Notre histoire avec Ludovic
Récit érotique écrit par Couple02 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-12-2007 dans la catégorie Plus on est
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Notre histoire avec Ludovic
(Ludovic étant un prénom d’emprunt)
Tout a débuté par un contact minitel sur une messagerie début mars 1998.
Après avoir dialogué quelques minutes, nous avons convenu, Ludovic et moi, d’un rendez-vous sur le parking de la gare S.N.C.F d’un village des Ardennes pas très loin de Reims. Ce rendez-vous n’avait que pour but la présentation de P..
A 20h.30 nous étions déjà sur place et nous voyons un véhicule se garer à côté du nôtre. Un homme en descend. Nous faisons de même pour les présentations. A première vue il semble bien, correctement habillé et d’une bonne élocution.
Les présentations banales expédiées, Ludovic, qui visiblement a l’air d’apprécier P., nous invite à prendre un verre à son domicile pas très loin. Nous acceptons et chacun remonte dans son véhicule respectif pour se rendre chez lui.
Je demande ses premières impressions à P. : elle ne le trouve ni moche ni beau mais bien de sa personne et, mis en confiance par sa prestance et ma présence, accepte de pousser plus loin cette rencontre si j’en éprouve l’envie. (Il va de soi que je suis tout à fait d’accord pour aller plus loin !)
A notre arrivée, Ludovic nous invite à nous asseoir et débouche une bouteille de Champagne.
La conversation entre nous reprend avec une orientation un peu plus axée sur les sujets qui nous intéressent.
P. se sent de plus en plus à l’aise avec lui et ne tarde pas à user de ses charmes pour séduire Ludovic.
Au bout d’un moment, et à notre demande, P. se lève et entreprend un lent déshabillage afin de se présenter. Elle se rapproche de Ludovic et lui offre ses lèvres pour un baiser ardent dont elle a le secret tout en écartant les cuisses. Après plusieurs de ces baisers et les caresses qui vont avec, nous décidons de prendre congé pour ce premier rendez-vous. Nous convenons de le rappeler par téléphone dès notre retour des sports d’hiver prévu mi-mars. Inutile de dire que le sujet de conversation lors du retour à notre domicile fut ce premier contact et les commentaires sur le déroulement de cette première soirée ne manquèrent pas. J’avais hâte d’arriver à la maison pour « prouver » à P. combien moi j’avais apprécié cette soirée !
Notre séjour à Megève me parut long et mon imagination fourmillait d’idées plus érotiques les unes que les autres. J’échafaudais des scénarios à la limite de la pornographie pour quand nous nous retrouverions.
Fin mars 1998, retour de vacances ! Après avoir repris contact, nous convenons d’un rendez-vous chez lui. Nous voici devant sa porte, prêt à sonner ! P. est vêtue d’une minijupe noire, d’un corsage blanc, sous-vêtements, bas et bottes noires. Je l’ai paré de son collier de soumise en cuir marqué à son prénom et je la tiens en laisse. L’effet de surprise que je voulais donner à ce rendez-vous est réussi ! Je le constate au regard de Ludovic quand il nous ouvre sa porte ! Plus à l’aise qu’au cours de notre première rencontre et se trouvant encouragé par mon comportement et le baiser fougueux de P., Ludovic ne tarde pas à lui démontrer combien il attendait avec impatience notre retour. Elle est caressée intimement, flattée sur sa croupe mise en valeur par le corset que je lui ai fait mettre quelques minutes après notre arrivée. Après avoir eu mon assentiment, Ludovic l’a ensuite fouettée sur les fesses et dans le dos à l’aide de sa ceinture, puis avec le martinet que j’avais apporté. Ses seins offerts n’ont pas été épargnés non plus.
Très vite elle se retrouva nue, attachée les bras en croix, jambes écartées, face contre une table en bois servant de desserte.
Son cul magnifique était offert aux caresses et autres sévices qui ne tardèrent pas à lui être appliqués d’une main ferme par Ludovic. Sa chatte ne fut pas non plus épargnée car un puis plusieurs de ses doigts fouillèrent son intimité très profondément. Je suivais attentivement la montée en jouissance de P.. Je la voyais s’ouvrir de plus en plus et son sexe s’inonder de ce liquide lubrifiant que j’aime tant boire à la source.
Ayant prévenu Ludovic que P. faisait partie de ces femmes formidables dites « femme fontaine », celui-ci ne fut pas surpris de voir s’écouler ce merveilleux liquide intime sur les cuisses de notre « suppliciée ».
Après l’avoir détachée de ses liens, il l’invita à s’allonger au sol où elle fut pénétrée classiquement, puis en levrette, sur le tapis en peau de chèvre du salon. Bien sûr, je m’assurai auparavant que la précaution d’usage, à savoir le port d’un préservatif, était respectée et, dans un premier temps, je me contentais d’admirer P. prenant du plaisir avec celui qui allait devenir son amant pour quelques années. Je les rejoignais ensuite pour un trio qui se poursuivit une grande partie de la nuit.
La prochaine rencontre avec Ludovic se déroula sans moi. Avec mon accord, P. se rendit seule au rendez-vous pour déjeuner avec lui dans un restaurant du centre ville de Reims. Ce déjeuner en tête à tête fut le déclic pour P. pour accepter de continuer à vivre cette aventure à 3 !
A partir de ce jour, Ludovic fut considéré comme son amant officiel et permanent.
Le samedi suivant nous lui avons demandé de passer le w.e à la maison de campagne qui était encore en travaux à cette époque.
Ce fut un w.e très enrichissant pour nous 3 car outre P., qui était comblée avec ses 2 hommes, l’entente entre Ludovic et moi était parfaite. J’appréciais l’homme et nous nous découvrîmes des goûts communs. Une entente virile mais hétéro naissait entre nous. Au cours de ce w.e nous avons fait l’amour classiquement mais aussi en ajoutant quelques « jeux » S/M. Jeux que Ludovic découvrait.
Je dois dire que « l’élève » était très doué pour ce genre d’exercice ! P. acceptait et appréciait ces sévices venant de nous 2 et de ce jour, devint notre « soumise » préférée !
Mis à part quelques w.e où il repartait re-joindre sa famille dans le centre de la France, Ludovic passait ses samedis et dimanches en notre compagnie. Quelques semaines après, nous décidâmes, P. et moi, de venir habiter en permanence notre maison de campagne. Ceci afin de nous permettre de vivre pleinement et au quotidien, cette aventure.
C’est aussi à partir de ce moment que Ludovic pris possession de la chambre d’amis, devenue sa chambre, et que P. se partagea entre nous ! Nous vivions alors en trio permanent.
Ludovic faisait le trajet tous les jours pour se rendre à son bureau et chaque soir était un plaisir de se retrouver ensemble pour se partager P/ dans des joutes amoureuses devenant de plus en plus hot au fil des jours.
Les jours où j’étais absent 24h à cause de mon travail, Ludovic et P. formaient un couple et quand nous étions réunis nous re-formions notre trio amoureux. Souvent, il nous arrivait, Ludovic et moi, de jouer P. dans des parties de flipper endiablées. Le gagnant devenait le principal Maître, celui qui décidait des « jeux », et P. passait aussi la nuit à dormir dans son lit.
Notre entente était devenue parfaite après une petite crise de jalousie compréhensible de ma part. En effet, l’entente entre P. et Ludovic était devenue, au fil des jours, si parfaite, q’un rapport amoureux naissait entre eux. Je ne comprenais pas qu’elle puisse être amoureuse d’un autre homme que moi et il a fallut qu’elle m’explique avec force détails et patience pour que je comprenne qu’il ne me volait rien ! Ses arguments et son comportement envers nous deux m’ont convaincu qu’une femme peut être amoureuse de 2 hommes en même temps. Cet amour que P. partageait équitablement entre nous, fut et restera un souvenir très agréable à évoquer. L’entente entre Ludovic et moi grandissait de jour en jour. Il nous arrivait même de passer le début de soirée entre nous devant une bonne bouteille de Bordeaux et parfois un repas que je lui concoctais en attendant que P. rentre de son travail, parfois tard.
Jamais il n’y a eu la moindre équivoque entre nous. C’était une amitié virile et nos sexes et caresses étaient uniquement destinés au corps de P.. Pour notre famille et nos amis, il était un copain que j’avais connu au cours de mon travail et qui s’ennuyait seul quand il ne pouvait pas repartir chez lui du fait des impératifs liés à son poste de directeur d’usine. Il participait à nos fêtes et était apprécié de tous. Jamais personne n’a soupçonné la vérité quant à sa présence parmi notre couple… ou alors personne n’a osé nous en parler !
Parfois nous recevions un autre homme à la maison. Nous nous faisions une joie d’offrir « notre femme » à des mains inconnues sous nos regards. Notre quête était surtout basée sur la recherche d’un homme directif et dominant afin qu’il applique à P. des sévices tel que fessée à mains nues, à l’aide d’un martinet ou de la cravache et autres petits supplices trop long à énumérer et pouvant « choquer les âmes sensibles ». Nous aimions admirer notre partenaire de jeux se soumettre à un inconnu. La voir progresser dans l’art de supporter la douleur due aux coups de cravache ou martinet, voir ses fesses et son corps marqué par quelques zébrures, était pour nous une satisfaction sans bornes. Cela flattait notre virilité de mâle « propriétaire de cette " bestiole ". Nous apportions nos commentaires, en buvant une coupe de Champagne, sur les séances et sévices que P. endurait et que manifestement elle prenait plaisir à recevoir. Ces jeux se terminaient souvent par la prise de son sexe en levrette, position qu’elle aime particulièrement et qui lui apporte une très forte jouissance! Bien sûr des photos étaient prises soit par moi ou par Ludovic et j’ai toujours plaisir à les visionner.
Plusieurs fois Ludovic a emmené P. à une présentation sans ma présence ! J’avais entière confiance en ses jugements concernant ces inconnus et je sais qu’il prenait toutes les précautions pour éviter quelques désagréments quant à ces rendez-vous coquins.
De ces rendez-vous il me ramenait des photos et les commentaires qui vont avec. Nous en discutions ensemble et bien souvent il en résultait un nouveau défi que P. devait relever !
Souvent il nous arrivait de sortir dîner dans un restaurant. C’était toujours amusant de sentir les regards, et parfois entendre les commentaires, des personnes attablées autour de nous.(surtout venant des femmes) Il faut dire que parfois P. poussait la provocation en nous offrant ses lèvres chacun notre tour ! (Peut-être était-ce de la jalousie féminine et/ou de l’envie ?) En tout cas moi, à ces moments là, j’étais très fier d’elle et heureux de cette situation ! J’adorai voir la tête des gens quand nous nous promenions tous les 3 lorsque P. nous embrassait à pleine bouche dans la rue ! Nous allions souvent à Laon, ville où nous ne connaissions personne et où l’on pouvait s’afficher ensemble sans craindre de rencontrer des personnes de notre connaissance.
Nous sortions aussi le vendredi soir dans des clubs libertins. Nous allions au début dans un club proche de Laon ou dans un autre près de Sedan. Mais nous étions plus libre de nos mouvements à Raismes, dans le nord, dans un club nommé le Nexus. Les soirées dans ces clubs étaient toujours très réussies et Ludovic et moi étions très fiers de notre « petite chienne » que nous offrions parfois pour une « saillie » à quelques inconnus rencontrés dans l’établissement.
Le retour à la maison était lui aussi très jouissif. Comme je ne buvais pas d’alcool je prenais le volant. P. et Ludovic s’installant à l’arrière de la voiture. P. en profitait pour le sucer ou bien elle le chevauchait le temps du trajet. Pendant que je conduisais, je l’entendais prendre son pied avec force et je me délectais d’ouïr le clapotis de sa mouille sur le sexe de son amant.
P. est annelée aux seins et aux grandes lèvres du sexe celui-ci étant entièrement épilé. Ces anneaux lui ont été posés, à ma demande, par un ami médecin il y a plusieurs années ; bien avant que le piercing ne devienne une mode et que la signification du port de ces anneaux ne soit « galvaudée ».
Mais aux yeux de P. ces anneaux étaient MES anneaux !
Elle a donc prise l’initiative, un jour, de nous offrir un cadeau : porter un autre anneau en signe de son appartenance à tout les deux. Elle a choisi symboliquement un rendez-vous en soirée le jour de l’anniversaire à Ludovic qui correspond aussi à celui de ma fête : le 3 octobre 2001.Ce médecin de nos amis lui a donc percé le capuchon du clitoris et a procédé à la pose de cet anneau. Nous étions présent lors de cette intervention en lui tenant les mains et nous avons fêté cet évènement dans un restaurant renommé " Les Crayères" pour ne pas le nommer!
Les années se sont écoulées sans que ces plaisirs ne deviennent obsolètes. Nous arrivions toujours à nous renouveler et jamais nous avons eu de la lassitude dans nos rapports. Que cela soit entre nous ou avec d’autres rencontres. Nous avions toujours un défi ou une contrainte à faire subir à P.. Elle était notre femme, notre amante et notre compagne pour ces jeux !
Notre fantasme à tout les deux était de voir P. avec une femme. Nous en discutions souvent. Un soir, dans un club, elle nous a fait l’immense plaisir d’embrasser une fille.C’était une première pour elle. Nous étions aux anges…Elle l’avait fait pour nous ! Depuis elle a renouvelé cette expérience et est allée beaucoup plus loin dans les rapports avec une fille. Nous en étions très fiers. Je dois dire que depuis, c’est toujours pour moi un immense plaisir que de la voir s’aimer avec une femme. Je retrouve à ce moment précis la même joie et la même fierté que cette première fois ! Même si ces moments sont trop rares à mon goût…Mais P. est quelqu’un de très exigeant pour elle-même et pour les autres. Ceci explique peut-être cela…
Hélas tout à une fin…Après 5 ans de vie presque commune, Ludovic a quitté la région pour prendre la direction d’une usine de son groupe près de Clermont-Ferrand.
Nous étions très triste de devoir nous séparer et malgré les appels téléphoniques presque journaliers que Ludovic passe à P. et hormis les visites que nous lui avons fait dans sa nouvelle ville d’adoption, l’éloignement fait que nos rapports ne sont plus les mêmes.
Malgré l’amour qu’elle portait à son amant, P. s’est un peu détachée je pense…
Nous ne sommes plus en mesure de nous voir aussi souvent que nous le souhaitons mais nos rencontres sont toujours aussi fortes en émotions et le plaisir de se retrouver est toujours au rendez-vous !
J’en veux pour preuve la visite qu’il nous a fait en janvier 2007 : ce fut une merveilleuse soirée…comme si sa précédente visite datait de quelques semaines seulement…
Au cours de cette soirée, il nous a confirmé qu’il allait prendre la direction d’une usine pas trop éloignée de notre domicile. Nous espérons vivement que cette nouvelle situation soit pour nous trois un nouveau départ afin de reconstituer officiellement notre trio et vivre de nouvelles aventures…
Tout a débuté par un contact minitel sur une messagerie début mars 1998.
Après avoir dialogué quelques minutes, nous avons convenu, Ludovic et moi, d’un rendez-vous sur le parking de la gare S.N.C.F d’un village des Ardennes pas très loin de Reims. Ce rendez-vous n’avait que pour but la présentation de P..
A 20h.30 nous étions déjà sur place et nous voyons un véhicule se garer à côté du nôtre. Un homme en descend. Nous faisons de même pour les présentations. A première vue il semble bien, correctement habillé et d’une bonne élocution.
Les présentations banales expédiées, Ludovic, qui visiblement a l’air d’apprécier P., nous invite à prendre un verre à son domicile pas très loin. Nous acceptons et chacun remonte dans son véhicule respectif pour se rendre chez lui.
Je demande ses premières impressions à P. : elle ne le trouve ni moche ni beau mais bien de sa personne et, mis en confiance par sa prestance et ma présence, accepte de pousser plus loin cette rencontre si j’en éprouve l’envie. (Il va de soi que je suis tout à fait d’accord pour aller plus loin !)
A notre arrivée, Ludovic nous invite à nous asseoir et débouche une bouteille de Champagne.
La conversation entre nous reprend avec une orientation un peu plus axée sur les sujets qui nous intéressent.
P. se sent de plus en plus à l’aise avec lui et ne tarde pas à user de ses charmes pour séduire Ludovic.
Au bout d’un moment, et à notre demande, P. se lève et entreprend un lent déshabillage afin de se présenter. Elle se rapproche de Ludovic et lui offre ses lèvres pour un baiser ardent dont elle a le secret tout en écartant les cuisses. Après plusieurs de ces baisers et les caresses qui vont avec, nous décidons de prendre congé pour ce premier rendez-vous. Nous convenons de le rappeler par téléphone dès notre retour des sports d’hiver prévu mi-mars. Inutile de dire que le sujet de conversation lors du retour à notre domicile fut ce premier contact et les commentaires sur le déroulement de cette première soirée ne manquèrent pas. J’avais hâte d’arriver à la maison pour « prouver » à P. combien moi j’avais apprécié cette soirée !
Notre séjour à Megève me parut long et mon imagination fourmillait d’idées plus érotiques les unes que les autres. J’échafaudais des scénarios à la limite de la pornographie pour quand nous nous retrouverions.
Fin mars 1998, retour de vacances ! Après avoir repris contact, nous convenons d’un rendez-vous chez lui. Nous voici devant sa porte, prêt à sonner ! P. est vêtue d’une minijupe noire, d’un corsage blanc, sous-vêtements, bas et bottes noires. Je l’ai paré de son collier de soumise en cuir marqué à son prénom et je la tiens en laisse. L’effet de surprise que je voulais donner à ce rendez-vous est réussi ! Je le constate au regard de Ludovic quand il nous ouvre sa porte ! Plus à l’aise qu’au cours de notre première rencontre et se trouvant encouragé par mon comportement et le baiser fougueux de P., Ludovic ne tarde pas à lui démontrer combien il attendait avec impatience notre retour. Elle est caressée intimement, flattée sur sa croupe mise en valeur par le corset que je lui ai fait mettre quelques minutes après notre arrivée. Après avoir eu mon assentiment, Ludovic l’a ensuite fouettée sur les fesses et dans le dos à l’aide de sa ceinture, puis avec le martinet que j’avais apporté. Ses seins offerts n’ont pas été épargnés non plus.
Très vite elle se retrouva nue, attachée les bras en croix, jambes écartées, face contre une table en bois servant de desserte.
Son cul magnifique était offert aux caresses et autres sévices qui ne tardèrent pas à lui être appliqués d’une main ferme par Ludovic. Sa chatte ne fut pas non plus épargnée car un puis plusieurs de ses doigts fouillèrent son intimité très profondément. Je suivais attentivement la montée en jouissance de P.. Je la voyais s’ouvrir de plus en plus et son sexe s’inonder de ce liquide lubrifiant que j’aime tant boire à la source.
Ayant prévenu Ludovic que P. faisait partie de ces femmes formidables dites « femme fontaine », celui-ci ne fut pas surpris de voir s’écouler ce merveilleux liquide intime sur les cuisses de notre « suppliciée ».
Après l’avoir détachée de ses liens, il l’invita à s’allonger au sol où elle fut pénétrée classiquement, puis en levrette, sur le tapis en peau de chèvre du salon. Bien sûr, je m’assurai auparavant que la précaution d’usage, à savoir le port d’un préservatif, était respectée et, dans un premier temps, je me contentais d’admirer P. prenant du plaisir avec celui qui allait devenir son amant pour quelques années. Je les rejoignais ensuite pour un trio qui se poursuivit une grande partie de la nuit.
La prochaine rencontre avec Ludovic se déroula sans moi. Avec mon accord, P. se rendit seule au rendez-vous pour déjeuner avec lui dans un restaurant du centre ville de Reims. Ce déjeuner en tête à tête fut le déclic pour P. pour accepter de continuer à vivre cette aventure à 3 !
A partir de ce jour, Ludovic fut considéré comme son amant officiel et permanent.
Le samedi suivant nous lui avons demandé de passer le w.e à la maison de campagne qui était encore en travaux à cette époque.
Ce fut un w.e très enrichissant pour nous 3 car outre P., qui était comblée avec ses 2 hommes, l’entente entre Ludovic et moi était parfaite. J’appréciais l’homme et nous nous découvrîmes des goûts communs. Une entente virile mais hétéro naissait entre nous. Au cours de ce w.e nous avons fait l’amour classiquement mais aussi en ajoutant quelques « jeux » S/M. Jeux que Ludovic découvrait.
Je dois dire que « l’élève » était très doué pour ce genre d’exercice ! P. acceptait et appréciait ces sévices venant de nous 2 et de ce jour, devint notre « soumise » préférée !
Mis à part quelques w.e où il repartait re-joindre sa famille dans le centre de la France, Ludovic passait ses samedis et dimanches en notre compagnie. Quelques semaines après, nous décidâmes, P. et moi, de venir habiter en permanence notre maison de campagne. Ceci afin de nous permettre de vivre pleinement et au quotidien, cette aventure.
C’est aussi à partir de ce moment que Ludovic pris possession de la chambre d’amis, devenue sa chambre, et que P. se partagea entre nous ! Nous vivions alors en trio permanent.
Ludovic faisait le trajet tous les jours pour se rendre à son bureau et chaque soir était un plaisir de se retrouver ensemble pour se partager P/ dans des joutes amoureuses devenant de plus en plus hot au fil des jours.
Les jours où j’étais absent 24h à cause de mon travail, Ludovic et P. formaient un couple et quand nous étions réunis nous re-formions notre trio amoureux. Souvent, il nous arrivait, Ludovic et moi, de jouer P. dans des parties de flipper endiablées. Le gagnant devenait le principal Maître, celui qui décidait des « jeux », et P. passait aussi la nuit à dormir dans son lit.
Notre entente était devenue parfaite après une petite crise de jalousie compréhensible de ma part. En effet, l’entente entre P. et Ludovic était devenue, au fil des jours, si parfaite, q’un rapport amoureux naissait entre eux. Je ne comprenais pas qu’elle puisse être amoureuse d’un autre homme que moi et il a fallut qu’elle m’explique avec force détails et patience pour que je comprenne qu’il ne me volait rien ! Ses arguments et son comportement envers nous deux m’ont convaincu qu’une femme peut être amoureuse de 2 hommes en même temps. Cet amour que P. partageait équitablement entre nous, fut et restera un souvenir très agréable à évoquer. L’entente entre Ludovic et moi grandissait de jour en jour. Il nous arrivait même de passer le début de soirée entre nous devant une bonne bouteille de Bordeaux et parfois un repas que je lui concoctais en attendant que P. rentre de son travail, parfois tard.
Jamais il n’y a eu la moindre équivoque entre nous. C’était une amitié virile et nos sexes et caresses étaient uniquement destinés au corps de P.. Pour notre famille et nos amis, il était un copain que j’avais connu au cours de mon travail et qui s’ennuyait seul quand il ne pouvait pas repartir chez lui du fait des impératifs liés à son poste de directeur d’usine. Il participait à nos fêtes et était apprécié de tous. Jamais personne n’a soupçonné la vérité quant à sa présence parmi notre couple… ou alors personne n’a osé nous en parler !
Parfois nous recevions un autre homme à la maison. Nous nous faisions une joie d’offrir « notre femme » à des mains inconnues sous nos regards. Notre quête était surtout basée sur la recherche d’un homme directif et dominant afin qu’il applique à P. des sévices tel que fessée à mains nues, à l’aide d’un martinet ou de la cravache et autres petits supplices trop long à énumérer et pouvant « choquer les âmes sensibles ». Nous aimions admirer notre partenaire de jeux se soumettre à un inconnu. La voir progresser dans l’art de supporter la douleur due aux coups de cravache ou martinet, voir ses fesses et son corps marqué par quelques zébrures, était pour nous une satisfaction sans bornes. Cela flattait notre virilité de mâle « propriétaire de cette " bestiole ". Nous apportions nos commentaires, en buvant une coupe de Champagne, sur les séances et sévices que P. endurait et que manifestement elle prenait plaisir à recevoir. Ces jeux se terminaient souvent par la prise de son sexe en levrette, position qu’elle aime particulièrement et qui lui apporte une très forte jouissance! Bien sûr des photos étaient prises soit par moi ou par Ludovic et j’ai toujours plaisir à les visionner.
Plusieurs fois Ludovic a emmené P. à une présentation sans ma présence ! J’avais entière confiance en ses jugements concernant ces inconnus et je sais qu’il prenait toutes les précautions pour éviter quelques désagréments quant à ces rendez-vous coquins.
De ces rendez-vous il me ramenait des photos et les commentaires qui vont avec. Nous en discutions ensemble et bien souvent il en résultait un nouveau défi que P. devait relever !
Souvent il nous arrivait de sortir dîner dans un restaurant. C’était toujours amusant de sentir les regards, et parfois entendre les commentaires, des personnes attablées autour de nous.(surtout venant des femmes) Il faut dire que parfois P. poussait la provocation en nous offrant ses lèvres chacun notre tour ! (Peut-être était-ce de la jalousie féminine et/ou de l’envie ?) En tout cas moi, à ces moments là, j’étais très fier d’elle et heureux de cette situation ! J’adorai voir la tête des gens quand nous nous promenions tous les 3 lorsque P. nous embrassait à pleine bouche dans la rue ! Nous allions souvent à Laon, ville où nous ne connaissions personne et où l’on pouvait s’afficher ensemble sans craindre de rencontrer des personnes de notre connaissance.
Nous sortions aussi le vendredi soir dans des clubs libertins. Nous allions au début dans un club proche de Laon ou dans un autre près de Sedan. Mais nous étions plus libre de nos mouvements à Raismes, dans le nord, dans un club nommé le Nexus. Les soirées dans ces clubs étaient toujours très réussies et Ludovic et moi étions très fiers de notre « petite chienne » que nous offrions parfois pour une « saillie » à quelques inconnus rencontrés dans l’établissement.
Le retour à la maison était lui aussi très jouissif. Comme je ne buvais pas d’alcool je prenais le volant. P. et Ludovic s’installant à l’arrière de la voiture. P. en profitait pour le sucer ou bien elle le chevauchait le temps du trajet. Pendant que je conduisais, je l’entendais prendre son pied avec force et je me délectais d’ouïr le clapotis de sa mouille sur le sexe de son amant.
P. est annelée aux seins et aux grandes lèvres du sexe celui-ci étant entièrement épilé. Ces anneaux lui ont été posés, à ma demande, par un ami médecin il y a plusieurs années ; bien avant que le piercing ne devienne une mode et que la signification du port de ces anneaux ne soit « galvaudée ».
Mais aux yeux de P. ces anneaux étaient MES anneaux !
Elle a donc prise l’initiative, un jour, de nous offrir un cadeau : porter un autre anneau en signe de son appartenance à tout les deux. Elle a choisi symboliquement un rendez-vous en soirée le jour de l’anniversaire à Ludovic qui correspond aussi à celui de ma fête : le 3 octobre 2001.Ce médecin de nos amis lui a donc percé le capuchon du clitoris et a procédé à la pose de cet anneau. Nous étions présent lors de cette intervention en lui tenant les mains et nous avons fêté cet évènement dans un restaurant renommé " Les Crayères" pour ne pas le nommer!
Les années se sont écoulées sans que ces plaisirs ne deviennent obsolètes. Nous arrivions toujours à nous renouveler et jamais nous avons eu de la lassitude dans nos rapports. Que cela soit entre nous ou avec d’autres rencontres. Nous avions toujours un défi ou une contrainte à faire subir à P.. Elle était notre femme, notre amante et notre compagne pour ces jeux !
Notre fantasme à tout les deux était de voir P. avec une femme. Nous en discutions souvent. Un soir, dans un club, elle nous a fait l’immense plaisir d’embrasser une fille.C’était une première pour elle. Nous étions aux anges…Elle l’avait fait pour nous ! Depuis elle a renouvelé cette expérience et est allée beaucoup plus loin dans les rapports avec une fille. Nous en étions très fiers. Je dois dire que depuis, c’est toujours pour moi un immense plaisir que de la voir s’aimer avec une femme. Je retrouve à ce moment précis la même joie et la même fierté que cette première fois ! Même si ces moments sont trop rares à mon goût…Mais P. est quelqu’un de très exigeant pour elle-même et pour les autres. Ceci explique peut-être cela…
Hélas tout à une fin…Après 5 ans de vie presque commune, Ludovic a quitté la région pour prendre la direction d’une usine de son groupe près de Clermont-Ferrand.
Nous étions très triste de devoir nous séparer et malgré les appels téléphoniques presque journaliers que Ludovic passe à P. et hormis les visites que nous lui avons fait dans sa nouvelle ville d’adoption, l’éloignement fait que nos rapports ne sont plus les mêmes.
Malgré l’amour qu’elle portait à son amant, P. s’est un peu détachée je pense…
Nous ne sommes plus en mesure de nous voir aussi souvent que nous le souhaitons mais nos rencontres sont toujours aussi fortes en émotions et le plaisir de se retrouver est toujours au rendez-vous !
J’en veux pour preuve la visite qu’il nous a fait en janvier 2007 : ce fut une merveilleuse soirée…comme si sa précédente visite datait de quelques semaines seulement…
Au cours de cette soirée, il nous a confirmé qu’il allait prendre la direction d’une usine pas trop éloignée de notre domicile. Nous espérons vivement que cette nouvelle situation soit pour nous trois un nouveau départ afin de reconstituer officiellement notre trio et vivre de nouvelles aventures…
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