Notre 1ère nuit - histoire érotique

Je connaissais Evan depuis des mois, tous les 2 nous étions assez proches et nous nous étions rapidement attachés.
Un soir, où sa famille n'était pas là, il m'invita chez lui, en tant que simple amis bien sûr. Plusieurs fois il avait essayé de me draguer, j'avais réussi à repousser ses avances. C'était un garçon adorable et extrêmement drôle, mais il aimait beaucoup jouer avec les filles et enchaînait les conquêtes.
Le soir même, je me prépare, fais mon sac et part chez lui, il m'ouvre avec un grand sourire et m'embrasse sur la joue avant de me faire entrer. On décide tous les 2 de se poser dans le salon, pendant plus d'une heure on discute beaucoup, on rigole, on se chamaille comme des enfants. Evan avait pris mon verre, j'essayais tant bien que mal de le récupérer, il est fort, bien plus que moi et il en fallu peu pour qu'il me renverse par terre et se retrouve au dessus de moi. J'admirais son visage au dessus du mien, il avait des cheveux châtains, quelques mèches s'étaient posées sur son visage durant nos taquineries, il avait de beaux yeux marrons, son regard était mystérieux, il me fixe et sourit légèrement. Je souris aussi, complément sous le charme, il vient juste d'avoir ses 18 ans, il est plus beau que jamais.
Lentement il approche encore son visage du mien, nos lèvres s'effleurent avant de s'éloigner aussitôt après, une vraie torture, ses lèvres me font horriblement envie, heureusement il s'empresse de poser ses lèvres sur les miennes de nouveau, nos langues se mêlent, nos souffles s'accélèrent. Il est maintenant pratiquement allongé sur moi, je sens le poids de son corps sur le mien, sa poitrine contre la mienne, je m'empresse de glisser mes mains dans ses cheveux comme si j'avais peur qu'il s'éloigne. Trop essoufflés tous les deux, nous sommes forcés d'arrêter cette étreinte, son visage s'éloigne du mien, il se redresse et s'allonge à mes côtés , parterre.
Je tourne la tête pour le regarder, il me regarde, et me prend la main, je m'empresse de la serrer.
Mes pensées se bousculent, et s'il me faisait le numéro qu'il fait à toutes les autres filles, et si je n'étais qu'un vulgaire jouet pour lui, comme toutes les autres ?
Je suis rapidement interrompue de ma rêverie lorsqu’il se relève et me tire par la main. Je me lève à mon tour, et lui souhaite bonne nuit, avant de m'en aller dans ma chambre. Étonné il me répond un bonne nuit hésitant et reste figé lorsque je m'en vais dans ma chambre.

Je suis fatiguée, et ne prend pas la peine de retirer mes vêtements. Je retire seulement ma jupe avant de me glisser sous la couette, je ne vais pas beaucoup dormir, c’est certain, je suis torturée par des milliers de questions. Une heure passe, je me retourne, encore et encore, je m’énerve et décide de me lever pour boire un verre d’eau, me calmer et tenter de m’endormir enfin. Mon idée fonctionne, peu à peu le sommeil me gagne, lorsque je sens une présence sous ma couette. Evan se colle à moi, sa main vient caresser mon visage et mes cheveux. J’ouvre les yeux et le regarde, il me murmure
- Je t’ai entendue descendre dans la cuisine, toi aussi tu n’arrives pas à dormir ?
Je lui répond en hochant la tête, il me sourit et continue :
- Ecoute, je suis désolé pour tout à l’heure, tu sais bien que j’ai toujours eu des sentiments pour toi, je n’ai pas pu m’en empêcher, tu es plus jolie que jamais et nous étions seuls, tous les deux.
Voyant que je ne dis toujours rien il enchaîne en devinant mes pensées :
- Je ne joue pas avec toi Mathilde, je sais que tu penses que je suis un manipulateur, mais j’ai changé, et c’est en parti grâce à toi, je suis tombé amoureux et j’ai su ce que ça faisait de ne plus avoir le dessus sur la situation.
Je ne réponds toujours pas, il n’a jamais su que j’étais aussi amoureuse de lui, et que par conséquent, je n’avais pas plus le dessus sur la situation que lui. Doucement il passe sa main sur ma joue, je pose ma main sur la sienne et me blottis un peu plus contre lui. Son autre main caresse mes hanches, descend le long de mes cuisses et remonte dans mes cheveux. J’ai le visage au creux de son torse chaud, ma respiration est irrégulière il s’en rend compte et me murmure :
- Avoue, je te fais de l’effet petite Mathilde
Sa bouche s’empare de la mienne, je lui rends immédiatement son baiser et me place à califourchon au dessus de lui. Toujours en m’embrassant il se redresse et s’assoit. Il quitte ma bouche et m’embrasse dans le cou, je laisse tomber ma tête, puis le reste de mon corps en arrière. Il continue ses baisers dans le cou et descend doucement, il retire ma chemise, puis mon soutif et m’embrasse un par un les seins, avant de les titiller avec sa langue. Je ferme les yeux pour mieux sentir ses gestes experts. Sa bouche descend jusqu’à mon nombril, elle s’arrête juste avant d’atteindre mon entrejambe. Ce coquin a décidé de me faire languir. Sa main effleure mon corps de son long, elle part de mon cou et descend en ligne droite pour se poser sur mon sexe. Il écarte mes lèvres et commence à me caresser, un de ses doigts vient titiller mon clitoris, je pousse déjà de petits gémissements. Enfin il retire ma culotte et sa tête vient se glisser entre mes cuisses et je sens sa langue brûlante jouer avec mon clitoris, instinctivement mes mains viennent se poser sur ses cheveux pour lui dire de continuer. Le plaisir, augmente, je sens mon bas ventre se contracter et lui aussi, il décide d’arrêter et vient m’embrasser de nouveau.
A moi de lui faire plaisir, je lui fais signe de s’allonger. Mes mains caressent son torse, j’effleure ses muscles qui se contractent sous mes doigts, je pose des baisers dans son cou, sur son nombril. Mes caresses se font plus insistantes. Son caleçon semble prêt à craquer, tant son membre tire dessus, je m’appuie dessus et Evan grimace, à la fois de douleur et de plaisir. Je décide d’abréger ses souffrances et retire son caleçon avant de prendre son membre en main. Ma main imprime doucement un aller-retour régulier et lent, déjà sa respiration devient saccadée et ses muscles se contractent. Je le regarde, son visage est crispé, ses yeux sont fermés. Je décide de le prendre en bouche et pose mes lèvres sur son gland, doucement je l’avance dans ma bouche, prenant soin d’exercer une pression avec mes lèvres, il gémit au contact de la chaleur de celle-ci et pose sa main sur ma tête pour m’encourager à continuer. Il est doux, et caresse mes cheveux. Je continue les aller et venus, ma langue parcours son membres de long en large, j’insiste au niveau de son frein, je remarque qu’il trésaille à chaque fois que je passe sur cette zone. Son membre grandi de plus en plus, je sens qu’il va arriver et m’éloigne immédiatement. Il est essoufflé et peine à parler. Il m’embrasse pour me remercier. J’ai envie de lui, mon regard me trahi, il le sait et s’empresse de se positionner au dessus de moi, il m’embrasse et entre en moi au même moment. Je gémis, nos respirations s’accélèrent au fur à mesure qu’il me pénètre, je sens l’orgasme m’envahir, mes jambes se serrent autour de sa taille je tremble et pousse un cri avant de l’embrasser pour le remercier. Il n’a pas encore joui pourtant il se retire et m’embrasse à son tour. De ses mains, il me relève et me retourne, je comprends qu’il veut me prendre en levrette, et me cambre pour lui offrir mes fesses. Il les attrapes avec ses mains et entre brutalement en moi, il me pénètre avec force, je sens son ventre taper contre mes fesses, doucement la chaleur monte dans mon bas ventre qui se contracte de plus en plus, mes gémissements et les siens montent au même rythme et nous jouissons en même temps. Un râle de plaisir sort de sa gorge, je sens un liquide chaud m’envahir, il s’écroule sur moi avant même de se retirer. Nous reprenons notre souffle, il se retire enfin et me prend dans ses bras. Je me blottis contre lui, hypnotisée par la chaleur et la sensation de son corps contre le mien. Sa main joue avec quelques mèche de mes cheveux, il pose un baiser sur mes lèvres et chuchote un magnifique je t’aime . Mes yeux croisent les siens, son regard est doux, je lui souris, et lui dis je t’aime à mon tour. Il pose une dernière fois ses lèvres sur les miennes, le plus tendrement possible, et m’enlace de ses bras avant de s’endormir contre moi.