Nadège 3 - histoire érotique

Nous avons hébergé Nadège, une petite cousine pour quelques semaines. Après avoir pu la voir nue dans la salle de bain, je rêvais de pouvoir la baiser. L'occasion m'a été donné lorsque ma femme a travaillé de nuit, me laissant seul avec l'objet de mes désir.... Je l'ai prise debout dans la salle de bain, mais Nadège en voulait plus et veux qu'on continue dans sa chambre....

Je ne me fais prier. Je la prends dans mes bras. Elle est toute légère. Elle s’agrippe à mon cou, elle plaque à nouveau sa bouche contre la mienne et sa langue vient chercher la mienne. Nous montons à l’étage dans cette posture…..


Arrivés dans la chambre, je comprends qu’elle avait tout manigancé. En effet, le lit était près pour recevoir nos ébats. Je dépose donc mon précieux fardeau en travers du lit et immédiatement Nadège écarte les jambes. J’ai une vue imprenable sur son abricot !
Je plaque ma bouche sur sa chatte encore pleine de mouille et je commence à la lécher méticuleusement. J’écarte ses grandes lèvres toutes gonflées et fais pénétrer ma langue dans son vagin. Nadège a l’air d’aimer çà ! Ma langue maintenant part à la recherche de son clito qu’elle a tôt fait de découvrir. Je le titille de la pointe de la langue ce qui a pour effet de faire se tortiller Nadège de plaisir. Tandis que ma langue excite son clito je fais pénétrer 1 puis 2 doigts dans son con largement ouvert.
Nadège râle de plaisir et mouille abondamment. Une vraie fontaine ! Je bois goulûment sa cyprine et puisque la petite salope aime ça, j’ajoute un 3ème doigt dans sa caverne d’amour puis j’en glisse un entre ses fesses. Je masse maintenant son anus qui déjà se détend. Mon doigt n’a aucun mal à s’introduire dans son petit cul.

Nadège n’en peut plus et elle me supplie de la baiser. Je ne fais attendre une femme alors je lui plante violemment mon dard d’un coup sec dans sa chatte. Elle est tellement lubrifiée que je m’introduis à fond sans aucune peine. Je pilonne ma belle par de grands coups de boutoirs qui arrachent à chaque fois un râle de plaisir qu’elle n’essaie même plus de retenir. Je ne fais plus l’amour à une jeune femme, non, je baise une chienne en rut !

Je ne peux pas me retenir très longtemps et bientôt je lâche toute ma purée dans la chatte de ma petite pute. Elle a un violent orgasme quasiment en même temps. Heureusement que j’habite en pavillon sinon je crois bien que tous les voisins auraient été au courant de nos ébats !
Je reste encore instant à la pilonner. Ma bite est encore dure et Nadège en redemande. Malheureusement, je commence à débander et je sors de cette fente si accueillante. Nous sommes bien là tous les deux, enlacés les sens enfin apaisés. Je veux me retirer pour regagner ma chambre mais Nadège me retient :
-non mon chéri reste, je veux dormir dans tes bras.
Je passe donc la nuit avec ma jeune maîtresse à quelques mètres de ma chambre. Heureusement que ma femme bosse pendant ce temps là !
Je retourne dans mon lit seulement vers 5 heures du matin, non sans avoir mater encore une fois le corps nu alangui de ma jolie cousine. Ma queue retrouve toute sa vigueur et si je m’écoutais je la baiserai bien à nouveau, mais non, je ne peux pas… ce soir peut-être….

A 6 heures je me suis levé, puis préparé pour partir bosser. Avant j’ai apporté le petit dej au lit à Nadège. Elle était toujours étendue sur le dos, nue les jambes écartées. Pour la réveiller, j’ai embrassé sa chatte doucement. La réaction a été immédiate et Nadège s’est étirée en ouvrant encore plus ses cuisses et en soulevant son cul pour que je la bouffe encore mieux. Maintenant bien réveillée, ma petite pute s’est redressée et elle a fait glisser la fermeture de ma braguette et a sorti mon chibre de mon caleçon. Elle m’a branlé quelques secondes avant de l’enfourner dans sa bouche gourmande.
-hummm, mon meilleur petit déjeuner !
Nadège me gratifia encore une fois d’une somptueuse pipe. Allant et venant le long de mon pieu fièrement dressé devant elle, pétrissant habilement mes couilles. Sa langue virevoltait le long de ma hampe, puis titillait le gland tout congestionné. Je n’en peux plus, je vais jouir. Je veux me retirer pour éjaculer sur ses seins, mais Nadège me retient. Elle veut que je lâche ma purée dans sa bouche. Elle n’a pas longtemps à attendre. 3 longs jets de foutre chaud et épais se déversent dans sa gorge. La petite salope avale tout puis avec sa langue elle vient nettoyer mon gland souillé. Elle s’applique, léchant jusqu’à la dernière goutte. Je suis aux anges. Jamais une femme me m’a sucé la queue comme elle.
Malheureusement, il faut que parte bosser et de toutes façons ma femme va bientôt rentrer de l’hôpital…..
A suivre....