Norbert et sa chienne
Récit érotique écrit par Rêveuse nocturne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Norbert et sa chienne
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Le lendemain, je me réveillait, Annie étais toujours la nue contre moi. En posant délicatement un baiser sur ses lèvres, je la câlinait.
Je restait un instant pour la contempler. Elle avait l'air calme.
Je me suis levé, je lui ai préparé un bon petit déjeuner. Je me suis douché et habillé.
Je suis a la retraite, sans enfants, sans crédit, ma retraite est correcte et j'ai un petit studio en ville, qui me rapporte un peu. Je ne suis pas riche mais je vis bien.
Lorsqu'elle arrive dans la cuisine ou je bois mon café. Elle m'enlace, puis m'embrasse, un long baiser ou sa langue viens chercher la mienne.
- Tu vas faire quoi aujourd'hui Norbert?
- On va aller faire un tour.
- Ou ça?
- Tu verras. Mets des habits corrects, on part des que tu es prête.
Je la regarde manger, elle semble heureuse. J'ai des remords, je lui ai défoncé la chatte et le cul, j'ai refusé d'essayer de lui donner du plaisir, je lui ai fait tres mal. Pourtant ce matin elle semble heureuse.
- Si on va en ville, je vais aller m'habiller chez moi. Ici je n'ai rien.
- Non, ne prends pas le risque d'énerver ton père. Je vais te passer un t-shirt a moi, et un jogging. Ça suffira.
Elle finit de manger, elle se lève, je la suis, elle ne dis rien, elle entre dans la salle de bain, j'y entre aussi. Je la regarde, je n'en reviens toujours pas.
J'ai dépucelé une jeune femme sublime, je l'ai malmenée. Mais elle continue de se laisser faire.
Lorsqu'elle a finit je lui tend des habits, elle a un moment d'hésitation, oui elle s'habille sans sous vêtements!
Durant les deux heures de routes qui nous mènent jusqu'à Lyon, je sens qu'elle me dévore des yeux, régulièrement sa main viens trouver la mienne, elle est si tendre.
- Dis moi Annie...
- Oui!
- C'était comment hier soir?
- et bien... C'était bien, non?
- Pour moi c'était parfait, mais toi? Je t'ai fait mal?
Elle baisse les yeux, et répond tres timidement un oui. Je bande. Je suis fier tout a coup de lui avoir déchiré son pucelage, fier parce qu'elle est la! Elle me câline, elle s'excuse de s'en plaindre.
- Ne t'inquiète pas, hier soir je t'ai punie. Parce que j'étais en colère, tu voulais ma bite, je te l'ai donnée. Maintenant tu es a moi, je vais prendre soin de toi, mal parfois je te ferai mal. Tu es d'accord?
- Ho oui mon Norbert!
Elle en était ravie, et moi aussi!
Nous sommes finalement arrivés, j'ai garé ma voiture. Nous avons marchés main dans la main, comme un jeune couple. Nous sommes rentrés dans une boutique de lingerie, je lui ai offert de beaux ensembles. Puis je lui ai acheté quelques habits dont une robes ou elle semble presque nue. Pour finir je l'ai en menée chez le coiffeur et l'esthéticienne.
Pour finir, nous sommes allés au restaurant. J'ai pris une chambre pour éviter de faire le trajet retour.
On a pris une douche ensemble, elle embrassait mon corps qui paraissait encore plus vieux contre le siens. Elle semblait aimer ça. Sans même nous sécher, je l'ai guidée jusqu'au lit, je lui ai léché les seins, j'ai tété ses mamelons bien durs comme un bébé. Ses gémissements me rendait fou. J'ai écarté ses cuisses d'un coup sec, j'ai léché son corps jusqu'à son clitoris, elle mouillait. Plus je lui bouffait la chatte plus elle gémissait bruyamment. J'ai sentit ses jambes se resserrer sur ma tête puis se relâcher.
Ma bouche est allé rejoindre la sienne.
- Je vais te fourrer la bite dans la chatte. Je vais y aller doucement pour commencer.
Délicatement j'ai introduit ma bite dans sa petite chatte presque vierge. Aussi serrée qu'hier. Un bonheur. Je l'ai pénétrée doucement pour ne pas la blessée ce soir. Lorsque j'ai sentit sa chatte plus ouvert j'ai commencé a la pilonner, son manque d'expérience l'empêchait de retenir ses cris, elle hurlait. Mais de plaisir ce soir.
Je limée jusqu'à ce qu'elle jouisse bruyamment.
- C'était bon?
- oui...
- Dis moi de qui tu es la salope?
- De toi Norbert
- Retournes toi ma salope, t'as joui deux fois, t'es une mauvaise salope, c'est moi qui doit jouir, je vais te donner ma punition.
Un peu étourdie, pas tout a fait consciente elle se retourne, je lui empoigne les cheveux, relève son cul, pose mon chibre sur son anus et comme la veille je l'enfonce d'un coup. Elle hurle, entre la douleur et le plaisir, je ne ménage pas son cul, contrairement a hier je lui défonce le cul, je la pénètre profond de plus en plus vite. Je sens que je vais jouir, je sors et j'en fonce ma bite au fond de sa gorge.
- Avale!
Comme la veille elle ne dit rien, et elle s'exécute. Je la prends dans mes bras on se caresse longuement elle me remercie, je l'embrasse.
Je crois que je tombe amoureux.
Comme la veille enlacés, en sueur, mais satisfaits tout les deux nous nous endormons!
J'attends vos commentaires!
Le lendemain, je me réveillait, Annie étais toujours la nue contre moi. En posant délicatement un baiser sur ses lèvres, je la câlinait.
Je restait un instant pour la contempler. Elle avait l'air calme.
Je me suis levé, je lui ai préparé un bon petit déjeuner. Je me suis douché et habillé.
Je suis a la retraite, sans enfants, sans crédit, ma retraite est correcte et j'ai un petit studio en ville, qui me rapporte un peu. Je ne suis pas riche mais je vis bien.
Lorsqu'elle arrive dans la cuisine ou je bois mon café. Elle m'enlace, puis m'embrasse, un long baiser ou sa langue viens chercher la mienne.
- Tu vas faire quoi aujourd'hui Norbert?
- On va aller faire un tour.
- Ou ça?
- Tu verras. Mets des habits corrects, on part des que tu es prête.
Je la regarde manger, elle semble heureuse. J'ai des remords, je lui ai défoncé la chatte et le cul, j'ai refusé d'essayer de lui donner du plaisir, je lui ai fait tres mal. Pourtant ce matin elle semble heureuse.
- Si on va en ville, je vais aller m'habiller chez moi. Ici je n'ai rien.
- Non, ne prends pas le risque d'énerver ton père. Je vais te passer un t-shirt a moi, et un jogging. Ça suffira.
Elle finit de manger, elle se lève, je la suis, elle ne dis rien, elle entre dans la salle de bain, j'y entre aussi. Je la regarde, je n'en reviens toujours pas.
J'ai dépucelé une jeune femme sublime, je l'ai malmenée. Mais elle continue de se laisser faire.
Lorsqu'elle a finit je lui tend des habits, elle a un moment d'hésitation, oui elle s'habille sans sous vêtements!
Durant les deux heures de routes qui nous mènent jusqu'à Lyon, je sens qu'elle me dévore des yeux, régulièrement sa main viens trouver la mienne, elle est si tendre.
- Dis moi Annie...
- Oui!
- C'était comment hier soir?
- et bien... C'était bien, non?
- Pour moi c'était parfait, mais toi? Je t'ai fait mal?
Elle baisse les yeux, et répond tres timidement un oui. Je bande. Je suis fier tout a coup de lui avoir déchiré son pucelage, fier parce qu'elle est la! Elle me câline, elle s'excuse de s'en plaindre.
- Ne t'inquiète pas, hier soir je t'ai punie. Parce que j'étais en colère, tu voulais ma bite, je te l'ai donnée. Maintenant tu es a moi, je vais prendre soin de toi, mal parfois je te ferai mal. Tu es d'accord?
- Ho oui mon Norbert!
Elle en était ravie, et moi aussi!
Nous sommes finalement arrivés, j'ai garé ma voiture. Nous avons marchés main dans la main, comme un jeune couple. Nous sommes rentrés dans une boutique de lingerie, je lui ai offert de beaux ensembles. Puis je lui ai acheté quelques habits dont une robes ou elle semble presque nue. Pour finir je l'ai en menée chez le coiffeur et l'esthéticienne.
Pour finir, nous sommes allés au restaurant. J'ai pris une chambre pour éviter de faire le trajet retour.
On a pris une douche ensemble, elle embrassait mon corps qui paraissait encore plus vieux contre le siens. Elle semblait aimer ça. Sans même nous sécher, je l'ai guidée jusqu'au lit, je lui ai léché les seins, j'ai tété ses mamelons bien durs comme un bébé. Ses gémissements me rendait fou. J'ai écarté ses cuisses d'un coup sec, j'ai léché son corps jusqu'à son clitoris, elle mouillait. Plus je lui bouffait la chatte plus elle gémissait bruyamment. J'ai sentit ses jambes se resserrer sur ma tête puis se relâcher.
Ma bouche est allé rejoindre la sienne.
- Je vais te fourrer la bite dans la chatte. Je vais y aller doucement pour commencer.
Délicatement j'ai introduit ma bite dans sa petite chatte presque vierge. Aussi serrée qu'hier. Un bonheur. Je l'ai pénétrée doucement pour ne pas la blessée ce soir. Lorsque j'ai sentit sa chatte plus ouvert j'ai commencé a la pilonner, son manque d'expérience l'empêchait de retenir ses cris, elle hurlait. Mais de plaisir ce soir.
Je limée jusqu'à ce qu'elle jouisse bruyamment.
- C'était bon?
- oui...
- Dis moi de qui tu es la salope?
- De toi Norbert
- Retournes toi ma salope, t'as joui deux fois, t'es une mauvaise salope, c'est moi qui doit jouir, je vais te donner ma punition.
Un peu étourdie, pas tout a fait consciente elle se retourne, je lui empoigne les cheveux, relève son cul, pose mon chibre sur son anus et comme la veille je l'enfonce d'un coup. Elle hurle, entre la douleur et le plaisir, je ne ménage pas son cul, contrairement a hier je lui défonce le cul, je la pénètre profond de plus en plus vite. Je sens que je vais jouir, je sors et j'en fonce ma bite au fond de sa gorge.
- Avale!
Comme la veille elle ne dit rien, et elle s'exécute. Je la prends dans mes bras on se caresse longuement elle me remercie, je l'embrasse.
Je crois que je tombe amoureux.
Comme la veille enlacés, en sueur, mais satisfaits tout les deux nous nous endormons!
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