Natasha
Récit érotique écrit par Strelleg [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-05-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Natasha
Natasha est une belle fille slave de 24 ans. Elle est belle comme le sont beaucoup de filles de ces régions, avec de belles courbes et des jambes qui n'en finissent pas. Elle se dit parfois que ces seins qu'elle a bien fermes et d'une rondeur parfaite, sont un peu trop petits à son goût mais qu'ils remplissent toutefois leur office correctement. Sa chatte aux lèvres si serrées donnant presque l'impression que ce passage n'a jamais été forcé, est rasée fréquemment de façon à ce qu'elle soit plus nue que nue quand elle est dévêtue.
Elle vit aujourd'hui dans un manoir aussi austère que beau en compagnie d'une dizaine d'autres filles. Elles ne sont pas là pour vendre leur corps, elles sont toutes là dans un seul et unique but, servir le Maître. Faire partie du cheptel de Maître S est quelque chose qu'aucune d'entre elles n'aurait l'idée de remettre en question. Elles ont toutes été triées sur le volet, subi de nombreux tests, de façon à ce qu'elles soient bien sures que l'avenir que leur propose le Maître leur convient parfaitement. Même s'il est parfois très dur avec elles, Maître S s'occupe parfaitement bien de ses filles, ses esclaves ne manquent de rien et vivent aussi confortablement que peuvent le permettre ces vieilles pierres. Entre les filles, aucune compétition dans la mesure où il n'y a ici aucune favorite, elle sont toutes sur le même pied d'égalité. Leur seule peur en fait, est de subir ce qu'elles appellent le châtiment ultime. Des caméras sont placées partout à l'intérieur du manoir, et quatre le sont dans la chambre des chaque esclave. Les petites lumières rouges indiquent que ces caméras enregistrent les moindres faits et gestes en permanence. Le châtiment ultime pour chacune des filles serait que les lumières des caméras s'éteignent dans leur chambre. Rien ne saurait leur faire plus mal que le désintérêt du Maître pour leur personne.
Ces fameuse petites lumières rouges étaient éteintes depuis un mois dans la chambre de Natasha. A deux reprises, elle a déçu le Maître. Elle a été sévèrement punie la première fois, ses fesses et son petit trou s'en rappellent encore mais la deuxième fois, après qu'elle n'ait pas été à la hauteur lors d'une réunion d'amis importants et influents du Maître au manoir, elle a simplement été renvoyée dans sa chambre et les lumières des caméras se sont éteintes. Pendant tout ce mois, elle a assisté aux allées et venues des autres esclaves, se voyant assigner des missions par le Maître, alors que de son côté, Natasha n'a jamais autant souffert de sentir aussi ignorée, elle à qui le Maître donnait toujours les tâches les plus difficiles parce qu'il savait qu'elle était capable de les endurer et qu'il avait une totale confiance en elle.
Mais ce matin, alors qu'elle sortait de sa douche drapée de ce superbe déshabillé de satin rouge qui la rend si irrésistible, elle s'aperçoit soudain que les lumières des caméras viennent de se rallumer. Ne voulant pas montrer à quelle point elle en est heureuse et ne surtout pas donner l'impression de supplier, le Maître n'y prêterait aucune attention, elle se décide alors pour l'offrande de sa routine matinale, à laquelle elle adjoindra quelques petits bonus.
Dans un premier temps, monter sur le lit, se mettre à genoux, s'asseoir sur ses talons, jambes serrées, bras croisé dans le dos et regard vers le sol pendant deux minutes. Ensuite, ouvrir le tiroir d'une des tables de chevet, reprendre la posture, enlever doucement le déshabillé, croiser les bras dans le dos et écarter les jambes pendant deux minutes. Ensuite, toujours à quatre pattes, faire demi tour, placer les mains sur les fesses, se baisser jusqu'à poser la tête sur le lit en se cambrant au maximum pour bien offrir ses orifices à la caméra. Claquer dix fois chaque fesse pour les faire rougir. Garder la posture et porter l'index droit à la bouche pour l'humecter correctement. Commencer à jouer avec la rondelle anale pour l'assouplir puis introduire doucement deux phalanges de l'index. Commencer un mouvement de va et vient jusqu'à introduire la troisième phalange. En bonus, accompagner le tout d'un mouvement circulaire. Extraire l'index puis le porter à la bouche à nouveau accompagné du majeur et recommencer le même processus. Les deux doigts étant maintenant introduits à leur maximum, les conserver ainsi en les écartant puis les resserrant de façon à élargir le conduit. Garder la posture, tendre le bras vers le tiroir pour en sortir le plug anal orné d'un bijou, trophée offert par le Maître lors d'une mission achevée avec succès. Introduire le plug à son maximum et placer les mains sur les fesses pour bien les écarter et offrir cette magnifique vue. Claquer à nouveaux dix fois chaque fesse pour s'assurer qu'elles restent bien rouge. Se relever, faire demi tour, rester à genoux, écarter les jambes le plus possible, placer les mains sur les talons, se cambrer au maximum et rester ainsi offerte à la caméra pendant deux minutes. La routine s'achève ainsi mais Natasha qui a tellement souffert de ne pouvoir s'offrir pendant tout ce temps, décide comme si de rien n'était de continuer le spectacle. Elle sort du tiroir un gode de quatre centimètres de diamètre, reprend la posture à genoux, jambes écartées et introduit directement le plug dans sa chatte. Inutile de perdre du temps en préliminaires inutiles, elle est tellement excitée qu'elle est déjà abondamment trempée. Elle commence alors une série de va et vient tout en saisissant de l'autre main un verre contenant une bougie parfumée allumée. Elle commence alors à verser cette cire liquide sur ses seins en n'évitant pas ses tétons déjà durcis de plaisir et elle se sent alors envahie par ces sensations contradictoires qu'elle adore tant. D'un côté, le plaisir avec cette bite de métal plantée dans son cul et ce gode dans sa chatte avec lequel elle se pilonne de plus en plus violemment et de l'autre cette douleur à chaque fois qu'une goutte de cire chaude touche un des ses seins, provoquant comme une décharge électrique éphémère le temps que la cire refroidisse. Elle ne déverse pas un mais deux verres de cire chaude sur son corps qui en est maintenant recouvert en partant des seins jusqu'à sa chatte et même l'intérieur de ses cuisses.
Natasha sait maintenant qu'il faut qu'elle termine le travail. A ce moment précis, elle ne sait pas si elle le fait simplement pour regagner l'intérêt du Maître ou si elle le fait aussi pour elle. Les minutes qui vont suivre, elle les connait bien pour les avoir déjà enduré de nombreuses fois, mais jamais jusque là elle ne se l'était infligé elle même. Evidemment, elle a le désir de regagner l'estime du Maître par sa performance mais il lui semble maintenant que ce besoin viscéral de jouir dans la souffrance est plus fort que tout. Le Maître l'a bien sûr guidé sur ce chemin jusqu'à présent. Il a très bien compris qui est vraiment Natasha, c'est d'ailleurs pour ça qu'il l'a choisi. A elle maintenant de se prouver et de lui prouver qu'ils ont fait le bon choix.
Elle s'empare donc dans le tiroir de la table de chevet d'un martinet à lanières de cuir courtes et tout en continuant de pilonner sa chatte au moyen du gode, elle entreprend de nettoyer cette cire maintenant séchée avec le martinet. Elle commence par fouetter chaque sein, cinq fois, dix fois, la douleur est cinglante mais les premiers morceaux de cire tombent. Elle continue à faire pleuvoir les coups sur elle, sans même un regard pour les caméras, bien trop occupée par ses propres sensations, plus rien n'existe autour d'elle à part ce gode qui la déchire et ce martinet qui la foudroie de douleur à chaque coup porté, lui laissant échapper des râles pendant lesquels on a du mal à reconnaître sa voix. Les seins étant maintenant correctement nettoyés et arborant des marques rouges, traces de l'affront qu'ils viennent de subir, elle porte maintenant ses coups au niveau du ventre, cela lui faisant presque penser à une récréation, cette zone, même si cela reste très douloureux étant nettement moins sensible en ce qui la concerne. Elle finit ensuite par sa chatte et l'intérieur de ses cuisses. La douleur est vive mais au fond d'elle, elle est fière de pouvoir endurer tout ça sans devoir abandonner et plus elle frappe plus elle a envie de frapper encore et encore pendant que les morceaux de cire volent en tous sens. Les va et vient du gode sont de plus en plus intenses, il n'y a maintenant plus de cire à enlever mais elle continue de frapper sans discernement et partout avec une violence incroyable jusqu'à ce que tout à coup cet orgasme tant attendu et si mérité l'emporte enfin. Les coups s'arrêtent alors, elle ne peut que rester assise sur ses talons, la respiration saccadée, le gode toujours en elle et secouée par des contractions vaginales. Revenant progressivement à elle, elle se dit d'ailleurs, qu'elle aimerait tant que ce soit la bite du Maître qui soit en elle à cet instant précis pour pouvoir en apprécier l'intensité.
Une heure plus tard, après une douche réparatrice et avoir remis sa chambre en ordre, Natasha est étendue sur son lit se demandant si ce qu'elle avait fait avait seulement retenu l'attention du Maître. Il est maintenant onze heure trente et toutes les missions du jour ont déjà été assignées, mais rien pour elle. Elle en est là de ses pensées quand son téléphone sonne...
Elle vit aujourd'hui dans un manoir aussi austère que beau en compagnie d'une dizaine d'autres filles. Elles ne sont pas là pour vendre leur corps, elles sont toutes là dans un seul et unique but, servir le Maître. Faire partie du cheptel de Maître S est quelque chose qu'aucune d'entre elles n'aurait l'idée de remettre en question. Elles ont toutes été triées sur le volet, subi de nombreux tests, de façon à ce qu'elles soient bien sures que l'avenir que leur propose le Maître leur convient parfaitement. Même s'il est parfois très dur avec elles, Maître S s'occupe parfaitement bien de ses filles, ses esclaves ne manquent de rien et vivent aussi confortablement que peuvent le permettre ces vieilles pierres. Entre les filles, aucune compétition dans la mesure où il n'y a ici aucune favorite, elle sont toutes sur le même pied d'égalité. Leur seule peur en fait, est de subir ce qu'elles appellent le châtiment ultime. Des caméras sont placées partout à l'intérieur du manoir, et quatre le sont dans la chambre des chaque esclave. Les petites lumières rouges indiquent que ces caméras enregistrent les moindres faits et gestes en permanence. Le châtiment ultime pour chacune des filles serait que les lumières des caméras s'éteignent dans leur chambre. Rien ne saurait leur faire plus mal que le désintérêt du Maître pour leur personne.
Ces fameuse petites lumières rouges étaient éteintes depuis un mois dans la chambre de Natasha. A deux reprises, elle a déçu le Maître. Elle a été sévèrement punie la première fois, ses fesses et son petit trou s'en rappellent encore mais la deuxième fois, après qu'elle n'ait pas été à la hauteur lors d'une réunion d'amis importants et influents du Maître au manoir, elle a simplement été renvoyée dans sa chambre et les lumières des caméras se sont éteintes. Pendant tout ce mois, elle a assisté aux allées et venues des autres esclaves, se voyant assigner des missions par le Maître, alors que de son côté, Natasha n'a jamais autant souffert de sentir aussi ignorée, elle à qui le Maître donnait toujours les tâches les plus difficiles parce qu'il savait qu'elle était capable de les endurer et qu'il avait une totale confiance en elle.
Mais ce matin, alors qu'elle sortait de sa douche drapée de ce superbe déshabillé de satin rouge qui la rend si irrésistible, elle s'aperçoit soudain que les lumières des caméras viennent de se rallumer. Ne voulant pas montrer à quelle point elle en est heureuse et ne surtout pas donner l'impression de supplier, le Maître n'y prêterait aucune attention, elle se décide alors pour l'offrande de sa routine matinale, à laquelle elle adjoindra quelques petits bonus.
Dans un premier temps, monter sur le lit, se mettre à genoux, s'asseoir sur ses talons, jambes serrées, bras croisé dans le dos et regard vers le sol pendant deux minutes. Ensuite, ouvrir le tiroir d'une des tables de chevet, reprendre la posture, enlever doucement le déshabillé, croiser les bras dans le dos et écarter les jambes pendant deux minutes. Ensuite, toujours à quatre pattes, faire demi tour, placer les mains sur les fesses, se baisser jusqu'à poser la tête sur le lit en se cambrant au maximum pour bien offrir ses orifices à la caméra. Claquer dix fois chaque fesse pour les faire rougir. Garder la posture et porter l'index droit à la bouche pour l'humecter correctement. Commencer à jouer avec la rondelle anale pour l'assouplir puis introduire doucement deux phalanges de l'index. Commencer un mouvement de va et vient jusqu'à introduire la troisième phalange. En bonus, accompagner le tout d'un mouvement circulaire. Extraire l'index puis le porter à la bouche à nouveau accompagné du majeur et recommencer le même processus. Les deux doigts étant maintenant introduits à leur maximum, les conserver ainsi en les écartant puis les resserrant de façon à élargir le conduit. Garder la posture, tendre le bras vers le tiroir pour en sortir le plug anal orné d'un bijou, trophée offert par le Maître lors d'une mission achevée avec succès. Introduire le plug à son maximum et placer les mains sur les fesses pour bien les écarter et offrir cette magnifique vue. Claquer à nouveaux dix fois chaque fesse pour s'assurer qu'elles restent bien rouge. Se relever, faire demi tour, rester à genoux, écarter les jambes le plus possible, placer les mains sur les talons, se cambrer au maximum et rester ainsi offerte à la caméra pendant deux minutes. La routine s'achève ainsi mais Natasha qui a tellement souffert de ne pouvoir s'offrir pendant tout ce temps, décide comme si de rien n'était de continuer le spectacle. Elle sort du tiroir un gode de quatre centimètres de diamètre, reprend la posture à genoux, jambes écartées et introduit directement le plug dans sa chatte. Inutile de perdre du temps en préliminaires inutiles, elle est tellement excitée qu'elle est déjà abondamment trempée. Elle commence alors une série de va et vient tout en saisissant de l'autre main un verre contenant une bougie parfumée allumée. Elle commence alors à verser cette cire liquide sur ses seins en n'évitant pas ses tétons déjà durcis de plaisir et elle se sent alors envahie par ces sensations contradictoires qu'elle adore tant. D'un côté, le plaisir avec cette bite de métal plantée dans son cul et ce gode dans sa chatte avec lequel elle se pilonne de plus en plus violemment et de l'autre cette douleur à chaque fois qu'une goutte de cire chaude touche un des ses seins, provoquant comme une décharge électrique éphémère le temps que la cire refroidisse. Elle ne déverse pas un mais deux verres de cire chaude sur son corps qui en est maintenant recouvert en partant des seins jusqu'à sa chatte et même l'intérieur de ses cuisses.
Natasha sait maintenant qu'il faut qu'elle termine le travail. A ce moment précis, elle ne sait pas si elle le fait simplement pour regagner l'intérêt du Maître ou si elle le fait aussi pour elle. Les minutes qui vont suivre, elle les connait bien pour les avoir déjà enduré de nombreuses fois, mais jamais jusque là elle ne se l'était infligé elle même. Evidemment, elle a le désir de regagner l'estime du Maître par sa performance mais il lui semble maintenant que ce besoin viscéral de jouir dans la souffrance est plus fort que tout. Le Maître l'a bien sûr guidé sur ce chemin jusqu'à présent. Il a très bien compris qui est vraiment Natasha, c'est d'ailleurs pour ça qu'il l'a choisi. A elle maintenant de se prouver et de lui prouver qu'ils ont fait le bon choix.
Elle s'empare donc dans le tiroir de la table de chevet d'un martinet à lanières de cuir courtes et tout en continuant de pilonner sa chatte au moyen du gode, elle entreprend de nettoyer cette cire maintenant séchée avec le martinet. Elle commence par fouetter chaque sein, cinq fois, dix fois, la douleur est cinglante mais les premiers morceaux de cire tombent. Elle continue à faire pleuvoir les coups sur elle, sans même un regard pour les caméras, bien trop occupée par ses propres sensations, plus rien n'existe autour d'elle à part ce gode qui la déchire et ce martinet qui la foudroie de douleur à chaque coup porté, lui laissant échapper des râles pendant lesquels on a du mal à reconnaître sa voix. Les seins étant maintenant correctement nettoyés et arborant des marques rouges, traces de l'affront qu'ils viennent de subir, elle porte maintenant ses coups au niveau du ventre, cela lui faisant presque penser à une récréation, cette zone, même si cela reste très douloureux étant nettement moins sensible en ce qui la concerne. Elle finit ensuite par sa chatte et l'intérieur de ses cuisses. La douleur est vive mais au fond d'elle, elle est fière de pouvoir endurer tout ça sans devoir abandonner et plus elle frappe plus elle a envie de frapper encore et encore pendant que les morceaux de cire volent en tous sens. Les va et vient du gode sont de plus en plus intenses, il n'y a maintenant plus de cire à enlever mais elle continue de frapper sans discernement et partout avec une violence incroyable jusqu'à ce que tout à coup cet orgasme tant attendu et si mérité l'emporte enfin. Les coups s'arrêtent alors, elle ne peut que rester assise sur ses talons, la respiration saccadée, le gode toujours en elle et secouée par des contractions vaginales. Revenant progressivement à elle, elle se dit d'ailleurs, qu'elle aimerait tant que ce soit la bite du Maître qui soit en elle à cet instant précis pour pouvoir en apprécier l'intensité.
Une heure plus tard, après une douche réparatrice et avoir remis sa chambre en ordre, Natasha est étendue sur son lit se demandant si ce qu'elle avait fait avait seulement retenu l'attention du Maître. Il est maintenant onze heure trente et toutes les missions du jour ont déjà été assignées, mais rien pour elle. Elle en est là de ses pensées quand son téléphone sonne...
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