Notre deuxième fois en club libertin
Récit érotique écrit par Isabelle [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-02-2012 dans la catégorie Plus on est
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Notre deuxième fois en club libertin
Je vous ai raconté, lors d’un précédent récit, notre « première fois » en club libertin (mon anniversaire).
Nous avons depuis, beaucoup fantasmé sur ce partage de ma tendre et douce épouse et nous avons récidivé.
Lors d’un de nos derniers passages à Paris, nous avons complété la garde-robe d’Isabelle en allant piocher dans les créations de Patrice Catanzaro. Une alternance de vinyle et de dentelles. Les seins et la totalité du dos, du haut en bas de la robe, sont couverts de dentelles, une bande de vinyle fait la liaison entre les dentelles qui découvrent les seins, deux autres assurent la liaison avec celle qui permet de voir le dos et les fesses.
Je vous laisse imaginer le plaisir de regarder un corps découvert par un tel vêtement.
Vendredi soir donc, nous voilà en route pour un club parisien.
Juste le temps d’ôter la robe camouflage à l’entrée, et nous pénétrons dans le bar qui se prolonge par la piste de danse.
Plusieurs couples se trouvent déjà là. Quelques regards et sourires échangés manifestent de l’intérêt suscité auprès de certains. Nous commandons un cocktail et un couple de notre âge assis à côté de nous sur des chaises hautes entame la conversation. Il se prénomme Pierre et elle, Nathalie.
Elle est vêtue d’une robe courte noire qui dévoile largement la lisière de ses bas.
Son dos est assez largement dénudé.
Quelques banalités échangées entre deux gorgées d’alcool et nous allons nous asseoir sur un des canapés installés de part et d’autre de la piste de danse. Isabelle entre Pierre et moi, Nathalie juste à côté de son mari. La conversation prend un ton badin et entre deux fous rires, Pierre pose volontiers, comme par inadvertance, sa main sur la jambe d’Isabelle. Penché en avant pour mieux voir nos amis d’un soir, je pose aussi ma main sur sa cuisse, à la lisière de son bas. Sa robe est tellement courte qu’elle remonte pratiquement à hauteur de son joli minou. Le string noir qui peine à cacher son intimité est bien visible.
Nathalie qui s’est absentée un instant pour se refaire un peu le maquillage revient et s’assoit auprès de moi, serrée qu’elle était au bout du canapé. Peut-être aussi, coquine, pour venir se faire câliner par un autre homme que son mari.
J’en profite naturellement pour poser la main sur sa cuisse laissée nue par une robe bien courte. Nous nous levons pour aller danser sur un des rythmes proposés par le DJ et échangeons plusieurs fois nos cavalières. Nathalie a vraiment le dos très doux à caresser, peau que je parcours longuement pendant la durée d’une chanson de Joe Cocker.
La chaleur aidant, nous allons faire une pause au bar avec une coupe de champagne.
Isabelle appuyée de dos contre moi penche sa tête en arrière pour me dire discrètement à l’oreille :
• — Il n’arrête pas de me caresser !
• — Plutôt agréable ?
• — Oui, j’aime bien. Il est un peu pressé peut-être… • — Coquine, avoue que malgré tout, il te fait déjà mouiller !
• — Oui mais patience, je ne veux pas monter tout de suite.
• — C’est toi qui même le jeu !
De fait, je parcours les flancs de mon doudou et revenant sur son ventre, je croise la main de Pierre qui esquisse un mouvement de recul et m’adresse un regard interrogatif.
Un sourire le rassure et il poursuit ses caresses, ma main descendant vers le pubis d’Isabelle croise les doigts de notre nouvel ami.
Isabelle se cale sur les talons, après avoir ouvert un peu plus les jambes et la tête en arrière me susurre :
• — Il me fait mouiller, le coquin, j’adore vos doigts sur mes cuisses… • — Il va falloir aller enlever ta culotte ; il aura plus de place pour se glisser entre tes lèvres • — Pas encore, il va languir !
Quelques caresses plus tard, nous retournons sur la piste de danse et nos deux coquines s’enroulent autour de la barre, dansant pour notre plus grand plaisir.
Pierre placé derrière Isabelle, encourage nos épouses qui descendent sur leurs talons découvrant leurs trésors que peine à cacher les strings minimalistes qu’elles portent l’une et l’autre.
Isabelle en se relevant, recule tout en maintenant la barre et vient, de ses fesses tendues, se frotter sur le sexe de Pierre. Il en profite pour lui caresser la poitrine et glisser ses mains vers le sexe à peine couvert.
De mon côté, je me colle à Nathalie qui se retourne vers moi, et nos lèvres se soudent tandis que je parcours son dos et le haut de ses fesses.
Pierre vient nous rejoindre, se colle au dos de sa femme et nous entamons une danse sensuelle.
Isabelle vient s’intercaler sur le côté et promène ses doigts sur le flanc de notre prisonnière.
La température montant assez sérieusement nous revenons vers le bar tout en discutant avec nos amis d’un soir chacun frôlant du plus qu’il peut nos deux belles.
Après un nouvel épisode sur la piste de danse, nous nous posons un instant sur un canapé, Isabelle entre Pierre et moi.
Sa robe maintenant remontée à la lisière de son string ne nous pose aucun problème d’accès à ses cuisses. Une chacun, nos mains vont et viennent plutôt de la lisière des bas vers le creux de l’aine où la peau est si douce. Par moment nos doigts s’égarent vers la fente humide encore cachée bien que les lèvres gonflées débordent assez volontiers de chaque côté.
Bien appuyée sur le dossier, Isabelle ouvre les jambes, et croise la droite sur la gauche, la cheville sur le genou. Bien ouverte, en appui sur la cuisse de Pierre, elle s’offre maintenant à la main qui parcourt de plus en plus le haut de cette jambe dorée.
N’y tenant plus, Isa se soulève et ôte son string laissant apparaître sa fente rose, luisante de son excitation, lèvres épaisses traduisant son envie. Elle reprend la pause précédente exhibant sans gêne son intimité à nos voisins qui nous frôlent en évoluant sur la piste de danse.
Nous continuons le partage des jambes, chacun évoluant sans jalousie vers l’intimité convoitée, une main se retirant volontiers pour laisser la place à sa concurrente, la vision de cette complicité étant d’un érotisme torride. J’ai pour ma part une érection continue, d’autant qu’Isabelle vient maintenant poser une main sur chacune de nos braguettes, s’enquérant de la dureté des verges qui s’y cachent encore. Elle appuie sur ma queue, caresse au travers du pantalon un sexe qui n’en peut plus d’attendre. Si on continue comme ça je ne réponds plus de rien.
Pierre subit le même traitement et il ne faut pas être grand clerc pour voir la satisfaction qu’il ressent sur son visage, un peu, au travers de la bosse qui disparaît sous la main gourmande de ma compagne, beaucoup.
Je partage avec Pierre la douceur de la peau des cuisses à la lisère des bas et en alternance je viens caresser le bouton turgescent. Nos doigts se retrouvent à l’entrée du puits d’amour, se font des politesses et finalement par instant y entrent ensemble avant que les uns se retirent laissant libre champ à leurs concurrents. Ceux-là alors tournent, s’enfoncent et se retirent, caressent l’intérieur du vagin en hauteur vers le fameux point G, se retirent pour poliment laisser place à leurs complices. Le pincement de la bouche d’Isa traduit son plaisir et elle se penche vers moi :
• — On monte ?
• — Si tu veux, tu as envie ?
• — Je vous veux tous les deux, de vous trois plutôt, j’ai envie de Nath aussi !
Belle nouvelle, Isa n’étant pas foncièrement bi.
Nous nous installons sur un lit à l’étage, je caresse Isa promenant mes lèvres dans son cou, allant de l’oreille que je pénètre de ma langue jusque vers son épaule. Elle frissonne et sa main trouve ma queue trop serrée dans le pantalon. Je glisse vers ses jambes que je parcours en allant vers l’intérieur des cuisses pour me promener sur cette partie de peau si douce avant d’atteindre les lèvres humides de plaisir.
Ma langue vient goûter le suc qui coule de ses lèvres que j’écarte pour aller titiller le bouton rose que je découvre en écartant le haut de la vulve. Le petit bouton rose pointe fièrement son nez, dégagé de son capuchon que j’écarte de mes doigts. Pierre contemple ce bonbon rose que je suce doucement alternant coups de langues et succion me régalant du goût de cette mouille abondante. Isa gémit maintenant et demande que je poursuive mes caresses.
Je parcours des doigts l’entrée de sa grotte glissant légèrement à l’intérieur du vagin accueillant.
Pierre s’est agenouillé à hauteur du visage d’Isabelle et lui caresse la poitrine, le cou et descend vers le ventre à la recherche de son intimité. Il l’embrasse ou lui lèche le cou, je ne vois plus très bien tandis que je laisse une main s’égarer sous la robe de Nathalie où j’accède à une chatte lisse, chaude et totalement nue.
Elle se penche et relève la robe d’Isabelle qu’elle fait glisser sous les fesses que ma coquine soulève pour aider à l’effeuillage. Une fois nue, juste vêtue de ses bas, elle se rallonge tandis que Nathalie prend un sein en bouche laissant l’autre à Pierre.
Niché entre ses jambes, je lèche l’intérieur de ses cuisses et viens boire sa mouille et sucer son clitoris maintenant bien sorti de son capuchon. Je me relève et laisse la place à Pierre qui commence à lécher le nombril en caressant l’intérieur des cuisses puis la fente de ma chérie. Nathalie, maintenant nue et à cheval sur le visage d’Isabelle, se fait lécher la chatte et en échange, mordille la pointe d’un sein l’autre restant pour l’instant prisonnier de ma bouche.
Besoin de bites, Isa cherche nos queues et essaie de défaire les ceintures et boutons pour accéder aux verges tendues qu’elle convoite. Nous l’aidons bien évidemment et nous mettons nus comme le sont nos épouses respectives.
Isa a maintenant pris nos sexes en main et les masturbe lentement, serrant volontiers la base de la verge, enveloppant le gland dans la paume et redescendant sans relâcher la pression qu’elle exerce. Elle malaxe ces queues en descendant vers leur base vient enserrer et caresser les bourses bien remplies qu’elle aspire manifestement à voir venir se nicher entre ses cuisses.
Pierre glisse un doigt entre les lèvres, et sa promenade du clitoris vers le petit trou plissé se perd dans la grotte humide. Il entame un lent va-et-vient provoquant les gémissements de la belle subissant les assauts conjoints de Nathalie et des miens.
Pierre la retourne maintenant ; elle se positionne à genoux les cuisses ouvertes, fesses bien dressées libérant son œillet plissé.
Pierre reprend possession de la chatte dans laquelle il introduit maintenant deux doigts, maintenant la cadence d’un va-et-vient lent et profond. Isabelle gémit de plus en plus d’autant que la langue de son amant part à la conquête de ses reins.
La langue se promène dans le sillon allant du bas du dos jusqu’au périnée et remontant humidifie l’anus qu’elle pénètre maintenant comme une petite bite.
Je passe ma main entre les cuisses d’Isabelle et vient caresser le bourgeon orphelin accentuant les gémissements de la belle. Je présente mon engin tendu devant les lèvres de mon ange, elle s’en empare et je vois ses lèvres m’engloutir avec un plaisir non feint. Elle alterne succion et petits coups de langue sur le frein pour me reprendre le plus profond possible.
• — Encore, encore, ne vous arrêtez pas, nous dit-elle entre deux succions.
• — Tu aimes ça, ma salope ?
• — Mange-moi le cul, Pierre et branlez-moi encore, encore !
Je prends entre deux doigts le clito que je branle comme une petite bite, le pince et l’étire doucement avant de le caresser comme un objet tendre et fragile.
Les fesses se soulèvent encore, tendues vers l’arrière pour libérer cette douce rondelle plissée tandis que les doigts de Pierre pénètrent de plus en plus rapidement la chatte d’Isabelle.
Pierre se relève, habille sa queue d’un préservatif et pose la tête de cette bite à peine libérée de la main d’Isabelle à l’entrée de son vagin trempé d’une mouille abondante. Il pose les mains sur les hanches et s’enfonce lentement jusqu’à venir en butée, les couilles contre mes doigts qui ne cessent de caresser le clito.
Nathalie, passant les mains sous la poitrine, malaxe les seins et pince les bouts dressés. Je sais qu’Isabelle adore cette sensation de presque douleur en phase de jouissance. Elle nous fait part de son plaisir par des gémissements plus audibles et ses :
• — Encore, encore, ne vous arrêtez pas !
Pierre la pilonne de plus en plus fort, claque les fesses du plat des mains, sort son gland en totalité et se renfonce brusquement dans cet antre chaud qui réclame une bite pour le remplir.
Il la retourne, la couche sur le dos, relève ses jambes qu’elle maintient en se tenant les genoux
• — Viens, mets-la-moi encore, baise moi profond. Vite, vite, baise-moi !
Je n’avais pas souvent vu ma chérie pareillement excitée.
Elle pince les seins de Pierre, je sais qu’elle l’amène à la limite de la douleur, puis passant la main gauche sous sa cuisse, elle va caresser les couilles qui battent sur ses fesses.
Pierre reste abuté bien au fond de ce con accueillant, se retire, revient lentement, sort totalement et revient brusquement au fond de cette chatte en chaleur.
Les gémissements gagnent en intensité et je reviens glisser ma main entre les deux corps pour masturber le clitoris turgescent.
• — Encore, salauds, vous me faites monter, ne vous arrêtez pas !
Quel vocabulaire ! En fait j’adore ça, mon excitation redouble encore si c’est possible. Ma bite tendue me fait presque mal de désir, il va falloir rapidement que je la baise aussi.
Je profite d’un recul de Pierre pour lui faire comprendre que je prends la place, et pénètre d’un seul coup dans le vagin ouvert. J’y glisse sans soucis, franchement j’ai rarement vu Isabelle aussi excitée, sa mouille a humidifié ses cuisses, et la bouche de Pierre sur les seins n’est pas de nature à faire retomber la fièvre.
Il se place à hauteur du visage et propose son gland violet et gonflé aux lèvres gourmandes. Elle prend ses couilles et les caresse remontant vers la tige qu’elle porte à sa bouche alternant fellation et masturbation avant de la reprendre de nouveau goulûment.
Je sais que sa jouissance viendra si elle me chevauche, c’est sa position favorite.
Je bascule sur le dos, l’entraînant sur moi sans quitter son nid douillet.
Pierre passe aussitôt derrière elle, lui caresse le dos, embrasse le cou, les oreilles et contournant le dos empaume les seins dont il pince les bouts.
Isabelle s’agite d’avant en arrière de plus en plus rapidement, je la penche un peu sur moi et écarte ses fesses entre lesquelles j’insinue un doigt titillant la rosette.
Trempée de la mouille de sa chatte et sûrement aussi de son plaisir propre, sa rondelle s’ouvre sans résistance sous la phalange et je me glisse dans son cul sentant ma bite sur laquelle elle s’empale.
La main de Pierre vient à la rencontre de la mienne, je quitte mon abri et laisse la place à un doigt tout aussi curieux. Mieux placé, il pénètre plus profondément le cul bien ouvert de ma douce, je sens bien au travers de la fine paroi qui nous sépare la caresse qu’il lui prodigue.
Nathalie un peu délaissée, il faut le reconnaître, embrasse les seins d’Isabelle et se masturbe. Nous aurons dans un moment, le temps de nous occuper d’elle, la nuit est encore bien longue.
Isabelle se redresse et mordant sa lèvre inférieure, je regarde monter son orgasme qu’elle crie sans retenue avant de se reposer sur ma poitrine.
Elle n’est pas assouvie, je sens parfaitement qu’elle en redemande. J’ai réussi à ne pas éjaculer mais franchement, il était temps. Elle recommence à onduler, je sens son vagin se contracter autour de mon gland. Elle recommence à bouger le bassin, lentement avec un petit mouvement rotatif inhabituel mais très agréable.
Pierre, revenu à hauteur de son visage, lui redonne sa bite à sucer. Elle le porte à ses lèvres avec gourmandise et reprend son alternance de caresses et de léchouilles.
• — Je vais te gicler dessus petite pute !
• — Viens, arrose-moi, je veux ton jus sur mes seins !
Soudain Pierre se crispe, Isa accélère ses caresses et un premier jet de foutre odorant vient s’écraser sur la poitrine de notre amante qui, tenant ses seins serrés entre ses deux mains, quémande le sperme qu’elle vient d’extraire. Le reste se répand sur ma poitrine et sur le ventre et les cuisses d’Isabelle.
L’épisode a contribué à raviver encore plus son désir. Elle ondule de nouveau sur ma bite. Je joue avec ses tétons, la prend par les hanches pour la faire se lever.
Pierre s’est allongé à côté de nous. Je pousse tendrement Isabelle pour qu’elle l’enjambe et s’empale sur sa queue dressée à laquelle elle a redonné une rapide vigueur par ses caresses et le jeu de ses lèvres.
Je la vois monter et descendre sur le pal dressé, luisant de sa jouissance récente avec un mouvement d’avant en arrière propice à l’excitation de son clitoris. C’est un spectacle d’un érotisme étonnant, un pincement et une jouissance cérébrale extraordinaire. Voir sa femme s’empaler sur la queue d’un autre provoque une vraie émotion et quel plaisir de lui voir prendre son pied.
Je me place derrière elle et caresse le dos et les fesses qu’elle me présente.
Pierre écarte de ses mains les globes joufflus pour que je puisse y plonger voluptueusement mon visage. J’accède à sa raie et de la langue vient titiller la rosette qui me semble vouloir s’ouvrir volontiers. Je goûte un moment le jus odorant de l’endroit, puis glisse un doigt dans cette rondelle que je meurs d’envie de pénétrer.
• — J’ai une terrible envie de t’enculer, ma salope chérie !
• — Viens, je suis toute ouverte, j’ai aussi envie de toi dans mon cul ! Va doucement !
Pierre à la manœuvre stoppe ses mouvements et attire Isabelle qui s’allonge sur sa poitrine pour que je puisse présenter ma bite que j’ai recouverte d’un préservatif pour être mieux lubrifié, à l’entrée de ce petit trou.
Une première, quelle excitation !
J’appuie doucement sur l’œillet froncé et lentement je vois mon gland disparaître, aspiré entre les reins de ma chérie. Je vois les yeux écarquillés de Nathalie qui semble ne pas en revenir. Je pousse encore un peu et c’est toute ma bite qui est maintenant engloutie.
• — Ça va ?
• — Tu me fais du bien, c’est bon. Venez ensemble, baisez-moi bien ! Vous allez me faire jouir. Encore salauds, encore !
Pas très facile en vérité de s’agiter à deux en même temps mais on trouve un certain rythme qui semble nous convenir à tous trois, en tout cas si j’en crois la montée de l’orgasme chez Isabelle.
Je sais qu’elle ne viendra vraiment que si elle est libre de ses mouvements. Je sens monter le sperme du fin fond du ventre et m’abutant contre les fesses tendues, je me vide littéralement dans le latex qui me recouvre non sans émettre un vrai grognement de contentement.
Isabelle a senti que je viens de jouir et comme je sais qu’elle n’aura un vrai orgasme que libre de ses mouvements, je me retire et la regarde prendre en charge la chevauchée qu’elle conduit à sa guise, bien droite, faisant aller vivement son bassin sur le ventre de Pierre, frottant son clito sur le pubis de son amant. Elle bascule la tête en arrière et crie son plaisir librement, oublieuse de l’environnement et des spectateurs maintenant groupés autour de nous.
A-t-elle senti les mains qui se promènent sur elle, hommes et femmes mêlées ?
Je crois, nous sommes emportés par le plaisir comme jamais.
Nathalie a été entreprise par deux hommes de ce groupe et ne se soucie plus franchement de nous qui l’avons, il est vrai quelque peu délaissée. Ce n’est que partie remise, bien sûr.
Nous retrouvons tranquillement nos esprits collés l’un à l’autre. Dans un élan de tendresse, Isabelle caresse lentement nos queues bien moins fières tandis que nos mains de nouveaux jumelles retrouvent le chemin de ses seins et de son sexe. Nous ne sommes plus seuls d’ailleurs, au moins deux de nos voyeurs actifs promènent leurs mains sur la peau couleur pain d’épice de ma rousse. Elle n’y voit aucun inconvénient et caresse même la cuisse qui se trouve à sa portée, cherchant et trouvant le sexe de son nouvel admirateur.
La soirée n’est pas finie, mais c’est une autre histoire que nous vous raconterons si vous en avez aimé le début.
Nous avons depuis, beaucoup fantasmé sur ce partage de ma tendre et douce épouse et nous avons récidivé.
Lors d’un de nos derniers passages à Paris, nous avons complété la garde-robe d’Isabelle en allant piocher dans les créations de Patrice Catanzaro. Une alternance de vinyle et de dentelles. Les seins et la totalité du dos, du haut en bas de la robe, sont couverts de dentelles, une bande de vinyle fait la liaison entre les dentelles qui découvrent les seins, deux autres assurent la liaison avec celle qui permet de voir le dos et les fesses.
Je vous laisse imaginer le plaisir de regarder un corps découvert par un tel vêtement.
Vendredi soir donc, nous voilà en route pour un club parisien.
Juste le temps d’ôter la robe camouflage à l’entrée, et nous pénétrons dans le bar qui se prolonge par la piste de danse.
Plusieurs couples se trouvent déjà là. Quelques regards et sourires échangés manifestent de l’intérêt suscité auprès de certains. Nous commandons un cocktail et un couple de notre âge assis à côté de nous sur des chaises hautes entame la conversation. Il se prénomme Pierre et elle, Nathalie.
Elle est vêtue d’une robe courte noire qui dévoile largement la lisière de ses bas.
Son dos est assez largement dénudé.
Quelques banalités échangées entre deux gorgées d’alcool et nous allons nous asseoir sur un des canapés installés de part et d’autre de la piste de danse. Isabelle entre Pierre et moi, Nathalie juste à côté de son mari. La conversation prend un ton badin et entre deux fous rires, Pierre pose volontiers, comme par inadvertance, sa main sur la jambe d’Isabelle. Penché en avant pour mieux voir nos amis d’un soir, je pose aussi ma main sur sa cuisse, à la lisière de son bas. Sa robe est tellement courte qu’elle remonte pratiquement à hauteur de son joli minou. Le string noir qui peine à cacher son intimité est bien visible.
Nathalie qui s’est absentée un instant pour se refaire un peu le maquillage revient et s’assoit auprès de moi, serrée qu’elle était au bout du canapé. Peut-être aussi, coquine, pour venir se faire câliner par un autre homme que son mari.
J’en profite naturellement pour poser la main sur sa cuisse laissée nue par une robe bien courte. Nous nous levons pour aller danser sur un des rythmes proposés par le DJ et échangeons plusieurs fois nos cavalières. Nathalie a vraiment le dos très doux à caresser, peau que je parcours longuement pendant la durée d’une chanson de Joe Cocker.
La chaleur aidant, nous allons faire une pause au bar avec une coupe de champagne.
Isabelle appuyée de dos contre moi penche sa tête en arrière pour me dire discrètement à l’oreille :
• — Il n’arrête pas de me caresser !
• — Plutôt agréable ?
• — Oui, j’aime bien. Il est un peu pressé peut-être… • — Coquine, avoue que malgré tout, il te fait déjà mouiller !
• — Oui mais patience, je ne veux pas monter tout de suite.
• — C’est toi qui même le jeu !
De fait, je parcours les flancs de mon doudou et revenant sur son ventre, je croise la main de Pierre qui esquisse un mouvement de recul et m’adresse un regard interrogatif.
Un sourire le rassure et il poursuit ses caresses, ma main descendant vers le pubis d’Isabelle croise les doigts de notre nouvel ami.
Isabelle se cale sur les talons, après avoir ouvert un peu plus les jambes et la tête en arrière me susurre :
• — Il me fait mouiller, le coquin, j’adore vos doigts sur mes cuisses… • — Il va falloir aller enlever ta culotte ; il aura plus de place pour se glisser entre tes lèvres • — Pas encore, il va languir !
Quelques caresses plus tard, nous retournons sur la piste de danse et nos deux coquines s’enroulent autour de la barre, dansant pour notre plus grand plaisir.
Pierre placé derrière Isabelle, encourage nos épouses qui descendent sur leurs talons découvrant leurs trésors que peine à cacher les strings minimalistes qu’elles portent l’une et l’autre.
Isabelle en se relevant, recule tout en maintenant la barre et vient, de ses fesses tendues, se frotter sur le sexe de Pierre. Il en profite pour lui caresser la poitrine et glisser ses mains vers le sexe à peine couvert.
De mon côté, je me colle à Nathalie qui se retourne vers moi, et nos lèvres se soudent tandis que je parcours son dos et le haut de ses fesses.
Pierre vient nous rejoindre, se colle au dos de sa femme et nous entamons une danse sensuelle.
Isabelle vient s’intercaler sur le côté et promène ses doigts sur le flanc de notre prisonnière.
La température montant assez sérieusement nous revenons vers le bar tout en discutant avec nos amis d’un soir chacun frôlant du plus qu’il peut nos deux belles.
Après un nouvel épisode sur la piste de danse, nous nous posons un instant sur un canapé, Isabelle entre Pierre et moi.
Sa robe maintenant remontée à la lisière de son string ne nous pose aucun problème d’accès à ses cuisses. Une chacun, nos mains vont et viennent plutôt de la lisière des bas vers le creux de l’aine où la peau est si douce. Par moment nos doigts s’égarent vers la fente humide encore cachée bien que les lèvres gonflées débordent assez volontiers de chaque côté.
Bien appuyée sur le dossier, Isabelle ouvre les jambes, et croise la droite sur la gauche, la cheville sur le genou. Bien ouverte, en appui sur la cuisse de Pierre, elle s’offre maintenant à la main qui parcourt de plus en plus le haut de cette jambe dorée.
N’y tenant plus, Isa se soulève et ôte son string laissant apparaître sa fente rose, luisante de son excitation, lèvres épaisses traduisant son envie. Elle reprend la pause précédente exhibant sans gêne son intimité à nos voisins qui nous frôlent en évoluant sur la piste de danse.
Nous continuons le partage des jambes, chacun évoluant sans jalousie vers l’intimité convoitée, une main se retirant volontiers pour laisser la place à sa concurrente, la vision de cette complicité étant d’un érotisme torride. J’ai pour ma part une érection continue, d’autant qu’Isabelle vient maintenant poser une main sur chacune de nos braguettes, s’enquérant de la dureté des verges qui s’y cachent encore. Elle appuie sur ma queue, caresse au travers du pantalon un sexe qui n’en peut plus d’attendre. Si on continue comme ça je ne réponds plus de rien.
Pierre subit le même traitement et il ne faut pas être grand clerc pour voir la satisfaction qu’il ressent sur son visage, un peu, au travers de la bosse qui disparaît sous la main gourmande de ma compagne, beaucoup.
Je partage avec Pierre la douceur de la peau des cuisses à la lisère des bas et en alternance je viens caresser le bouton turgescent. Nos doigts se retrouvent à l’entrée du puits d’amour, se font des politesses et finalement par instant y entrent ensemble avant que les uns se retirent laissant libre champ à leurs concurrents. Ceux-là alors tournent, s’enfoncent et se retirent, caressent l’intérieur du vagin en hauteur vers le fameux point G, se retirent pour poliment laisser place à leurs complices. Le pincement de la bouche d’Isa traduit son plaisir et elle se penche vers moi :
• — On monte ?
• — Si tu veux, tu as envie ?
• — Je vous veux tous les deux, de vous trois plutôt, j’ai envie de Nath aussi !
Belle nouvelle, Isa n’étant pas foncièrement bi.
Nous nous installons sur un lit à l’étage, je caresse Isa promenant mes lèvres dans son cou, allant de l’oreille que je pénètre de ma langue jusque vers son épaule. Elle frissonne et sa main trouve ma queue trop serrée dans le pantalon. Je glisse vers ses jambes que je parcours en allant vers l’intérieur des cuisses pour me promener sur cette partie de peau si douce avant d’atteindre les lèvres humides de plaisir.
Ma langue vient goûter le suc qui coule de ses lèvres que j’écarte pour aller titiller le bouton rose que je découvre en écartant le haut de la vulve. Le petit bouton rose pointe fièrement son nez, dégagé de son capuchon que j’écarte de mes doigts. Pierre contemple ce bonbon rose que je suce doucement alternant coups de langues et succion me régalant du goût de cette mouille abondante. Isa gémit maintenant et demande que je poursuive mes caresses.
Je parcours des doigts l’entrée de sa grotte glissant légèrement à l’intérieur du vagin accueillant.
Pierre s’est agenouillé à hauteur du visage d’Isabelle et lui caresse la poitrine, le cou et descend vers le ventre à la recherche de son intimité. Il l’embrasse ou lui lèche le cou, je ne vois plus très bien tandis que je laisse une main s’égarer sous la robe de Nathalie où j’accède à une chatte lisse, chaude et totalement nue.
Elle se penche et relève la robe d’Isabelle qu’elle fait glisser sous les fesses que ma coquine soulève pour aider à l’effeuillage. Une fois nue, juste vêtue de ses bas, elle se rallonge tandis que Nathalie prend un sein en bouche laissant l’autre à Pierre.
Niché entre ses jambes, je lèche l’intérieur de ses cuisses et viens boire sa mouille et sucer son clitoris maintenant bien sorti de son capuchon. Je me relève et laisse la place à Pierre qui commence à lécher le nombril en caressant l’intérieur des cuisses puis la fente de ma chérie. Nathalie, maintenant nue et à cheval sur le visage d’Isabelle, se fait lécher la chatte et en échange, mordille la pointe d’un sein l’autre restant pour l’instant prisonnier de ma bouche.
Besoin de bites, Isa cherche nos queues et essaie de défaire les ceintures et boutons pour accéder aux verges tendues qu’elle convoite. Nous l’aidons bien évidemment et nous mettons nus comme le sont nos épouses respectives.
Isa a maintenant pris nos sexes en main et les masturbe lentement, serrant volontiers la base de la verge, enveloppant le gland dans la paume et redescendant sans relâcher la pression qu’elle exerce. Elle malaxe ces queues en descendant vers leur base vient enserrer et caresser les bourses bien remplies qu’elle aspire manifestement à voir venir se nicher entre ses cuisses.
Pierre glisse un doigt entre les lèvres, et sa promenade du clitoris vers le petit trou plissé se perd dans la grotte humide. Il entame un lent va-et-vient provoquant les gémissements de la belle subissant les assauts conjoints de Nathalie et des miens.
Pierre la retourne maintenant ; elle se positionne à genoux les cuisses ouvertes, fesses bien dressées libérant son œillet plissé.
Pierre reprend possession de la chatte dans laquelle il introduit maintenant deux doigts, maintenant la cadence d’un va-et-vient lent et profond. Isabelle gémit de plus en plus d’autant que la langue de son amant part à la conquête de ses reins.
La langue se promène dans le sillon allant du bas du dos jusqu’au périnée et remontant humidifie l’anus qu’elle pénètre maintenant comme une petite bite.
Je passe ma main entre les cuisses d’Isabelle et vient caresser le bourgeon orphelin accentuant les gémissements de la belle. Je présente mon engin tendu devant les lèvres de mon ange, elle s’en empare et je vois ses lèvres m’engloutir avec un plaisir non feint. Elle alterne succion et petits coups de langue sur le frein pour me reprendre le plus profond possible.
• — Encore, encore, ne vous arrêtez pas, nous dit-elle entre deux succions.
• — Tu aimes ça, ma salope ?
• — Mange-moi le cul, Pierre et branlez-moi encore, encore !
Je prends entre deux doigts le clito que je branle comme une petite bite, le pince et l’étire doucement avant de le caresser comme un objet tendre et fragile.
Les fesses se soulèvent encore, tendues vers l’arrière pour libérer cette douce rondelle plissée tandis que les doigts de Pierre pénètrent de plus en plus rapidement la chatte d’Isabelle.
Pierre se relève, habille sa queue d’un préservatif et pose la tête de cette bite à peine libérée de la main d’Isabelle à l’entrée de son vagin trempé d’une mouille abondante. Il pose les mains sur les hanches et s’enfonce lentement jusqu’à venir en butée, les couilles contre mes doigts qui ne cessent de caresser le clito.
Nathalie, passant les mains sous la poitrine, malaxe les seins et pince les bouts dressés. Je sais qu’Isabelle adore cette sensation de presque douleur en phase de jouissance. Elle nous fait part de son plaisir par des gémissements plus audibles et ses :
• — Encore, encore, ne vous arrêtez pas !
Pierre la pilonne de plus en plus fort, claque les fesses du plat des mains, sort son gland en totalité et se renfonce brusquement dans cet antre chaud qui réclame une bite pour le remplir.
Il la retourne, la couche sur le dos, relève ses jambes qu’elle maintient en se tenant les genoux
• — Viens, mets-la-moi encore, baise moi profond. Vite, vite, baise-moi !
Je n’avais pas souvent vu ma chérie pareillement excitée.
Elle pince les seins de Pierre, je sais qu’elle l’amène à la limite de la douleur, puis passant la main gauche sous sa cuisse, elle va caresser les couilles qui battent sur ses fesses.
Pierre reste abuté bien au fond de ce con accueillant, se retire, revient lentement, sort totalement et revient brusquement au fond de cette chatte en chaleur.
Les gémissements gagnent en intensité et je reviens glisser ma main entre les deux corps pour masturber le clitoris turgescent.
• — Encore, salauds, vous me faites monter, ne vous arrêtez pas !
Quel vocabulaire ! En fait j’adore ça, mon excitation redouble encore si c’est possible. Ma bite tendue me fait presque mal de désir, il va falloir rapidement que je la baise aussi.
Je profite d’un recul de Pierre pour lui faire comprendre que je prends la place, et pénètre d’un seul coup dans le vagin ouvert. J’y glisse sans soucis, franchement j’ai rarement vu Isabelle aussi excitée, sa mouille a humidifié ses cuisses, et la bouche de Pierre sur les seins n’est pas de nature à faire retomber la fièvre.
Il se place à hauteur du visage et propose son gland violet et gonflé aux lèvres gourmandes. Elle prend ses couilles et les caresse remontant vers la tige qu’elle porte à sa bouche alternant fellation et masturbation avant de la reprendre de nouveau goulûment.
Je sais que sa jouissance viendra si elle me chevauche, c’est sa position favorite.
Je bascule sur le dos, l’entraînant sur moi sans quitter son nid douillet.
Pierre passe aussitôt derrière elle, lui caresse le dos, embrasse le cou, les oreilles et contournant le dos empaume les seins dont il pince les bouts.
Isabelle s’agite d’avant en arrière de plus en plus rapidement, je la penche un peu sur moi et écarte ses fesses entre lesquelles j’insinue un doigt titillant la rosette.
Trempée de la mouille de sa chatte et sûrement aussi de son plaisir propre, sa rondelle s’ouvre sans résistance sous la phalange et je me glisse dans son cul sentant ma bite sur laquelle elle s’empale.
La main de Pierre vient à la rencontre de la mienne, je quitte mon abri et laisse la place à un doigt tout aussi curieux. Mieux placé, il pénètre plus profondément le cul bien ouvert de ma douce, je sens bien au travers de la fine paroi qui nous sépare la caresse qu’il lui prodigue.
Nathalie un peu délaissée, il faut le reconnaître, embrasse les seins d’Isabelle et se masturbe. Nous aurons dans un moment, le temps de nous occuper d’elle, la nuit est encore bien longue.
Isabelle se redresse et mordant sa lèvre inférieure, je regarde monter son orgasme qu’elle crie sans retenue avant de se reposer sur ma poitrine.
Elle n’est pas assouvie, je sens parfaitement qu’elle en redemande. J’ai réussi à ne pas éjaculer mais franchement, il était temps. Elle recommence à onduler, je sens son vagin se contracter autour de mon gland. Elle recommence à bouger le bassin, lentement avec un petit mouvement rotatif inhabituel mais très agréable.
Pierre, revenu à hauteur de son visage, lui redonne sa bite à sucer. Elle le porte à ses lèvres avec gourmandise et reprend son alternance de caresses et de léchouilles.
• — Je vais te gicler dessus petite pute !
• — Viens, arrose-moi, je veux ton jus sur mes seins !
Soudain Pierre se crispe, Isa accélère ses caresses et un premier jet de foutre odorant vient s’écraser sur la poitrine de notre amante qui, tenant ses seins serrés entre ses deux mains, quémande le sperme qu’elle vient d’extraire. Le reste se répand sur ma poitrine et sur le ventre et les cuisses d’Isabelle.
L’épisode a contribué à raviver encore plus son désir. Elle ondule de nouveau sur ma bite. Je joue avec ses tétons, la prend par les hanches pour la faire se lever.
Pierre s’est allongé à côté de nous. Je pousse tendrement Isabelle pour qu’elle l’enjambe et s’empale sur sa queue dressée à laquelle elle a redonné une rapide vigueur par ses caresses et le jeu de ses lèvres.
Je la vois monter et descendre sur le pal dressé, luisant de sa jouissance récente avec un mouvement d’avant en arrière propice à l’excitation de son clitoris. C’est un spectacle d’un érotisme étonnant, un pincement et une jouissance cérébrale extraordinaire. Voir sa femme s’empaler sur la queue d’un autre provoque une vraie émotion et quel plaisir de lui voir prendre son pied.
Je me place derrière elle et caresse le dos et les fesses qu’elle me présente.
Pierre écarte de ses mains les globes joufflus pour que je puisse y plonger voluptueusement mon visage. J’accède à sa raie et de la langue vient titiller la rosette qui me semble vouloir s’ouvrir volontiers. Je goûte un moment le jus odorant de l’endroit, puis glisse un doigt dans cette rondelle que je meurs d’envie de pénétrer.
• — J’ai une terrible envie de t’enculer, ma salope chérie !
• — Viens, je suis toute ouverte, j’ai aussi envie de toi dans mon cul ! Va doucement !
Pierre à la manœuvre stoppe ses mouvements et attire Isabelle qui s’allonge sur sa poitrine pour que je puisse présenter ma bite que j’ai recouverte d’un préservatif pour être mieux lubrifié, à l’entrée de ce petit trou.
Une première, quelle excitation !
J’appuie doucement sur l’œillet froncé et lentement je vois mon gland disparaître, aspiré entre les reins de ma chérie. Je vois les yeux écarquillés de Nathalie qui semble ne pas en revenir. Je pousse encore un peu et c’est toute ma bite qui est maintenant engloutie.
• — Ça va ?
• — Tu me fais du bien, c’est bon. Venez ensemble, baisez-moi bien ! Vous allez me faire jouir. Encore salauds, encore !
Pas très facile en vérité de s’agiter à deux en même temps mais on trouve un certain rythme qui semble nous convenir à tous trois, en tout cas si j’en crois la montée de l’orgasme chez Isabelle.
Je sais qu’elle ne viendra vraiment que si elle est libre de ses mouvements. Je sens monter le sperme du fin fond du ventre et m’abutant contre les fesses tendues, je me vide littéralement dans le latex qui me recouvre non sans émettre un vrai grognement de contentement.
Isabelle a senti que je viens de jouir et comme je sais qu’elle n’aura un vrai orgasme que libre de ses mouvements, je me retire et la regarde prendre en charge la chevauchée qu’elle conduit à sa guise, bien droite, faisant aller vivement son bassin sur le ventre de Pierre, frottant son clito sur le pubis de son amant. Elle bascule la tête en arrière et crie son plaisir librement, oublieuse de l’environnement et des spectateurs maintenant groupés autour de nous.
A-t-elle senti les mains qui se promènent sur elle, hommes et femmes mêlées ?
Je crois, nous sommes emportés par le plaisir comme jamais.
Nathalie a été entreprise par deux hommes de ce groupe et ne se soucie plus franchement de nous qui l’avons, il est vrai quelque peu délaissée. Ce n’est que partie remise, bien sûr.
Nous retrouvons tranquillement nos esprits collés l’un à l’autre. Dans un élan de tendresse, Isabelle caresse lentement nos queues bien moins fières tandis que nos mains de nouveaux jumelles retrouvent le chemin de ses seins et de son sexe. Nous ne sommes plus seuls d’ailleurs, au moins deux de nos voyeurs actifs promènent leurs mains sur la peau couleur pain d’épice de ma rousse. Elle n’y voit aucun inconvénient et caresse même la cuisse qui se trouve à sa portée, cherchant et trouvant le sexe de son nouvel admirateur.
La soirée n’est pas finie, mais c’est une autre histoire que nous vous raconterons si vous en avez aimé le début.
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