Net-scape - histoire érotique

Tout avait commencé par des photos, comme beaucoup de couples en réalisent. G, ma fiancée, adorait me surprendre en train de les faire défiler sur l’écran de mon ordinateur, pendant qu’avec l’autre main je m’effleurais le bout du sexe. Les séances étaient à chaque fois plus torrides, les poses de plus en plus chaudes, et les lieux de plus en plus publics. Mais un jour, G décida d’aller plus loin, et de ne pas se satisfaire à réaliser ses fantasmes exhibitionnistes.



Nous allions souvent surfer sur la toile, nous avions souvent découvert des sites « perso », ou des couples s’exhibaient. Comme nos connaissances en matière de Web nous le permettaient, nous avons décidé de créer, nous aussi, notre site Web pour y exposer nos photos.



La raison d’être de ce site était la suivante : au départ, G voulait recueillir les confessions coquines de ses admirateurs. Peu à peu, elle demandait à ses internautes de devenir de plus en plus explicites, en détaillant les effets que produisaient sur eux ces poses lascives.



Chaque soir, après sa journée de travail, elle se précipitait sur la rubrique « vos confessions » de notre site et lisait avec application les récits de ses amants virtuels. Certains lui racontaient en détails leurs séances de masturbation, et le bonheur que leur procurait la vision de photos de G. Certains autres usaient de mots crus pour décrire la force de leurs éjaculations. D’autres enfin confessaient qu’ils pensaient aux photos pendant qu’ils faisaient l’amour avec leur partenaire.



G buvait chacune de ses lignes (et je la soupçonnais de chercher à lire entre les lignes !!!), et se caressait à son tour devant l’écran en pensant à tous ces hommes qui se masturbaient pour elle. Elle prenait les récits un à un, les lisait une première fois, puis une deuxième fois.



Chaque passage de son regard sur les lignes l’envahissait à chaque minute. Peu à peu elle se calait bien confortablement dans sa chaise, laissait ses mains caresser ses jambes, puis remonter sur son sexe. L’une de ses jambes venait se poser sur le bureau afin de laisser son sexe s’ouvrir au maximum. Elle écartait son string au niveau de son sexe, le passait sur l’extérieur de ses grandes lèvres, et sentait à ce moment la fraîcheur de l’air, contraster la moiteur de son sexe.



C’est ainsi qu’elle lisait les messages, jusqu’au point final de chacun, mais aussi jusqu’à la jouissance finale. Ensuite, elle venait me rejoindre (ah moins qu’elle ne m’ait invité à m’asseoir à côté d’elle pour lire avec elle un récit particulièrement excitant), et nous faisions l’amour comme des fous, avec, cette fois ci, des orgasmes vaginaux avec mon sexe entrant profondément dans le sien.



Au fur et à mesure du temps, des clichés et des récits, G avait des « habitués ». Elle décida un jour de récompenser ces quelques hommes de leur fidélité, en les invitant, un par un à réaliser un autre de ses fantasmes.



Lorsqu’ils arrivaient chez nous, et au bout de quelques instants, l’ambiance devenait forcément torride. Elle nous excitait tous les deux, nous emmenait dans la chambre, et invitait l’homme en question à s’asseoir dans un coin de la pièce. Pendant que nous faisions l’amour, elle lui demandait de se caresser, comme il le faisait devant son écran d’ordinateur.



Elle s’installait sur le côté, je me mettais derrière elle, et elle pouvait ainsi profiter de mes allers-retours que je faisais avec ma queue, et de la vue de cet homme, qui se branlait en la regardant. Au moment de jouir pour lui et moi, il se rapprochait de G, et éjaculait bruyamment sur sa poitrine. Quant à moi, je me retirais de son sexe humide, je prenais mon sexe à pleine main, et j’éjaculais sur son ventre.

Parfois, l’homme présent se mettait à la droite de G, moi à sa gauche, et nous éjaculions de chaque côté de sa poitrine, en étalant notre sperme sur elle, ne gâchant pas notre plaisir à masser ses seins si magnifique.



A la fin de cette séance, l’homme repartait, un peu déçu de n’avoir pas pu bénéficier de plus de faveurs, mais les couilles vidées, et conscient d’avoir vécu une expérience assez hors du commun.



Chaque expérience est un moment magique avec G., et c’est sans doute pour cela que je l’aime si fort. Je terminerai cette histoire de la même façon que nous terminons d’habitude un moment charnel…par un « Je t’aime » pour G. !!



Nous espérons que cette histoire vous aura plue, et que vous nous ferez part de vos pensées les plus inavouables à la lecture de ces quelques lignes…