N. dévergonde ma femme - histoire érotique

N. commence à dévergonder ma femme…
Ainsi que je l’ai raconté précédemment, j’avais commencé à construire une relation complice avec celui qui avait réussit à devenir l’amant de ma femme, voulant une relation à trois durable. Mais N. m’avait clairement exposé son programme, « dévergonder une bourgeoise mûre ». J’étais tout à fait d’accord, même si la bourgeoise en question avait déjà bien entamé sa mue en coquine assumée. N. voulait en faire sa salope, j’espérais aussi bien sûr en tirer les bénéfices. Il ne restait plus qu’un seul de nos enfants à la maison et il devait bientôt partir, donc nous avions plus de possibilités. N. m’avait aussi précisé qu’après l’avoir mis en confiance ou du moins l’avoir rendu dépendante de sa queue (il en était persuadé), il la soumettrait à ses envies. La première était que pour marquer sa soumission il l’enculerait le plus souvent possible ; à la limite il ne la prendrait plus que de côté-là, c’était son truc ! Mon épouse ne détestait pas cette pratique, mais là c’était beaucoup plus, ce devait devenir une pratique normale et presque quotidienne. Mais surtout ensuite, il l’offrirait à ses amis, voire des connaissances ou d’autres. J’avais simplement fixé comme limite qu’il me prévienne avant, que je sois d’accord et qu’ils ne soient pas plus âgés de plus de 30 ans. Je me disais que de toute façon, entre le travail et les activités diverses, il n’y aurait pas beaucoup de créneaux, donc j’étais plutôt confiant. De plus, connaissant le caractère de mon épouse, je savais qu’elle fixerait elle-même les limites.
Après les premières rencontres, il décida donc de franchir la première étape. Il lui demanda de passer la soirée du vendredi avec lui, après la piscine, comme d’habitude. Toutefois, madame déclina car elle était indisposée et n’irait pas nager. N. insista, madame résista, finalement il alla carrément la voir sur son lieu de travail, sachant sur mes conseils qu’il la trouverait jusque vers 19 heures 30. Il faut savoir qu’elle travaille dans une école rurale, seule, donc dès qu’elle reçoit quelqu’un, tout le monde est au courant ! Elle fut surprise de le voir et pour tout dire pas très contente et elle lui fit savoir. Mais son jeune amant, plein de confiance, sortit sa queue pour lui donner envie. J’eu droit à un compte rendu des deux, notamment N. qui enregistra leurs ébats sur son smartphone, donc ça me permet de le raconter de manière plus vivante :
- Viens me sucer pour me faire pardonner, je sais que tu en as envie. (En même temps il agitait sa queue)
- Ici, ça n’est pas possible, il y a des gens qui passent me voir régulièrement !
- Juste une petite pipe, sinon je reste là, la queue à l’air, tu choisis !
- En vitesse alors, tu es vraiment un salaud et un pervers, tu sais que je suis faible!
- Je sais surtout que tu aimes ma queue ! Allez suce ma salope, hummm, j’envoie un mms à ton cocu ! Trop bon de voir une bonne maman me sucer comme une cochonne, lèche moi bien avec ta langue, je vais t’apprendre à être la meilleure suceuse de la région ! Tu suceras plein de queues, hein ? Relève ta jupe que je vois ton cul ! Humm, tu vas me faire gicler, lèche moi les couilles avant !
- Non, je ne fais pas ça!
- Je ne te demande pas ce que tu ne fais pas, je te demande de me sucer les couilles, c’est tout ! Aller, elles sont rasées exprès ! (Ma femme gobe une de ses couilles) Oui, tu vois, humm c’est trop bon, je vais me branler en même temps, tu aimes ? humm, ça vient. (Là, il lui prend la tête et enfourne sa queue dans sa bouche pour jouir). Ahhh, prends ça salope, continue, suce jusqu’à le dernière goutte ! C’est bien, tu deviens une reine de la pipe, viens que je te roule une pelle, tu le mérites !
- Bon, tu es content ? ça te suffit comme ça ? Tu me fais prendre des risques !
- Justement, c’est excitant non ? Allonge toi que je te bouffe la chatte !
- Non, tu avais dit juste une pipe et j’ai mes règles !
- Pas grave, je te lècherai le cul alors ! Je ramène un plaid que j’ai dans la voiture, enlève déjà ta culotte, ça ira plus vite.
Il sort et revient, voit que la culotte de ma femme est sur le sol :
- Tu n’as pas pu résister ma jolie salope hein ! Viens sur le plaid. Non, pas sur le dos, mets toi à genoux, comme ça tu t’offres complètement. Humm ce cul, je vais te le bouffer ! Tu es bien mouillée malgré tes récriminations ma cochonne, ta chatte est brillante ! Ton mari te lèche le cul parfois ?
- Rarement, je n’aime pas ça !
- Pas grave, tu vas apprendre à aimer, je vais y mettre ma langue de suite !
- Non, je ne suis pas propre !
- Vas te laver alors ! Tu peux ici ?
- Il y a un lavabo !
- Et bien file, je t’attends (Elle fila en effet, toute à son envie). Vas-y, reprends ta position, je vais bien te le préparer, il est bon ce cul, alors tu aimes ?
- Ce n’est pas désagréable, mais c’est plutôt une question d’hygiène, c’est sale!
- Il est tout propre ton cul, de toute façon j’aime tout dès qu’il s’agit de cul ! Maintenant je vais bien te le baiser ma salope, je l’ai bien mouillé, ça va rentrer tout seul. Tiens un autre mms à ton cocu, qu’il voit mon gland qui frotte ton anus ! Tu l’aimes ma queue ?
- Moui, je dois reconnaître !
- Dis « j’aime ta queue »
- J’aime ta queue !
- Voilà, c’est simple, bon maintenant passons aux choses sérieuses, je vais prendre ton cul pour la première fois, et pas la dernière! (Entretemps, ma femme s’était relevée !)
- Non, finalement, pas ici, je ne préfère pas, c’est trop risqué, je te suce de nouveau si tu veux !
- Si, si, ici et de suite, j’aime enculer, c’est trop bon, et tu as un magnifique cul de mature, c’est trop beau. Remets toi à 4 pattes, tu vas aimer, aller ma salope, ne te fais pas prier. (Elle consent à se remettre en position tout en continuant à dire que ce n’est pas raisonnable.)
- Suce moi du coup pour bien mouiller ma queue, oui, voilà, comme ça, mets de la salive sur mon gland, aller, c’est bien, tourne toi. (Il pose sa queue sur son anus et s’enfonce doucement).
- Humm, ça rentre, je sens ton cul qui serre ma queue, c’est top ! Ton mari t’encule ?
- Oui, parfois.
- Tu aimes ?
- …
- Ça te gêne de l’avouer ?
- Oui.
- Dis-le !
- J’aime bien oui (petite voix)
- Plus fort !
- Oui !
- Dis-moi « j’aime que tu m’encules », aller, lâche toi !
- j’aime que tu m’encules !
- Voilà, c’est simple ! Et moi, j’aime t’enculer, attention, je pousse encore, je suis presque au fond ! Tu me sens bien ?
- Oui.
- Je te remplis bien ?
- Oui !
- Elle est plus grosse que celle du cocu ?
- Oui !
- Je vais commencer à te baiser, caresse toi en même temps ! Tu la sens ? Vas-y, viens t’enculer sur ma queue ! Humm, c’est bon ça ma salope ! Continue, viens sur ma bite, c’est toi qui vas bosser ! Encule-toi bien ! hummm, c’est bon, c’est serré, j’aime voir ton cul glisser sur ma queue, aller, un petit mms au cocu ! Fais-toi jouir, joue avec ton clito ! (Je précise qu’avec moi, elle a horreur de ça, sauf très grande excitation) (Elle jouit avant lui et il la baisa de longues minutes avant de lui remplir le cul). Tiens, prend ça, je vais te remplir avec mon sperme, mon sperme dans ton cul de maman bourgeoise salope, hummm ça va partir…Ahhh, je jouis, tu es une bonne salope !!! Ton cul est fait pour ma queue, tu es d’accord ?
- ….
- Quoi ?
- Oui, mon cul est fait pour ta queue
- C’est facile à dire ! En plus, il n’y a rien de plus vrai ! Je vais me retirer, un petit mms pour le cocu afin de lui montrer comment j’ai bien rempli le cul de sa petite femme ! Voilà, humm ça déborde, je t’ai mis la dose, tu m’excites trop ! Dorénavant, je passerai de temps en temps à ton école pour te remplir, ok ?
- Non, je connais trop de gens.
- Je ne te demande pas ton avis, moi, je viens te baiser, le reste, tu gères ! Tu dois être prête au cas où ! Jupe, robe, bas, pour la culotte, je te préviendrai, il y aura des jours sans !
- Ça va pas, et si les élèves s’en rendent compte ?
- Et bien les garçons s’en serviront plus tard pour se branler lol !
- Je ne peux pas !
- Bon, en ce cas, tant pis, tu ne l’auras plus ! (Il montre sa queue !). Ton mari va être déçu, il aime que tu sois ma salope !
- J’en envie de te revoir, mais ne demande pas l’impossible !
- Ecoute, on verra comment on s’arrange, mais tu dois être le plus disponible possible !
- Je ferai mon possible !
- Je préfère ce langage ! A propos, j’ai un pote qui rêve de baiser une mature comme toi ! Je lui dis de passer ?
- Je ne suis pas une pute !
- Non, mais tu m’as bien dit que tu avais déjà fait des trios ?
- Oui, mais ce sont les circonstances qui ont fait que !
- Et bien on va les forcer !
Après ça, il la quitta en lui promettant une prochaine visite. Quant à elle, elle rentra et elle vit à ma tête que j’avais consulté mon portable !
- Tu sais qu’il est passé à l’école ?
- Ben oui, je n’étais pas au courant, mais effectivement, il m’a prévenu une fois arrivé !
- J’ai honte, il a pris des risques, si jamais quelqu’un était arrivé ! Le pire, c’est que je l’ai laissé faire ! Je ne comprends toujours pas ce qui m’arrive, la tête dit non, mais le reste dit oui.
- Tu as joui ?
- Oui, mais à la limite ce n’est pas le problème. Avec toi je jouis bien et avec les autres mecs aussi, là c’est différent, dès que je vois son sexe, le mien se liquéfie littéralement !
- J’ai lu des trucs là-dessus, ça arrive, la fusion des corps ! Tu l’aimes ?
- Non ! Je l’aime bien, oui, mais ça n’a rien à voir avec toi. Tu es le père de nos enfants, nous avons construit une famille, là, c’est sexuel, mais c’est tellement fort que ça me fait peur !
- Perso, je pense qu’il t’ouvre de nouveaux horizons que ton corps a toujours voulu découvrir mais que ton esprit refusait !
- Peut-être, mais tu devrais être jaloux
- Non, je t’aime trop pour ça, je suis heureux que tu prennes du plaisir ! Maintenant, si tu veux arrêter …
- Non ! (Le cri du cœur), je dois apprendre à gérer.


Toujours est-il que dès les jours suivants elle appliqua ses recommandations vestimentaires, bas et pas toujours de culotte. Elle devait lui envoyer des photos le matin, mais aussi en journée pour lui prouver qu’elle n’en avait pas remis. Au début, elle m’avoua être terriblement gênée lorsqu’elle recevait des parents ou des visites, mais qu’un plaisir trouble l’excitait aussi. Durant plusieurs semaines N. ne vint plus car son boulot l’avait envoyé ailleurs et c’est moi qui profitât de la situation, mais cela ne devait pas durer…