Myriam

- Par l'auteur HDS Aldebaran -
Récit érotique écrit par Aldebaran [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 5 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Aldebaran ont reçu un total de 48 919 visites.
Récit libertin : Myriam Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-03-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 8 932 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

Couleur du fond :
Myriam
MYRIAM

Mathieu, la trentaine, finissait de saisir le texte de son rapport, quand il voulut en tirer une copie, il s'aperçut que l'imprimante refusait d'obtempérer car les cartouches d'encre étaient vides. Il était 18h45, il avait tout juste le temps de descendre de son appartement pour s'approvisionner dans la papeterie qui n'était pas très éloignée et où il se fournissait régulièrement. Quand il arriva au magasin il était 18h55. Il s'excusa, mais la gérante qui avait une cinquantaine d'années le mit à l'aise. Il présenta les références du modèle de cartouches qu'il voulait acheter. La gérante tapota sur son ordinateur : « Vous avez de la chance, il me reste un jeu » lui dit-elle.
J'ai vraiment de la chance !
Attendez, je ne vois pas où Sarah l'a rangé, on vient de terminer l'inventaire et on en a profité pour faire du rangement !
La gérante jeta un œil dans les tiroirs du magasin, mais sans succès.
Ah ! Je suis sûre que j'ai vos cartouches, mais où sont-elles ? Vous pouvez attendre un peu ? Mais je vais fermer la porte d'entrée car je ne veux plus être dérangée. »
Il serait revenu le lendemain, mais il devait absolument achever sa copie pour le le lendemain matin, alors il dit simplement :
« D'accord. »
La gérante se dirigea vers la porte vitrée et s'accroupit pour bloquer le verrou. Sa jupe un peu courte glissa sur ses cuisses. , Mathieu fut agréablement surpris par ce qu'involontairement la commerçante lui laissait découvrir. Un nylon un peu sombre gainait les jambes superbes de cette femme qu'il avait souvent vue avec sympathie, car elle était très gentille, serviable et jolie. En se tournant légèrement, elle écarta ses cuisses suffisamment pour que son client distingue sous la jupe une bande opaque et en déduise qu'elle portait les dim up.
« Pouvu qu'elle porte un string ! » se dit-il par jeu, sans vraiment penser qu'il allait commencer à la draguer, mais il devait se rendre à l'évidence, il commençait à être d'autant plus émoustillée qu'il devait depuis plus d'une semaine se satisfaire tout seul ou en compagnie de femmes contactées sur un internet. Il trouvait un peu long le stage à l'étranger de sa compagne.
La commerçante ne cessait de lui sourire, ce n'était pas la première fois, une certaine complicité s'était établie entre eux lors de ses achats précédents. Elle avait fait assaut de politesse pour détourner l'attention de Mathieu dont le regard s'attardait plutôt sur sa vendeuse très attirante du reste. Une fois qu'elle eut fermé la porte vitrée elle coupa l'élactricité dans le magasin.
Venez dans la réserve, je vais essayer de trouver vos cartouches !
Il la suivit, mais elle revint sur ses pas pour fermer la porte de communication. En en passant devant lui, sa poitrine frôla celle de son client, qui ne dégagea pas le passage, à dessein. Elle revint une fois la porte poussée il ne bougea pas, et elle appuya cette fois intentionnellement ses seins sur lui. Il se prêta ensuite aisément au jeu qu'il devinait. Il retint la gérante et la poussa doucement contre le mur du couloir. Sans attendre, il glissa sa main sous sa jupe, et explora la chair qui se trouve dégagée par le dim up. Il palpait la cuisse droite de sa future partenaire et passait le dos de sa main sur l'autre cuisse. En femme mûre, la gérante chercha les lèvres de son client et le força à échanger un très long baiser. Instinctivement elle écarta ses jambes pour encourager son client entreprenant qu'elle désirait confusément depuis qu'il fréquentait sa papeterie. Ce dernier palpait doucement le sexe de Myriam au travers du voile d'une culotte dont il avait au préalable explorer les contours : ce n'était pas le string auquel il avait songé d'abord, mais une culotte italienne qui autorisait néanmoins toutes les intrusions coquines. Avec le dos de son index passé sous l'élastique, il était d'ailleurs en train de lisser le pubis épilé de cette femme, qui s'abandonnait. Myriam approuvait cette lenteur, et redoublait ses baisers. Sa langue s'affolait et promettait d'autres succions qu'elle adorait pratiquer du reste, avec des hommes de tous âges. Il le pressentait mais il ne voulait rien précipiter, son index fouillait maintenant les plis un peu renflés de sa conquête et cherchait si son désir commençait à les rendre humides. Il fit une cuillère de sa main et baissa le fond qui n'opposa aucune résistance, il put dès lors pétrir à pleine paume les plis et renflements de la chatte de Myriam, il excellait surtout à faire se frotter les pétales entre eux. Myriam ne disait rien mais multipliait les baisers humides. Pendant qu'il plongeait sont majeur dans la fente offerte de la gérante, il passa son autre main sous son pull. Il dégrafa sans difficulté son soutien-gorge et libéra une belle poitrine qui atteignait les 90. Il dégagea Myriam du mur pour la coller devant lui et alterner ses caresses, d'une main il s'empressait sur son pubis et sa chatte, de l'autre il multipliait les hommages à ses seins souples et tièdes. Il mouillait son doigt et le passait sur les aréoles, ou bien pinçait si adroitement les bouts que Myriam commença à gémir.
Viens ! Lui dit-elle en le prenant par la main pour le conduire dans son bureau.
Celui-ci était moderne, très chic, de bon goût. Un beau canapé s'allongeait devant une table basse autour de laquelle la gérante très libre aimait à recevoir les représentants, qui avaient toutes chances de s'attarder s'ils avaient la trentaine, pendant que Sarah, complice, gardait le magasin ou se joignait au couple libertin l'heure de la fermeture venue.
Avant de se lover dans le canapé elle enleva son pull et pendant qu'elle dégageait son soutien gorge Mathieu fit glisser sa jupe, il voulut lui enlever sa culotte mais Myriam s'y opposa. Semi allongée sur la canapé elle était très appétissante avec ses dim up, sa jolie culotte italienne au voile transparent, et ses jolis souliers à talon.
-Mets-toi à l'aise, chéri. Et elle commença à écarter sa culotte pour se doigter pendant que se dévêtit entièrement. Quand il baissa son boxer, son sexe surgit glorieux, Myriam passa sa langue sur ses lèvres pour marquer sa satisfaction et sa gourmandise.
Elle poursuivait son doigtage sous le voile se sa culotte italienne. Il lui demanda :
-Tu veux que je me branle devant toi ?
Oui je veux bien. J'aimerais jouir une première fois comme ça !
Ok, pas de problème, et s'activa pour montrer à sa partenaire son gros gland rose, bien fendu d'où sortirait son sperme quand il le déciderait car il était très maître de lui.
Myriam en lissant son clitoris ne put enrayer un premier orgasme qui la fit gémir profondément. Elle tendit une main pour branler son partenaire et enfourner son dard. De l'autre , elle avait écarté le fond de sa culotte pour enfoncer plusieurs doigts dans sa chatte. Elle choisit sans hésiter l'option d'une gorge profonde qui faillit déclencher chez Mathieu un jet incontrôlé. Il sortit vainqueur de cette aimable épreuve et ressentit un bien être ravageur qui s'installa dans tout son corps et faillit bien produire ce qu'il venait d'éviter. Myriam de temps à autre lui donnait à sucer ses doigts, demandait à les humer avant de les lécher. Elle était très heureuse d'avoir conquis un partenaire attentif à ses désirs. Celui-ci retirait parfois sa verge de la bouche pour l'essuyer sur ses joues, il se baissait pour l'enfoncer dans la chair accueillante de ses seins.
Myriam se leva et se mit en chienne sur le canapé, elle écartait le fond de sa culotte pour qu'il la prenne :
-Baise-moi, je veux être ta salope !
A genoux derrière elle, il ne se fit pas prier : il passait sa queue dans la raie de Myriam, qui serrait les fesses, ou les écartait avec ses mains pour que son partenaire hésite sur la marche à suivre.
Tu n'enlèverais pas ta culotte italienne, dit en connaisseur ?
Non pas la première fois. J'adore comme ça.
Il s'exécuta et écarta un peu la culotte de Myriam, il se pencha et commença à lécher tout ce qui lui était offert. Certes il commença par la chatte dont le bout de sa langue prospecta ses creux tièdes et déjà gluants, il léchait aussi les doigts de Myriam qui ne cessait de s'activer au haut de sa fente, puis il remonta un peu pour déverser de la salive sur la pastille de sa partenaire qui cria
Oh, oui, tout de suite si tu veux.
Pas la première fois, répondit en plaisantant son amant.
S'il te plaît, je ferai tout ce que tu veux, si tu m'encules.
Il fut un peu surpris par l'extrême familiarité de Myriam, il préférait de loin des termes moins directs. Mais il n'était pas mécontent d'avoir affaire à une femme sans complexe qui après tout nommait les choses crûment.Il céda , mais demanda une fellation préalable (et il se promettait d'en obtenir une seconde, une fois qu'il aurait explorer le petit trou de Myriam).
Attends j'ai du gel, dit celle-ci, et elle alla chercher le tube dans un des placards du bureau.
A genoux, elle suça de nouveau la hampe et le gland de Mathieu, puis elle se mit de nouveau en chienne sur le canapé et demanda à son amant d'appliquer le gel autour puis à l'intérieur de sa muqueuse. Il n'hésita pas à enfoncer un doigt dans le cul, tout en pinçant son clitoris. Myriam devenait folle et trahissait le goût qu'elle avait contracté des double pénétrations.
Tu es prête ?
Allez viens, j'ai envie.
A vrai dire Mathieu n'avait jamais trop aimé la sodomie. Mais cette fois, il tombait sur une femme qui était très souple et qui visiblement aimait l'exercice. Elle enfouissait son visage dans le canapé et tendait sa croupe, pour que son partenaire la défonce de bas en haut, elle avait enfoncé ses doigts dans ses fesses pour bien écarter sa raie. Mathieu était bien installé dans sa muqueuse, il ne bougeait guère comme happé par l'anus qu'il explorait. Myriam accoudée sur un bras maintenant se doigtait pour donner plus d'ampleur à son plaisir, car elle entendait bien obtenir plusieurs orgasmes avec son nouveau partenaire. Celui-ce se cambrait en arrière pour éprouver l'élasticité du petit trou accueillant de cette femme qui avait sans doute encore beaucoup de choses à lui faire découvrir. La tiédeur de sa partenaire enveloppait sa hampe qui se gonflait, peut-être Myriam la sentait-elle se gonfler à chaque montée du désir. Il était sur le point d'éjaculer, mais Myriam prévint le coup et lui demanda de sortir pour l'inviter à la pénétrer en....missionnaire. Elle adorait l'être ainsi tout en gardant sa culotte ; Elle s'allongea sur le canapé écarta le fond de son italienne et guida le sexe de Mathieu. Sa chatte était gluante et son amant n'eut aucun mal à la pénétrer, ni à aller et venir en elle de plus en plus vite, au rythme des acquiescements de sa partenaire qui en cessait de dire « Oh oui ! ». Elle était aussi experte dans cette position que dans la précédente et après quelques minutes elle ouvrit la bouche pour recevoir la semence de son partenaire. Elle la maintenait sur sa langue pour lui montrer combien grande était sa soumission. Elle lécha le gland et avala le tout avec un sourire comblé.
-Tu as aimé ? lui dit-elle.
Adoré tu veux dire.
Alors on recommencera, si tu veux, et cette fois je me mettrai nue. Viens demain, à la même heure, je demanderais à Sarah de rester.
C'est vrai ?
Mais oui qu'est-ce que tu crois, j'aime partager.
Mais elle a peut-être un petit copain.
Bien sûr, une fois on l'a fait tous les trois.
Ici ?
Oui et on doit le faire chez moi, dimanche après-midi car mon mari et mes enfants seront au sport.
Tu n'as pas peur qu'ils rentrent trop tôt ?
Non, mon mari téléphone toujours avant de rentrer, comme moi, on sauve les apparences à cause des enfants.
Je suis seul dimanche, ma femme rentre de stage dimanche soir tard.
Super, mais ça ne t'empêche pas de venir demain soir.
Alors c'est d'accord, mais ...j'étais venu pour acheter un jeu de cartouches.
Ah, oui c'est vrai, j'oubliais. Viens.
Et Myriam, uniquement vêtue de sa culotte et de ses dim up, se rendit dans la réserve où elle trouva facilement la cartouche d'encre.
Combien je te dois ?
Tu me paieras demain , justement ce sera le prétexte. Mais j'aurais mis Sarah au courant.
Mathieu s'était rhabillé et la remercia.
Dis donc, dit-elle en ouvrant la porte du couloir de l'immeuble où était situé le magasin, on a baisé mais on ne sait même pas comme on s'appelle.
Mathieu, et toi ?
Myriam.
Ils éclatèrent de rire tous les deux

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Pa mal, je dis pas mal car à partir de la moitié cela devient "commun"
le détails "tehniques " ses muqueuse et =etc etc , n'ajoutent rien à l'histoire, alors que cela avait bien débuté , nous savons tous comment cela se passe ?? non?? alors peut mieux faire très certainement
ne m'en veuillez pas



Texte coquin : Myriam
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Aldebaran

Myriam - Récit érotique publié le 01-03-2015
Rapports de bon voisinage 4 - Récit érotique publié le 24-02-2015
Rapports de bon voisinage 3 - Récit érotique publié le 17-02-2015
Rapports de bon voisinage 2 - Récit érotique publié le 08-02-2015
Rapports de bon voisinage, 1 - Récit érotique publié le 03-02-2015