axe où il serait à même de la détailler sans qu'elle s'en rende compte... Il arriva à ses fins en la positionnant, à son insu, dans le halo de lumière d'une lampe de table; il pouvait voir ainsi la fourche pubienne de cette jeune femme très sexy qu'il accueillait la faisant attendre debout. Il devait chercher à savoir si elle était nue ou bien avec un micro string dont je la savais très friande.
Le second serveur m'appela tout en me cherchant; je ne répondis pas de suite.... Il alla rejoindre son collègue lui demandant d'aller voir dans les locaux situés derrière le bâtiment où étaient entreposés les cartons que je devais reprendre. Celui-ci ne se décida de partir qu'après avoir resservi la coupe de champagne qu'avait Françoise; ils s'arrangèrent tous les deux pour la faire rire surtout la toucher, la caresser sur le dos ou les fesses malgré la crainte de se faire surprendre par son homme.
Cela dura un bon quart d'heure; je revins dans le restaurant pour constater que ces deux serveurs étaient près de ma dulcinée qui commençait à être très chaude.
Feignant la surprise de la voir déjà arrivée si tôt, elle s'avança tout en se dodelinant des fesses pour m'embrasser outrageusement devant ces jeunes gens, se frottant à moi les bras autour de mon cou. Cette attitude relevait sa mini robe dévoilant le haut de ses cuisses bronzées...
« Mon chéri, te voilà enfin!!! Je désespérais de te voir... heureusement ces jeunes gens m'ont tenu compagnie et m'ont gâtée avec du champagne !! »
« Merci, Messieurs, de vous être occupé de ma femme pendant un court instant !!! N'est-ce pas qu'elle est belle ma chérie dans cette tenue ? Dis-je »
« Certainement, Monsieur, vous avez une charmante et élégante femme !!! Vous avez de la chance!!»
« Eh messieurs, je vous vois venir tous les trois !!! Et toi, mon chéri, hein!!! Vous voulez me faire devenir « pompette » avec votre champagne, c'est cela ?? »
« Certainement pas chérie, mais comme je n'étais pas là pour trinquer avec vous trois, nous allons y remédier de suite cela va de soi non !! »
« Jeune homme, s'il vous plaît, allez chercher la dernière bouteille qui reste, nous allons la boire ensemble et à notre charmante beauté, ici présente !!! »
Françoise toujours aussi amoureuse m'embrassait à nouveau, se faisant câline; les vapeurs d'alcool commençaient leurs effets. Malgré la présence des serveurs, elle se permit de me caresser le service « trois pièces en difficulté » dans un pantalon devenu étroit. Tout en lui faisant une « pelle baveuse », je lui caressais le dos mais également les fesses ce qui permettait de dévoiler une croupe bronzée à nos jeunes qui regardaient avec envie.
« Boum!! » le bruit dégagé par le bouchon de la dernière bouteille de champagne surprit Françoise, qui s'écarta de moi et tendit son verre. Le jeune garçon fit une fausse manoeuvre, renversa du liquide sur la robe de ma chérie à hauteur de la poitrine; cet incident mit en valeur les appâts de cette « femelle » hyper chaude qui rigolait de cette douche involontaire.
L'autre serveur prit aussitôt une serviette pour éponger le liquide afin d'assécher les dégâts; Françoise toujours rigolant de cet incident ne s'était pas aperçu que l'on voyait ses seins excités par transparence du tissu mouillé. Je le laissais faire sachant que cette zone était très érogène pour ma chérie qui allait se mettre « en mouvement » dans quelques instants.
Les tétons turgescents étaient excités; on les voyait comme le nez dans un visage. Le souffle court de Françoise m'indiquait qu'elle était « surexcitée » et que son mini string devait être trempé ; je sentais les effluves provenant de sa petite chatte en chaleur.
Ma chérie devenait de plus en plus amoureuse devant les jeunes gens; quand elle est ainsi, difficile de lui faire changer d'avis surtout quand elle a une idée en tête.
L'un des serveurs étant marié et travaillant très tôt le lendemain matin nous laissa seuls avec son collègue qui avait les clefs de l'établissement.
Françoise dans la pénombre du restaurant éclairé par deux petites lampes de table et par la clarté de la lune, se mit à genoux devant moi. Surpris, je lui demandais ce qu'elle faisait alors que nous devions partir faire un tour en ville.
« Chéri, laisse-toi faire, j'ai envie de te faire une « pipe royale » me dit-elle!! » tout en regardant le jeune garçon qui restait.
Bien qu'embarrassé de cette attitude, je ne dis rien mais regardais notre complice qui, lui aussi était « scotché » devant la perversité déclenchée par cette femme qu'il ne connaissait que depuis quelques minutes.
Françoise était peu discrète dans sa façon de pomper mon noeud turgescent. Elle faisait ses va et vient avec un bruitage incongru. Le serveur s'approcha de nous deux tout en découvrant une bite longue et fine... Je lui signe de se positionner près de la bouche de cette salope de chienne en rut.
Le champagne permettait à Françoise de se lâcher vicieusement dans cette salle de restaurant. Voyant près de sa bouche une autre « sucette », elle lâcha ma bite pour prendre cette « inconnue » longue et vigoureuse recherchant en même temps les couilles du mec pour les malaxer...
Cette situation rocambolesque me surprenait venant de Françoise qui trouva l'occasion de sucer deux bites en même temps; c'est un fantasme qu'elle avait depuis longtemps. Les effluves du champagne lui avaient enlever toutes inhibitions à ce sujet; elle était pleine de perversité tant dans son regard que dans la façon de « pomper » les deux dards mis à sa disposition.
J'en profitais pour relever sur la croupe de ma « petite pute » les plis de la mini robe que je m'empressais de bloquer découvrant entièrement sa croupe ferme et charnue.
À suivre…
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