Najia, ou l’apprentissage de l’adultère (3ème Partie)
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-07-2011 dans la catégorie Plus on est
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Najia, ou l’apprentissage de l’adultère (3ème Partie)
Le surlendemain de ma première expérience d’adultère, vers midi, je reçus un coup de fil de Mouloud,
mon premier amant. Il m’expliqua qu’il voulait me faire connaître un couple ami, avec lequel
j’allais vivre d’autres moments intenses de plaisir. Il me donna rendez-vous à seize heures devant
le lycée. Il arriva à l’heure.
- Tu rencontreras des personnes merveilleuses. Je suis sûr que tu les aimeras énormément. Il
s’agit d’un couple mixte qui mène une vie érotique complètement dissolue (au regard de la morale
ambiante). Ce sont de vrais libertins, ouverts à toutes les expériences.
Mouloud ne m’en dit pas plus. D’ailleurs, je n’en demandais pas plus. Tout ce qui m’intéressait
c’était de revoir mon beau pirate et de revivre avec lui les merveilleuses sensations qu’il m’avait
fait connaître, deux nuits auparavant. Bien entendu que j’étais curieuse de faire connaissance avec
ses amis. Mais pas plus que cela ! C’était avant tout Mouloud que je voulais revoir - et revivre
avec lui les moments intenses d’érotisme qu’il m’avait fait connaître. Sa force et sa brutalité me
manquaient déjà beaucoup. Et les orgasmes successifs que j’avais eus avec lui étaient restés très
fortement imprimés dans ma mémoire. Je voulais en avoir d’autres. D’abord avec lui. Et puis, si
d’aventure, il me présentait un autre homme, du même acabit que lui, j’étais preneuse ! Mais je ne
me faisais pas trop d’illusions : des pirates comme Mouloud, j’étais certaine qu’il n’en existait
qu’un seul exemplaire.
J’avais tout faux ! Ce diable d’homme allait m’ouvrir une autre porte et me faire découvrir un autre
monde, fait de merveilles et d’érotisme torride, dont je ne soupçonnais même pas l’existence. Je ne
croyais pas qu’il pouvait exister en Algérie - pays traditionnellement puritain, traversé depuis une
trentaine d’années par un tsunami de rigorisme islamiste - des personnes vivant, certes
discrètement, dans un monde d’érotisme débridé. Il me conduisit dans un appartement situé dans un
vieil immeuble cossu, construit au centre d’Alger, pendant la période coloniale. Mouloud appuya sur
un des boutons de l’interphone situé devant le portail d’entrée du bâtiment, annonça sa présence à
la voix nasillarde qui le questionnait et j’entendis le déclic électrique qui ouvrit le portail.
Nous montâmes les larges escaliers jusqu’au deuxième étage et nous nous retrouvâmes face à une
magnifique sirène blonde, d’une quarantaine d’années, qui nous attendait devant la porte ouverte de
l’appartement. Elle embrassa Mouloud tendrement sur les deux joues, me regarda avec ses grands yeux
bleus et, en m’envoyant un large sourire lumineux, me dit «Marhaba !»
Elle m’avait souhaité la bienvenue en arabe, mais elle avait un accent à couper au couteau. Un
accent de l’Europe de l’est. Une russe, me dis-je en moi-même, avec au fond de moi un fort pincement
au cœur. Un pincement de jalousie. La femme était vraiment superbe! Elle ne portait qu’une petite
tenue d’intérieur coquine, qui ne cachait rien de son anatomie et de ses appâts naturels. Et des
appâts, elle en avait à revendre, qui apparaissait dessous sa nuisette dont la couleur noire mettait
en valeur sa blondeur naturelle et la blancheur de sa peau. En dessous, elle ne portait rien, sinon
un string, lui-aussi de couleur noire, qui se devinait plus qu’il ne se voyait sous la soie sombre
de la nuisette. D’évidence, elle avait été une grande sportive dans sa jeunesse ; elle en gardait la
musculature et même l’allure. Elle était grande –plus grande que moi d’au moins cinq centimètres -
avec des épaules larges, une taille qui s’était un peu alourdie (probablement l’effet d’un sport,
dont elle avait arrêté le pratique intensive) mais dont les chairs semblaient encore très fermes,
des hanches larges, de longues jambes superbement galbées et des fesses rondes, rebondies et fermes.
Je ne parle pas de sa poitrine généreuse, dont les seins nus sous la nuisette, pointaient vers
l’avant, tels de merveilleux obus de canons.
Je ne pus empêcher un brin de jalousie venir s’insinuer en moi. Je ne m’étais jamais réellement
considérée comme une femme très belle. J’avais toujours su que j’étais jolie et que je plaisais aux
hommes. Je savais aussi que je faisais bander beaucoup de mes collègues. J’avais été confortée dans
cette idée par l’état d’érection permanente de Mouloud quand il était avec moi. Mais en voyant la
bombe blonde qui se tenait devant nous, je me sentais laide. Et surtout je commençais à douter de
moi. Ni Mouloud, ni quelqu’un d’autre ne pouvait flasher sur moi, à côté d’une aussi belle plante.
Surtout que tout en elle indiquait un immense appétit de sexe. Ses immenses eux bleus azur
brillaient de concupiscence à la vue de mon pirate. Sa grande bouche ouverte sur des quenottes
d’animal prédateur et ses lèvres magnifiquement ourlées, ressemblant comme deux gouttes d’eau à une
magnifique chatte qui feraient bander n’importe quel homme, étaient de vrais pièges à fantasmes.
Mouloud ne m’avait rien dit auparavant de la beauté de la femme. En fait, il ne m’avait rien dit du
tout sur les personnes qui vivaient dans cet immense appartement. Il m’avait seulement dit qu’il
s’agissait d’un homme et d’une femme aux mœurs particulières.
- Je te présente Raïssa. Elle est ukrainienne. Voici Kamila, la belle femme dont je t’ai
parlée !
- Bonsoir ! Fit-elle avec son délicieux accent slave. Mouloud m’a beaucoup parlé de toi ! Il
n’avait pas tort, tu es vraiment magnifique ! Mohand va se régaler ! Comment me trouves-tu ?
- Superbement belle ! Je suis jalouse ! Qui est Mohand ?
- Mon mari ! Il attend à l’intérieur. Suivez-moi.
Elle nous devança en balançant son superbe cul (certainement pour aguicher Mouloud, qui ne la
quittait pas des yeux) et nous amena vers un immense salon dans lequel se trouvait, assis sur un
immense canapé, un homme d’une quarantaine d’années, qui, malgré sa position assise, me paraissait
très grand. Au premier regard, je sus qu’il était kabyle : la blancheur de sa peau, la forme de son
long nez, si caractéristique aux hommes de la région et surtout, dès qu’il se mit à parler, à son
accent chantonnant. Raïssa fit les présentations, et sans plus s’occuper de moi, prit Mouloud par
la main et l’entraîna dans une autre chambre.
Je restais seule avec Mohand. L’homme, qui s’était levé pour m’accueillir, tendit sa main - qui me
semblait avoir les dimensions d’une raquette de tennis - et déposa un léger baiser sur le dos de la
mienne, à l’image des baisemains pratiqués dans les sociétés aristocratiques occidentales. Il
semblait très à l’aise. La position debout qu’il avait maintenant, confirma qu’il était très grand ;
une taille proche du mètre quatre-vingt-dix, jaugeai-je sur le moment. Il était vêtu d’une espèce
de peignoir – en forme de kimono - en soie (ou en satin) de couleur bleu-foncé, qui s’arrêtait
juste au dessous des genoux et qui mettait en évidence ses formes athlétiques: des épaules larges,
une taille fine, des hanches étroites. Il se dégageait de lui une forte impression de puissance ;
une espèce de force tranquille. Son visage taillé à la serpe était remarquable. Il était loin d’être
beau, mais il se dégageait de lui un véritable charme. Je ne sus pas immédiatement ce qu’il avait de
particulier, qui le rendait auissi attirant : sa grande bouche gourmande, légèrement posée de
travers sur son visage ; ses petits yeux ronds, brillants et moqueurs ; son front haut et dégagé ;
son menton vigoureux ; ses cheveux coupés courts (j’appris un peu plus tard qu’il était officier
supérieur dans l’armée). C’était probablement tout cela, mis ensemble, qui formait un cocktail
rendant l’homme particulièrement intéressant et, pour moi, super attirant.
Nous discutâmes quelques minutes de la pluie et du beau temps. Il cherchait certainement à me mettre
à l’aise et ne pas m’effaroucher en se jetant sur moi comme une bête mal éduquée. Il me parla aussi
de Raïssa et de la manière dont ils s’étaient connus et mariés. Il m’apprit qu’elle était
ukrainienne et qu’il l’avait épousée alors qu’il faisait ses études à l’académie militaire de Kiev,
il y avait une quinzaine d’années. Puis, petit à petit, il amena la discussion sur le seul terrain
qui comptait pour nous deux : le sexe.
- Tu sais ce qu’ils sont entrain de faire dans la chambre à côté ?
- L’amour ?
- Non, ils sont entrain de baiser comme des bêtes ! Raïssa a tout de suite flashé sur la belle
queue de Mouloud. Et surtout de sa manière particulière de s’en servir.
- Pourquoi, la tienne n’est pas aussi imposante ?
- Tu veux voir ?
- Bien entendu ! Je suis ici pour ça ! Mouloud m’a assuré que j’allais vivre des moments
exceptionnels avec toi ! Tu me montres ?
Je ne savais pas ce qui s’était passé en moi. Je ne me reconnaissais plus ! J’étais devenue, après
une seule nuit passée avec Mouloud, une espèce de garce qui utilisait, presque naturellement, le
vocabulaire des garces. Et, plus grave encore, leur comportement ! Et le pire, c’était que je me
sentais parfaitement à l’aise. Il n’y avait pas la moindre gêne en moi. C’était comme si j’avais
toujours vécu ainsi : comme une pute ! Une qahba ! La preuve ? Je n’attendis même pas qu’il fasse le
moindre geste pour se dénuder. Je m’en occupai moi-même. Je tendis les mains vers la ceinture en
soie (ou en satin ; je ne savais pas faire la différence) et la défis en un clin d’œil. J’écartai
les pans du peignoir et découvris le côté face du corps nu de l’homme. Il était exactement comme je
l’avais deviné sous le tissu : tout en muscles fins et sans un seul gramme de graisse. Ses épaules,
ses muscles pectoraux, ses muscles abdominaux, ses cuisses, étaient celles d’un homme qui
pratiquait, régulièrement et intensément, un sport pour entretenir son corps. Un militaire qui
éliminait systématiquement toutes les toxines des repas trop consistants du mess (ou de sa femme) et
qui gardait une forme irréprochable.
Et entre ses jambes, l’objet de mes fantasmes ! Un magnifique zob en érection, aussi imposant que
celui de Mouloud, mais avec une forme différente. Un véritable sabre recourbé, une espèce de
yatagan, avec un gland très large, en forme de tête de champignon. Et il bandait très fort ! Il
était dressé vers le plafond. Il paraissait très ferme et très dur. Et il frémissait ! L’homme avait
gardé une légère touffe de poils noirs sur son pubis, mais tout le reste de son sexe - la hampe et
même les bourses - était soigneusement épilé. Je jubilais en pensant à tout ce que ce sabre-là
allait me donner comme plaisir. Je tendis la main pour le tâter et le caresser. Mohand me laissa
faire un court moment, puis pris ma main pour lui imposer un mouvement de masturbation en douceur.
Je le regardais dans les yeux pendant que je le branlais légèrement. Je voyais à son sourire et aux
petits gémissements presque inaudibles qu’il poussait, qu’il aimait cette entrée en matière. Il
semblait de plus en plus excité et son sabre palpitait de plus en plus fort sous ma main.
Je me demandais comment les choses allaient évoluer. Qu’est-ce qu’il voulait me faire – ou que je
lui fasse - en priorité. J’étais tentée de me mettre tout de suite à genoux devant l’homme et de
m’occuper de le faire jouir avec ma bouche. D’un autre côté, je voulais voir - et sentir - le
magnifique engin prendre possession, à la hussarde, de l’un de mes trous. Je coulais littéralement.
Je sentais ma culotte qui se mouillait et qui avait du mal à retenir tout le jus que ma chatte,
palpitante de désir, produisait. Ce fut Mohand, qui régla le problème en me susurrant à l’oreille :
- Bright en-nikek bel wagfia ! (Je veux te baiser debout !)
Je me fis la réflexion que je n’avais encore jamais été baisée comme cela ; debout. Même pas par
Mouloud. Cette idée d’être tirée dans cette position s’insinua dans mon esprit et accentua encore
plus mon excitation. Je voulais qu’il le fasse sans plus tarder.
- Nik-ni bel wagfia ! Dekhel sif taâek fi sawti! Khardjouh men foumi! (Baise-moi debout!
Introduit ton sabre dans ma chatte ! Fais-le ressortir par ma bouche !)
Mohand était aussi impatient que moi. Il voulait me tirer et jouir, sans plus attendre. Je sentais
qu’il voulait y aller en fore. Qu’il voulait prendre son plaisir en me faisant mal. Qu’il voulait me
prendre brutalement, sans même me déshabiller ! Sans même m’enlever la culotte ! Il voulait y aller
brutalement. Je le voyais à son regard qui perdait de sa douceur et devenait dur. Je le voyais à son
sourire qui avait disparu et qui avait été remplacé par un rictus inquiétant. Beaucoup plus tard,
j’avais fini par comprendre que c’étaient les rondeurs presque impudiques de mon corps (mon cul
surtout !) et ma manière de me tenir et de bouger qui déclenchaient chez les mâles, qui me
regardaient ou me parlaient, l’envie de me tirer à la hussarde. C’était ce genre de sentiment que je
déclenchais invariablement chez les hommes. J’étais le genre de femme faite pour être brutalisée.
Qu’il fallait prendre à la hussarde, pour bien lui montrer qui était le maître. Et Mohand ne faisait
pas exception. Mais il me semblait qu’il hésitait un peu, pensant que je n’allais pas apprécier son
comportement de brute. Le pauvre ne savait pas encore que j’adorais être brutalisée et avoir mal.
- Wech testena ? Werili qouwat zebek ! Dekhel‘hou-li ! (Qu’est-ce que tu attends ? Montre-moi
la force de ton zob ! Enfonce-le moi !)
Il souleva le bas de ma jupe pour la remonter sur mon ventre, attrapa ma jambe droite en dessous du
genou, la remonta très haut, et me souleva d’environ une dizaine de centimètres au dessus du sol,
pour pouvoir mettre ma chatte au niveau de son piston recourbé. Sa main gauche s’insinua entre mes
cuises et farfouilla un moment à la recherche de la meilleure manière d’écarter ma culotte pour
permettre à son gourdin de prendre possession de ma chatte. Il y arriva, non sans peine. Et puis
tout chavira ! Je sentis mon homme qui plia un peu les genoux pour se mettre sous moi et guider la
tête de son engin entre mes grandes lèvres dégoulinantes de mouille. D’un coup violent, il me
pénétra jusqu’au fond de mon vagin. Je poussai un hurlement, tant la pénétration avait été brutale
et douloureuse. Moi qui voulais sentir la force du sabre, j’étais servie ! La position verticale
ajoutait beaucoup d’intensité à la force de l’engin qui limait furieusement les parois de mon vagin.
Mouloud aussi m’avait fait mal en me tirant furieusement l’avant veille. Il m’avait même éclaté le
cul sans aucune précaution, en me déchirant littéralement le sphincter. Mais les douleurs de cette
nuit n’étaient rein à côté de celle que provoquait le sabre qui était entrain de me déchirer la
vulve. La forme courbée du monstre devait certainement augmenter sa force de pénétration. Mohand
allait et venait en moi, en soufflant comme un phoque. A chaque pénétration, il poussait un « han !
» aussi sonore que ceux que devait pousser un bûcheron qui s’attaquait à un arbre centenaire. Il ne
disait rien de vraiment compréhensible. Il marmonait entre ses dents des mots que j’avais du mal à
distinguer clairement. Il me semblait qu’il me traitait de tous les noms d’oiseau, pendant qu’il me
défonçait le con. Je devinais, plus que je n’entendais :
- Cheddi ya qahba ! Cheddi zebi ! Et-habi zeb ! En-tiya qahba ! Gouli-li « ana qahba » ! Gouli
! (Attrape espèce de pute ! Attrape mon zob ! Tu aimes le zob ! Tu es une pute ! Dis-moi « je suis
une pute » ! Dis-le !)
Mon excitation, déjà à son paroxysme, augmenta d’un cran à l’écoute des mots à peine audibles, crus
et avilissants que Mohand prononçait, plus pour lui-même que pour moi. J’avais envie de lui répondre
sur le même registre, mais je n’osais pas encore. J’avais envie de lui hurler de pousser encore plus
fort et de sortir son immense zob par ma bouche. J’avais envie de hurler les mots crus qui me
venaient à l’esprit et qui avaient du mal à sortir de ma bouche. Je me contentais pour le moment de
pousser un cri de satisfaction à chaque fois que le sabre de mon homme pénétrait en force dans mon
tunnel. J’écoutais le bruit impudique que faisait le sabre de Mohand en allant et venant dans mon
vagin. Il devait y avoir plusieurs litres de jus à l’intérieur. Mon vagin était devenu une usine à
produire de la cyprine, que je sentais s’échapper de dessous mes grandes lèvres et aller s’étaler
par terre. Les clapotis que j’entendais ajoutaient de l’intensité au plaisir que je prenais et à
mon désir de hurler pour pousser mon homme à y aller encore plus fort. Et puis n’y tenant plus, je
me mis à débiter, en haletant, des bribes de phrases qui avaient du mal à sortir de ma bouche, tant
mes pensées se télescopaient dans ma tête.
- Zid ! Zid ! Zid edjbed ! Zid nik qahb-tek ! Qahba ! Wellit qahba ! En-hab en-koun quahba !
En-hab zebek ! En-heb zboub kima en-taêk ! Nik-ni ! Zid nik-ni ! (Encore ! Encore ! Tire encore !
Continue de baiser ta pute ! Pute ! Je suis devenue une pute ! J’adore être une pute ! J’adore ton
zob ! J’adore les zobs comme le tien ! Nique-moi ! Continue de me niquer !)
Le magnifique sabre recourbé de Mohand continuait de me défoncer la vulve avec force et brutalité.
Le large gland, en forme de tête de champignon, qui le terminait, limait mon vagin avec fureur. Non
seulement, il continuait de me faire mal à chacune des pénétrations brutales, mais en plus, les
frottements incessants du gland sur les parois de mon vagin transformaient l’engin en véritable
tison incandescent. J’avais mal. Mais que cette douleur était agréable ! J’étais accrochée à la
nuque de Mohand comme une noyée s’accrochait à une planche de salut. Et je continuais de recevoir
avec délectation, ses coups de boutoirs de plus en plus forts et rapides. Je sentais qu’il
fatiguait: il me portait depuis maintenant une dizaine de minutes; et je pesais assez lourd. Je
sentais qu’il était sur le point de jouir. Mais moi je voulais que cela dure encore longtemps.
- Ma tefegharch dhork ! Estena chouya ! Kemal ‘hakdha ! Kemal nik-ni belwagfiya ! En-mout aâla
nika bel wagfiya ! Khelli qahbetek et-faghar keblek ! Zid nik ‘ha ! En-has zebek ki seffoud fi
saouwti ! Khardjouh men foumi ! (Ne décharge pas tout de suite ! Attend encore un peu ! Continue
comme-ça ! Continue de me baiser debout ! J’adore la baise debout ! Laisse ta pute jouir avant toi !
Continue de la baiser ! Je sens ton zob comme un tison incandescent dans ma chatte ! Fait-le sortir
par ma bouche ! )
Mohand revigoré par la teneur fortement érotique de mes paroles, reprit de plus belle son pilonnage
de ma chatte. Et il se mit lui-même à lâcher un flot de paroles crues, en écho aux miennes. Ce fut,
je crois une merveilleuse cacophonie de mots et de bribes de phrases indécentes, qui ajoutèrent une
très forte dose à l’intensité du plaisir que nous vivions.
- Cheddi zeb ! Zzzzeeeeb ! Zzzzebiiiiiiiiii ! Zebi fi saouwtek ! Saouwtek ! Achal mliha saouwa
! M’liha saouwtek ! Emb’aâed en-nikek melour ! Men gaârek ! Ki en-kemal be saouwtek, en-kessar-lek
gaârek! Zebi yehab i-nik ensa! (Attrape un zob ! Zzzzzob ! Zzzzobiiiiiiiiii! Mon zob dans ta chatte
! Ta chatte ! Comme c’est bon une chatte ! Ta chatte est super bonne ! Après, je vais te tirer par
derrière ! Par ton cul ! Quand j’en aurai fini avec ta chatte, je te défoncerai le cul ! Mon zob
adore niquer les femmes !)
Les mots et les phrases qu’il prononçait, en me tirant avec de plus en plus de force, eurent sur moi
l’effet d’un puissant aphrodisiaque. Mon excitation et mon plaisir grandissaient avec les mots qui
sortaient de sa bouche. Et j’y répondais, sur le même ton !
- Zzzzeb ! Zzzzzeb ! Zzzzeb ! En-hab ezzzzzboub!
Je sentais le plaisir monter, monter et continuer de monter très haut en moi, jusqu’à atteindre des
sommets que je n’avais encore jamais atteints de ma vie. Et puis l’orgasme arriva avec la force
d’un torrent en furie. Je m’accrochais encore plus fort à la nuque de mon homme et posai ma tête sur
son épaule. J’eus tout de suite envie d’y mordre à pleine dents. Ce que je fis, sans même me poser
la question de savoir si cela allait lui plaire. Il me faisait très mal et j’adorais ! Je lui
rendais la pareille en mordant dans la chair de son épaule gauche ! Il n’allait tout de même pas me
reprocher de lui rendre la pareille et d’y prendre du plaisir ! Je le sentis qui se crispa une
fraction de seconde, avant de reprendre le pilonnage intensif de mon vagin. Et soudain, je
déchargeai. Je retirai mes dents plantés dans l’épaule de mon amant et me mis à hurler comme une
folle des dizaines de « oui ! » de jouissance, qui finirent dans un souffle pratiquement inaudible.
Je me sentis entrainée dans un tourbillon qui tournait de plus en plus vite autour de moi et
m’emmena rapidement au bord de l’apoplexie. Si je n’avais été retenue par le mur contre lequel
Mohand m’avait plaquée et immobilisée et, s’il ne m’avait pas empoignée le dessous du genou pour
remonter ma jambe, j’aurais chuté lourdement par terre, tellement je mes muscles étaient tétanisés.
Mohand continuait à aller et venir dans ma chatte en grognant et en prononçant des mots que je
n’entendais presque plus, tant ils semblaient avoir de la peine à dépasser la limite de ses lèvres.
Il était toujours question de « Qahba ! », de « Zeb ! », de « Hatchoun ! » de « Zal ! » (« Pute »,
« Zob ! », « Chatte ! », « Sperme ! ») . Et puis, tout s’arrêta subitement. Il y eut un silence qui
dura une fraction de seconde, mais qui me sembla une éternité, puis un rugissement de lion sortit de
la gorge de l’homme, qui se mit à éjaculer des litres de spermes, en plusieurs giclées, à
l’intérieur de ma chatte. Je sentis le liquide qui ressortait, traçait un sillon le long de ma jambe
gauche et allait s’étaler par terre sur le carrelage.
Vaincu par la fatigue, il sortit son sabre, toujours en érection, de ma chatte et me déposa par
terre. Il tomba à genoux, en m’entraînant avec lui. Il ne voulait pas me lâcher. Il s’allongea sur
le carrela et me serra très fort contre lui. J’étais maintenant allongée sur lui. Il bandait
toujours aussi fort. Son sabre était resté entre mes cuisses. Je le sentais qui continuait de
palpiter. Je me fis la réflexion que le zob de cet homme devait être fait en acier; pas en chair !
Nous restâmes ainsi fortement enlacés quelques minutes, puis je sentis les mains de Mohand se mettre
en mouvement et aller à la recherche de mes fesses et de mon cul.
Il me susurrait à l’oreille qu’il avait encore envie de moi et qu’il voulait maintenant me
sodomiser. En fait il n’utilisa pas cette terminologie; il me dit simplement qu’il avait envie de me
baiser par derrière ; « melour ! ». C’était, me semblait-il, une formule qui l’excitait plus que le
mot plus juste de « sodomiser ». Certains mots et formules crus, dits en arabe (ou en kabyle)
avaient sur Mohand un très fort effet aphrodisiaque. Tout en continuant de parler de mon cul («
aquerquourim » en kabyle), de mes fesses (« tramek » en arabe), de mon trou de balle (« gaârek » en
arabe), il farfouillait le long de la raie de mes fesses à la recherche de mon anus. Je sentis un
doigt qui s’arrêta longuement à l’entrée de mon anus et qui s’y insinua.
- Qahba, trig mehloul ! Mehloul bezzaf ! Mouloud li hel ‘houlek ‘hakda ? Hebiti? (Pute, le
chemin est déjà ouvert ! Très ouvert ! C’est Mouloud qui a ouvert la voie comme cela ? Tu as aimé ?)
- Mouloud li tarteg-li gaâri ! Ou mazel yewdjaâ fiya ! Ma nen-djamch ne gouaâd ! Ou en-ta
tezzid-li ! Bezeb ‘hadha teqtel-ni ! (Mouloud qui m’a éclaté le cul ! Et il me fait encore très mal
! Je ne peux même plus m’assoir ! Et toi, tu veux ajouter à la douleur ! Avec un tel zob, tu vas me
tuer !)
Mohand ne fit pas de commentaires sur la douleur qu’il allait m’imposer. J’étais sûre que cette
perspective le faisait bander encore plus. Il se leva, me tendit la main pour me faire lever moi
aussi et me porta jusque sur le canapé, qui se trouvait à quelques mètres de nous. Il me fit assoir,
releva les pans de ma jupe qu’il roula en boule sur le bas de mon ventre (je me rendis subitement
compte que, pendant tout le temps que nous avions passé ensemble, il n’avait jamais cherché à me
déshabiller) et m’arracha violemment la culotte. Je ne me posais aucune question. J’attendais.
J’attendais impatiemment la suite. Je me demandais seulement comment il allait s’y prendre pour
m’enculer dans cette position. Mouloud, pour me sodomiser m’avait mise à quatre pattes. Mohand, lui
voulait le faire dans une autre position. Il empoigna mes chevilles et me fit lever les jambes et
les replia de part et d’autre de ma poitrine.
Il avait ainsi une vue totale sur ma chatte, encore toute dégoulinante et sur mon anus que je
sentais palpiter. Il allait m’enculer dans cette position ! En jubilant, je me fis la réflexion que
j’allais pouvoir admirer le magnifique sabre qui entrera et ressortira de mon cul. Jusque là je
n’avais fait que le sentir en moi. Maintenant j’allais pouvoir le regarder prendre possession de
moi. Ce sera certainement délicieux ! Et ce le fut !
Mohand plongea trois doigts dans ma chatte pour y recueillir une bonne dose de mouille, qu’il étala
autour de mon anus palpitant. Il refit l’opération une deuxième fois en introduisant cette fois-ci
deux doigt dans mon cul pour le lubrifier quelque peu, puis sans autre forme de procès, posa son
gland, en forme de tête de champignon, au milieu de mon anneau et donna une forte poussée à ses
hanches.
- Khoudi ya qahba ! Khoudhi sif en-taâ Mohand ! Dhork ikessarlek gaârek ! Akemi chareggh ! Ami
chereggh akhouzidh-im ! (Prends espèce de pute ! Prend le sabre de Mohand ! Il va te démolir le cul
! Il va te déchirer ! Il va te déchirer le cul !)
Il utilisait indifféremment l’arabe et le kabyle pour me montrer l’étendue de son désir. Dès qu’il
pénétra dans mon anus, le sabre de Mohand avait réveillé la douleur de l’avant-veille. J’avais le
cul en marmelade. Mais mon Dieu ce que le spectacle de ce magnifique vit qui entrait et sortait de
mon trou était divin ! Il n’y avait rien de plus délicieux que le plaisir que me donnait cet immense
zob qui prenait possession de moi, qui emplissait mon boyau, me faisait atrocement mal en frottant
violemment sur la paroi rectale et me brûlait comme un tison incandescent. Le spectacle de ce zob
qui entrait et sortait de mon cul, ajoutait une très forte dose à l’intensité du plaisir qui
m’envahissait. La douleur que je ressentais à chaque pénétration était neutralisée par la merveille
du spectacle que j’avais sous les yeux. Mohand faisait maintenant sortir totalement son engin de mon
cul, attendait une fraction de seconde, pour que je profite du spectacle, et repartait à l’assaut de
mon boyau avec encore plus de brutalité que la fois précédente. Et il accompagnait chaque poussée
par un commentaire presque insultant pour moi, mais tellement excitant !
- Khoudi ya qahba ! Khoudhi zeb sidek ! (Prends, espèce de pute ! Prends le zob de ton
seigneur !)
J’étais au paradis ! Je pensais avoir connu, l’avant-veille avec Mouloud, le paroxysme du plaisir,
et je ne pensais pas qu’il pouvait y avoir plus que cela. Pourtant, Mohand trouva le moyen d’ajouter
une dose supplémentaire au plaisir. Il prit ma main et la guida vers ma chatte. Il lui imprégna un
mouvement montant et descendant entre mes grandes lèvres.
- Heki saouwtek ! Benyetti ‘ha ! (Caresse-toi la chatte ! Branle-la !)
Il voulait que je me masturbe en même temps qu’il m’enculait. Cette idée me parut tout de suite
merveilleuse. J’introduisis trois doigts dans mon vagin et me mis à me branler énergiquement. Une
double pénétration ! La sensation que me procuraient le sabre de Mohand allant et venant
furieusement dans mon cul, en y allumant un véritable incendie et mes doigts qui faisaient le même
mouvement dans mon vagin, étaient indescriptible. Le paradis sur terre ! Et le frottement de mes
doigts sur l’engin de Mohand, à chaque fois qu’ils se croisaient à travers les parois rectale et
vaginale, créait en moi - en nous - une forte décharge qui nous faisait tirer à tous les deux un
immense rugissement de plaisir.
J’aurais donné le reste de ma vie pour que cela dure longtemps, très longtemps. Mais aucun de nous
deux ne put arrêter l’orgasme qui fonçait sur nous, tel un ouragan. Ce fut moi qui déchargeai la
première. J’avais l’impression de mourir, tant la sensation de plaisir était immense ! Je haletais
fortement et avais ouvert la bouche très grande pour avaler un maximum d’air, comme si j’avais peur
de mourir étouffée ! Je ne sentais plus les battements de mon cœur. Je crus un moment qu’il s’était
arrêté. Ma bouche dégoulinait de bave ! Et je hurlais ! Les mots se bousculaient dans ma bouche et
n’arrivaient pas à sortir dans un ordre compréhensible. Des tas d’images et d’idées me traversaient
l’esprit, que je n’arrivais pas à exprimer avec des phrases ou des mots. Tout ce qui pouvait sortir
de ma bouche, c’était une série de « oui ! », qui me semblait-il, suffisaient à exprimer tout mon
plaisir. Tout le plaisir que je prenais à me faire enculer par Mohand et à me masturber en même
temps.
Mohand qui pendant tout ce temps continuait imperturbablement à pilonner mon cul en me traitant de «
qahba ! », attendit la fin de mon orgasme pour prendre la relève et décharger dans un rugissement
d’enfer à l’intérieur du boyau. Je le sentais qui se remplissait de foutre brulant et épais ; il
ressortait à l’extérieur à chaque aller-retour du sabre à l’intérieur de mon cul. Il déversa comme
cela, en plusieurs giclées successives, une quantité incroyable de sperme. Je pensais qu’après sa
première éjaculation dans ma chatte, il ne devait plus avoir beaucoup de sperme. Et bien, je m’étais
trompée encore une fois ! Ce diable d’homme était une vraie fabrique de foutre ! Quand il se retira,
il resta un long moment à regarder le liquide blanc et visqueux qui s’échappait de mon anus, pour
aller s’étaler sur le carrelage en dessous du canapé.
Mohand était sorti de mon cul. Mais il continuait de bander. Le zob de mon homme tenait encore la
super forme ! Dans ma tête, plein de choses se bousculaient. Je me disais que l’homme allait me
baiser plusieurs fois encore et qu’il allait me transformer en chiffe molle, sans tonus et énergie.
Je commençais même à me dire que je ne serais pas à la hauteur de ses désirs. Je pensais sincèrement
être devenue depuis quarante-huit heures une véritable nymphomane. Mais au contact de la résistance
surhumaine de Mohand, je me rendis vite compte qu’il me restait encore beaucoup de chemin à
parcourir.
- Tu es fatiguée ? Repose-toi un peu. Tu n’en as pas encore fini ave nous !
- Avec vous ?
- Oui avec nous !
C’était une voix féminine, avec un fort accent, qui venait de résonner. Je levais les yeux et vis
Raïssa, superbe dans sa nudité, qui se tenait debout devant nous, avec à ses côté Mouloud – lui-même
tout nu. Je n’arrivais pas à quitter des yeux, le superbe corps de la femme. Elle avait tout –
absolument tout – de la vamp hollywoodienne : la blondeur et la blancheur de la peau ; des seins
fermes de jeunes filles, de bonne taille, projetés en avant, tels des obus de canon ; un ventre qui
avait pris un peu d’épaisseur, mais qui était encore plus sensuel que le ventre extra plat qu’elle
devait avoir, il y a encore peu de temps; des hanches larges formant avec ses épaules un 8 presque
parfait ; des fesses de pouliche, rondes, brillantes et fermes; des jambes longues parfaitement
dessinées, avec des genoux ronds et brillants et des cuisses fermes et superbement galbées. Et
merveille des merveilles ! Un mont de vénus bombé, sans la moindre trace de poil et une chatte aux
grandes lèvres longues et dodues en forme de quartiers d’orange, avec à son extrémité basse, un
petit orifice en forme de triangle.
C’était Vénus en personne ! J’étais bien contente d’être encore toute habillée. Je me voyais mal
toute nue, à côté de cette femme parfaite. J’aurais eu honte, tant je me serais sentie laide en
comparaison. Je ne quittais pas des yeux son entrecuisse, qui, me semblait-il, avait gardé des
restes de sperme et de mouille qui continuaient de dégouliner. Elle avait sur les lèvres un sourire
carnassier et, dans les yeux, une lumière mystérieuse qui brillait. Elle-même était entrain de
regarder ma chatte, qui était restée toute nue exposée aux regards des deux hommes et de la femme et
qui brillait elle aussi de mouille. Inconsciemment, j’avais gardé la même position que celle dans
laquelle Mohand m’avait enculée.
- Il t’a prise par derrière ? Il t’a certainement fait très mal ! Moi chaque fois qu’il
m’encule, il me fait hurler de douleur ! Il a une si grosse queue! Tu as un beau cul ! Je vais te
le sucer ! Tu veux ?
Je ne m’attendais pas à une telle proposition ! La femme était bisexuelle ! Et moi je n’avais jamais
eu auparavant, d’aventure avec une femme ou une fille. Je n’y avais même jamais pensé. Et l’idée que
la superbe femme qui était devant moi voulait me sucer le cul – puis certainement la chatte – me
paraissait bizarre. Je regardais tour à tour Mohand et Mouloud, comme pour leur demander ce que je
devais faire. Ce fut Mouloud qui m’encouragea, en me disant que Raïssa était une amante superbe et
qu’elle allait me faire vivre d’autres sensations exceptionnelles.
Je n’eus pas le temps de dire quoi que ce soit. L’Ukrainienne se mit à genoux devant moi et plongea
sa tête entre mes cuisses. Je sentis immédiatement sa bouche qui se posa, telle une ventouse, sur
mon anus et qui se mit à aspirer tout le liquide qui y était resté, entre le sperme de son mari et
mes sécrétions à moi. Aujourd’hui encore je suis parfaitement incapable de décrire les sensations
bizarres que me procura la bouche – puis la langue – qui farfouillait autour et à l’intérieur de mon
cul. En même temps, elle me chatouillait et me donnait une irrésistible envie de rire, et d’un autre
côté – surtout quand sa langue essayait de pénétrer à l’intérieur de mon anus – elle me faisait un
bien fou. Elle me délassait et enlevait toute la fatigue qui s’était accumulée en moi, depuis que
j’étais devenue la proie du fabuleux sabre de Mohand. Je ne pus empêcher une main, puis l’autre, de
se poser sur la nuque de la femme, pour la forcer à rester le plus longtemps possible, dans la
place.
Raïssa, continua pendant quelques minutes à me lécher l’anus, puis elle fit remonter sa tête et sa
bouche vers ma chatte, à laquelle elle appliqua le même traitement. Mouloud m’avait déjà initié au
cunnilingus et j’avais adoré. Mais celui pratiqué par la bouche de Raïssa était d’un genre différent
: plus doux et moins brutal. Plus féminin ! Ses lèvres se promenaient doucement le long de ma fente
; elles montaient et descendaient lentement, sans trop insister. Elles laissaient à sa langue, agile
et pointue, le soin de faire tout le travail de titillement de ma chatte et, surtout, de mon
clitoris qui avait durci sous l’effet de l’excitation. Je sentais le désir revenir en moi à la
vitesse d’un torrent en crue. Je me mis à bouger mes hanches, pour suivre les mouvements de ses
lèvres et de sa langue à l’intérieur de ma chatte.
Raïssa ne se contenta pas de m’entreprendre avec sa bouche ; très vite, je sentis sa main
farfouiller entre mes fesses et aller à la rencontre de mon anus. Elle y introduisit deux doigts et
se mit à me branler vigoureusement le cul. Je n’arrivais plus à me retenir. Non seulement
j’accompagnais sa bouche et ses doigts par un mouvement circulaire de mes hanches pour accroître
l’intensité du plaisir que je ressentais, mais en plus, je me mis à hurler, des « oui » sonores,
tout en regardant Mouloud et Mohand, debout devant nous, se caresser le zob, en observant le
spectacle de deux femmes entrain de se faire plaisir.
- Lahsil‘ha hatchoun‘ha heta en-tiya !! (Lèche-lui la chatte, toi aussi!)
C’était Mohand qui m’ordonnait de m’occuper, moi aussi, de la belle chatte de Raïssa. Cela me parut
une excellente idée. Je tirais sur les cheveux blonds de ma partenaire, pour lui faire relever la
tête et lui demander de se retourner, pour que l’on se retrouve toutes les deux en position tête-
bêche. Elle eut un merveilleux sourire de contentement et fit ce que je lui demandais. Nous nous
retrouvâmes ainsi nos deux têtes plongées chacune entre les cuisses de l’autre. La chatte de Raïssa
sentait si bon ! Elle avait en même temps le parfum naturel d’une chatte bien entretenue et celui du
sperme de Mouloud, dont elle dégoulinait encore. Je me mis à lécher et avaler et le foutre qui se
trouvait encore à l’intérieur du vagin et tout le jus que la femme sécrétait naturellement. C’était
absolument délicieux ! D’autant que je sentais que de son côté, l’Ukrainienne appréciait ce qu’elle
trouvait à l’intérieur de ma chatte et qu’elle avalait goulument.
Nous continuâmes comme cela pendant longtemps: Raïssa était au dessus de moi, et, bien entendu, moi
j’étais en dessous d’elle. Nous léchâmes, aspirâmes et avalâmes tout le jus qu’elle et moi
produisions en grande quantité. J’étais au Paradis : un paradis différent de celui que j’avais connu
avec mes hommes – Mouloud et Mohand, et même avec Rachid, mon mari. Celui dans lequel m’avait amené
le cunnilingus de la femme était plus calme, plus doux, moins violent et moins brutal. Mais le
plaisir que je prenais était aussi intense ! Je gigotais pour frotter plus fort ma chatte sur la
bouche gourmande de Raïssa ; elle en faisait de même sur la mienne. Je sentais arriver l’orgasme.
C’était la même sensation que m’avait procuré mes deux amants quand ils m’avaient emmenée vers les
cimes du plaisir : le cœur qui battait la chamade ; le souffle qui devenait de plus en plus court et
qui donnait l’impression de manquer d’air ; la sensation que le monde tourbillonnait autour de moi
et me précipitait vers des profondeurs abyssales; et cette étrange impression d’être très proche de
l’évanouissement.
Et Raïssa était dans le même état que moi. Nous déchargeâmes ensemble, chacune dans la bouche de
l’autre. Je coulais comme une fontaine et mon amante en faisait de même. Nous bûmes goulument,
jusqu’à la dernière goutte, tout le jus que nos chattes avaient produit. Puis nous nous affalâmes,
rassasiées et heureuses, gardant pendant un long moment nos têtes entre les cuisses où elles étaient
fourrées. Ce fut le moment que choisirent les hommes pour se mêler à nous.
Mohand prit sa femme par les hanches, la força à se mettre à quatre patte sur le canapé et entreprit
de la tirer en levrette. Mouloud en fit de même avec moi. Je ne savais pas dans quel état était
Raïssa, mais moi j’étais morte de fatigue. Au moment où Mouloud me força à me mettre en position de
levrette, j’étais presque déçue : je me disais que je n’allais rien ressentir et surtout, que je
n’allais lui donner aucun plaisir. Mais au bout de quelques secondes – au moment où le gourdin de
Mouloud pénétra dans ma chatte et que sentis les bras puissants de l’homme tirer sur mes hanches
pour une pénétration à la hussarde, l’excitation et le désir revinrent en trombe. J’eus un autre
orgasme aussi puissant que les précédents. Et Mouloud aussi ! Et Raîssa aussi ! Et Mohand aussi ! Le
miracle de l’érotisme, me dis-je !
Quand nous quittâmes l’appartement - il devait être près de minuit - Mouloud et moi étions sur les
genoux. Mais tellement heureux ! Il me déposa devant chez moi. Je pensais trouver Rachid entrain de
dormir. Mais non ! Il était dans la chambre, allongé, faisant semblant de lire je ne sais quelle
revue.
- Tu ne dors pas encore ?
- Non, je t’attendais ! Je suis impatient que tu me racontes ta soirée avec Mouloud et ses
amis. Ça a été bien ? Tu as pris du plaisir ? Tu as beaucoup joui ? Raconte !
- Demain ! Je suis fourbue ! Je ne tiens plus debout ! Tu es déçu ?
- Non mais je veux vraiment que tu me racontes. Je veux tout savoir sur les sensations que tu
as eues ; sur les capacités sexuelles de tes amants. Tu ne t’es pas lavée j’espère ! Dis-moi que tu
es encore pleine du sperme de tes amants ! Dis-moi que tu vas me laisser voir ! Toucher ! Lécher !
Viens mon amour ! Montre à ton cocu de mari les traces de ton bonheur !
Les paroles de Rachid avaient eu sur moi un effet très fortement aphrodisiaque. Même morte de
fatigue, je ne pus résister au désir de subir ses assauts. Et cette nuit-là encore, Rachid se
comporta en amant vraiment à la hauteur. Je n’eus aucun besoin de simuler l’énorme jouissance qu’il
m’avait procurée, en me léchant la chatte et l’anus et en avalant toutes les sécrétions qui y
étaient restées. Et en me tirant comme un taureau !
…/…
mon premier amant. Il m’expliqua qu’il voulait me faire connaître un couple ami, avec lequel
j’allais vivre d’autres moments intenses de plaisir. Il me donna rendez-vous à seize heures devant
le lycée. Il arriva à l’heure.
- Tu rencontreras des personnes merveilleuses. Je suis sûr que tu les aimeras énormément. Il
s’agit d’un couple mixte qui mène une vie érotique complètement dissolue (au regard de la morale
ambiante). Ce sont de vrais libertins, ouverts à toutes les expériences.
Mouloud ne m’en dit pas plus. D’ailleurs, je n’en demandais pas plus. Tout ce qui m’intéressait
c’était de revoir mon beau pirate et de revivre avec lui les merveilleuses sensations qu’il m’avait
fait connaître, deux nuits auparavant. Bien entendu que j’étais curieuse de faire connaissance avec
ses amis. Mais pas plus que cela ! C’était avant tout Mouloud que je voulais revoir - et revivre
avec lui les moments intenses d’érotisme qu’il m’avait fait connaître. Sa force et sa brutalité me
manquaient déjà beaucoup. Et les orgasmes successifs que j’avais eus avec lui étaient restés très
fortement imprimés dans ma mémoire. Je voulais en avoir d’autres. D’abord avec lui. Et puis, si
d’aventure, il me présentait un autre homme, du même acabit que lui, j’étais preneuse ! Mais je ne
me faisais pas trop d’illusions : des pirates comme Mouloud, j’étais certaine qu’il n’en existait
qu’un seul exemplaire.
J’avais tout faux ! Ce diable d’homme allait m’ouvrir une autre porte et me faire découvrir un autre
monde, fait de merveilles et d’érotisme torride, dont je ne soupçonnais même pas l’existence. Je ne
croyais pas qu’il pouvait exister en Algérie - pays traditionnellement puritain, traversé depuis une
trentaine d’années par un tsunami de rigorisme islamiste - des personnes vivant, certes
discrètement, dans un monde d’érotisme débridé. Il me conduisit dans un appartement situé dans un
vieil immeuble cossu, construit au centre d’Alger, pendant la période coloniale. Mouloud appuya sur
un des boutons de l’interphone situé devant le portail d’entrée du bâtiment, annonça sa présence à
la voix nasillarde qui le questionnait et j’entendis le déclic électrique qui ouvrit le portail.
Nous montâmes les larges escaliers jusqu’au deuxième étage et nous nous retrouvâmes face à une
magnifique sirène blonde, d’une quarantaine d’années, qui nous attendait devant la porte ouverte de
l’appartement. Elle embrassa Mouloud tendrement sur les deux joues, me regarda avec ses grands yeux
bleus et, en m’envoyant un large sourire lumineux, me dit «Marhaba !»
Elle m’avait souhaité la bienvenue en arabe, mais elle avait un accent à couper au couteau. Un
accent de l’Europe de l’est. Une russe, me dis-je en moi-même, avec au fond de moi un fort pincement
au cœur. Un pincement de jalousie. La femme était vraiment superbe! Elle ne portait qu’une petite
tenue d’intérieur coquine, qui ne cachait rien de son anatomie et de ses appâts naturels. Et des
appâts, elle en avait à revendre, qui apparaissait dessous sa nuisette dont la couleur noire mettait
en valeur sa blondeur naturelle et la blancheur de sa peau. En dessous, elle ne portait rien, sinon
un string, lui-aussi de couleur noire, qui se devinait plus qu’il ne se voyait sous la soie sombre
de la nuisette. D’évidence, elle avait été une grande sportive dans sa jeunesse ; elle en gardait la
musculature et même l’allure. Elle était grande –plus grande que moi d’au moins cinq centimètres -
avec des épaules larges, une taille qui s’était un peu alourdie (probablement l’effet d’un sport,
dont elle avait arrêté le pratique intensive) mais dont les chairs semblaient encore très fermes,
des hanches larges, de longues jambes superbement galbées et des fesses rondes, rebondies et fermes.
Je ne parle pas de sa poitrine généreuse, dont les seins nus sous la nuisette, pointaient vers
l’avant, tels de merveilleux obus de canons.
Je ne pus empêcher un brin de jalousie venir s’insinuer en moi. Je ne m’étais jamais réellement
considérée comme une femme très belle. J’avais toujours su que j’étais jolie et que je plaisais aux
hommes. Je savais aussi que je faisais bander beaucoup de mes collègues. J’avais été confortée dans
cette idée par l’état d’érection permanente de Mouloud quand il était avec moi. Mais en voyant la
bombe blonde qui se tenait devant nous, je me sentais laide. Et surtout je commençais à douter de
moi. Ni Mouloud, ni quelqu’un d’autre ne pouvait flasher sur moi, à côté d’une aussi belle plante.
Surtout que tout en elle indiquait un immense appétit de sexe. Ses immenses eux bleus azur
brillaient de concupiscence à la vue de mon pirate. Sa grande bouche ouverte sur des quenottes
d’animal prédateur et ses lèvres magnifiquement ourlées, ressemblant comme deux gouttes d’eau à une
magnifique chatte qui feraient bander n’importe quel homme, étaient de vrais pièges à fantasmes.
Mouloud ne m’avait rien dit auparavant de la beauté de la femme. En fait, il ne m’avait rien dit du
tout sur les personnes qui vivaient dans cet immense appartement. Il m’avait seulement dit qu’il
s’agissait d’un homme et d’une femme aux mœurs particulières.
- Je te présente Raïssa. Elle est ukrainienne. Voici Kamila, la belle femme dont je t’ai
parlée !
- Bonsoir ! Fit-elle avec son délicieux accent slave. Mouloud m’a beaucoup parlé de toi ! Il
n’avait pas tort, tu es vraiment magnifique ! Mohand va se régaler ! Comment me trouves-tu ?
- Superbement belle ! Je suis jalouse ! Qui est Mohand ?
- Mon mari ! Il attend à l’intérieur. Suivez-moi.
Elle nous devança en balançant son superbe cul (certainement pour aguicher Mouloud, qui ne la
quittait pas des yeux) et nous amena vers un immense salon dans lequel se trouvait, assis sur un
immense canapé, un homme d’une quarantaine d’années, qui, malgré sa position assise, me paraissait
très grand. Au premier regard, je sus qu’il était kabyle : la blancheur de sa peau, la forme de son
long nez, si caractéristique aux hommes de la région et surtout, dès qu’il se mit à parler, à son
accent chantonnant. Raïssa fit les présentations, et sans plus s’occuper de moi, prit Mouloud par
la main et l’entraîna dans une autre chambre.
Je restais seule avec Mohand. L’homme, qui s’était levé pour m’accueillir, tendit sa main - qui me
semblait avoir les dimensions d’une raquette de tennis - et déposa un léger baiser sur le dos de la
mienne, à l’image des baisemains pratiqués dans les sociétés aristocratiques occidentales. Il
semblait très à l’aise. La position debout qu’il avait maintenant, confirma qu’il était très grand ;
une taille proche du mètre quatre-vingt-dix, jaugeai-je sur le moment. Il était vêtu d’une espèce
de peignoir – en forme de kimono - en soie (ou en satin) de couleur bleu-foncé, qui s’arrêtait
juste au dessous des genoux et qui mettait en évidence ses formes athlétiques: des épaules larges,
une taille fine, des hanches étroites. Il se dégageait de lui une forte impression de puissance ;
une espèce de force tranquille. Son visage taillé à la serpe était remarquable. Il était loin d’être
beau, mais il se dégageait de lui un véritable charme. Je ne sus pas immédiatement ce qu’il avait de
particulier, qui le rendait auissi attirant : sa grande bouche gourmande, légèrement posée de
travers sur son visage ; ses petits yeux ronds, brillants et moqueurs ; son front haut et dégagé ;
son menton vigoureux ; ses cheveux coupés courts (j’appris un peu plus tard qu’il était officier
supérieur dans l’armée). C’était probablement tout cela, mis ensemble, qui formait un cocktail
rendant l’homme particulièrement intéressant et, pour moi, super attirant.
Nous discutâmes quelques minutes de la pluie et du beau temps. Il cherchait certainement à me mettre
à l’aise et ne pas m’effaroucher en se jetant sur moi comme une bête mal éduquée. Il me parla aussi
de Raïssa et de la manière dont ils s’étaient connus et mariés. Il m’apprit qu’elle était
ukrainienne et qu’il l’avait épousée alors qu’il faisait ses études à l’académie militaire de Kiev,
il y avait une quinzaine d’années. Puis, petit à petit, il amena la discussion sur le seul terrain
qui comptait pour nous deux : le sexe.
- Tu sais ce qu’ils sont entrain de faire dans la chambre à côté ?
- L’amour ?
- Non, ils sont entrain de baiser comme des bêtes ! Raïssa a tout de suite flashé sur la belle
queue de Mouloud. Et surtout de sa manière particulière de s’en servir.
- Pourquoi, la tienne n’est pas aussi imposante ?
- Tu veux voir ?
- Bien entendu ! Je suis ici pour ça ! Mouloud m’a assuré que j’allais vivre des moments
exceptionnels avec toi ! Tu me montres ?
Je ne savais pas ce qui s’était passé en moi. Je ne me reconnaissais plus ! J’étais devenue, après
une seule nuit passée avec Mouloud, une espèce de garce qui utilisait, presque naturellement, le
vocabulaire des garces. Et, plus grave encore, leur comportement ! Et le pire, c’était que je me
sentais parfaitement à l’aise. Il n’y avait pas la moindre gêne en moi. C’était comme si j’avais
toujours vécu ainsi : comme une pute ! Une qahba ! La preuve ? Je n’attendis même pas qu’il fasse le
moindre geste pour se dénuder. Je m’en occupai moi-même. Je tendis les mains vers la ceinture en
soie (ou en satin ; je ne savais pas faire la différence) et la défis en un clin d’œil. J’écartai
les pans du peignoir et découvris le côté face du corps nu de l’homme. Il était exactement comme je
l’avais deviné sous le tissu : tout en muscles fins et sans un seul gramme de graisse. Ses épaules,
ses muscles pectoraux, ses muscles abdominaux, ses cuisses, étaient celles d’un homme qui
pratiquait, régulièrement et intensément, un sport pour entretenir son corps. Un militaire qui
éliminait systématiquement toutes les toxines des repas trop consistants du mess (ou de sa femme) et
qui gardait une forme irréprochable.
Et entre ses jambes, l’objet de mes fantasmes ! Un magnifique zob en érection, aussi imposant que
celui de Mouloud, mais avec une forme différente. Un véritable sabre recourbé, une espèce de
yatagan, avec un gland très large, en forme de tête de champignon. Et il bandait très fort ! Il
était dressé vers le plafond. Il paraissait très ferme et très dur. Et il frémissait ! L’homme avait
gardé une légère touffe de poils noirs sur son pubis, mais tout le reste de son sexe - la hampe et
même les bourses - était soigneusement épilé. Je jubilais en pensant à tout ce que ce sabre-là
allait me donner comme plaisir. Je tendis la main pour le tâter et le caresser. Mohand me laissa
faire un court moment, puis pris ma main pour lui imposer un mouvement de masturbation en douceur.
Je le regardais dans les yeux pendant que je le branlais légèrement. Je voyais à son sourire et aux
petits gémissements presque inaudibles qu’il poussait, qu’il aimait cette entrée en matière. Il
semblait de plus en plus excité et son sabre palpitait de plus en plus fort sous ma main.
Je me demandais comment les choses allaient évoluer. Qu’est-ce qu’il voulait me faire – ou que je
lui fasse - en priorité. J’étais tentée de me mettre tout de suite à genoux devant l’homme et de
m’occuper de le faire jouir avec ma bouche. D’un autre côté, je voulais voir - et sentir - le
magnifique engin prendre possession, à la hussarde, de l’un de mes trous. Je coulais littéralement.
Je sentais ma culotte qui se mouillait et qui avait du mal à retenir tout le jus que ma chatte,
palpitante de désir, produisait. Ce fut Mohand, qui régla le problème en me susurrant à l’oreille :
- Bright en-nikek bel wagfia ! (Je veux te baiser debout !)
Je me fis la réflexion que je n’avais encore jamais été baisée comme cela ; debout. Même pas par
Mouloud. Cette idée d’être tirée dans cette position s’insinua dans mon esprit et accentua encore
plus mon excitation. Je voulais qu’il le fasse sans plus tarder.
- Nik-ni bel wagfia ! Dekhel sif taâek fi sawti! Khardjouh men foumi! (Baise-moi debout!
Introduit ton sabre dans ma chatte ! Fais-le ressortir par ma bouche !)
Mohand était aussi impatient que moi. Il voulait me tirer et jouir, sans plus attendre. Je sentais
qu’il voulait y aller en fore. Qu’il voulait prendre son plaisir en me faisant mal. Qu’il voulait me
prendre brutalement, sans même me déshabiller ! Sans même m’enlever la culotte ! Il voulait y aller
brutalement. Je le voyais à son regard qui perdait de sa douceur et devenait dur. Je le voyais à son
sourire qui avait disparu et qui avait été remplacé par un rictus inquiétant. Beaucoup plus tard,
j’avais fini par comprendre que c’étaient les rondeurs presque impudiques de mon corps (mon cul
surtout !) et ma manière de me tenir et de bouger qui déclenchaient chez les mâles, qui me
regardaient ou me parlaient, l’envie de me tirer à la hussarde. C’était ce genre de sentiment que je
déclenchais invariablement chez les hommes. J’étais le genre de femme faite pour être brutalisée.
Qu’il fallait prendre à la hussarde, pour bien lui montrer qui était le maître. Et Mohand ne faisait
pas exception. Mais il me semblait qu’il hésitait un peu, pensant que je n’allais pas apprécier son
comportement de brute. Le pauvre ne savait pas encore que j’adorais être brutalisée et avoir mal.
- Wech testena ? Werili qouwat zebek ! Dekhel‘hou-li ! (Qu’est-ce que tu attends ? Montre-moi
la force de ton zob ! Enfonce-le moi !)
Il souleva le bas de ma jupe pour la remonter sur mon ventre, attrapa ma jambe droite en dessous du
genou, la remonta très haut, et me souleva d’environ une dizaine de centimètres au dessus du sol,
pour pouvoir mettre ma chatte au niveau de son piston recourbé. Sa main gauche s’insinua entre mes
cuises et farfouilla un moment à la recherche de la meilleure manière d’écarter ma culotte pour
permettre à son gourdin de prendre possession de ma chatte. Il y arriva, non sans peine. Et puis
tout chavira ! Je sentis mon homme qui plia un peu les genoux pour se mettre sous moi et guider la
tête de son engin entre mes grandes lèvres dégoulinantes de mouille. D’un coup violent, il me
pénétra jusqu’au fond de mon vagin. Je poussai un hurlement, tant la pénétration avait été brutale
et douloureuse. Moi qui voulais sentir la force du sabre, j’étais servie ! La position verticale
ajoutait beaucoup d’intensité à la force de l’engin qui limait furieusement les parois de mon vagin.
Mouloud aussi m’avait fait mal en me tirant furieusement l’avant veille. Il m’avait même éclaté le
cul sans aucune précaution, en me déchirant littéralement le sphincter. Mais les douleurs de cette
nuit n’étaient rein à côté de celle que provoquait le sabre qui était entrain de me déchirer la
vulve. La forme courbée du monstre devait certainement augmenter sa force de pénétration. Mohand
allait et venait en moi, en soufflant comme un phoque. A chaque pénétration, il poussait un « han !
» aussi sonore que ceux que devait pousser un bûcheron qui s’attaquait à un arbre centenaire. Il ne
disait rien de vraiment compréhensible. Il marmonait entre ses dents des mots que j’avais du mal à
distinguer clairement. Il me semblait qu’il me traitait de tous les noms d’oiseau, pendant qu’il me
défonçait le con. Je devinais, plus que je n’entendais :
- Cheddi ya qahba ! Cheddi zebi ! Et-habi zeb ! En-tiya qahba ! Gouli-li « ana qahba » ! Gouli
! (Attrape espèce de pute ! Attrape mon zob ! Tu aimes le zob ! Tu es une pute ! Dis-moi « je suis
une pute » ! Dis-le !)
Mon excitation, déjà à son paroxysme, augmenta d’un cran à l’écoute des mots à peine audibles, crus
et avilissants que Mohand prononçait, plus pour lui-même que pour moi. J’avais envie de lui répondre
sur le même registre, mais je n’osais pas encore. J’avais envie de lui hurler de pousser encore plus
fort et de sortir son immense zob par ma bouche. J’avais envie de hurler les mots crus qui me
venaient à l’esprit et qui avaient du mal à sortir de ma bouche. Je me contentais pour le moment de
pousser un cri de satisfaction à chaque fois que le sabre de mon homme pénétrait en force dans mon
tunnel. J’écoutais le bruit impudique que faisait le sabre de Mohand en allant et venant dans mon
vagin. Il devait y avoir plusieurs litres de jus à l’intérieur. Mon vagin était devenu une usine à
produire de la cyprine, que je sentais s’échapper de dessous mes grandes lèvres et aller s’étaler
par terre. Les clapotis que j’entendais ajoutaient de l’intensité au plaisir que je prenais et à
mon désir de hurler pour pousser mon homme à y aller encore plus fort. Et puis n’y tenant plus, je
me mis à débiter, en haletant, des bribes de phrases qui avaient du mal à sortir de ma bouche, tant
mes pensées se télescopaient dans ma tête.
- Zid ! Zid ! Zid edjbed ! Zid nik qahb-tek ! Qahba ! Wellit qahba ! En-hab en-koun quahba !
En-hab zebek ! En-heb zboub kima en-taêk ! Nik-ni ! Zid nik-ni ! (Encore ! Encore ! Tire encore !
Continue de baiser ta pute ! Pute ! Je suis devenue une pute ! J’adore être une pute ! J’adore ton
zob ! J’adore les zobs comme le tien ! Nique-moi ! Continue de me niquer !)
Le magnifique sabre recourbé de Mohand continuait de me défoncer la vulve avec force et brutalité.
Le large gland, en forme de tête de champignon, qui le terminait, limait mon vagin avec fureur. Non
seulement, il continuait de me faire mal à chacune des pénétrations brutales, mais en plus, les
frottements incessants du gland sur les parois de mon vagin transformaient l’engin en véritable
tison incandescent. J’avais mal. Mais que cette douleur était agréable ! J’étais accrochée à la
nuque de Mohand comme une noyée s’accrochait à une planche de salut. Et je continuais de recevoir
avec délectation, ses coups de boutoirs de plus en plus forts et rapides. Je sentais qu’il
fatiguait: il me portait depuis maintenant une dizaine de minutes; et je pesais assez lourd. Je
sentais qu’il était sur le point de jouir. Mais moi je voulais que cela dure encore longtemps.
- Ma tefegharch dhork ! Estena chouya ! Kemal ‘hakdha ! Kemal nik-ni belwagfiya ! En-mout aâla
nika bel wagfiya ! Khelli qahbetek et-faghar keblek ! Zid nik ‘ha ! En-has zebek ki seffoud fi
saouwti ! Khardjouh men foumi ! (Ne décharge pas tout de suite ! Attend encore un peu ! Continue
comme-ça ! Continue de me baiser debout ! J’adore la baise debout ! Laisse ta pute jouir avant toi !
Continue de la baiser ! Je sens ton zob comme un tison incandescent dans ma chatte ! Fait-le sortir
par ma bouche ! )
Mohand revigoré par la teneur fortement érotique de mes paroles, reprit de plus belle son pilonnage
de ma chatte. Et il se mit lui-même à lâcher un flot de paroles crues, en écho aux miennes. Ce fut,
je crois une merveilleuse cacophonie de mots et de bribes de phrases indécentes, qui ajoutèrent une
très forte dose à l’intensité du plaisir que nous vivions.
- Cheddi zeb ! Zzzzeeeeb ! Zzzzebiiiiiiiiii ! Zebi fi saouwtek ! Saouwtek ! Achal mliha saouwa
! M’liha saouwtek ! Emb’aâed en-nikek melour ! Men gaârek ! Ki en-kemal be saouwtek, en-kessar-lek
gaârek! Zebi yehab i-nik ensa! (Attrape un zob ! Zzzzzob ! Zzzzobiiiiiiiiii! Mon zob dans ta chatte
! Ta chatte ! Comme c’est bon une chatte ! Ta chatte est super bonne ! Après, je vais te tirer par
derrière ! Par ton cul ! Quand j’en aurai fini avec ta chatte, je te défoncerai le cul ! Mon zob
adore niquer les femmes !)
Les mots et les phrases qu’il prononçait, en me tirant avec de plus en plus de force, eurent sur moi
l’effet d’un puissant aphrodisiaque. Mon excitation et mon plaisir grandissaient avec les mots qui
sortaient de sa bouche. Et j’y répondais, sur le même ton !
- Zzzzeb ! Zzzzzeb ! Zzzzeb ! En-hab ezzzzzboub!
Je sentais le plaisir monter, monter et continuer de monter très haut en moi, jusqu’à atteindre des
sommets que je n’avais encore jamais atteints de ma vie. Et puis l’orgasme arriva avec la force
d’un torrent en furie. Je m’accrochais encore plus fort à la nuque de mon homme et posai ma tête sur
son épaule. J’eus tout de suite envie d’y mordre à pleine dents. Ce que je fis, sans même me poser
la question de savoir si cela allait lui plaire. Il me faisait très mal et j’adorais ! Je lui
rendais la pareille en mordant dans la chair de son épaule gauche ! Il n’allait tout de même pas me
reprocher de lui rendre la pareille et d’y prendre du plaisir ! Je le sentis qui se crispa une
fraction de seconde, avant de reprendre le pilonnage intensif de mon vagin. Et soudain, je
déchargeai. Je retirai mes dents plantés dans l’épaule de mon amant et me mis à hurler comme une
folle des dizaines de « oui ! » de jouissance, qui finirent dans un souffle pratiquement inaudible.
Je me sentis entrainée dans un tourbillon qui tournait de plus en plus vite autour de moi et
m’emmena rapidement au bord de l’apoplexie. Si je n’avais été retenue par le mur contre lequel
Mohand m’avait plaquée et immobilisée et, s’il ne m’avait pas empoignée le dessous du genou pour
remonter ma jambe, j’aurais chuté lourdement par terre, tellement je mes muscles étaient tétanisés.
Mohand continuait à aller et venir dans ma chatte en grognant et en prononçant des mots que je
n’entendais presque plus, tant ils semblaient avoir de la peine à dépasser la limite de ses lèvres.
Il était toujours question de « Qahba ! », de « Zeb ! », de « Hatchoun ! » de « Zal ! » (« Pute »,
« Zob ! », « Chatte ! », « Sperme ! ») . Et puis, tout s’arrêta subitement. Il y eut un silence qui
dura une fraction de seconde, mais qui me sembla une éternité, puis un rugissement de lion sortit de
la gorge de l’homme, qui se mit à éjaculer des litres de spermes, en plusieurs giclées, à
l’intérieur de ma chatte. Je sentis le liquide qui ressortait, traçait un sillon le long de ma jambe
gauche et allait s’étaler par terre sur le carrelage.
Vaincu par la fatigue, il sortit son sabre, toujours en érection, de ma chatte et me déposa par
terre. Il tomba à genoux, en m’entraînant avec lui. Il ne voulait pas me lâcher. Il s’allongea sur
le carrela et me serra très fort contre lui. J’étais maintenant allongée sur lui. Il bandait
toujours aussi fort. Son sabre était resté entre mes cuisses. Je le sentais qui continuait de
palpiter. Je me fis la réflexion que le zob de cet homme devait être fait en acier; pas en chair !
Nous restâmes ainsi fortement enlacés quelques minutes, puis je sentis les mains de Mohand se mettre
en mouvement et aller à la recherche de mes fesses et de mon cul.
Il me susurrait à l’oreille qu’il avait encore envie de moi et qu’il voulait maintenant me
sodomiser. En fait il n’utilisa pas cette terminologie; il me dit simplement qu’il avait envie de me
baiser par derrière ; « melour ! ». C’était, me semblait-il, une formule qui l’excitait plus que le
mot plus juste de « sodomiser ». Certains mots et formules crus, dits en arabe (ou en kabyle)
avaient sur Mohand un très fort effet aphrodisiaque. Tout en continuant de parler de mon cul («
aquerquourim » en kabyle), de mes fesses (« tramek » en arabe), de mon trou de balle (« gaârek » en
arabe), il farfouillait le long de la raie de mes fesses à la recherche de mon anus. Je sentis un
doigt qui s’arrêta longuement à l’entrée de mon anus et qui s’y insinua.
- Qahba, trig mehloul ! Mehloul bezzaf ! Mouloud li hel ‘houlek ‘hakda ? Hebiti? (Pute, le
chemin est déjà ouvert ! Très ouvert ! C’est Mouloud qui a ouvert la voie comme cela ? Tu as aimé ?)
- Mouloud li tarteg-li gaâri ! Ou mazel yewdjaâ fiya ! Ma nen-djamch ne gouaâd ! Ou en-ta
tezzid-li ! Bezeb ‘hadha teqtel-ni ! (Mouloud qui m’a éclaté le cul ! Et il me fait encore très mal
! Je ne peux même plus m’assoir ! Et toi, tu veux ajouter à la douleur ! Avec un tel zob, tu vas me
tuer !)
Mohand ne fit pas de commentaires sur la douleur qu’il allait m’imposer. J’étais sûre que cette
perspective le faisait bander encore plus. Il se leva, me tendit la main pour me faire lever moi
aussi et me porta jusque sur le canapé, qui se trouvait à quelques mètres de nous. Il me fit assoir,
releva les pans de ma jupe qu’il roula en boule sur le bas de mon ventre (je me rendis subitement
compte que, pendant tout le temps que nous avions passé ensemble, il n’avait jamais cherché à me
déshabiller) et m’arracha violemment la culotte. Je ne me posais aucune question. J’attendais.
J’attendais impatiemment la suite. Je me demandais seulement comment il allait s’y prendre pour
m’enculer dans cette position. Mouloud, pour me sodomiser m’avait mise à quatre pattes. Mohand, lui
voulait le faire dans une autre position. Il empoigna mes chevilles et me fit lever les jambes et
les replia de part et d’autre de ma poitrine.
Il avait ainsi une vue totale sur ma chatte, encore toute dégoulinante et sur mon anus que je
sentais palpiter. Il allait m’enculer dans cette position ! En jubilant, je me fis la réflexion que
j’allais pouvoir admirer le magnifique sabre qui entrera et ressortira de mon cul. Jusque là je
n’avais fait que le sentir en moi. Maintenant j’allais pouvoir le regarder prendre possession de
moi. Ce sera certainement délicieux ! Et ce le fut !
Mohand plongea trois doigts dans ma chatte pour y recueillir une bonne dose de mouille, qu’il étala
autour de mon anus palpitant. Il refit l’opération une deuxième fois en introduisant cette fois-ci
deux doigt dans mon cul pour le lubrifier quelque peu, puis sans autre forme de procès, posa son
gland, en forme de tête de champignon, au milieu de mon anneau et donna une forte poussée à ses
hanches.
- Khoudi ya qahba ! Khoudhi sif en-taâ Mohand ! Dhork ikessarlek gaârek ! Akemi chareggh ! Ami
chereggh akhouzidh-im ! (Prends espèce de pute ! Prend le sabre de Mohand ! Il va te démolir le cul
! Il va te déchirer ! Il va te déchirer le cul !)
Il utilisait indifféremment l’arabe et le kabyle pour me montrer l’étendue de son désir. Dès qu’il
pénétra dans mon anus, le sabre de Mohand avait réveillé la douleur de l’avant-veille. J’avais le
cul en marmelade. Mais mon Dieu ce que le spectacle de ce magnifique vit qui entrait et sortait de
mon trou était divin ! Il n’y avait rien de plus délicieux que le plaisir que me donnait cet immense
zob qui prenait possession de moi, qui emplissait mon boyau, me faisait atrocement mal en frottant
violemment sur la paroi rectale et me brûlait comme un tison incandescent. Le spectacle de ce zob
qui entrait et sortait de mon cul, ajoutait une très forte dose à l’intensité du plaisir qui
m’envahissait. La douleur que je ressentais à chaque pénétration était neutralisée par la merveille
du spectacle que j’avais sous les yeux. Mohand faisait maintenant sortir totalement son engin de mon
cul, attendait une fraction de seconde, pour que je profite du spectacle, et repartait à l’assaut de
mon boyau avec encore plus de brutalité que la fois précédente. Et il accompagnait chaque poussée
par un commentaire presque insultant pour moi, mais tellement excitant !
- Khoudi ya qahba ! Khoudhi zeb sidek ! (Prends, espèce de pute ! Prends le zob de ton
seigneur !)
J’étais au paradis ! Je pensais avoir connu, l’avant-veille avec Mouloud, le paroxysme du plaisir,
et je ne pensais pas qu’il pouvait y avoir plus que cela. Pourtant, Mohand trouva le moyen d’ajouter
une dose supplémentaire au plaisir. Il prit ma main et la guida vers ma chatte. Il lui imprégna un
mouvement montant et descendant entre mes grandes lèvres.
- Heki saouwtek ! Benyetti ‘ha ! (Caresse-toi la chatte ! Branle-la !)
Il voulait que je me masturbe en même temps qu’il m’enculait. Cette idée me parut tout de suite
merveilleuse. J’introduisis trois doigts dans mon vagin et me mis à me branler énergiquement. Une
double pénétration ! La sensation que me procuraient le sabre de Mohand allant et venant
furieusement dans mon cul, en y allumant un véritable incendie et mes doigts qui faisaient le même
mouvement dans mon vagin, étaient indescriptible. Le paradis sur terre ! Et le frottement de mes
doigts sur l’engin de Mohand, à chaque fois qu’ils se croisaient à travers les parois rectale et
vaginale, créait en moi - en nous - une forte décharge qui nous faisait tirer à tous les deux un
immense rugissement de plaisir.
J’aurais donné le reste de ma vie pour que cela dure longtemps, très longtemps. Mais aucun de nous
deux ne put arrêter l’orgasme qui fonçait sur nous, tel un ouragan. Ce fut moi qui déchargeai la
première. J’avais l’impression de mourir, tant la sensation de plaisir était immense ! Je haletais
fortement et avais ouvert la bouche très grande pour avaler un maximum d’air, comme si j’avais peur
de mourir étouffée ! Je ne sentais plus les battements de mon cœur. Je crus un moment qu’il s’était
arrêté. Ma bouche dégoulinait de bave ! Et je hurlais ! Les mots se bousculaient dans ma bouche et
n’arrivaient pas à sortir dans un ordre compréhensible. Des tas d’images et d’idées me traversaient
l’esprit, que je n’arrivais pas à exprimer avec des phrases ou des mots. Tout ce qui pouvait sortir
de ma bouche, c’était une série de « oui ! », qui me semblait-il, suffisaient à exprimer tout mon
plaisir. Tout le plaisir que je prenais à me faire enculer par Mohand et à me masturber en même
temps.
Mohand qui pendant tout ce temps continuait imperturbablement à pilonner mon cul en me traitant de «
qahba ! », attendit la fin de mon orgasme pour prendre la relève et décharger dans un rugissement
d’enfer à l’intérieur du boyau. Je le sentais qui se remplissait de foutre brulant et épais ; il
ressortait à l’extérieur à chaque aller-retour du sabre à l’intérieur de mon cul. Il déversa comme
cela, en plusieurs giclées successives, une quantité incroyable de sperme. Je pensais qu’après sa
première éjaculation dans ma chatte, il ne devait plus avoir beaucoup de sperme. Et bien, je m’étais
trompée encore une fois ! Ce diable d’homme était une vraie fabrique de foutre ! Quand il se retira,
il resta un long moment à regarder le liquide blanc et visqueux qui s’échappait de mon anus, pour
aller s’étaler sur le carrelage en dessous du canapé.
Mohand était sorti de mon cul. Mais il continuait de bander. Le zob de mon homme tenait encore la
super forme ! Dans ma tête, plein de choses se bousculaient. Je me disais que l’homme allait me
baiser plusieurs fois encore et qu’il allait me transformer en chiffe molle, sans tonus et énergie.
Je commençais même à me dire que je ne serais pas à la hauteur de ses désirs. Je pensais sincèrement
être devenue depuis quarante-huit heures une véritable nymphomane. Mais au contact de la résistance
surhumaine de Mohand, je me rendis vite compte qu’il me restait encore beaucoup de chemin à
parcourir.
- Tu es fatiguée ? Repose-toi un peu. Tu n’en as pas encore fini ave nous !
- Avec vous ?
- Oui avec nous !
C’était une voix féminine, avec un fort accent, qui venait de résonner. Je levais les yeux et vis
Raïssa, superbe dans sa nudité, qui se tenait debout devant nous, avec à ses côté Mouloud – lui-même
tout nu. Je n’arrivais pas à quitter des yeux, le superbe corps de la femme. Elle avait tout –
absolument tout – de la vamp hollywoodienne : la blondeur et la blancheur de la peau ; des seins
fermes de jeunes filles, de bonne taille, projetés en avant, tels des obus de canon ; un ventre qui
avait pris un peu d’épaisseur, mais qui était encore plus sensuel que le ventre extra plat qu’elle
devait avoir, il y a encore peu de temps; des hanches larges formant avec ses épaules un 8 presque
parfait ; des fesses de pouliche, rondes, brillantes et fermes; des jambes longues parfaitement
dessinées, avec des genoux ronds et brillants et des cuisses fermes et superbement galbées. Et
merveille des merveilles ! Un mont de vénus bombé, sans la moindre trace de poil et une chatte aux
grandes lèvres longues et dodues en forme de quartiers d’orange, avec à son extrémité basse, un
petit orifice en forme de triangle.
C’était Vénus en personne ! J’étais bien contente d’être encore toute habillée. Je me voyais mal
toute nue, à côté de cette femme parfaite. J’aurais eu honte, tant je me serais sentie laide en
comparaison. Je ne quittais pas des yeux son entrecuisse, qui, me semblait-il, avait gardé des
restes de sperme et de mouille qui continuaient de dégouliner. Elle avait sur les lèvres un sourire
carnassier et, dans les yeux, une lumière mystérieuse qui brillait. Elle-même était entrain de
regarder ma chatte, qui était restée toute nue exposée aux regards des deux hommes et de la femme et
qui brillait elle aussi de mouille. Inconsciemment, j’avais gardé la même position que celle dans
laquelle Mohand m’avait enculée.
- Il t’a prise par derrière ? Il t’a certainement fait très mal ! Moi chaque fois qu’il
m’encule, il me fait hurler de douleur ! Il a une si grosse queue! Tu as un beau cul ! Je vais te
le sucer ! Tu veux ?
Je ne m’attendais pas à une telle proposition ! La femme était bisexuelle ! Et moi je n’avais jamais
eu auparavant, d’aventure avec une femme ou une fille. Je n’y avais même jamais pensé. Et l’idée que
la superbe femme qui était devant moi voulait me sucer le cul – puis certainement la chatte – me
paraissait bizarre. Je regardais tour à tour Mohand et Mouloud, comme pour leur demander ce que je
devais faire. Ce fut Mouloud qui m’encouragea, en me disant que Raïssa était une amante superbe et
qu’elle allait me faire vivre d’autres sensations exceptionnelles.
Je n’eus pas le temps de dire quoi que ce soit. L’Ukrainienne se mit à genoux devant moi et plongea
sa tête entre mes cuisses. Je sentis immédiatement sa bouche qui se posa, telle une ventouse, sur
mon anus et qui se mit à aspirer tout le liquide qui y était resté, entre le sperme de son mari et
mes sécrétions à moi. Aujourd’hui encore je suis parfaitement incapable de décrire les sensations
bizarres que me procura la bouche – puis la langue – qui farfouillait autour et à l’intérieur de mon
cul. En même temps, elle me chatouillait et me donnait une irrésistible envie de rire, et d’un autre
côté – surtout quand sa langue essayait de pénétrer à l’intérieur de mon anus – elle me faisait un
bien fou. Elle me délassait et enlevait toute la fatigue qui s’était accumulée en moi, depuis que
j’étais devenue la proie du fabuleux sabre de Mohand. Je ne pus empêcher une main, puis l’autre, de
se poser sur la nuque de la femme, pour la forcer à rester le plus longtemps possible, dans la
place.
Raïssa, continua pendant quelques minutes à me lécher l’anus, puis elle fit remonter sa tête et sa
bouche vers ma chatte, à laquelle elle appliqua le même traitement. Mouloud m’avait déjà initié au
cunnilingus et j’avais adoré. Mais celui pratiqué par la bouche de Raïssa était d’un genre différent
: plus doux et moins brutal. Plus féminin ! Ses lèvres se promenaient doucement le long de ma fente
; elles montaient et descendaient lentement, sans trop insister. Elles laissaient à sa langue, agile
et pointue, le soin de faire tout le travail de titillement de ma chatte et, surtout, de mon
clitoris qui avait durci sous l’effet de l’excitation. Je sentais le désir revenir en moi à la
vitesse d’un torrent en crue. Je me mis à bouger mes hanches, pour suivre les mouvements de ses
lèvres et de sa langue à l’intérieur de ma chatte.
Raïssa ne se contenta pas de m’entreprendre avec sa bouche ; très vite, je sentis sa main
farfouiller entre mes fesses et aller à la rencontre de mon anus. Elle y introduisit deux doigts et
se mit à me branler vigoureusement le cul. Je n’arrivais plus à me retenir. Non seulement
j’accompagnais sa bouche et ses doigts par un mouvement circulaire de mes hanches pour accroître
l’intensité du plaisir que je ressentais, mais en plus, je me mis à hurler, des « oui » sonores,
tout en regardant Mouloud et Mohand, debout devant nous, se caresser le zob, en observant le
spectacle de deux femmes entrain de se faire plaisir.
- Lahsil‘ha hatchoun‘ha heta en-tiya !! (Lèche-lui la chatte, toi aussi!)
C’était Mohand qui m’ordonnait de m’occuper, moi aussi, de la belle chatte de Raïssa. Cela me parut
une excellente idée. Je tirais sur les cheveux blonds de ma partenaire, pour lui faire relever la
tête et lui demander de se retourner, pour que l’on se retrouve toutes les deux en position tête-
bêche. Elle eut un merveilleux sourire de contentement et fit ce que je lui demandais. Nous nous
retrouvâmes ainsi nos deux têtes plongées chacune entre les cuisses de l’autre. La chatte de Raïssa
sentait si bon ! Elle avait en même temps le parfum naturel d’une chatte bien entretenue et celui du
sperme de Mouloud, dont elle dégoulinait encore. Je me mis à lécher et avaler et le foutre qui se
trouvait encore à l’intérieur du vagin et tout le jus que la femme sécrétait naturellement. C’était
absolument délicieux ! D’autant que je sentais que de son côté, l’Ukrainienne appréciait ce qu’elle
trouvait à l’intérieur de ma chatte et qu’elle avalait goulument.
Nous continuâmes comme cela pendant longtemps: Raïssa était au dessus de moi, et, bien entendu, moi
j’étais en dessous d’elle. Nous léchâmes, aspirâmes et avalâmes tout le jus qu’elle et moi
produisions en grande quantité. J’étais au Paradis : un paradis différent de celui que j’avais connu
avec mes hommes – Mouloud et Mohand, et même avec Rachid, mon mari. Celui dans lequel m’avait amené
le cunnilingus de la femme était plus calme, plus doux, moins violent et moins brutal. Mais le
plaisir que je prenais était aussi intense ! Je gigotais pour frotter plus fort ma chatte sur la
bouche gourmande de Raïssa ; elle en faisait de même sur la mienne. Je sentais arriver l’orgasme.
C’était la même sensation que m’avait procuré mes deux amants quand ils m’avaient emmenée vers les
cimes du plaisir : le cœur qui battait la chamade ; le souffle qui devenait de plus en plus court et
qui donnait l’impression de manquer d’air ; la sensation que le monde tourbillonnait autour de moi
et me précipitait vers des profondeurs abyssales; et cette étrange impression d’être très proche de
l’évanouissement.
Et Raïssa était dans le même état que moi. Nous déchargeâmes ensemble, chacune dans la bouche de
l’autre. Je coulais comme une fontaine et mon amante en faisait de même. Nous bûmes goulument,
jusqu’à la dernière goutte, tout le jus que nos chattes avaient produit. Puis nous nous affalâmes,
rassasiées et heureuses, gardant pendant un long moment nos têtes entre les cuisses où elles étaient
fourrées. Ce fut le moment que choisirent les hommes pour se mêler à nous.
Mohand prit sa femme par les hanches, la força à se mettre à quatre patte sur le canapé et entreprit
de la tirer en levrette. Mouloud en fit de même avec moi. Je ne savais pas dans quel état était
Raïssa, mais moi j’étais morte de fatigue. Au moment où Mouloud me força à me mettre en position de
levrette, j’étais presque déçue : je me disais que je n’allais rien ressentir et surtout, que je
n’allais lui donner aucun plaisir. Mais au bout de quelques secondes – au moment où le gourdin de
Mouloud pénétra dans ma chatte et que sentis les bras puissants de l’homme tirer sur mes hanches
pour une pénétration à la hussarde, l’excitation et le désir revinrent en trombe. J’eus un autre
orgasme aussi puissant que les précédents. Et Mouloud aussi ! Et Raîssa aussi ! Et Mohand aussi ! Le
miracle de l’érotisme, me dis-je !
Quand nous quittâmes l’appartement - il devait être près de minuit - Mouloud et moi étions sur les
genoux. Mais tellement heureux ! Il me déposa devant chez moi. Je pensais trouver Rachid entrain de
dormir. Mais non ! Il était dans la chambre, allongé, faisant semblant de lire je ne sais quelle
revue.
- Tu ne dors pas encore ?
- Non, je t’attendais ! Je suis impatient que tu me racontes ta soirée avec Mouloud et ses
amis. Ça a été bien ? Tu as pris du plaisir ? Tu as beaucoup joui ? Raconte !
- Demain ! Je suis fourbue ! Je ne tiens plus debout ! Tu es déçu ?
- Non mais je veux vraiment que tu me racontes. Je veux tout savoir sur les sensations que tu
as eues ; sur les capacités sexuelles de tes amants. Tu ne t’es pas lavée j’espère ! Dis-moi que tu
es encore pleine du sperme de tes amants ! Dis-moi que tu vas me laisser voir ! Toucher ! Lécher !
Viens mon amour ! Montre à ton cocu de mari les traces de ton bonheur !
Les paroles de Rachid avaient eu sur moi un effet très fortement aphrodisiaque. Même morte de
fatigue, je ne pus résister au désir de subir ses assauts. Et cette nuit-là encore, Rachid se
comporta en amant vraiment à la hauteur. Je n’eus aucun besoin de simuler l’énorme jouissance qu’il
m’avait procurée, en me léchant la chatte et l’anus et en avalant toutes les sécrétions qui y
étaient restées. Et en me tirant comme un taureau !
…/…
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14 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
waw! je sens comme si on me baise. hhhhhhhhhhhhhm ouiiiiiiiiii
tout en parcourant CETTE SUITE erotico-pornographique, ma main gauche caressait frenetiquement la bosse de ma braguette de pyjama (je lis les histoires la nuit)et au milieu de l'histoire je faisais jaillir le sperme dans mon slip et tout ça en m'imaginant à la place de Mouloud/Moussa !!!alors qu'au depart je n'aimais pas l'amour en groupe !!!
Le dernier avis n'est pas d'un lecteur, mais d'une lectrice. Ça change la donne, non?
Merci, Gerache, pour cette belle histoire et la qualité de ta plume. Moi aussi, ça me
chauffe énormément! Tes récits soulèvent en moi l'envie irrésistible que mon amant me
tire dorénavant avec moins de ménagement et dans sa langue : j'ignore s'il est Kabyle,
mais le discours arabe est terriblement excitant!
chauffe énormément! Tes récits soulèvent en moi l'envie irrésistible que mon amant me
tire dorénavant avec moins de ménagement et dans sa langue : j'ignore s'il est Kabyle,
mais le discours arabe est terriblement excitant!
merci mon ami de me faire vivre cette histoire
j aimerai que tu me cocufies davantage
merci
j aimerai que tu me cocufies davantage
merci
Franchement le top sauf que la suite tard trop humm
j'ai une histoire du genre mais dommage que j'ai pas la meme plume ;)
Karim
j'ai une histoire du genre mais dommage que j'ai pas la meme plume ;)
Karim
c est super recit pono ce qui le rend superbe c le langage vulgaire hhhhhhhhhhhmù
Après nous avoir ouvert l'appétit avec vos belles histoires super bandantes vous avez arrété d'écrire. Que vous arrive t-il ?
ouah!
Après ces très beaux textes (au fait, Najia, est ce Kabyle? Un prénom genre Ferroudja, tassadit, chabha..auraient fait plus "vrai"). Peut on espérer d'autres récits aussi incendiaires avec beaucoup de passages en kabyle ? ça me chauffe énormément et ça me donne beaucoup d'idées(mais attention à la transcription, il y a de nombreuses erreurs dans ces 3 parties "Najia". Une vidéo en kabyle, est ce pour bientôt?
Merci pour cette sulfureuse histoire. J'ai beaucoup apprécié les passages en kabyle. ça fait vraiment très très chaud.Et c'est très bien écrit. Mais attention aux passages "copier / coller. Moussa qui devient Mouloud.... et d'autres. Et puis, essayez des récits moins longs.
Encore plus de récits avec des dialogues en KABYLE.J'en redemande c'EST EXTRA.
Encore plus de récits avec des dialogues en KABYLE.J'en redemande c'EST EXTRA.
J adore ton histoire, les mots en arabes on un effet immédiate impressionnant
merci et hâte. De lire la suite
merci et hâte. De lire la suite
Une histoire très excitante hamitini bezzzaaaaaaaaaaf
beaucoup mais vraiment beaucoup trop long