Notre première rencontre (suite)
Récit érotique écrit par Sabinette [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 3 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Sabinette ont reçu un total de 27 239 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-08-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 7 877 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Notre première rencontre (suite)
Je me suis réveillée le lendemain matin, ma robe remontée au dessus de mes hanches. Mes orifices étaient encore douloureux de mes folies de la veille, en particulier mon anus que je sentait encore un peu ouvert.
Le fameux big john était toujours figé sur le sol, dressé fièrement, comme un appel à faire de nouvelles cochonneries.
Mais mon état d'esprit de ce matin n'était pas focalisé sur le sexe. J'étais même un peu gênée de m'être comportée la veille comme une fille aussi facile.
Cet homme me plaisait et j'avais peur qu'il m'aie prise pour une fille que je ne suis pas, une fille intéressée par l'argent prête à usée de ses charmes pour l'attraper dans ses filets.
Je me suis levée pour prendre une douche, l'eau chaude dégoulinant sur mon corps fût réconfortante mais je n'arrivais pas à sortir cette soirée de ma tête.
Je décida de me changer les idées, me blottissant sous ma couette en regardant des films romantiques, après avoir effacée toutes preuves de la veille mais mon esprit revenait toujours à cette soirée. Je n'arrêtais pas de repenser à Adrien, à son élégance, à son charme, à l'odeur et au goût de sa bite, au goût de sa semence imprégnant ma bouche et ma gorge.
Je passe ainsi tout le week-end, un peu honteuse et gênée, mais sans pouvoir me sortir de la tête cette homme qui revenait sans cesse me hanter, persuadée qu'il ne me rappellerai jamais. Quand tout à coup mon portable se mit à sonner.
Je me précipita pour décrocher, sans même vérifier qui m'appelais.
-Allo?
-Bonjour Sabine, c'est Adrien.
-Bon...Bonjour. répondit je, comme une conne.
Nous avons ensuite discuté, il était toujours aussi charmant, courtois et n'as pas mentionné une seule fois notre soirée, gentleman comme depuis notre première discussion.
Nous avons fini par nous fixer un autre rendez-vous, en fin de semaine prochaine.
Toute la semaine, nous nous sommes échangés quelques messages. J'étais terriblement excitée à l'idée de le revoir, impatiente de me retrouver en sa compagnie, si bien que j'en avais du mal à me concentré dans mon travail, toute mouillé à chaque fois que je pensait à lui, n'attendant qu'une chose, c'est de rentrer chez moi pour me satisfaire avec mon énorme gode, m'imaginant en train de chevauchée Adrien.
Le soir de notre deuxième rencontres, il m'avait prévenu que nous dînerions dans un très grand restaurant, j'avais donc pris encore plus grand soin pour me faire belle, brushing impeccable, portant ce que j'avais de plus chic dans mon placard. Boucles d'oreilles, collier, ma plus belle robe de soirée, juste assez fendue sur la cuisse pour cacher la naissance de mes bas maintenue par un magnifique ensemble porte-jarettel noir.
J'étais vraiment une femme fatale ce soir là.
Il est venu me chercher pile à l'heure, dans une autre voiture encore plus luxueuse, dont je serais incapable de vous donner ni la marque, ni le modèle.
La soirée fut vraiment magique, j'eue vraiment l'impression d'être une princesse, pas à cause du faste et du luxe, mais du comportement d'Adrien qui était vraiment un gentleman, toujours au petit soin, simple malgré sa richesse apparente, gentil et attentionné, nous aurions pu passer la soirée dans un fast-food que mon impression aurait été exactement la même, j'avais la sensation de le connaître depuis toujours. Nous avons rigolés, parlés de tout et de rien.
Une fois le repas terminé et installé dans sa voiture, vint le moment de la fameuse question.
-J'ai vraiment passé un très bon moment avec toi Sabine. Tu veux que je te ramène ou... Il marqua une pose, visiblement gêné. Ou tu veux peut-être venir boire un dernier verre chez moi.
-Ecoutes Adrien, je sais pas ce qui m'a pris la dernière fois, je suis pas une fille comme ça... Mais tu me plaît beaucoup et je voudrais pas que tu penses...
Je n'eu pas le temps de finir ma phrase qu'il s'approcha pour m'embrasser, sans dire un mot, tout en posant délicatement sa main derrière ma nuque. Ce baiser anéanti toute ma volontée de lui résister, et quand nos langues se melèrent l'une à l'autre, je n'avais plus qu'une seule envie, c'était de passer la nuit dans ses bras.
Il démarra sa voiture en trombe après que je lui ai dit "allons-y" et nous nous sommes rapidement retrouvés chez lui.
Après m'avoir fait visiter son magnifique loft, nous nous sommes installés sur sa terrasse avec une coupe de champagne, dans un confortable canapé d'extérieur tout en discutant. La vue était magnifique, dominant tout Paris.
Il ne c'est pas passé très longtemps avant que notre baiser reprenne où il c'était arrêté dans la voiture. Ses mains ont provoquées en moi comme un choc électrique dans mon bas ventre quand elles se sont posées sur mon corps. Pendant que nos deux langues se mélangeait, ses carresses semblaient couvrir tous mon corps, ma poitrine, mon ventre, mon dos. Mes jambes se sont écartées instinctivement lorsque, posé à l'intérieur de ma cuisse, ses doigts remontèrent toujours plus près de ma petite fente, qui déjà, était trempée d'excitation. Ses doigts effleurement maintenant mon bouton à travers la dentelle, tout en carressant la naissance intérieure de ma cuisse.
J'étais folle d'excitation et il ne fallut que très peu de temps pour qu'Adrien se retrouve le pantalon au niveau des chevilles, son sexe entre mes mains. Nous nous embrassions toujours alors que je le m'asturbait, sa queue ne semblant pas vouloir s'arrêter de grossir si bien que ma petite main se retrouva très vite insignifiante fasse à cette énorme colonne de chaire, mes doigts n'arrivant même pas à en faire le tour. Son autorité naturelle m'a amener, sans même que je m'en aperçoive, à poser ma bouche sur son sexe et c'est ainsi que je me suis retrouvée, à quatres pattes sur le canapé à côté de lui, en train de lécher son bâton de viande avec avidité, comme une jeune chienne savourant son os de gigot.
Ses mains se firent beaucoup plus entreprenantes, après avoir remonté ma robe et déplacé la ficelle de mon strings sur le côté, il enfonça un doigt dans ma fente complètement trempée, très vite rejoint par un deuxième pour s'activer en moi.
Instinctivement, je me suis cambrée pour l'accueillir avec plus de facilité et les clapotis de ses doigts martelant ma chatte dégoulinante ne tardèrent pas à couvrir le bruit de mes gémissements.
Mon plaisir m'avait fait délaissé sa queue si bien qu'il plaça son gland au bord de mes lèvres entrouverte et posa sa main libre sur ma tête pour m'inviter à reprendre ma fellation, tout en prenant soin de relever mes cheveux. Progressivement, sa poigne se fit de plus en plus ferme sur ma tignasse, accélérant le rythme et donnant même des coups de reins en cadence, m'obligeant à accueillir son sexe toujours plus loin dans ma bouche jusqu'à mes amygdales.
Ses doigts toujours actifs en moi n'aurais certainement pas manqué de me donner un orgasme si son énorme sexe coulissant dans ma gorge ne m'obligeait pas à me concentrer au maximum.
Il me baisait la bouche sans ménagement et j'adorais ça, ses gémissements se sont vite transformés en grognements de plaisir, couvrant le bruit des allers et retours de son gland au fond de ma gorge. Il était au bord de la jouissance quand il lâcha son emprise sur moi. J'en ai profitée pour me relever et me positionnée debout face à lui, et de la manière la plus sensuelle et la plus féline possible, je me suis mise à procéder à un effeuillage, faisant glisser un à un chaques vêtements sur ma peau. Il semblait beaucoup apprécié, me dévorant des yeux, le sexe à la main. Il ne me restait plus que mes bas, mon porte jarretelle et mes talons quand, toujours sans le quitter des yeux, je me suis baissée lentement pour me placer à quatres pattes face à lui, à quelques mètres, puis de m'approcher, lentement, comme une panthère à l'affût de ce merveilleux bout de viande qu'Adrien avait entre les jambes.
Mon esprit de chienne avait totalement pris le dessus et c'est sans aucune pudeur que je repris ma fellation, mon regard toujours planté dans le sien qui semblait brûler de désir et d'envie.
Je l'ai sucé comme une diablesse, léchant, aspirant, pompant tantôt avec sensualitée, tantôt avec fougue, bien décidée à lui montrer toute l'étendue de mes talents, le prenant par moments au fond de ma gorge, même si je dû me résigner à l'avaler en entier, tant sa queue était longue et large.
Il semblait beaucoup apprécié d'ailleurs, car quand il ne me fixait pas des yeux, il basculait la tête en arrière, bouche ouverte, osant même quelques commentaires salaces, ce qui avait le don de m'exciter encore plus et je ne tarda pas, sans même m'en rendre compte, à gemir en cœur avec lui.
Mais il savait parfaitement se contrôler, si bien que je commençait à fatiguer, la gorge et la machoire commencèrent à être douloureuses.
Je me suis donc redresser et après l'avoir masturber quelques secondes, j'ai placée son valeureux mât entre mon 95E.
Sa queue enduite de ma salive coulissait parfaitement entre mes seins et il ne tarda pas à venir remplacer mes mains par les siennes, se branlant avec ma poitrine. Sa queue était tellement longue que je n'ai eut aucun mal à atteindre son gland avec ma bouche, et je ne me suis pas faite priée pour y poser mes lèvres.
La chaude brise de cette soirée d'été me donnait des frissons, rafraichissant ma petite chatte trempée alors que je lui pompait et lechait son gros champignon avec avidité, sa tige toujours entre mes seins qu'ils remuait frénétiquement.
Mes lèvres distendues par sa largeur et mes joues creusées ne tardèrent pas à avoir raison de lui et c'est cette fois ci sans me prévenir qu'il atteignit l'orgasme. Je sentit son gland grossir encore un peu plus, sa hampe se raidir d'avantage entre ma poitrine, et aussitôt ses spasmes de plaisir s'accompagnerent de déferlantes de semence dans ma bouche. J'ai tenter d'avaler tant bien que mal cette liqueur qui ne semblait plus vouloir finir de se déverser mais la puissance et l'abondance de ses jets de foutre finirent par me remplir complètement et débordèrent à la commissure de mes lèvres. Quand la source de sève finit par se tarir, Adrien laissa mes seins en paix et ce n'est qu'après mes dernières succions pour lui extirper les dernières gouttes qu'il redressa sa tête jusqu'à présent rejeté en arrière pour me fixer dans les yeux, avec l'air d'être sur une autre planète.
Et c'est pendant que je m'occupais à lui nettoyer la queue des dernières traces de salive et de sperme avec ma bouche et ma langue, tout en le regardant dans les yeux qu'il me dit:"-Sabine, personne avant toi ne m'a amener à une extase aussi puissante! Tu est une véritable reine." Me dit il tout en posant sa main délicatement sous ma machoire, récupérant les traces de sperme sur mon menton avec son pouce pour me le donner à sucer. Se que je fit évidemment avec délectation et sensualitée.
Moi qui habituellement n'aime pas trop ça, ce soir là, avec lui, j'aurais sans hésiter pu boire sa liqueur, jusqu'à épuisement de la source si il avait fallut.
Il me saisit tendrement par la main pour me relever et m'invita à m'asseoir à califourchon sur lui, se mit ensuite à me pétrir les seins avant de venir poser sa bouche sur mes tétons. Il me mordillait, léchait, aspirait un à un mes tétons gorgées d'envie et de plaisir, tout en me pétrissant les seins.
Je dégoulinai d'envie sur son énorme queue qui ne semblait pas vouloir dégonflée, malgré le premier tir effectué.
Et c'est au bout de quelques minutes, n'en pouvant plus de l'excitation qu'il me procurait, que je me suis saisi de sa verge, et l'ai placée a l'entrée de ma petite chatte et de quelques coups de reins me suis empalée dessus. Très vite, il mit ces mains sous mes fesses, me soulevant et me baissant comme une vulgaire poupée, sa taille était à la fois douloureuse et aussi terriblement bonne.
Je n'étais pas loin de l'extase quand tout à coup, il m'agrippa les cuisses et se leva d'un coup, sa bite en moi étant quasiment la seule chose qui m'empêchait de tomber. Puis il se mit en marche, chaque pas me faisait le sentir s'enfoncer encore un peu plus en moi. Son appartement était immense et la distance jusqu'à son lit me parue interminable, j'avais l'impression qu'une équipe de rugby m'étais passé dessus.
Quand il me déposa sur le lit, je me mit instinctivement à quatres pattes, ma croupe à sa disposition, au bord du lit.
Avant qu'il me pénètre à nouveau, ma petite fente n'en pouvant plus, j'ai tournée mes yeux vers lui et lui ai demandé, de ma voie la plus douce et sensuelle:-"J'ai envie que tu me prennes par derrière..."Son regard semblait surpris et il eu un petit rictus de satisfaction, qui dura à peine une seconde, ses mains écartant ensuite mes fesses sans hésitation. Très vite, je senti sa langue se poser sur mon anus, d'abord quelques petites lechouilles qui devinrent vite plus appuyées, avant de carrément me pénétrer avec sa langue. Ce traitement était divin mais il ne dura pas, ses doigts toujours plus nombreux ne tardèrent pas à m'ouvrir à mon maximum, tel une fleur au première lueurs du matin. Au moment ou il du juger que c'était satisfaisant, je l'entendait s'éloigner, saisir quelques choses dans un tiroir et revenir vers moi. Il ne fit aucun doute que c'était un tube de lubrifiant quand j'entendis le clac caractéristiques de l'ouverture, avant de sentir un liquide froid couler entre ma raie des fesses jusqu'à mon petit trou entrouvert. Cette sensation s'accompagna très vite par celle de son gland à mon entrée, poussant fermement mais juste ce qu'il faut, par à coups.
Ma porte de derrière me semblait d'un coup minuscule, malgré l'habitude, à ce qui était en train de se préparer à entrer en moi.
Quand ma corolle céda, d'un seul coup, je ne put retenir un cris de douleur, j'ai eu l'impression que mes sphrincters avaient éclatés tant sa queue était large.
Mais il me laissa m'habituer, quelques secondes, avant de reprendre l'exploration de cette orifice interdit. Il remit quelques lampées de lub au fur et à mesure que sa pénétration se faisait de plus en plus profonde et rapide. Quand à moi, je haletait comme une chienne, prise entre la douleur et le plaisir. Il accentua rapidement ses coups de reins, toujours plus profonds et énergiques jusqu'à ce que je puisse sentir son bassin rebondir sur mes fesses. J'étais littéralement empalée, son énorme bite frayant son chemin, inexorablement entre mes entrailles, au point que j'avais presque l'impression qu'elle pouvait sortir par ma bouche.
Je gemissai, couinai de plaisir, ce qui du l'encourager car il se mit rapidement à me prendre bien plus sauvagement. Il n'était plus en train de me sodomiser ou même de m'enculer, il c'est mis littéralement à me défoncer, m'exploser, me labourer tellement fort que j'avais l'impression qu'un poney était en train de me saillir. Son bassin tapait si fort contre mes fesses que j'étais projetée en avant, ma poitrine se balançant comme un pendule, ses couilles venaient claquer ma fente et mon clito dans un bruit de clapotis engendré par ma mouille et le lubrifiant. Il grognait comme une bête, insensible à mes cris de douleur et de plaisir, au contraire, ça semblait l'encourager encore plus.
Je ne tarda pas à entrer comme en transe, et comme il m'arrive parfois, je me suis mise à hurler tout un tas d'insanités, plus vulgaires les une que les autres.
Le plaisir montait en moi, comme une vague, un tsunami et quand le vase se mit à déborder, j'ai hurlée, mordant les draps, griffant le lit, ma chatte expulsant des jets de mouille comme une fontaine, inondant mes jambes et le lit.
Adrien m'avait vaincue, j'étais submergée par un orgasme dévastateur, tous les muscles de mon corps tremblait, comme une feuille.
Les contractions de mon petit trou ont du avoir raison de lui car il ne tarda pas, lui non plus, à rugir tel un lion, me donnant le coup de grâce, déversant son nectar dans l'antre qu'il possédait.
Puis il s'écroulat à mes côtés, me serrant dans ses bras, son vit toujours en moi, palpitant.
Je ne saurais combien de temps nous sommes restés ainsi, à reprendre nos esprits, mais notre étreinte fut aussi douce et romantique que notre romance fut bestiale.
Me carraissant les cheveux, m'embrassant dans le cou, nous nous sommes endormis ainsi, et peu de temps avant que morphée nous appelle à elle, il m'a dit ces mots:"Je te veux pour la vie"
C'est ainsi que commença notre histoire, marquée par une première nuit des plus mémorable. Le lendemain fut douloureux, mais marqua le début de quelque chose d'unique, à la fois magique et coquin.
Mais l'histoire ne fait que commencer...
Encore une fois, n'hésitez pas à commenter, voir même à corriger mes fautes, bisous à tous ceux qui liront.
Le fameux big john était toujours figé sur le sol, dressé fièrement, comme un appel à faire de nouvelles cochonneries.
Mais mon état d'esprit de ce matin n'était pas focalisé sur le sexe. J'étais même un peu gênée de m'être comportée la veille comme une fille aussi facile.
Cet homme me plaisait et j'avais peur qu'il m'aie prise pour une fille que je ne suis pas, une fille intéressée par l'argent prête à usée de ses charmes pour l'attraper dans ses filets.
Je me suis levée pour prendre une douche, l'eau chaude dégoulinant sur mon corps fût réconfortante mais je n'arrivais pas à sortir cette soirée de ma tête.
Je décida de me changer les idées, me blottissant sous ma couette en regardant des films romantiques, après avoir effacée toutes preuves de la veille mais mon esprit revenait toujours à cette soirée. Je n'arrêtais pas de repenser à Adrien, à son élégance, à son charme, à l'odeur et au goût de sa bite, au goût de sa semence imprégnant ma bouche et ma gorge.
Je passe ainsi tout le week-end, un peu honteuse et gênée, mais sans pouvoir me sortir de la tête cette homme qui revenait sans cesse me hanter, persuadée qu'il ne me rappellerai jamais. Quand tout à coup mon portable se mit à sonner.
Je me précipita pour décrocher, sans même vérifier qui m'appelais.
-Allo?
-Bonjour Sabine, c'est Adrien.
-Bon...Bonjour. répondit je, comme une conne.
Nous avons ensuite discuté, il était toujours aussi charmant, courtois et n'as pas mentionné une seule fois notre soirée, gentleman comme depuis notre première discussion.
Nous avons fini par nous fixer un autre rendez-vous, en fin de semaine prochaine.
Toute la semaine, nous nous sommes échangés quelques messages. J'étais terriblement excitée à l'idée de le revoir, impatiente de me retrouver en sa compagnie, si bien que j'en avais du mal à me concentré dans mon travail, toute mouillé à chaque fois que je pensait à lui, n'attendant qu'une chose, c'est de rentrer chez moi pour me satisfaire avec mon énorme gode, m'imaginant en train de chevauchée Adrien.
Le soir de notre deuxième rencontres, il m'avait prévenu que nous dînerions dans un très grand restaurant, j'avais donc pris encore plus grand soin pour me faire belle, brushing impeccable, portant ce que j'avais de plus chic dans mon placard. Boucles d'oreilles, collier, ma plus belle robe de soirée, juste assez fendue sur la cuisse pour cacher la naissance de mes bas maintenue par un magnifique ensemble porte-jarettel noir.
J'étais vraiment une femme fatale ce soir là.
Il est venu me chercher pile à l'heure, dans une autre voiture encore plus luxueuse, dont je serais incapable de vous donner ni la marque, ni le modèle.
La soirée fut vraiment magique, j'eue vraiment l'impression d'être une princesse, pas à cause du faste et du luxe, mais du comportement d'Adrien qui était vraiment un gentleman, toujours au petit soin, simple malgré sa richesse apparente, gentil et attentionné, nous aurions pu passer la soirée dans un fast-food que mon impression aurait été exactement la même, j'avais la sensation de le connaître depuis toujours. Nous avons rigolés, parlés de tout et de rien.
Une fois le repas terminé et installé dans sa voiture, vint le moment de la fameuse question.
-J'ai vraiment passé un très bon moment avec toi Sabine. Tu veux que je te ramène ou... Il marqua une pose, visiblement gêné. Ou tu veux peut-être venir boire un dernier verre chez moi.
-Ecoutes Adrien, je sais pas ce qui m'a pris la dernière fois, je suis pas une fille comme ça... Mais tu me plaît beaucoup et je voudrais pas que tu penses...
Je n'eu pas le temps de finir ma phrase qu'il s'approcha pour m'embrasser, sans dire un mot, tout en posant délicatement sa main derrière ma nuque. Ce baiser anéanti toute ma volontée de lui résister, et quand nos langues se melèrent l'une à l'autre, je n'avais plus qu'une seule envie, c'était de passer la nuit dans ses bras.
Il démarra sa voiture en trombe après que je lui ai dit "allons-y" et nous nous sommes rapidement retrouvés chez lui.
Après m'avoir fait visiter son magnifique loft, nous nous sommes installés sur sa terrasse avec une coupe de champagne, dans un confortable canapé d'extérieur tout en discutant. La vue était magnifique, dominant tout Paris.
Il ne c'est pas passé très longtemps avant que notre baiser reprenne où il c'était arrêté dans la voiture. Ses mains ont provoquées en moi comme un choc électrique dans mon bas ventre quand elles se sont posées sur mon corps. Pendant que nos deux langues se mélangeait, ses carresses semblaient couvrir tous mon corps, ma poitrine, mon ventre, mon dos. Mes jambes se sont écartées instinctivement lorsque, posé à l'intérieur de ma cuisse, ses doigts remontèrent toujours plus près de ma petite fente, qui déjà, était trempée d'excitation. Ses doigts effleurement maintenant mon bouton à travers la dentelle, tout en carressant la naissance intérieure de ma cuisse.
J'étais folle d'excitation et il ne fallut que très peu de temps pour qu'Adrien se retrouve le pantalon au niveau des chevilles, son sexe entre mes mains. Nous nous embrassions toujours alors que je le m'asturbait, sa queue ne semblant pas vouloir s'arrêter de grossir si bien que ma petite main se retrouva très vite insignifiante fasse à cette énorme colonne de chaire, mes doigts n'arrivant même pas à en faire le tour. Son autorité naturelle m'a amener, sans même que je m'en aperçoive, à poser ma bouche sur son sexe et c'est ainsi que je me suis retrouvée, à quatres pattes sur le canapé à côté de lui, en train de lécher son bâton de viande avec avidité, comme une jeune chienne savourant son os de gigot.
Ses mains se firent beaucoup plus entreprenantes, après avoir remonté ma robe et déplacé la ficelle de mon strings sur le côté, il enfonça un doigt dans ma fente complètement trempée, très vite rejoint par un deuxième pour s'activer en moi.
Instinctivement, je me suis cambrée pour l'accueillir avec plus de facilité et les clapotis de ses doigts martelant ma chatte dégoulinante ne tardèrent pas à couvrir le bruit de mes gémissements.
Mon plaisir m'avait fait délaissé sa queue si bien qu'il plaça son gland au bord de mes lèvres entrouverte et posa sa main libre sur ma tête pour m'inviter à reprendre ma fellation, tout en prenant soin de relever mes cheveux. Progressivement, sa poigne se fit de plus en plus ferme sur ma tignasse, accélérant le rythme et donnant même des coups de reins en cadence, m'obligeant à accueillir son sexe toujours plus loin dans ma bouche jusqu'à mes amygdales.
Ses doigts toujours actifs en moi n'aurais certainement pas manqué de me donner un orgasme si son énorme sexe coulissant dans ma gorge ne m'obligeait pas à me concentrer au maximum.
Il me baisait la bouche sans ménagement et j'adorais ça, ses gémissements se sont vite transformés en grognements de plaisir, couvrant le bruit des allers et retours de son gland au fond de ma gorge. Il était au bord de la jouissance quand il lâcha son emprise sur moi. J'en ai profitée pour me relever et me positionnée debout face à lui, et de la manière la plus sensuelle et la plus féline possible, je me suis mise à procéder à un effeuillage, faisant glisser un à un chaques vêtements sur ma peau. Il semblait beaucoup apprécié, me dévorant des yeux, le sexe à la main. Il ne me restait plus que mes bas, mon porte jarretelle et mes talons quand, toujours sans le quitter des yeux, je me suis baissée lentement pour me placer à quatres pattes face à lui, à quelques mètres, puis de m'approcher, lentement, comme une panthère à l'affût de ce merveilleux bout de viande qu'Adrien avait entre les jambes.
Mon esprit de chienne avait totalement pris le dessus et c'est sans aucune pudeur que je repris ma fellation, mon regard toujours planté dans le sien qui semblait brûler de désir et d'envie.
Je l'ai sucé comme une diablesse, léchant, aspirant, pompant tantôt avec sensualitée, tantôt avec fougue, bien décidée à lui montrer toute l'étendue de mes talents, le prenant par moments au fond de ma gorge, même si je dû me résigner à l'avaler en entier, tant sa queue était longue et large.
Il semblait beaucoup apprécié d'ailleurs, car quand il ne me fixait pas des yeux, il basculait la tête en arrière, bouche ouverte, osant même quelques commentaires salaces, ce qui avait le don de m'exciter encore plus et je ne tarda pas, sans même m'en rendre compte, à gemir en cœur avec lui.
Mais il savait parfaitement se contrôler, si bien que je commençait à fatiguer, la gorge et la machoire commencèrent à être douloureuses.
Je me suis donc redresser et après l'avoir masturber quelques secondes, j'ai placée son valeureux mât entre mon 95E.
Sa queue enduite de ma salive coulissait parfaitement entre mes seins et il ne tarda pas à venir remplacer mes mains par les siennes, se branlant avec ma poitrine. Sa queue était tellement longue que je n'ai eut aucun mal à atteindre son gland avec ma bouche, et je ne me suis pas faite priée pour y poser mes lèvres.
La chaude brise de cette soirée d'été me donnait des frissons, rafraichissant ma petite chatte trempée alors que je lui pompait et lechait son gros champignon avec avidité, sa tige toujours entre mes seins qu'ils remuait frénétiquement.
Mes lèvres distendues par sa largeur et mes joues creusées ne tardèrent pas à avoir raison de lui et c'est cette fois ci sans me prévenir qu'il atteignit l'orgasme. Je sentit son gland grossir encore un peu plus, sa hampe se raidir d'avantage entre ma poitrine, et aussitôt ses spasmes de plaisir s'accompagnerent de déferlantes de semence dans ma bouche. J'ai tenter d'avaler tant bien que mal cette liqueur qui ne semblait plus vouloir finir de se déverser mais la puissance et l'abondance de ses jets de foutre finirent par me remplir complètement et débordèrent à la commissure de mes lèvres. Quand la source de sève finit par se tarir, Adrien laissa mes seins en paix et ce n'est qu'après mes dernières succions pour lui extirper les dernières gouttes qu'il redressa sa tête jusqu'à présent rejeté en arrière pour me fixer dans les yeux, avec l'air d'être sur une autre planète.
Et c'est pendant que je m'occupais à lui nettoyer la queue des dernières traces de salive et de sperme avec ma bouche et ma langue, tout en le regardant dans les yeux qu'il me dit:"-Sabine, personne avant toi ne m'a amener à une extase aussi puissante! Tu est une véritable reine." Me dit il tout en posant sa main délicatement sous ma machoire, récupérant les traces de sperme sur mon menton avec son pouce pour me le donner à sucer. Se que je fit évidemment avec délectation et sensualitée.
Moi qui habituellement n'aime pas trop ça, ce soir là, avec lui, j'aurais sans hésiter pu boire sa liqueur, jusqu'à épuisement de la source si il avait fallut.
Il me saisit tendrement par la main pour me relever et m'invita à m'asseoir à califourchon sur lui, se mit ensuite à me pétrir les seins avant de venir poser sa bouche sur mes tétons. Il me mordillait, léchait, aspirait un à un mes tétons gorgées d'envie et de plaisir, tout en me pétrissant les seins.
Je dégoulinai d'envie sur son énorme queue qui ne semblait pas vouloir dégonflée, malgré le premier tir effectué.
Et c'est au bout de quelques minutes, n'en pouvant plus de l'excitation qu'il me procurait, que je me suis saisi de sa verge, et l'ai placée a l'entrée de ma petite chatte et de quelques coups de reins me suis empalée dessus. Très vite, il mit ces mains sous mes fesses, me soulevant et me baissant comme une vulgaire poupée, sa taille était à la fois douloureuse et aussi terriblement bonne.
Je n'étais pas loin de l'extase quand tout à coup, il m'agrippa les cuisses et se leva d'un coup, sa bite en moi étant quasiment la seule chose qui m'empêchait de tomber. Puis il se mit en marche, chaque pas me faisait le sentir s'enfoncer encore un peu plus en moi. Son appartement était immense et la distance jusqu'à son lit me parue interminable, j'avais l'impression qu'une équipe de rugby m'étais passé dessus.
Quand il me déposa sur le lit, je me mit instinctivement à quatres pattes, ma croupe à sa disposition, au bord du lit.
Avant qu'il me pénètre à nouveau, ma petite fente n'en pouvant plus, j'ai tournée mes yeux vers lui et lui ai demandé, de ma voie la plus douce et sensuelle:-"J'ai envie que tu me prennes par derrière..."Son regard semblait surpris et il eu un petit rictus de satisfaction, qui dura à peine une seconde, ses mains écartant ensuite mes fesses sans hésitation. Très vite, je senti sa langue se poser sur mon anus, d'abord quelques petites lechouilles qui devinrent vite plus appuyées, avant de carrément me pénétrer avec sa langue. Ce traitement était divin mais il ne dura pas, ses doigts toujours plus nombreux ne tardèrent pas à m'ouvrir à mon maximum, tel une fleur au première lueurs du matin. Au moment ou il du juger que c'était satisfaisant, je l'entendait s'éloigner, saisir quelques choses dans un tiroir et revenir vers moi. Il ne fit aucun doute que c'était un tube de lubrifiant quand j'entendis le clac caractéristiques de l'ouverture, avant de sentir un liquide froid couler entre ma raie des fesses jusqu'à mon petit trou entrouvert. Cette sensation s'accompagna très vite par celle de son gland à mon entrée, poussant fermement mais juste ce qu'il faut, par à coups.
Ma porte de derrière me semblait d'un coup minuscule, malgré l'habitude, à ce qui était en train de se préparer à entrer en moi.
Quand ma corolle céda, d'un seul coup, je ne put retenir un cris de douleur, j'ai eu l'impression que mes sphrincters avaient éclatés tant sa queue était large.
Mais il me laissa m'habituer, quelques secondes, avant de reprendre l'exploration de cette orifice interdit. Il remit quelques lampées de lub au fur et à mesure que sa pénétration se faisait de plus en plus profonde et rapide. Quand à moi, je haletait comme une chienne, prise entre la douleur et le plaisir. Il accentua rapidement ses coups de reins, toujours plus profonds et énergiques jusqu'à ce que je puisse sentir son bassin rebondir sur mes fesses. J'étais littéralement empalée, son énorme bite frayant son chemin, inexorablement entre mes entrailles, au point que j'avais presque l'impression qu'elle pouvait sortir par ma bouche.
Je gemissai, couinai de plaisir, ce qui du l'encourager car il se mit rapidement à me prendre bien plus sauvagement. Il n'était plus en train de me sodomiser ou même de m'enculer, il c'est mis littéralement à me défoncer, m'exploser, me labourer tellement fort que j'avais l'impression qu'un poney était en train de me saillir. Son bassin tapait si fort contre mes fesses que j'étais projetée en avant, ma poitrine se balançant comme un pendule, ses couilles venaient claquer ma fente et mon clito dans un bruit de clapotis engendré par ma mouille et le lubrifiant. Il grognait comme une bête, insensible à mes cris de douleur et de plaisir, au contraire, ça semblait l'encourager encore plus.
Je ne tarda pas à entrer comme en transe, et comme il m'arrive parfois, je me suis mise à hurler tout un tas d'insanités, plus vulgaires les une que les autres.
Le plaisir montait en moi, comme une vague, un tsunami et quand le vase se mit à déborder, j'ai hurlée, mordant les draps, griffant le lit, ma chatte expulsant des jets de mouille comme une fontaine, inondant mes jambes et le lit.
Adrien m'avait vaincue, j'étais submergée par un orgasme dévastateur, tous les muscles de mon corps tremblait, comme une feuille.
Les contractions de mon petit trou ont du avoir raison de lui car il ne tarda pas, lui non plus, à rugir tel un lion, me donnant le coup de grâce, déversant son nectar dans l'antre qu'il possédait.
Puis il s'écroulat à mes côtés, me serrant dans ses bras, son vit toujours en moi, palpitant.
Je ne saurais combien de temps nous sommes restés ainsi, à reprendre nos esprits, mais notre étreinte fut aussi douce et romantique que notre romance fut bestiale.
Me carraissant les cheveux, m'embrassant dans le cou, nous nous sommes endormis ainsi, et peu de temps avant que morphée nous appelle à elle, il m'a dit ces mots:"Je te veux pour la vie"
C'est ainsi que commença notre histoire, marquée par une première nuit des plus mémorable. Le lendemain fut douloureux, mais marqua le début de quelque chose d'unique, à la fois magique et coquin.
Mais l'histoire ne fait que commencer...
Encore une fois, n'hésitez pas à commenter, voir même à corriger mes fautes, bisous à tous ceux qui liront.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Sabinette
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
<3