Naissance de Sarah (partie 3)
Récit érotique écrit par Feufolette [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Naissance de Sarah (partie 3)
Nous rentrons chez moi, Gilles me propose un verre. Nous buvons une bouteille de vin blanc entière en discutant de ce qui m’a fait devenir fille ce week-end.
Je lui explique que par hasard, je me suis rendu compte que cela me plaisait, que cela m’excitait. Que ces mots avaient résonnés dans ma tête longtemps : « tu as le corps d’une fille ». Que je m’étais d’abord vexé alors que j’avais compris ensuite qu’il avait raison.
Lui me répétait comme je lui plaisait comme cela. On se caressait et s’embrassait sans aller plus loin. C’était l’heure de se préparer pour sortir. Lui allait porter une tenue classe, belle chemise à manches longues jolies chaussures de costume. Bref beau gosse, comme il avait l’habitude de le faire chaque week-end. Et il plaisait beaucoup aux filles, dont je faisais maintenant partie!
Moi j’hésitais longuement et finissait par me présenter à lui avec ma robe rouge neuve. Je portais mon nouveau tanga et soutien-gorge rouge dessous. La robe moulante m’arrivait à mi-cuisses... pour la première fois, je décidait de garder mes jambes nues et porterai mes talons rouges... maquillage un peu plus appuyé que de jour, je me trouvait très femme fatale, mais qu’en penserait-il?!
- O mon dieu, quelle gonzesse ! Tu es sublime ! Classe et sexy à la fois!
- je fais pas trop vulgaire ?
- vulgaire ? Non pas du tout ma chérie, je vais adoré cette soirée! Tu n’es pas trop stressée ?
Bizarrement non, j’étais juste flattée et heureuse de tous ces compliments. Je me sentais tellement bien en me regardant à travers ses yeux!
Il me servit un nouveau verre, de rhum cette fois. Et après l’avoir bu nous partions, il était 22h et il m’emmena d’abord dans un bar lounge un peu bruyant où la lumière était très tamisée. Après avoir trouvé un table discrète, il nous installe sur la banquette. Nous sommes à côté l’un de l’autre. Effectivement il me drague pendant une bonne heure et demi...
Après quelques verres, des échanges de baisers langoureux, comme un vrai couple, et quelques caresses qu’il m’aura donner sur et entre les cuisses, il me dit qu’il est tant d’aller danser.
- je ne peux pas me lever là tout de suite mon mâle, lui dis-je
Bien sûr il comprit immédiatement pourquoi (j’étais bandée et ma robe moulante ne saurait dissimuler cela à l’assemblée) mais se leva et me tira la main. J’étais rouge de honte. On voyait clairement cette bosse... il me serra contre lui et je sentis que lui aussi était excité, mais son pantalon était beaucoup plus discret...
Nous sortions du bar, il m’avait donné sa veste pour que je la garde devant moi. Quel gentleman ! J’étais charmée, je découvrais mon cousin sous un nouveau visage, d’un homme séducteur, attentionné et classe...
Sur le chemin vers la boite, je ne pu m’empêcher de caresser son entre-jambe alors qu’il conduisait. J’ouvris sa braguette, ses jambes s’écartaient « t’es une coquine ma chérie »... je sortait son membre du boxer et le caressait. Il était raide mmm son gland laissait ruisselait de pré-sperme. C’était magnifique. Mes yeux ne pouvait lâcher ce spectacle... il conduisait, mais son doigt vint se coller sur ce gland gonflé et ramena cette mouille à ma bouche.. je me mis à sucer ses doigts avec envie... nous gémissions et nous allumions l’un l’autre...
- on y est, me dit-il en remettant son boxer et refermant sa braguette.
Je me mordais les lèvres et il m’embrassa à pleine bouche
- c’est pas comme ça que tu vas dissimuler ton sex bébé, me murmura-t-il
Et il avait raison... nous sortîmes et décidions tous deux d’attendre quelques minutes avant de nous présenter devant les videurs. J’appréhendais de rencontrer une connaissance et cette pensée me calma rapidementIl me donna son bras et nous nous dirigions vers l’entrée du club. Nous avions vraiment l’allure d’un couple, classe, fashion...
Ça y est, j’étais en boite avec mon amant. Gilles commanda deux rhum coca au bar, il m’en tendît un : « santé Sarah »
J’avais l’impression de tomber folle dingue de lui, l’alcool aidant peut-être ??
Nos verres sont maintenant vides, il vient contre moi, me serre et nous nous mettons à danser. Il me murmure à l’oreille de danser comme une femme, de garder mes jambes serrées et de plier les genoux, de me déhancher au rythme de la musiqueJe me sens totalement enivrée, rapidement il me félicite et me dit « t’es bonne ma belle »
Mmmm ces mots me donne un frisson qui traverse mon corps... il me caresse le dos, amplifiant mes sensations
Il m’emmène sur la piste. Nous dansons l’un en face de l’autre à distance maintenant et rapidement je sens un autre garçon se rapprocher de moi... c’est donc cela que les femmes subissent... ce n’est pas agréable même si je me dis que c’est plutôt flatteur...
Gilles me « sauve » en revenant danser prêt de moi. Il me glisse à l’oreille « tu vois, tu es canon chérie ». Nos corps se serrent, un couple à côté de nous donne l’illusion de baiser sur la piste. Ils doivent être encore plus alcoolisés que nous. Pourtant ce spectacle m’excite, je m’imagine le trajet du retour, l’arrivée à la maison, je le veux!
On boit, on danse, on se chauffe à l’oreille, il me touche le cul très régulièrement, je m’amuse à mettre la main sur sa queue dès que possible... jusqu’à environ 3h du matin à ce moment où il me dit « j’en peux plus je veux ton cul Sarah! »
Sa supplique sonne comme un soulagement ! Enfin !
On sort et se dirige vers sa voiture. Il me plaque contre et me prend les fesses dans ses mains. Les vapeurs d’alcool, les lumières nocturnes, l’érection que je sens contre la mienne. Je suis dans un état second... prête à tout! Il remonte ma robe jusqu’à mi-ventre on se galoche à pleine bouche, comme si personne ne pouvait nous voir. Ça n’a plus aucune importance !
Je lui défait sa braguette, sa ceinture, j’ouvre son pantalon et le laisse glisser sur ses chevilles, il baisse mon tanga, je le laisse glisser le long de mes jambes, je bouge mes jambes pour le faire tomber au sol... il baisse son boxer à mi-cuisses... il m’appuie sur le capot de sa voiture et me relève les jambes... je ne contrôle plus rien du tout... je ne regarde que lui et lui me fixe en retour...
« Supplie moi! » me lance-t-il
- Mon mâle, encules moi, donnes moi ta queue ! Je suis ta pute prends-moi j’t’en supplie!
Enfin je sens son gland pousser sur mon intimité. Il me pénètre, je suis déjà humide et ça se fait sans effort. Je gémis d’une façon plus féminine que jamais. Quel plaisir, quel bonheur, j’échappe un « mmm oui Gilles elle est bonne ta queue, baises-moi fort ! »Ces mots l’ont motivé il me met des grands coups de butoirs et tenant mes jambes des deux mains me baise sans ménagement durant de longues minutes... il me retourne et me prend maintenant en levrette alors que je suis appuyer sur son capot... il me rend folle, je bande depuis le début de la soirée mon sex me tire de plus en plus. Le sien va et vient entre mes reins, je suis sa femme!
Après quelques minutes encore il se retire : « donnes moi ta bouche! »Je m’accroupis et ouvre la bouche, mon regard fixe le sien : « donnes moi ton jus mon mâle »
Il se branle en haletant quelques secondes et gicle sur mon visage, sur mes seins mon ventre. Il n’a jamais autant giclé de sperme je crois, j’en deviens dingue! J’attends qu’il se soit vider et m’apprête à retirer ce sperme avec les doigts quand il m’arrête : « non surtout pas reste comme ça, souillée, ma bonne salope! »Je récupère mon tanga et on va s’assoir dans la voiture, je suis couverte de sperme, mon visage, ma robe...
Je suis assise dans la voiture, qu’il démarre.. mon sex toujours raide trône devant moi...
Il démarre et à ce moment je suis heureuse qu’il ai une automatique.. car il libère sa main droite et l’amène sur mon sex... son doigt appuie sur le bout de mon gland.. je gémis... il me caresse les couilles : « elles ont l’air bien pleines tu dois souffrir bébé »
- oui je t’avoues que ça tire à fond là... tu veux pas me soulager chéri ? Le suppliais-je
- je veux que tu te branle pour moi, vide tes couilles maintenant ma belle, fais moi bander !
Alors donc il me traite comme une fille et veut que je me soulage moi-même... ok j’accepte le deal...
Il se concentre sur la route... je relève mes jambes et me place dans la posture la plus féminine possible... mes doigts cherchent le jus encore chaud de mon amant et l’amène sur ma queue raide, endolorie, je lubrifie mon gland et me branle lentement... ses yeux sont appelés par la scène... je gémis, me mord les lèvres : « Gilles j’adore ta queue, j’ai envie que tu m’encules toute la nuit! » S’en est trop, il s’arrête au bord de la route se garre... je remonte les mains sur mes seins... je n’en crois pas mes yeux, sa bouche approche mon sex... il lèche mon gland, je hurle de plaisir... il le lèche comme un clito, seulement le bout du bout de sa langue... je le supplie « O Gilles suce moi stp! »
- Sarah, une femme ne peut être sucée...
L’enfoiré! Le pire c’est que sa réponse m’amuse... je glisse mes mains dans ses cheveux et l’appuie contre ma « chatte » il lèche ce clito amoureusement et me fais vibrer... jusqu’au point de non retour : « t’arrête pas! »
Mon sex se contracte, il le sent et se retire... mon sex se relève seul et gicle un jet de sperme monumental qui vient s’écraser sur mon visage alors que je hurle la bouche grande ouverte... le second comme le troisième jet connaissent le même sort, j’ai le visage couvert de sperme... les suivants s’écrasent sur ma robe déjà souillée... Gilles pousse ce jus à ma bouche avec ses doigts...
Je suffoque lessivée je bois ce jus avec plaisir et suce ses doigts...
Le week-end n’est pas fini...
... à suivre...
Je lui explique que par hasard, je me suis rendu compte que cela me plaisait, que cela m’excitait. Que ces mots avaient résonnés dans ma tête longtemps : « tu as le corps d’une fille ». Que je m’étais d’abord vexé alors que j’avais compris ensuite qu’il avait raison.
Lui me répétait comme je lui plaisait comme cela. On se caressait et s’embrassait sans aller plus loin. C’était l’heure de se préparer pour sortir. Lui allait porter une tenue classe, belle chemise à manches longues jolies chaussures de costume. Bref beau gosse, comme il avait l’habitude de le faire chaque week-end. Et il plaisait beaucoup aux filles, dont je faisais maintenant partie!
Moi j’hésitais longuement et finissait par me présenter à lui avec ma robe rouge neuve. Je portais mon nouveau tanga et soutien-gorge rouge dessous. La robe moulante m’arrivait à mi-cuisses... pour la première fois, je décidait de garder mes jambes nues et porterai mes talons rouges... maquillage un peu plus appuyé que de jour, je me trouvait très femme fatale, mais qu’en penserait-il?!
- O mon dieu, quelle gonzesse ! Tu es sublime ! Classe et sexy à la fois!
- je fais pas trop vulgaire ?
- vulgaire ? Non pas du tout ma chérie, je vais adoré cette soirée! Tu n’es pas trop stressée ?
Bizarrement non, j’étais juste flattée et heureuse de tous ces compliments. Je me sentais tellement bien en me regardant à travers ses yeux!
Il me servit un nouveau verre, de rhum cette fois. Et après l’avoir bu nous partions, il était 22h et il m’emmena d’abord dans un bar lounge un peu bruyant où la lumière était très tamisée. Après avoir trouvé un table discrète, il nous installe sur la banquette. Nous sommes à côté l’un de l’autre. Effectivement il me drague pendant une bonne heure et demi...
Après quelques verres, des échanges de baisers langoureux, comme un vrai couple, et quelques caresses qu’il m’aura donner sur et entre les cuisses, il me dit qu’il est tant d’aller danser.
- je ne peux pas me lever là tout de suite mon mâle, lui dis-je
Bien sûr il comprit immédiatement pourquoi (j’étais bandée et ma robe moulante ne saurait dissimuler cela à l’assemblée) mais se leva et me tira la main. J’étais rouge de honte. On voyait clairement cette bosse... il me serra contre lui et je sentis que lui aussi était excité, mais son pantalon était beaucoup plus discret...
Nous sortions du bar, il m’avait donné sa veste pour que je la garde devant moi. Quel gentleman ! J’étais charmée, je découvrais mon cousin sous un nouveau visage, d’un homme séducteur, attentionné et classe...
Sur le chemin vers la boite, je ne pu m’empêcher de caresser son entre-jambe alors qu’il conduisait. J’ouvris sa braguette, ses jambes s’écartaient « t’es une coquine ma chérie »... je sortait son membre du boxer et le caressait. Il était raide mmm son gland laissait ruisselait de pré-sperme. C’était magnifique. Mes yeux ne pouvait lâcher ce spectacle... il conduisait, mais son doigt vint se coller sur ce gland gonflé et ramena cette mouille à ma bouche.. je me mis à sucer ses doigts avec envie... nous gémissions et nous allumions l’un l’autre...
- on y est, me dit-il en remettant son boxer et refermant sa braguette.
Je me mordais les lèvres et il m’embrassa à pleine bouche
- c’est pas comme ça que tu vas dissimuler ton sex bébé, me murmura-t-il
Et il avait raison... nous sortîmes et décidions tous deux d’attendre quelques minutes avant de nous présenter devant les videurs. J’appréhendais de rencontrer une connaissance et cette pensée me calma rapidementIl me donna son bras et nous nous dirigions vers l’entrée du club. Nous avions vraiment l’allure d’un couple, classe, fashion...
Ça y est, j’étais en boite avec mon amant. Gilles commanda deux rhum coca au bar, il m’en tendît un : « santé Sarah »
J’avais l’impression de tomber folle dingue de lui, l’alcool aidant peut-être ??
Nos verres sont maintenant vides, il vient contre moi, me serre et nous nous mettons à danser. Il me murmure à l’oreille de danser comme une femme, de garder mes jambes serrées et de plier les genoux, de me déhancher au rythme de la musiqueJe me sens totalement enivrée, rapidement il me félicite et me dit « t’es bonne ma belle »
Mmmm ces mots me donne un frisson qui traverse mon corps... il me caresse le dos, amplifiant mes sensations
Il m’emmène sur la piste. Nous dansons l’un en face de l’autre à distance maintenant et rapidement je sens un autre garçon se rapprocher de moi... c’est donc cela que les femmes subissent... ce n’est pas agréable même si je me dis que c’est plutôt flatteur...
Gilles me « sauve » en revenant danser prêt de moi. Il me glisse à l’oreille « tu vois, tu es canon chérie ». Nos corps se serrent, un couple à côté de nous donne l’illusion de baiser sur la piste. Ils doivent être encore plus alcoolisés que nous. Pourtant ce spectacle m’excite, je m’imagine le trajet du retour, l’arrivée à la maison, je le veux!
On boit, on danse, on se chauffe à l’oreille, il me touche le cul très régulièrement, je m’amuse à mettre la main sur sa queue dès que possible... jusqu’à environ 3h du matin à ce moment où il me dit « j’en peux plus je veux ton cul Sarah! »
Sa supplique sonne comme un soulagement ! Enfin !
On sort et se dirige vers sa voiture. Il me plaque contre et me prend les fesses dans ses mains. Les vapeurs d’alcool, les lumières nocturnes, l’érection que je sens contre la mienne. Je suis dans un état second... prête à tout! Il remonte ma robe jusqu’à mi-ventre on se galoche à pleine bouche, comme si personne ne pouvait nous voir. Ça n’a plus aucune importance !
Je lui défait sa braguette, sa ceinture, j’ouvre son pantalon et le laisse glisser sur ses chevilles, il baisse mon tanga, je le laisse glisser le long de mes jambes, je bouge mes jambes pour le faire tomber au sol... il baisse son boxer à mi-cuisses... il m’appuie sur le capot de sa voiture et me relève les jambes... je ne contrôle plus rien du tout... je ne regarde que lui et lui me fixe en retour...
« Supplie moi! » me lance-t-il
- Mon mâle, encules moi, donnes moi ta queue ! Je suis ta pute prends-moi j’t’en supplie!
Enfin je sens son gland pousser sur mon intimité. Il me pénètre, je suis déjà humide et ça se fait sans effort. Je gémis d’une façon plus féminine que jamais. Quel plaisir, quel bonheur, j’échappe un « mmm oui Gilles elle est bonne ta queue, baises-moi fort ! »Ces mots l’ont motivé il me met des grands coups de butoirs et tenant mes jambes des deux mains me baise sans ménagement durant de longues minutes... il me retourne et me prend maintenant en levrette alors que je suis appuyer sur son capot... il me rend folle, je bande depuis le début de la soirée mon sex me tire de plus en plus. Le sien va et vient entre mes reins, je suis sa femme!
Après quelques minutes encore il se retire : « donnes moi ta bouche! »Je m’accroupis et ouvre la bouche, mon regard fixe le sien : « donnes moi ton jus mon mâle »
Il se branle en haletant quelques secondes et gicle sur mon visage, sur mes seins mon ventre. Il n’a jamais autant giclé de sperme je crois, j’en deviens dingue! J’attends qu’il se soit vider et m’apprête à retirer ce sperme avec les doigts quand il m’arrête : « non surtout pas reste comme ça, souillée, ma bonne salope! »Je récupère mon tanga et on va s’assoir dans la voiture, je suis couverte de sperme, mon visage, ma robe...
Je suis assise dans la voiture, qu’il démarre.. mon sex toujours raide trône devant moi...
Il démarre et à ce moment je suis heureuse qu’il ai une automatique.. car il libère sa main droite et l’amène sur mon sex... son doigt appuie sur le bout de mon gland.. je gémis... il me caresse les couilles : « elles ont l’air bien pleines tu dois souffrir bébé »
- oui je t’avoues que ça tire à fond là... tu veux pas me soulager chéri ? Le suppliais-je
- je veux que tu te branle pour moi, vide tes couilles maintenant ma belle, fais moi bander !
Alors donc il me traite comme une fille et veut que je me soulage moi-même... ok j’accepte le deal...
Il se concentre sur la route... je relève mes jambes et me place dans la posture la plus féminine possible... mes doigts cherchent le jus encore chaud de mon amant et l’amène sur ma queue raide, endolorie, je lubrifie mon gland et me branle lentement... ses yeux sont appelés par la scène... je gémis, me mord les lèvres : « Gilles j’adore ta queue, j’ai envie que tu m’encules toute la nuit! » S’en est trop, il s’arrête au bord de la route se garre... je remonte les mains sur mes seins... je n’en crois pas mes yeux, sa bouche approche mon sex... il lèche mon gland, je hurle de plaisir... il le lèche comme un clito, seulement le bout du bout de sa langue... je le supplie « O Gilles suce moi stp! »
- Sarah, une femme ne peut être sucée...
L’enfoiré! Le pire c’est que sa réponse m’amuse... je glisse mes mains dans ses cheveux et l’appuie contre ma « chatte » il lèche ce clito amoureusement et me fais vibrer... jusqu’au point de non retour : « t’arrête pas! »
Mon sex se contracte, il le sent et se retire... mon sex se relève seul et gicle un jet de sperme monumental qui vient s’écraser sur mon visage alors que je hurle la bouche grande ouverte... le second comme le troisième jet connaissent le même sort, j’ai le visage couvert de sperme... les suivants s’écrasent sur ma robe déjà souillée... Gilles pousse ce jus à ma bouche avec ses doigts...
Je suffoque lessivée je bois ce jus avec plaisir et suce ses doigts...
Le week-end n’est pas fini...
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