Muscles men 1/2

Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Muscles men 1/2
C'est en sortant de la boulangerie ce matin là que la vie d'Enzo a changé en voyant l'affiche collée sur la vitrine :
GRAND MATCH DE CATCH SAMEDI APRES-MIDI 15 HEURES à la salle des sports de la ville.
Rencontre entre la star française L'ANGE BLOND et la star américaine DICK BLOOD!
Venez nombreux!
Il sourit en voyant le nom de l'américain car si l'on traduit... du sang de bite! Il rigole en rentrant chez lui et la curiosité l'emporte. Il cherche sur le net ce qu'il y a sur ces deux champions et en fait, ne trouve pas grand chose, sinon l'affiche qu'il a vu à la boulangerie.
C'est quoi cette entourloupe pense t-il, des stars qui ne sont pas connues du net ?
Tout cela tourne dans sa petite tête de petit mec, il revoit l'affiche, les photos des mecs masqués, la musculature et cela le fait fantasmer...
Lui qui aime les mecs il n'a jamais eu à poils dans son lit un mec si carré, et si j'allais voir ça de plus près ?
A 14h30 il fait la queue devant la salle des sports de la ville, une longue file d'attente de mecs et de nanas aussi, certaines sont de vrais camionneurs tellement elles sont musclées.
D'un seul coup il se sent ridicule, lui le petit pédé certes d' 1m80, mais avec ses 65 kg il ne pèse pas lourd avec tout ce qu'il a autour de lui...
Il se retrouve au 3ème rang autour du ring et constate qu'il y a une ambiance de ouf! Un animateur qui fait gueuler tout le monde, s'en prend aux nanas en leurs disant que c'est un spectacle d'hommes, des vrais!
Il se fait huer, siffler mais il continue à jouer le macho misogyne et les cris augmentent chez les nanas et les mecs rigolent en se tapant sur les épaules.
Puis le mec repère un gringalet dans la foule et s'en prend à lui, disant qu'il faut qu'il aille à la salle de sport au lieu de venir voir de vrais mecs!
-mais peut-être qu'il aime les mecs baraqués le gringalet! crie t-il.
C'est un brouhaha indescriptible et d'un seul coup roulement de tambour qui calme tout le monde, un son de trompette se fait entendre et de chaque côté de la salle apparaissent les adversaires. Chacun enroulé dans une cape qui leur tombe jusqu'aux pieds, et ils portent un casque intégral de moto!
Le premier à monter sur le ring c'est la cape rouge sang sous les sifflets. Il ouvre la cape la laisse tomber à terre et fait le tour du ring en levant les bras au plafond.
Enzo n'ose plus rien dire quand il voit le mec vêtu d'une combinaison rouge sang, moulante comme c'est pas permis, dessinant autant le sexe et les couilles que son fessier et tout semble imposant. Mais il faut voir la musculature du lascar!
Putain pense Enzo il a des bras comme mes cuisses et ses cuisses font trois fois les miennes, tellement énorme que son paquet est bien mis en évidence.
Il enlève son casque, le silence se fait et dessous apparait une tête enveloppée dans une cagoule rouge vif. On ne voit que les yeux, le nez et la bouche, même pas une touffe de cheveux. Il gonfle la poitrine, se tape dessus et crie avec un accent américain "je suis le meilleur!".
C'est encore le déchaînement de cris et de sifflets.
A ce moment là le deuxième entre en piste, même scénario mais là il est applaudi le lascar, sifflé aussi mais pas de la même façon, les applaudissements retentissent quand il enlève sa cape pour apparaître dans la même tenue que son adversaire, mais lui de couleur bleue ciel qui fait en fin de compte plus ressortir les détails de son corps... et l'on peut savoir que monsieur est gâté par dame Nature.
Merde pense Enzo et j'suis sûr qu'il bande pas le mec!
Un cul à damner un saint, la combinaison entre dans la raie séparant bien les deux globes fessiers.
On entend même des "à poils" de criés dans la foule.
Il enlève son casque et apparait cagoulé comme l'autre, mais lui des mèches blondes en sortent.
Enzo ne voit pas la couleur des yeux.
L'arbitre les prend par une main et s'approche du micro :
-à ma droite le champion Français L'Ange Bleu.
Il est très applaudi en criant.
-à ma gauche le champion américain Dick Blood!
Il est applaudi également mais Enzo entend toutes sortes de réflexion :
-l'ange va lui bouffer sa queue et le sang va couler!
Enzo rigole.
Les deux adversaires se regardent l'air méchant, se tapent dans la main, vont chacun dans leur coin.
On entendrait voler une mouche dans la salle comble.
La clochette retentit et les deux mastodontes se jettent l'un sur l'autre, se frappant avec la poitrine ce qui les fait reculer tous les deux.
Et c'est parti en clés de bras, de mecs qui s'envolent, qui tapent dans les cordes, rebondissent et passent au dessus de l'adversaire pour se retrouver sur le dos, criant qu'il a mal l'Ange Blond, mais l'autre se laisse tomber sur lui tête-bêche, si bien que chacun à la paire de couilles à portée de bouche...
C'est le déchaînement dans la salle car l'Ange Blond a la tête d'écrasée par le sexe de l'américain et on voit bien qu'il bouge son cul pour faire rouler couilles et bite sur le visage. Le français lui claque les fesses.
Mais franchement ça ne doit pas être facile de sortir de sous une telle masse et le français abandonne et l'américain est déclaré vainqueur du 1er round.
Mais quand ils se relèvent, tout le monde voit bien qu'il bandent tous les deux et que l'endroit est humide.
C'est encore le déchaînement dans la foule et les réflexions pullulent de toutes sortes.
Le deuxième round est remporté par le français, bien sûr, faut qu'il y ait une belle! et à la fin de ce 2ème round ils bandent encore et la tâche s'est agrandie.
Le français tenait l'américain par la ceinture, son dos contre sa poitrine et pour faire rire la salle faisait mine de l'enculer!
Le 3ème round a duré une éternité. On sait bien que tout est calculé au millimètre près pour ne pas qu'ils se fassent de mal, mais j'avoue qu'on n'en revient pas de la souplesse de ces mastodontes qui sont projetés au sol durement et qu'une masse de 130 kg leur tombe dessus...
Enzo avait mal pour celui qui se trouvait dessous!
Après avoir voltigés dans tous les sens, fait valser l'arbitre qui voulait s'interposer, c'est l'Ange Blond qui est déclaré vainqueur et l'américain part sous les sifflets, car en fait il représentait le "méchant".
En fin de compte Enzo était content que cela soit terminé, il pouvait respirer normalement.
Les catcheurs disparus, la salle commence à se vider, Enzo laisse passer la foule en se disant qu'il n'habite pas loin qu'il a le temps. Il sort pratiquement dans les derniers quand il voit sur la droite les deux catcheurs qui signent des autographes, se font prendre en photos se tenant par le cou. Ils ont l'air d'être les meilleurs copains du monde.
Bah j'vais jouer le fan pense Enzo en s'approchant, histoire de voir les yeux des mecs. Il fait signer un papier qu'il avait sur lui et les catcheurs se moquent de lui, gentiment :
-tiens c'est une crevette celui-là! dit l'américain avec son accent.
Enzo sourit sans répondre, mais remarque les yeux rieurs des deux, que des yeux bleus. Il observe les corps essayant d'être discret et cela confirme ce qu'il avait vu de loin Ils ont l'air d'être bien burné les catcheurs.
Il est bousculé par les autres qui veulent une signature. Il sort et décide d'aller boire un verre à son bar favori.
Il y a un peu de monde dans le bar et Enzo s'assoit au comptoir et sirote une bière tranquillement en matant les mecs présents... à des fois qu'il trouve un petit cul pour sa queue.
Cela fait une demi heure qu'il est sur son tabouret, qu'un silence se fait dans le bar et Enzo voit toutes les têtes se tourner vers l'entrée. Il en fait autant et heureusement qu'il est assis, car les deux mastodontes dont il vient de voir les exploits, il est sûr, entrent dans le bar en parlant entre eux, sans faire attention aux autres.
Ils viennent s'installer juste à côté d'Enzo qui voit de face l'américain, car le blond lui tourne le dos et là, stupéfaction quand il l'entend parler, il n'a plus d'accent américain. Ils rigolent tous les deux, Enzo n'écoute pas ce qu'ils disent mais il ne perd rien du visage de brute gentille de "l'américain", brute quand il ne sourit pas, mais il a un visage qui s'illumine avec un sourire. Il est très tactile, car souvent il caresse l'épaule du blond et d'un seul coup il voit que leurs cuisses sont entremêlées, qu'ils se touchent, se caressent.
D'un seul coup le regard de "l'américain" croise le sien, il éclate de rire :
-tiens Bertrand on a un espion à côté de nous, une crevette d'espion même!
Le Bertrand se retourne, sa chevelure blonde encadre un visage carré, ses yeux bleu clairs se marrent.
-t'as raison Léon et en plus c'est une belle crevette dit il en lui faisant un clin d'œil, tu crois qu'il nous suit ?
Enzo arrive à articuler :
-mais j'étais là avant vous les gars! dit il rapidement.
-t'as vu ça Léon, il nous appelle les gars, comme si on était potes! mais une crevette comme ça on la met entre nous deux et il disparait .
Ils rigolent en voyant l'air que fait Enzo.
-non t'inquiète l'ami on n'est pas méchant du tout, vient on t'offre une bière.
Et voilà Enzo entre les deux catcheurs toujours assis sur leur tabouret.
Ils lui ont demandé son nom et quelques instants plus tard ils étaient devenus potes!
-j'peux vous demander quelque chose ? demande Enzo.
-si c'est pas indiscret dit Léon en reprenant l'accent américain.
Enzo rigole.
-en fait t'es pas plus américain que moi!
-c'est fûté un jeune dit Bertrand en rigolant, eh non on est bien français tous les deux! T'es déçu ? parce que de toute façon c'est moi le plus beau!
Et les voilà à raconter le travail qu'ils font, passant de villes en villes proposer leurs exhibitions.
-mais c'est pas toujours le blond qui gagne tu sais.
-j'ai eu l'impression que ça vous faisait de l'effet de vous frotter l'un à l'autre dit Enzo rapidement avant de rougir comme une tomate bien mûre.
Ils éclatent de rire tous les deux et leurs mains viennent le prendre par le cou pour le faire entrer entre eux deux qui le coincent avec leurs gros genoux.
-dis donc jeune homme, faut aimer les mecs pour remarquer de telles choses ? dit Léon.
-moi j'en ferais bien mon sandwich du jeune provincial, ça doit être tendre tu crois pas Léon ? demande Bertrand.
-on l'écraserait entre nous deux!
-bah on s'écrase pas nous!
-vous pourriez faire clowns aussi dit Enzo, souriant en les regardant chacun leur tour.
Il pose ses mains sur les cuisses, les caresse en disant :
-j'ai jamais vu de tels muscles! dit Enzo.
C'est Léon qui se penche à son oreille :
-et t'as pas vu tous nos muscles!
Ils éclatent de rire.
Ils caressent le dos d'Enzo qui se laisse faire et il sent sa queue commencer à faire des siennes, une main passe sur ses fesses et la main de Bertrand vient tâter sa queue en se penchant vers Léon.
-ça bande bien un provincial , tu crois qu'on peut l'emmener pour l'apéro ?
-s'il aime la liqueur il sera bien servi répond Bertrand qui ne lâche pas la queue.
-il en dit quoi Enzo, ça te dirait de venir boire l'apéro dans notre gîte un peu plus loin?
-j'aimerais bien en ressortir vivant dit Enzo en souriant.
-vivant mais crevé, c'est garantie sans facture mec!
Enzo n'en revenait pas de la chance qu'il avait. Il était sûr que tout allait bien se passer avec les deux lascars.
Un quart d'heure de marche et ils étaient arrivés au gîte et là tout est allé vite.
Ils l'ont coincé entre eux et l'ont déshabillé, mis nu complètement et ils avaient l'air émerveillé de voir leur crevette nue.
Il n'en croit pas ses yeux quand les deux se mettent dans la même tenue que lui, ses yeux ne savent plus où regarder. Il bande comme jamais il n'a bandé, sa queue s'est décalottée toute seul, le gland le brûle et la mouille coule.
-chéri dit Léon, j'crois qu'il y a urgence dit Bertrand en montrant la queue d'Enzo.
Sous le regard ébahi d'Enzo le blond Bertrand se met à genoux, d'un coup de langue avale toute la mouille qui allait chuter à terre et prend Enzo aux fesses et enfonce sa belle queue au fond de la gorge la faisant glisser sur sa langue chaude pour entrer dans la gorge, sans qu'il n'entende tousser ou autres... et il est pipé comme s'il y avait péril en la demeure.
Léon en profite pour faire découvrir son corps à ses mains indiscrètes. Il se place derrière lui, l'entoure de ses bras, le serre contre lui et Enzo se sent déjà étouffer, mais les lèvres se posent dans son cou, fait de petits bisous tout le tour, il lui fait tourner la tête, ses lèvres remontent sous le menton, et viennent prendre les siennes.
Les langues s'amusent entre elles, crachent leurs salives qui changent de bouches. Il sent sa queue se raidir dans la bouche de Bertrand qui serre ses couilles maintenant, et un doigt passe dans sa raie, trouve l'anus et sans façon s'enfonce doucement au moment où Enzo pousse un premier cri car il commence à juter dans la bouche chaude.
Ses cris sont étouffés par la bouche de Léon qui n'arrête pas de caresser son corps doux.
Les giclées ont toutes été avalées, et Enzo se sent soulevé dans les bras de Léon qui le prend sous les cuisses mettant son anus à hauteur de la bouche de Bertrand.
-tu vas voir comme tu vas gueuler Enzo, Bertrand c'est le meilleur bouffeur de cul que je connaisse!
Il n'avait pas fini de dire ça qu'Enzo sent les lèvres s'emparer de son anus et que la langue le caresse, le noyant de salive et la pénétration se fait rapidement.
Cela tombe bien Enzo adore se faire lécher le cul et là il reconnait qu'il est gâté le garçon, ses fesses sont bien caressées, la langue entre en lui, touche sa paroi et le doigt va même toucher sa prostate. Et Léon qui n'arrête pas de jouer avec leurs langues.
La langue s'arrête et il voit apparaître Bertrand entre ses jambes et sent le gland chercher l'entrée.
-va doucement Bertrand, c'est un ami! le baise pas comme tu me le fais! Prend ton temps!
Ben heureusement qu'il était prévenu, car d'un seul coup de reins la bite qu'il n'avait pas encore vraiment touchée ni vue était entrée pratiquement au fond de lui. Il avait commencé à hurler mais les lèvres de Léon ont bloqué son cri.
Il avait les pattes en l'air, et les deux l'ont manipulé, sans que la queue de Bertrand ne sorte de son cul, pour qu'il se retrouve les jambes à terre avec devant la bouche la grosse bite de Léon qui l'attendait.
Il savait quoi faire Enzo avec une bite et là, il n'avait qu'à ouvrir la bouche, car au premier coup de reins de Bertrand la queue arrive pratiquement au fond de sa gorge. Il essaie de se cramponner aux cuisses de Léon pour ne pas aller plus loin, mais c'est sans compter sur la force des deux catcheurs qui s'en servent comme sandwich.
Enzo n'a jamais été baisé comme ce jour là.
Les coups de reins se faisaient en cadence, en rythme comme s'ils avaient fait ça toute leur vie et Enzo en gémissait de plaisir. Il a réussi à s'emparer de sa queue et se branler aux rythmes de leurs coups de reins.
C'est Bertrand qui a joui en premier, remplissant le petit cul de la crevette en longues giclées brûlantes et onctueuses, avant que Léon ne réponde par autant de jus qui coulait dans sa gorge.
Enzo a cru mourir noyé, mais quand il a joui a son tour, serrant la queue de Bertrand dans son cul et la queue de Léon entre ses lèvres, il les a entendu dire :
-tu crois qu'il en veut encore ?
Ils riaient en disant cela.
Libéré des queues, il est soulevé comme une plume par Léon qui l'emmène dans la chambre avec un super grand lit. Il le dépose délicatement au centre et viennent l'entourer, se penchant sur lui comme on se penche sur un nouveau-né.
Sourires avenants.
-il est beau ce provincial, on n'en a pas eu toujours des aussi beaux! dit Leon.
-ouais et en plus sa queue est bonne, son cul aussi, il a donné beaucoup de bon jus!
-tu crois qu'il voudra goûter à nos queues et nos culs ?
-t'as entendu la question ? demande Bertrand.
-tout ça ce soir ? demande Enzo.
-demain c'est dimanche ? tu branles rien ? alors on s'offre à toi!
Enzo pense : ils vont m'achever oui!
Il les prend par le cou et les attire à lui.
-vous êtes sympas les mecs, mais en fait vous vivez ensemble et vous allez de ville en ville pour baiser des provinciaux vicieux!
-je t'avais dit que c'était fûté un provincial dit Léon en rigolant.
Ils s'allongent sur lui à l'écraser en l'étouffant.
-on a toute la nuit et demain pour faire tout ce qu'on a envie! dit Bertrand à son oreille!
C'est sûr qu'il n'en sort pas vivant pense Enzo en caressant les dos des deux catcheurs.
GRAND MATCH DE CATCH SAMEDI APRES-MIDI 15 HEURES à la salle des sports de la ville.
Rencontre entre la star française L'ANGE BLOND et la star américaine DICK BLOOD!
Venez nombreux!
Il sourit en voyant le nom de l'américain car si l'on traduit... du sang de bite! Il rigole en rentrant chez lui et la curiosité l'emporte. Il cherche sur le net ce qu'il y a sur ces deux champions et en fait, ne trouve pas grand chose, sinon l'affiche qu'il a vu à la boulangerie.
C'est quoi cette entourloupe pense t-il, des stars qui ne sont pas connues du net ?
Tout cela tourne dans sa petite tête de petit mec, il revoit l'affiche, les photos des mecs masqués, la musculature et cela le fait fantasmer...
Lui qui aime les mecs il n'a jamais eu à poils dans son lit un mec si carré, et si j'allais voir ça de plus près ?
A 14h30 il fait la queue devant la salle des sports de la ville, une longue file d'attente de mecs et de nanas aussi, certaines sont de vrais camionneurs tellement elles sont musclées.
D'un seul coup il se sent ridicule, lui le petit pédé certes d' 1m80, mais avec ses 65 kg il ne pèse pas lourd avec tout ce qu'il a autour de lui...
Il se retrouve au 3ème rang autour du ring et constate qu'il y a une ambiance de ouf! Un animateur qui fait gueuler tout le monde, s'en prend aux nanas en leurs disant que c'est un spectacle d'hommes, des vrais!
Il se fait huer, siffler mais il continue à jouer le macho misogyne et les cris augmentent chez les nanas et les mecs rigolent en se tapant sur les épaules.
Puis le mec repère un gringalet dans la foule et s'en prend à lui, disant qu'il faut qu'il aille à la salle de sport au lieu de venir voir de vrais mecs!
-mais peut-être qu'il aime les mecs baraqués le gringalet! crie t-il.
C'est un brouhaha indescriptible et d'un seul coup roulement de tambour qui calme tout le monde, un son de trompette se fait entendre et de chaque côté de la salle apparaissent les adversaires. Chacun enroulé dans une cape qui leur tombe jusqu'aux pieds, et ils portent un casque intégral de moto!
Le premier à monter sur le ring c'est la cape rouge sang sous les sifflets. Il ouvre la cape la laisse tomber à terre et fait le tour du ring en levant les bras au plafond.
Enzo n'ose plus rien dire quand il voit le mec vêtu d'une combinaison rouge sang, moulante comme c'est pas permis, dessinant autant le sexe et les couilles que son fessier et tout semble imposant. Mais il faut voir la musculature du lascar!
Putain pense Enzo il a des bras comme mes cuisses et ses cuisses font trois fois les miennes, tellement énorme que son paquet est bien mis en évidence.
Il enlève son casque, le silence se fait et dessous apparait une tête enveloppée dans une cagoule rouge vif. On ne voit que les yeux, le nez et la bouche, même pas une touffe de cheveux. Il gonfle la poitrine, se tape dessus et crie avec un accent américain "je suis le meilleur!".
C'est encore le déchaînement de cris et de sifflets.
A ce moment là le deuxième entre en piste, même scénario mais là il est applaudi le lascar, sifflé aussi mais pas de la même façon, les applaudissements retentissent quand il enlève sa cape pour apparaître dans la même tenue que son adversaire, mais lui de couleur bleue ciel qui fait en fin de compte plus ressortir les détails de son corps... et l'on peut savoir que monsieur est gâté par dame Nature.
Merde pense Enzo et j'suis sûr qu'il bande pas le mec!
Un cul à damner un saint, la combinaison entre dans la raie séparant bien les deux globes fessiers.
On entend même des "à poils" de criés dans la foule.
Il enlève son casque et apparait cagoulé comme l'autre, mais lui des mèches blondes en sortent.
Enzo ne voit pas la couleur des yeux.
L'arbitre les prend par une main et s'approche du micro :
-à ma droite le champion Français L'Ange Bleu.
Il est très applaudi en criant.
-à ma gauche le champion américain Dick Blood!
Il est applaudi également mais Enzo entend toutes sortes de réflexion :
-l'ange va lui bouffer sa queue et le sang va couler!
Enzo rigole.
Les deux adversaires se regardent l'air méchant, se tapent dans la main, vont chacun dans leur coin.
On entendrait voler une mouche dans la salle comble.
La clochette retentit et les deux mastodontes se jettent l'un sur l'autre, se frappant avec la poitrine ce qui les fait reculer tous les deux.
Et c'est parti en clés de bras, de mecs qui s'envolent, qui tapent dans les cordes, rebondissent et passent au dessus de l'adversaire pour se retrouver sur le dos, criant qu'il a mal l'Ange Blond, mais l'autre se laisse tomber sur lui tête-bêche, si bien que chacun à la paire de couilles à portée de bouche...
C'est le déchaînement dans la salle car l'Ange Blond a la tête d'écrasée par le sexe de l'américain et on voit bien qu'il bouge son cul pour faire rouler couilles et bite sur le visage. Le français lui claque les fesses.
Mais franchement ça ne doit pas être facile de sortir de sous une telle masse et le français abandonne et l'américain est déclaré vainqueur du 1er round.
Mais quand ils se relèvent, tout le monde voit bien qu'il bandent tous les deux et que l'endroit est humide.
C'est encore le déchaînement dans la foule et les réflexions pullulent de toutes sortes.
Le deuxième round est remporté par le français, bien sûr, faut qu'il y ait une belle! et à la fin de ce 2ème round ils bandent encore et la tâche s'est agrandie.
Le français tenait l'américain par la ceinture, son dos contre sa poitrine et pour faire rire la salle faisait mine de l'enculer!
Le 3ème round a duré une éternité. On sait bien que tout est calculé au millimètre près pour ne pas qu'ils se fassent de mal, mais j'avoue qu'on n'en revient pas de la souplesse de ces mastodontes qui sont projetés au sol durement et qu'une masse de 130 kg leur tombe dessus...
Enzo avait mal pour celui qui se trouvait dessous!
Après avoir voltigés dans tous les sens, fait valser l'arbitre qui voulait s'interposer, c'est l'Ange Blond qui est déclaré vainqueur et l'américain part sous les sifflets, car en fait il représentait le "méchant".
En fin de compte Enzo était content que cela soit terminé, il pouvait respirer normalement.
Les catcheurs disparus, la salle commence à se vider, Enzo laisse passer la foule en se disant qu'il n'habite pas loin qu'il a le temps. Il sort pratiquement dans les derniers quand il voit sur la droite les deux catcheurs qui signent des autographes, se font prendre en photos se tenant par le cou. Ils ont l'air d'être les meilleurs copains du monde.
Bah j'vais jouer le fan pense Enzo en s'approchant, histoire de voir les yeux des mecs. Il fait signer un papier qu'il avait sur lui et les catcheurs se moquent de lui, gentiment :
-tiens c'est une crevette celui-là! dit l'américain avec son accent.
Enzo sourit sans répondre, mais remarque les yeux rieurs des deux, que des yeux bleus. Il observe les corps essayant d'être discret et cela confirme ce qu'il avait vu de loin Ils ont l'air d'être bien burné les catcheurs.
Il est bousculé par les autres qui veulent une signature. Il sort et décide d'aller boire un verre à son bar favori.
Il y a un peu de monde dans le bar et Enzo s'assoit au comptoir et sirote une bière tranquillement en matant les mecs présents... à des fois qu'il trouve un petit cul pour sa queue.
Cela fait une demi heure qu'il est sur son tabouret, qu'un silence se fait dans le bar et Enzo voit toutes les têtes se tourner vers l'entrée. Il en fait autant et heureusement qu'il est assis, car les deux mastodontes dont il vient de voir les exploits, il est sûr, entrent dans le bar en parlant entre eux, sans faire attention aux autres.
Ils viennent s'installer juste à côté d'Enzo qui voit de face l'américain, car le blond lui tourne le dos et là, stupéfaction quand il l'entend parler, il n'a plus d'accent américain. Ils rigolent tous les deux, Enzo n'écoute pas ce qu'ils disent mais il ne perd rien du visage de brute gentille de "l'américain", brute quand il ne sourit pas, mais il a un visage qui s'illumine avec un sourire. Il est très tactile, car souvent il caresse l'épaule du blond et d'un seul coup il voit que leurs cuisses sont entremêlées, qu'ils se touchent, se caressent.
D'un seul coup le regard de "l'américain" croise le sien, il éclate de rire :
-tiens Bertrand on a un espion à côté de nous, une crevette d'espion même!
Le Bertrand se retourne, sa chevelure blonde encadre un visage carré, ses yeux bleu clairs se marrent.
-t'as raison Léon et en plus c'est une belle crevette dit il en lui faisant un clin d'œil, tu crois qu'il nous suit ?
Enzo arrive à articuler :
-mais j'étais là avant vous les gars! dit il rapidement.
-t'as vu ça Léon, il nous appelle les gars, comme si on était potes! mais une crevette comme ça on la met entre nous deux et il disparait .
Ils rigolent en voyant l'air que fait Enzo.
-non t'inquiète l'ami on n'est pas méchant du tout, vient on t'offre une bière.
Et voilà Enzo entre les deux catcheurs toujours assis sur leur tabouret.
Ils lui ont demandé son nom et quelques instants plus tard ils étaient devenus potes!
-j'peux vous demander quelque chose ? demande Enzo.
-si c'est pas indiscret dit Léon en reprenant l'accent américain.
Enzo rigole.
-en fait t'es pas plus américain que moi!
-c'est fûté un jeune dit Bertrand en rigolant, eh non on est bien français tous les deux! T'es déçu ? parce que de toute façon c'est moi le plus beau!
Et les voilà à raconter le travail qu'ils font, passant de villes en villes proposer leurs exhibitions.
-mais c'est pas toujours le blond qui gagne tu sais.
-j'ai eu l'impression que ça vous faisait de l'effet de vous frotter l'un à l'autre dit Enzo rapidement avant de rougir comme une tomate bien mûre.
Ils éclatent de rire tous les deux et leurs mains viennent le prendre par le cou pour le faire entrer entre eux deux qui le coincent avec leurs gros genoux.
-dis donc jeune homme, faut aimer les mecs pour remarquer de telles choses ? dit Léon.
-moi j'en ferais bien mon sandwich du jeune provincial, ça doit être tendre tu crois pas Léon ? demande Bertrand.
-on l'écraserait entre nous deux!
-bah on s'écrase pas nous!
-vous pourriez faire clowns aussi dit Enzo, souriant en les regardant chacun leur tour.
Il pose ses mains sur les cuisses, les caresse en disant :
-j'ai jamais vu de tels muscles! dit Enzo.
C'est Léon qui se penche à son oreille :
-et t'as pas vu tous nos muscles!
Ils éclatent de rire.
Ils caressent le dos d'Enzo qui se laisse faire et il sent sa queue commencer à faire des siennes, une main passe sur ses fesses et la main de Bertrand vient tâter sa queue en se penchant vers Léon.
-ça bande bien un provincial , tu crois qu'on peut l'emmener pour l'apéro ?
-s'il aime la liqueur il sera bien servi répond Bertrand qui ne lâche pas la queue.
-il en dit quoi Enzo, ça te dirait de venir boire l'apéro dans notre gîte un peu plus loin?
-j'aimerais bien en ressortir vivant dit Enzo en souriant.
-vivant mais crevé, c'est garantie sans facture mec!
Enzo n'en revenait pas de la chance qu'il avait. Il était sûr que tout allait bien se passer avec les deux lascars.
Un quart d'heure de marche et ils étaient arrivés au gîte et là tout est allé vite.
Ils l'ont coincé entre eux et l'ont déshabillé, mis nu complètement et ils avaient l'air émerveillé de voir leur crevette nue.
Il n'en croit pas ses yeux quand les deux se mettent dans la même tenue que lui, ses yeux ne savent plus où regarder. Il bande comme jamais il n'a bandé, sa queue s'est décalottée toute seul, le gland le brûle et la mouille coule.
-chéri dit Léon, j'crois qu'il y a urgence dit Bertrand en montrant la queue d'Enzo.
Sous le regard ébahi d'Enzo le blond Bertrand se met à genoux, d'un coup de langue avale toute la mouille qui allait chuter à terre et prend Enzo aux fesses et enfonce sa belle queue au fond de la gorge la faisant glisser sur sa langue chaude pour entrer dans la gorge, sans qu'il n'entende tousser ou autres... et il est pipé comme s'il y avait péril en la demeure.
Léon en profite pour faire découvrir son corps à ses mains indiscrètes. Il se place derrière lui, l'entoure de ses bras, le serre contre lui et Enzo se sent déjà étouffer, mais les lèvres se posent dans son cou, fait de petits bisous tout le tour, il lui fait tourner la tête, ses lèvres remontent sous le menton, et viennent prendre les siennes.
Les langues s'amusent entre elles, crachent leurs salives qui changent de bouches. Il sent sa queue se raidir dans la bouche de Bertrand qui serre ses couilles maintenant, et un doigt passe dans sa raie, trouve l'anus et sans façon s'enfonce doucement au moment où Enzo pousse un premier cri car il commence à juter dans la bouche chaude.
Ses cris sont étouffés par la bouche de Léon qui n'arrête pas de caresser son corps doux.
Les giclées ont toutes été avalées, et Enzo se sent soulevé dans les bras de Léon qui le prend sous les cuisses mettant son anus à hauteur de la bouche de Bertrand.
-tu vas voir comme tu vas gueuler Enzo, Bertrand c'est le meilleur bouffeur de cul que je connaisse!
Il n'avait pas fini de dire ça qu'Enzo sent les lèvres s'emparer de son anus et que la langue le caresse, le noyant de salive et la pénétration se fait rapidement.
Cela tombe bien Enzo adore se faire lécher le cul et là il reconnait qu'il est gâté le garçon, ses fesses sont bien caressées, la langue entre en lui, touche sa paroi et le doigt va même toucher sa prostate. Et Léon qui n'arrête pas de jouer avec leurs langues.
La langue s'arrête et il voit apparaître Bertrand entre ses jambes et sent le gland chercher l'entrée.
-va doucement Bertrand, c'est un ami! le baise pas comme tu me le fais! Prend ton temps!
Ben heureusement qu'il était prévenu, car d'un seul coup de reins la bite qu'il n'avait pas encore vraiment touchée ni vue était entrée pratiquement au fond de lui. Il avait commencé à hurler mais les lèvres de Léon ont bloqué son cri.
Il avait les pattes en l'air, et les deux l'ont manipulé, sans que la queue de Bertrand ne sorte de son cul, pour qu'il se retrouve les jambes à terre avec devant la bouche la grosse bite de Léon qui l'attendait.
Il savait quoi faire Enzo avec une bite et là, il n'avait qu'à ouvrir la bouche, car au premier coup de reins de Bertrand la queue arrive pratiquement au fond de sa gorge. Il essaie de se cramponner aux cuisses de Léon pour ne pas aller plus loin, mais c'est sans compter sur la force des deux catcheurs qui s'en servent comme sandwich.
Enzo n'a jamais été baisé comme ce jour là.
Les coups de reins se faisaient en cadence, en rythme comme s'ils avaient fait ça toute leur vie et Enzo en gémissait de plaisir. Il a réussi à s'emparer de sa queue et se branler aux rythmes de leurs coups de reins.
C'est Bertrand qui a joui en premier, remplissant le petit cul de la crevette en longues giclées brûlantes et onctueuses, avant que Léon ne réponde par autant de jus qui coulait dans sa gorge.
Enzo a cru mourir noyé, mais quand il a joui a son tour, serrant la queue de Bertrand dans son cul et la queue de Léon entre ses lèvres, il les a entendu dire :
-tu crois qu'il en veut encore ?
Ils riaient en disant cela.
Libéré des queues, il est soulevé comme une plume par Léon qui l'emmène dans la chambre avec un super grand lit. Il le dépose délicatement au centre et viennent l'entourer, se penchant sur lui comme on se penche sur un nouveau-né.
Sourires avenants.
-il est beau ce provincial, on n'en a pas eu toujours des aussi beaux! dit Leon.
-ouais et en plus sa queue est bonne, son cul aussi, il a donné beaucoup de bon jus!
-tu crois qu'il voudra goûter à nos queues et nos culs ?
-t'as entendu la question ? demande Bertrand.
-tout ça ce soir ? demande Enzo.
-demain c'est dimanche ? tu branles rien ? alors on s'offre à toi!
Enzo pense : ils vont m'achever oui!
Il les prend par le cou et les attire à lui.
-vous êtes sympas les mecs, mais en fait vous vivez ensemble et vous allez de ville en ville pour baiser des provinciaux vicieux!
-je t'avais dit que c'était fûté un provincial dit Léon en rigolant.
Ils s'allongent sur lui à l'écraser en l'étouffant.
-on a toute la nuit et demain pour faire tout ce qu'on a envie! dit Bertrand à son oreille!
C'est sûr qu'il n'en sort pas vivant pense Enzo en caressant les dos des deux catcheurs.
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