Natasha (7) - histoire érotique

Natasha (7) Nouveau départ?

22h30, l'alarme du portable tire Natasha de sa torpeur. Une rapide douche, elle constate que la douleur due aux évènements de la journée a disparue, même si son corps garde encore quelques stigmates des durs traitements subis. Elle pense avec réconfort que cet onguent donné par esclave kat a vraiment quelque chose de magique. Espérant que le Maître se trouve devant ses écrans, elle adopte une posture des plus lascives, alors qu'elle enveloppe ses longues jambes de ces bas en lycra, puis enfile ces bottes montantes. Elle se dirige ensuite d'une démarche chaloupée vers le bureau du Maître en parcourant les nombreux couloirs, mais cette fois debout. Chemin faisant, elle croise eclave liz revenant de sa tournée d'arrosage des plantes d'intérieur:
- Oh nat! Tu es très en beauté ce soir! - avec ce petit quelque chose dans le regard qui dit qu'elle en ferait son 4h... ou plutôt son 23h... enfin bref!
Ce à quoi Nat répond:
- Merci Liz, je fais de mon mieux. Le Maître m'a de nouveau sollicité ce soir.
Esclave Liz se porte alors à sa hauteur et après lui avoir porté un petit coup de coude complice, elle lui glisse à l'oreille:
- Dis-donc, ne chercherait-il pas à se rattraper après t'avoir à ce point ignorée pendant toutes ces semaines? - bien consciente que Natasha est de loin la plus belle fille de tout le cheptel.
- Peut-être... sans doute... je l'espère en tout cas... mais je te laisse, je ne voudrais pas être en retard à sa convocation.
Natasha arrive maintenant à l'heure dite devant la porte du bureau. Elle frappe et attend la permission d'entrer, tout en se disant qu'il est quand même plus agréable de se signaler ainsi, plutôt que comme une numéro 5 qui doit gratter à la porte avec ses ongles se déplaçant à quatre pattes. Ce qui se passe maintenant lui fait l'impression d'une explosion atomique. Le Maître lui-même vient lui ouvrir la porte et lui dit:
- Entre Natasha et suis-moi.
Il est vêtu d'un magnifique manteau de cuir 3/4 qui lui donne une prestance encore bien plus affirmée qu'à l'habitude. Il prend place à son bureau et Natasha, d'instinct, vient se placer à sa droite, légèrement en retrait et adopte la posture requise tête basse, tout en restant debout puisqu'elle ne porte pas de collier à cet instant précis. Il décroche alors son téléphone:
- Esclave flo! Mon périple de ce soir risque de s'éterniser un peu et je ne suis pas sûr de rentrer passer le reste de la nuit au manoir. Tu es la plus ancienne ici après Madame Kim, et je ne veux pas la charger d'une quelconque tâche pour lui laisser tout loisir de profiter pleinement de sa soirée et de sa nuit. Aussi, bien que les caméras tournent, je te charge de veiller à ce que tout se passe bien pour tout le monde la nuit prochaine. J'ai déposé le planning des missions journalières de demain sur la table de ta cuisine au cas où. Est-ce que tu as bien compris ce que je viens de dire?... Alors très bien et au travail!
Il raccroche, puis sans un mot, ouvre un des tiroirs du bureau pour en sortir un collier bien différent de ceux qu'utilisent les filles d'ordinaire. S'il sagit toujours d'un collier de cuir noir, celui-ci est orné de liserés rouges en velours et d'une plaque qui n'est pas ronde et frappée d'un numéro, mais plutôt de forme ovale sur laquelle sont gravés une étoile, suivi d'un nom, Nat avec un N majuscule, suivi d'une autre étoile. Il se lève alors pour se tourner face à son esclave puis ordonne:
- Tête haute s'il te plait!
Il fixe ensuite le collier au cou de Natasha, puis demande:
- Alors Natasha, comment trouves-tu ce nouvel accessoire?
Natasha ne sait trop quoi répondre, mais elle articule tout de même:
- Il est sûblime Maître et si vous saviez à quel point je...
Mais le Maître l'interromp tout de suite:
- Stop! Je vais clarifier tout de suite quelques points importants sur le déroulement des choses à partir de ce soir. Naturellement, tu restes une esclave de mon cheptel comme les autres. Et je voudrais que tu fasses bien passer le message auprès des filles. Tu leur expliqueras que ce nouveau collier sera réservé dorénavant aux esclaves que je déciderai d'emmener avec moi au cours de mes nombreux déplacements. Certaines de mes relations le font déjà depuis longtemps, il est temps pour moi de faire de même, surtout au regard de mes activités. J'ai la réputation d'être un excellent dresseur et compte bien le démontrer encore plus à tout le monde à partir de maintenant. En ce qui te concerne, quand tu porteras ce collier en ma présence et sauf si je t'ordonne le contraire, je veux que tu gardes la tête haute en permanence, même quand tu adoptes les postures requises. Quand tu t'adresses à moi, quand nous sommes seuls et en privé comme maintenant, je veux que tu cesses avec tous ces salamalecs d'usage qui me fatiguent à la longue. Tu continues à me vouvoyer et tu ne m'appelles plus Maître mais Sebastian. Par contre, tu ne révèleras pas ce dernier détail aux autres filles. En présence d'étrangers, rien ne change et tu continues à m'appeler Maître. Est-ce que tout ceci te semble assez clair?
- Oui Maî... euh Sebastian.
- parfait! Tu ne bouges pas et tu m'attends!
Il saisit son portable, puis disparaît dans la pièce voisine qui n'est autre que sa propre chambre, dans laquelle aucune esclave n'a pénétré à ce jour, même pas celles qu'il considère comme ses meilleurs jouets sexuels. Seule esclave sha a pu la voir puisque c'est elle qui est en charge du ménage quotidien depuis des années, provoquant d'ailleurs, toujours ces floppées de questions curieuses de la part du reste du cheptel.
En l'attendant, Natasha a bien du mal à croire que tout ça est vraiment en train d'arriver. Il lui ouvre sa porte avec galanterie, l'appelle Natasha, ne veut plus qu'elle baisse les yeux, elle doit l'appeler Sebastian et lui parler normalement mais pas le dire aux autre filles. Et il chamboule d'un seul coup tous ces codes si stricts rien que pour elle?!
Sebastian réapparaît bientôt chargé d'un vêtement et quand il invite Natasha à le passer, elle s'aperçoit qu'il s'agit exactement du même manteau de cuir que lui, mais taillé à ses mesures à elle. La doublure de soie fine est un délice sur sa peau nue et provoque un petit frisson de bien être. Sebastian accroche ensuite une laisse assortie au collier et enfin se dirige, avec quelque chose qui ressemble a de la fierté selon Natasha, vers la sortie en disant:
- En route, la voiture doit nous attendre.
Natasha, comme plus tôt dans l'après midi, lui emboite le pas en restant en retrait. La belle italienne les attend, son V8 ronronnant et attendant d'être sollicité par Sebastian, alors qu'ils descendent les marches du grand péron et s'installent dans la luxueuse auto. Sebastian adore sa Maserati, non pas qu'elle soit la plus rapide, il possède aussi entre autres une Koenigsegg CCX et une Mac Laren 720S. Ce qu'il aime, c'est son côté classe sans être tape à l'oeil comme une Lamborghini ou autres Pagani et Bugatti. Mais ce qu'il aime par dessus tout, c'est que chaque modèle Granturismo 2 construit à ce jour est unique dans le sens ou à la commande, on peut pratiquement la faire construire sur mesures. On peut agir absolument sur tout ce qui est mécanique, les jantes, les pneumatiques, les teintes intérieures et extérieures, faire cohabiter selon ses envies le carbone, les bois précieux ou l'aluminium brossé. Il n'y a aucune limite aux différents choix, jusqu'à la couleur des surpiqûres du cuir des sièges. Sebastian aime à penser à cet instant qu'il transporte un modèle unique dans une voiture unique. Il enclanche la marche avant, accélère et le feulement du V8 parvient alors aux oreilles de Natasha comme une douce musique qui l'emmène maintenant vers l'inconnu, elle qui n'est plus sortie d'ici depuis trois ans maintenant. La lourde grille de l'entrée s'ouvre automatiquement libérant le passage et après deux kilomètres d'une petite route qui serpente au coeur de cette dense forêt qui entoure l'ensemble du manoir, ils arrivent à un passage à niveau baissé. Natasha aperçoit alors quatre montagnes de muscles affairées à relever les barrières. La voie de chemin de fer est désaffectée et une jolie petite maison attenante sert de QG aux quatre gardiens, tout de noir vêtus et ne portant pas de collier. L'endroit sert à filtrer l'arrivée des visiteurs, toujours dans cet esprit de ne pas troubler l'harmonie qui règne au manoir et d'éviter ainsi d'insupportables cohues les soirs de réceptions. Les quatre colosses saluent respectueusement Sebastian à son passage.
Natasha comme les autres filles, n'a absolument aucune idée de l'endroit, la région ou même le pays dans lequel elle se trouve. Toutes les vitres des fenêtres aux étages du manoir sont opaques et doivent rester fermées en permanence, l'aération étant assurée par un ingénieux système de ventilation. Quand elle sont au rez de chaussée ou à l'extérieur, cette immense et dense forêt de pins leur interdit de voir l'horizon. De la route un peu plus large sur laquelle ils circulent à présent en silence et malgré la pénombre, Natasha parvient à distinguer des sommets enneigés. Elle sait maintenant qu'elle se trouve quelque part dans une région montagneuse.
Elle en est là de ses pensées quand Sebastian qui a viré sur sa gauche quelques minutes plutôt immobilise la voiture devant un magnifique chalet de bois. Ils descendent tout les deux de la belle italienne, Natasha tend respectueusement sa laisse à Sebastian et ils se dirigent vers la porte d'entrée. Sebastian frappe à la porte et un homme vient alors ouvrir:
- Sebastian, mon ami! Je suis très heureux de te voir ce soir! Mais entre, je t'en prie et installe-toi.
Sebastian entre, et prend place dans un des fauteuils qui fait face à une grande cheminée. L'endroit est accueillant et chaleureux. Natasha se place sur la droite et en retrait de Sebastian, adopte la posture requise, soit jambes écartées, Bras croisés dans le dos et tête haute. Elle fait également face à l'hôte du soir qui a pris place dans l'autre fauteuil et semble troublé par autant de beauté. Sebastian prend la parole:
- Bonsoir Benjamin et merci pour cet accueil. Ton message d'aujourd'hui m'a interpellé en éveillant ma curiosité. Peux-tu m'en dire un peu plus, maintenant que je suis là?
Benjamin est un des associés de Sebastian. C'est une sorte de petit génie en informatique, et ce qui concerne pas mal de domaines en ingéniérie. C'est un petit bonhomme de 1m65, la trentaine et d'apparence sympathique. Natasha ne l'avait jusqu'alors jamais rencontré, Benjamin ne goûtant que fort peu à toutes ces réceptions et fêtes données par Sebastian au manoir. Il préfére et de loin la tranquillité de son chalet quand il ne travaille pas à leurs projets communs. Benjamin répond alors avec un enthousiasme non feint:
- Sebastian, tu sais que nos serres fonctionnent à plein régime et c'est une excellente chose. Cependant, il y a quelques temps, je suis rentré en contact avec un groupe de d'investisseurs barcelonais. Ils ont leurs entrées dans les ports de Barcelone bien sûr, mais aussi Bordeaux en France ainsi que quelques ports côtiers au Portugal. Naturellement, ils ne savent pas qui nous sommes ni où nous opérons, mais ils ont tout de même entendu parler de nos installations et seraient plus qu'intéressés par le fait de te rencontrer en vue d'une probable association. Ils seraient prêts à fournir des semences d'une extrême qualité, qui nous permettraient ainsi de pouvoir diversifier nos productions et augmenter de façon conséquente nos revenus.
Sebastian le laisse terminer puis répond d'une voix calme et posée:
- Mon cher Benjamin, tu sais que je te considère comme mon meilleur et plus fidèle associé. L'ardeur et le dévouement que tu déploies chaque jour pour la bonne marche de nos projets me ravit constamment. Ceci dit, tu connais très bien ma position en ce qui concerne la "diversification", comme tu le dis si bien, de nos productions. Nous gagnons à l'heure actuelle, presque plus d'argent que nous ne pouvons en dépenser. Alors, si tu as besoin que nous construisions des serres supplémentaires pour en gagner encore plus, soit. Mais seulement pour continuer à produire la même chose et en trouvant de nouveaux débouchés qui ne manquent pas à travers le monde. En ce qui concerne le reste, ma réponse est non.
Benjamin reste silencieux. Il semble déçu par la réaction de Sebastian, bien qu'il s'en doutait un peu quand même. Mais là, il est comme hypnotisé par cette beauté vêtue de cuir noir en face de lui et n'arrive pas à la quitter des yeux.
Sebastian s'en aperçevant très bien et pour détendre l'atmosphère:
- Au fait Benjamin, je te présente esclave nat.
A ces mots et sans que le Maître ait à ordonner quoi que ce soit, Natasha se dirige vers Benjamin, se met à quatre pattes, puis embrasse longuement ses pieds. Elle ajoute ensuite:
- C'est un immense honneur pour moi que de faire votre connaissance Monsieur Benjamin.
Puis elle se redresse et reprend sa place auprès du Maître. Benjamin s'exclame alors avec un air manifestement ravi:
- Enfin Sebastian! Tu me présente enfin la fameuse esclave nat, celle dont j'entends parler depuis des mois voir des années maintenant sans jamais l'avoir vue!
Le Maître parle donc d'elle en termes élogieux à certains de ses proches. Natasha note ceci au passage avec un certain sentiment de satisfaction.
Sans un mot et sans se retourner, le Maître claque alors des doigts. Immédiatement, Natasha ramène sa laisse jusque dans son dos et commence à dégraffer un a un les boutons de son beau manteau de cuir. Ceci fait, elle écarte les pans du vêtement au maximum et ramène ses mains en les croisant derrière sa tête. On peut voir maintenant distinctement, des gouttes de sueur perler sur le front de Benjamain. Le Maître reprend:
- Elle te plait? Elle est belle n'est-ce pas?
Benjamin répond alors d'une voix plus que chevrotante à la vue de ce corps parfait:
- Si elle est belle?! Mais tu plaisantes Sebastian! C'est une véritable créature de rêve que tu me montres là. Qui serait capable de résister à une telle ensorceleuse?
Le Maître claque une nouvelle fois des doigts et ajoute:
- Ok! Je suis content qu'elle soit à ta convenance, alors, encule-la!
Natasha laisse tomber son manteau à ses pieds, se dirige vers la table basse placée entre les deux fauteuils, se retourne pour faire face au Maître, se penche en avant en prenant appui de ses mains sur la table, écarte bien les jambes et se cambre au maximum, présentant du même coup son magnifique cul à un Benjamin qui, ne pouvant plus se retenir, sort sa queue et se rue littéralement sur elle. Natasha arrive à se contenir, mais manque d'éclater de rire, envahie qu'elle se trouve maintenant par une si petite chose. De ce qu'elle ressent là, le membre de Benjamin ne doit pas excéder 10 ou 12cm et guère plus de 2,5cm d'épaisseur. Elle joue cependant parfaitement son rôle par quelques petits gémissements feints et en gardant son beau regard bleu plongé dans les yeux du Maître, pendant que le pauvre garçon derrière elle, s'emploie à la besogner du mieux qu'il peut. Il ne semble d'ailleurs pas plus endurant qu'il est bien équipé, puisqu'il ne lui faudra pas bien longtemps pour se vider à l'intérieur du conduit de Natasha avant de s'affaler dans son fauteuil, manifestement comblé par la courte expérience qu'il vient de vivre. Natasha, en fixant toujours le Maître dans les yeux dit alors:
- Je vous remercie infiniment Monsieur Benjamin, pour les divins moments dont vous avez eu la gentillesse de me gratifier.
Puis elle se redresse, vient récupérer son manteau pour l'enfiler à nouveau, referme tous les boutons de celui-ci puis, impassible, reprend la posture requise en retrait du Maître.
Sebastian décide alors de prendre congé, laissant son ami et associé encore tout à son moment d'éphémère bonheur, arguant qu'il a encore quelques personnes à visiter ce soir et qu'il ne compte pas y passer la nuit. Ils remontent ensuite dans la superbe italienne, Sebastian redémarre et reprend la route. Une fois qu'ils sont éloignés du chalet, Sebastian part d'un grand éclat de rire soudain:
- Mais quelle petite bite il a celui-là!
Natasha ne dit rien, mais elle n'arrive pas à réprimer un petit gloussement d'approbation.

(à suivre...)